Un petit tour sur ma personne:
Bonjour à tous,
Je m'appelle Gwendal, j'ai 16 ans, j'adore les jeux-vidéo depuis tout petit. J'ai découvert Minecraft tout à fait par hasard en surfant sur internet. J'ai trouvé ce jeu intéressant et je suis donc allé chercher des vidéos sur YouTube, je suis tombé sur les vidéos de TheFantasio974. Depuis j'ai acheté le jeu et y joue presque tout le temps. Sinon, à part ça je suis un garçon très sympathique et blagueur toujours près à aider et rendre service. Je joue à tous les sports de raquettes ( tennis, ping-pong... ).
C'est un ami qui m'a fait découvrir Minefield. J'y ai "vagabondé" pendant un bon moment pour découvrir toutes les étendues de la map. J'ai vu beaucoup d'architectures travaillées, de bâtiments surprenants. Résultat: je trouve cela splendide. J'ai donc décidé de postuler en tant que paysan.
A ma grande surprise je suis devenu paysan. J'ai enfin pu construire et proposer mon aide. J'ai trouvé le serveur vraiment très sympathique où les nombreux modérateurs sont toujours disponibles pour répondre aux questions, où l'ambiance y est omniprésente, et où les joueurs s'entraident afin de réaliser des œuvres plus impressionnantes les unes que les autres... J'en passe et des meilleurs. Bref un serveur actif avec des joueurs fair-play !
N'ayant toujours pas de projet personnel, je me suis finalement lancé, après de maintes réflexions sur la construction d'un port et d'un bateau sur les rives d'un petit village du nom de Geal. Ce même bateau qui, je l'espère, deviendra ma résidence. J'y ai mis toutes mes maigres économies en rassemblant les matériaux nécessaire à leur réalisation. Vous pouvez d'ailleurs admirer le résultat que vous pourrez retrouver aux coordonnées : X= , Y= . Le bateau subira beaucoup de modification mais n’ayant pas les moyens de le fignoler,il se verra terminé dès que mon porte-monnaie me le permettra. (N' hésitez pas à commenter et à proposer vos idées pour améliorer ces projets).
Le petit port:
Le bateau:
L’intérieur de la cabine:
Et maintenant mon R.P:
Dans une contrée lointaine, par delà les océans et les montagnes se trouvait un petit village du nom de Erda. Une famille de jeune paysans habitait ce village, dont moi, leur fils. Erda semblait paisible et serein, mais il était divisé en deux groupes de villageois bien distincts: les Cubonites et les Cuborgnes. Pourquoi ? Même eux ne le savaient guère réellement car cela remontait sur plusieurs générations.
Un soir, d'une douce pleine lune, la maison du forgeron des Cuborgnes prit feu. L'incendie se propagea sur plusieurs maisons ravageant tout sur son passage, détruisant tout les souvenirs des années passées. Mais aucune habitation des Cubonites ne fut touchée. Les Cuborgne accusèrent, haut et fort, les Cubonites d'avoir déclenché l'incendie. Les Cubonites le niaient. S'ensuivit alors une terrible bataille entre les deux camps. Le sang coulait à flot. Les femmes, les vieillards et même les enfants tombaient sous les coups des épées et des flèches. Moi je m'étais caché sous l’ordre de mes parents.
Plusieurs jours après la bataille, je décidais de sortir de ma cachette, affamé. Ce que je vis alors me retourna l'estomac. La ville n'était plus qu'un tas de cendre rouge empestant la mort. Plus un souffle de vie. Tous les villageois étaient morts. Seul moi demeurais encore. Pris par la peur et le désespoir je décidais de fuir ce monde hostile.
Je marchais, marchais pendant des jours et des jours sans jamais m'arrêter. Quand enfin, un matin, j'aperçus de la fumée... Une maison. Les habitants de cette maison m'accueillirent et m'élevèrent comme leur propre fils dans un vaste pays qu'ils appelaient New Stendel. Mais quelques année plus tard ils périrent à leur tour, rongés par la vieillesse. Leur maison ne leur appartenant pas je fus expulsé. Je décidais donc de construire ma propre maison, de reprendre le métier de mes parents biologiques et de devenir à mon tour Paysan !
Au fil des années, ma réputation en tant que paysan, mais aussi pour les nombreux services rendus à mon petit village, ne fit qu’accroître. Les habitant me disaient généreux et d'une extrême gentillesse. « Toujours près à rendre service ! », « Un petit qui ira loin, pour sûr ! » exclamèrent-ils souvent. Mais ce que je voulais par dessus tout c'était devenir chercheur de trésors. Mettre à jour du fer, de l'or et peut-être même du diamant. Ce n'était pas un rêve, mais une passion. Creuser. Toujours plus profond. Découvrir des grottes, des minerais ou bien d'autres choses encore. Les profondeurs de la terre nous réservent tant de surprises qui méritent de voir le jour.
Mais voilà, être paysan ne m’autorise pas la découverte de cet autre monde. C'est pourquoi j'ai décidé de tenter ma chance et de migrer vers la capitale. De là, je tenterai le tout pour le tout et demanderai officiellement le titre de Citoyen. En obtenant ce grade je pourrais enfin prétendre au métier de Mineur.
Le prochain bateau pour New Stendel aurait du partir dans deux jours mais celui-ci sombra lors d'une tempête. Il restait toutefois un autre bateau sur les quais, mais il était encore en construction. Heureusement le futur capitaine recherchait de la main-d’œuvre pour finir au plus vite le navire. M'étant inscrit je pus porter mon aide aux autres matelots.
Environs une semaine après, le bateau fut achevé. Le capitaine, fier de mes services, me proposa un poste sur son bateau. Je déclina son offre et lui demanda uniquement de faire le trajet en sa compagnie jusqu'à la capitale. Il accepta.
Arrivé dans cette ville, les larmes me montaient aux yeux : c'était sublime !
New Stendel rayonnait de vie. Les gens se souriaient, se saluaient, échangeaient leurs derniers ragots... Tout était si parfait.
Reprenant peu à peu mes esprits, je me rappelais alors la raison de ma venue.
En route pour la mairie !
Accoudé au guichet, j'écoutais sans rien dire l'unique démarche à suivre pour devenir citoyen : écrire une lettre de motivation expliquant nos futurs projets pour la commune et nos raisons de cette demande.
Quelques jours me suffirent, tout de même, pour rédiger le fin mot de cette lettre.
Retournant à la mairie, je donna l'enveloppe, destinée aux gouverneurs. Le responsable du guichet m'avertit que la réponse me sera communiquée d'ici quelques jours. Cela tombe bien car ça me donne le temps de visiter la ville et ses environs.
Durant mon escale, j'en profita pour faire le tour de cette étrange pyramide.
Un donjon ? Comme c'est curieux. Prenant mon courage à deux mains, je franchit l'entrée et en 2 heures j'en ressortit, exténué mais content d'avoir trouvé ce fameux chiffre mystère.
Enfin le moment fatidique. Sur le chemin de la mairie, mon cœur battait de plus en vite. Le responsable qui se tenait derrière le guichet me tendit une lettre. Le remerciant je sortit du bâtiment. Mes mains tremblaient. J’ouvris l'enveloppe sans froisser le papier, dépliai la lettre. La réponse était : «...