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Alduso

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À propos de Alduso

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    Paris
  • Pseudo minecraft
    Alduso
  1. Salut, Juste pour dire que j'abandonne pour le projet du palais du gouverneur, les essais que j'ai effectué ne sont guère concluants. Bref je suis pas inspiré... J'espère que quelqu'un d'autre aura de meilleures idées
  2. Je vous présente mon RP de Nain, qui suit le début de mon histoire posé dans ma candidature de paysan. Je vous souhaite une bonne lecture. Commencez par lire le roleplay de ma candidature paysan. Que les gens étaient grands dans cette contrée… Les terres du clan d’Alduso étaient certes peu fertiles, mais il n’imaginait pas qu’une bonne alimentation puisse faire tant grandir les gens. Il s’était reposé depuis quelque jours dans la cité de Fingelberg, où les gens s’étaient révélé plutôt accueillant envers un étranger, qui plus est nain comme ils disent dans leur langue. La ville était impressionnante, entourée de neige, comme prise dans les glaces. Il n’avait jamais rien vu de tel, après avoir travaillé la terre comme un forcené des années durant. A 83 ans, il en avait vu, des hivers secs et des étés assommants. Après avoir marché quelques jours, il atteint finalement la ville de New Stendel. Il fut abasourdi par l’extraordinaire cité flottante, une vile magie devait être derrière tout ça. Pourtant, il se décida à y pénétrer, au mépris des règles de prudence à l’encontre de la magie qu’on lui avait rabâchée dès sa plus tendre enfance. De là où il venait, la magie était prohibée, les rares tentant de la maîtriser étant pendus haut et court. Il s’agissait plus d’une peur de l’inconnu que d’une règle établie pragmatiquement, d’autant qu’avec la magie, la sécheresse des dernières années aurait pu être atténuée. Il n’empêche que l’on n’est jamais assez méfiant vis-à-vis d’un tel pouvoir, capable du bien comme du mal. A New Stendhel, Alduso découvrit une ville puissante, fortement peuplée et influente. Depuis New Stendel, on pouvait aller partout, aux confins d’un empire qui ne semblait pas avoir de limite. Il s’étonna d’ailleurs de n’avoir jamais entendu parler d’un tel foyer politique dans sa lointaine contrée. Sans doute la pauvreté de son clan et l’apprêté de ses terres n’avait jamais attiré un quelconque étranger, susceptible de l’informer sur le monde. Mais sa plus grande surprise fut de croiser des gens qui lui ressemblaient. Au milieu des grandes gens, des nains, comme il semblerait qu’on appelle les gens de son espèce, déambulaient, vêtus de lourdes armes et d’armures de cuir. Il tenta bien d’entamer la conversation, mais Alduso n’avait guère l’habitude de converser avec des inconnus, issu d’un village d’à peine 50 âmes. De plus, lorsqu’on lui demanda de quelle montagne il venait et qu’il ne sût que répondre, les autres nains crûrent à une plaisanterie et partirent en riant. Pourquoi parlaient-ils de montagnes ? Les siens avaient toujours vécu dans les plaines, en cultivateur. Ce monde était décidemment étrange. Il finit par entendre que le savoir était entreposé dans une bibliothèque, et qu’il y trouverait la réponse à ses questions. Ce qu’ils appelaient savoir ressemblait étrangement à ses yeux aux histoires du patriarche du clan. Le soir, près du feu de camp, alors qu’un vent froid et sec battait sur les maisonnettes, le patriarche contait des histoires, mélange subtile de vérité et d’imagination, cherchant à inculquer une morale aux jeunes du clan. Ces histoires contaient la vie de cultivateurs confrontés au problème du partage avec des voisins dont les cultures furent ruinées, ou encore de l’union du clan face à la menace barbare. Tout ceci était si loin maintenant, et surtout… perdu. Ces livres étaient comme le patriarche contant une histoire nouvelle et inconnue. Alduso apprit l’histoire de son monde, ses us et ses coutumes, et s’en passionna au point de ne pas quitter le bâtiment public en 6 jours. Sa soif de savoir semblait intarissable. Sa vie se rythmait alors autour de la mendicité dans la capitale pour manger, et autour de la lecture et l’apprentissage du savoir. Un jour, il pénétra dans une taverne de New Stendel, à la recherche d’une aumône pour subvenir à ses besoins. Un autre nain était debout sur une table et annonçait visiblement une nouvelle importante. D’après lui, un nain nommé Galaoud fondait au Sud de l’Empire une cité Naine ouverte à tous ses semblables. Il cherchait les nains perdus décidés à commencer une nouvelle vie au prix de la sueur et du sang. Alduso baissa les yeux. Alors que lui se complaisait dans la mendicité et la médiocrité, d’autres nains courageux se lançaient dans le projet d’une vie meilleure. Mais l’aventure n’était clairement pas pour lui. Il quitta la taverne, la nuit était déjà tombée, et il se dirigea vers la rivière de New Stendel. Il commença alors à la longer en rêvassant. Que faire de sa vie ? Il était encore si jeune. Il pourrait peut-être retourner sur ses terres, reconstruire ce qui avait été perdu. Il pourrait peut-être trouver des survivants… Des survivants. Le nain se mit alors à trembler et à gémir. Sa famille, son clan, ses frères, ses sœurs, massacrés par une main barbare et ignorante. Sa rage ne pût plus se contenir et il se mit à hurler de douleur dans la ville silencieuse. Il s’agenouilla près de l’eau et pleura. - Je n’avais encore jamais vu de nain pleurer. Que vous arrive-t-il donc, mon ami ? Alduso se retourna. Une silhouette haute et cachée dans l’ombre l’observait. - Qui êtes-vous ? Je n’ai pas le temps de subir les quolibets des habitants de cette cité. Je suis un nain brisé, respectez mon deuil. L’ombre resta silencieuse. Le nain essuya de ses haillons son visage humide. - Pourquoi restez-vous planté là ? - Votre vie est-elle si dénuée de sens pour que vous vous morfondiez en mendiant sans n’avoir aucun projet d’avenir ? La rage montait. Comment cet inconnu pouvait-il l’insulter ainsi ? - Qui êtes-vous pour oser m’insulter ? Vous ne savez rien de moi ! Vous avez sans doute vécu paisiblement, en sécurité dans cette cité, tandis que des gens comme moi devaient chaque jour combattre pour gagner le droit de vivre ! Votre peuple n’est qu’insolence et vous me dégoutez. - Tout ce que je vois, c’est que vous êtes abattu et incapable de vous relever. J’ai peut-être vécu confortablement et je n’ai pas subi de drame mais au moins… La silhouette marqua une pause. Sa voix était douce mais on ressentait la sévérité dans le ton. - … je vis ma vie, et la vie est ce qu’elle est, un don, vous l’avez dit. Ne le gâchez pas. Aussi vite qu’elle était apparu, la silhouette disparut. Alduso replongea ses yeux dans les eaux sombres, brisé. Le chemin jusqu’à Galianor était parsemé de petits villages mais aussi de dangers. S’approcher trop près du Ragnarok peut s’avérer dangereux pour un aventurier amateur mais finalement, Alduso était arrivé. Il se présenta aux portes, où s’affairaient des dizaines de nains. L’un d’eux le remarqua et s’approcha de lui. - Bienvenue l’ami, je me nomme Galaoud ! Je suppose que tu viens participer à notre grande aventure ! Comment t’appelles-tu et d’où viens-tu ? - Je me nomme Alduso, et là d’où je viens, il n’y a plus rien pour moi. Galaoud le regarda d’un œil d’abord surpris puis sourit. - Ne t’inquiète pas, si tu es prêt à travailler, tu as ta place pour débuter ici ta nouvelle vie. Je suis venu ici pour vivre la vie que je souhaitais vivre, sans que l’on m’interdise de le faire. Tous les nains qui veulent vivre libre sont bienvenus ici. Alduso jeta un regard plein de gratitude à son nouveau camarade. Puis il ouvrit la bouche, comme pour dire quelque chose… - Je suis un nain des plaines, je suis le dernier représentant du clan Sombre-Sable.
  3. A noter que les travaux dans la Salle des Règles ont bien commencé. Elle devrait être vite complètement creusée et aménagée. Le quartier riche est le suivant sur la liste
  4. Alduso

    La 1.5 est là !

    Notch a fini Portal 2 6 heures après la release de la 1.5 donc... à priori il devrait être en train de bosser
  5. Bonjour, Voici maintenant quelques jours que j'arpente avec toujours autant de plaisir les terres de Minefield. Je suis vraiment enthousiasmé par ce serveur qui développe le jeu en petites communautés pour la réalisation de projets incroyables. Entre New Stendhel, Ourik ou Nouvelle-Azur, il y a chez vous une créativité et une diversité vraiment intéressante. L'organisation d'évènements, comme le concert organisé à Ourik Dimanche dernier, où j'étais présent, m'a également vraiment plu. Pour toutes ces raisons, je suis vraiment motivé pour intégrer le serveur Minefield.fr. Parlons maintenant un peu de moi et de pourquoi vous devriez me recruter Fiche de présentation Pseudo IG : Alduso Prénom IRL : Paul Âge : 21 ans Ville : Paris, FRANCE Boulot : Etudiant en management Passions : Minecraft, WoW, le théâtre et l'histoire Minecraft en général J'ai commencé à jouer à Minecraft l'année dernière. J'ai beaucoup joué en solo, puis ensuite avec des potes au mode Survival. Je n'ai commencé à m'intéresser à l'architecture et à la réalisation de projets en multi que récemment. J'ai par ailleurs ouvert un compte Flickr pour y déposer quelques photos d'une part de mes réalisations et d'autre part de mes inspirations (vous pouvez le consulter ici : http://www.flickr.com/photos/alduso/ ). J'ai également commencé à jouer il y a quelques temps sur le serveur Zone-Minecraft, qui s'avère très sympathique mais hélas un peu petit à mon goût. Mon projet sur Minefield.fr J'espère bien très vite m'intégrer à la communauté et faire progresser le serveur en apportant des constructions de qualité et une motivation sans faille. Je joue très régulièrement et suis donc un compagnon fiable dans tous les projets où je pourrais m'investir. Role-Play Le soleil était assommant, frappant de ses rayons la terre stérile des environs, où quelques silhouettes fatiguées s'affairaient. Alduso était l'une d'elles. Avec ses camarades, ils essayaient de faire pousser quelques maigres cultures afin de passer les prochaines semaines sans trop souffrir de la faim. Le manque d'eau n'arrangeait pas les choses... Les journées s'organisaient entre un labourage permanent lorsque le soleil n'était pas trop agressif, et la création d'un puits à l'ombre. Hélas, cette entreprise n'avait guère d'espoir de réussir. L'espoir... C'est bien ce qu'il manquait dans cette contrée désolée. Et si seulement il n'y avait que la difficulté à trouver de la nourriture. Les barbares du Nord pillaient régulièrement les rares réserves vivres pendant la nuit, et la dernière fois, ils avaient égorgé l'un des compagnons qui montait la garde. La situation devenait de plus en plus précaire. Cette journée là, l'espoir s'effondra totalement. S'essuyant le front, et jetant la bêche qui lui blessait les mains, Alduso regardait l'horizon : de la terre asséchée, des arbustes survivant, quelques brins d'herbes jaunâtres... et soudain, un homme monté à cheval. Quelques secondes plus tard, il était rejoint par dix, quinze... non vingt autres. Ils restèrent immobiles, au loin, tournés vers notre campement. Les hommes arrêtèrent le travail, transis de panique. Amis ? Ennemis ? C'était impossible à dire. Lorsqu'ils sortirent leurs épées puis se mirent à galoper dans notre direction, nous sûmes que c'était la fin... *Si seulement l'espoir se manifestait...* Trois... Non, quatre jours depuis l'attaque, et il était le seul survivant. Enfin, pas vraiment, certains avaient été emportés, sûrement réduits en esclavage par ces barbares encore inconnus. Impossible de dire quelle chance l'avait entraîné loin de ce chaos. Alduso titubait, trahi par la faim et la soif. Il n'avait cessé de marcher vers l'Est, et maintenant qu'il avait réussi à se tirer de ce mauvais pas, il risquait de mourir seul dans une prairie desséchée. A moins que... *L'espoir n'est qu'une aberration, la mort est une libération de ce monde infâme...* De l'eau, de l'eau ! Il y en avait tant qu'il n'en croyait pas ses yeux. La sécheresse n'était donc pas partout. Ici, tout n'était que verdure et beauté. Il croisait ensuite une jeune femme, inquiète devant un tel spectacle de misère... Elle lui indiqua la route dans un langage compréhensible mais dont l'accent était réellement étrange. Il fallait allers vers une ville du nom de Fingelberg, puis se rendre à New Stendhel, là bas, une vraie vie, prospère, pourrait commencer.
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