[La Candidature]Projet d'Héliopolis

[pierd]

Voici l'ancien projet d'Héliopolis...

 

Bonjour,

 

Si j’écris ici, aujourd’hui, en ce jour de beau temps sur Minefield, c’est pour vous faire partager mon idée d’une ville gréco-romaine. Comme je viens de le dire, la ville sera une ville antique, tout simplement car ces civilisations de l’ancien temps sont les premières à avoir été maitre en l’art de l’architecture et des monuments. Cette ville se nomme : Héliopolis . Hélio en grec soleil, donc la ville du soleil. Maintenant je vous laisse lire ce fabuleux RP :

 

Le RP:

 

« Kalimera (Ce mot signifiait « bonjour » en grec). J’espère que tu te souviens encore de moi, Senior Benji. Je ne suis dans la cité d’Athéna comme tu le sais que depuis une décennie, et, comme bon citoyen que je suis, je participe moi aussi à la guerre auprès de la ligue de Délos contre les Spartes. Et si aujourd’hui je prends le temps de t’écrire, c’est pour te compter une histoire que j’ai vécu il y a peu de temps...

Avant tout, je tiens à te dire que tu n’es pas obligé de me croire et ni de me suivre dans mon idée pleine d’avenir. En espérant que mon court récit t’intéresse, voilà l’événement dont j’ai été témoin.

Il y a un mois, la guerre était à son apogée. A ce stade, il était encore impossible de savoir qui parviendrait à gagner cette bataille interminable qui, pour l’instant, n’avait comme conséquence que la perte de nos proches. Je n’avais pas dormi depuis déjà plus d’une semaine. Nous marchions sans cesse, fatigués de notre équipement qui nous pesait sur les épaules. Le seul but de cette randonnée forcée était de s’éloigner du champ de bataille durant quelques jours afin de retrouver suffisamment de forces pour retourner au combat.

Le même paysage se dessinait toujours au loin, celui d’un volcan encore endormi, étouffé par une végétation luxuriante et verdoyante.

Nous allions faire une pose aux alentours du dit volcan, mais nous sommes tombés dans une embuscade. En effet, une meute de loup nous faisait face, les crocs à l’air, prêts à bondir sur le moindre soldat qui s’écarterait du groupe par mégarde.

Nous ripostâmes et il ne resta bientôt des loups qu’un tas de cadavres dont le sang avait teint l’herbe.

Sur le qui-vive, nous décidâmes d’avancer. Je remarquai alors près de ma jambe un louveteau qui couinait, apeuré. Sans aucun scrupule, j’attrapai ma lance pour l’exécuter, mais mon chef de bastion me fit clairement comprendre que cet élan de cruauté n’avait pas intérêt à avoir lieu. Face à cette menace, je décidai donc de l’épargner, je suis même allé jusqu’à l’adopter. Cela tombait bien car en ce moment je me sentais seul, dans la mesure où la joie de vivre de ma troupe depuis son départ d’Athéna s’appauvrissait de jours en jours.

Le soir près d’un feu de camp où la plupart des soldats se gaussaient en se gavant des soupes quotidiennes, je soignais ce qui était devenu pour moi bien plus qu’un simple loup adopté. C’était déjà devenu mon compagnon.

 

Le lendemain, son état avait étrangement changé. Il n’était pas sevré, et le manque de lait maternel l’empêchait maintenant d’avoir les force suffisantes pour marcher.

Je n’avais pas vraiment le temps d’aller fouiller dans les réserves pour récupérer du lait, c’est pourquoi j’installai le louveteau dans mon sac en espérant qu’il y soit à l’aise.

Or, à peine nous avions commencé à marcher qu’il cria sans cesse. Il me demandait une ressource que je ne pouvais lui offrir. Au bout d’un moment, les cris cessèrent. J’ouvris mon sac en panique. C’était trop tard, le loup ne bougeait déjà presque plus. Durant une pose près d’un ruisseau, je lui confectionnai une petite barque dans laquelle je le plaçais. Après quoi, la barque flotta, transportée par le courant, le louveteau à son bord.

Je sentais des larmes qui roulaient sur mes joues. Je tentais de les retenir, pour que mes camarades ne se moquent pas de moi.

 

La journée fut longue et difficile. Comme dans les habitudes du bastion la soirée commença par une bonne soupe avec quelques plantes trouvées aux alentours du camp et puis nous nous installâmes dans notre duvet.

A 1 heure du matin, je sentis comme une langue me lécher… Je me réveillai en sursaut et me trouva nez à nez avec mon chien qui était de retour, et celui-ci semblait être en pleine forme. Je pense qu’il n’y a qu’un seul mot pour décrire ce que j’ai ressenti à ce moment, un sentiment que je n’avais pas pu éprouver depuis déjà des semaines ; la joie.

Tout avait disparu, le loup semblait être en un état surprenant. Une théorie surprenante arriva dans ma tête comme un coup de tonnerre. La rivière dans laquelle j’avais jeté mon louveteau était un des bras d’eau s’échappant du lac situé en haut du volcan. Je compris que l’eau devait être thermale, et que ses propriétés étaient étonnamment bénéfiques.

Une seule idée m’ait alors venu en tête à ce moment. Si cette eau avait un pouvoir aussi surprenant, je pourrais gagner de l’argent avec cette eau, car elle ferait fureur dans la cité et se vendrait à un prix d’or !

Je décidai alors de déserter. Je simulai ma propre mort en déchiquetant mes vêtements, puis je faisais demi-tour vers le volcan.

Sur la route, je m’étais alors mis à réfléchir aux différentes possibilités qui s’offraient à moi. Je décidai de créer une ville semblable à Athéna.

Il me fallait de l’aide pour cela, et je savais que toi, senior Benji, tu pourrais m’aider à parvenir à mes fins. Toi, mon ami, mon architecte !

Alors ? Acceptes-tu de m’aider ? Réponds au plus vite.

 

P.S : Au moment où tu liras cette lettre je serais sûrement aux alentours d’une cité répondant au doux nom d’Alukia, une ville des sables où je t’attendrais.

 

Je te prie de croire, mon ami, à mes sincères salutations,

Amicalement, Achille. »

 

J’étais amusé par la ressemblance de mon nom à celui de mon ancêtre, Senior Benji. Mes parents m’avaient nommé Benjistuarter en référence à ce dit ancêtre, dont je venais de découvrir un secret pour le moins surprenant.

 

Après avoir fini de lire cette lettre usée par le temps, je décidai d’en parler à mon ami Yernono, à la taverne d’Oxissor, une ville d’assassins où nous étions sûrs d’être seuls.

Je lui racontai cette histoire insolite, et comme d’habitude après avoir trop bu, nous nous mîmes en tête de retrouver le projet indiqué dans la lettre.

 

Arrivés à Alukia, je demandai au roi de la ville des renseignements pour voir les archives, celui-ci accepta.

Je me mis donc à fouiller au milieu des vieilles, très vieilles archives.

Nous fouillâmes plus d’une semaine avant de trouver les affaires d’un dénommé Achile.

Après avoir noté la direction du volcan, nous nous mîmes en quête d’y accèder.

Le trajet jusqu’à celui-ci fut fatiguant, voire exténuant…

Sur le chemin, nous rencontrâmes un bûcheron sympathique dénommé Alexiram. Intrigué et intéressé par notre recherche, il nous accompagna au long de notre route.

Une fois sur place, nous fîmes face à un volcan aussi gigantesque que magnifique, encerclé d’une flore surdimensionnée, le tout dans une vallée encerclée par des montagnes et des collines recouvertes d’une herbe grasse et plus verte qu’un creeper. Un lac d’un bleu profond stagnait dans le cratère du volcan, ajoutant un touche encore plus sauvage au surprenant décor qui nous dominait.

Sur un arbre près du volcan était gravé « Terres d’Héliopolis ».

Tous les trois, nous nous regardâmes, la même idée en tête. Ca n’était plus qu’une question de temps avant que renaisse une ville thermale abandonnée : Heliopolis.

 

Le Principe de la Ville :

 

La ville est basée sur le principe que le volcan inactif situé au milieu de la vallée, permet de faire une distribution de l’eau thermale venant du Lac dans le cratère du volcan. Pour permettre la distribution de l’eau et pour profiter de ses bienfaits, l’eau sera donc distribué dans toute la ville par un système d’aqueduc, et un système d’égouts, mais cela n’est pas tout : un centre thermal sera situé dans le volcan pour profiter tant à la fois de l’eau mais de l’isolement pour parler aux dieux antiques. La ville est basée, pour les routes du système romain, il y aura 3 grands axes principaux (d’une largeur de 15 cubes environs) qui se reliront à une grande place où figurera une fontaine et une rose des vents au sol pour indiquer les grandes directions. Sur cette Place un accès donne directement sur le Temple de la ville. Pour le style des maisons, cela dépendra du grade dans la ville, car il y aura des grades mais qui ne seront pas très conséquent pour la politique, car cette politique est le modèle de la politique athénienne, si quelqu’un veut faire partie de la ville et s’investir il sera alors citoyen, le plus grand grade dans la ville, après le grade d’archonte qui est donné de manière définitive aux fondateurs, qui sont : benjistuarter, yernono123 et alexiram. Le grade de métèque (« étranger ») est donné aux personnes voulant juste une maison et non s’investir dans la ville. Revenons aux styles des maisons, les personnes étant archontes ou citoyens fondateurs auront une maison avec une cour centrale, les autres une simple maison avec un style de maison inspiré de la ville de Pompéi.

 

La politique :

 

Chaque personne ayant le grade de citoyen dans la ville pourra participer à la vie politique de la cité, avec les Archontes, pour établir une équité, un tirage au sort sera établit tous les mois pour élire les conseillers de la ville pour une période d’un mois. Le conseil dans la ville se nommera la Boulé, comme dans la vie politique d’Athènes. Les métèques ne pourront pas participer à la vie politique. Les archontes sont les dirigeants de la ville, ils doivent participer à tous les conseils à la boulée.

 

La Localisation :

 

La ville se situera entre Windalis et Alukia, j’ai eu l’accord de Windalis mais je n’ai pas encore réussit à contacter qqn d’Alukia. Le centre de la cité sera situé sur une plaine avec un volcan en son centre et entouré de montagne pour protégé la cité. Il y aura un espace de chaque côté du territoire relié à la mer, ce qui entrainera dans le futur un port avec des bateau romains et grecques. De plus le colisée de Rome est en construction, à peine 100 cubes de nous, ce qui pourra faire une harmonie.

 

 

Le style des maisons :

 

-Maisons d’Archontes et de citoyens fondateurs : maison avec cour central, assez grande aves des colonnades vers l’intérieur.

 

 

-Maison de citoyen et métèques : maison simple, ayant le style de maison de Pompéi, en sandstone avec le bas du mur en laine rouge, pour faire un contraste.

 

 

Le style en général de la ville :

 

Aqueduc:

 

Place + Temple :

 

La vidéo du projet :

 

benjistuarter