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[Accepté]Seconde Demande de Candidature badboydu59300


badboydu59300
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Bonjour,

 

Présentation IRL

 

Je m'appelle Maxime j'ai 15ans et je fais cette candidature pour accéder au grade de Paysans:

-J'aime l'ordi, le sport ainsi que mes amis

- Mes passions sont l'athlétisme, la natation le vélo.

-J'ai choisie Minefield pour sa réputation ainsi que ces joueurs.

-Je joue à Minecraft depuis plusieurs mois auparavant j'avais créé un serveur hamachie avec des amis afin de faire des constructions

 

Voici quelque screen :

 

1. http://imageshack.us/photo/my-images/20 ... 93427.png/

2. http://imageshack.us/photo/my-images/26 ... 93520.png/

3. http://imageshack.us/photo/my-images/57 ... 93725.png/

 

Mes projet sur Minefield

 

Si jamais je suis accepté sur votre serveur je projette de rejoindre une ville "Valmont"car ces habitant sont très sympathiques, il m'ont aussi aider pendant ma période de vagabondage.

Ensuite miner afin de réunir assez de ressource pour me faire beaucoup de pièces d'or pour aprés m'acheter une maison. Ultérieurement j'aimerais être marchand mais ça c’est encore une autre histoire.

 

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Voici mon texte rp

 

 

Je suis le fils d'un aubergiste venant d'une ville : Akhéon. Cette ville était située à quelques jours d’une mer, une très grande mer, une immense mer. Les temps étaient durs et mon père n'avait plus aucun client. Ils étaient tous partis après avoir cédé aux rumeurs persistantes sur un continent lointain et mystérieux mais plein de richesses.

 

Mon père était désespéré. Comme la plupart des établissements de la ville, il était proche de la fermeture, faute de client. J'étais désemparé de voir mon Père dans un tel état. Je lui proposai donc de quitter la ville nous aussi, de prendre tout se qu'on pouvait embarquer et de partir à la recherche de cette terre inconnue afin de voir s’il n’était pas plus avisé de suivre le mouvement et de s’installer là-bas nous aussi.

 

Nous sommes partis avec nos deux mulets et tout notre équipement : nourriture , matériaux divers, outils, juste se qu'il nous fallait pour se réinstaller sur cette nouvelle terre, et recommencer une nouvelle vie. Je savais que la route serait très longue et très rude. Après deux jours de voyage, nous étions enfin arrivés à la côte. Mais hélas, aucun bateau en vue. Après plusieurs jours de vaine attente, ne voyant toujours rien venir, je décidai de créer une embarcation de fortune avec le bois, la ficelle et ala toile emportée pour le voyage. Celle-ci terminée nous mirent les voiles en espérant un avenir meilleur.

 

Après seulement 6 heures de navigation nous fûmes en vue d’une côte, sans doute une île. Alors que nous tentions de l’observer de loin, une pluie de flèches s'abattit sur nous. Nous avions été tellement absorbés par la vision de cette côte que nous n’avions pas remarqué l’étrange embarcation qui s’était approché en silence. Paniqués, nous fîmes tanguer notre radeau de telle sorte que je fus renversé en arrière. Ma tête heurta une caisse et je perdis immédiatement connaissance.

 

Je me suis réveillai quelques temps plus tard (je ne saurais dire combien de temps s’était écoulé) enchaîné à fond de cale. Quelques marins m’observait. Je vis avec horreur qu’il s’agissait de squelettes ! J’étais seul. Mon père avait disparu.

 

Après quelques heures d’attente et d’angoisse, plusieurs squelettes en armes vinrent me chercher. Passant sur le pont je compris que tout l’équipage était squelettique. on me conduisit vers ce qui semblait être la cabine du capitaine. Et en effet au milieu de celle-ci, trônait un squelette affublé d’un chapeau à plumes, d’un grand sabre et euh... d’une squelette de perroquet sur l’épaule. Il semblait siroter un rhum tout en contemplant des cartes posées sur une table. Évidemment, le rhum lui dégoulinait des mâchoires vers la cage thoracique avant de tomber en gouttelettes sur le sol. C’était pas un spectacle réjouissant.

 

Mon arrivée attira son attention.

 

Hin, hin, ricana-t-il (je n’ai toujours pas compris comment ce sinistre personnage pouvait articuler des sons avec son râtelier, vu qu’il avait ni cordes vocales ni poumons). “Voici donc notre nouvelle recrue !”

 

“Comment ? bredouillai-je. Je ne suis pas un monstre comme vous ! Laissez moi partir, je ne suis qu’un voyageur pacifique et sans défense. Et rendez moi mon père ! Je veux savoir où il est”.

 

L’un de mes geôliers me gratifia sur le champ d’un bon coup de poing dans l’estomac qui me coupa la chique.

 

“Le capitaine ricana de plus belle. Du calme mon petit ! Quelques mois de régime radical et tu n’auras même plus la peau sur les os ! Tu n’auras pas d’autre choix que de rester avec nous. Car qui voudra vivre avec un squelette ?”

 

Mes geôliers claquèrent des dents ce qui, j’imagine, était leur façon de se payer ma fiole.

 

Quant à ton père, nous ne l’avons pas trouvé. Peut-être est-il tombé à l’eau quand votre radeau a basculé ! Hin hin ! il doit en ce moment servir de repas aux poissons.

 

A cet instant, je ne sais pas exactement comment j’ai réussi à faire ça, peut-être était-ce la rage qui soudain décupla mes forces, peut-être était-ce tout simplement mes liens qui étaient trop usés par leur usage en mer, toujours est-il que je trouvais assez de vigueur pour libérer mes bras en tirant sur les cordes qui m’entravaient les poignets. Sitôt libre, je bondis de tout mon poids sur le capitaine et le renversai. Du même mouvement, j’attrapai une carte au hasard sur la table et me précipitai vers les fenêtres de la baie de poupe.

 

“Non, pas cette carte-là ! arrêtez le !” siffla le capitaine. Surpris, les gardes ne purent me rattraper mais l’un deux eu tout juste le temps d’ajuster une flèche qui vint se planter dans ma jambe à l’instant où je traversai la vitre.

 

Sitôt tombé dans l’eau glacée, insensible à la douleur, je donnai toute mon énergie pour m’éloigner du navire. La nuit protégea ma fuite. Cependant, ma blessure se rappela rapidement à mon souvenir une fois le danger immédiat écarté. Je nageais au hasard je ne sais combien de temps avant de perdre connaissance.

 

C’est comme ça qu’on m’a trouvé, sur une plage pas loin de New Stendel, avec une flèche dans la jambe et un bout de parchemin moisi serré dans la main. Je sais bien que les gens y m’croient pas et qu’y a pas de squelettes ici. Mais c’est ce que j’ai vécu et j’en démordai pas. J’ai déjà pas mal vagabondé et j’ai pas encore trouvé trace de mon père mais j’vous jure que je lâcherai pas l’affaire tant que je saurai pas où il est passé. J’crois que New Stendel, c’est le continent dont on parlait, à l’auberge. Alors il doit bien être quelque part. Si vous le voyez, dites lui que je le cherche. Il est comme moi, en plus vieux, donc vous pouvez pas vous tromper.

 

Cordialement

Badboydu59300

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