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[Accepté]Candidature pour Paysan


Tenrec
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Bonjour/Bonsoir (selon l’heure où vous lirez ceci), comme vous vous en doutez, j’aimerai être accepté au sein de votre communauté, alors voici mon CV :

 

Présentation IRL :

 

Nom : Vincent

Age : 18ans

Date de naissance : 27/09/1993

Famille : Un cousin que vous connaissez (Aera)  l’homme qui m’a initier à minecraft 

Hobby : La copine et le pc (Bien que ce n’est pas tout à fait compatible les deux restent très bien !)

 

Mes projets :

 

Etre admis dans votre communauté de Minefield pour y vivre une folle expérience minecraftienne :)

Dans un premier temps, jouez tranquillement pour se développer et se faire connaitre/apprécier. Puis ensuite surement passer noble, si je le mérite ;)

Et bien évidement, passer d’agréable moment et partager une bonne humeur !

 

Mon joueur in game :

 

Nom : The_Tenrec

Age : inconnu

Date de naissance : Oubliée

Expérience : Pas mal de solo, j’ai séjourné sur deux serveurs, un d’un ami, l’autre de mon cousin.

Hobby : Découverte, casse-tête, fan de red stone

Situation psychologique : Déphasé par l’expérience que je viens de vivre (voir RP)  Besoin de s’implanter une bonne fois sur un serveur et d’y faire sa vie !

 

Histoire RP :

 

Comment dites-vous ? Vous voulez que je vous conte mon histoire ? Eh bien voilà donc ce que je craignais de devoir faire un jour. Etes-vous bien sûr de le vouloir ? Mon but étant de pouvoir m’installer dans votre communauté, je ne pense pas que vous raconter qui je suis va plaider en ma faveur. Cela dit, j’ai fait une promesse, alors asseyez-vous et ouvrez vos oreilles.

 

Il fut un temps, où j’étais jeune, beau et séduisant à l’âge de treize ans. Je pouvais courir dans les champs, me battre avec ma maman pour éviter de devoir prendre une douche d’eau froide, apprécier les moments de cache-cache dans la forêt avec les enfants du village. Cette époque je l’ai appelée, le beau temps.

Mais ce que j’ignorais alors, c’était que ma vie allait bientôt basculée. Vous savez bien comment on est à cet âge-là, innocent, inconscient, un peu fou fou parfois. Et bien ce jour-là, je crois que je l’ai été un peu trop. Alors que je jouais avec les autres enfants, nous nous étions éloignés du village par-delà les petites collines, nous vîmes alors une horde de soldats marchant au pas. Qu’est-ce qu’ils étaient beaux en armure scintillante, avec leurs grandes épées ou leurs arcs à flèches. Evidement nous devions voir où ils allaient, jamais on aurait pu rater ça. Nous n’avons pas eu à attendre longtemps car au prochain tournant se trouvait leur campement. Tout de bois formé, ça ressemblait à nos forteresses que l’on créait dans les bois lorsque nous jouions à la guerre. Bien évidemment leur campement était bien plus imposant. C’est d’ailleurs ce qui m’a fasciné. Il n’a fallu qu’un regard entre mes amis et moi pour que l’on décide d’aller voir de plus près.

Nous nous sommes donc aventuré jusqu’aux fortifications et au moment de rentrer dans le camp nous avons entendu un sifflement. Quelques secondes plus tard, un soldat tombait des remparts devant moi. Ce fut la première fois que je vis un homme mort. Ce jour-là, j’ai appris ma première leçon ; La mort s’annonce toujours avant de frapper, alors qui est attentif peut déjouer la mort elle-même. La suite de ce moment fut très rapide et flou, d’abord il y a eu des cris, ensuite des bruits de fers qui s’entrechoquaient, puis de nouveau des cris mais cette fois de douleur. Mes amis étaient morts de peur. Tout se passait si vite, en quelques minutes nous nous sommes retrouvés à quelques pas des combats, alors que nous n’avions même pas encore bougé.

Les soldats en armures scintillantes reculaient face à l’assaut furieux des hommes torse nu aux peintures effrayantes. C’est alors que le destin me força à bouger pour sauver mes amis. Un homme aux peintures sur le corps s’arrêta devant moi et mes amis ; il était grand, barbus, il puait le cochon et avait un grand marteau. Du sang coulait le long de son corps, mais ce n’était pas le sien. J’ai directement regardé autour de moi, il n’y avait que les barbares, les soldats d’armure s’étaient enfermés dans leur campement et tiraient des flèches. Subitement, le bruit des combats cessa, plus de sifflement meurtrier, plus de cris, rien qu’un gémissement et des rires satisfaits. L’homme face à nous soulevait d’une main mon ami Asmodeus. Tous les regards se tournaient vers nous. L’homme sorti un poignard et je reconnu le son de la mort. Sans réfléchir je me suis levé en retirant la flèche du corps inerte du soldat mort à mes pieds. Attiré par mon mouvement brusque, l’homme changea de cible et voulu me porter un coup fatal. Par réflexe j’ai plongé entre ses jambes et sans attendre je me suis relevé en vitesse. Ayant peur que l’homme se retourne, j’ai frappé fortement l’intérieure de sa jambe. Il tomba à genou avec un cri de rage. Je crois qu’il n’était pas content, mais mon instinct ne lui laissa pas le temps de le démontrer car sans hésiter, j’ai planté la flèche dans son cou. Cela désorganisa tous les hommes aux peintures. Les soldats en armure, eux, n’ont pas hésité et ont repris les combats pour venir nous aider. Ils ont vite maté leurs ennemis et nous ont recueillis dans leur campement. J’étais plongé dans mes pensées, donc je ne saurai vous dire ce qu’il s’est passé ensuite. J’avais déjà ma deuxième leçon ; Ton instinct guide ton corps par des réflexes, il sait ce qu’il faut faire, fait lui confiance et sois plus agile que le vent. Tout ce que je me rappel c’est qu’Asmodeus leur donna nos noms et qu’ensuite nous fumes raccompagné chez nous.

Le reste passa très vite. Je me souviens de ma mère qui pleurait toute la soirée. Je me souviens du lendemain matin lorsque des soldats sont venus me chercher. Je me souviens d’avoir fait une très longue route pour être emmené dans une immense forteresse de pierre.

 

C’était ici que ma première vie commença !

 

 

Nous avons suivi un entrainement intensif chaque jour dans l’immense cours de la forteresse. J’étais très doué pour apprendre. Le jour nous suivions les ordres de nos chefs, tandis que la nuit c’est moi qui entrainais mes amis. Cela nous a très vite distingués des autres apprentis. Nous excellions en tout, que ce soit le combat à l’épée, à une ou deux mains, au marteau, à la hache ou à l’arc à flèche, rien ne nous étaient inconnu. Nous étions le trio de pros. Les inséparables.

A la fin de notre formation, nous fumes envoyer à gauche et à droite pour toutes sortes de missions. Toujours vainqueur, nos noms ont commencé à être connus. Ils nous suffisaient alors d’arrivé sur un terrain de batailles pour redonner courage à toute notre armée. Notre férocité faisait reculer n’importe quel adversaire. Et les plus fou qui osaient se dressé contre nous n’en sortaient pas vivant. Nous pouvions changer de technique de combat plus vite qu’un clignement d’œil.

Pendant que nous défendions nos terres, que nous conquérions de nouveaux pays, que nous pourfendions les traitres et les pillards. Nos seigneurs envoyaient des bateaux pour trouver de nouveaux continents. Ce fut une réussite. Une nouvelle terre était accessible. Nous y fume envoyé. Cette nouvelle étape changea de nouveau ma vie. Nous avons dû traverser la grande mer pendant plusieurs jours. Une fois arrivé, nous pensions devoir affronter d’autres armées, d’autres royaumes. Mais c’est un tout autre ennemi qui nous fit face.

Des dragons, de grands animaux volants qui ont le pouvoir de cracher du feu. Ses animaux avaient des pattes plus grandes qu’un homme. Des griffes qui nous découpaient d’un seul coup. Jamais nous n’avions dû affronter un tel ennemi. Nous ne connaissions rien de lui. Maitre des cieux les dragons étaient quasi immortels. Ils nous dominaient du ciel. Normalement seul les Dieux avaient ce pouvoir. Nous n’étions en sécurité nulle part car leur feu ravageait tout ce qui était à la surface. Nous avons vite appris à créer des abris souterrains pour leur échapper. Creuser toujours plus profond. Mais nous ne pouvions retarder indéfiniment le combat.

C’est ainsi qu’un jour, 600 hommes sortirent de leur trou, nous y compris. Nous avions pour mission d’éliminer le plus de dragon possible, quel que soit le moyen utilisé. Ce fut une grave erreur. Nous tombions comme des mouches sans pouvoir tuer un seul dragon. Lors d’un combat, j’ai dû prendre la fuite pour sauver ma peau. Je me suis retrouvé seul dans la forêt. Perdu et en danger. Que pouvais-je bien faire seul face à un tel ennemi lorsqu’une armée entière échouait ? Je me suis éloigné le plus possible. C’est alors qu’un village apparu. Je ne pensais pas cela possible, comment ces gens avaient assez de courage que pour vivre à la surface ? Curieux je me suis approché, c’était un village de druides. Ils m’ont recueilli pour me soigner et ont essayé de m’enseigner la paix. C’était alors un concept qui m’était inconnu et pour lequel je ne pouvais adhérer. Lorsque je fus en état de retourner aux combats j’ai décidé de partir. Les derniers mots que les druides m’ont dits furent : « La victoire ne se trouve pas dans la guerre mais dans la paix. Tant que tu ne l’accepteras pas, tu connaîtras souffrance, mort et désolation. »

Lorsque j’ai retrouvé mon campement, il ne restait qu’une centaine d’homme et aucun dragon n’était mort. Mes amis Asmodeus et Taris m’attendaient. Ce fut la première fois qu’ils regrettaient d’être soldat. Ils voulaient avoir une vie paisible, bâtir une maison, avoir un métier. Ils en avaient marre de toutes ses guerres et ses morts. Nous avions donc décidé de partir de cette terre maudite. De revenir au pays pour recommencer notre vie ensemble. Mais cette nuit-là, un drame se produisit. Nous étions tous les trois de garde à la surface. Lorsque j’entendis un bruit, le vent parlait, la mort approchait. C’était un puissant dragon qui nous avait repérés. Il se posa face à nous. C’était notre meilleure chance de l’avoir, nous l’avons attaqué tant qu’il était à terre. Mais le dragon était plus fort. D’un coup de patte il tua Asmodeus. Et quasi dans le même mouvement il déchiqueta Taris. Mes deux amis d’enfance venaient de mourir sous mes yeux. Je ne saurai pas vous expliquer le mal que cela m’a fait. Vous pouvez me croire ou non, mais à ce moment-là temps s’est arrêté.

Mes amis étaient morts la veille de leur nouvelle vie, j’étais seul, mon monde venait de s’écrouler. Plus rien n’avait de l’importance, seul la tristesse était au rendez-vous. Je n’éprouvais même pas de colère. Je revis toute notre vie. Notre vie… un bien grand mot car elle n’était composé que de guerre. Nous n’avions jamais connu autre chose. Ensuite une image du druide apparu dans ma tête, « La victoire ne se trouve pas dans la guerre mais dans la paix. Tant que tu ne l’accepteras pas, tu connaîtras souffrance, mort et désolation. ». Sans savoir pourquoi, je me suis mis à prier. J’implorais la déesse Aya, la déesse de la paix et de l’avenir. Je me suis excusé auprès d’elle pour toutes les vies que j’avais prises. Je m’en voulais tellement. Je fus éboulis par une lumière, puis en rouvrant les yeux, le temps était revenu à la normal, j’étais face à ce dragon qui venait de tué mes amis.

Sans hésiter une seconde j’ai lâché mon épée, j’ai enlevé mon armure. J’ai regardé le dragon et je lui ai dit que peu m’importait de mourir maintenant que mes amis n’étaient plus. Le dragon se mit à hésiter car il ne comprenait pas ce que je faisais. Je me suis mis à lui parler, à lui raconter ma vie comme je le fais maintenant avec vous, je lui ai dit que l’on regrettait nos actes et que si nous le pouvions nous serions revenus en arrière pour avoir une autre vie. C’est ainsi que le dragon déploya ses ailes et s’envola. Je le vis disparaitre dans les cieux, et des larmes se mirent à couler sur mon visage. Ensuite j’ai entendu un sifflement, suivit d’un cri derrière moi. Une douleur me transperçait le torse. C’était une griffe. Le dragon était revenu prendre ma vie. Ce sifflement et ce cri n’était rien d’autre que l’arrivée de la mort. C’est alors que je suis tombé sur le sol. Mais plutôt que de sombrer dans le royaume des morts, je fus transporté auprès d’Aya, la déesse de la paix et de l’avenir.

Elle m’expliqua qu’elle avait été séduite par mes paroles. Et me laissa le choix. Je pouvais soit mourir, soit lui faire la promesse de vivre en paix, de trouver un endroit pour bâtir une maison et recommencer une vie. Elle m’expliqua que c’était une offre à prendre ou à laisser. J’ai décidé de vivre une vie tranquille pour mes amis Asmodeus et Taris. J’ai décidé de trouver un endroit où bâtir une maison, vivre en communauté dans l’entente et sans les guerres. J’ai décidé d’apprendre un métier et de m’épanouir dans ma nouvelle vie.

C’est alors que je suis revenu sur terre, mais je n’étais plus au même endroit, il n’y avait plus de dragon, juste une grande cité. La déesse Aya m’a envoyé à vos portes. J’ai tout de suite compris que c’était ici, dans les alentours de New-Stendel que je devais faire ma vie. Bien qu’encore désorienté par ce changement (et oui j’ai même rajeunis !), je suis sûr d’une chose, c’est chez vous que je veux faire ma vie et tenir ma promesse.

 

À suivre… (La vrai aventure n’a pas encore commencée)

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