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[Accepté]Candidature de Fazalur.


Fazalur
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Bonjour à toutes et à tous!

 

 

Je me présente IRL: Florian, commence des études en géologie à la rentrée.

J'ai découvert Minecraft grâce a mon frère (Tornix IG). Tout de suite tombé sous le charme de ce jeu simplement incroyable de part son originalité et le potentiel créatif qu'il fournit aux joueurs, je l'acheta et commença à y jouer en solo. Ainsi je le découvrit par moi-même mais aussi en suivants les aventures de TheFantasio974 et de BobLenon qui m'ont fourni bon nombre de conseils. Maintenant que j'ai fait du chemin en solo, je pense passer en multijoueur pour redécouvrir d'une façon différente le jeu et apprécier une nouvelle expérience.

Mon style de jeu est relativement simple et, je pense, partagé par de nombreux minecraftiens; j'explore la carte au hasard jusqu'à trouver un bel endroit, m'y installe et construit ma maison tout en minant et prospectant les ressources qui me sont nécessaires.

Je ne connais personne sur le serveur à part mon frère mais j'espère qu'une fois installé je pourrais participer à des projets en communs avec d'autres joueurs.

 

Voici mes constructions en solo:

 

La bibliothèque:

¤ Extérieur

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¤ Intérieur

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La villa romaine:

¤Extérieur

5474026052649_faade_villa.png

12603857228226_arrire_villa.png

¤Intérieur

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Le fortin:

¤Extérieur

1526431911543_fort_vu_de_haut.png

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La maison en briques:

¤Extérieur

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¤La plage

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10362145751793_plage_cahises_longues.png

 

¤Et le solarium

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Je précise que tout a été fait sans mods et que tous les matériaux sont « naturels ».

 

 

Le RP de Fazalur

 

 

 

L’aube pointait au loin, le soleil se levait enfin sur les plaines de Mactha mais la brume , elle, ne se levait pas , comme tous les matins elle restait là, aveuglant les hommes; on ne voyait pas plus loin qu’une dizaine de mètres. Le campement se réveillait peu à peu et le lieutenant Fazalur sortit de sa tente, les traits fatigués, yeux mi-clos. Il se dirigea vers la grande tente servant de réfectoire aux officiers. Sur le chemin son aide de camp, Monino, le rejoignit. Fazalur lui demanda quelles étaient les nouvelles. Il lui répondit l’air sombre que le capitaine Thérion avait reçu l’ordre du commandement de faire avancer leur régiment en territoire nalsheen. Le capitaine Thérion était l’officier en chef du 1er Régiment d’infanterie du royaume de Kathovar, lequel était en conflit contre le Conseil des nations nalsheen. Les deux pays étaient séparés par la Mactha, étendue de verdure malsaine de part les nombreuses batailles qui s’y étaient déroulées. En arrivant au réfectoire de fortune, Fazalur aperçut Thérion, dissimulant à peine sa bonne humeur, déjà en armure dictant des ordres de préparatifs. C’était un chien de guerre, il vivait pour les combats et ses ennemis en mourraient. Il n’avait qu’un seul but, la victoire, la prise de la capitale des nalsheen: Inshabel. Après des années d’enlisement, le conflit semblait enfin toucher à sa fin.

Le second saluat son capitaine puis déjeuna, il reçu l’ordre de se préparer lui et ses hommes , il serait en tête du peloton. Pendant ses préparatifs Fazalur se remémora comment il en était arrivé là, il n’avait pas de sang noble comme beaucoup d’autres officiers mais était issu d’une famille de marchands. Enrôlé lorsqu’il eût atteint la majorité martiale de 22 ans il fut sélectionné pour l’institut des officiers, mais Fazalur n’aimait pas la guerre, il aurait préféré continuer de s’occuper du commerce familial avec son père. Monino interrompit le fil des ses pensées, les hommes étaient prêts à partir. Il sorti et vit ses soldats en rang parés pour le combat. Il alla en tête de la cohorte et avança en direction de la sortie du camp, les 100 guerriers le suivirent sans un mot! Ils s’enfoncèrent dans l’épaisse couche de brouillard et allèrent tout droit en direction Inshabel, seul, le reste de la troupe les rejoindraient au soir.

Après six longues heures de marche sans interruption, le groupe stoppa le mouvement et s’installa pour se reposer et se restaurer. La brume toujours aussi oppressante ne se dissipait pas. Cela tapait sur les nerfs de tout le groupe y comprit son chef, Fazalur n’avait jamais vu ça auparavant, il était maintenant midi et on ne voyait pas plus qu’au matin, il ne pouvait s’empêcher de penser que cela n’était pas naturel et dans tous les cas, c’était un mauvais signe . Après le repas, il accorda une heure de repos à ses hommes ce qui fut bienvenu; Fazalur ne savait pas à quoi s’attendre en territoire nalsheen, il était donc préférable de garder les combattants en bonne condition. Des tours de gardes furent instaurés, des tentes installés. Au bout de l’heure de repos, quand la cohorte s’apprêtait à repartir, un messager aux couleurs de la troupe de Thérion. La missive lui ordonnait de garder sa position et d’atte le reste du régiment. Cet ordre ne déplaisait pas à Fazalur, il ne préférait pas s’enfoncer plus loin en territoire ennemi. La journée passa d’une lenteur insoutenable accompagnée de cette brume interminable. Le contingent de Thérion les rejoignit au crépuscule, le capitaine expliqua à son second que le roi avait décidé que l’assaut sur Inshabel commencera demain à midi. Monino avait terminé de préparer son repas et sa tente, il alla dans ses quartiers mangea et se coucha.

Fazalur ne pouvait pas dormir, il ne pouvait s’empêcher de penser au lendemain que lui réservait le sort. Après une paire d’heures sans parvenir à trouver le sommeil, il sortit de sa tente pour prendre l’air; mais au lieu de trouver la fraîcheur de la nuit , il sentit la chaleur d’un feu et vis l’épais brouillard. Thérion avait ordonné d’installer des feux autour et dans le camp pour atténuer l’handicap que procurait la brume aux gardes. Il s’assit près du feu et laissa son esprit vagabonder. Restant ainsi quelques minutes, il entendit un son étrange, comme une corne de brume. Cette pensée le fit sourire cette fichue brume l’entourait toujours; il tendit l’oreille mais plus rien ne se fit entendre. Se disant que ce n’était que son imagination il retourna à sa tente mais il retentit de nouveau, Fazalur leva les yeux s’attendant à ne voir qu’un ciel embrumé fut paralysé une seconde durant. Le ciel était tacheté de centaines de points flamboyants. Il n’eût que le temps de crier l’alarme et une pluie de feu s’abattit sur le campement. Fazalur s’élança dans sa tente pour se protéger et surtout s’équiper au combat mais la toile prit feu et le mât central s’écroula sur lui. Sa vision se brouilla, la chaleur devenait insupportable, il se sentait partir; à cet instant Monino arriva et le dégagea. Le temps qu’il recouvre ses esprits, Fazalur put contempler l’ampleur du charnier devant lui, les nalsheens étaient partout, ses hommes se faisaient submerger. Il se jeta lui aussi dans la mêlée, dans le fracas des épées et des armures et certainement dans les bras de la mort. Il trancha dans la cohue mais les ennemis étaient trois fois plus. On lui assénât un coup à la tête, il perdit connaissance et fut engloutie par la marée humaine.

Fazalur se réveilla, aucun son ne l’entourait , et il ne pouvait pas bouger, un de ses soldats le recouvrait. Il réussit finalement à se dégager, se relever et pu contempler l’horreur de la guerre. Les nalsheens les avaient tous tués, il était le seul survivant. Abasourdi par la dure réalité, il ne savait plus quoi faire , où aller et c’est ainsi qu’il erra sur la plaine qui, maintenant, était exempte de brume.

Au terme d’une journée de marche, le paysage vert des plaines de Mactha se changea peu à peu en un lieu rocailleux. Fazalur avait marché en suivant le soleil couchant en direction de la côte. C’est seulement au crépuscule qu’il vit l’océan, son nom était Honsou. Il n’y avait rien au-delà d’Honsou, c’était le néant, la fin du Monde. C’est alors qu’il se souvint d’une vieille légende que sa grand-mère lui racontait. Cette légende contait les aventures d’un explorateur d’autrefois, selon ce marin, au-delà d’Honsou on ne trouvait le néant mais un nouveau continent, prospère et paisible. Plusieurs voyageurs avaient tenté ce périple mais aucun n’en était revenu. Se ressassant la légende de son enfance, Fazalur continuait de marcher le long du rivage espérant ainsi trouver un village. Ce n’est qu’au milieu de la nuit que son vœux fut exaucé. Par chance une auberge se situait au centre du groupement de cabanes, il rentra, que ce village soit nalsheen ou Kathovar cela n’avait plus d’importance. Un vieil homme dormait derrière le comptoir, Fazalur s’installa en silence sur un des nombreux lits du dortoir décidant qu’il paierai demain , par miracle, sa bourse était toujours à sa ceinture. Une fois allongé, il s’endormi dans la minute, exténué.

Fazalur se réveilla, ébloui par les rayons du soleil qui filtraient entres les planches qui constituaient le fin mur de l’auberge. Il sortit du dortoir et vit le vieillard préparer le petit-déjeuner qui lui fit signe de venir s’asseoir. Fazalur, n’ayant pas mangé depuis plus de 24 heure, ne se fit pas attendre et mangea avec appétit. Après s’être rassasié l’ancien soldat se dirigea vers l’aubergiste et lui donna 10 pièces d’or, ce qui était amplement suffisant. Le vieil homme lui renvoya un sourire et lui serra la main.

Fazalur ressorti de l’auberge et se dirigea vers la côte, il était décidé à trouver un bateau, il était décidé à rejoindre le nouveau continent. On trouvait essentiellement de petits bateaux de pêche mais quelques uns avaient le gabarit nécessaire au projet de Fazalur. Il disposait d’assez d’or pour se payer un de ceux là et les vivres nécessaires. Il chercha un capitaine et lorsqu’il en vu un , il s’en approcha. Les négociations furent expéditives, il garda 5 pièces d’or et lui donna le reste, le bateau était à lui. Ensuite Fazalur se rendit chez un marchand et dépensa tout ce qui lui restait en denrées qu’il embarqua aussitôt avec lui. Son voyage pouvait commencer et rien ne l’arrêterait. Il quitta ainsi le port, le cœur plein d’espoir.

Le voyage était long, très long cela faisait 8 jours et 8 nuits qu’il avançait en suivants le soleil à l’ouest mais toujours rien à l’horizon. De plus, les vivres commençaient à manquer. Le 10ème jour, plus rien à avaler sauf une demi gourde d’eau de pluie, Fazalur sentait le désespoir l’envahir. Il allait mourir sur cet océan. Au 12ème jour, le bateau fut secoué et prit dans un courrant , impossible de s’en défaire, Fazalur alla à la proue et n’en crut pas ses yeux. La légende n’était qu’un mythe, au bout d’Honsou ne se trouvait pas un nouveau continent mais c’était bel et bien la fin du Monde!! L’océan se jetait dans le vide et Fazalur allait le rejoindre. Le bateau atteignit la cascade infinie et plongea, Fazalur criait de toutes ses forces; puis une étrange sensation parcoura son corps et il s’évanouit.

 

Il se réveilla sur une plage, tout lui semblait normal, il était en vie sauf… que le monde était cubique!!! Le nouveau continent existe mais cet un totalement différent de ce qu’on connaît ailleurs! C’est un monde plein de promesses! C’est New Stendel!

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En tant que frangin, mais aussi pour avoir vu les constructions réalisées, je peux affirmer que son aide sur Stendel sera appréciable, notamment sur le projet de l'Auberge de la Bonne Fortune que je dirige avec Naroto.

 

A très bientôt IG !

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