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un écrivain cherche mécène


erache97
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Bonjour à tous les minefieldiens,

 

J'écris se post pour faire une demande de mécénat pour mes livres. En fait, je souhaite publier des livres in-game pour me faire des Pa (car étant arrivé recemment, je suis juste très pauvre...).

 

En quoi consiste le mécénat?

Eh bien, c'est simple : vous me payer pour que je vous écrive des livres (en Pa si vous êtes commerçant, ou sinon en nature si vous n'êtes pas commerçant ou n'avez pas envie d'utiliser vos Pa).

 

Je peux également vous rédiger des messages si vous êtes occupé, et j'accepterais volontiers un partenariat avec une ville pour écrire un journal hebdomadaire.

 

Les prix seront à débattre car je constate visiblement que je suis le premier à me lancer dans cette aventure, il faudra donc que j'adapte mes prix au fur et à mesure de mon expérience.

 

Mp moi en jeu ou sur le forum si vous acceptez ou avez des questions, ou sinon faites le à la suite de ce post!

 

En espérant que cette proposition ait attiré votre attention, futur mécène,

cordialement,

erache97 :book:

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Je constate que je n'ai pas de réponse et je comprends votre réticence. Je réagirai de la même manière si je rencontrai quelqu'un et qu'il me proposait la même chose. Pour vous prouver ce que je vaut, voici un texte que j'ai écrit en 20 minutes environ. (note : la fin n'est pas exceptionnelle)

 

 

 

Patient zéro (c'est le titre :lol: )

 

 

Tout avait commencé un magnifique soir d’hiver. Il faisait plus froid qu’à l’habitude, si bien que j’étais emmitouflé dans mon grand manteau noir d’encre, et je portais une grande écharpe rouge, donc il était facile de me distinguer sous la neige qui tombait. Je rentrais chez moi après une journée de dur labeur au bureau, toujours à régler des imprévus comme l’imprimante qui imprimait trente pages alors que l’on ne en demandait qu’une seule, ou encore la fuite d’eau dans les toilettes. J’étais donc fourbu. Espérant qu’il n’y allait pas avoir une bombe pour m’achever dans mon appartement, j’entrai dans mon immeuble. Il faisait déjà moins froid qu’au dehors, et tant mieux d’ailleurs, mais de la buée continuait à se former à chacune de mes expirations. J’entamai alors ma montée vers le troisième étage, où était situé mon appartement. J’étais presque arrivé lorsque j’entendis un cri, puis je vis le chat de la voisine se ruer dans les escaliers et me bondir au visage.

 

Je dus me cogner la tête contre quelque chose en tombant, car je sentais une douleur lancinante à l’arrière de mon crâne. Lorsque je repris mes esprits, je constatai que j’étais tombé de huit ou dix marches. Le concierge montait les escaliers le chat dans les bras, tandis que la voisine descendait en marmonnant : « oh mon Dieu, oh mon Dieu ». En me relevant, je compris que j’avais avalé des poils du chat car un gout étrange était resté dans ma bouche. Le concierge commença à sermonner la voisine à propos de son chat qu’elle devait mieux garder. Je pris donc sa défense; je trouvais intolérable qu’on puisse parler à une vieille dame avec ce ton. Enervé, le concierge s’éloigna. Ma voisine me remercia et m’invita à prendre un thé. Je déclinai son offre car j’avais encore du travail à finir. J’entrai ensuite dans l’appartement.

 

Une lettre avait été glissée sous la porte. Après avoir retiré mon manteau et mon écharpe, je m’installai dans un fauteuil. J’ouvris l’enveloppe. Elle contenait juste un petit papier, ainsi qu’une fleur séchée, qui devait être une rose. Je lus le message : « je t’aime mon petit LOL ». Un cœur remplaçait le O de LOL. Me demandant bien de qui cette lettre pouvait bien venir, je reniflai instinctivement la fleur et sans le faire exprès, j’avalai un pétale. Toussant, je me précipitai dans la cuisine et je bu un verre d’eau. Reprenant mon calme, je continuai à réfléchir pour savoir qui avait bien pu m’envoyer cette lettre. Après une bonne heure de jeu sur mon ordinateur, je dinai et me couchai. La nuit fut dure, je n’arrivais pas à trouver le sommeil.

Le lendemain matin, je me sentais légèrement fiévreux. Pensant que ça allait passer, je me mis en route pour le bureau. Je commençai à descendre les marches et je croisai la voisine. Nous nous saluâmes. C’est la dernière chose dont je me souvins car je m’évanouis au même moment.

 

A mon réveil, j’étais allongé sur un lit d’hôpital, entouré par un groupe de médecins. L’un d’eux, voyant que j’étais réveillé, fit signe aux autres de partir. Ils s’exécutèrent, nous laissant seuls. Je sentais que j’avais de la fièvre. Immédiatement, je demandais ce qui m’était arrivé. Il me raconta que ma voisine avait appelé les secours et que l’on m’avait amené ici. Je me demandais ce dont je pouvais bien souffrir et il sembla lire dans mes pensées, me révélant que j’étais atteint d’une maladie encore inconnue. Et malheureusement, cette maladie était très contagieuse. En quelques jours, l’hôpital fut envahi de nouveaux cas, le nombre de patients augmentait partout dans le monde. Même si j’avais été atteint le premier, j’eus le temps de voir les dégâts que cause l’affreuse maladie : la mort.

 

A l’heure où j’écris ces lignes, agonisant sur mon lit d’hôpital, je sais que tout est fini, qu’il n’y a plus aucun espoir.

 

 

 

 

J'espère que cela vous aura plus et vous aura permis de pouvoir cerner mon type d'écriture, et peut-être à la prochaine fois, car mon mécène, ça peut-être vous !

 

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Bon, je vois que ça n'a pas marché. J'ai peut-être pas choisi un très bon texte, mais je n'en sais rien car personne ne me dit rien ! Enfin bon, je publie cette dernière réponse comme dernière relance, après j'arrêterai. Voici un second texte, premier chapitre d'une grande épopée de ma plume que je serais ravi de continuer avec vous, cher mécène, si vous me choisissez. L'aventure commence sur Minefield mais n'y dure pas. Mais ne vous inquiétez pas, mes personnages y viendront. Si vous êtes intéressé, sachez qu'il s'agira d'une grande épopée d'un voleur et d'un écrivain qui n'ont rien en commun, mais qui vont accomplir de grandes choses !

 

LES AVENTURES DE MEDIACO

 

Chapitre 1 : LE VOYAGE

Je respirai une dernière fois le bon air de New Stendel. La glorieuse capitale, effervescente d’activité, serait bientôt loin de moi. Je vérifiai une dernière fois mes affaires, prêt pour un long voyage. Cela faisait déjà plusieurs mois que j’habitais la ville, et gagnais tranquillement ma vie en écrivant des livres. Mais depuis de nombreuses semaines, je bloquais dans un trou noir d’inspiration et j’étais incapable d’écrire une seule ligne. J’avais donc pris la décision d’entreprendre un voyage pour me ressourcer et retrouver l’inspiration nécessaire pour écrire un nouvel ouvrage. Mais il faut en effet reconnaitre que tout cela allait me mener dans une toute autre direction. J’étais donc parti. Enfourchant un cheval que j’avais emprunté à un ami, je décidai premièrement d’aller le voir pour lui rendre sa monture. Après une journée de voyage, j’arrivai chez cet ami. Il m’invita à rester pour la nuit, offre que j’acceptai vivement. Le lendemain matin, il m’indiqua un chemin. Au bout de ce chemin, disait-il, il y aurait un océan si vaste que personne n’aurait atteint l’autre côté, s’il y en avait un. Piqué par la curiosité, j’empruntais ce chemin, bien décidé à traverser cet océan de bout en bout. J’étais sûr qu’une escapade maritime aérerai mon imagination. Après quatre jours de marche, j’atteignis l’océan. J’achetai un bateau au pêcheur qui se trouvait à côté. Je ne savais vers où j’allais m’embarquer, ni les dangers que j’allais devoir combattre, mais cette étendue d’eau infinie m’attirait par une force inexplicable. Je suis donc parti dans cette simple barque. En allant tout droit, je m’étais dit qu’il fallait forcément que je tombe sur quelque chose un jour. Une semaine s’écoula lentement, sans que rien ne trouble l’immensité bleue. A l’aube du huitième jour, de nuages noirs comme l’encre s’amoncelèrent à l’horizon. En début de soirée, l’orage était sur moi. Soudain, une lame violente fracassa mon navire. Perdu au milieu du tumulte, je ne savais où aller. Me laissant porter par les flots, j’observais la nuit tombant obscurcissant les flots qui redevinrent calmes. Je n’eus alors plus aucune notion du temps. Mais au bout d’un moment, je ne peux pas dire au bout de combien de temps, peut-être une heure, ou deux heures, j’aperçus une lumière déchirant le voile de ténèbres de la nuit. C’était un phare ! Comblé de joie, je me mis à nager dans sa direction. Puisant l’ultime réserve d’énergie qui me restait. Je m’échouais sur la plage à côté du phare. Me retournant sur le dos, je fermais les yeux et m’endormis, mais mon repos fut de courte durée. Je fus réveillé par le bruit de plusieurs fusils qu’on armait. Ouvrant les yeux, je vis que ces fusils étaient pointés vers moi !

 

 

Voilà ! J'espère que quelqu'un sera intéressé, n'importe qui... ne vous inquiétez pas je ne mords pas ! N'hésitez pas à répondre pour commenter ou pour poser des question, j'y répondrai.

 

Cordialement,

erache97 :book:

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Bien le bonjour!

 

C'est vrai que ce n'est pas agréable de ne pas recevoir de réponse! Mais dit toi bien que cela signifie que personne n'a besoin d'écrivain en règle général mais que tu écris bien.

 

Honnêtement tes textes sont bien construits je trouve, et intéressants, mais tu fais quelques fautes d'orthographe. Peut être que de temps en temps des gens auront besoin d'un rédacteur pour une candidature mais personne n'a besoin d'un écrivain à plein temps... Et si tu veux faire un journal pour une ville, grand bien t'en fasses, mais je ne pense pas que tu seras payé pour! Dsl.

 

En plus c'est la crise sur le serveur aussi.

 

En tout cas, bon courage pour ton entreprise! Bon jeu!

 

Ninikiki

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