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[Outilleur] - Nevah - La Boîte à Outils de florenziiii


florenziiii
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Bonjour, la "Boîte à Outils de florenziiii" accueille ses clients 24h/24 et 7 jours sur 7.

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- Prix pratiqués HORS PROMOTION et pouvant subir d'importantes variations (A vous à vous renseigner auprès de moi).

- Prix dégressifs suivant les quantités demandées.

- N'hésitez pas à vous renseigner sur les éventuelles promotions !!

 

Prix :

Pioche en obsidienne :5 pa/u

Hache en obsidienne : 5pa/u

Pelle en obsidienne : 2 pa/u

Faux en obsidienne : 3 pa/u

 

Pioche en diamant:15 pa/u

Hache en diamant: 15pa/u

Pelle en diamant: 5 pa/u

Faux en diamant: 10 pa/u

 

Sceaux: 3 pa/u

Ciseaux: 2 pa/u

 

Si vous vagabondez à travers la campagne de Stendel, n'hésitez pas à passer à mon magasin RP présent aux coordonnées suivantes : x = - 2800 et z = 1180 que vous pouvez voir illustré dans ma signature.

 

RP du magasin :

 

 

Le rôle-play, que vous vous apprêtez à lire, correspond au tout début de l'histoire de mon personnage et est le premier chronologiquement parlant.

 

Je m’appelle florenziiii, je suis gardien de tour puis devenu l’actuel consul de l’architecture. Je n’ai pas toujours vécu dans le confort et la sécurité. Etant issu d’une famille modeste habitant aux limites du monde connu de minefield, je dû rapidement grandir afin de survivre. Entre les bandits sans foi ni loi et les prédateurs, les dangers étaient grands mais mes parents se sont toujours assurés que je mange à ma faim. Je descendais d’une longue lignée de forgerons et d’outilleurs donc c’est tout naturellement que j’appris les techniques propres aux métiers de la forge auprès de mes pères. Ce qui suit explique mon orientation professionnelle en tant qu’outilleur.

 

Ma famille était spécialisée dans le travail du métal mais nous avions une spécialité, l’obsidienne. Entre nos mains, l’obsidienne devenait, au gré de nos envies, des outils parmi les plus performants ou les épées les plus aiguisées. Dès mon plus jeune, on enseigne aux apprentis que forger le métal, c’était exercer un des métiers qui jettent les passerelles entre passé et avenir. Les plus jeunes étaient formés par les professionnels les plus expérimentés et également les plus patients. Le rôle de professeur était ainsi souvent dévolu aux grands-pères de notre famille, trop âgés pour travailler le métal eux-mêmes. Ils donnaient les instructions aux plus jeunes, leur transmettant, ainsi, leur savoir séculaire. J’eu ainsi la chance d’être formé par mon grand-père qui fût pour moi un enseignant extraordinaire. Il m’apprit, avec patience et rigueur, à utiliser des techniques, à répéter les gestes d’un métier dépositaire de plusieurs siècles de tradition pour donner naissance à des objets aussi variés que des bijoux, des armes ou de simples outils. De son jeune temps, mon grand-père était reconnu de tous comme l’un des plus grands artisans. Il avait élevé le travail de la matière et la précision des gestes pour en arriver à l’état de l’art.

 

Je débutai ainsi mon apprentissage au façonnage du fer. Le travail était physique, d’autant plus pour un jeune garçon en pleine croissance aussi les journées passaient vite. Je passais le plus clair de mon temps à concevoir le même objet, encore et encore jusqu’à ce que le niveau de conception désiré fût atteint. Lorsque l’objet désiré était suffisamment bien réalisé, on me confiait la réalisation d’un autre objet. C’est ainsi que se passaient les premiers temps de mon apprentissage. Mon professeur attitré, mon grand-père, était très fier de moi et ne tarissait pas d’éloges lorsqu’il parlait de mes prestations à ses amis.

 

Avec l’expérience, je me mis à travailler le fer seul et en même temps que je me sculptais le fer, je me forgeais l’esprit. Ce rapport intime que j’entretenais avec les métaux s’est vite transformé en passion et attisa mes inspirations créatrices. Je veillais à ce que n’importe laquelle de mes créations, de la plus simple bêche à l’épée la plus aiguisée, exprime le plus haut degré de finition. A travers le travail du métal et la sculpture, je réalisais une quête initiatique à la recherche d’une beauté intemporelle des formes et des matières.

 

Me voyant progresser rapidement, je fus initié au travail de l’or pour la conception des bijoux et les finitions esthétiques des armes de grands nobles. Je finis ma formation, bien en avance par rapport aux jeunes de mon âge, par le travail de l’obsidienne qui est une des spécialités de notre famille. Ce matériau, presque aussi résistant que le diamant qui, tout en étant plus abondant puisque produit à partir de la fonte de lave, était très difficile à utiliser.

 

Certains, en observant mon travail, pensaient que le métal m’obéissait et c’est ainsi que la renommée de notre famille dans le travail du métal s’agrandit encore. De nombreux nobles et guerriers de renom se présentaient pour que leur conçoivent des armes. Bien qu’étant formées à la conception des armes, je n’appréciais pas la violence aussi je n’aimais en concevoir.

 

De plus ne plus renommée, mes conceptions attiraient du monde, aussi je fus rapidement forcé d’éconduire de riches clients, parfois dangereux. En tant qu’artisan, j’allais moi-même chercher mes matériaux. J’appréciais me rendre aux mines ou j’avais l’habitude de miner. C’était l’occasion pour moi de sortir en dehors de la forge et de l’établi, sentir le vent frais et les odeurs sylvestres, observer le lent déplacement des nuages sur cet horizon d’azur.

 

Estimant avoir suffisamment de matières premières dans mon chariot, j’empruntai le chemin du retour. Fatigué par le travail éreintant du minage, je me détendais à demi sur la banquette rembourrée pour l’occasion. Les bœufs avaient l’habitude d’emprunter cette route aussi je m’autorisai une sieste sur toute la longueur du trajet.

 

Je fus réveillé par une odeur âcre qui était différente des odeurs habituelles s’échappant de notre foyer. Je relevais mes paupières et mon sang se glaça. J’approchais de ce qui était, il y a quelques heures auparavant, mon foyer. J’observais, terrifié, mon foyer ou plutôt ce qu’il en restait se consumait dans l’atmosphère grisâtre des cendres. La toiture, faite en paille brulait complètement et les murs faits d’un mélange de pierre et de mortier s’étaient presque entièrement effondré. Les bâtiments alentours, ceux de mes cousins et grands-parents, étaient également en feu bien qu’elles soient moins abimées que celle de mes parents. Les maisons de nos voisins étaient également en feu mais les incendies n’étaient que peu développés. Suite au choc de voir mon foyer détruit, mon esprit se remettait péniblement en marche. J’observais les nombreuses traces de chevaux gravés dans le sol sec de la région. Je pouvais dénombrer plusieurs dizaines de chevaux. Ils étaient descendus d’une petite route non loin de là mais lorsque j’entrepris de suivre les trajets qu’à suivi ce groupe de cavalier, je ne pus manquer que la profondeur des empreintes des chevaux avaient changé. Les traces étaient peu profondes lorsqu’ils sont arrivés dans le village. De plus l’écartement croissant des empreintes indiquent qu’ils ont fondus chez moi tel des rapaces sur du petit gibier.

 

Mon cœur se serra et des larmes commencèrent à me monter au nez lorsque, malgré moi, des images s’associant pour former la scène de l’attaque telle qu’elle a dû se produire.

 

Il s’agissait bien d’une attaque. J’en étais certain. Qu’elle avait été la raison d’un tel déchainement de violence ? Je ne comprenais pas la raison qui avait amené la destruction dans une région si éloigné des complots des grandes villes. Ma famille n’avait jamais contracté aucune dette. Nous étions venus nous installer loin des villes pour éviter, autant que possible, d’avoir affaire aux truands et aux personnes peu recommandables qui pullulaient dans les grandes cités. Ces contrées éloignées du tumulte des grandes villes nous semblaient autant un havre de paix que de liberté pour des artisans désireux de pratiquer leur art.

 

J’entrevis l’établi, ou nous concevions nos objets. C’était le seul bâtiment qui n’avait pas été brulé. En m’approchant, j’aperçu l’impressionnante profondeur des empreintes qui s’éloignaient. Les chevaux étaient certainement lourdement chargés lorsqu’ils partirent d’ici. Le schéma se dessinait dans ma tête. On avait attaqué notre petit village pour voler ce que nous avions de plus précieux : nos armes, nos bijoux. Dans ce qui semblait être le dernier bâtiment encore debout, demeurait sur le sol la plupart de nos outils. Toutes les armes et les bijoux avaient été dérobés. Nos armes étaient reconnues pour leur robustesse et leur degré de finition et ces mécréants, ne pouvant certainement pas s’en acheter se sont servi à la source …

 

Je n’avais aperçu aucun corps ni aucune sépulture aux alentours du village. Qu’étais advenu ma famille ? Que leur étaient-ils arrivés ? Ces questions me revenaient sans cesse en tête mais je n’avais aucun élément de réponse. J’espérais qu’ils avaient pu les voir venir et qu’ils avaient pu fuir cette attaque de brigands, mais je n’avais aucune certitude et la pensée que je me retrouvais seul pour la première fois de ma vie me terrifiait. Depuis ce jour, mon aversion des armes s’était transformée en véritable haine et je me suis juré de ne plus jamais faire d’armes susceptibles d’attirer la jalousie et la convoitise de scélérats à une exception près ! Je me réservais le droit de faire une arme qui sera dédiée à la destruction et à l’anéantissement de ceux qui m’avait plongé dans l’horreur d’une vie de solitude pour leur retourner une peur tout aussi grande voire supérieure. Je refuserai désormais de construire des armes aussi je me suis destiné à devenir outilleur. Un métier dans lequel je m’efforcerai d’exceller.

 

La journée avait ensuite très vite passée. Je fouillais les décombres de ce qui avait été mon village natal. Je rassemblais ce qui pouvait être récupéré : draps, vieux vêtements (enfin ceux qui n’ont pas été carbonisé), outils non calciné … Je me suis également aménagé un abri pour la nuit qui tombait rapidement. Je choisi une des maisons les moins abîmées pour me constituer un abri et rassembler les affaires que j’avais pu sauver. Le ciel était sombre et annonciateur d’un orage. C’était un temps de circonstance en début d’été dans cette région. Je ne me trompais pas, le ciel se déchaîna moins d’une heure à peine. La pluie s’abattit sur ce qui constituait mon abri de fortune et j’avais grand peine à rester sec. J’avais néanmoins pu me faire un feu qui m’apporta chaleur et lumière dans un moment ou j’en avais grand besoin. J’observais le tas d’objet que j’avais pu récupérer. Quelques vêtements qui avaient dû appartenir à mes voisins, des vieux outils de mes grands-parents ainsi qu’une petite réserve d’or que mes parents avaient l’habitude de cacher. Les brigands n’avaient pas pu trouver la cachette de celle-ci. J’aurais de quoi voir venir pour un petit moment. Ce soir-là je ne pus dormir. J’étais torturé mon avenir, ce que j’allais faire dans mon avenir proche. Je savais que je ne pourrais pas me projeter dans l’avenir sans découvrir ce qui était arrivé à mon village mais cela n’était pas le plus urgent. Je devais me trouver un logement et de quoi me nourrir. Ou allais-je aller ? Le tonnerre raisonnait dans la salle ou j’étais. De nombreuses gouttes d’eau perlaient des nombreux trous du toit. Les éclairs zébraient le ciel dans toutes les directions ou se portait mon regard. Malgré le bruit et la gêne occasionnée, j’appréciais cette animation autour de moi. Les bruits ambiants me distrayaient et me tenaient éloigné de mes sombres pensées. Je savais que je ne pourrais pas dormir ce soir-là. Qu’allais-je devenir ? Mes sombres pensées étaient semblables à de sombres nuages qui voyageaient à grande vitesse au fur et à mesure que je sombrais dans les méandres de l’inconscience.

 

Je me réveillais avec la conviction que je ne devais pas rester dans le village aussi j’apprêtais ma carriole et je mettais toutes les affaires que j’ai pu récupérer à l’arrière de celle-ci. La carriole se mettait à bouger lorsque je pris conscience que je ne reviendrais probablement plus dans cet endroit. Un sentiment de tristesse absolue et de solitude oppressait mon cœur à mesure que les restes de ma maison, encore fumant, s’éloignaient de moi. Le chemin était calme et le temps ensoleillé. Le temps était magnifique et en total contradiction avec mes sentiments. La ville la plus proche était à 2 heures de carriole. J’empruntais des petites voies afin d’éviter les bandits de grands chemin. Mes seules possessions étaient derrière moi et je ne voulais pas attirer la convoitise de brigands.

 

Sur ma route, je trouvais par hasard une ancienne masure abandonnée. Celle-ci n’était pas très grande mais semblait confortable et possédait une caractéristique très intéressante pour moi. Elle était inhabitée. C’était une maison essentiellement en bois et en sandstone sur 2 étages dont le toit était surmonté d’une cheminée en brique. Elle était inhabitée depuis longtemps car du lierre la recouvrait entièrement et cachait presque entièrement les fenêtres et les portes. Elle avait eu un certain charme à une époque. Je trouvais étrange qu’une telle maison ait été construite aussi loin de tout. A ma connaissance, aucun village proche de n’y trouvait et je décelais dans cette maison un certain potentiel. J’entrepris la rénovation de cette maison et durant les travaux, je vivais grâce aux provisions que je m’étais constitué lors de mon départ. Du pain ainsi que de la viande séchée et des fruits. J’utilisais les outils que j’avais emmenés avec moi mais un constat s’imposait à moi, il me manquait des planches. Je décidais, à contrecœur, de retourner à mon village prendre les planches qui m’étaient nécessaire. Il y avait un petit entrepôt dédié à la menuiserie. Il était suffisamment isolé pour avoir été épargné. Par chance, les dégâts subis par la maison avaient rapidement été réparé. Mon inexpérience dans le domaine m’a ralenti et un menuisier aurait bien mieux travaillé que moi mais j’étais fier du résultat. La petite route qui m’avait conduit ici menait à la ville de Stendel. J’emmenais dans ma carriole, le fruit de mes précédents travaux en tant qu’outilleur et je décidais de faire ma propre publicité en montrant aux personnes ce que j’étais capable de faire.

 

Faire ma promotion moi-même était une bonne idée. J’étais la première maison qui se trouvait sur cette route et les clients potentiels n’avaient aucune difficulté à trouver la maison que j’avais transformée en boutique d’outilleur. J’avais ouvert deux cloisons au rez de chaussée pour rendre accessible l’étalage aux clients. J’avais laissé une partie du lierre pour son aspect esthétique. Mon premier client arriva en bas de chez moi et me demanda si j’avais des pioches en fer. Je profitais de cette occasion pour expliquer que je venais de m’établir ici et que pour fêter l’occasion, je faisais des promotions intéressantes sur tous les articles que j’avais à disposition : des pioches en fer, diamant et obsidienne en passant par les pelles et autres outils. J’avais déjà relevé les prix pratiqués par les autres outilleurs dans la ville voisine afin de proposer des prix légèrement inférieur. En tant que commerçant débutant, je devais proposer des prix concurrentiels afin d’attirer les clients. Le client observa les pioches en fer que j’étais allé lui chercher dans la remise. Etant satisfait de la qualité, il en acheta une dizaine puis les emporta avec lui. J’étais plutôt satisfait de moi. C’était ma première commande en tant qu’outilleur et j’avais réussi à vendre mes produits bien qu’étant en concurrence avec des artisans ayant plus d’expérience que moi.

 

Après cette première commande, je dû aller me réapprovisionner en matière première car mes stocks n’étant pas très important. Si d’autres clients arrivaient pour des pioches en fer, je n’aurais pas pu satisfaire leur demande. Je suis donc parti en exploration près de chez moi pour trouver des grottes. La région fourmillait de grottes en tout genre et beaucoup menaient à des profondeurs respectables permettant d’accéder à des veines de minerais en tout genre. J’étais essentiellement à la recherche de fer, de charbon, de diamant et de lave afin de me constituer un confortable stock d’obsidienne. Cette dernière offrant les mêmes propriétés que le dimant tout en étant bien moins cher.

 

Le lendemain, j’eu le plaisir d’accueillir deux clients. Le premier étant une connaissance du client que j’avais servi la veille. Le bouche à oreille a fonctionné et le client que j’avais servi a parlé de mon commerce et de mes prestations à un de ses amis qui est venu aujourd’hui à ma boutique. Il voulait se procurait des outils en obsidienne et je lui montrais les quelques articles que j’avais à disposition. En voyant mes tarifs, il décida de prendre tous mes stocks. J’étais allé miner mon propre fer et obsidienne aussi je n’étais pas dépendant de fournisseur en fer. Je pouvais fixer mes propres prix et seul le coût que j’attribuais à mon temps de minage affectait le tarif de mes outils.

 

L’autre client me demanda si faisais des tarifs pour des grosses commandes. Je lui répondais que je faisais effectivement des tarifs dégressifs lorsque le nombre d’article commandé atteignait une certaine quantité. La personne me donna un chiffre et je lui indiquais quel tarif je pouvais lui faire. Le prix sembla lui convenir et nous confluâmes l’affaire. Après réflexion, je me dis que les périodes où je m’absente de chez moi pour me ravitailler en matières premières peuvent me faire louper des ventes. Je disposai une boîte aux lettres à la sortie de mon commerce afin qu’en cas d’absence, lorsque je vais miner par exemple, les clients puissent déposer leurs commandes. Cela me permettrait de pouvoir répondre à la demande dans les plus brefs délais et même de négocier les tarifs avec eux. Cela me permet également de connaitre mes besoins en matières premières pour satisfaire les commandes de mes clients.

 

Un client se présenta à ma porte. Il était un peu gêné car il ne savait pas quel article il voulait précisément. Je lui demandais de quel type d’article il était à la recherche. Il voulait une pioche mais il ne savait pas en quel matériau. Je lui répondais que tout dépendait de son utilité. Si c’était pour aller miner, une pioche en diamant ou en obsidienne était nécessaire de par leur résistance supérieure sinon qu’une pioche en fer était suffisante pour des travaux dans leur maison. Il voulait en effet, prendre une pioche pour faire des travaux dans son jardin. Les travaux qu’il voulait faire étaient de faible importance donc je lui conseillai une pioche en fer pour son coût modéré qu’il me prit aussitôt. Le client me remercia pour les conseils que je lui avais prodigué et reparti chez lui heureux d’avoir pu trouver l’article dont il avait besoin. J’étais satisfait du travail bien fait : avoir rendu service à un nouveau client en lui conseillant l’article dont il avait besoin à un prix décent.

 

 

Je vous souhaite une excellente journée et j’espère vous revoir très prochainement à “La Boîte à Outils de florenziiii”.

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