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Chafoins

Minefieldien
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Messages posté(e)s par Chafoins

  1. Bonjour peuple de minefield,

     

    Je poste ici car je souhaite obtenir un partenariat RP. Je suis armurier et j'espère pouvoir vendre les cottes de mailles pour pouvoir faire avancée mon projet de Cerve encore plus loin.

     

    RP :

     

     

    Chapitre 1: le départ

     

    Plusieurs mois ont passé depuis la mort du mage noir Fotherald et maintenant, Symia est plus prospère que jamais. Mais il reste beaucoup à faire, Symia doit se réaffirmer en tant que grande puissance comme elle le fut au temps de Magrad. Je me nomme Chafoins et je suis grand gorille de Symia. J'étais présent lors de la destruction de Magrad mais je ne me souviens de rien et aucun des autres singes qui étaient présents lors de l'attaque ne se rappellent non plus de qui j'étais. C'est comme si une magie avait effacé ma présence de la mémoire de tous mes compatriotes et également de la mienne. Depuis la mort du mage noir et depuis que l'on sait que l'alliance qui a attaqué Magrad n'existe plus, j'ai pris espoir , qu'un jour, je pourrai retrouver la bibliothèque de Magrad, en particulier les archives pour trouver qui j'étais. C'est ainsi que je partis en dehors de la grotte de Symia pour retrouver cette bibliothèque. Mais je n'avais pas prévu un tout petit détail : la taille de cette ville. Elle est tellement grande que chercher cette bibliothèque, c'est comme chercher une anguille dans une boite de foin (ou une aiguille, je sais plus...) et je fini par abandonner assez vite et retourna à Symia pour reprendre mon rôle dans le gouvernement en tant que gérant de construction.

    De nombreux mois sont de nouveau passés, Symia a établi de nouvelle relation avec le monde extérieur notamment avec l'empire de New Stendel. Et Symia s'est beaucoup développé. Cependant, je reste rongé par l'incertitude. Ne pas savoir qui on est peut-être dévastateur et je finis peu à peu par tomber dans la dépression et je ne pouvais plus assumer mon rôle dans le gouvernement. C'est ainsi que je démissionnai et laissai ma place à un autre singe, plus jeune, plus robuste, avec beaucoup d'idées pour la ville : MrCyrben. Et puis, je me retirai chez moi durant plusieurs jours, malade et affaibli. Je sentais mon heure arrivé, je suis le dernier encore en vie qui a connu le siège et la destruction de Magrad. L'idée de mourir, sans savoir qui j'étais, m'était insupportable et mes amis symiens le savaient aussi.

    Quelques jours après, le gouvernement symien a reçu une missive de New-Stendel. Les mages de New-Stendel ont ouvert un portail vers Stendel, un lieu où ce qui fut revient. Presque aussitôt, je fus convoqué dans la salle du gouvernement, ils m'ont annoncé la nouvelle et m'ont demandé si cela m'intéressai d'aller à Stendel accompagné d'une petite équipe dans un mois ou deux pour essayer de retrouver Magrad ou au pire, des ruines en meilleur état que celle qui existe à Symia. Cela fait très longtemps que j'attends alors un mois de plus à attendre, c'est purement et simplement hors de question. Je refusai donc la requête du gouvernement et leur dis que je pars sur-le-champ pour New-Stendel et rejoindre Stendel. Si cela n'a que peu de chances d'aboutir, je veux tenter ma chance avant de mourir. Et c'est ainsi que pour la première fois de ma vie en tant qu'homme-singe, je quittai Symia.

     

    Chapitre 2 : Le changement

     

    Me voilà arrivé à New-Stendel. Enfin. Il ne me reste plus qu'à trouver le portail pour Stendel. New-Stendel est si grande que je m'y perds et aucun arbre auquel grimpé pour m'orienter. Ce fut l'angoisse totale, j'avais peur de ne jamais retrouver le portail. Quelqu'un, un elfe on dirait, fini par me remarquer et me demanda ce qui se passe. Je lui répondis que j'étais à la recherche du portail pour Stendel à New-Stendel. Celui-ci me répondit que je n'étais pas à New-Stendel mais dans sa banlieu puis m'indiqua ensuite où était New-Stendel. Je n'en aie pas cru mes yeux. Une ville sur des iles volantes, je n'aurais jamais pensé à cela. Je montai dans la cité et trouvai le portail assez rapidement. C'était un grand portail qui imposé le respect. Je pris mon courage à deux mains et passai à travers le portail. Mon voyage, pour Stendel, a commencé.

    C'est vraiment une drôle de sensation que de traverser ce portail. L'impression d'être désintégré puis régénéré. Et j'ai également l'impression que ce portail m'a redonné ma force d'antan. C'est également une drôle de sensation, je me sens different mais je me dis que cela passera. Je partis donc à la pêche aux informations auprès du peuple de Stendel, s'il avait vu quelque part des ruines d'une assez grande ville et après quelques heures, mes recherches aboutirent plus que ce que je pensais auprès d'un homme. Certes, il n'a pas trouvé de ville ou ruines de villes mais il aurait aperçu un temple en ruine, banal mais avec une banane sculptée au-dessus de la porte. J'ai donc un endroit où chercher. J'ai remercié cet homme et celui-ci me dit « Mais de rien, messieurs ». Cela m'a étonné et avant de partir, j'ai cherché un point d'eau et dès que j'en ai trouvé un, je ne me voyais pas, je voyais quelqu'un d'autre, un homme, non pas un homme, il a les oreilles pointues, c'est un elfe puis je fini par comprendre que c'est bien moi et pas quelqu'un d'autres.

    Quelque temps plus tard, je décide de me remettre en route pour ce temple en ruine. D'après les dires de l'homme, les ruines sont quelque part à l'ouest près de la jonction de deux rivières avec une cascade d'eau. C'est parti pour l'aventure en tant qu'elfe et plus en tant qu'homme-singe.

     

     

    Chapitre 3 : les origines

     

    Je finis par retrouver ce temple. Il était quasiment enseveli mais ce que disait l'homme était vrai, il y a bien une banane de graver au-dessus de l'entrer de la porte. Il s'agit peut-être du dernier bâtiment de Magrad encore debout. Je me décidai de rentrer dans le temple et j'ai remarqué assez vite que ce temple est très petit : il s'agit d'un long couloir puis d'une petite pièce sans rien. Ce fut la cerise sur le gâteau, je perds espoir de savoir qui j'étais, d'où je venais. J'ai essayé de traduire les inscriptions sans grand succès. Je finis par remarquer, après quelques jours sur place, que des araignées passaient sous les murs. Il devait y avoir un passage quelque part, un levier, quelque chose pour ouvrir le passage. J'appuyais sur tout ce que je trouvais mais rien. Désespéré, je quittai le temple perdant tout espoir et m'assis à l'extérieur. J'attendis quelque temps puis je me relevai pour rentrer à Symia pour être auprès des miens. Mais quand j'ai fini de me relever, un bruit étrange se produisit. Le passage s'est ouvert. L'actionneur n'était pas à l'intérieur et à l'extérieur : c'est la banane. Je retournai à l'intérieur et m'engouffrai dans le passage pour arriver à une bibliothèque. La pièce est en un sale état. Il y a des araignées partout, c'est le bazar total. Le registre est quasiment illisible mais on pouvait lire quelques lignes:

    « …..repoussé ...première attaque …...Chafoins.......tout seul.......magie. C'est son apprenti ….. attaque.....noir, Fotherald.......................................................................................................................................Chafoins ….................inconscient...............évacué..... » C'est tout.

    Ainsi, je serai un mage et ce serait mon apprenti qui aurait détruit Magrad. Quelle triste histoire. Je me demande si j'ai bien fait de vouloir à tout pris savoir qui j'étais. Mais maintenant je sais, et je ne peux retourner à Symia désormais; C'est de ma faute si Magrad a été détruite.

    Plus loin, dans la bibliothèque, il y a une zone bien conservée. On y trouve plein de livres de magie et sur certains, l'auteur n'était autre que moi et ceux-ci parlent beaucoup d'aéromancie et d'Aquamancie. Tout ce savoir, je me devais de le partager, hors de question de le laisser se perdre mais avant toute chose, je dois mettre tout ceci en sécurité. Je dois repartir à Stendel.

     

    Chapitre 4 : La fondation

     

    Me revoilà à Stendel, je devais chercher un lieu où je pourrai protéger mais en même temps partager ce savoir. Je me baladais de quartier en quartier en quête de cette bâtisse. Puis en arrivant en haut de la montagne, je finis par trouver mon bonheur, une maison auprès d'autres mages. Je décidai de m'installer ici le temps de comprendre ces livres et de contrôler tout ce qu'ils contiennent mais je ne pouvais pas faire sa à Stendel. Il me faut un endroit sûr. En quittant la cité, je finis par tomber nez à nez avec l'elfe qui m'avait indiqué où était le portail pour Stendel. Je le remerciais encore de m'avoir indiqué le chemin mais elle ne me reconnut pas. Je lui expliquai donc ce qui s'était passé et celle-ci comprit que je ne pouvais pas faire des expériences dans la capitale et me proposai de rejoindre sa cité : Almaris, une cité d'elfe. J'ai accepté tout de suite. Cet elfe se nomme Beautifulreal.

    Me voici à Almaris, une magnifique cité proche de la nature et de la neige. Beautifulreal m'accorda une maison et une zone où faire mes expériences dans le bourg. En contre-parti, je devais apprendre cette magie aux Almars en priorité ce que j'ai accepté.

    Après des mois d'études, je maitrise totalement les sorts et enchantements et j'ai déjà fait profiter beaucoup d'Almars. Maintenant, il faut que le monde entier connaisse ses pouvoirs. Et quel meilleur moyen que de recopier tous ces livres et pouvoir les distribuer aux plus de gens possibles qui ont le minimum de savoir en magie avec divers poudres qui pourront s'avérer utile.

    Ainsi fût fondée la MagicSchool.

     

     

    Chapitre 5 : Une nouvelle maitrise

     

    Voilà maintenant quelques semaines que j’étudie tous ces livres trouvé dans la bibliothèque et que j’enseigne aux almars et à quelques autres personnes les usages rudimentaire de la magie, notamment l’utilisation du feu. Peu réussissait à maitriser le feu, mais à ceux qui réussissait à le maitriser, je leur donnais d’autres cours, cette fois sur la maitrise de la foudre et là, personne ne réussissait. J’étais peu enclin à utiliser les bâtons de feu et de foudre mais avec le peu de taux de réussite, je finis par me résigner et en fabriqua quelques-uns. Sans aucun entrainement, ils savaient les utiliser sans aucun problème. A quoi cela sert que je donne des cours si tout le monde peut utiliser la magie par le biais de ces bâtons ? Et il est hors de question que je leur enseigne l’aquamancie qui est encore plus compliqué que l’électromancie et encore moins les enchantements puisque s’ils ne savent pas contrôler leur magie alors ils ne pourront pas enchanté des outils correctement. Je vais donc arrêter d’enseigner la magie de peur que cela puisse tourner à la catastrophe mais les almars continuent de me faire pression pour que je continue. Au final, j’arrête les cours mais je fabriquerai les bâtons de feu et de foudre mais avec quelques modifications : ils ne feront aucun dégâts. Je sais que cela ne fera pas plaisirs mais je ne veux pas être à la base d’un autre cataclysme comme celui qui nous priva de Stendel durant des années. Mais arrêter les cours va me permettre de me consacrer à mes recherches. Actuellement, je maitrise la pyromancie, l’électromancie et l’aquamancie mais pour perfectionner des enchantements, il faut que je maitrise l’héomancie et également toutes les subtilités des outils et des …… Minute, les outils sont de simples outils de travail mais si j’enchantais plutôt des armures, alors je pourrais sauver des hommes. Une armure enchanté augmenterai sa résistance et donc protégerai mieux la personne la portant. Oui, finalement, je vais effectuer mes expériences sur l’enchantement d’armure. Mais avant de pouvoir espérer effectuer des enchantements de haut niveau, je dois absolument maitriser l’héomancie, en plus des maitrises que je maitrise déjà. En effet, avec la pyromancie, je pourrais rendre l’armure imperméable à la lave ; avec l’électromancie, je pourrais créer un champ autour de l’armure pour diminuer le pouvoir gravitationnel et ainsi diminuer le poids de l’armure ; avec l’aquamancie, l’armure pourrait devenir totalement submersible ; pour finir, avec l’héomancie, je pourrais éviter que l’armure rouille quand celle-ci sera ébréchée et ainsi augmenter sa durabilité.

    Alors, ais-je un livre sur l’héomancie ? Ah, le voilà, bon commençons.

     

    Voilà maintenant quelques jours que j’étudie ce livre. Il est temps de passer à la pratique, donc direction la forêt d’Almaris. Ah, voilà un petit coin sympa. Par quoi je vais commencer ? Voyons, voyons…….. Je vais commencer par la boule d’air. Aïe, mes mains. Le livre disait vrai, l’héomancie est très dangereuse, cette boule a failli me brûler la main. Je vais continuer, je finirais bien par la maitriser.

     

    Chapitre 6 : L’installation à Stendel

     

    Voilà maintenant des semaines que j’étudie et pratique l’héomancie et j’ai fini par la maitriser. Il est temps de faire mes premiers enchantements. Mais comment sont faites les armures ? Je me le demande, est-ce-que j’ai des livres qui parle de leur fabrication ? Voyons, voyons,….non, on ne dirai pas que j’en ai. Allons voir au château, il doit bien en avoir.

     

    Me voici dans la bibliothèque almar. Alors, le forgeage, c’est par où….. Ah voilà, c’est ici. Quoi ?? Rien sur le forgeage d’armure ??

    « Hé, moins de bruit, il y en a qui essaie de travailler. »Entendis-je au loin.

    Me serais-je exprimer à voix haute ? Peut-être. Mais où vais-je apprendre comment sont faites les armures ? Il y a un endroit en particulier où je vais trouver un de ces livres à coup sûr : Stendel. Et s’il n’y est pas… non c’est impossible, je suis sûr qu’il doit y être. Alors direction Stendel.

     

    Pfou, je ne me rappelai pas que la route était si longue. Mais bon, me voici arriver. Avant de recherché ce livre et de commencer mes recherches, il vaudrait mieux que je m’offre à Stendel, je risque de rester longtemps. Avec l’argent gagner avec les cours, cela devrait suffire. Visitons un peu la capitale pour trouver une maison libre où je pourrais faire mes expériences tranquillement.

     

    Après quelques heures de marche, je fini par trouver la perle rare. Une maison, place des mages, un peu reculé et en plus, peu cher. C’est l’endroit parfait pour faire mes recherches. Après avoir acheté la maison, je me dirige vers la bibliothèque de Stendel. Elle est impressionnante, je devrais trouver ce que je cherche. Et oui, en effet, je fini par trouver le livre que je cherchais : les subtilités des armures. Il ne me reste plus qu’à l’étudier et apprendre à forger des armures. Après, on pourra commencer le vrai travail.

     

    Chapitre 7 : le premier enchantement

     

    Le forgeage des armures est vraiment complexe mais je fini par comprendre toute leur subtilités et également leurs grands défauts. Et tous ces défauts sont des dangers pour leur utilisateur, il faut corriger cela. Il est temps de faire mon premier enchantement mais avant ça, il faut que je réunisse tous les ingrédients nécessaires et ces ingrédients diffèrent par rapport à l’enchantement que l’on veut faire. Alors quel défaut vais-je essayer de corriger aujourd’hui ? Je pourrai commencer par essayer d’empêcher l’armure de rouiller. Oui, commençons par ça. Il va me falloir du temps pour réunir tous ces ingrédients et je ne veux pas que des personnes mal attentionnées volent mes recherches. Comment pourrais-je faire ? Je sais, je vais demander l’aide de mes amis almars qui sont actuellement à Stendel.

     

    Après quelques minutes, quelques almars se trouvaient devant chez moi, tous des anciens élèves qui acceptent de m’aider sans chercher à savoir ce que je fais et de toute façon, si je suis à l’intérieur, ils n’arriveraient pas à rentrer. Je leur donnai donc la liste des choses à aller chercher et ils s’exécutèrent. En attendant, j’avais remarqué, il y a quelque temps, que cette maison est l’ancienne maison d’un forgeron et tout son matériel est resté là. Vu que j’ai beaucoup de temps devant moi, autant essayer de forger moi-même des armures, ça me fera du savoir supplémentaire et peut-être que cela m’aidera à encore mieux comprendre les défauts des armures à corriger.

     

    Il fallut quelques jours pour que mes anciens élèves ne reviennent mais ils avaient tous ce que je leur avais demandés. Et en plus, je venais de finir, le jour précédent, de forger ma première armure donc autant m’en servir pour ma première expérience. Après quelques heures de tentatives d’enchantements, je fini par réussir d’enchanter l’armure. Allons l’essayer. Tiens un soldat qui s’apprête à partir au combat, il pourrait faire un bon cobaye. Allons-le-lui demandé.

    « - Excusé moi messieurs

    - Oui ? Me répondis le soldat

    - Vous avez l’air de partir au combat

    - En effet. Me répondit le soldat, toujours aussi froid

    - Dites-moi, pouvais vous me rendre service en y allant avec cette armure ? Demandais-je

    - Et pourquoi ferais-je cela ?

    - Ba, je suis un enchanteur et j’ai réussi à enchanter cette armure mais j’ai besoin que quelqu’un la teste. Normalement, elle devrait être quasi-indestructible.

    - D’accord, au pire sa restera une armure basique. Venais me retrouver ici dans une semaine, je devrais normalement être rentré. »

    Je dois donc attendre une semaine. Sa risque d’être long, autant me préparer des stocks d’armures pour de futures enchantements.

    Une semaine a passé, le soldat devrait être rentré, allons voir.

    « - Hé, l’enchanteur, par ici !! Entendis-je au loin. C’est le soldat, il est encore en vie. Bon, au moins j’aurai forgé une armure résistante.

    - Qu’avez-vous fait à cette armure ? J’aurais dû être transpercé par la lame d’un brigand mais elle s’est brisée au contact de l’armure. C’est incroyable !

    - C’est assez dur de l’expliquer, disons juste que j’ai réussi à l’empêcher d’être rayer. Puis-je la récupérer ?

    - Bien sûr mais attendais vous à de grande demande d’armure. »

    Ce fut une grande joie, tous ces mois à expérimenter ont porté ces fruits et en plus, je pourrais vivre de cela. Que rêvait de mieux. Maintenant, il faut que j’enchante d’autres armures et en masses surtout.

     

    Chapitre 8 : Un nouveau départ

     

    Voilà plusieurs mois que j’enchante des armures grâce à ma magie et quelques ingrédients et cela marche très bien. J’ai des commandes assez fréquentes, ce qui me permet de bien vivre. La reine almar a bien remarqué mon succès récent et m’a demandé de commencer de nouvelle étude sur un minerai que l’on ne trouve qu’à Almaris : le lotharium. On ne connait pas grand-chose de ce minerai mais la reine pense qu’il pourrait vraiment avoir une grande utilité sur le plan technologique. Et je le pense aussi, donc j’ai très rapidement commencé mes études sur ce minerai rare. Avant toute chose, j’ai essayé de déterminé ses caractéristiques, par rapport au feu ou à l’eau. Cela me prit du temps mais j’ai pu en conclure que ce minerai est très résistant et même imperméable. Mais il faut lui faire d’autre test avant de pouvoir espérer faire des expériences avec.

     

    Voilà une semaine que j’étudie le lotharium, ce minerai est vraiment exceptionnel, il est bien plus fort et résistant que le diamant. Il est temps de faire les premières expériences avec ce minerai et on va commencer avec ce que je sais faire, c’est-à-dire, voir si on peut l’enchanter après l’avoir appliquer sur une armure. On ne peut pas en faire une armure complète du fait de sa rareté mais je pense que quelques petits grammes de lotharium rendront l’armure entièrement de la même résistance que ce minerai. Je mis donc quelques grammes de lotharium au milieu du plastron. Après quelques applications au chaud, le lotharium s’est soudé à l’armure. Testons maintenant un enchantement. Après avoir appliqué les tous premiers mots et ingrédients de l’enchantement, je me rendis compte qu’il y a un problème. Le lotharium agit bizarrement. Il devient noir alors qu’il est vert. Cela m’inquiète, je décide donc d’arrêter l’enchantement pour essayer de comprendre mais il était trop tard. Le lotharium explosa et l’armure avec.

     

    Quelques jours après, je me réveillai dans mon lit avec, au bord du lit, la reine et quelques autres personnes de la ville. Je leur demandai ce qui s’est passé et ils me répondirent qu’ils avaient entendu une explosion dans mon laboratoire et qu’il m’avait retrouvé évanoui. Tout finis par me revenir, l’expérience, l’explosion. Mais pourquoi le lotharium a explosé ? Il faut que retourne vérifier quelque chose. Je retourne donc dans mon laboratoire et retrouva le lotharium que j’avais utilisé. Il est redevenu vert. Je vais réessayer de refaire l’enchantement mais cette fois avec quelques personnes à l’extérieur au cas où cela recommencerai. Je reforgea donc l’armure et le lotharium et commença de nouveau l’enchantement. Mais rien ne se passe. Quand je dis mes formules, rien ne se passe. Je me retournai donc et essaya la formule de la boule de feu mais rien ne se passe là non plus. Je compris tout de suite. Le lotharium n’est pas fait pour être enchanté et il me priva de mes pouvoirs. Tous ces mois d’apprentissage réduit à néant. Je dois aller voir la reine.

     

    J’expliquai tout à la reine. Je suis vraiment inquiet car sans mes pouvoirs, qu’est-ce que je vais devenir ? Et là, la reine me demanda si j’avais vraiment tout perdu de mes apprentissages, vraiment tout. Maintenant que j’y repense, j’ai perdu tous mes pouvoirs magiques mais le forgeage d’armure, lui, je ne l’ai pas oublié. Vu que je ne peux plus compter sur la magie alors je vais changer de voie. Au revoir le métier de magicien et d’enchanteur et bonjour le métier d’armurier.

     

     

    Chapitre 9 : Le réapprentissage

     

    Le métier d'armurier est vraiment plus compliqué que ce que je pensais. Je pensais ne rien avoir oublié au forgeage mais on dirait que j'ai quand même oublié des détails du forgeage. Chaque fois que je faisais un casque, il se brisait en mille morceaux. J'avais besoin de tout revoir. Il faudrait que je retrouve un maitre armurier mais où en trouver un? Je peux commencer avec Lalame à Stendel, il pourrait m'enseigner cet art ou tout du moins, me trouver quelqu'un qui pourrait le faire. Mais avant cela, il fallait que je retourne voir la reine pour l'avertir de mon départ. Elle était au château avec les sentinelles.

     

    Quelques heures plus tard, la reine sortit du conseil avec les sentinelles, elle me remarqua assez vite et alla vers moi. Elle me demanda:

    -Alors, comment avance ton forgeage d'armure, Sir Chafoins?

    -Pas très bien. Vous vous rappelez quand je vous ai parlé que j'avais perdu tout mes pouvoirs mais que je me rappelais de tout sur le forgeage d'armure?

    -Oui, je m'en souviens.

    -Et bien, je me suis trompé. J'ai oublié des détails important de cet art et mes armures sont aussi résistantes que du papier. Je vais quitter Almaris quelques temps pour trouver un maître armurier et lui demandais de me l'enseigner. Je ne saurai vous dire combien de temps je serai absent mais cela risque de prendre plusieurs mois, voir plusieurs années.

    -Alors, va et reviens nous dès que ta formation sera complète.

    -Au revoir, ma reine.

     

    Et c'est ainsi que je quittai Almaris, direction Stendel. Mais Stendel était de l'autre coté de la mer et cela m'aurait étonner que le peuple nivemis m'autoriserait à prendre un bateau de chez eux pour aller de Stendel. Il ne me restait donc que la marche à pied, je savais que la route était sans danger mais elle était vraiment très longue, de quoi retarder déjà mon retour à Almaris d'au moins quelques jours.

     

    Et ce fut le cas. Il me fallut dix jours pour rejoindre Stendel et j'étais épuisé. Je suis allé directement chez moi, à la place des mages. J'y restai quelque temps pour y remettre de l'ordre car je n'y étais pas revenu depuis l'explosion et tout était en vrac. En rangeant tout ce bazar, je suis retombé sur d'anciennes notes et cela me rappela l'ancien temps où je contrôlais les éléments. Mais c'était les risques du métier et je les connaissais que trop bien. Je devais aller de l'avant et cela commençait par aller voir Lalame au quartier des armuriers.

     

    Il était bien là, dans son atelier, en plein travail. Je suis allé le voir et je lui dis :

    - Bonsoir, monsieur Lalame.

    - Bonsoir.

    - Voilà une belle forge que vous avez là. Je suis ici pour vous demandez votre aide. J'aimerai apprendre l'art du forgeage d'armure.

    - Alors, j'aimerai bien mais je ne peux point. Par contre, allez voir le vieil homme d'en face. Je crois qu'il recherche quelqu'un pour le former et que plus tard, il puisse prendre sa place dans sa boutique.

    - D'accord, encore merci de votre aide, au revoir.

     

    Je suis donc allé voir ce vieil homme et celui m'accepta comme apprenti. Mon apprentissage allait pouvoir commencer.

     

    Chapitre 10 : Départ d'Almaris

     

    Voilà maintenant dix mois que j'ai quitté Almaris et que j'ai commencé mon apprentissage mais celui-ci arrivait à sa fin. Désormais, je savais de nouveau refaire à la perfection des armures composés de divers matériaux, notamment les armures en fer. J'étais tranquillement en train de fabriquer une armure en obsidienne quand mon maitre arriva.

    - Bonsoir, Chafoins.

    - Bonsoir, maitre.

    - Je crois qu'il est temps que je te passe le flambeau, je n'ai plus rien à t'apprendre et je veux aller finir ma vie paisiblement dans la campagne. Je te lègue mon commerce. J'espère qu tu le fera bien prospérer.

    - Merci, maitre et bonne chance pour la suite.

     

    C'était enfin fini mais je n'aurait jamais pensé qu'il me lèguerai son commerce dès mon apprentissage terminé. Enfin bon, j'étais désormais propriétaire du « Plastron scintillant » au numéro 1 rue Dock Mixer. J’espérais que sa clientèle continuerait de venir ici. Normalement, il n'y aavait pas de raison qu'ils ne viennent plus.

     

    Après avoir refait les stocks, je retourna à Almaris que je n'avais pas revue depuis trop longtemps. Mais une fois arrivé, tout avait changé. La reine aurait disparu et Almaris tombait dans l'anarchie. Pleins d'Almars me demandèrent où j'étais passé, je leur expliqua tout puis à mon tour, je leur demanda ce qui s'est passé. Je fut choqué, la reine aurait été pris de folie et aurait disparu. Et personne ne savait comment cela avait pu se produire.

     

    Personne n'arrivait à faire survivre la ville alors, étant soutenu par plusieurs d'entre eux, je décida d'aider à refaire fleurir Almaris. Mais par où je pourrai commencer? Il y avait tellement à faire à en perdre la tête. J'ai remarqué que certains bâtiments tombaient en ruine et notamment une grande partie du temple de Noctem. Alors, on commença par là. Et Almaris renaitra de ces cendres.

     

    Tout se passait bien durant plusieurs mois, j'ai même été couronné Dagmaar. Mais une telle ascension avait toujours entrainé des rancœurs et c'était exactement ce qui finit par se passait. Des Almars ont vu d'un très mauvais œil mon arrivé au pouvoir et ils commencèrent à comploter pour me renverser. Mais qui? Qui pouvait bien me haïr à ce point? En plus, cela se passa très vite, je n'avais rien vu venir. En peu de temps, mon commerce à Almaris fut pillé, des affiches apparaissaient disant que j'étais indigne de gouverner. Je commençais à être inquiet.

    Un jour, j'ai dû retourner à Stendel et quand je suis revenu à Almaris, le complot avait fini par marcher. Un nouveau Dagmaar avait été nommer et je décida donc de partir, n'ayant plus aucun intérêts à rester ici. Je reparti vers Stendel vivre simplement de mon commerce.

     

    Chapitre 11 : Retour à l'aventure

     

    Plusieurs mois s'écoulèrent. La vie était vraiment paisible, je n'avais qu'à m'occuper de mon commerce. Je n'avais plus toutes les contraintes que la politique apportait. Mais c'était justement ça le problème. C'était trop paisible. Même si je n'avais plus mes pouvoirs, mon esprit enchanteur était toujours là, l'envie de nouvelles expériences, d'aventure, toujours vouloir trouver des améliorations à ce que l'on faisait déjà. C'était décidé : je devais repartir à l'aventure. Mais cette fois, je ne cherchais plus des bibliothèques ou des savoir oubliés mais de nouveaux métaux et outils pour améliorer mes armures ou même en créer de nouvelles.

     

    Mon voyage m'emmena loin au Sud Ouest de l'empire de Stendel. D'immenses montagnes se dressaient et pour moi, cela était synonyme de filon de métal. Je décida de rester en cet endroit. Mais peu de temps après, je me suis rendu compte que je n'étais pas seul dans cette région. J'ai remarqué qu'il y avait une femme en haut de la montagne. Peut-être qu'elle connait la région et donc qu'elle pourrait m'aider. Je suis donc allé la voir. Mais il m'est arrivé ce fameux moment où on se rendait compte que la vie était éphémère car j'ai interpelé la fille par derrière et celle-ci a cru que j'allais l'agresser, elle était à 2 doigts de me poignarder. Heureusement que je m'en suis rendu compte à temps sinon je ne serais plus de ce monde. Elle se avaient fini par s'apercevoir, après plusieurs minutes où elle essayait de me tuer que je ne lui voulais aucun mal. Elle me demanda :

    « -Que faites vous là, jeune homme?

    - Je voyage mais vous, qui êtes vous?

    - Je suis celle qui comprend les dieux, je suis la prêtresse de Cerve, je suis Hancko.

    - Cerve? Qu'est-ce que c'est que sa?

    - Haha, seriez-vous aveugle? Vous ne voyez pas le village en bas de la colline?

    - Il faut le croire, je ne l'avais pas vu.

    - Venez, je vais vous montrer. »

     

    Juste après avoir dit cela, elle sauta de la montagne et atterrit dans une botte de foin. J'étais sûr qu'elle voulait que je passe par le même moyen. Mais j'étais un un gros froussard quand il s'agissait de ce genre de chose. J'ai descendu la montagne donc plus lentement en essayant de me pas me casser la figure. Une fois arrivé en bas, Hancko me traita de lâche mais j'ai ignoré cette dernière parole. Elle me fit la visite de son village. J'ai fini par lui demander si elle et son peuple avaient trouvé des métaux précieux dans cette région mais elle me répondit qu'il n'ont trouvé que du fer. A croire qu'il n'existait plus d'autres matériaux. Mais je ne perdit pas espoir. Après avoir demander la permission à Hancko, j'installa une forge dans leur village. Peut-être que je trouverai ce que ce peuple n'a pas trouvé. Je vais pouvoir tourner définitivement la page d'Almaris.

     

    Chapitre 12 : La création de l'armure de mailles

     

    Voilà quelques temps que je vivais à Cerve et j'ai fini par comprendre leur style de vie. La vie avait l'air paisible, mais n'en avait que l'air. Un jour, des marchands sont venus à Cerve pour la réapprovisionner en métal car il n'avait pas de mine ou autre battisse permettant d'extraire le fer. Et dans leur marchandise, je trouva des boucles en métal. Je demanda ce que c'était et ils me répondirent que c'était de la maille. Je n'avais jamais vu le fer transformé en boucle. C'était intriguant. A quoi cela pouvait leur servir ?

     

    Ils en avaient pris plusieurs caisses mais j'ai vu les habitants les utiliser beaucoup plus tard, au moment de la tonte des moutons. C'était assez bizarre mais ils ont liés ces mailles pour en faire une ligne et l'utilise pour tondre leurs moutons. C'était à ce moment là que je décida d'aller voir Hancko pour lui en demander une caisse. Elle accepta sans grande difficulté mais toujours par des paroles qui m'échappaient. J'allais voir si ces boucles pourraient être les constituants de nouvelles armures.

     

    Voilà quelques jours que je travaillais sur ces boucles et j'ai pu en faire une armures mais je n'ai aucune idée de sa résistance, il faudrait la tester mais il était trop tôt. Pendant ce temps, je n'avais pas arrêter mes activités et je continuais à forger armures et épées qui restaient dans mes réserves à Cerve. Et heureusement que je ne l'ai pas envoyé à la capitale pour les vendre car un jour tant craint par Cerve arriva, un jour qu'il redoutait depuis fort longtemps. Des lueurs rouges étaient apparus tout autour du village. On entendait qu'une seule même parole dans tout le village : « Au armes!! ». J'ouvris à ce moment là mes réserves aux habitants de Cerve. Tout le monde était prêt à combattre, armé et protégé. Hancko était devant le monde et elle fut la première à se lançait à l'attaque de ces lueurs qui commençaient à tout brûler à l'extérieur du village. C'était le moment idéal, je revêtis l'armure de mailles que j'avais fait, il y a quelques temps.

     

    Cela faisait plusieurs heures que le combat a commençé et il ne restait plus grand monde. Mais il se passa quelque chose de spécial durant le combat. J'avais réussi à percer les lignes adverses et soudainement, je fus recouvert d'une lueur verte. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait mais j'avais l'impression d'avoir retrouver toute mon énergie et je me battis de plus beau. Au loin, j'entendais les cervois et cervoises revenir au combat en criant « Marq Horneflanc est revenu!! Marq Horneflanc est revenu!! » Je ne comprenais pas de quoi ils parlaient mais avec ce nouvel élan, on a repoussé les lueurs rouges.

     

    Hancko vint me voir après mais au début, elle ne me parlait pas. Elle appelait ce Marq Horneflanc, elle essayait de discuter avec lui à travers moi. Pendant ce temps, une habitante me parla de ce Marq, héros du village qui, comme moi, fut recouvert d'une lueur verte. Tout d'un coup, Hancko se mit à me parler et me dit que leur dieu s'est mis en moi comme il s'est mis autrefois en Marq. Je n'avais rien souhaité mais juste à cause de cette lueur, je fut acclamé comme le nouveau héros du village. Il eut beaucoup de festivité pour cet honneur. C'était assez déstabilant mais également tellement plaisant. Suite à ces festivités, je retournai chez moi et allai me coucher quand j'entendis mon armure. Elle était tellement légère que je l'avais oublier. Je retournai à la forge pour voir son état, elle était quasi-intacte à quelque égratignures près. Elle était incroyable. Voilà une armure qui pourrait sauvé tellement de vie. J'allais avoir du travail si je voulait que cette armure se développe mais j'étais sur le bon chemin et un jour, cette armure sera encore plus répandue que les autres armures, du moins, c'est ce que je souhaite.

     

     

    J'espère que vous aurez pris du plaisir à lire mon RP.

     

    Bon jeu à tous.

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    Introduction:

     

    « La ville de Cerve est issu de l’installation d’une tribu de nomade dans des plaines lointaines qui deviendront l’étendu de leur royaume. Le mythe veut que, lors de leur voyage, le peuple Cervois, à l’époque encore nomade ,se fit attaquer par des créatures maléfiques au milieu de ces plaines. Marq Orneflanc, héros de la tribu fit don de sa vie pour sauver celle-ci. La bataille terminée, les Cernois n’eurent d’autres choix que de s’installer sur place, n’ayant plus de charrette ou de bestiaux pour continuer leur périple. Après quelques semaines, ils furent tous obligés de constater le miracle qui se produisait sous leur yeux. Toutes les plantes, qu’ils cultivaient, grandissaient en quelques jours à peine, au lieu d’une saison…Forcés d’y trouver une explication divine, Hancko Dorhn, la prêtresse de Cerve fit une prédiction : « Marq nous a menér ici pour notre bonheur, et nous allons jouir de ce miracle qui nous amène nourriture à foison ». Ainsi, le village, puis la ville de Cerve se développa devant ses immenses champs, et se fortifia peu à peu, pour palier à la menace du retour de ces créatures sombres. »

     

    Moi et Stiguyraft nous lançons dans la création de Cerve, ville qui sera réputé pour ses champs et sa cervoise. Elle sera constitué de toute sorte de bâtiments, allant de la maison bourgeoise à la mansarde, des granges aux bâtiments défensif, des ateliers d’artisanals aux mines Rp … L'objectif étant de crée une communauté stable autour de ce projet, faire quelque chose d’originale, qui a un réel intérêt à être vu et crée une réelle identitée Cervois et Cervoise au sein du serveur.

     

    RP :

     

     

    I La mort de Marq Horneflanc :

     

    La file de caravanes avançaient lentement au milieu des plaines arides, l’herbe rêche craquait sous les pas des bestiaux qui poussaient les roulottes. Tout le monde était harassé de ce voyage sans fin, mais Marq Hornefanc était la pour motivé la tribu à continuer leur périple au moins jusqu’ici en ces terres désolés pour éviter la guerre entre le Nivem et les instances Stendeliennes. Elle avait déjà fait trop de mort au sein du groupe . Heureusement, le Nivem les avait recueillis quelques jours dans leur malheur et avait fournis quelques vivres pour ce voyage, loin de la guerre. Cela faisait déjà plusieurs semaines qu’ils étaient monté sur leur chariot en quête d’un monde meilleur. Ils arrivèrent bientôt en ces plaines arides et hostiles où chaque touffe d’herbe semblait cacher un fauve près à bondir sur le groupe. Heureusement, le meneur de l’expédition, Marq Horneflanc était un sage manieur de sabre et au moindre danger, il intervenait pour protéger ses congénères, il s’était peu à peu imposé comme le héros de ces nomades qui voyait en lui comme un exemple à suivre.

     

    La nuit tombait et le clan avançait lentement au milieu d’un paysage de désolation, juste quelques souches d’arbres transcendaient le sol couvert de haute herbe et de quelques buissons. La halte fut imposé, il fallait camper ici malgré le danger. Les chariots furent mis en cercle autour d’un feu chaleureux et vif qui réanima les esprits abattus mais le sommeil rattrapa vite le groupe qui sombra d’un seul coup dans les bras de Morphée. Seul Marq ne s’était pas endormi, il disait sentir comme une présence malsaine… Et il tenait à surveiller les parages. Son attitude atypique avait habitué ses compagnons et cela ne les avaient pas alerté ce soir là. Au beau milieu de la nuit, il hurla d’un cri fort et rock : « Aux armes, aux armes !! » Les hommes sortirent de leur caravane, et virent des lueurs rouges à moins de cents mètres du bivouaque qui fonçaient sur ce dernier. Elles étaient étrangement parcourus de liserés noirs qui inspiraient une peur terrible dans le cœur de tous les combattants. Le choc de leur arrivée fut telle que des charrettes se reversèrent et prirent feu, une chaleur ardente envahit le camp, comme si elles était venues des enfers… Marq commençait déjà à trancher le corps de ces ennemis surnaturels qui se décomposaient en flamme à la moindre blessure. Tout les hommes se hâtèrent au combat et ripostèrent d’une masse unanime. Mais plus la lune blanche montait, plus ils arrivaient en masse. Les hommes tombaient de douleur les uns après les autres, marqué de brûlures sévères du à la désintégration de leur ennemis. Seul Marq Horneflanc ripostait encore seul face à ce flot d’ennemis infini. Les femmes et les enfants s’étaient réfugiés dans le creux d’une grotte non loin de là, et seul Hancko Dorhn la prêtresse était restée dans la bataille pour bénir ses compagnons. Mais face à la défaite des hommes, elle perdit espoir, mais soudain elle vit Marq, seul homme encore debut, se faire recouvrir d’une lueur verte, une sorte d’aura qui semblait le rendre encore plus puissant. Les coups de son sabre s’accompagnait d’une vague d’énergie qui soufflait et déchiquetait ses ennemis. Un dieu l’accompagnait ,l’aidait dans sa quête et lui avait prêter ses pouvoirs surnaturels. Hancko regardait de ses yeux ébahis cette lutte acharnée contre ces démons. Marq ne semblait même plus être lui même et malgré ces blessures et ses brûlures, il restait impartial, aucun monstre ne passait sa défense. Et lorsque le soleil se leva, il acheva le dernier démon dans un cri terrible et tomba lourdement à terre. Son combat était fini, les hommes se relevèrent sanglant, les femmes et les enfants sortirent et allèrent voir le héros qui les avait sauvés. Marq Horneflanc, vidé de ces forces, gisait à terre. L’aura qui l’avait baigné toute la bataille commençait à se dissiper lentement, et son dernier souffle s’accompagna d’une bourrasque froide…

     

    II La couverture d’un Dieu

     

    Les charrettes éventrées au sol se consumaient encore pour la plupart. Toute la tribu s’était réuni autour de la prêtresse. Désarmés et démoralisés, ils trouvaient le refuge dans les paroles d’Hancko. Elle les rassurait et leur expliqua ce qu’elle vit cette nuit là : « Marq était aidé par un dieu, il s’est enflammé d’une lueur verte et il se battît honorablement… Il faut lui rendre hommage, j’ai vu des montagnes bordant ces plaines non loin de là. Son incinération aura lieu en son sommet pour qu’il puisse rejoindre aisément le dieu qui lui a prêté force et gloire. Allons, mes braves, rendre hommage à ce héros ! ». Sur ces belles paroles, les nomades reprirent confiance et se mirent à la tâche : les hommes se séparèrent les tâches, certains réparaient les charrettes qui pouvaient l'être tandis que les autres récupèreraient le bois sur les cadavres d’autres roulottes. Les femmes et les enfants avaient pour mission de récupérer tous les vivres qu’ils pouvaient, mais ils s’aperçurent très vite que le feu en avait déjà consommer la majeur parti. Malgré tout, ils retrouvèrent quelques graines et du pain par si par là. Après avoir récupérer ce qu’ils devaient, les nomades reprirent leur route, malgré le peu de ressource qu’il avait. Seul trois buffles avaient été retrouver, égarer dans la plaine, libérer de leurs liens aux charrettes au moment de la bataille. Seul trois chariot, guidé par Hancko, parcouraient la terre en direction des montagnes qui pointaient le bout de leur cimes. Les hommes, qui pouvaient marcher, avaient laissé leur place aux femmes sur les chariottes. Quand ils furent arrivé au pied des monts, Hancko choisit quatre hommes pour porter le corps de Marq Horneflanc. Ils commencèrent la montée avec le cadavre tandis que le reste de la tribu regardait la lente progression du cortège funèbre jusqu’à les voir disparaître dans la brume matinale.

     

    Hancko avait pris soin de choisir le plus haut sommet pour la crémation du héros. Les quatres hommes le posèrent sur un rocher plat où ils mirent quelques herbes sèches. Ils s’écartèrent du rocher et laissèrent la prêtresse faire des prières dans une langue inconnu. Elle embrassa le corps, tout en récitant son requiem… Mais soudain, les flammes qui dévoraient Marq prirent une teinte verdâtre. Les hommes s’écartèrent et la prêtresse pétrifiée fut soudain couverte d’une aura similaire à celle de Marq de la terrible nuit dernière. Sous les yeux effarés des quatre porteurs, Hancko tomba à terre et se mit à trembler tandis que le corps de Marq brûlait anormalement, les flammes qui se dégageait du corps ne le dégradait pas et il restait comme s’il était vivant. Soudain le cadavre se redressa, la prêtresse s’éloigna lentement en rampant et se tenant la tête comme si une migraine terrible lui ravageait l’esprit. Un des hommes se dévoua à l’aider malgré l’aura verte dans laquelle elle baignait et qui lui brûla partiellement les mains. Dans un éclair, Marq ouvrit les yeux, toujours en proie au flammes vertes, il leva lentement la main sur Hancko qui releva la tête d’une manière brusque. Elle ouvrit grand les yeux en regardant le héros. Marq Horneflanc, dans un second éclair, s’évanouit dans les airs, son corps partit dans une brume de poussières luisantes qui s’étala à terre. La prêtresse se libéra des bras de l’homme qui l’avait aidé et alla s’emparer des poussières étalés sur la pierre. Les hommes, impuissants face à une telle scène, s’étaient tu, ils avaient conscience d’avoir vécu ce qui allait être la légende de Marq Horneflanc. Quand Hancko eut finit de ramasser le peu de poussières qui restaient dans un petit sac de lin, elle fit signe qu’il fallait redescendre. Sans un mot, ils se mirent en route vers le reste du clan.

     

    III Les fondements de Cerve

     

    La prêtresse n’avait rien dit depuis son retour, de même pour les quatres hommes qui l’avaient accompagné. Le groupe se posait des question, et les vivres commençait à manquer, ils allaient bientôt arriver en pénurie. Un des proches de Marq se dévoua à entrer dans la roulotte où c’était réfugié la prêtresse. Attentifs, le reste du clan regardait la roulotte, inquiet de leur avenir en ces terres. Soudain elle sortit, on avait entendu aucune parole, rien que la douce brise qui caressait les hautes herbes. Doucement elle s’avança au milieu du groupe…

     

    « Mes frères, mes sœurs, ce qu’il s’est passé il y a trois jours … Marq nous a protégé au péril de sa vie, mais il n’est pas mort. Il est avec nous, encore. Ce sac renferme ses cendres. Je ne sais pas comment vous le dire, et cela fait trois jours que je ne peux m’expliquer un tel événement… Nous sommes bénis par un dieu ! Il m’a parlé par l’intermédiaire de Marq Horneflanc ! Nous devons rester ici, il va nous apporter nourriture, eau et prospérité a-t-il dit ! Nous sommes ici chez nous, croyez en moi et en ce dieu qui nous a tous sauvé de ces hordes de démons ! »

     

    La foule, qui l’écoutait, s’affola et la questionna. Tous était perplexe et se demandait qu’elle était le but de ce dieu qui les avait manifestement aidé grâce à Horneflanc… Mais le problème des ventres creux vient très vite aux oreilles d’Hancko qui leur répondit qu’il fallait planté les quelques graines qui leur restaient. Ainsi fut dit , ainsi fut fait, un espace près d’une source d’eau fut mis en place. Ils y plantèrent les quelques graines de blé et de houblons qu’ils avaient, les dernières. Le clan, septique, avait du mal à croire aux vertus de ce nouveau dieu. Certains pensaient plus que la prêtresse était folle et que dans un acte désespéré, elle voulait un miracle… Après un débat houleux, tous s’accordèrent à rester une semaine en cet endroit.

    Le lendemain matin, de magnifique pied de houblons et de blé avaient fait surface, l’incroyable, l’impossible s’était produit… La tribu n’en croyait pas ses yeux, Hancko avait dit vrai, ils sont sous la bénédiction d’un dieu, et de leur héros Marq. Quand la prêtresse sortit de sa roulotte ils s’inclinèrent tous devant elle, pour se faire pardonner de leur doute d’hier. A tous, elle leur tendit une pousse d’arbre, puis leur dit : « plantez la, et vous aurez du bois, avec celui ci faîte vous des demeures… ». Ces paroles s’accompagnèrent d’un mouvement de joie, un avenir pointé enfin le bout de son nez au sein de ce groupe qui n’avait subit que les horreurs de la guerre…

     

     

    IV Cerve, le village du renouveau

     

    Cinq semaines plus tard, des batiments avaient poussé ainsi qu'une taverne....

     

    - « Cervoise, s’il vous plait ma petite dame, dit un des hommes avachi sur le guichet

    - Bien sûr, trois pièces d’argent s’il vous plait, répondit la serveuse.

    - Le prix a encore baissé apparemment, et elle n’en est pas moins bonne, dit-il en buvant le précis nectar

    - Oui encore, le houblon pousse à une vitesse folle, les hommes ont même du mal à tout récolter dans la même journée que déjà le lendemain les nouvelles graines ont déjà germés. C’est vraiment incroyable…

    - Et bien ouais, tout ça grâce à Marq, ria-t-il.

    - Et je vous parle même pas des arbres qu’on a planté non loin. En une semaine, ils atteignent la hauteur d’un arbre de 30 ans, je ne vous dit même pas le travail que l’on a. Le bois est dure mais idéale pour les maisons, renchérit un autre sur une table.

    - Oui je sais, d’ailleurs c’est du bon boulot, lui répondis l’homme au guichet, je suis meunuisier et c’est la 7ème demeure que l’on battit depuis le début sans parler des mines qui ont été étayer, et de cette taverne.

    - La prêtresse n’a toujours pas de prédiction pour le nom de ce village non ? dit la serveuse.

    - Apparament non pas encore… »

    Au même moment, Hancko rentra dans la taverne d’un pas lent et distingué par une robe bleu nuit assez courte. Elle était sertis de quelques colliers de fleurs.

    - « Vous êtes bien coquette aujourd’hui Sœur Hancko, dit l’homme à table, un verre vide à la main

    - Même une prêtresse à le droit de ce faire belle non ? Du moins notre dieu ne me l’a pas interdit pour l’instant, dit-elle en riant.

    - Vous avez eu des visions récemment, lui lança un homme

    - Oui, je dois avoué que je n’en ai jamais eu autant de la part d’une entité divine, il semblerait qu’il nous porte sous son aile…

    - Vous ne connaissez pas son nom ?

    - Et bien il n’a donné aucune précision à ce sujet …

    - D’ailleurs, en parlant de nom, comment devons nous appeler notre village ? Vous avez une idée ?

    - Et bien, même pas d’indication, mais vous, trouvez donc un nom, dit-elle en souriant.

    - Appelons la Cerve, braillant un homme assis par terre, le nez rougit par l’alcool. Cerve, abrégé de notre bonne cervoise vous trouvez pas ?

    - Certe l’idée ne me déplait pas, répondit la jeune prêtresse. »

     

    Il s’éleva dans la travers un courant d’approbation, et tout le monde trinqua à Cerve.

     

     

    Information Général:

     

    Nom : Cerve

     

    Gentillé : Cervois/Cervoise

     

    Dimension : Environ 400x400

     

    Hauteur : Sûrement pas plus haut que la couche 180

     

    Zone de construction : Essentiellement sur terre, mais nous n’excluons pas plus tard utilisé nos sous-sols pour des projets Rp.

     

    Personnes responsables du projet : Chafoins, et Stiguyraft

     

    Plan du territoire :

     

    -Voici le territoire appliqué sur la carte du routard de Stendel (Notre territoire chevauchera une partie du territoire de Tsuribashi, mais un accord préalable a été vu avec Goo_m_ba) :

     

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    Les frontières sont signalé par le liseré rouge, la zone rayée de traits violets serait une zone commune avec Tsuribashi.

     

    -Un plan plus détaillé de l’évolution général du village :

     

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    Emblème :

     

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    Apparence du projet :

     

    Les screens que je vais vous présenter son des constructions réalisées en 1.3.2 par stiguyraft en partie solo depuis près de deux mois, ils donnent une idée de l’apparence de la ville et ce qu’elle pourrait donner à l’avenir. Mais aucun des bâtiments présentés ne seront importés sur Stendel tel qu’elle. Les screens ne sont qu’une source d’inspiration de ce que Cerve pourrait donner plus tard. Néanmoins le style de ces constructions sera le même, avec les variantes des items de Minefield. Nous voulons donc construire une ville unique dans un style qui la distingue des autres et une ville qui sache évolué au ville des mois (Nous n’hésiterons pas à détruire des bâtiments pour en refaire d’autres, aucun plan précis et définitif n’est donné.)

     

     

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    Administration :

     

    Conseil des sages :

     

    La ville aura ce que l'on appelle un conseil des sages. Dirigé par le Hernant, ce conseil est le centre névralgique de Cerve. C'est lui qui prend toute les décisions. Certains conseils seront publique, c'est-à-dire que les habitants pourront y participer pendant que d'autres seront restreint aux sages et au dessus. Mais très souvent, on prendra les décisions tous ensemble.

     

    Grade :

     

    Hernant : il s'agit du chef du village, il dirige le conseil des sages et a la majeur parti des pouvoirs. Il représente la ville à l'extérieur.

     

    Prêtre(sse): il s'agit de la personne qui parle avec la divinité qui nous as sauvé. Il/elle est le chef spirituelle du village et est le/la conseiller(ère) proche du Hernant.

     

    Sages : il s'agit de ceux qui auront montrer leur implication dans la ville. Obtenir ce rang vous offre une place au conseil des sages.

     

    Cervois/cervoise : il s'agit simplement des habitants de Cerve.

     

    Pour entrer dans la ville :

     

    -Une petite présentation de soi

    -Pourquoi Cerve et pas un autre projet?

    -Êtes vous déjà dans d'autres projets?

    -Petit RP (facultatif)

     

    Envoyer votre candidature par mp forum à moi (Chafoins) et stiguyraft.

     

    Regles particulières de Cerve :

     

    1.Respect des règles de Minefield

    2.Cerve n'acceptera pas de personne qui a déjà deux nationnalités ( afin de crée une communauté attaché, il est important d’évité d’avoir des personnes trop éparpillés sur divers projet), sauf exception à voir avec les dirigeants.

    3.Respcet de l’architecture mise en place

    4.Tout projet interne doit être débattu enssemble(tout grade compris)

    5. Chacun doit participer à l’effort de collecte de ressource ( les dons de PA ne sera pas une obligation mais seulement si vous êtes volontaires).

    6. Respect et convivialité

     

    Liste des Habitants/ participants actuel :

    - chafoins

    - stiguyraft

    - Naroto

    - Clint_eastwood

    - Ormeau

    - Lucasbauert

    - topgun007

    - Denis_Dragon

  3. Oui, je pense que cela est préférable que la route de l'ouest passe par Cerve, surtout qu'elle est pas loin il me semble. Mais pas la grosse route, puisque je pense que des sortes de petites route serait préférable.

     

    EDIT : Stiguy a mieux expliquer que moi (post suivant)

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    Introduction:

     

    « La ville de Cerve est issu de l’installation d’une tribu de nomade dans des plaines lointaines qui deviendront l’étendu de leur royaume. Le mythe veut que, lors de leur voyage, le peuple Cervois, à l’époque encore nomade ,se fit attaquer par des créatures maléfiques au milieu de ces plaines. Marq Orneflanc, héros de la tribu fit don de sa vie pour sauver celle-ci. La bataille terminée, les Cernois n’eurent d’autres choix que de s’installer sur place, n’ayant plus de charrette ou de bestiaux pour continuer leur périple. Après quelques semaines, ils furent tous obligés de constater le miracle qui se produisait sous leur yeux. Toutes les plantes, qu’ils cultivaient, grandissaient en quelques jours à peine, au lieu d’une saison…Forcés d’y trouver une explication divine, Hancko Dorhn, la prêtresse de Cerve fit une prédiction : « Marq nous a menér ici pour notre bonheur, et nous allons jouir de ce miracle qui nous amène nourriture à foison ». Ainsi, le village, puis la ville de Cerve se développa devant ses immenses champs, et se fortifia peu à peu, pour palier à la menace du retour de ces créatures sombres. »

     

    Moi et Stiguyraft nous lançons dans la création de Cerve, ville qui sera réputé pour ses champs et sa cervoise. Elle sera constitué de toute sorte de bâtiments, allant de la maison bourgeoise à la mansarde, des granges aux bâtiments défensif, des ateliers d’artisanals aux mines Rp … L'objectif étant de crée une communauté stable autour de ce projet, faire quelque chose d’originale, qui a un réel intérêt à être vu et crée une réelle identitée Cervois et Cervoise au sein du serveur.

     

    RP :

     

    I La mort de Marq Horneflanc :

     

    La file de caravanes avançaient lentement au milieu des plaines arides, l’herbe rêche craquait sous les pas des bestiaux qui poussaient les roulottes. Tout le monde était harassé de ce voyage sans fin, mais Marq Hornefanc était la pour motivé la tribu à continuer leur périple au moins jusqu’ici en ces terres désolés pour éviter la guerre entre le Nivem et les instances Stendeliennes. Elle avait déjà fait trop de mort au sein du groupe . Heureusement, le Nivem les avait recueillis quelques jours dans leur malheur et avait fournis quelques vivres pour ce voyage, loin de la guerre. Cela faisait déjà plusieurs semaines qu’ils étaient monté sur leur chariot en quête d’un monde meilleur. Ils arrivèrent bientôt en ces plaines arides et hostiles où chaque touffe d’herbe semblait cacher un fauve près à bondir sur le groupe. Heureusement, le meneur de l’expédition, Marq Horneflanc était un sage manieur de sabre et au moindre danger, il intervenait pour protéger ses congénères, il s’était peu à peu imposé comme le héros de ces nomades qui voyait en lui comme un exemple à suivre.

     

    La nuit tombait et le clan avançait lentement au milieu d’un paysage de désolation, juste quelques souches d’arbres transcendaient le sol couvert de haute herbe et de quelques buissons. La halte fut imposé, il fallait camper ici malgré le danger. Les chariots furent mis en cercle autour d’un feu chaleureux et vif qui réanima les esprits abattus mais le sommeil rattrapa vite le groupe qui sombra d’un seul coup dans les bras de Morphée. Seul Marq ne s’était pas endormi, il disait sentir comme une présence malsaine… Et il tenait à surveiller les parages. Son attitude atypique avait habitué ses compagnons et cela ne les avaient pas alerté ce soir là. Au beau milieu de la nuit, il hurla d’un cri fort et rock : « Aux armes, aux armes !! » Les hommes sortirent de leur caravane, et virent des lueurs rouges à moins de cents mètres du bivouaque qui fonçaient sur ce dernier. Elles étaient étrangement parcourus de liserés noirs qui inspiraient une peur terrible dans le cœur de tous les combattants. Le choc de leur arrivée fut telle que des charrettes se reversèrent et prirent feu, une chaleur ardente envahit le camp, comme si elles était venues des enfers… Marq commençait déjà à trancher le corps de ces ennemis surnaturels qui se décomposaient en flamme à la moindre blessure. Tout les hommes se hâtèrent au combat et ripostèrent d’une masse unanime. Mais plus la lune blanche montait, plus ils arrivaient en masse. Les hommes tombaient de douleur les uns après les autres, marqué de brûlures sévères du à la désintégration de leur ennemis. Seul Marq Horneflanc ripostait encore seul face à ce flot d’ennemis infini. Les femmes et les enfants s’étaient réfugiés dans le creux d’une grotte non loin de là, et seul Hancko Dorhn la prêtresse était restée dans la bataille pour bénir ses compagnons. Mais face à la défaite des hommes, elle perdit espoir, mais soudain elle vit Marq, seul homme encore debut, se faire recouvrir d’une lueur verte, une sorte d’aura qui semblait le rendre encore plus puissant. Les coups de son sabre s’accompagnait d’une vague d’énergie qui soufflait et déchiquetait ses ennemis. Un dieu l’accompagnait ,l’aidait dans sa quête et lui avait prêter ses pouvoirs surnaturels. Hancko regardait de ses yeux ébahis cette lutte acharnée contre ces démons. Marq ne semblait même plus être lui même et malgré ces blessures et ses brûlures, il restait impartial, aucun monstre ne passait sa défense. Et lorsque le soleil se leva, il acheva le dernier démon dans un cri terrible et tomba lourdement à terre. Son combat était fini, les hommes se relevèrent sanglant, les femmes et les enfants sortirent et allèrent voir le héros qui les avait sauvés. Marq Horneflanc, vidé de ces forces, gisait à terre. L’aura qui l’avait baigné toute la bataille commençait à se dissiper lentement, et son dernier souffle s’accompagna d’une bourrasque froide…

     

    II La couverture d’un Dieu

     

    Les charrettes éventrées au sol se consumaient encore pour la plupart. Toute la tribu s’était réuni autour de la prêtresse. Désarmés et démoralisés, ils trouvaient le refuge dans les paroles d’Hancko. Elle les rassurait et leur expliqua ce qu’elle vit cette nuit là : « Marq était aidé par un dieu, il s’est enflammé d’une lueur verte et il se battît honorablement… Il faut lui rendre hommage, j’ai vu des montagnes bordant ces plaines non loin de là. Son incinération aura lieu en son sommet pour qu’il puisse rejoindre aisément le dieu qui lui a prêté force et gloire. Allons, mes braves, rendre hommage à ce héros ! ». Sur ces belles paroles, les nomades reprirent confiance et se mirent à la tâche : les hommes se séparèrent les tâches, certains réparaient les charrettes qui pouvaient l'être tandis que les autres récupèreraient le bois sur les cadavres d’autres roulottes. Les femmes et les enfants avaient pour mission de récupérer tous les vivres qu’ils pouvaient, mais ils s’aperçurent très vite que le feu en avait déjà consommer la majeur parti. Malgré tout, ils retrouvèrent quelques graines et du pain par si par là. Après avoir récupérer ce qu’ils devaient, les nomades reprirent leur route, malgré le peu de ressource qu’il avait. Seul trois buffles avaient été retrouver, égarer dans la plaine, libérer de leurs liens aux charrettes au moment de la bataille. Seul trois chariot, guidé par Hancko, parcouraient la terre en direction des montagnes qui pointaient le bout de leur cimes. Les hommes, qui pouvaient marcher, avaient laissé leur place aux femmes sur les chariottes. Quand ils furent arrivé au pied des monts, Hancko choisit quatre hommes pour porter le corps de Marq Horneflanc. Ils commencèrent la montée avec le cadavre tandis que le reste de la tribu regardait la lente progression du cortège funèbre jusqu’à les voir disparaître dans la brume matinale.

     

    Hancko avait pris soin de choisir le plus haut sommet pour la crémation du héros. Les quatres hommes le posèrent sur un rocher plat où ils mirent quelques herbes sèches. Ils s’écartèrent du rocher et laissèrent la prêtresse faire des prières dans une langue inconnu. Elle embrassa le corps, tout en récitant son requiem… Mais soudain, les flammes qui dévoraient Marq prirent une teinte verdâtre. Les hommes s’écartèrent et la prêtresse pétrifiée fut soudain couverte d’une aura similaire à celle de Marq de la terrible nuit dernière. Sous les yeux effarés des quatre porteurs, Hancko tomba à terre et se mit à trembler tandis que le corps de Marq brûlait anormalement, les flammes qui se dégageait du corps ne le dégradait pas et il restait comme s’il était vivant. Soudain le cadavre se redressa, la prêtresse s’éloigna lentement en rampant et se tenant la tête comme si une migraine terrible lui ravageait l’esprit. Un des hommes se dévoua à l’aider malgré l’aura verte dans laquelle elle baignait et qui lui brûla partiellement les mains. Dans un éclair, Marq ouvrit les yeux, toujours en proie au flammes vertes, il leva lentement la main sur Hancko qui releva la tête d’une manière brusque. Elle ouvrit grand les yeux en regardant le héros. Marq Horneflanc, dans un second éclair, s’évanouit dans les airs, son corps partit dans une brume de poussières luisantes qui s’étala à terre. La prêtresse se libéra des bras de l’homme qui l’avait aidé et alla s’emparer des poussières étalés sur la pierre. Les hommes, impuissants face à une telle scène, s’étaient tu, ils avaient conscience d’avoir vécu ce qui allait être la légende de Marq Horneflanc. Quand Hancko eut finit de ramasser le peu de poussières qui restaient dans un petit sac de lin, elle fit signe qu’il fallait redescendre. Sans un mot, ils se mirent en route vers le reste du clan.

     

    III Les fondements de Cerve

     

    La prêtresse n’avait rien dit depuis son retour, de même pour les quatres hommes qui l’avaient accompagné. Le groupe se posait des question, et les vivres commençait à manquer, ils allaient bientôt arriver en pénurie. Un des proches de Marq se dévoua à entrer dans la roulotte où c’était réfugié la prêtresse. Attentifs, le reste du clan regardait la roulotte, inquiet de leur avenir en ces terres. Soudain elle sortit, on avait entendu aucune parole, rien que la douce brise qui caressait les hautes herbes. Doucement elle s’avança au milieu du groupe…

     

    « Mes frères, mes sœurs, ce qu’il s’est passé il y a trois jours … Marq nous a protégé au péril de sa vie, mais il n’est pas mort. Il est avec nous, encore. Ce sac renferme ses cendres. Je ne sais pas comment vous le dire, et cela fait trois jours que je ne peux m’expliquer un tel événement… Nous sommes bénis par un dieu ! Il m’a parlé par l’intermédiaire de Marq Horneflanc ! Nous devons rester ici, il va nous apporter nourriture, eau et prospérité a-t-il dit ! Nous sommes ici chez nous, croyez en moi et en ce dieu qui nous a tous sauvé de ces hordes de démons ! »

     

    La foule, qui l’écoutait, s’affola et la questionna. Tous était perplexe et se demandait qu’elle était le but de ce dieu qui les avait manifestement aidé grâce à Horneflanc… Mais le problème des ventres creux vient très vite aux oreilles d’Hancko qui leur répondit qu’il fallait planté les quelques graines qui leur restaient. Ainsi fut dit , ainsi fut fait, un espace près d’une source d’eau fut mis en place. Ils y plantèrent les quelques graines de blé et de houblons qu’ils avaient, les dernières. Le clan, septique, avait du mal à croire aux vertus de ce nouveau dieu. Certains pensaient plus que la prêtresse était folle et que dans un acte désespéré, elle voulait un miracle… Après un débat houleux, tous s’accordèrent à rester une semaine en cet endroit.

    Le lendemain matin, de magnifique pied de houblons et de blé avaient fait surface, l’incroyable, l’impossible s’était produit… La tribu n’en croyait pas ses yeux, Hancko avait dit vrai, ils sont sous la bénédiction d’un dieu, et de leur héros Marq. Quand la prêtresse sortit de sa roulotte ils s’inclinèrent tous devant elle, pour se faire pardonner de leur doute d’hier. A tous, elle leur tendit une pousse d’arbre, puis leur dit : « plantez la, et vous aurez du bois, avec celui ci faîte vous des demeures… ». Ces paroles s’accompagnèrent d’un mouvement de joie, un avenir pointé enfin le bout de son nez au sein de ce groupe qui n’avait subit que les horreurs de la guerre…

     

     

    IV Cerve, le village du renouveau

     

    Cinq semaines plus tard, des batiments avaient poussé ainsi qu'une taverne....

     

    - « Cervoise, s’il vous plait ma petite dame, dit un des hommes avachi sur le guichet

    - Bien sûr, trois pièces d’argent s’il vous plait, répondit la serveuse.

    - Le prix a encore baissé apparemment, et elle n’en est pas moins bonne, dit-il en buvant le précis nectar

    - Oui encore, le houblon pousse à une vitesse folle, les hommes ont même du mal à tout récolter dans la même journée que déjà le lendemain les nouvelles graines ont déjà germés. C’est vraiment incroyable…

    - Et bien ouais, tout ça grâce à Marq, ria-t-il.

    - Et je vous parle même pas des arbres qu’on a planté non loin. En une semaine, ils atteignent la hauteur d’un arbre de 30 ans, je ne vous dit même pas le travail que l’on a. Le bois est dure mais idéale pour les maisons, renchérit un autre sur une table.

    - Oui je sais, d’ailleurs c’est du bon boulot, lui répondis l’homme au guichet, je suis meunuisier et c’est la 7ème demeure que l’on battit depuis le début sans parler des mines qui ont été étayer, et de cette taverne.

    - La prêtresse n’a toujours pas de prédiction pour le nom de ce village non ? dit la serveuse.

    - Apparament non pas encore… »

    Au même moment, Hancko rentra dans la taverne d’un pas lent et distingué par une robe bleu nuit assez courte. Elle était sertis de quelques colliers de fleurs.

    - « Vous êtes bien coquette aujourd’hui Sœur Hancko, dit l’homme à table, un verre vide à la main

    - Même une prêtresse à le droit de ce faire belle non ? Du moins notre dieu ne me l’a pas interdit pour l’instant, dit-elle en riant.

    - Vous avez eu des visions récemment, lui lança un homme

    - Oui, je dois avoué que je n’en ai jamais eu autant de la part d’une entité divine, il semblerait qu’il nous porte sous son aile…

    - Vous ne connaissez pas son nom ?

    - Et bien il n’a donné aucune précision à ce sujet …

    - D’ailleurs, en parlant de nom, comment devons nous appeler notre village ? Vous avez une idée ?

    - Et bien, même pas d’indication, mais vous, trouvez donc un nom, dit-elle en souriant.

    - Appelons la Cerve, braillant un homme assis par terre, le nez rougit par l’alcool. Cerve, abrégé de notre bonne cervoise vous trouvez pas ?

    - Certe l’idée ne me déplait pas, répondit la jeune prêtresse. »

     

    Il s’éleva dans la travers un courant d’approbation, et tout le monde trinqua à Cerve.

     

    Information Général:

     

    Nom : Cerve

     

    Gentillé : Cervois/Cervoise

     

    Dimension : Environ 400x400

     

    Hauteur : Sûrement pas plus haut que la couche 180

     

    Zone de construction : Essentiellement sur terre, mais nous n’excluons pas plus tard utilisé nos sous-sols pour des projets Rp.

     

    Personnes responsables du projet : Chafoins, et Stiguyraft

     

    Plan du territoire :

     

    -Voici le territoire appliqué sur la carte du routard de Stendel (Notre territoire chevauchera une partie du territoire de Tsuribashi, mais un accord préalable a été vu avec Goo_m_ba) :

     

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    Les frontières sont signalé par le liseré rouge, la zone rayée de traits violets serait une zone commune avec Tsuribashi.

     

    -Un plan plus détaillé de l’évolution général du village :

     

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    Emblème :

     

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    Apparence du projet :

     

    Les screens que je vais vous présenter son des constructions réalisées en 1.3.2 par stiguyraft en partie solo depuis près de deux mois, ils donnent une idée de l’apparence de la ville et ce qu’elle pourrait donner à l’avenir. Mais aucun des bâtiments présentés ne seront importés sur Stendel tel qu’elle. Les screens ne sont qu’une source d’inspiration de ce que Cerve pourrait donner plus tard. Néanmoins le style de ces constructions sera le même, avec les variantes des items de Minefield. Nous voulons donc construire une ville unique dans un style qui la distingue des autres et une ville qui sache évolué au ville des mois (Nous n’hésiterons pas à détruire des bâtiments pour en refaire d’autres, aucun plan précis et définitif n’est donné.)

     

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    Administration :

     

    Conseil des sages :

     

    La ville aura ce que l'on appelle un conseil des sages. Dirigé par le Hernant, ce conseil est le centre névralgique de Cerve. C'est lui qui prend toute les décisions. Certains conseils seront publique, c'est-à-dire que les habitants pourront y participer pendant que d'autres seront restreint aux sages et au dessus. Mais très souvent, on prendra les décisions tous ensemble.

     

    Grade :

     

    Hernant : il s'agit du chef du village, il dirige le conseil des sages et a la majeur parti des pouvoirs. Il représente la ville à l'extérieur.

     

    Prêtre(sse): il s'agit de la personne qui parle avec la divinité qui nous as sauvé. Il/elle est le chef spirituelle du village et est le/la conseiller(ère) proche du Hernant.

     

    Sages : il s'agit de ceux qui auront montrer leur implication dans la ville. Obtenir ce rang vous offre une place au conseil des sages.

     

    Cervois/cervoise : il s'agit simplement des habitants de Cerve.

     

    Pour entrer dans la ville :

     

    -Une petite présentation de soi

    -Pourquoi Cerve et pas un autre projet?

    -Êtes vous déjà dans d'autres projets?

    -Petit RP (facultatif)

     

    Regles particulières de Cerve :

     

    1.Respect des règles de Minefield

    2.Cerve n'acceptera pas de personne qui a déjà deux nationnalités ( afin de crée une communauté attaché, il est important d’évité d’avoir des personnes trop éparpillés sur divers projet), sauf exception à voir avec les dirigeants.

    3.Respcet de l’architecture mise en place

    4.Tout projet interne doit être débattu enssemble(tout grade compris)

    5. Chacun doit participer à l’effort de collecte de ressource ( les dons de PA ne sera pas une obligation mais seulement si vous êtes volontaires).

    6. Respect et convivialité

     

    Liste des Habitants/ participants actuel :

    - chafoins

    - stiguyraft

    - Naroto

    - Clint_eastwood

    - Ormeau

  5. Bonjour peuple d'Almaris,

     

    Je fait ce poste pour vous annoncer mon départ. Almaris n'est plus ce qu'elle était. la communauté état sympathique et soudé et désormais, elle est juste l'inverse. J'ai été déçu par beaucoup d'entre vous et encore plus de certains (ils se reconnaitront) . Vous m'avez à un point stressé que je pensais à Almaris en plein cours et cela est juste hors de question que cela déteint sur ma vie IRL. Je vous laisse vous démerder avec Almaris et je me lance dans un nouveau projet avec des personnes de confiance.

     

    Je ne nomme pas Ormeau à ma place car il quitte également le bateau. Je confie donc la ville à clint_eastwood car il est le seul à avoir encore un peu de jugeote à Almaris. Maintenant, ne venez plus me parler d'Almaris, je ne répondrai pas.

     

    Je tiens juste à préciser qu'il y a quand même des membres que je continue d'apprécier et je leur souhaite bonne chance pour la suite.

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