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[Accepté]Candidature devenir paysan Alfredalot


Alfredalot
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Bonjour (ou bonsoir)

Je m’appelle Alfredalot, j’ai 15 ans, et je vis en France métropolitaine. Je joue à Minecraft depuis déjà plus d’un an. Je peux dire que je suis relativement expérimenté dans le domaine du multi-joueurs car j’ai déjà parcouru la Terre de bien d’autres serveurs. Je me connecte très souvent, au moins une fois par jour. Je souhaite venir sur Minefield pour plusieurs raisons. Tout d’abord, ce serait une fierté d’intégrer ce serveur qui détient une réputation aussi exceptionnelle. De plus, durant les trois jours où j’ai vagabondé, j’ai découvert la beauté et le détail des villes de Minefield, qui m’ont ébloui, et auxquels j’ai envie de participer. La troisième et dernière raison et que je souhaite venir sur un serveur où chacun est responsable, où chacun doit y mettre du sien afin de rendre Minefield encore plus beau.

Dans l’hypothèse où je serais accepté et promu paysan, je souhaiterais m’établir en ville, et participer à l’ambiance conviviale du serveur. Je ferais une belle maison dans le style local, et je mènerais une vie paisible et tranquille. Ensuite, je souhaiterais créer une ville magnifique construite sur la pente d’une montagne, avec des maisons troglodytiques, mais qui conservent juste leurs façades. Le but serait ensuite d’aménager la plaine au pied de la montagne pour en faire un endroit splendide, à l’image de Minefield.

 

Mon Rôle-Play :

Tout allait bien, dans la contrée de Brutopia, où la guerre avait cessée depuis déjà plus d’un siècle, et où le calme et la paix semblaient être la devise des citoyens.

Ce fût ainsi jusqu’à cette journée mémorable du mois de mai, où un enfant naquit, portant le nom de Alfredalot. Les villageois l’idolâtraient, au point de sacrifier leur plus grandes richesses pour lui, et de s’incliner devant l’importance que portait cet enfant pour l’ensemble de Brutopia. Toute la contrée fut mise au courant de la naissance de l’enfant. Sans aucune exception. Les carillons sonnèrent, et des fêtes furent mises en place dans tous les villages. Il y avait de la musique et des spectacles. Ces fêtes duraient deux semaines. Et elles se répétaient tous les ans. Alfredalot grandit dans l’insouciance de ce qu’il était vraiment, c’est-à-dire un Héros pour Brutopia. Il savait juste que la prophétie c’était réalisée, et que sa contrée natale allait être délivrée du destin tragique auquel elle était confrontée. Grandissant dans l’ignorance, il fut tout-de-même éduqué, et on lui apprit parfaitement le maniement des armes. Les autres enfants de son entourage firent de même pour n’éveiller aucun soupçon. Les Haut-Conseillers de la contrée avaient pris la décision incontestable d’expliquer la raison de cet acharnement à l’enfant qu’au moment voulu, mais pas avant. Alfrdalot devait garder un esprit serein et paisible jusqu’à l’accomplissement de la prophétie ; cette prophétie qui disait que l’under-dragon s’abattrait sur Brutopia et déferlerait sur le village et l’embraserait jusqu’à anéantir toute forme de vie sur la contrée. Et lui, Alfredalot, muni d’un épée de diamant, devrait le détruire, et ainsi faire revenir le calme et la paix sur Brutopia. Mais la prophétie ne s’arrêtait pas là. Les Haut-dirigeants de la contrée reçurent de nouveaux messages des dieux, exprimant soit disant leur mécontentement sur la venue de ce délivreur. Les dieux promirent qu’ils enverraient une armée entière d’Under-Dragons sur Brutopia, laissant ainsi aucune chance à Alfredalot de protéger la contrée. Les jours passèrent, et les menaces se multiplièrent. Le seigneur de Brutopia prit alors la décision de quitter la contrée. C’est ainsi que tous les habitants préparèrent le voyage. Alfredalot ne cessait de s’interroger sur les véritables raisons de cet exil. On lui disait juste qu’il fallait se dépêcher. Une heure après, le cortège s’éloignait, laissant Brutopia à la Mercie des dragons. Ils pleuraient tous, mais étaient tout-de-même rassurés de voyager aux côtés d’Alfredalot. Sur la route, le Seigneur de Brutopia lui expliqua la vérité sur la prophétie, et lui dit qui il était vraiment. L’adolescent n’en revenait pas. Il comprenait à présent la raison de cet acharnement et de ces entraînements. Personne ne savait réellement vers où les villageois se dirigeaient, à part le Seigneur, qui promettait une cité merveilleuse et splendide, où ils trouveraient à la fois confort et tranquillité. Mais les maladies et les ambuscades réduisaient constamment le nombre de réfugiés. La marche devenait longue et dangereuse. Les vieillards mouraient sur le bord des sentiers, et étaient laissés afin de ne pas retarder le cortège. Les femmes et les malades étaient montés sur des chevaux. Les autres marchaient, à l’étroit, sur les bords des profonds ravins. Tout le monde attendait de voir cette ville. Ils espéraient tous vivre assez longtemps pour voir la fin du périple. Mais celui-ci dura trois longues années. Trois années de marche, de combat et de fatigue. Le seigneur, agonisant, avait dessiné la route à suivre sur un parchemin, qu’il donna à Alfredalot. Le Seigneur décéda aussitôt, cédant son titre à Alfredalot, qui reprit sa route aussitôt, laissant le souverain dans sa tente, au même titre que les vieillards et les malades. Le cortège avança dans un épais brouillard, qui dura deux semaines. Les plus faibles mouraient par cet hiver rude et glacial. Ils étaient environ une centaine. Mais la plupart étaient malades. Alfredalot, lui, était serein, car il connaissait les comportements à avoir pour lutter et survivre face à la nature sauvage.

Enfin, la route se terminait. Alfredalot s’arrêta devant cette ville mythique. Les autres villageois s’arrêtèrent aussi, restèrent bouche-bée, et étaient émerveillés par la beauté. Cette ville, appelée Stendel, avait émerveillée tous les villageois. Ils avancèrent vers la cité fortifiée, en accélérant et se présentèrent devant les portes colossales de la ville. Alfredalot n’en croyait pas ses yeux. Il monta sur une chaise, et s’adressa à ses citoyens : « Voici ce que nous avons cherché durant ces trois dernières années de marche et de douleur » dit-il. Et c’est ainsi que Alfredalot voulu rester à Stendel.

J’espère que vous aimerez cette candidature, et j’espère pouvoir dire à bientôt sur Minefield.

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