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Choupse

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Tout ce qui a été posté par Choupse

  1. Bonjour, Je viens plussoyer Dynnasty car il est très sympa et très actif . Je le connais depuis pas très longtemps mais j'espère qui sera accepté . Bonne chance Choupse
  2. Bonjour,Je viens soutenir Wariow parceque on a souvent besoin de nourriture et aussi car il est très actif. J'espère qu'il va pouvoir être commerçant bon chance . Un gros +1 Choupse
  3. Spécialisation : Forgeron Nom de l'échoppe : Forge & Co Localisation : Guenet Liens vers mes anciennes candidatures : Paysan V1 : https://www.minefield.fr/forum/topic/44290-refusécandidature-choupse/?hl=choupse Paysan V2 : https://www.minefield.fr/forum/topic/44655-acceptécandidature-choupse-seconde-tentative/?hl=choupse Villageois : https://www.minefield.fr/forum/topic/47576-acceptée-candidature-de-choupse-au-grade-de-villageois/?hl=choupse Citoyen : https://www.minefield.fr/forum/topic/51867-acceptécandidature-citoyen-choupse/?hl=choupse • IRL Je m’appelle Oscar, je vis à Paris et j’adore le foot. Je joue à minecraft depuis 4 ans maintenant et grâce à Minefield je ne m’en lasse pas ! J’espère jouer sur ce serveur encore longtemps ! • IG In-game j’ai d’abord été bucheron puis tisserand et enfin forgeron aujourd’hui. Je suis citoyen. J’ai une magnifique maison dans la capitale et j’espère y avoir bientôt un shop ! Je suis membre de Guenet, projet sur Stendel. J’ai bien participé à sa construction et j’y passe pas mal de temps en ce moment. J’adore les quêtes parce que j’adore les accessoires ! Je m’épanoui avec mon métier de forgeron offrant plein de crafts. Je ne m’embête jamais ! Choupse était maintenant citoyen depuis plusieurs années et vivait toujours dans l’ancien commerce de son ancien maître tisserand. Sa quête de soutiens pour obtenir le droit de rester dans la capitale était bien derrière lui. Dans tout le pays il était reconnu comme l’un des meilleurs. On venait des quatre coins de Stendel pour se procurer ses magnifiques lampions. L’objet était, en effet, à chaque coin de rue de chaque ville de chaque empire. C’est grâce à l’héritage de son maître que Choupse avait été le premier à developper le lampion en papier. Il était le seul à pouvoir leur donner ces couleurs vives sans pour autant prendre le risque qu’ils s’enflamment. Il avait commencé la conception de cet objet avec son vieux maitre et avait du la terminer seul. N’ayant pas le droit de les vendre directement dans son échoppe, Choupse passait par des commerçants de la capitale qui les revendait pour lui. Il empochait une petite somme d’argent mais les tisserands, eux, faisaient de vrais gros bénéfices. Toutefois cela ne les empêcha pas un jour d’avoir l’idée de reproduire le fameux lampion pour faire perdre à Choupse sa chère exclusivité. Rapidement chacun d’entre eux dévoila sa version du lampion, aux couleurs toujours plus pales et à la structure de moins en moins robuste. Ces commerçants les faisaient fabriqué à moindre coût par des paysans sans aucune notion d’artisanat. Ce retournement de veste fût un déclic pour Choupse qui décida, plutôt que de s’abattre, de faire front et de trouver une nouvelle idée qui révolutionnerait son lampion, et lui apporterait à nouveau le succès. Choupse partit se ressourcer quelques semaines dans sa maison de campagne, à Guenet. La ville était en grands travaux. Quelques jours plus tôt, une énorme tempête s’était abattue dans l’Est-Stendelien et avait fait cédé beaucoup de poutres dans la ville. Certaines maisons n’étaient plus habitables. Les experts mirent rapidement en cause les supports qui soutenaient les grosses poutres de sapin. Ceux-ci étaient en bois de chêne et bien que résistant en temps normal, ne l’étaient plus. Il fallut donc développer un nouveau support et l’acier fut le matériau choisi, principalement pour sa robustesse légendaire. Choupse qui était là pour se changer les idées décida de prendre part à ce projet en participant au développement de ce nouvel objet essentiel à Guenet. Bien avant sa formation intense de tisserand, Choupse travaillait dans une usine fabriquant des aiguilles en acier. C’est d’ailleurs là que sa passion se révéla. Ce simple travail qui devait lui permettre de payer ses factures lui apprit beaucoup et lui permit de savoir maitriser l’acier, de lui donner la forme qu’il voulait. Les ingénieurs peinaient à trouver une forme optimale pour le support. C’est Choupse qui proposa la première ébauche et elle ne fut d’abord pas très bien accueillie : - "Ce n’est pas un tisserand qui va nous apprendre notre métier ! Il est beau ton dessin mais irréalisable ! Si cependant tu sais comment faire on prend bien sûr haha ! Mais j’en doute mon petit …" - "Je vous apporte ça demain matin !" répondit Choupse très calmement. Il rentra chez lui et souffla la poussière qui recouvrait ses vieux outils de l’usine d’aiguilles. Il passa la nuit à forger le parfait support et retrouva ses anciennes sensations qu’il affectionnait tellement. C’est au bout d’une dizaine de tentatives qu’il réalisa un support qui lui convenait. Inutile de dire qu’il fut le héros le lendemain. Son prototype fut accepté et devint le support officiel de la ville. De nombreuses cités demandèrent même à leurs forgerons de trouver un moyen pour forger et reproduire ces mêmes supports. - "Comment as-tu fait ? C’est de l’art à l’état pur ! Bravo Choupse, tu devrais sérieusement considérer une carrière dans une forge de Stendel, tu as de l’avenir !" Choupse n’était plus seulement l’inventeur du lampion mais aussi celui du support en acier le plus solide du pays, deux objets complètement différents, mais si complémentaires … Grâce à cette invention Choupse fut allègrement récompensé. Il décida d’utiliser ces pièces d’argent pour renouveler son attirail de forgeron et surtout pour se procurer de l’acier afin de travailler sur un nouveau projet qui était né lors de sa nuit passée à forger le support. Cette aventure à Guenet lui fit réaliser que les deux blocs pour lesquels il était connu allaient extrêmement bien ensemble. Ses lampions étaient magnifiques lorsqu’ils étaient accrochés à un support. Beaucoup de citoyens avaient déjà repéré la complémentarité des deux blocs et s’en était servis pour éclairer leurs façades. Or, la structure en bois du lampion ne convenait pas à l’acier du support, et il était ainsi compliqué de les faire tenir durablement. De même, à l’extérieur, le papier prenait l’eau et il fallait rallumer la lampion plusieurs fois par jour. Choupse travailla des nuits sur une solution à ce problème et arriva à un résultat époustouflant. Il avait crée une sorte de cage pour le lampion, qui le protégeait des intempéries et qui s’accrochait parfaitement au support. Choupse était plutôt serein quant à la non reproduction, du moins rapide, de sa nouvelle création, mais décida tout de même de la garder dans son atelier, à l’abris de regards extérieurs. Le talent requis pour la création de cet habillage pour les lampions n’était détenu, pour l’instant, par personne d’autre. Il ne voulait toutefois pas refaire la même erreur, en le dévoilant un peu prématurément. Choupse était maintenant reconnu pour ses qualités de forgerons, de nombreuses personnes faisaient appel à ses services pour se procurer les objets de son métier. Les forgerons installés en capitale, en effet, n’étaient que très peu actifs et se renouvelaient très rarement. L’arrivée de Choupse dans ce secteur fit du bien au métal qui redevint à la mode. À chaque fois qu’il rencontrait quelqu’un on lui demandait quand est-ce qu’il serait enfin possible d’acheter directement ses objets forgés, chez lui, dans son magasin. Cela l’amena à songer au commerce, d’autant plus qu’il lui restait plus que les quelques centaines de pièces d’argent requises pour acquérir la précieuse licence. Choupse se lança et rédigea sa demande dans laquelle il expliqua ses motivations, ses accomplissements en tant que citoyen et à laquelle il joint aussi les esquisses de ses futures échoppes. Il déposa la candidature le lendemain à la première heure, dans la boite aux lettres de la personne chargée des licences commerçantes. Et l’attente commença … La nouvelle se répandit et on vint vite supporter l’ancien tisserand. Cette fois-ci, Choupse n’allait manifestement pas avoir de mal à prouver qu’il méritait cette précieuse licence. Il était littéralement connu dans tout le pays et n’avait aucun d’ennemi capable de faire rater sa nouvelle perspective de carrière. Il préparait, dans l’attente, la production de ses nouvelles lanternes d’acier afin de les vendre en masse le jour venu. Toute la ville ne souhaitait, elle, qu’une chose : découvrir la nouvelle invention du prodige forgeron. Quelques mois plus tard Choupse obtînt sa licence si méritée. Immédiatement il alla enchérir sur la parcelle qu'il convoitait en capitale. Il était tout excité d'autant plus qu'aucun concurrent ne semblait pouvoir l'en empêcher. Il remporta donc facilement la vente et emménagea deux jours plus tard. Il avait demandé de l'aide à quelques amis qui l'aidèrent a déplacer ses outils, ses enclumes, tout le matériel de son atelier. Les plans de son échoppe dessinés depuis bien longtemps, la construction de son magasin fut aussi rapide. L'engouement autour de son futur magasin motiva la ville et tout habitant semblait heureux d'aider Choupse afin qu'il s'installe le plus rapidement possible et qu'ils puissent, eux, profiter de ses nombreux produits de qualité. De l'autre côté du pays Choupse pu aussi ouvrir une échoppe : à Guenet. Les dirigeants avaient promis au forgeron un point de vente après son aide précieuse pour la ville. Il aménagea donc un petit point de vente à partir de la maison qu'on lui avait offerte. Il pu ouvrir rapidement son commerce et faisait déjà l'unanimité chez les citoyens de la ville. Ainsi, pendant que son magasin en capitale se construisait petit à petit, il resta à Guenet et goûta au commerce dont il avait tant rêvé. Il ne se contentait pas de donner quelques coups de mains, il prenait des commandes ou conseillait des clients sur l'objet le plus adéquat à leurs envies. Son activité lui rapportait déjà de l'argent alors que seul son magasin de campagne était ouvert au public. Les travaux en capitale étaient terminés et Choupse communiqua à tout le monde la date officielle d'ouverture de son magasin. En attendant il arrangea son atelier comme il le voulait et prépara ses stocks pour la grande journée. Il en profita aussi pour enlever la poussière qui s'était amassée sur ses nouvelles lanternes qu'il allait enfin pouvoir révéler. Extrêmement méticuleux il fit même quelques retouches sur certaines soudures, il y passa finalement la nuit. Le lendemain c'était déjà la grande ouverture et de nombreuses personnes étaient aux rendez-vous. La rumeur avait couru et les gens avaient fini par savoir que Choupse préparait quelque chose de spécial. La journée fut éprouvante mais riche pour Choupse qui écoula presque la totalité de son stock de lanternes en acier. Elle fut un grand succès. Dès le premier jour d'ouverture la ville était déjà plus lumineuse. Les lanternes éclairaient les rues de manière remarquable et même par temps de pluie elles restaient praticables. Le jeune forgeron était comblé. Il avait bien mérité ce moment de fierté. Chaque matin il se levait fier de son travail auquel il avait donné un réel sens avec le commerce. Commercer était en fait une vocation pour lui, il était né pour cela. Ses magasins Forge & Co. étaient devenus de vraies entreprises pour le pays. Choupse travaillait avec des mineurs qui lui procurait les précieux minerais dont il avait besoin pour réaliser son alliage particulier. Il avait également embauché quelques apprentis avec qui il partageait son savoir-faire. Il était déterminé à transmettre ce que son maître lui avait transmis à l’époque, lorsqu’il n’était qu’apprenti. Choupse était maintenant bien plus que le simple forgeron qu'il était il y a encore quelques mois. Sa réputation, bien que déjà bonne, avait explosé et son travail était reconnu dans tout le pays. Ses lanternes de qualité avaient eu un franc succès et il travaillait déjà sur de nombreux projets très prometteurs accompagné par ses jeunes apprentis regorgeants d’excellentes idées. La firme Forge & Co. avait un futur bien assuré ! Les tarifs ne sont pas tous présents car j'ai prévu de pratiquer les prix de la corporation. J'ai néanmoins mis les objets que je vendrai. Je n'ai prévu pour l'instant qu'un seul shop se situant à Guenet. Néanmoins j'aimerais beaucoup m'installer en capitale. Ci-dessous un screen de la décoration plutôt simple de mon échoppe à Guenet : Dans ma candidature pour devenir citoyen je dis que je compte m’arrêter là et ne pas me lancer dans le commerce. J’ai changé d’avis. D’abord car à l’époque j’étais tisserand et que je ne me voyais pas m’installer en capitale, ou nulle-part ailleurs d’ailleurs, pour vendre de la laine ou des capes. Mais avec leur disparition le métier a vraiment perdu quelque chose et j’ai donc décider de passer forgeron : la spé avec le plus de crafts possibles. Depuis je suis toujours sollicité au moins une fois par jour pour un craft et ainsi je ne m’embête absolument pas. D’autre part, les forgerons en capitale sont peu actifs, j’aimerais beaucoup m’y installer et offrir d’autres objets aux joueurs. Si je veux passer commerçant c’est parce que je me sens utile en tant que simple citoyen mais surtout parce que je pense que le serai encore plus en ayant une licence ! Merci de m'avoir lu ! Choupse
  4. Choupse

    6, Avenue Dumessy

    Je prends, suite à la remise en vente de mon autre parcelle. Merci !
  5. Joueur sympa, il merite ce +1
  6. Juste pour vous prévenir au cas ou vous auriez besoin d'un forgeron je le suis désormais
  7. Je suis passé forgeron. Merci!
  8. [barrer]Ouai mais du coup ma tête ne s'affiche plus dans le profil, je vais demander à un admin de changer mon nom forum.[/barrer] EDIT : RÉSOLU
  9. Comme pouvez l'avoir compris en lisant le titre du message, il y a une erreur dans l'indication de mon rang et ça depuis que je suis devenu paysan. Je suis toujours indiqué comme paysan. Voila si vous pouviez m'aider ça serait super ! Choupse
  10. Je plussoie Mopitio car il est très actif sur toutes les maps et c'est un bon ami. J'espere qu'il va être accepter en temps que citoyen . Alors Mopitio +1 .
  11. Je vien plussoyer thejuliuscesarus car c'est un bon ami au nether et aussi sur les autres map . Alors thejuliuscesarus + 1 Et aussi bonne chance .
  12. Je plussoie mon ami theor car c'est un bon ami au nether . Alors theor +1. J'espere qu'il deviendra citoyen Bonne chance !
  13. Je m’appelle Oscar, je vis à Paris. J’adore jouer au tennis, je pratique plusieurs sports et j’aime passer du temps à me dépenser. J’aime aussi les jeux-vidéos, sur console comme ordinateur. Je ne joue pourtant qu’a Minecraft, plus souvent Minefield. J’aime ce serveur et je sais pourquoi il est numéro un en France, je ne suis pas prêt de faire mes valises. Depuis que je suis Villageois mes habitudes n’ont pas vraiment changées. Je passe pas mal de temps dans le Nether avec des amis. Nous essayons de nous imposer en combattant nos ennemis. J’ai toujours ma petite base, dans laquelle je produit des potions pour faciliter la mort de mes ennemis. J’ai aussi intégrer le projet Guenet sur Stendel. J’y ai une maison et je suis citoyen de la ville, la voici : Quand je ne suis pas au Nether j’aime me détendre dans la fraiche forêt de Guenet. Les habitants de cette ville sont très gentils et nous sommes très amis à présent. En ce moment je m’épanoui en jeu et je pense que ce grade me rendra encore plus heureux et me conservera sur Minefield. Je souhaite devenir citoyen pour continuer mon ascension dans les grades et surtout la finir. Je ne pense pas aller jusqu’au commerce, je ne suis pas fait pour ça. Je souhaite changer de spécialisation de métier en passant de bucheron à tisserand. En passant tisserand je pourrais crafter les beaux lampions et des capes pour les nouveaux arrivants. Cela permettrait d’aider Guenet, ma ville, en leur donnant des lampions pour décorer les belles maisons. Je veux devenir citoyen pour pouvoir m’acheter une maison dans la capitale, c’est mon plus grand rêve. Je pourrais avoir la chance de m'établir dans cette si belle ville qu’est la capitale de Stendel. Voilà, ce sont les raisons de cette demande, mes motivations pour ce grade ! Choupse était devenu littéralement accro au métier et activités de bucheron. Cette période l’avait changé. Il était très heureux, sa vie était belle. Malheureusement un évènement vint bousculer son quotidien si paisible. Son maitre tisserand avait la santé fragile et il se faisait vieux. Il vivait en ce moment ses derniers jours à Stendel. Choupse décida de l’aider en le soutenant pour ces derniers instants. Il se remit donc au métier à tisser et retrouva rapidement les mouvements originaux du tissage de cape et autres rideaux. Il appréciait à nouveau cette activité. Ces heures de nouveau tissage ravivèrent ses souvenirs datant de son arrivée dans la capitale et de l’offre de travail que lui avait offert son maitre. Son état s’aggravait de jour en jour, en chaque jour il tissait de moins en moins et se fatiguait de plus en plus. Un jour, il l’appela et lui dit : - Choupse, je veux que tu reprennes ton métier de tisserand et que tu aides mon cousin, qui reprendra le commerce, à confectionner les capes pour lesquelles tu est si doué. Tu est surement l’apprenti le plus talentueux que j’ai rencontré dans ma vie et je tiens à ce que tu profites de ce talent pour reprendre, un jour, mon commerce. - Ne vous inquiétez pas, le métier de bucheron ne m’attire plus. Je reprendrai mon rôle de tisserand avec plaisir. N’étant pas encore citoyen, Choupse n’avait pas le droit de commercer, ni même d’avoir une maison en capitale, il devait tout d’abord écrire une candidature aux gouverneurs pour les convaincre de l'accepter en tant que citoyen Stendelien. Pour leur prouver qu’il devait devenir citoyen Choupse devait réunir ses amis pour qu’ils apportent leur soutien à sa candidature afin d’être accepté plus facilement. Choupse allait être contraint de rédiger cette demande si il voulait s’installer dans la capitale pour travailler plus facilement. Quelques heures plus tard son maitre mourra et laissa son commerce à son cousin. Choupse continua d’aider cet homme pendant quelques jours jusqu’a ce qu’il du commencer la rédaction de sa demande de citoyenneté si il voulait rester dans la ville principale de Stendel. Il rédigea sans problème la candidature et après quelques heures de rédaction, il la posta. Pour se faire, il se rendit au château des empereurs pour délivrer cette candidature. Les personnes le souhaitant pouvaient apporter leur soutien à sa candidature. Quelques bons amis de Choupse vinrent pour le soutenir, des gens de la famille de son défunt maitre. Malgré ces gentils plussoiements Choupse ne comptabilisait pas un total suffisant. Il n’en avait que six. Choupse commença une sorte de quête pour obtenir d’autres soutiens. Il retourna dans sa ville natale, pour commencer. Il y retrouva ses anciens amis qu’il avait quitté pour commencer une vie totalement différente, dans la capitale. Les personnes qu’il connaissait avaient vraiment changées et étaient devenues adultes et commerçants. Bucherons, pêcheurs, fermier ou mineur les villageois de son ancien chez lui vivaient de leurs récoltes et trouvailles. Les retrouvailles furent chaleureuses et les villageois supportèrent volontiers leur vieil ami qu’était Choupse. Malheureusement ces messages n’avaient pas beaucoup d’importance face à ceux d’un citoyen. Il décida donc de retourner en capitale pour convaincre des personnes plus influentes. Pendant plusieurs jours Choupse fit une dépression. Il ne pensait pas arriver à ce grade qu’il désirait pourtant tant. Pendant plusieurs jours Choupse resta cloîtré dans l’atelier tisserand de son maitre, n’ayant pas encore de chez-lui. Malgré ce passage difficile, ses soutiens s’élevaient maintenant au nombre de dix, ce qui restait un nombre raisonnable. Il décida de faire tout ce qu’il était possible pour obtenir le soutien de deux ou trois citoyens et finir sa candidature en beauté. Choupse sorti enfin de son lit et pris l’air. Il avait préparé des offres de petits boulots pour assister des citoyens en manque d’aide. Il les placarda sur les panneaux d'annonces pour assurer leur visibilité. Quelques jours plus tard un homme le contacta par le biais d’une lettre. Dans cette dernière il expliquait brièvement qu’il avait besoin d’un assistant courageux et vaillant et près à combattre les pires monstres. Choupse fut très impressionné par ce petit bout de papier mais il décida tout de même de donner suite à cette demande et il donna rendez-vous à l’homme. - Si j’ai besoin de quelqu’un comme vous c’est car je suis en rupture de stock, de marbre. Ces derniers temps, en effet, on m’a littéralement dévalisé, dit l’homme, là-bas, dans les enfers, est le seul endroit ou l’on peut se procurer cette précieuse matière. Or j’avoue avoir peur des créatures qui rodent autour de moi alors que je casse avec effort les gros blocs de marbre noir. L’homme termina en disant : - Je vous propose donc de m’accompagner et d’assurer ma défense entre lave et monstres, en échange je vous paierai raisonnablement. - Ca marche ! dit Choupse qui ne savait pas vraiment dans quoi il s’embarquait. Deux jours plus tard les deux homme se retrouvèrent dans le quartier indigène, non loin du portail qui permettait de passer dans les enfers. L’homme donna une armure à Choupse qui n’avait rien pour se protéger. Il lui donna aussi une épée en fer en disant avec un brin d’ironie : - Cela pourrait vous être utile. Choupse était tout blanc mais traversa le portail sans réel difficulté. De l’autre coté il découvrit un monde chaud et sec mais aussi une capitale. Les lacs de laves jonchaient les terres des enfers et toute forme de végétation était morte. Dans le ciel des créatures blanches volaient et poussaient des cris peu rassurant. Les deux hommes empruntèrent le pont Lucifer et coururent ensuite jusqu’a l’endroit de récolte de ce mineur. Sur le chemin ils eu affaire à quelques monstres de magma qui n’était pas coriaces et difficiles à détruire. Ils arrivèrent ensuite au sommet de ce monde et Choupse aperçût pour la première fois le marbre brut dans son état pur. Le mineur dégaina une pioche enchanté, la seule à pouvoir casser le solide bloc. Le jeune homme pris à présent la défense de l’homme qui cassait, derrière lui. Quelques minutes plus tard, Choupse aperçut une forme qui lui évoquait quelque chose, il s’agissait pour lui d’un simple zombie. Or au fur et à mesure Choupse s'inquiéta. Il distingua plus tard une tête de cochon sur le buste de la chose. Il avertit donc le mineur pour le prévenir de l’arrivée d’une créature bizarre. L’homme se retourna rapidement et soupira, comme s’il savait de quoi il s’agissait. - C’est un homme zombichon, en soit, un zombie avec une tête de porc, ces choses sont plutôt dangereuses et ... il n’avait même pas terminé sa phrase que Choupse s'élança vaillamment sur le monstre. Il le frappa plusieurs fois, le combat fut coriace mais il le tua finalement. - Voilà une bonne chose de faite, dit Choupse, fier de son meurtre. - Tu n’aurais pas du, chuchota l’homme, ses compères ne vont pas tarder à arriver, nous devons déguerpir, et vite fait ! Les deux hommes prirent les gros sacs qu’ils avaient remplit et coururent, les jambes à leurs bras, jusqu’a la sortie. Il passèrent le portail alors qu’ils entendaient encore les gémissements des monstres qui les poursuivaient encore. - Ici ils ne peuvent rien, ils ne peuvent pas traverser ce portail ! dit le mineur - Encore heureux, dit Choupse essoufflé. Choupse raccompagna l’homme dans son magasin et ils entreposèrent le marbre qu’ils avaient récoltés ce jour-là. - Je te remercie ! Grace à ton aide j’ai pu renflouer mes stocks et je vais être tranquille pendant un petit moment. Les deux hommes en effet étaient restés plusieurs heures là-bas et avaient eu le temps de récolter plusieurs centaines d’unités de marbre. - Voilà pour toi tu l’as bien mérité ! dit le mineur en tendant une bourse de cuit vers Choupse. - Merci monsieur, ce fut un plaisir ! répondit Choupse, sur un air ironique. - J’ai aussi vu que tu avais posté une demande de citoyenneté ? Je n'hésiterais pas à aller la soutenir ! Je parlerai de toi à des amis pour faire en sorte que tu sois accepté dans la capitale. Encore merci à toi et reposes toi bien ! Choupse était si heureux. Les jours suivants plusieurs citoyens soutinrent sa demande. Ses soutiens s'élevaient à seize, il stoppa donc sa quête du soutien, trouvant ce nombre plutôt raisonnable par rapport à ce qu’il avait vu. Choupse retourna donc tranquillement dans sa phase d’attente qui n’allait plus être longue, déjà un mois était passé depuis la publication de sa demande. Merci de m'avoir lu ! Cordialement, Choupse
  14. Je plussoie Rismau car il est très actif au nether et c'est un bon ami
  15. Je viens dire que je n'ai pas pris ton épee. Je sais qu'une fois des objets on disparu après un bug comme ça. Les modos peuvent venir verifier dans mes coffres, j'ai la meme épee mais ils verront que je l'ai ajouté y'a longtemps.
  16. Je soutien de tout coeur mon ami Pyere, je le connais depuis mais début sur le serveur. Il m'a toujours aidé quand j'en avais le plus besoin, c'est pour cela que je suis certain que Pyere mérite amplement sa licence de commerçant. Bonne chance Pyere Choupse
  17. Choupse

    Le mot suivant

    graal -> récompense
  18. Je viens pour soutenir boubchoup, pour qu'il ait sa licence. C'est le premier joueur qui m'a parlé et je lui en suis très reconnaissant. Il m'a beaucoup aidé. Il m'a montré une ville sympathique ou je suis a présent installé. Il continue encore de m'aider de temps en temps. C'est un joueur qui mérite d'être commerçant ! C'est pourquoi je lui donne mon +1 Choupse
  19. Candidature Villageois de Choupse IRL Mon nom est toujours Oscar, j'ai toujours 13 ans. Je suis à présent rentré en Quatrième à Paris, toujours dans le même collège. Je joue de plus en plus sur Minefield et je ne cesse de découvrir des tas de nouvelles choses qui me plaisent à chaque fois, comme aujourd'hui avec ce nouveau grade de Villageois, qui m'attire. Je consacre une bonne partie de mon temps libre à Minecraft mais surtout sur votre serveur, le meilleur en tout points. J'ai pas mal d'amis qui se sont mis à jouer à ce jeu et qui l'apprécient tout autant que moi. Ma vie InGame Depuis que je suis passé Paysan beaucoup de choses sont arrivés sur ma vie InGame. J'ai tout d'abord acheté une chambre dans le dortoir de Regly, une ville de New-Stendel, non loin de spawn, dans laquelle j'entrepose toutes mes richesses. J'ai par la suite essayé d'aider d'autres gens ou encore Regly en farmant par exemple le flint, ressource importante à la ville pour ses toits. Je passe beaucoup de temps au Nether, ou je retrouve les sensations du PvP que j'aime tellement. J'ai même acheté un petit cubo, de quoi poser mes armures et celles de mes victimes. A présent je tue et achète aux différents marchés, je souhaite devenir Villageois pour changer un peu ma routine et pouvoir chevaucher d'autres montures et surtout des poulets ! Motivations Tout d'abord je souhaite devenir Villageois pour acquérir la spécialisation me tentant le plus, à savoir Bucheron, plus facilement, qu'en déposant une candidature à la citoyenneté. Ce grade est plus axé sur les récoltes et cela tombe très bien car c'est ce que je désire faire et ce que j'aime faire. Je veux pouvoir crafter cette hache parfaite et retourner des buches pour les autres qui n'auront pas cette possibilité, je me rendrais donc plus utile. La citoyenneté apporte aussi l'opportunité d'acquérir une parcelle dans les capitales mais cela ne me tente pas plus que cela, c'est pourquoi ce grade Villageois m'est totalement approprié. Je souhaite aussi commencer a voir mes jours de jeu diminuer, je veux vraiment m'impliquer dans la survie du serveur et l'aider le plus possible évidemment. Je dois aussi avoué que la très récente apparition de ce nouveau grade m'attire car je veux absolument devenir l'uns des premiers Villageois du serveur. Mais c'est donc principalement cette idée de spécialité qui me motive à passer Villageois. Enfin comme dis plus haut je désire acheter une monture plus musclée de quoi aller plus vite au galop, et si possible de temps en temps "chevaucher" des poulets. RP Notre affaire marchait très bien et nous vivions assez blende notre association qui s'avéra extrêmement fructueuse pour nous deux. Nous avions unis nos talents pour former le magasin de tissage le plus célèbre du pays. Tout le monde venait acheter chez nous, nous ne connaissions pas la crise tant nous étions célèbres, mais nous n'étions pas pour autant riche... En effet, les objets que nous vendions dans notre échoppe n'étaient pas bien chers et nous rapportaient de faibles profits même si le nombre d'unités vendues dépassé notre espérance. Nous avions de vieilles machines qui commençaient à nous abandonner un peu plus, lors de chaque tissage. Il n'y a pas longtemps un célèbre ingénieur du pays avait créer une nouvelle machine si performante qu'elle multipliait par deux la vitesse de tissage d'une cape ou de rideaux par exemple, elle coûtait par conséquent très cher. Nous devions acheter un nouvel appareil pour tisser et celui-ci était parfait pour notre situation, excepté le prix. Nous n'avions clairement pas les moyens de se procurer un tel objet et de jour en jour le travail devenait de plus en plus fatigant pour nous deux, mais un événement changea totalement cette situation, un concours. Un gouverneur avait organisé un petit concours aux grosses récompenses. En effet, le gagnant empochait plus de milles pièces d'argent, de quoi nous payer cette machine à tisser. La personne coupant le plus d'arbres en l'espace d'une heure emportait le premier prix. Une activité donc bien différente de notre quotidien de tisseur mais je m'inscrivais et participais donc pour nous offrir cet objet que nous désirions tant, comme en ayant trouvé la solution à notre problème. Or cette victoire ne s'annonçait pas aisée, bien au contraire. J'avais déjà coupé du bois mais cela bien avant mon métier de tisseur, cela faisait donc bien longtemps que mes bras n'avaient pas portés une de ces grosses et lourdes hache. De nombreuses personnes s'étaient inscrites à ce concours, attirés par la récompense. La liste des participants ornait à présent les noms des bucherons les plus connus de Stendel, face auxquels je n'avais aucune chance. Les muscles faisaient, ici, la différence, c'est pourquoi je décidai d'échafauder un plan, axé sur le matériel utilisé. Chaque participant concourait avec une hache classique en fer, lourde et par conséquent peu maniable, mais découpant le bois aisément. Je me souvenu alors que les mages de la capitale avaient mis en vente des outils confectionnés avec des matériaux légers et résistants, de quoi créer un outil encore plus performant que les outils classiques et qui serait plus léger. Ceux-ci étaient en fait confectionner avec des joyaux précieux comme le saphir et des manches légers, en obsidienne. Parmi ce lot d'outils se trouvait une hache permettant de gagner le concours sans aucun problèmes, puisque le gouverneur en charge de l'événement avait autorisé les participants à apporter leur propre matériel. Celle-ci coutait chère mais je l'achetait immédiatement, sur de la rembourser seulement quelques heures plus tard, en gagnant ce fameux concours. Ce dernier allait bientôt commencer. Nous nous trouvions dans une immense forêt de pin, tous armés de nos outils les plus tranchants. J'observais attentivement le matériel de chaque participant mais aucun ne possédait le mien. L'organisateur sonna longuement une petite cloche, de quoi marquer le début de l'épreuve puis chaque personne se dirigeait alors vers un tronc pour le couper, je fis de même. Cette hache était vraiment parfaite, elle abattait complètement un arbre en moins de cinq minutes. Une heure plus tard, et avec pas moins d'une douzaine d'arbres abattus, j'étais proclamé gagnant de ce concours et remportais donc le premier prix. J'étais on ne peut plus heureux car nous allions pouvoir nous offrir cette machine si chère mais si performante. Quand à moi j'avais en fait développé une petite addiction à l'abattage d'arbres et après cette victoire je me rendais chaque dimanche, toujours équipé de cette hache si parfaite, couper une vingtaine d'arbres dans les forêts abondantes de Stendel. Notre commerce avait été complètement changé par l'arrivée de ce nouveau matériel. Cette machine, en effet, avait considérablement accélérée la vitesse du travail à faire, nous avions désormais beaucoup plus de productivité. Nous étions encore plus célèbre qu'avant, car il est vrai que ma victoire avait permis de nous faire connaitre et d'autres gens, jamais vu auparavant venaient nous acheter toutes sortes d'objets. Je conservai cette hache un long moment avant qu'elle ne casse et je déboisai quasiment trois forets complète. C'est donc après deux dimanches sans cette activité de bucheron que je me lassai. Je décidai immédiatement de m'en offrir une autre de quoi continuer à me faire plaisir. Cette hache et ce concours avaient tout deux finalement réveillés l'amour pour la nature que j'avais, avant de devenir tisserand dans la capitale. Je renouai avec les arbres, en les abattant, et cela me plaisait. Je continuai d'exercer mon métier de tisserand mais pensai sincèrement à une possible et futur reconversion vers le métier de bucheron. Merci d'avoir lu cette candidature En attente d'une réponse positive, j'espère ! Cordialement Choupse
  20. Je plussoie ce joueur vraiment super sympathique ! C'est pour moi un énorme +1
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