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[Accepté] Pélerinage de co0ki3 (humain)


co0ki3
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Pseudonyme :Moi c'est Kingco0ki3 vous pouvez m'appeller co0ki3 et cela ce prononce cookie et pas cooki-trois ^^.

 

Présentation IRL :Je m'appelle Lucas,j'ai 16 ans je suis actuellement en 1ère S (Si j'y reste :P)

J'habite dans le département PACA et je suis sur le serveur depuis juillet, je suis passé par Nevah ou j'y ai trouvé une communauté plus qu'acceuillante et je recherche maintenant à m'intégrer à L'Enrïk d'Almarïs car je trouve ce projet très intérressant et je connais dejà quelques personnes y participant grâce à l'alliance Nevah/Frowin (mais grâce à beauti surtout).J'écris un peu trop vous allez le constater...

 

Profession : Je suis actuellement Aventurier car cela correspond le plus à mon rp.

 

Style de joueur : (bâtisseur, farmeur, architecte, ouvrier, ...) :

Je suis plutôt ouvrier et bâtisseur que farmeur et architecte, j'aime bien qu'il y ait quelqun derière moi (aucune allusion étrange) pour me faire bosser, je reste néanmoin éfficace surtout au Terraforming (Nevah/Citadelle...).

 

Motivation : Comme dit précédement, je suis très intérréssé par ce projet, le Rp me plaît beaucoup et l'organisation me semble idéale,et puis en toute franchise,la bataille de l'Imbolc etait géniale(j'ai tué les PNJ hi hi).

 

Histoire RP : Je vous mets en hide mes divers Rp pour mes grades et statuts, lisez les si cela vous intéresse (Vous pouvez aussi lire celui qui ce rapporte à cette candidature).

 

L'arrivée sur des terres inconnues(Paysan) :

 

 

Nous avons quitté le continent en quête d’un monde meilleur, après que les hordes de créatures aient détruis les villages alentours, ils étaient parvenus jusqu’aux portes de Fort Linchtenstein. Ils détruisirent la porte et s’avancèrent dans la ville. Les gardes les retenaient avec bravoure jusqu’à la mort afin de nous permettre de rejoindre les quais. Tout le monde se bousculait pour rentrer dans le bateau, et j’avais du mal à suivre mon frère combattant dans la garde du roi Ulrich , qui lui-même portait son armure de diamant. Ils tentèrent de repousser les inombrables créatures pour nous faire gagner du temps.

 

Je voulus les rejoindre mais la foule m’entraina vers le ponton, je n’avais donc plus le choix il fallait avancer ou périr écrasé par la foule. Le roi, ses gardes, ainsi que mon frère succombèrent aux attaques des créatures, qui tentèrent de s’avancer vers le bateau, mais le capitaine ordonna le départ du navire.

 

Cela faisait maintenant dix jours que nous naviguions vers l’inconnu afin de rejoindre New Stendel, qui d’après les légendes semble être un monde merveilleux. Mon frère, lui, ne croyait pas à ces légendes. Tout allait bien jusqu’ici, mais j’aperçus à travers le hublot des nuages noirs qui laissaient présager une sorte de maelstrom. Le navire pencha vers la droite, emportant avec lui bon nombre de survivants. Le tourbillon projeta le navire contre un rocher, et un débris me frappa derrière la tête.

 

Le soleil brûlait ma peau, je sentais le sable chaud dans le creux de ma main. Je me levai, ne pouvant distinguer qu’une plage déserte. Ma vue se rétablit par la suite et je pu apercevoir au loin les restes de notre bateau . Etais-je à présent le seul survivant ? Ma tête bouillonnait et je commençait à avoir des vertiges. Je tombai.

Il faisait nuit lorsque je me réveillai. J’entendais des grognements. Quand soudain, des créatures telles que celles qui avaient envahi Fort Linchtenstein se dressèrent devant moi . Je les repoussais à l’aide de mes mains, mais l’un d’eux m’attaqua par derrière et me renversa. J’étais à présent sans défense lorsqu’ils se firent transpercer par des flèches. Leurs corps gisaient autour de moi, et je vis un homme s’approcher. Il me traîna et mes yeux se refermèrent d’épuisement.

 

Lorsque je me réveillai j’étais contre un mur dans des escaliers. Je vis un homme et lui demandai où je me trouvai, et il me répondit que j’ étais à New Stendel. Ne le croyant pas, j’ai monté les escaliers au bout desquels était inscrit : « Bienvenue à New Stendel ».

 

 

La découverte de Nevah(Nevah) :

 

 

Cela faisait deux mois que j'errais dans les rues de Stendel.Rejeté de tous,Je pensais sans arrêt à mon frère.Je n'avais plus rien, plus d'argent, plus d'arme, ni de monture, plus rien. Je dormais dans les auberges grâce a l'argent que les passants me donnaient.Leur regard de pitié me rappelait celui de mon frère. Il aurait voulu que je fusse comme lui, un guerrier, faisant partie de l'élite.Mais père refusait toujours, il me disait"trop jeunne".Je n'en pouvais plus de ce fardeau que je portais, toujours à vouloir venger mon frère. Je suis donc parti de Stendel.J'ai marché pendant trois semaines, je suis arrivé a Minar, une petite ville au Nord-Est de Stendel. Les habitants m'ont

rejeté, j'ai donc continué d'avancer vers une destination inconnue. Chassant les bêtes sauvages qui rôdaient, j'étais parvenu à me faire une fourrure pour tenir les nuits de grand froid. Les jours de pluie, j'avançais d'abris en abris,jusqu'à trouver une grotte pour la nuit. J'avais fini par trouver un chemin en pierre, je le suivis.

 

Des rassemblements de vagabonds clandestins étaient sur le chemin vers Alwin, un petit village a l'Est de Minar.Je marchais dans la foule quand j'entendis des cris au loin,tout le monde poussait a contresens, ils fuyaient quelque chose.Je poussai la foule pour comprendre ce qu'il se passait, mais je vis du sang et des corps à terre. Je reculai, mais il était trop tard, des hommes en armure m'entourèrent, je ramassai une épée à terre. Deux m'attaquèrent,je les repoussai

j'en tuai un, mais je n'eus pas le temps d'attaquer l'autre, une flèche me transperaça l'épaule, j'essayai de me défendre mais mes ennemis me désarmèrent.La douleur me fit céder. Mes yeux se fermèrent.

 

Je me reveillai, deux des hommes qui m'avaient attaqué me trainaient vers un bourreau. Plusieurs vagabonds, surment rebelles,gisaient sur le sol la gorge tranchée. On me mit sur une bûche en me disant qu'il était temps de faire une prière.Tout ce voyage, ces sacrifices, pour en arriver là. J'allais mourir et j'étais impuissant. Soudain, le bourreau cria:"Attention !"je tournai la tête et vis des flèches transpercer les corps des gardes, puis un guerrier vêtu de noir et de rouge surgit des buissons et tua le bourreau en lui tranchant la tête. Ce dernier me libéra de mes liens.

Il me dit de m'enfuir avant que d'autres gardes n'arrivent, j'exécuta son ordre et je courrus a présent poursauver ma vie. Qui etais cet inconnu ? Pourquoi m'avait-il sauvé ?

 

 

Cela faisait un mois et douze jours que j'avais quitté Stendel, Apres avoir gravis des montagne de roche,combatu pour survivre,je m'avançais dans une forêt entre deux colines. J'étais affamé

et je n'avais rien pu manger depuis une semaine et je ne trouvais plus de sources naturelles depuis un jour.Je savais que je ne survivrais pas longtemps. La forêt était dense, je ne voyais pas grand chose au loin. Mais j'aperçus un mur de pierre. Je courus pour voir ce que c'était. Je sortis de la forêt et j'aperçus une grande muraille, j'avais trouvé une ville! Je cherchai l'entrée en longeant la muraille puis je trouvai un tunnel. A la fin de ce dernier était écris: "Bienvenue à Nevah" et à côté: "travail pour vagabonds chasseurs". C'était ma dernière chance.

 

 

Je marchai sur les ponts qui menaient à la ville, et je vis au port un énorme navire de guerre avec un symbole de tour sur son voile avant. Devant la grande Muraille se trouvait la Statue d'une déesse,elle etait magnifique,elle portais un trident mais je ne s'avais pas encore ce que cela pouvait signifier. J'entrai dans la ville pour l'explorer, les bâtiments étaient majestueux, l'intra-muros était magnifique. Au bout de deux heures de stupéfaction, je trouvai enfin la guilde des chasseurs, on m'y accueillit chaleureusement. On m'expliqua les lois et les rites, la Tundrah... Puis un jour Le chef des Assassins de Nevah me fit visiter toute la ville en détail.Je ne lui faisais pas trop confiance car c'était un vampire mais je m'y abituai, il m'expliqua les différents grades

et l'infrastructure militaire. Cette ville était donc pour moi la seule chance de devenir un guerrier fort, qui n'a peur de rien et à qui la mort est la seule aspiration. Plus le temps passait plus j'essayais de connaitre les habitants.

 

Je passais mes journées à lire les archives pour comprendre l'histoire de cette ville hors du commun, tout y était écris, sa construction, les victoires, l'architecture, les ducs, consuls et les interventions de la déesse Soïlah. Mais il restait un mystère à résoudre: les Assassins n'étaient pas mentionnés dans les archives publiques... Je pris donc le temps de les observer, la fôret noire est leur domaine... ils connaissent tous ses secrets... Ils sont donc très organisés et extrémement bien entraînés, discrets. Pourtant bien d'étranges histoires à leurs sujets sont racontées aux nouveaux arrivants.

 

 

Bientôt deux semaines que je suis à Nevah, et je ne regrette en aucun cas ma venue. J'ai travaillé pour la guilde des chasseurs et récolté assez d'objets pour obtenir le titre de "King Of Hunters". J'ai donc l'honneur et la chance d'obtenir une maison gratuite dans les quartiers autour de l'intra-muros. Mais il restait tout de même quelque chose à accomplir: m'intégrer dans Nevah et peut-être faire partie de la confrérie des Assasins. Pouvoir enfin venger mon frère en prouvant que je suis capable d'endurer la souffrance, de n'avoir aucune pitié, aucun remort et défendre le duc et la ville jusqu'à la mort. Cette ville est désormais mon foyer, je ne l'abandonnerai pas.

 

 

La route vers le travail(Voyageur) :

 

 

Cela faisait maintenant un mois que je vivais à Nevah, une ville qui je le reconnais m'impressionne de jour en jour. J'avais pris le temps de lire tout de son histoire, j'aidais comme je pouvais laville. Etant devenu un Assassin, je fus envoyer en mission pour espionner le Dominion. M'aventurant dans les fin-fonds de Midgard, J'espionnais ces affreux monstres qui peuplaient la ville, je me trouvais à présent face à face avec une créature au visage de couleur sang, je sortais mon épée pour m'occuper de celle ci, mais je reçus un coup dans mon dos qui me fis céder mon épée.

 

Ces démons, me trainaient vers une salle entourée de lave, ils m'attachèrent au mur, autour de moi se trouvait des corps mutilés de pauvres gens accrochés tout comme moi au mur. Il fallait que je trouve une solution pour ne pas terminer comme eux, je tirais mes liens dans tous les sens mais ils ne cédaient pas. La vitre qui retenait la lave derrière moi était fissurée, je donnai un coup dedans avec mon coude, et je mis mes liens au niveau de la fissure, la lave les brûla en moins de deux, défais de ces derniers, je récupérais sur la table mes armes. Les démons rodaient dans la ville, je fus contraint de passer par les toits, Je les entendais crier, ils avaient constaté que je m'étais évadé. Ils sonnèrent l'alarme, et s'armaient à leurs réserves d'armes en obsidienne. Je sautais de toits en toits, et redescendais du côté du couloir qui mène à la gare. Rasant les murs, je pouvais voir que deux de ces créatures qui descendaient l'escalier de la gare, j'occupais leur attention vers l'autre côté en jetant une pierre pour me rapprochais furtivement de l'un d'eux. je lui trancha la gorge, l'autre sortis l'épée de son fourreau mais je lui transperça le torse, s'effondrant tous les deux sur le sols,je dus me hâter de quitter ce lieu. Les gardes me poursuivaient, les escaliers étaient interminables, je dus les gravir le plus vite possible.

 

Une fois arrivé dehors, tout ce que je pouvais apercevoir était Le Ragnarok et d’immenses dunes et plaines de sables, La muraille en face de moi était ma seule échappatoire mais deux de mes ennemis me poursuivaient encore, arrivé devant la muraille, j'essayais de l'escalader, chose qui fut facile pour un Assassin, mais un de ces Démon m'attrapa la jambe, il me fit tomber du haut de la muraille. Ils étaient maintenant une bonne dizaine autour de moi, je n'avais aucune chance de survivre à un tel combat. Je me rappelais soudain mon frère qui lui était mort avec bravoure contre d'aussi monstrueuses créatures, je dégainais mon épée. La chaleur de la lave autour de moi était remplacé par la brise glaciale de la mort, je n'avais pas peur. Je savais que je me battrai jusqu'à mon dernier souffle. Ils décidèrent de m'attaqué ensembles, j’en fis tomber un, utilisant leurs propres armes contre eux pour en tuer deux autres, coupais la jambe d'un avec mon épée en diamant. Plus j'en tuais et plus il en arrivait, je fus frapper au visage par un de ces monstres, ma capuche était déchirée, mon visage ensanglanté, la douleur sur ce dernier était insoutenable, je tombais à terre. Ils m’entouraient à présent, celui avec l'armure en fer leva son épée pour m'achever, c’était la fin, je m'étais battu vaillamment. J'allais rejoindre mon frère peut être dans un monde meilleur, soudain, une flèche transperça la gorge du Démon à l'armure de fer, et d'autres s'abattaient sur ces créatures.

 

Je regardais sur la muraille et je vis deux hommes en uniforme portant l’emblème du plus grand ennemi du Dominion, une tour ils étaient de Nevah, arcs à la main, j'étais sauvé, la fatigue de ce combat me fis perdre connaissance. Je me rappelle uniquement de quelques fragments après m'être évanouis, comme les paroles de mes sauveurs qui disaient que je m'étais bien battu et qu'ils me ramenaient à la ville. Je me suis ensuite réveillé à la caserne de Nevah, la ils me demandèrent ce que j'avais vus là bas, je leur décrivais tous ce qu'il c'était passé et ce que faisaient ces créatures au voyageurs égarés. Ensuite, Napo, un des Gardien de Nevah, demanda aux autres de nous laisser seul, il me parla ensuite de la Garde d'élite, les gardes du Duc, il me dit qu'il avait

besoin d’homme comme moi pour leur construire une salle d'entrainement, j’acceptai ce travail qui me tenais à cœur.

 

Le lendemain, je me levais chez moi puis me préparais pour allé aider Napo à cette construction, devant le miroir je constatais la cicatrice sur mon visage due à mon périple au Dominion, mais cela étais nécessaire, je pris mes outils et rejoignais Napo chez lui. Nous allions ensuite à la caserne de Nevah pour préparé la salle d'entrainement, nous y avons passé des heures, avec l'aide d'autres Nevains. Lorsque tout fut fini, Napo m'emmena dans la salle de commandement, il me proposa de devenir Garde d'élite et aussi son bras droit dans cette classe, j'avais acquis assez de bravoure, et je m'étais rendu utile pour la Garde, cette proposition était comme un rêve pour moi, avoir l'honneur et le prestige de protéger le Duc dans n’importe qu'elle situation. J’acceptais avec joie cette proposition. Une semaine était passée notre Duc nous avais quitté pour l'exile, Choup Durnik fus élus par le conseil, La Garde était donc sur pieds, nous protègerons le Duc quoi qu'il arrive.

 

Depuis ces deux mois, Nevah était devenue ma maison, ces habitants mes frères et sœurs, j'étais désormais conscient d'une vérité. Je me battrais jusqu’a ma mort pour elle, et ne l'abandonnerais jamais. J'avais à présent accomplis presque tout mes objectifs, vaincu les Donjons des divers monde de notre Univers et visiter la plupart des grandes villes, mais il restait tout de même une quête à accomplir, me faire accepter entant que Voyageur de New Stendel, et pouvoir avoir un métier que j’exercerais pour aider encore plus ma ville.

 

 

L'exil et l'Enrïk Almarïs(Maintenant) :

 

Tout dabord cette partie (très longue est pour expliquer mon périple avant mon arrivée sur Stendel, vous n'etes pas forcés de la lire, apres certainne choses peuvent vous être incomprises si vous ne le faite pas désolé de mon orthographe déplaurable par contre.

 

Partie facultative:

 

 

Je ne l'avais pas vu depuis mon enfance. Il se présentait à moi très rarement. Je me rapelle à présent l'avoir vu le jour où le chef des Tarodis* est venu m'annoncer que mon père avait péri

lors de la guerre contre les Barbares d'Ordantum*. Il était aussi

venu pour me consoller mais en vain. Lorsque le Tarodis partit,un être étrange apparut dans la lueur de la Lune. Il était

vêtu de blanc et tenait un bâton d'or forgé sur une pointe de

diamant. Il s'approcha de moi:

"Quel est la raison de ces larmes mon garçon ?"

Surpris qu'il me parle,je ne lui répondis point.

Il s'asseya à côté de moi,et parla à nouveau:

"Je sais qui tu est,Ezylryb fils de Vilmor un des cinqs de la légion des lames de glaces*."

-"Vous connaissiez mon père ?" Lui répondis-je.

-"Oui,je l'ai connu lorsqu'il m'a sauvé dans les montagnes de

Gwïndor"

Par la suite il me conta cette histoire dont mon père était le héro, puis il me donna son nom:

"Au fait, mon nom est Gyllb'han des forêts de l'Ouest de Kunîr,je veillerai sur toi à présent, ne t'en fais pas."

Ensuite, il me dit d'aller me reposer et que nous nous reverrons à l'avenir. Cela fait Quinze-ans, pourquoi revient-il me voir maintenant ? Pourquoi n'est t'il pas venu lorsque mon frère est mort ? Néamoins, si il est là aujourd'hui ce n'est pas pour rien.

 

 

 

Il semblait désorienté, pressé. Il vint me dire que les ténèbres et le mal se répendaient sur les Royaumes de Stendel, que le Dominion ne montrait qu'un avant goût de ce qu'il préparait et que l'ennemi rassemblait une armée de créatures, plus terrifiantes les unes que les autres, au Sud de Nevah. Bientôt, il faudrait livrer bataille. Il regardait autour de lui,comme si on le suivait, et me demanda de rentrer dans la maison. J'acceptai sans réserve cette demande. Il me prévint par la suite qu'un grand mal pesait sur moi et qu'il fallait que je m'exile le temps qu'il disparaisse. Il me parla ensuite de Garas Galadhon, la ville aux forêts géantes, et me dit que là bas je trouverai la paix et une nouvelle qui changera mon déstin. Il me dit de partir à l'aube; de cette manière j'aurais fait un bon chemin de jour. Il m'expliqua ensuite que lorsque je passerai la porte de Nevah, et que mon odyssée commencera, je ne pourrai revenir sur mes pas. J'en étais conscient, mais il fallait que je trouve quelque chose là-bas.

Il m'ammena devant une forêt à quelques pas de la muraille Nord. Je m'avançai, prêt pour cette aventure. Il me rattrapa:

"Ezylryb,je ne pourrai te suivre plus loin"

Ne comprenant pas pourquoi je repondai:

"Nous reverrons-nous ?"

-"Seul le temps nous le dira mon jeune ami." Répliqua-t'il.

"Pars maintenant, mais prends garde, tu croiseras d'étranges créatures lors de ton voyage."

-"Mon épée saura s'en occuper, à bientôt Gyllb!"

 

 

Je m'avançais dans cette forêt sombre. J'avançais à l'Ouest toute la journée jusqu'au Crépuscule. Je ne m'étais point arrêté pour ne pas perdre de temps, mais Gyllb m'avait dit de ne pas marcher dans la nuit. J'avais trouvé une grotte, mon sac contenait de quoi se faire un feu et de quoi manger: cela me faisait donc un bon repas chaud pour la nuit. Je ne pouvais dormir, ces saletés de loups m'entouraient, ils avaient dû sentir la nourriture. Je leur en jetai trois pour qu'ils s'enfuient. Gâcher de la viande de Cochon Grillé ainsi est fort bête, au prix où je l'avais payée, mais au moins les loups partirent, et je pus dormir quelques heures avant l'Aurore. Je repris mes affaires, mon épée toujours au fourreau, prêt à une nouvelle longue marche. Je quittai la forêt, et passai entre les montagnes en croisant un village de chaumières où la tranquillité régnait. Un des villageois travaillait chez lui. Je lui demandai quel était ce lieu et il me répondit aussitôt: "Oh, un voyageur égaré ?"

-"Pas vraiment, humble fermier, pourriez-vous m'indiquer où je me trouve ?"

-"Bien sûr! Vous êtes au village de paysans du Comté de Valmont"

-"Ah, non loin de la Sylve donc. Connaîtriez-vous le chemin pour Garas Galadhon ?"

-"Oui bien-sûr, il faut passer entre ces deux montagnes et suivre le cours du fleuve."

J'écoutais attentivement les instructions de cet inconnu, et repartis vers les montagnes. La nuit arrivait, j'avais l'impression que je n'avais pas avancé. Le flanc des montagnes était un bon endroit pour trouver d'éventuels gîtes. Il y avait des feux allumés non loin du fleuve, je descendis la montagne pour m'approcher de ces derniers. Caché dans les buissons, je pus constater que c'était un campement d'Orcs, mais que faisaient-ils dans un territoire si éloigné du leur ?

J'essayais de me rapprocher de ce campement, mais soudain, l'un d'eux m'assomma avec un marteau. Je fus réveillé devant leur feu, attaché les bras écartés. Ils prononçaient des mots dans leur langue, je n'en connaissais que très peu, leur idée était de me découper pour me dévorer. Leur chef, avec le casque ensanglanté, n'était pas de cet avis, il pensait que je ferais un bon esclave.

Mais l'un d'eux affamé tua ce dernier. Les autres ayant faim aussi ne ripostèrent point, ils s'approchèrent de moi, l’un avec une hache. Il tenta de me porter un coup sur la tête, mais j'esquivais celui-ci et sa hache coupa le lien de mon bras droit, libéré de ce lien, je pris la poutre et mis un coup à mon bourreau. Je récupérai ensuite la hache et coupai mon autre lien, les autres Orcs stupéfaits de cela, me sautèrent dessus, je tranchais leurs membres avec la hache, mais ils étaient trop nombreux, je forçai donc le passage entre deux d'entre eux, et pus m'échapper vers la forêt. Mes ennemis me suivaient, je courais le plus vite possible, mon sac me ralentissait, je le jetai donc à terre, et continuai ma course. Cela faisait quelques temps que je les avais semés. Je reprenais mon souffle, et repris mon chemin. Depuis deux heures

je marchais dans ces bois, la fatigue me tourmentait, la faim me frappa, je tombai à terre dans une clairière entourée de boulots et mes yeux se fermèrent.

 

 

 

Je sentais des mouvements, des vibrations sur moi, je me réveillai, j'étais dans un chariot avec des personnes vêtues de noir et portant des sceptres comme Gyllb, il y avait une femme, elle me donna à boire, ainsi que du pain. Me regardant, elle me dit de me reposer le temps que l'on arrive. Je ne savais ou l'on me menait, mais sa voix m'apaisait. Je m'endormis, elle me réveilla à nouveau et me dit que nous étions arrivés, regardant autour de moi je constatais avec stupéfaction que j'étais à Garas Galadhon, les arbres étaient immenses. J'étais enfin arrivé, la femme qui m'avais escorté jusque-là me donna son nom, Nyra'han, c'était la sœur de Gyllb, les réfugiés de Kunîr, je lui demandais quelle était la chose que je devais trouver ici, elle me répondit de la suivre. J’exécutai sa demande. Nous avancions entre les Grands Arbres, elle me parla de cet endroit, et me raconta que c'est ici qu'était enfermée une des pierres sacrées du cataclysme, avant même la création du Dominion, elle me parla ensuite des légendes sur cette pierre, comme quoi un seul homme, s'il s'en trouvait digne pouvait la posséder. Elle m'amena ensuite à la dite pierre, enfermée dans une roche d'obsidienne, elle me prévint, que s'y je me sentais prêt, je pourrais essayer de détruire cette roche et ainsi récupérer la pierre. Je ne savais pas si je devais le faire, je me suis mené jusqu'ici, mais quelque chose me disais que je ne pouvais le faire, mais la tentation fut forte et j’acceptai ce défi, elle me donna une pioche en diamant. Mes bras tendus vers le haut, je fermais les yeux pour ne pas voir ce qui allait se produire, je mis un coup de pioche, et fut repoussé violement par une étrange sensation. Nyra me regarda stupéfaite :

« - C'est impossible, la légende disait que ...

- Que disait la légende ? répondis-je.

- Que celui qui serais résolu tout autant que sincère pourrais...

- Oui ?

- … détruire la roche et ainsi prendre la pierre et être protégé du mal qui s'imprègne de lui.

Je ne comprenais pas cette fable.

- Et bien on peut dire que je ne suis ni résolu ni sincère. »

Gyllb arriva peu de temps après et parti en méditation, car ses pensées étaient erronées.

 

 

 

A l'heure du souper, il revint à nous pour discuter avec ses compagnons. Il s'excusa de m'avoir fait venir à tort, et me dit qu'ils allaient se concerter pour savoir que faire pour trouver le dit "élu". Je leur dis que je pourrais ainsi les aider, mais Gyllb chuchota à l'oreille de sa sœur et elle me répondit :

« - Tu t'es déjà montré vaillant, c'est notre combat maintenant.

Ne pouvant rien riposter à cela, j'allais me coucher.

Elle vint pendant la nuit et me dicta ce que je devais faire:

- Ezylryb, ta route de montrera ton destin, tu dois rentrer

- Si tôt ? Ne puis-je point vous accompagner ?

- Nous te l'avons dit, tu ne peux nous suivre ou nous allons.

Je me posais beaucoup de questions.

- Et, que dois-je faire ?

- Rentrer chez toi suivre la voie qui t'es due jusqu'au jour où nous devrons nous revoir.

- Comment ça ?

- Nous t'expliquerons. Pars demain, nous t'avons préparé un sac avec de quoi survivre. »

 

 

Le lendemain, je partais pour Nevah, je longeais les frontières Est pour éviter de repasser par des endroits peu fréquentables. Cela faisait deux jours que je marchais, la nourriture que l'on m'avait fournie n'assouvissait pas ma faim, mon capuchon était ma seule barrière contre le grand froid, je ne pouvais m'arrêter, qui sait ce que je pourrai rencontrer, des brigands et divers assassins comme moi-même j'ai auparavant été. La nuit allait tomber, et je n'avais trouvé aucun endroit pour m'abriter dans cette vaste forêt de pins enneigés, les froid gelait mes membres, la douleur du gel rejoignait mes poumons, et la fatigue, pour combler le tout, m’acheva et je dû m'assoir contre un arbre pour me reposer.

Tout espoir était perdu, la mort se tenait non loin de moi, tout ce voyage, ces révélations sur mon père et l'ordre des lames de glaces, il aurait été déçu de ce qu'était devenu son fils, et savoir que je n'avais pu avoir la fameuse pierre que détenait ce cristal car je n’étais celui que l'on espérait voir.

« - Père, je sais que tu peux m'entendre, je m'excuse de ne pas avoir été à la hauteur. Je crains que cela ne soit la dernière de mes paroles en ce monde, le dernier royaume m'attend. »

La noirceur de la mort me surplombait, j’étais près, je pouvais affronter ma mort. Soudain, une lumière dissipa les ténèbres autours de moi, c’était un être grand qui s'approchait de moi à pas lents dans la neige, les flocons s’étaient ralentis et le froid devint une chaleur rassurante avec cette lumière qui luisait.

« - Ezylryb n'est-ce pas ?

Surpris que cet inconnu me connaisse je répondais:

- Euh, oui c'est exact, qui êtes-vous ? Suis-je mort ?

Il sourit et répondit :

- Plus ou moins mon cher compagnon, le froid t'a grandement affaiblit, tu ne tiendras que peu de temps encore.

Etait-ce donc ma fin ?

- Je suis prêt à rejoindre mes ancêtres !

- Si c'est vraiment ce que tu veux, tu seras en paix mais j'ai un autre destin peut t'attendre si tu le souhaites, ce dernier repoussera la rencontre de tes ancêtres mais il te permettra de vivre bien des jours encore.

- Comment cela ? lui répondis-je avec stupéfaction.

- Une chose incroyable vient de se produire par la bénédiction de ce que vous appelez vos divins.

- Quelle est cette chose si incroyable qui s'est produit ? dis-je, ne comprenant pas où il voulait en venir.

- Un portail vers l'ancien royaume de Stendel a été ouvert, moi et mes frère partons le rejoindre pour construire une nouvelle vie sur ces terres encore faites de vastes étendues vident.

- Et qu'ai-je à voir avec cela ?

- Tu es un grand guerrier à ce que l'on raconte, tu mérites cette chance de vivre à nouveau. »

 

 

 

Vivre ou mourir. C’était la seule question qui me venait à l'esprit à ce moment précis de mon existence. Je devais choisir, laisser ma vie à Nevah et rejoindre cette cause qui ouvrait de nouveaux horizons à moi, où rejoindre mes ancêtres et mes frères dans leur demeure éternelle ? Tous mes souvenirs en ces terres me revenaient en tête, mais le fait que je ne puisse récupérer l'artefact de mon père me tourmentais dans mon choix.

« - Je ferais mieux de refuser cette offre...

- Ah Ezylryb, tu as donc compris.

- Comment ?

- La résolution et la sincérité entait la clé de ce que tu voulais.

Je ne comprenais pas où il voulait en venir.

- Comment savez-vous cela ?

La lueur s'estompa soudain, et j'aperçu ce personnage qui n'était autre que Gyllb'han.

- Gyllb ? Vous m'avez suivi?"

-Pas exactement, nous t'avons trouvé.

Je le voyais pour la première fois sans son capuchon et je pouvais apercevoir son visage entièrement ainsi que ses oreilles pointues.

- Vous êtes un Elfe ?

- Oui mon ami, je suis un Elfe mais je t'expliquerais cela lorsque nous seront arrivés, en attendant ...

Un des elfes vint à moi et me donna une boite faite d'or et de diamant, il me dit ensuite que j'étais le seul à pouvoir l'ouvrir.J'appuyait par la suite sur le bouton central qui activa un étrange mécanisme faisant ouvrir la boite. C’était la pierre magique que je n'avais pu récupérer, l’artefact de mon père serti d'or.

- Eh bien, on dirait que nos chemins se séparent

dit Gyllb amicalement.

- Lorsque tu mettras ta main sur la pierre, tu seras transporté dans ce nouveau monde, nous nous prendrons le portail situé à New Stendel.

- Où irais-je ensuite ?

- Tu iras à Ënrik d'Almarïs les meilleurs Elfes de ces terres y habite, et le Dägmaar te sera familier tu seras ensuite ...»

Soudain, un groupe de mages Helliens attaquèrent notre groupe.

Je pris mon épée et tuai l'un d'entre-deux, les Elfes frères de Gyllb se faisaient projetter contre les arbres en feux par les sortilèges de ces créatures. Gyllb pris son bâton de diamant et renvoya des sorts de glace à ses ennemis, l'un de me pris par l'épaule mais Gyllb le renvoya au sol d'un coup de givre.

- Va-t’en Ezylryb, c'est ta seule chance !

Je couru vers l'artefact et y mit un coup avec ma main.

Une sensation étrange m'envahisse ensuite, les étoiles brillaient comme des flammes, et toute la nature autour de moi se transformait en poussière j'étais ébloui de tous ces par cet étrange spetacle.

J'ouvrais mes yeux, j’étais sur une plage, la pierre à la main, elle entait fissurée, cette impressions me rappelais mon arrivée sur New Stendel il y a maintenant quelques temps dejà.

Autour de moi se trouvait un monde dont la nature était maîtresse, un voyageur m'aida à me relever, et me souhaita la bienvenue sur les terres de Stendel. L'air frais remplissait mes poumons peu à peu, une nouvelle aventure commençait, mon aventure

 

 

L'Enrïk Almarïs:

 

J'etais assis sur la plage toute la nuit,pensant à ce qu'il était arrivé à Gyllb, je ne savais si j'allait le revoir un jour. Il m'avait parlé d'Ënrik d'Almarïs, dans les térritoires du grand froid comme il l'avait définni.Je me mit en route,demandant à chaque voyageurs mon chemin,ce périple me mena face à de gigantesques montagne couverte d'un manteau de neige et surplombées par des pics rocheux, il me fallait les franchir, durant plusieurs jours je me battais contre le froid en remarquant que cette ascension fût le plus dur de mes périples, le froid engourdissait mes membres, et monter à ces montagnes devenait de plus en plus compliqué. j'arrivai à un endroit où la glace s'etait répendue, m'accrochant à cette dernière avec ma pioche, elle céda et me fit tomber de plusieurs mêtres. elle me révéla néamoin une petite grotte où j'allais m'abriter pour la nuit.Le bruit du vent me reveillais sans cesse, je n'avait que peu dormis et c'etait la moitié de la nuit, la tempête se calma mais le froid me fit perdre conscience une fois de plus.

 

Je me reveillais au beau milieu d'une salle,allongé sur un lit,le froid avait disparu,je me crus dabord mort mais je remarquai ensuite que j'etais dans une chambre gardée par deux hommes qui avaient sur leur tenue une sorte de pierre verte. Lorsque je tentais de me lever, la porte s'ouvra et une femme fort bien vêtue s'approcha de moi, je reconnaisai beautifulreal une amie depuis mon achat de maison à Fingelberg, cette dernière m'expliqua comment elle etait devenue Le Dägmaar d'Ënrik d'Almarïs et comment elle m'avait trouvé,elle me conta ensuite l'histoire de cet endroit qui était je l'avoue fort agréable à écouter.Par la suite,je lui contais mon histoire et elle fût de pareille attention à mes périples.Je passais plusieurs jours dans les bibliothèques pour retrouver des récits sur cet endroit, j'en apprennais de jours en jours.Les habitants étaient bien sympatiques à mon égard, bien que la plupart étaient des Efles, il étaient majoritairement heureux de ma venue. J'essayai d'apporter le plus d'aide possible lors de leurs travaux et diverses tâches, et je fêtai avec eux l'Imbolc qui fût réussie. J'avais retrouvé ce que j'avais perdu il n'y avait pas si longtemps, peu être cet endroit serait ma nouvelle maison et ces gens ma famille.

 

Je me présentais ensuite devant les dirigeants d'Ënrik d'Almarïs pour demander leur grâce et prêter serment d'allégence à ce peuple, le choix de me choisir si j'etais digne entant que pélerin des hommes de devenir l'un des leurs, était entre leurs mains.

 

 

 

 

Voilà voilà,je pense en avoir terminé, en ésperant ne pas vous avoir fait perdre de temps.

Et merci d'avance, si le courage de lire cette candidature vous vient.

 

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