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Pastaga51

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    Pastaga51
  1. Toujours en vie. \o/ Beaucoup, beaucoup de taf & autres ennuis IRL, je passe quand je peux.
  2. +1 (Hein ? Moi ? La flemme d'écrire ? Meuh non.)
  3. Pastaga51

    Album photo du chantier

    Content de voir que ça avance. Désolé du peu de connexion mais IRL oblige, trop de taf. Mais je vous abandonne pas, j'essaye de passer creuser quand je peux.
  4. Pseudo: Pastaga51 ! (Bouh ! Pas RP ce pseudo !) Description IRL: Lycéen, passionné de soirée, de rugby, d'informatique et de roleplay. ^-^ Pour plus d'infos, en mp ou sur mumble. Race Choisie: Lawolf ! Parcours en jeu: Candidature paysan faite en janvier 2011, pas vraiment trouvé d'accroche, donc découragé, j'arrêtai le serveur sur quelques visites de Stendel. Mais début 2012, je reviens motivé pour du rp, du cassage de cubes et des histoires [barrer]coch[/barrer] Motivation: Envie de casser la baraque ! Bwahahahah ! '-' Plus sérieusement, votre aspect roleplay me motive, l'histoire du Directoire et l'architecture me plaisent et bien-sûr, je veux servir l'Empereur. @.@ Roleplay: Ici Autres: (/*-*)/ \(*-*\) (/*-*)/ (<- Ceci est une danse incantatoire, prenez garde, pauvres fous.)
  5. Il était une fois, dans une contrée éloignée du monde que l'on connaît. Une Terre. Une Terre d'espoir, loin des guerres, loin de tout conflit. Les habitants vivaient heureux, dans un système permettant l'égalité sans désordre. Un étranger vint un jour aux frontières de ce territoire, nous allons vous conter son histoire.. Il marchait depuis si longtemps qu'il ne s'en souvenait plus. La guerre chez lui, l'avait poussé à l'Exile. Ne sachant plus où aller, n'ayant plus de terres, plus personnes sur qui compter, il devait marcher. Sans s'arrêter. Etant considéré comme un paria par ses anciens amis, ayant perdu sa famille lors de la guerre, il devait marcher. Quitte à ne s'arrêter qu'une fois sa fin venue. Mais le Destin décide souvent à notre place et cette fois-ci, le destin avait décidé de repousser sa fin. Il aperçu une terre au loin, l'espoir. L'espoir de vivre, plus qu'une idée. Un engouement. Mais la fatigue, il fallait la vaincre. La crainte d'être encore rejeté, il fallait la vaincre. On peut croire que la fatigue nous empêche de penser mais cela est faux. Les pensées noires, telles un cancer nous rongent, quel espoir pourrais avoir un paria dans son propre pays ? Encore une fois l'espoir est la meilleure arme. L'espoir est une lutte de l'esprit, un esprit fort, malgré les désillusions, les attaques, les blessures ne perdra jamais espoir. Sans ça, la mort nous guette tel un prédateur traquant sa proie, cherchant la moindre erreur, le moindre faux pas qui nous ferait chuter dans les abysses. Mais il ne voulait pas. Quand les moutons deviennent des lions la mort n'a plus qu'à disparaître. Peu importe les risques. Peu importe notre histoire. Quiconque voudrait se targuer de n'avoir jamais commis d'erreur devrait remettre en question son être et son devenir. Il est dit que l'homme nait bon mais que la société le pervertit. Qui peut dire n'avoir jamais été en contact avec la société ? Surtout pas cet étranger. Peu de choses de son passé nous sont connus et ce qui l'ait reste trouble. Les questions passaient mais ne l'empêchaient pas d'avancer. Bientôt, harassé mais heureux, si le terme est exact, il parvint aux portes de cette Terre. Et s'effondra. Quelques gens, citoyens, voyageurs ou simples badauds accoururent voir qui était cet étranger, venu par simple curiosité ou par désir d'aider. « Où suis-je ? » dit-il. « Tu es à Stendel, étranger. » Répondit un paysan, venu à son secours. Sur ces quelques mots et en ayant appris où il se trouvait, il s'évanouit. Recueilli et soigné chez le paysan qui l'avait secouru à l'entrée de Stendel, notre mystérieux étranger repris conscience quelques heures plus tard, à l'intérieur d'une chaumière. Encore hagard, notre étranger se demandait qui l'avait transporté jusque ici. Le feu crépitait dans l'âtre de la cheminée. Rassemblant ses quelques forces, il se leva, pour explorer l'endroit où il se trouvait. Il n'y avait guère d'objet remarquable mais pour un homme n'ayant pas connu la chaleur d'un foyer depuis si longtemps, tout est remarquable. Il entendait le plancher craquer sous ses pieds. Au loin, il entendait le forgeron au loin. Le forgeron chantait une douce musique rythmé un peu maladroitement par le bruit de l'enclume rencontrant le marteau du forgeron. Quelle drôle d'air. C'est sous ces quelques égarement dont il n'avait eu depuis longtemps l'occasion de s'attarder qu'il entendit quelqu'un rentrer dans la chaumière. « Eh bien, enfin levé jeune homme ? » Dit le paysan. Devant lui se tenait un homme de la terre relativement âgé, l'air sympathique mais éprouvé par de longues années d'efforts. « Oui, je vous remercie pour votre aide et vos soins, sans vous je... » dit-il. « Pas d'histoire, je n'ai fais que mon devoir d'habitant de notre belle citée. D'ailleurs étranger, si tu souhaites rester parmi nous, tâche de te faire connaître à notre mairie, eux seuls pourront t'accorder le droit de t'installer sur nos terres. » expliqua le paysan. Sur ces quelques mots et après un frugal repas non sans avoir remercié une fois encore le paysan, il le laissa pour partir en quête de la mairie. Notre étranger décida en effet de poser son fatras dans peut être le dernier endroit qui l'acceptait, et cet endroit le destin l'a choisit, Stendel.. Après quelques détours infructueux et quelques conseils avisés de résidents de Stendel, notre étranger trouva finalement la mairie et d'un pas tremblant, pris le courage d'y pénétrer et d'y demander audience auprès d'un responsable. Chose faite, on le fit rentrer dans ce qui semblait être une salle de réunion, il y trouva quelques érudits et un homme d'état, un noble de Stendel semble t il. « Bienvenue à Stendel étranger, on m'a rapporté que tu souhaitais rester à Stendel, cela est il vrai ? » « Oui messire, je ne suis qu'un voyageur sans terre et votre cité m'a semblé être le meilleure endroit pour vivre ma vie, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour servir au mieux cette citée bénie de Dieu. » répondit l'étranger. « Fort bien. Mais il me faut te poser quelques questions pour nous permettre de t'inscrire comme il se doit dans nos registres. En commençant par ton nom, étranger. » « Je..je..je ne sais plus. Mon seul souvenir remonte à la vue de votre citée, à quelques lieux d'ici. Mais, je crois me souvenir d'un surnom, Pastaga il me semble. » hésita t il. « Bien, vu ce que l'on m'a raconté, je peux comprendre cette perte de souvenir, espérons qu'elle soit passagère. Nous notons tout de même ton surnom. Si tel est le cas. Nous gardons cette information en attendant que plus de souvenir te reviennent, n'oublie pas de nous les communiquer, une personne si jeune mais aussi marqué par son passé m'intrigue, donc ne manque surtout pas à nous raconter ton histoire, Pastaga. » « Je n'y manquerai pas messire, je vous remercie mille fois. » Sur ces quelques mots, Pastaga quitta la mairie, inquiet du mensonge sur son passé fait au maire mais, il gardait l'espoir d'un jour pouvoir raconter son histoire, en attendant, il allait falloir vivre. Un passé trouble est un passé dangereux. Pastaga réussira t il à s'intégrer à Stendel ? Ou cela n'est il encore qu'un faux espoir ? La mort rôde en attente d'une réponse et devra encore attendre il me semble, enfin..je l'espère. Il y a bien longtemps, était arrivé à New Stendel un être au passé lourd, qui, cherchant à fuir son passé avait, pensait-il, trouvé refuge en cette ville. Mais le bonheur est une chose volatile, celui qui s'en croît maître risque fort de s'y fier. Le passé de notre personnage étant ce qu'il est, son futur ne fut point à sa convenance. Lors d'une aventure, il fut attaqué par la terrible, la dangereuse, la sournoise, la...poule. * Ndlr: La crise étant ce qu'elle est mon cher Pastaga, débrouille toi avec une poule, vil dépensier. * Je disais donc, une...une..poule meurtrière et schizophrène, avait empoisonné notre personnage, le plongeant dans une profonde torpeur. * Ndlr: Et là, je vous parie qu'il va nous sortir le discours du saut dans le temps, ce faible, mes amis, le monde de l'écriture est bien bas. (surtout avec cet être) * Utilisant mes quelques forces, je me remis sur pieds, il faisait sombre, qu'entends-je au loin ? Une lumière. Dois-je m'approcher ? Mon esprit est embrumé, j'ai du mal à réfléchir. J'ai l'impression de connaître l'endroit où je me trouve. Est-ce ma demeure ? Non, je ne crois pas. Je n'espère pas. J'appelle. Personne. Où suis-je ? Tâchons de nous souvenir. Quel est mon nom ? Je ne sais pas. Une lumière, encore. Attention ! Un bruit. Un creeper ? Non, plus sourd, plus profond. Suis-je en train de rêver ? Non. Je ne crois pas. J'entends une voix. J'appelle. Un bruit. Serait-ce un rire ? Qu'est-ce qu'y se passe. Encore de la lumière. Ma tête...elle résonne, que cela cesse ! Je deviens fou, les murs se ressemblent tous.. Non ! Un bruit ! Fuir, je dois fuir. Je cours, je trébuche, une salle. Quelqu'un habite ici ? Non. Quelque chose. Encore ce bruit, il..me parle ? Que dit-il ? Je ne comprend pas.. Ma tête va exploser ! Personne ne vient m'aider ? Pitié faites que ce cauchemar cesse ! Mais ce n'est pas un cauchemar. Mon esprit sombre.. Suis-je mort ? Peut être. Encore cette lumière. De l'air. Ou autre chose. Non ! De l'air ! Je...je suis sorti. Où suis-je ? Je crois connaître cette endroit mais..je ne le connais pas. Est-ce un songe ? Non. La voix. Elle me parle. Non ce n'est pas possible.. Je dois retrouver.. Non. La voix s'énerve. Que se passe t'il ? Mon crâne..je sombre.. Où suis-je ? Trop de bruit dans mon crâne, que cela s'arrête ! Un homme.. Qui est-il ? On me parle.. Stendel..Stendel. Ma vie a commencé bien loin de ces terres, loin de tout ce qui provoquera ma fin. Mais proche de sa cause. On aura sans doute raconté un grand nombre de choses sur ce qui provoqua mon soit-disant exile. Je vais vous narrer, ce qui fût, un jour, ma vie. J'étais encore jeune lorsque cet homme étrange vînt au village. Pas étrange par son physique, celui-qui, le croisant dans une rue, aurait pensé croisé un homme simple, n'aurait pu se tromper. Bien mal nous en a pris. Lors de son arrivée, le chef du village, mon père, l'avait convié à un repas, aucun autre étranger n'était venu au village jusqu'à présent. Il se disait scientifique, il procédait à des recherches sur la faune et flore pour un projet qui le conduirait au nord, un peu plus tard. La semaine qui suivit son arrivée fut terrible, les gens commençaient à changer, les pères oubliaient qui étaient leurs familles, les femmes enceintes étaient traitées comme des sorcières et étaient...étaient..éliminées. J'avais grandi dans un village paisible, où il faisait bon vivre. Ce village, n'existait plus. Von Karow, c'est le nom qu'il nous avait donné, pris le pouvoir dans le village à la disparition de mon père et à ce moment, je compris que le village venait de perdre tout espoir. Il brûlait tout nos récits, toutes nos histoires, disant que toutes personnes quittant le village devait être considérer comme des traitres et devaient être chassées. J'attendis. Je patientais le temps de gagner la force me permettant de fuir. Plusieurs années à voir mon village souffrir sont passées lorsque je pris la fuite. Je fuyais vers le nord pour tenter de répandre la véritable nature de ce Von Karow. Mais personne ne me croyait, je passais pour un fou, un pauvre chercheur, dangereux ? Qui voudrait croire ça. Je continuais donc mon chemin, pour arriver un jour, dans cette contrée, Stendel. Vous ai-je révéler quelle était la nature de la voix qui m'avait parlé ? Je ne crois pas. Le loup, cette figure symbolique de notre histoire. Par delà la mort, je fus contacté par ces créatures mystiques, les Arpentâmes. J'appris la finalisation du dessein de Von Karow et sa mort, provoqué par un hellien, Aelfyr. Quel est donc mon but à présent ? L'Arpentâme ne s'arrêta pas à cette annonce. Mon destin en tant qu'homme doit se terminer par la purification. Ce destin commun à des créatures lycanthropes, les Lawolfs m'a permis de recevoir un honneur, impensable, pour un paysan. La réincarnation. La réincarnation par purification. Il y a de cela 18 ans, je perdis la vie, pour pouvoir enfin, vivre. Il faisait sombre. J'appelais, mais rien ne se passait. Lorsque soudain, une lumière. Ainsi, je suis né. Ainsi, je vis le jour pour la seconde fois. Mon enfance se déroula tel qu'un Lawolf devait vivre. Il faut apprendre à vivre pour sa meute. Vivre en meute. Est-ce réellement éloigné de la vie en société ? Il m'a fallu apprendre les arts druidiques, la signification de notre passé. Il m'a fallu vivre à nouveau, plus fort, plus juste. Ainsi, je renaissais. Ainsi, je remerciai le bras de ma vengeance naguère. Je suis le bouclier du Directoire. Je suis un Lawolf.
  6. Projet retenant grandement l'attention, l'histoire autour me plaît. Si besoin d'aide, j'apporterai volontiers ma contribution.
  7. Il y a bien longtemps, était arrivé à New Stendel un être au passé lourd, qui, cherchant à fuir son passé avait, pensait-il, trouvé refuge en cette ville. Mais le bonheur est une chose volatile, celui qui s'en croît maître risque fort de s'y fier. Le passé de notre personnage étant ce qu'il est, son futur ne fut point à sa convenance. Lors d'une aventure, il fut attaqué par la terrible, la dangereuse, la sournoise, la...poule. * Ndlr: La crise étant ce qu'elle est mon cher Pastaga, débrouille toi avec une poule, vil dépensier. * Je disais donc, une...une..poule meurtrière et schizophrène, avait empoisonné notre personnage, le plongeant dans une profonde torpeur. * Ndlr: Et là, je vous parie qu'il va nous sortir le discours du saut dans le temps, ce faible, mes amis, le monde de l'écriture est bien bas. (surtout avec cet être) * Utilisant mes quelques forces, je me remis sur pieds, il faisait sombre, qu'entends-je au loin ? Une lumière. Dois-je m'approcher ? Mon esprit est embrumé, j'ai du mal à réfléchir. J'ai l'impression de connaître l'endroit où je me trouve. Est-ce ma demeure ? Non, je ne crois pas. Je n'espère pas. J'appelle. Personne. Où suis-je ? Tâchons de nous souvenir. Quel est mon nom ? Je ne sais pas. Une lumière, encore. Attention ! Un bruit. Un creeper ? Non, plus sourd, plus profond. Suis-je en train de rêver ? Non. Je ne crois pas. J'entends une voix. J'appelle. Un bruit. Serait-ce un rire ? Qu'est-ce qu'y se passe. Encore de la lumière. Ma tête...elle résonne, que cela cesse ! Je deviens fou, les murs se ressemblent tous.. Non ! Un bruit ! Fuir, je dois fuir. Je cours, je trébuche, une salle. Quelqu'un habite ici ? Non. Quelque chose. Encore ce bruit, il..me parle ? Que dit-il ? Je ne comprend pas.. Ma tête va exploser ! Personne ne vient m'aider ? Pitié faites que ce cauchemar cesse ! Mais ce n'est pas un cauchemar. Mon esprit sombre.. Suis-je mort ? Peut être. Encore cette lumière. De l'air. Ou autre chose. Non ! De l'air ! Je...je suis sorti. Où suis-je ? Je crois connaître cette endroit mais..je ne le connais pas. Est-ce un songe ? Non. La voix. Elle me parle. Non ce n'est pas possible.. Je dois retrouver.. Non. La voix s'énerve. Que se passe t'il ? Mon crâne..je sombre.. Où suis-je ? Trop de bruit dans mon crâne, que cela s'arrête ! Un homme.. Qui est-il ? On me parle.. Stendel..Stendel. [hrp]Rp qui prend suite à ma candidature de paysan d'il y a plusieurs mois, souhaitant reprendre le jeu, je recherche quelques projets/communauté rp présente sur minefield. [hrp]
  8. Pastaga51

    Parlons alors !!

    Bonsoir ! Cette ligue est-elle encore d'actualité ? L'idée d'une "Ligue" roleplay m'intéresserait mais si, hélas, elle n'existe plus, je n'aurai qu'à passer mon chemin.
  9. Il était une fois, dans une contrée éloignée du monde que l'on connaît. Une Terre. Une Terre d'espoir, loin des guerres, loin de tout conflit. Les habitants vivaient heureux, dans un système permettant l'égalité sans désordre. Un étranger vint un jour aux frontières de ce territoire, nous allons vous conter son histoire.. Il marchait depuis si longtemps qu'il ne s'en souvenait plus. La guerre chez lui, l'avait poussé à l'Exile. Ne sachant plus où aller, n'ayant plus de terres, plus personnes sur qui compter, il devait marcher. Sans s'arrêter. Etant considéré comme un paria par ses anciens amis, ayant perdu sa famille lors de la guerre, il devait marcher. Quitte à ne s'arrêter qu'une fois sa fin venue. Mais le Destin décide souvent à notre place et cette fois-ci, le destin avait décidé de repousser sa fin. Il aperçu une terre au loin, l'espoir. L'espoir de vivre, plus qu'une idée. Un engouement. Mais la fatigue, il fallait la vaincre. La crainte d'être encore rejeté, il fallait la vaincre. On peut croire que la fatigue nous empêche de penser mais cela est faux. Les pensées noires, telles un cancer nous rongent, quel espoir pourrais avoir un paria dans son propre pays ? Encore une fois l'espoir est la meilleure arme. L'espoir est une lutte de l'esprit, un esprit fort, malgré les désillusions, les attaques, les blessures ne perdra jamais espoir. Sans ça, la mort nous guette tel un prédateur traquant sa proie, cherchant la moindre erreur, le moindre faux pas qui nous ferait chuter dans les abysses. Mais il ne voulait pas. Quand les moutons deviennent des lions la mort n'a plus qu'à disparaître. Peu importe les risques. Peu importe notre histoire. Quiconque voudrait se targuer de n'avoir jamais commis d'erreur devrait remettre en question son être et son devenir. Il est dit que l'homme nait bon mais que la société le pervertit. Qui peut dire n'avoir jamais été en contact avec la société ? Surtout pas cet étranger. Peu de choses de son passé nous sont connus et ce qui l'ait reste trouble. Les questions passaient mais ne l'empêchaient pas d'avancer. Bientôt, harassé mais heureux, si le terme est exact, il parvint aux portes de cette Terre. Et s'effondra. Quelques gens, citoyens, voyageurs ou simples badauds accoururent voir qui était cet étranger, venu par simple curiosité ou par désir d'aider. « Où suis-je ? » dit-il. « Tu es à Stendel, étranger. » Répondit un paysan, venu à son secours. Sur ces quelques mots et en ayant appris où il se trouvait, il s'évanouit. Recueilli et soigné chez le paysan qui l'avait secouru à l'entrée de Stendel, notre mystérieux étranger repris conscience quelques heures plus tard, à l'intérieur d'une chaumière. Encore hagard, notre étranger se demandait qui l'avait transporté jusque ici. Le feu crépitait dans l'âtre de la cheminée. Rassemblant ses quelques forces, il se leva, pour explorer l'endroit où il se trouvait. Il n'y avait guère d'objet remarquable mais pour un homme n'ayant pas connu la chaleur d'un foyer depuis si longtemps, tout est remarquable. Il entendait le plancher craquer sous ses pieds. Au loin, il entendait le forgeron au loin. Le forgeron chantait une douce musique rythmé un peu maladroitement par le bruit de l'enclume rencontrant le marteau du forgeron. Quelle drôle d'air. C'est sous ces quelques égarement dont il n'avait eu depuis longtemps l'occasion de s'attarder qu'il entendit quelqu'un rentrer dans la chaumière. « Eh bien, enfin levé jeune homme ? » Dit le paysan. Devant lui se tenait un homme de la terre relativement âgé, l'air sympathique mais éprouvé par de longues années d'efforts. « Oui, je vous remercie pour votre aide et vos soins, sans vous je... » dit-il. « Pas d'histoire, je n'ai fais que mon devoir d'habitant de notre belle citée. D'ailleurs étranger, si tu souhaites rester parmi nous, tâche de te faire connaître à notre mairie, eux seuls pourront t'accorder le droit de t'installer sur nos terres. » expliqua le paysan. Sur ces quelques mots et après un frugal repas non sans avoir remercié une fois encore le paysan, il le laissa pour partir en quête de la mairie. Notre étranger décida en effet de poser son fatras dans peut être le dernier endroit qui l'acceptait, et cet endroit le destin l'a choisit, Stendel.. Après quelques détours infructueux et quelques conseils avisés de résidents de Stendel, notre étranger trouva finalement la mairie et d'un pas tremblant, pris le courage d'y pénétrer et d'y demander audience auprès d'un responsable. Chose faite, on le fit rentrer dans ce qui semblait être une salle de réunion, il y trouva quelques érudits et un homme d'état, un noble de Stendel semble t il. « Bienvenue à Stendel étranger, on m'a rapporté que tu souhaitais rester à Stendel, cela est il vrai ? » « Oui messire, je ne suis qu'un voyageur sans terre et votre cité m'a semblé être le meilleure endroit pour vivre ma vie, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour servir au mieux cette citée bénie de Dieu. » répondit l'étranger. « Fort bien. Mais il me faut te poser quelques questions pour nous permettre de t'inscrire comme il se doit dans nos registres. En commençant par ton nom, étranger. » « Je..je..je ne sais plus. Mon seul souvenir remonte à la vue de votre citée, à quelques lieux d'ici. Mais, je crois me souvenir d'un surnom, Pastaga il me semble. » hésita t il. « Bien, vu ce que l'on m'a raconté, je peux comprendre cette perte de souvenir, espérons qu'elle soit passagère. Nous notons tout de même ton surnom. Si tel est le cas. Nous gardons cette information en attendant que plus de souvenir te reviennent, n'oublie pas de nous les communiquer, une personne si jeune mais aussi marqué par son passé m'intrigue, donc ne manque surtout pas à nous raconter ton histoire, Pastaga. » « Je n'y manquerai pas messire, je vous remercie mille fois. » Sur ces quelques mots, Pastaga quitta la mairie, inquiet du mensonge sur son passé fait au maire mais, il gardait l'espoir d'un jour pouvoir raconter son histoire, en attendant, il allait falloir vivre. Un passé trouble est un passé dangereux. Pastaga réussira t il à s'intégrer à Stendel ? Ou cela n'est il encore qu'un faux espoir ? La mort rôde en attente d'une réponse et devra encore attendre il me semble, enfin..je l'espère. [Hrp] Rp un peu sommaire, il doit rester des fautes mais j'espère qu'il vous a plu. Sinon j'ai 17 ans, je suis en terminale littéraire et mis à part ça je ne vois pas trop quoi dire. Ah si, j'ai une passion pour le rugby et l'informatique. Si vous avez des questions, n'hésitez pas.[/Hrp]
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