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Yaptaz

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Tout ce qui a été posté par Yaptaz

  1. Donc 4 PAs de fer pour un tableau. On rajoute une petite laine blanche, et le fait que c'est un craft exclusif pour nous, et ça nous donne :...
  2. Les tableaux au même prix que les capes ? 7-8 PAs ?
  3. Je n'avais pas pensé à ça. Personne n'est parfait, hein ! xD Et pour les tableaux, vous les mettriez à combien ?
  4. J'ai quelques idées pour l'entrée !
  5. Je suis partant pour t'aider ! Si tu as besoin de laine, n'hésites pas à me contacter !
  6. Mon "Affaire réglée." était une réponse au précédent message de Neilmims (désormais édité), ne concernant absolument pas les prix que j'ai proposé. Excuses-moi !
  7. Laines colorées : 0,25 PAs/unité hors capitale, soit 0,33 PAs/unité en capitale. Escaliers en laines colorées : 1 PA/unité hors capitale, soit 2PAs/unité en capitale. Rideaux en laines colorées : 1 PA/unité hors capitale, soit 2 PAs/unité en capitale. Tableaux cerclés de fer : 6 PAs/unité hors capitale, soit 7 PAs/unité en capitale. Capes en laines colorées : 4 PAs/unité hors capitale, soit 5 PAs/unité en capitale. Ces prix vous vont-ils ? Concernant le prix de rachat au stack de la laine aux paysans, si un stack valera 16 PAs après la validation de ces prix, combien le rachètera-t-on ? 16:2:2 soit 4 PAs ? 5 ? 6 ? 7 ? Au delà, cela ne deviendrait absolument plus rentable, le prix de rachat étant plus élevé que celui de vente, non ? Edit : 0,5x8=4, non ?
  8. 1 PA/unité pour les escaliers et les rideaux, et 4 PAs/unité pour les capes ? Donnez vos prix !
  9. Bonsoir. Suite à de récents évènements, je viens ici vous demander une confirmation des prix de la laine. Comme vous le savez sûrement tous, il n'y a pas si longtemps de cela, une mise à jour a eu lieu sur le serveur : le passage en 1.2.5. Or, dans cette mise à jour, une nouveauté concernant la laine est apparue, nouveauté concernant l'économie des tisserands : la laine d'un mouton repousse dès qu'il broute de l'herbe. Et c'est à ce point que je souhaite en venir. Avec cela, les prix aurait dû chuter rapidement mais ce n'est pas le cas. Pourquoi ?... Désormais, on a un couple de moutons, colorés au colorant choisi, avec un stack de blé, et on se retrouve, avec un peu de patience, avec 34 moutons d'une même couleur ! Un mouton donnant le plus souvent 2~3 laines, un passage par jour nous en rapporterait aux environs de 1 stack et demi de de chaque couleur... Mais pourquoi ne baissons-nous pas nos prix ? Pourquoi continuer à vendre une telle ressource tellement cher ? 1 PA/unité voir 2 PAs/unité ? De mon avis, il serait peut-être judicieux de baisser nos prix : Voilà. Ps : Mes calculs se peuvent être inexacts. Edit : Une réunion serait aussi une bonne idée pour parler de notre économie. Et peut-être du prix de rachat aux paysans ? Je ne suis pas encore commerçant, mais je souhaiterai le devenir, et donc, je m'intéresse à notre économie. Et à tous prix, évitez de partir en trolls après ce message. Merci !
  10. Magnifique erreur de ma part dans la section "Devenir commerçant"... Peut-être que cela me fera avancer un peu plus vite mon roleplay...
  11. Spécialisation : Tisserand Nom de l'échoppe : La Moutonnerie Localisation : Cérule Bonsoir. Comme promis, je viens aujourd'hui vous présenter ma candidature de commerçant. Présentation IRL : Il n'y a pas grand-chose de différent depuis mes dernières candidatures... À part le fait que j'ai un peu vieillit : j'ai désormais 13 ans et suis en quatrième. Je m'appelle donc toujours Yann, et j'habite en France, dans le Maine-et-Loire. J'aime les nouvelles technologies, la voile... Je suis assez bavard, curieux, créatif, et voyageur. La technologie me passionne depuis tout petit : je voulais absolument savoir comment fonctionnait tel objet, tel machine... Avec l'arrivée d'un bon ordinateur chez moi, je me suis aussi intéressé aux jeux vidéos. Je jouais le plus souvent à divers jeux de gestion (comme quoi, je me préparais déjà à gérer mon échoppe ! ), du genre Cities XL, City Life... Jusqu'à ce que je connaisse Minecraft, qui est devenu mon jeu favoris, et Minefield... Présentation IG : Je me suis inscrit sur le serveur le 17 janvier dernier, mais mon véritable "aventure" ne commença que le mois suivant, avec l'acceptation de ma candidature paysan. Au tout début, on m'avait recueilli à Héliopolis, la ville romaine, où j'ai participé à divers chantiers : entre autres, son aqueduc, et sa salle de concert, ayant accueillie le dernier Atebits. Hélas, après ce grand évènement, il n'y avait que peu de personnes s'y connectant : les grandes vacances arrivant à grands pas. Je décidais donc de me trouver une nouvelle ville. Après moult recherches, je tombais sous le charme de Cérule, une ville médiévale, très "roleplay". Pendant ce temps, je suis aussi devenu citoyen tisserand. Ma maison à Cérule Ma maison à Stendel Anciennes candidatures : Candidature paysan Candidature citoyen Candidature de citoyen céruléen Ancienneté : Je suis paysan sur le serveur depuis plus de sept mois. (Cliquez sur l'image pour voir mon profil !) Roleplay Ancienne rédaction (Candidature paysan) A lire après le roleplay de ma candidature citoyen. Arrivée sur Stendel (Candidature citoyen) La capitale An 158, mois de juin, jour du départ. Les plus fidèles de mes amis s'étaient réunis à la sortie d'Héliopolis, pour me dire au revoir. En les voyants, je ne pus m'empêcher de verser une larme... "Ah, nous t'attendions ! Nous sommes venus te souhaiter bonne chance, pour que tu nous reviennes rapidement ! dirent-ils en cœur. - Merci, merci les amis ! leur répondis-je, avec une touche d'émotion. - Si nous le pouvions, nous t'accompagnerions volontiers, mais le devoir nous appelle ici. - Avancez-vous le plus possible dans la construction du port ! - Ne t'inquiètes pas, nous le terminerons pour toi !" Je partis donc, la tête basse, en espérant les revoir un jour. 2 semaines plus tard... Je voyais une des portes de Stendel au loin. Elle était d'une hauteur d'environ 25 mètres sur 12 de large. Elle montrait à elle seule, la richesse, avec son architecture extrêmement soignée, et la puissance, avec ses nombreux gardes, de Stendel. Quand j'arrivais à son pied, un garde m'interpella : "Oh, vous ! Qui êtes-vous et d'où venez-vous ? s'exclama-t-il. - Je suis Yanz, fils de Gérard le forgeron. Je viens d'Héliopolis. - Qui c'est, lui ? Me rendant compte de la situation dans laquelle je m'étais mise, je lui répondis en inventant : - C'est, euh, c'est le chef de la forge héliopolitaine. - Mouais, je ne le connais pas... Mais bon, vous pouvez y aller, vous ne me semblez pas bien méchant ! s'exclama-t-il en explosant de rire. - Très bien. Au revoir, répondis-je poliment." Je fus très étonné par cet accueil, mais dès que je franchis cette énorme muraille, tout cela fut vite oublié... Sur ma droite, se dressait le quartier des souffleurs de verre, où nombre d'artisans verriers s'affairaient sur leurs étals, et sur ma gauche, celui des joailliers : il brillait de mille feux, avec toutes ses pierres précieuses, partant comme des petits pains. Dans ces deux quartiers, une foule impressionnante s'était amassée, de riches acheteurs, comme de pauvres voyageurs, venus de tous les coins du pays, comme moi. Je marchais donc droit devant moi, en espérant trouver une bonne petite auberge pour la nuit, arrivant à grands pas. Demandant conseil à plusieurs passants, ils me conseillèrent le plus souvent celle qui se nommait "Au Tisserand Fatigué". Elle se trouvait au détour d’une ruelle, dans un coin assez tranquille et sympathique. En y entrant, je vis pourquoi tant de personnes me la conseillaient : elle était peu chère, mais très chaleureuse. L'aubergiste m'aborda alors : "Bienvenue au Tisserand Fatigué ! me sourit-il. - Bonsoir ! Puis-je coucher dans votre auberge, ce soir ? - Evidemment ! Tout le monde est le bienvenu ici ! Se retournant vers quelqu'un d'autre, il appela : Marc ! Accompagne donc ce voyageur venu d'Héliopolis dans sa chambre ! - Mais, comment l'avez-vous sut ? dis-je en me dirigeant vers son assistant. - J'ai simplement reconnu son emblème, sur votre tenue ! conclue-t-il en commençant à servir un autre client." Nous montâmes quelques marches, et ce Marc me montra ma chambre. "Voici votre lit, monsieur ! - Merci ! - Bonne soirée ! dit-il en sortant de la pièce. Au dernier instant, je le rattrapais, et lui demandais : - Nous sommes donc ici au quartier des tisserands, est-ce bien cela ? - Oui, acquiesça-t-il. - Puis-je aller le visiter ? - Mais bien sûr ! Mais je dois y aller maintenant, on m'appelle !" En sortant de l'auberge une dizaine de minutes plus tard, la foule s'était un peu dissipée, la nuit étant déjà presque tombée. J'étais en train de marcher dans une petite ruelle, légèrement éclairée par de la lumière traversant les fenêtres des habitations alentours. Les derniers tisserands étaient en train de ranger leurs affaires. En les regardant, je repensais à mes longues soirées d'été, où je me divertissais avec ma grande passion, le tissage... Que de bons souvenirs cela me rappelait-il ! Et c'est à ce moment-ci, que je réalisais, que je pouvais aussi vivre de ma passion, en me montant une petite échoppe ! Hélas, je n'avais pas les moyens nécessaires pour le faire : il fallait d'abord que j'apprenne les bases du commerce, dont j’ignorais presque tout, et me perfectionne dans le tissage. Il fallait que je remette cette idée à plus tard, dans un coin de ma tête. Le lendemain... Je me levais aux environs de sept heures du matin, bien décidé d'accomplir ma tâche au plus vite. En sortant de l'auberge, je questionnais quelques passants, en leur demandant s'ils connaissaient le destinataire de ma lettre, mais personne ne me répondit par l'affirmatif... Jusqu'à un vieil homme me dit : "Albert Markus ? Mmmh... Mais oui ! C'est le gérant de la boutique du Mouton tondu !". Ce ne fut pas une tâche facile de la trouver, elle était bien cachée, dans un grand dédale de chemins. En arrivant devant-elle, je vis un vieux tisserand, en train de sortir sa laine, à la vente. Je l'abordais : "Bonjour, monsieur ! Etes-vous bien Albert Markus ? - Oui, je réponds bien à ce nom. Que puis-je faire pour vous ? - J'ai une lettre pour vous, venant d’Héliopolis." Je la lui tendis. Après la lecture attentive de celle-ci, il finit par me répondre : - Merci beaucoup ! Je suis heureux de recevoir des nouvelles de ma femme et de ma fille !... Allez, venez, je vais vous servir un thé. - Avec plaisir, répondis-je." J'entrais avec lui dans son atelier, où il se mit à préparer sa boisson "Cela n'a-t-il été pas trop dur pour vous, de venir m'apporter cette lettre en main propre ? - On m'a dit que c'en était une de la plus haute importance, et qu'il fallait que je vous la remette en main propre. Je n'ai fait que mon devoir ! - Et vous avez bien raison ! Savez-vous de quoi parle-t-elle ? - Non. - Elle parle du mariage de ma fille, Marguerite ! Ah, que je l'aime celle-ci ! - Content de le savoir ! lui dis-je en souriant." Après un instant de silence, il me demanda : "Allez-vous rester un peu de temps, ici, à Stendel ? - Je ne le sais pas. - En attendant, pourrais-je vous demander de me rendre un petit service ? - De quel genre ? - Je voudrais embaucher un assistant, pour m'aider dans ma pauvre boutique. Etant seul, et vivant seulement en vendant ma laine, je ne puis me permettre de sortir afficher cette annonce sur le panneau d'affichage du quartier. Accepteriez-vous de le faire pour moi ? - C'est que... Je repensais à l'envie de vendre ma laine, comme lui... Mais en même temps, je repensais aussi à mes compagnons, que j'avais laissés à Héliopolis... - Je pense, que je pourrais vous satisfaire en devenant votre assistant. - En es-tu sûr ? Y as-tu bien réfléchis ? - Oui, j'en suis sûr. - Mmmh..., dans ce cas, je n'y vois aucun inconvénient ! me sourit-il. - M..., merci ! J'étais ravi, à l'idée que mon rêve allait peut-être se réaliser un jour... Ce jour-là, Albert n'ouvrit pas sa boutique, pour consacrer son temps, à m'expliquer le fonctionnement de son commerce, ses techniques de ventes... Nous y avons donc passé toute l'après-midi, après lequel, la soirée passa par une petite leçon pratique, sur les différentes utilités de la laine. Il prenait du plaisir à m'enseigner tout son savoir. Quand la cloche sonna huit fois... Nous ouvrions l'échoppe à huit heures, heure à laquelle, de nombreuses personnes se rendaient sur leur lieu de travail. Quelques personnes s'arrêtèrent, étonnées par une nouvelle tête, qu'elles n'avaient pas l'habitude de voir, mais une grande partie, pressée par le temps, passait seulement jeter un coup d'oeil. C'est à ce moment-ci que je servis mon premier client : cela fut une expérience très enrichissante pour moi... "Bonjour, que puis-je faire pour vous ? - Mmmh, je trouve ces rideaux bleus très jolis. A partir de quoi sont-ils fait ? - Ils ont été fabriqué avec de la laine de mouton en provenance de la banlieue de Stendel, colorée avec une pierre bleue : le Lapis Lazulli. - Très intéressant ! Je vais les prendre ! Combien m'en coûteront deux paires ? - Huit pièces d'argent, s'il vous plaît. - Tenez, je vous en donne dix ! Gardez les deux en trop, pour vous, jeune homme ! Au revoir ! - Au revoir !" Au fil du temps, des clients avaient pris l'habitude de discuter avec moi, sur divers sujets, tous différents les uns des autres. On me parlait souvent d'une ville nommée Cérule, qu'ils me conseillaient d'aller voir, en raison de son caractère particulier. Curieux, j'avais déjà préparé différentes provisions, pour un petit voyage, qui ne durerait seulement deux heures à pied. 4 mois plus tard... C'était dimanche, le jour où le magasin n'ouvrait pas ses portes. J'avais demandé la permission de me libérer ce jour-là, pour enfin mener à bien mon excursion à Cérule. Albert me donna même une semaine de repos, pour ce que je lui avais rendu comme service : ce qui n'était pas pour me déplaire. Il me conseilla d'y rester tout ce temps, et d'y profiter du printemps, à l'auberge d'un de ses amis : "La Casserole"... Cérule Je m'étais engagé dans un chemin assez étroit, mais bien aménagé. J'avais une vue imprenable sur les grandes montagnes de Stendel, où quelques bouquetins passaient de temps à autres, accompagnés par le chant des marmottes, et d'aigles planant au-dessus des plus hautes cimes. Après avoir franchi un pont surplombant un grand torrent, je vis deux blasons accrochés à deux gigantesques mâts : celui de Stendel, et par déduction, celui de Cérule. J'entrais enfin sur leur territoire. Le paysage se changea alors radicalement, passant de hautes montagnes, à de plates plaines, où de nombreux champs étaient cultivés. Quelques instants plus tard... J'étais arrivé sur la place principale de Cérule. Là-bas, je m'asseyais quelques instants pour reprendre mon souffle. J'abordais alors une femme passant près de moi : "Bonjour ! Pouvez-vous m'indiquer l'emplacement de l'auberge de la Casserole ? - Oui, bien sûr ! C'est droit devant vous. Bonne chance ! - Merci ! Au revoir" Je me suis donc levé, et me suis dirigé dans la direction indiqué. Effectivement, je la trouvais sans problèmes. Mais avant d'y entrer, venant d'apercevoir une grande église à quelques pas, je décidais d'y revenir plus tard. Cette cathédrale était l'une des plus belles que je n'avais jamais vue. Elle était d'une telle richesse ! Une messe était justement en train d'y être célébrée, je décidai donc de rester à l'extérieur, et de juste jeter un petit coup d'œil, par sa grande porte légèrement entrouverte... Quelques temps après, après avoir fait une visite plus approfondie des lieux, je me suis enfin décidé d'aller coucher dans leur auberge. Après y avoir passé une grande semaine, je fus charmé par l'ambiance de cette ville : la population était très sympathique, le climat tempéré, l'architecture bien soignée... Un grand nombre de coups de cœur me firent prendre la décision de m'y installer à tout jamais. Ce choix fut très dur, mais je voulais y habiter. Mes compagnons d'Héliopolis m'avaient sûrement oublié, après tout ce temps, et Albert, il fut d'accord dès que je lui annonçais la nouvelle. Il me dit, au moment où je franchissais le pas de sa porte, que c'était une bonne chose pour moi. Qu'avec tout ce qu'il m'avait enseigné, je pourrais m'y épanouir, et y ouvrir ma première boutique. Le commerce A la mairie de Cérule... "Monsieur, que puis-je faire pour vous ? - Je voudrais prendre contact avec le responsable de l'économie. - Votre nom ? - Yanz. - Très bien ! Veuillez-vous asseoir ici. Vous avez rendez-vous dans quinze minutes ! - Parfait. Merci !" Quelques instants plus tard, l'affaire était réglée : j'étais désormais l'heureux propriétaire d'un emplacement commerçant. Dès le lendemain, je commençais son aménagement... "Alors, comment trouves-tu la décoration ? - Mmh, c'est très chaleureux et sympathique ! Mais quel est donc cet étrange objet, machine ? - C'est un métier à tisser. Je m'en suis fait un ici, pour pouvoir servir, comme tisser en même temps. - Ah, d'accord ! A part cela, quand ouvres-tu boutique ? - J'avais prévu de le faire en fin de semaine. - Je pourrais être là !" Et enfin, le grand jour arriva... J'avais ouvert aux environs de neuf heures, plusieurs personnes étant déjà présentes. Elles sont entrées pendant que je me mettais derrière mon comptoir. Elles observaient, touchaient... Et enfin, plusieurs d'entre elles vinrent me voir : "Bonjour, quel est donc le prix de ce petit lampion ? - 2 pièces d'argent. - Très bien, je prends !" "J'aimerais prendre cette belle toile. - Très bien ! Cela vous fera 7 pièces ! - Tenez, au revoir !". La plupart de mes clients étaient céruléens, mais il y avait aussi quelques voyageurs, intrigués, qui vinrent en éclaireurs. On me posait souvent des questions sur mes différentes astuces, techniques... J'étais fier de pouvoir partager ma connaissance, surtout à des personnes plus vielles que moi. Et quel fut mon étonnement en voyant Albert entrer dans mon magasin ! Il me salua, et fit un petit tour dans ma boutique. Il m'acheta même un petit lampion, rouge, me demandant comment je l'avais fait... Cette première journée était pour moi une belle réussite : j'étais heureux d'avoir servi tant de personnes en si peu de temps... Un jour, un client me demanda même l'origine du nom de ma boutique, la Moutonnerie. Je lui expliquais cela pendant quelques instants, qu'il venait d'Héliopolis, où, ne se rappelant plus du nom exact, je m'étais écrit "Moutonnerie" sur l'entrée dans mon enclos à moutons... Parfois, étant seul devant mon comptoir, je rédigeais aussi divers petits textes... J'en avais justement rédigé un concernant une journée habituelle dans mon atelier. 2 mois plus tard... Ma renommée avait augmentée encore un peu plus. Parfois, allant faire un petit tour en capitale pour me réapprovisionner de ressources inaccessibles à Cérule, j'entendais souvent parler de moi, et de la qualité de mes services. On me disait : "Pourquoi ne t'installes-tu pas en capitale ?", et je leur répondais : "Ce n'est pas mon but, Cérule me suffit largement pour l'instant."... Les échoppes : Je n'ai qu'une échoppe de prévue pour l'instant. Elle se situera sur Stendel, à Cérule. Mon échoppe à Cérule Il n'y a là-bas que des emplacements, en quelques sortes "préfabriqués", qu'il ne reste plus qu'à aménager à l'intérieur. La galerie commerçante de Cérule Motivations Je voudrais devenir commerçant pour plusieurs raisons. La principale, c'est qu'être commerçant rajoute un peu d'"action" au quotidien : devoir gérer ses prix, se faire sa réputation/clientèle, pouvoir participer à divers évènements commerçants... Car il est vrai que Minecraft, qui est un jeu aux possibilités infinies, devient assez lassant à certains moments... Il y a aussi le fait d'avoir le sentiment d'aider les autres via notre échoppe, en leur épargnant de longues heures de "farming", avec ses stocks... La possibilité de manipuler les PAs, est aussi un avantage non négligeable, pour payer un paysan, par exemple... De rencontrer de nouvelles personnes en installant ses boutiques au quatre coins du serveur... Mais derrière tout cela, se cache aussi l'envie d'avoir un peu plus d'argent, pour se permettre plus de choses... En devenant commerçant, je m'engage à essayer de faire ce qu'il y a de mieux pour l'économie tisserande. Les prix J'ai calculé ces prix à partir de ce qu'il a été dit dans la Corporation des Tisserands Minefieldiens. Evidemment, ils ne sont pas définitifs. Laines colorées : 0,25 PAs/unité soit 1 PA les 4 soit 16 PAs le stack. Escaliers en laines colorées : 1 PA/unité soit 64 PAs le stack. Rideaux en laines colorées : 1PA/unité soit 64 PAs le stack. Tableaux cerclés de fer : 7 PAs/unité soit 448 PAs le stack. Capes en laines colorées : 8 PAs/unité soit 512 PAs le stack. Lampions colorés : rouge, jaune, blanc, noir, orange, gris, rose, magenta, vert foncé, vert clair, gris clair et gris foncé : 3 PAs/unité soit 192 PAs le stack ; bleu foncé, bleu clair, cyan, et violet : 4 PAs/unité soit 256 PAs le stack ; marron : 9 PAs/unité soit 576 PAs le stack. Pour le cas de commandes importantes, je verrais au cas par cas. Voilà. Edits :
  12. Je met ta candidature en attente, le temps qu'un dirigeant la valide. En espérant que tu ne t'ennuis pas trop ces temps-ci !
  13. Bûcherons ? Je verrais plutôt ça chez les maçons ! Édit : C'est plus RP, du moins.
  14. Et pourquoi dok a validé une candidature ? x) (Allez la lire au passage ! )
  15. Je suis en train de rédiger ma candidature commerçante !
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