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L'histoire d'un étranger


Koll
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Koll est né sous le nom de Tyrias a Lak-Hir, la capitale du royaume de Mirée, très au nord de Stendhel.

Issu d'une famille de notables il décide, contrairement à ses frères, de se lancer dans la chevalerie, son père en conçoit une grande fierté. Au bout de 6 longues années de formation en compagnie de Matéria , il est finalement adoubé par le roi Dargor et fait ainsi partie intégrante de l'Ordre d’Emeraude.

Il se verse ensuite dans l'étude des Textes de Foi, élevant très haut sa spiritualité, il base sa philosophie sur la volonté qui permet aux hommes de venir a bout de tout les obstacles. Il est remarqué par les Hauts Seigneurs qui décident de faire de lui un Chapelain, un gardien de la vie et de l'âme de son peuple, l’incarnation même de son ordre. Ils forme a son tour les Initiés, et est mobilisé sur les champs de batailles pour veiller aux moral des troupes, facteur indispensable pour l'armée de Mirée, souvent en infériorité numérique.

Peu avant le Cataclysme, il était partie en pèlerinage dans la Cité des Rois avec Matéria, a plusieurs jours de marche de Lak-Hir mais lorsqu’ils revinrent chez eux…

 

 

. . . . . .

 

 

 

La vision qui attendait les guerriers était insupportable :

Lak-Hir, la cité des milles piliers, leur cité, était encerclée par des hordes sans nombres, noyée sous un flot de démons : devant les murs, une gigantesque armée noire et violet sombre se massait sous les portes enfoncées de la ville, et avait envahie les rues, se répandant de manière désordonnée et cruelle jusqu'a la Forteresse-Cathédrale du Roi. Des flammes hautes de plusieurs mètres s’échappaient de la bibliothèque, et masquait le ciel derrière une chape noir comme le Nether. La cité entière était en proie au feu et a la mort tout brulait, l’odeur de la chair carbonisée emplissait l’air. Un seul bâtiment était encore debout, mais visiblement plus pour longtemps, Le palais, la Cathédrale-Forteresse de l’Ordre d’Emeraude, mais les défenseurs ne pouvaient espérer l’emporter face aux innombrables démons qui entouraient leurs murs.

Le Marteau honorifique de Tyrias irradiait, des flammèches blanches apparaissant de temps en temps sur sa garde, tout comme la couronne dorée qui ceignait sont front, ces deux objets saints qui témoignent de l’appartenance au rang de Chapelain.

- « Les démons… » Grognât-il, une rage difficilement contenue enflammait son visage, « Qui a oser… Toutes les portes avaient été détruites !! »

Il lançât son cheval vers la masse ignoble qui emplissait désormais son esprit pieux, toutes ces créatures étrangères à son monde, il fallait toutes les détruire, elles souillaient l’air et le sol de par leur simple présence. Mais heureusement pour lui, Matéria le rattrapât :

- « Mon frère !! Arrêtez cette folie ! Jamais vous ne pourrez les vaincre seul !! »

Il s’était mis en travers de la route de Tyrias, le bloquant la voie vers une mort certaine.

- « Écarte-toi !! Il est de mon devoir de …

- Défendre l’Epée ! Pas de vous sacrifier inutilement !! Aussi puissante que soit votre foi, jamais vous ne pourrez vaincre tout ces démons à vous seul ! »

Tyrias s’était calmé, mais ses joues restaient empourprées par la colère,

- Et que devons nous faire alors ? Rester ici et admirer la destruction de notre citée ?!

Après quelques instants de réflexion,

- Nous devons trouver la porte qui mène vers le Nether et la détruire !

Matéria avait raison, un démon ne peut pas être tué, une fois tombé sur le champ de bataille, sa substance se volatilise et retourne dans le Nether, et si une porte et ouverte entre notre réalité et les enfers, le démon n’a qu’a la franchir pour retourner au combat et étancher sa soif de mort.

La fureur refluait peu à peu du visage de Tyrias. Il rengainât son épée, mais gardât son marteau à la main.

- Oui, tu as raison, je regrette de m’être emporté.

- Le temps n’est pas aux excuses, Il faut trouver d’où viennent ces démons.

Ils regardèrent la mer noire qui se massait sous les hautes arcades de la Citée des Piliers, assaillant les murs, inlassable. Il semblait qu’elle provenait des Grottes Bleues, ces anciennes mines qui perçaient les montagnes autour de Lak-Hir. Les Hordes Noires s’extirpaient de l’ouverture la plus grande de la montagne

- Par là, dit Matéria en désignant la faille béante qui vomissait le malheur sur leur cité, Espérons que nos frères puissent tenir encore un peu…

- Ils le doivent. Coupât Tyrias .

Il pensât a sa femme, Ylir, il essayât de se convaincre qu’elle était encore en vie.

Sur ces quelques paroles, les deux guerriers éperonnèrent leurs montures, ils parcoururent l’unique kilomètre qui les séparait des Grottes Bleues en quelques minutes, mais arrivés a proximité de l’entrée dérobée qu’ils voulaient utiliser pour s’infiltrer jusqu'à la Porte, leurs cheveux refusèrent d’avancer et se mirent à hennir bruyamment.

- Laissons les partir, ils nous feraient repérer, proposât Matéria.

- Et je n’ai pas envie qu’ils trépassent par les griffes de démons.

Ils frappèrent la croupe de leurs étalons, et en les regardant s’éloigner, ils songèrent que ces animaux emmenaient avec eux plus que simples selles et équipements de voyage…

Matéria saisit ses armes, Tyrias dégainât son épée de la main gauche et gardât son marteau flamboyant dans l’autre main. Les couloirs et les conduits tortueux qui composaient le réseau des Grottes bleues étaient sombres, heureusement le marteau de Tyrias continuait d’émettre une puissante lumière blanche qui éclairait leur chemin : « telle est notre foi… » Pensait il en regardant son arme. Plusieurs fois, ils tombèrent sur de petits groupes de démons, ces créatures a corps d’humain et a tête d’animaux furent violemment détruits, leurs chairs et leurs yeux brulés par la lumière divine du marteau de Tyrias, avant d’avoir eu le temps de faire un geste. Les plus chanceux connurent une fin indolore (enfin presque…) le crane explosé par le marteau, mais les autres…

Les derniers à trépasser urent leurs membres tranchés les uns après les autres, si bien qu’après il ne restât d’eux qu’un tronc gigotant sur le sol.

 

Plusieurs minutes, ou plusieurs heures plus tard (comment la savoir…), les deux chevaliers arrivèrent enfin a la porte. Tyrias avait déjà vu des portails démoniaques, sur ses livres, et dans la réalité ; mais jamais, jamais il n’aurait pu imaginer une porte de cette taille : elle se trouvait dans la salle la plus grande, une grotte si haute que l’on n’en voyait plus le sommet, et pourtant le portail démoniaque semblait emplir tout l’espace : il devait mesurer plus de 100 coudées de haut ! Mais le plus inquiétant était la masse de créatures qui s’échapper de par la fissure, des milliers, des centaines de milliers de démons, entassés dans cette grotte sous-terraine, ils formaient une mer sombre et inhumaine, un flot qui allé engloutir le monde sous la ruine…

-« personne ne peut ouvrir une porte de cette taille… murmurât Tyrias, il n’existe aucune personne assez puissante…

Ils reprirent tant bien que mal leurs esprits, et depuis leur position surélevée, ils tentèrent de trouver l’invocateur, ils devaient le détruire ! C’était le seul moyen de venir à bout d’une porte de cette taille…

-« là haut ! S’exclamât Matéria, Sur la porte ! »

En effet, sur la porte se dressaient deux silhouettes, l’une, massive, une paire d’ailes dans le dos, ne pouvait être qu’un prince démon, surement allié à l’invocateur, Et a coté de lui…

-« non ! Ce n’est pas possible !! »

Le plus petit des deux personnages leur était familier, bien trop familier.

Ils coururent aussi vite qu’ils le pouvaient, ne se souciant plus d’attirer sur eux l’attention des milliers de démons qui remplissaient la caverne. Leur champ de vision s’était réduit à l’homme dressé sur la porte. Ils grimpèrent de nombreux escarpements, et ils arrivèrent finalement prés du sommet de l’immense monolithe d’obsidienne, des vents d’un autre monde tantôt leur brulait le visage, tantôt leur glaçait les membres.

Tout le long de leur escalade, le prince démon les regardait. Lorsqu’ils furent arrivés en haut de ce monument impie, il les apostropha :

-« bienvenue, noble chevaliers !

Tout son être transpirait l’ironie, l’hypocrisie, mais en même temps une puissance phénoménale.

-« vous arrivez à temps pour admirer notre triomphe !! Grace a votre…

- Tais-toi démon !!! hurlât Tyrias en se jetant sur le maitre des enfers.

Il eut l’avantage du premier coup, ce qui se révélât décisif.

Le marteau était partit vers la poitrine du démon, ce dernier se jeta en arrière, esquivant un coup mortel ; cependant, le marteau heurtât sa jambe dans une explosion de lumière, l’arme bénite, déjà lumineuse, s’enflammât au moment même ou elle touchait le démon, lui brulant la chair.

Le visage du prince, qui jusqu'à présent était moqueur et rieur, changeât brusquement de forme, sa tête se retournant a l’envers, exposant l’incarnation même de la fureur :

-« AAAAH ! Comment oses tu, mortel !? Tu vas hurler quand j’arracherais ton cœur !! »

Montant dans les airs en un météore de feu noir, le prince fondit sur Tyrias , un énorme sabre crépitant de sorcellerie était apparut dans ses mains.

-« MEURS !! »

Levant son marteau, Tyrias parât le sabre noir, son arme, bien qu’imposante semblait dérisoire face au cimeterre géant du démon. Pourtant l’arme maudite se brisât, comme si elle venait de frapper la porte même d’Aether. Le démon était surpris, mais il le fut encore plus lorsque Matéria, qui avait profité du combat pour passer derrière lui, lui tranchât les tendons des jambes, le démon tombât a genou mais il n’eu pas le temps de hurler une fois de plus sa haine, car le marteau le cueillit sous la mâchoire, dispersant son crane en flammèches violettes.

Ce scénario souvent répété venait encore une fois de prouver son efficacité.

Mais le plus dur restait à faire…

Le personnage qu’ils avaient reconnut, se tenait dos à eux, une cape blanche et or posée sur ses épaules.

Le marteau ne brulait plus, pourquoi essayer de sanctifier un personnage si pur…

-« pourquoi… se lamentât Tyrias, Pourquoi avoir fait ca…

Le Roi Dargor se retournât,

- Pour savoir, uniquement pour savoir. Tu devrais comprendre, le savoir est tout.

- Pas celui la, c’est la mort qui arrive sur notre monde !

- Avec le savoir nous pourrons vaincre la mort !! Regarde-nous ! Nous qui sommes si doués pour semer la mort, alors pourquoi ne pourrions pas semer la vie !

Ses yeux brillaient d’une flamme maladive, il luttait avec lui-même, ne pouvant pas reconnaitre qu’il venait de condamner leur monde,

- Ce sont des démons ! L’incarnation même du carnage !

- Ils savent comment donner la vie…

- Mais ils ne vous le diront jamais maitre… Ils ont détruit notre ville par votre faute…

Tyrias empoignât fermement son marteau, bien qu’il sache que même avec l’aide de Matéria il ne pourrait jamais vaincre Dargor…

- Maintenant nous devons vous tuer, pour fermer la porte…

Des larmes coulaient sur ses joues,

- Pourquoi ont-ils fait ça… ma ville … ils m’avaient promis…

- Ne nous rendez pas la tache plus dure qu’elle ne l’est déjà s’il vous plait…

Suppliât Tyrias, la voix tremblante. Dargor marchât jusqu’au Bord de la porte, il surplombait alors les légions infinies qui sortaient des enfers. Il dégainât la plus sainte des reliques, celle qui avait fondée leur royaume, l’Epée d’Emeraude, même dans cette obscurité elle émettait toujours une lueur bienveillante.

- Rentrez à la ville, et partez.

- NON !

Alors Dargor sautât dans le flot de démons, qui rugissait, cent coudées plus bas. Il ne succombât évidemment pas à sa chute : on dit que tant qu’il porte l’Epée, l’Elu ne peut pas mourir.

Les créatures impies furent surprises par ce guerrier tombait du ciel, le temps qu’elles se ressaisissent, plusieurs dizaines d’entres elles avaient déjà succombées aux coups du roi déchu. Les démons sont de redoutables combattants, ils incarnent tout ce qui est mauvais, la haine, la soif de sang, ils apportent la peur sur le champ de bataille, et l’expression « se battre comme un démon » prend tout sont sens lorsque l’on en a vu quelques uns au combat. Ils sont indénombrables, impitoyables.

Et pourtant, ils n’avaient aucune chance : le meilleur des hommes était tombé dans leurs rangs et rien ne pouvait l’arrêter, comment arrêter un dieu ? Chacun de ses coups fauchait une dizaines de créatures, mais pour chaque démon abattu, une centaine s’extirpait de la porte en hurlant. Pourtant malgré le nombre de démons il était impossible de proclamer qui aller avoir le dessus, nul ne pouvait vaincre Dargor, mais nul ne pouvait vaincre l’infini…

Alors Tyrias comprit : Dargor s’approchait peu a peu de la porte elle-même, et quand il fut assez près il lui assenât un coup de son Epée qui aurait mis un géant a terre, l’édifice tremblât, un gros morceau se détachât de la structure tombant au milieu des démon en en écrasant une bonne douzaine. Tyrias regardât le trou laissé par le détruit qui avait chu (Et oui, du verbe choir !! ...ahem…) , sans surprise il vit le vide se reconstituer de manière presque organique, l’obsidienne reprenant sa place.

« il ne peut pas la détruire, du moins pas de ce coté du monde… NON !! »

Dargor était visiblement arrivé a la meme conclusion, car il cherchait apparemment a entrer dans le Nether par cette déchire qu’est la porte. Arrivé a son seuil, toujour entouré de démons sifflant et hurlant, il levat la tete vers les deux guerriers qui le regardait depuis le sommet de la porte. Il dit quelque chose, et bien que Tyrias ne put l’entendre, il lut sur ses lèvres : « Vivez. »

Alors Dargor sourit, jamais Tyrias ne devait oublier se sourire et ce visage d’homme qui accepte ses erreurs, dans les moments ou son cœur aurait put s’éteindre, sur les toundras de Loak, dans la forêt du Fou Melchior, Tyrias se remémorerait ce visage. Dargor avait lâché les démons sur notre monde, mais il aller maintenant entrer dans leur royaume pour détruire le seul moyen qu’ils avaient de nous envahir. Alors il pénétrât dans le royaume Noir.

-« Vite ! Il faut partir !! »

Ils coururent, abandonnant toute discrétion, ils fuirent dans les couloirs de pierres sèches, ils étaient presque arrivés a l’extérieur quand une gigantesque explosion, si énorme qu’elle secouât les plans même de la matière les projetât en avant, la tète de Tyrias heurtât un rocher et se fut le noir.

Mais pas la fin comme il l’avait espéré.

Lorsqu’il ouvrit les yeux, des visions de mort, de sang, démons et un rire atroce qui exprimait toute la joie à voir un monde souffrir assaillirent son esprit il se levât d’un bond et regardât autour de lui.

La ou avant il y avait de rochers, des murs de pierres sèches et brute, il voyait désormais du lichen, des insectes qui rampaient ; au dessus de sa tète pendait des racines qui passaient au travers du plafond rocheux.

A coté de l’endroit ou il s’était assommé, il y avait son marteau, il était brisé, le manche en, bois de fer était pourri, séché, lorsqu’il le prit en mains il partir en poussière avec une espèce de soupir organique. Il tentât de marcher et il manquât de s’étaler dans la terre humide : son armure était entièrement rouillée, des plaques de métal avait même entièrement disparus sous l’effet d’un sortilège inconnu « combien de temps suis-je resté endormit… ? ». Il se défit tant bien que mal de son haubert, et de ses jambières, retirât sa cote de maille, et vit son fourreau : son épée était toujours en place, il dégainât en a sa surprise, elle était comme neuve ! Mais plus que tout, se fut le flamboiement discret de l’émeraude enchâssée dans la garde qui ravivât sa fougue ! Cette petite émeraude avait été taillée dans le même cristal que l’Epée d’Emeraude, et tant que le cristal brillait, l’Epée Première existait encore ! Durant quelque instant sa joie fut immense, il pouvait encore servir à quelque chose dans ce monde !

Mais ce fut de courte durée.

Matéria avait disparut, pas de corps endormi a coté de lui, ni même de squelette humain. Il n’était simplement pas là.

Ensuite, Lak-Hir, lorsque ce nom lui revint en mémoire, il se mit a courir, tranchant les racines qui barraient son passage avec son épée, il arrivât a l’air libre la crainte au ventre, le souffle court. La encore le temps avait joué avec le paysage : La plaine de Lak-Hir avait tout bonnement disparut, remplacée par une forêt titanesque, un immense arbre se dressait désormais a l’emplacement de l’ancienne capitale. Un immense découragement gagnât Tyrias… Alors il lui revint en mémoire le visage souriant de Dargor, et il se remit à courir vers la Cité. Les arbres se faisaient plus hauts et plus nombreux tandis qu’il approchait du centre de la ville. C’est alors qu’il remarquât un détail qui faillit de le rendre fou : les arbres avaient du pousser sur les cadavres des défenseurs il y a bien longtemps et maintenant les squelettes de ces même défenseurs se retrouvés mêlés au bois des troncs et des branches.

Il entendit encore ce rire horrible.

Et se précipitât vers l’endroit ou se dressait autrefois sa demeure, un arbre perçait son toit délabré, la plupart des murs étaient tombés, et du lierre-fleur cachait ce qui restait de la structure de pierre sous des feuilles jaunes pales.

Il entrât. Il savait évidemment ce qu’il aller trouver a l’intérieur, mais il fallait qu’il voie.

Il y avait un grand arbre au milieu du salon, il lui poussait des feuilles couleur incendie, il savait pourquoi elles avaient cette couleur.

Du tronc émergeait un crane humain, même sans la chair, Tyrias reconnut les lignes du visage d’Ylir, ce visage qu’il avait tant aimé, il y avait encore cette couleur chaleureuse autour de son visage, même si ce n’était plus des cheveux.

Il restât plusieurs heures le front appuyé contre ce qui fut le visage de son aimée, a écouter les murmures du vent, chargés de souvenirs, et a sentir des larmes chaudes lui couler le long de ses joues. Il se demandait comment ils avaient put en arriver la…

Il restât les douze jours du Deuil Amoureux auprès de cet arbre, il s’en occupât, comme il aurait embaumé la dépouille de sa femme, il construisit un mur autour, et gravât dessus :

 

« Dans cette foret reposent les corps des guerriers de Lak-hir, qui, de par leurs vies, ont défendu ce monde alors qu’ils ne pouvaient en réchapper.

Agenouillez vous, et recueillez-vous devant l’Arbre d’ Ylir, qui fut la meilleure d’entre eux et qui a donner sa vie comme eux »

 

Âpres ces douze jours de recueillement, Tyrias embrassât l’arbre une dernière fois, et s’en allât, il partit a la recherche d’une nouvelle vie, il partit pour essayer d’oublier ses souvenirs.

Mais partout ou il allait, un léger vent, porteur de feuilles oranges, le guidait et lui montrait la voie.

 

Une voie qui le menât loin de chez lui, a Stendhel.

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Yop.

 

Quel intérêt y a-t-il à copier ton RP ici ? D'autant qu'il ne concerne en rien la cité :?.

 

Je lock et t'invite, si tu souhaites partager ce RP de candidature pour Luna Equites, à le faire sur la taverne RP ;).

 

EDIT : placé en trophallaxie et unlock, à vos coms ;)

 

Bon jeu à toi.

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