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dolfinsbizou

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Tout ce qui a été posté par dolfinsbizou

  1. Chapeau bas weex ! Pour le paiement, je suis en vacances dans une zone ou internet passe mal, mais j'essaierai quand même. Au pire je rentre samedi, mais ne t'inquiete pas. Je paierai ce que je te dois pour ce super travail ! EDIT : paiement effectué le 24/04/2012 à 20h01 :
  2. C'est vrai. Mmmh, si j'ai le temps, j'essaierais bien de le faire !
  3. Il est vrai que le codage peut être un peu coton, mais je suppose (vu que je sait un peu moder) qu'en s'inspirant de code déjà existant (celui du perso + la GUI du perso), ça doit pas être trop dur (au pire sans la GUI). Mais ce n'est pas à moi de décider !
  4. J'y pense vu qu'il n'y a toujours pas de réponse... Est-ce que ce thread est encore valable ? :-°
  5. Bonjour bonjour ! Après réflexion, je me lance enfin dans un topic qui rassemblera les divers écrits RP de mes candidatures, et de mes malsaines envies d'écriture. Ma plume hésitante et mon style un peu d4rk-la-vie-c'est-trop-nul-la-mort=solution en rebutera plus d'un ; à celui qui prendra la peine de lire ceci (si d'aventure il y en a), bonne lecture... *rire sinistre* /!\ Ce qui suit est une histoire RP, sans aucun rapport avec le mode de pensées réel de l'auteur (je suis pas un associal comme je le laisse penser, faut pas déconner ^^ ). En revanche, la plupart des chapitres romancent des histoires qui me sont réellement arrivées. Ainsi, le fond reste le même, mais la forme et mes pensées changent. Préface me voilà donc lancé dans l'écriture de ma pauvre vie. Peut-elle intéresser quelqu'un ? Qui prendra la peine, quand je serais mort, de sortir ce livre poussiéreux de la bibliothèque dans laquelle il pourrit ? Peut importe. Au risque de passer pour un prétentieux, voici pour toi, toikili ceci, les chroniques et anecdotes de la vie d'un pauvre ère... Chapitre premier : l'arrivée « Mon nom est dolfinsbizou, alias candidat N°33. Ce que je vais vous conter est mon histoire, mon passé. Libre à vous de me croire ou non, les choses sont telles qu'elles sont. Mon histoire... Elle peut paraître si confuse ! En effet, je n'ai pas toujours vécu dans ce monde que vous appelez Stendel. Avant, je vivais ailleurs, bien plus loin dans le temps et l'espace. Eh oui ! Croyez moi ou non, mais je viens du futur. De l'année 2543 pour être exact. À cette période sombre, la dictature a envahi le monde, avec l'appui de robots alimentés à l'obsidienne. Et moi dans tout ça ? Comme la plupart des humains, j'ai été réduit en esclavage. Enchaîné, nu, sale, la Korruption (nom du gouvernement totalitaire qui contrôle le monde) me fait endurer, à moi et à mes compagnons, des souffrances que même le plus dépressif des dépressifs ne peut concevoir. Je me souviens de l'époque d'Avant, avant l'arrivée au pouvoir de la Korruption. J'ai grandi dans une académie de magie (mon père était magicien invocateur), reculé du monde moderne. J'ai vécu une enfance heureuse, jusqu'à ce terrible jour d'automne 2534. La Korruption venait d'arriver au pouvoir, mais, à l'académie, nous ne nous étions pas grandement inquiétés. Jusqu'à un matin où, alors que je dormais encore, des robots ont débarqué. Ils ont tué ceux qui opposaient une résistance, et ont emmené les autres. J'ai vu sous mes yeux ma mère se faire égorger, mon père se faire bruler. Moi, ils m'ont ligoté et emmené à Sonate, capitale du monde d'Après. Je me suis donc retrouvé enchaîné dans les geôles gouvernementales, enrôlé sous le nom de «candidat N°33» pour les expérimentations de la Korruption. Le premier test que j'ai subi a porté sur la manipulation de l'ADN humain. Des scientifiques ont croisé mon ADN avec celui d'une méduse, d'un cyklope (créature créée accidentellement lors d'une précédente expérience), et d'un ornithorynque qui, une fois couplé à un rétro-virus et injecté dans mon corps, a fait de moi ce que je suis maintenant. Et oui ! Je n'ai pas toujours été l'œil visqueux que vous voyez devant vous ! J'étais auparavant un beau jeune homme blond... Le seul souvenir de corps d'avant est la couleur bleue pétant de mes yeux (mon œil *sic*) qui avait étonné mes parents à la naissance. Quand je suis retourné dans ma cellule, nu et blanc comme un navet, complètement transformé, mes co-détenus m'ont regardé avec un mélange d'horreur et de curiosité. J'ai ainsi vécu deux ans dans les caves de Sonate. Beaucoup de mes anciens amis ne survécurent pas à la première année, mais moi, je tins bon. C'est à l'aube de mon 748e jour en enfer que les robots surgirent à nouveau dans ma cellule, m'empoignèrent à pleines pinces et m'emmenèrent dans un drone gouvernemental. Nous voyageâmes trois jours durant, moi sans manger, les robots sans, sans... Enfin bref. Nous arrivâmes sur les ruines d'une ville ayant appartenu à une antique civilisation, dont j'avais entendu parler enfant. Cette ville s'appelait, je crois, Stendel. Sur les lieux m'attendaient les mêmes scientifiques qui, deux ans plus tôt, m'avaient transformé en monstre. Ils m'installèrent sans cérémonie sur un étrange montage qui, d'après les bribes de conversation qui ont filtré à travers l'épaisse vitre de la machine, devrait me permettre de voyager dans le temps, et ainsi de retrouver Stendel à son époque glorieuse (et aussi, pour les scientifiques, de se débarrasser de moi, inutile bouche à nourrir que j'étais). Au moment ou les scientifiques pressèrent le bouton d'allumage, je sentis mon univers se compresser, se déformer autour de moi. Des volutes de matière noire m'envahirent peu à peu, et je me retrouvai happé dans ce qu'on appelle un trou de ver, c'est à dire une brèche spatio-temporelle. J'ai vu les époques défiler sous mes yeux, les gens, les constructions. Puis, un flash blanc, et le néant. À mon réveil, plusieurs personnes habillés étrangement me regardaient. Il y avait dans leurs yeux le même mélange d'horreur et de curiosité que j'avais vu dans les yeux de mes co-détenus deux ans plus tôt, enfin plus tard, enfin je ne sais plus. Tout était brouillé dans ma tête, mais j'arrivai toutefois à percevoir quelques mots... «D'où vient t-il ?... Monstre... Satan... Manifestation divine... Flash lumineux... Prévenir les gouverneurs...» Je sombrais de nouveau dans le néant. À mon réveil, on s'approcha de moi. Des gens en habit de cérémonie me regardaient, m'observaient. Apparemment, c'étaient les "gouverneurs" dont j'avais entendu parler quelques minutes plus tôt. L'un d'entre eux me demanda : "mais qui êtes vous ? D'où venez vous ? Et qu'est-ce que c'est que cette tête ?" À cette question, je répondis parce que je viens de vous dire : "Mon nom est dolfinsbizou, alias..." Maintenant, à mon tour de vous poser des questions : "Qui êtes vous ? Où suis-je ?" J'espère sincèrement que vous allez pouvoir me répondre. Car mon histoire s'arrête là, et c'est à vous de décider si je peux la continuer ou pas ! » Note de l'auteur : Je ne commence pas très bien ces chroniques, puisque je n'ai fait que répéter ce que j'avais dit aux gouverneurs de Stendel... Chapitre second : de par la demande d'asile politique Je suis surpris. Surpris et... Euh bah surpris quoi. Après deux longs mois passes à vagabonder dans Stendel, à dormir chez les gens (Note de l'auteur : véridique), à voler la nourriture (non ça par contre c'est pas vrai), à tuer des clochards pour trois francs six sous et à explorer les plaines cubiques de cet univers que j’apprends à peine à découvrir, loin de ma cellule de prison à Sonate, les gouverneurs m'ont convoqué pour une audience qui s'est tenue le 2 avril (Note et réaction de l'auteur : Poisson d'avril ? Ah non). Dès mon arrivée, j'ai compris que ça allait être ma fête. Pour commencer, les gouverneurs ont évoqué les étranges circonstances de mon arrivée à Stendel. Ils m'ont avoué ne pas comprendre un traitre mot de ce que je leur ai cité, mais consentent à m'accorder les mêmes droits que les paysans (royal). En revanche, au vu de mon apparence "hAUtement disgrâcieuse, et chôquanttttte pourrrr l'ôpinion publique" (je ne fais que répéter), je me vois obligé de porter des vêtements à capuchon pour éviter de trop effrayer les gens sur ma route. En sortant ainsi capuchonné, je me suis sentis comme humilié. J'ai couru loin, très loin, pendant deux jours et deux nuits, sans m'arrêter. À l'aube du troisième jour, je suis arrivé au milieu d'une plaine enneigée. J'ai immédiatement été conquis par l'endroit, où je me sentais à nouveau chez moi. En effet, l'académie de magie dans laquelle j'ai grandi se situait elle aussi en territoire enneigé (Note de l'auteur : non, je ne me suis pas inspiré de l'académie de Fortdhiver de Skyrim :-° ). J'ai passé la semaine qui a suivie à bâtir la maison de mes rêves. Je suis même tombé sur les restes d'un ancien abri souterrain de mineur, que j'ai pu transformer à mon goût. Je commençais donc à penser que j'allais vivre une vie heureuse, loin de toute civilisation. Je voyais passer quelques personnes, de temps à autre. Dreyvalon par exemple, qui cherchait lui aussi un asile de paix, loin de l'agitation des grandes villes. Bon, il m'arrivait de sortir un peu, pour aller faire un tour à Almarïs, visiter... D'ailleurs... Un matin, alors que je sortais couper du bois, un quidam m'a abordé. N'ayant pas eu de contact humain depuis deux semaines, et ne m'étant pas lavé depuis 5 jours, Lordmick (c'est le nom du quidam) a dû me prendre pour un fou (enfin, allez lui demander quoi). Il m'a regardé, je l'ai regardé, il m'a regardé, je l'ai regardé, il m'a regardé, j'ai regardé le sol. Bref. Il m'a dit : "Euh, t'es sur le territoire d'un projet mec." J'lui ai dit : "Mais j'avais consulté les cartes à la bibliothèque, elles certifiaient que..." Il m'a dit : "Ce sont de vieilles cartes, les anciens qui sont chargés de la mise à jour de ces cartes font de la... Méditation (note de l'auteur : à ceux qui auraient compris, je vous laisse, je dois aller... méditer :-°)." Je l'ai regardé, il m'a regardé, j'ai regardé ma maison, il m'a dit : "Euh, ça va ?" Je suis rentré chez moi, j'ai cassé une fenêtre, poussé une gueulante, claqué les portes. Je dois vraiment avoir un problème. Bref, j'ai fail, je suis dolfinsbizou (note de l'auteur : pas très inspiré sur ce coup-ci) Heureusement, Lordmick me laisse un mois pour déménager. Je suis donc allé en ces mots demander l'asile politique au Dägmaar d'Almarïs : « ô beautifulreal, Dägmaar (c'est comme ça qu'on dit ?) d'Ënrik Almarïs. Je sais que je ne suis pas parfait, que mes pitreries ne vous amusent sans doute pas, mais j'ai envie d'une seconde chance sur votre territoire. J'attendrai le temps qu'il faudra, mais s'il-vous-plait, ne me laissez pas dehors. » À ma grande surprise, j'ai été presque immédiatement accueilli. En effet, un Almar du nom de Chafoins m'a pris sous son aile (cui-cui), ce qui m'a grandement aidé pour mon acceptation. J'ai donc été reçu le soir même de ma demande, en ces termes très chaleureux : « Coucou ! J'espère que tu aimes avoir froid car bienvenue à Almaris ! Bonne période d'essai et bonne intégration ! » Note de l'auteur : je commence à entrevoir une lueur d'espoir. Est-ce que, après des années de misère, cette époque indéterminée va devenir ma nouvelle terre d'accueil ? Mmmh... J'en doute. Mon apparence risque de me fermer à jamais l'accès à des fonctions plus hautes, comme de fonctions commerçantes ou la citoyenneté. L'avenir me le dira... Chapitre troisième : des débuts d'intégration Les jours s'écoulent, se suivent et ne se ressemblent... Que dis-je ? Si ! Toutes mes journées passent avec la même douce mélancolie. J'ai été gracieusement accueilli dans une coquette maison résidentielle, au cœur d'Almarïs. J'ai aussi du revêtir l'habit du nouvel Almar, avec bien sûr l'habituelle et usuelle cagoule que le gouvernement m'impose. On m'a logé, on m'a habillé, mais je n'ai que faire de leur sollicitude, car je sais qu'au fond, ils se soucient peu de mon triste et peu enviable sort. Une fois mon installation éclair terminée [barrer](comme les fermetures)[/barrer], je ne suis plus sorti de ma demeure que la nuit, afin de m'entrainer au combat à l'épée, et non pas d'ailleurs à l'arc comme le veulent les jugements et principes Almars : je n'ai aucune envie de respecter ces ridicules règles préétablies. Ma vie s'écoule ainsi, pendant plusieurs semaines. Il m'arrive quelquefois de changer d'activité, en me mettant autour d'un brasero, et sur mon banjo, chanter l'air de l'immortel ennui[barrer], au pays du soleil de minuit (pada bidouwap)[/barrer] ! (pour ceux qui connaissent la chanson) *Erm* Cependant, je savais que cette situation ne pouvait durer éternellement ; et un matin, en rentrant d'une partie de chasse, j'ai trouvé au pas de ma porte un vélin enluminé, scellé à la cire [barrer]et délicatement parfumé[/barrer] : véridique, écrit par beautifulreal J'ai presque été touché par la soudaine attention que porte le Dagmäar à mon égard. Par politesse, j'ai donc pris ma plus belle plume, de l'encre à base de sang noirci à la torche, un morceau de parchemin et une pointe d'hypocrisie, et j'ai écrit : véridique La réponse ne se fit pas attendre : le dagmäar comprenait mes propos, et m'a donc joint avec sa lettre suivante une liste des échafaudages Lothariques en cours. Sachant pertinemment que je ne pouvais continuer à vivre dans l'obscurité, et vu que je commençais à n'être plus que l'ombre de moi même, j'ai accroché la liste des chantiers au mur, fermé les yeux (enfin, l'œil *sic*), et lancé mon épée en direction du parchemin. Après trois tentatives infructueuses qui ont : 1.cassé une vitre 2.tué une poule 3.abimé mon mur, la pointe s'est fichée dans le mot larbin. Dois-je y voir un message ? J'ai décroché le papier, le paragraphe en question parlait d'un travail de bûcheron pour le chantier de la forêt divine, non loin du centre-ville. Pas incroyable comme job, mais au moins j'allais pouvoir occuper mes mains à autre chose que... Quoi ? À quoi vous pensez en me regardant de cet œil pervers ? :-° Enfin bref, je me suis levé, j'ai pris mon épée, et je suis allé à la porte... De mon frigo prendre une bière. C'est fatigant le lancer d'épée ! Je commencerai à trimer demain. Note de l'auteur : Ma lueur d'espoir se précise. À défaut de monter dans l'estime des autres, je vais pouvoir travailler, et oublier mon spleen un moment. Mais est-ce vraiment ma destinée ? L'avenir m'en dira plus... Chapitre quatrième : Naissance d'une idée Voilà plusieurs jours que je ne sors pas de ma cave. À Almaris, on commence à se demander si je vais un jour revenir travailler. Je suis certain qu'on rumine mon éjection de la ville. Mais je n'ai que faire, puisque je mets la touche finale à un projet qui a germé il y a trois semaines... ...Je rentrais alors de nuit d'un échafaudage, équipé d'un arc et d'une armure pour mieux me défendre. Une fois la porte de ma demeure refermée, j'ai voulu retirer mon armure et la poser sur un... En fait, j'ai dû la ranger dans un coffre, me rappelant que les portes-manteau n'existaient pas dans ce pays de fous. C'est alors que m'est venu une idée, une idée qui, je l'espère, peut plaire. Je suis descendu à ma cave, et j'ai successivement plongé dans mon bassin, pincé ma cuisse droite, pratiqué l'auto-mutilation de l'orteil et mangé un grec pour vérifier que l'idée qui poussait peu à peu dans mon cerveau dégénéré n'allait pas s'en aller pour autant. Mais non, elle était bien accrochée, et je devais la concrétiser pour la faire sortir. J'ai donc pris un papier et un crayon, me suis mis au travail jusqu'à arriver à coucher par écrit les grandes lignes du projet : ...Ouais bon, j'avais que ça sous la main ok ? Je me suis donc attelé à la tâche la semaine suivante, et après deux semaines de travail acharné, j'ai finalement réussi à sortir d'une masse de matière informe quelque chose qui peut ressembler à un résultat, ma foi pas trop mal. Un paquet sur le dos, je me suis donc mis en route vers la capitale... J'ai hâte de voir la tête qu'ils vont tirer là bas, quand ils vont voir que le misérable dont tout le monde se moque est arrivé à quelque chose ! Note de l'auteur : Je rédige ces quelques dernières lignes en hâte, alors que je tente d'échapper à un kikoosteve qui croit que j'ai momifié son confrère pour en faire une statue. Je vais donc vous laisser ! (saleté de steve ! Lâche moi la...) Chapitre cinquième : Un train de vie bien ennuyeux Ils s'est passé longtemps depuis la dernière fois que j'ai ouvert ce carnet de notes poussiéreux et moisi. Normal, je n'ai pas grand chose à dire, très peu de choses ont bougé. Comme je l'avais déjà [barrer]dit[/barrer] écrit à la précédente page de ce mémoire, j'ai porté mon idée au château de Stendel, afin qu'on examine ma demande. Après des heures d'attente dans cette grande bâtisse d'architecture typiquement stendelienne, on m'avait enfin reçu. Les gouverneurs n'ont porté que peu d'intérêt à mon idée, mais m'ont promis "d'y jeter un œil" (j'ai d'ailleurs cru étrangler le gouverneur qui à lâché cette expression, croyant qu'il se moquait de mon faciès). Je n'avais donc d'autre choix que d'attendre, à errer dans les rues de Stendel, à me saouler chaque soir à la taverne du port, à détrousser les voyageurs qui arrivent par la porte Ouest, à parier avec Barbu le Clodo, ou à regarder le ciel avec Durinel Paril. La vie allait ainsi, lentement, je rentrais rarement à Almaris, dont je n'avais que faire. Cette ville qui m'avait recueillie me dégoutait de plus en plus ; sans doute trop plate, trop pacifiste à mon gout. Des années d'enfermement dans les geôles de la Korruption m'avaient dans le passé (enfin, dans le passé de mon histoire, c'est à dire le futur d'un point de vue de l'Histoire —vous suivez ?—) bien endurci, et je n'aspirais désormais qu'à de l'action, de la guerre et du sang, animé par une rage guerrière ! Bref, cette ville me lassait, cette vie me lassait, l'Empire me lassait, petit excité rebelle que je suis. Cependant, un évènement vint vite troubler cette monotonie qui s'était installée dans ma routine de vie. En effet, j'ai entendu que les quatre grands empereurs Stendeliens donnent régulièrement des sortes de spectacles folkloriques avant-gardistes dans des lieux mal-éclairés dans une ambiance de folie, avec musique et alcool (à mon époque, on appellerait ça un concert). L'évènement en question s'appelle "ATE BITS." Attiré par ce nom futuriste, je décidais de m'y rendre afin de voir de quoi il retourne, et aussi à l'occasion de me divertir un peu. Malheureusement, je me suis vite rendu compte que le thème de la soirée portait sur, 1er Novembre oblige, Halloween. Il faut croire que même dans le passé je ne pourrais échapper à cette fête que j'exècre... En effet, étant enfant, mes frères m'avaient traumatisé en se déguisant et en venant me surprendre dans mon sommeil. Malgré la raclé que mes parents leur avaient donné, je suis depuis ce jour complètement dégouté de cette fête, que je considère comme une pure perte de temps. Malheureusement, le piaf qui m'avait emmené sur le lieu du spectacle refusait obstinément de faire demi-tour, préférant picorer ça et là quelque miette de pain laissée par un gamin accompagné de sa mère. Je me résignais donc à assister au spectacle. Et il faut croire que, la bière et l'ambiance aidant, je me suis facilement laissé prendre au jeu. Il y avait même dans la salle ce que j'aurais appelé à mon époque un écran géant, mais qui aux dires des marauds venus assister au concert était "la toute dernière création magique des puissants mages stendeliens". Eh oui ! Il faut croire que si, à mon époque, un puissant mage est capable de tordre le temps, à la leur, on s'émerveille devant le plus banal objet... Il faudra que j'en prenne un entre quatre murs un de ces jours, et que je lui explique le fonctionnement des cristaux liquides... Chapitre sixième : Privé de liberté Bref, la soirée se terminait, je sortis de la salle passablement éméchée. Dehors, des gouverneurs contrôlaient les sorties. Parmi eux, je reconnus celui qui c'était moqué de moi quand j'étais venu présenter mon idée au château. Je m'approchai donc de lui, bien décidé à lui coller mon poing dans mon nez. Avant même d'avoir eu le temps de lever la main, une horde de gens m'immobilisa à terre. Alors qu'on me traînait vers la sortie, j'ouvris grand la bouche (enfin, la bouche est un bien grand mot ; disons l'extension buccale située sous mon œil et qui me sert à m'exprimer ; ouais en fait bouche c'est plus court) et criai : "ALLEZ TOUS VOUS FAIRE ENC..." Je regrettai immédiatement mes paroles, mais n’eus pas le temps de tergiverser d'avantage. Je sentis qu'on m'assenait un grand coup de massue sur la tête, et perdit connaissance. Je me réveillai le lendemain matin, avec une sacrée gueule de bois, et un douleur lancinante à l'arrière de la tête. Je me considérai placidement, et étouffai un cri : à la place de la rutilante armure almar, je portai un costume rayé usé, numéroté "n°33." Craignant d'abord de m'être réveillé d'un long rêve, et d'être revenu en 2536, dans les geôles de Sonate. Mais non. Après avoir examiné les alentours, j'étais bien en prison à Stendel. Je fouillai mes poches, dans l'espoir d'y trouver quelque chose, un effet personnel, de quoi manger, mais en sortis un papier sur lequel il était inscrit : Hors de moi, je hélai le geôlier, qui lisait tranquillement "Stendel soir" assis sur son siège, pendant que des gardes jouaient aux cartes sur une table en bois de pin. « Oh ! C'est quoi ce binz ! Je fous quoi ici moi ? Va chercher tes p**ains de clés et sors moi de là ! — [voix chevrotante] Que dites vous ? Parlez plus fort jeune homme, je me fais vieux, et j'entends de moins en moins bien! — FAITES MOI SORTIR D'ICI TOUT DE SUITE ! — Mais bien sûr ! Tous les soirs, vers 7h30 ! Je crois que ce soir c'est soupe de pois, avec des morceaux de lard ! — Mais zordel vous êtes bouché à l'émeri ou quoi ? OUVREZ MOI LA PORTE ! — Pas la peine de crier jeune homme ! Je ne suis pas encore complètement sourd ! Oh, pour l'activité physique, vous en aurez bien assez à creuser le sable et le gravier ! Vous le voyez là ? Grâce à un mystérieux sortilège, sitôt que vous avez miné votre pile, il en retombe par ce trou ! On ne sait pas d'où il vient. Peut-être que des lutins magiques viennent alimenter... » Dépité, je m'assis par terre pour réfléchir. Je n'avais que des souvenirs troublés de la soirée d'hier, mais je me souvenais nettement avoir insulté les gens autour de moi. « [le geôlier continuait à parler tout seul] ...La dernière fois que j'ai mangé des fraises en hiver, les mages de Stendel avaient complètement bousillé le climat ! Ah, si vous aviez vu les moutons brûler en plein soleil, c'était... — Vous, fermez là ! J'ai besoin de réfléchir ! — [le vieil homme fait la moue] » Je décidai d'envoyer un message à un empereur, en particulier à une impératrice, Louvinette. En effet, je pensais naïvement qu'une femme serait plus facile à faire flancher et à amadouer. Je pris donc ma prose la plus sucrée, et fixai sur ma plume (enfin, un bout de charbon ramassé au sol) mon ton le plus innocent possible pour demander ma libération, ne comprenant pas ce qu'il m'était arrivé, invoquant mille-et-une circonstances atténuantes, enfance malheureuse, chiens battus, professeurs alcooliques et tiramisus périmés (wtf?). Je confiai cette lettre écrite au dos de ma sentence au geôlier, après l'avoir un peu brusqué pour me faire comprendre, et m'endormis. À mon réveil, une lettre m'attendait dans ma poche. Et il faut croire que je me suis visiblement trompé, une femme n'est pas plus facile à soudoyer, surtout celle là ! Sans l'avoir ouverte, je sentais la saveur épicée des mots me brûler les narines. La réponse était cinglante : la soirée d'hier n'est pas une excuse pour se conduire mal, et éméché ou non, je n'avais pas à suggérer à la communauté Stendelienne de se faire sodoculer. Je purgerais donc ma peine comme les autres. Résigné, découragé, je me mis donc à l'ouvrage. Ces quatre mois dans les prisons de Stendel furent pour moi un véritable enfer. Alors que je croyais trouver dans ce voyage dans le temps forcé un appel inespéré vers la liberté, voilà que j'étouffais à nouveau, enchaîné et forcé à subir les pires expériences. Car oui, creuser 10800 mètres cube de sable est une vraie torture. Au bout de la première semaine, je n'avais déjà plus d'ongles et la peau de mes mains était boursouflée à force de gratter. Mais en plus de la douleur physique, je ressentais une profonde humiliation. Privé de liberté, j'avais chaque jour un peu plus envie de déchirer mes habits et de hurler. Le soleil et l'air frais me manquaient, mais je persévérais ; je finirais par finir ma tâche, et là, ma vengeance serait terrible (un peu cliché cette phrase, vous ne croyez pas ?). Pourtant, au fil des mois, et alors que je rédige ces lignes, ma haine s’apaisait, pour se transformer en un léger apaisement. Au moins ici, je ne pouvais plus tomber plus bas. Je ne pouvais que rebondir ! C'est ainsi qu'un matin, alors que je venais de finir mon premier mètre cube de la journée, j'entendis les gardes remonter les herses de la prison. Ma tâche était terminée, j'avais gagné ma liberté. Je courus récupérer mes effets personnels, et sortis... Avant de m'évanouir, étourdit par la lumière du jour. Note de l'auteur : je finis ces lignes bien au chaud chez moi, une pinte de bière sur le comptoir et un steak de bœuf saignant dans l'assiette. Fini la soupe de poix et le geôlier Jean TENRIEN (j'ai appris son nom au détour d'un de ses longs monologues ; il serait issu d'une famille aristocratique, et son père, le Duc d'Hûr de la feuille, aurait régné sur le royaume parléPluFort) ! Chapitre septième : Les rats quittent le navire [...] Le lecteur de ce livre vient de le ressortir de son étagère ; alors qu'il entame le chapitre sept d'un livre ennuyeux (en même temps "y a qu'ça qu'à [barrer]dire[/barrer] lire"), un fin papier jauni par le temps : [...] [...] Après un facepalm bien placé, le lecteur replie le papier, et le glisse entre deux pages, puis reprend la lecture du bouquin : [...] Ci-joint, une copie du message que j'ai adressé à Almaris, pour, au cas où vous ne l'avez pas compris, annoncer mon départ. Je viens tout juste de m'asseoir sur une pierre plate, à quelques centaines de mètres d'Almaris, pour apposer ces quelques lignes, avant de partir définitivement. Enfin de l'aventure ! Enfin un peu de changement ! Il ne me reste plus qu'à espérer trouver un petit village un peu plus... Euh... Petit, pour euh... Et Mairdre, je dois y aller, un zombie est en train de se précipiter sur mouAAAARGHLKRRR LâcheAEUARGHLLKJRRRR... [...] Le lecteur remarque une longue ligne irrégulière, similaire à celle qui résulte du coup de coude d'un camarade un peu lourd quand, en cours, vous vous efforcez de recopier le cours que dicte votre prof.[...] Chapitre huitième : [barrer]10[/barrer] [barrer]15[/barrer] [barrer]25[/barrer] 40 jours d'exode [...] Le lecteur remarque note que, à en juger par ces nombreuses ratures, l'auteur n'avait pas prévu que son voyage serait aussi long. Le lecteur se love dans son fauteuil moelleux, rajuste son coussin, et caresse un instant le chien qui dort sur ses genoux avant de reprendre sa lecture... Le lecteur se ravise, feuillette un instant le livre, et remarque plusieurs pages vierges. Visiblement, il a laissé un peu de place pour écrire les 11 premiers jours, non écrits sur le moment peut-être par manque de temps.[...] 12 jours après le départ Ça fait plusieurs jours que j'ai quitté Almaris j'ai vécu plusieurs périples, j'ai failli me faire gober par un loup, j'ai réchappé de peu à des explosions de creepers, un zombie m'a bouffé un orteil pendant mon sommeil... Bon toutes ces histoires je ne vais pas toutes les détailler, je les écrirai quand je serai au chaud sous un toit, là je commence à cailler sous la neige. [...] Le lecteur feuillette désespérément des pages blanches, toujours laissées pour poursuivre son histoire plus tard. Il n'a vraiment pas dû avoir le temps d'écrire jour après jour... À moins qu'il soit flemmard. Tout ce qu'il trouve, c'est une petite carte (volée) de la région, griffonnée et annotée. [...] 40 jours après le départ Ma vue se trouble. Je ne marche plus très droit. La nuit vient de tomber sur mon 40e jour d'exode. N'ayant pas plus la rattraper à temps (ah ah...), ça va être tout noir (ta gueule !) dans quelques minutes. Déjà, on y voit goutte dans cette forêt, sur laquelle je suis tombé juste après avoir quitté l'aube mythique. On m'y a glissé à l'oreille que, au sud-est d'ici, un petit village de nomades du nom de Cerve a poussé. J'espérais y arriver avant la tombée de la nuit, mais je me suis surtout bercé d'illusions. Ça y est, il fait nuit noire. Impossible de discerner la moindre lumière à travers ces épais branchages. Mon épée en fer, rouillée par le sang de mes ennemis (classe comme phrase, même si mon seul ennemi est le temps), ne pourra pas résister à une attaque massive de zombies, comme c'est monnaie courante dans les forêts la nuit. J'avançais donc à l'aveuglette, avec la désagréable sensation de tourner en rond, quand soudain, apparut une haut silhouette, presque deux fois ma taille. Elle possédait de grands bras, ainsi que des jambes très hautes, squelettiques. Son corps était intégralement noir, et il respirait de manière rauque, hachée. Mon cerveau fit clic : j'avais, quand je n'étais encore qu'un enfant (dans le futur donc), aperçu un tableau sur la table de travail de mon père : il était signé AccursedAsche, et représentait une vieille légende : l'Homme des Limbes. Mon sang ne fit qu'un tour : je ne me souvint de l'avertissement de mon père que trop tard, ne jamais regarder un homme des Limbes dans les yeux. Déjà, il s'était retourné, et ses yeux s'étaient éclairés d'une lueur lugubre. Sa gueule garnie de dents s'ouvrit en grand, et il poussa un long hurlement strident, à vous glacer le sang. Lentement, par étapes, il se téléportait vers moi. Au moment où il fondait sur moi, je réagit, et lui assénai un grand coup d'épée dans les valseuses. À peine étourdi, L'Homme des Limbes, l'enderman comme les Stendeliens ont l'air de l'appeler, restait tout de fois suffisamment longtemps sans bouger pour me laisser le temps de prendre mes jambes à mon cou. Malheureusement, sa capacité à se téléporter l'emporta sur ma forme athlétique (ou pas), et je l'entendais déjà fondre sur moi dans un aboiement rauque. De nouveau, il se dressa face à moi, m'acculant contre un arbre, sans possibilité de fuir. Au moment où il allait fondre sur sa proie, un mystérieux personnage surgit d'un arbre, et trancha la gorge de l'enderman, qui s'évanouit dans une plainte sinistre, laissant au sol une étrange perle bleutée, que mon sauveur s'empressa de ranger dans une besace. Je me relevai. « T'es qui toi ? demanda sèchement l'individu —Toi, qui t'es ? Répondais-je. —C'est moi qui pose les questions ! Et d'abord, tu devrais savoir qu'il faut pas trainer dans cette forêt la nuit, c'est plein de monstres ! Une chance que j'aie entendu son hurlement ! Un peu plus et tu... —Je ? —Et bien, je sais pas trop. Les victimes des endermens disparaissent corps et biens. Mais on a récemment trouvé un enderman équipé d'une tenue d'aventurier, donc certains zoologues ont émit l'hypothèse que ces pauvres hères seraient transformées en endermens... Brr, ne restons pas là veux-tu ? —Attends, on va où ! —À Cerve. » Cerve. La ville dont m'a parlé le Membre de l'aube. J'espère qu'elle correspondra à mes attentes, après 40 jours de recherche intensive, ça serait dommage. Le voyageur mystérieux me sortit rapidement de la forêt. Nous arrivâmes sur une plaine, laissant apparaitre au loin un petit village. Arrivé à la lumière d'une lanterne, mon mystérieux sauveur enleva son capuchon. « Toi ? Cria Chafoins. —Tu m'ôtes les mots de la bouche. » Chafoins. La personne qui m'avait aidé mes premiers jours à Almaris, avant de s'évaporer dans la nature. « Ça faisait longtemps qu'on ne t'avait pas revu dans le coin ! Lançai-je. —Je me suis brouillé avec... Certains Almars, [...]écriture en cours, Chafoins n'a pas encore mentionné dans son RP comment il a rejoint Cerve.[...] Cette ville m'intéresse. Un exilé d'Almaris, comme moi, a rejoint ce petit village qu'est Cerve. L'architecture est intéressante, les gens, rien qu'à leur gentilé, ont l'air d'être assez portés sur la bibine... « Ça me changera des elfes ! dis-je. —Tu parles tout seul ? —Hein ? Euh rien... (merde, je parle tout seul) Dis, tu crois pas que Cerve aurait une petite place pour moi ? —Ça je suis pas sûr. Déjà, comment t'expliquer... Les cervois sont un petit peu xénophobes sur les bords. En plus, ton, enfin... Tu vois, ton apparence... Particulière risque de déplaire à la Matriarche de Cerve. —Bon sang ! C'est pas possible ça, j'ai vraiment l'impression de porter la peste sur moi ! —Hey ! J'y suis pour rien moi ! Admets quand même que ton passé —Enfin, mon passé qui est dans le futur. —Oui bref, n'essaie pas de m'embrouiller. Admets quand même que ton histoire et ton... Visage, rebutent un peu les gens ! —Tu sais je peux être très gentil quand je m'y mets. » *Glourgh* est à peu près l'onomatopée qui retranscrirait le bruit que mon ventre a émit à ce moment là. Je réalisai que je n'avais pas mangé depuis 10 jours, et que je commençais sérieusement à avoir les crocs ! « Euh, y aurait pas une auberge, un truc comme ça dans votre village ? Je crois que je commence à avoir faim... —Ça je l'avais bien entendu, suis moi. » Chafoins me mena vers une petite auberge, dont l'enseigne vantait les bières des collines de Cerve. Il me mena vers une table et commanda au barman deux chopes de bière. Alors que j'allais conter à Chafoins les circonstances de mon départ, un garde visiblement éreinté par de pénibles rondes, dans la fraicheur de la nuit, pénétra l'auberge et s'assit à une table derrière nous, sans relever mon visage, caché par ma capuche. Il se tourna vers Chafoins et lui lança : « Alors sieur Chafoins ! On nous ramène encore un poivrot de l'Aube mythique qui s'est aventuré un peu tard dans la forêt ? —Pas cette fois. Celui ci est un vieil ami, dolfinsbizou. » Je me tournai alors vers le garde. Aussi fort que je plissai l'œil pour m'habituer à la lumière des lampions, l'homme écarquilla les yeux, et resta muet de stupeur. Quelques secondes lui suffirent à s'enfuir en hurlant, claquant la porte de l'auberge. Aussitôt, les cervois assis aux autres tables se tournèrent vers moi, et un long silence s'ensuivit. Chafoins fut le premier à briser la glace : « Ne craignez rien mes amis ! Cet homme n'est pas un démon ni le Dieu des Enfers, juste un vieil ami ! » Puis, alors que déjà la foule, mi-curieuse mi-terrorisée, se massait sur moi, Il chuchota : « Félicitations pour la discrétion ! Dans 5 minutes, tu auras la Garde à dos ! Si ce n'est pas carrément la matriarche ! » Il but une longue gorgée de bière. Alors que je voulais m'emparer de ma pinte, un manant visiblement peu rassuré marqua un recul, bousculant la table, et envoyant ma chope par terre. Dépité, je m'entrepris à raconter mon histoire à Chafoins. Chapitre neuvième : Cerve La soirée était bien avancé, les gens avaient attentivement écouté mon histoire, et compris qu'au delà de ma différence, je ne suis pas si belliqueux que ça. Chafoins et moi rigolions en se remémorant mes premiers mois à Stendel. Soudain, la porte s'ouvrit en grand, et une femme aux cheveux blonds et à l'air sévère apparut. Sans me voir, elle s'avança doucement vers moi. « Tiens, tu vois, voilà Hancko, la matriarche, chuchota Chafoins. S'il-te-plait, ne dis rien, laisse moi faire... » Alors que je rabaissais mon capuchon, inutilement d'ailleurs à voir l'expression horrifiée de la matriarche, Chafoins se leva et lança joyeusement : « Tavernier ! Deux autres bières ! Matriarche, vous voilà enfin, je vous présente un vieil ami à moi, Dolfinzbizou ! Je le connais d'avant même mon départ d'Almaris ! —Enchanté madame, dis-je. —De même, répondit Hancko, Soyez le bienvenu. Le garde qui m'a mené jusqu'à vous m'a expliqué les conditions de votre venue telle que Sieur Chafoins lui a énoncé. Je compatis à la douleur de votre exil et de votre voyage. -Mais il ne faut pas, rétorquai-je sans me soucier du regard de Chafoins qui m'implorait de me taire, et venir ici est peut être la meilleure chose qui me sois arrivé depuis bien longtemps : j'ai retrouvé un ami en ce village ! Les amis on ne les trouve pas à chaque coin de rue, surtout un comme Chafoins. » Je me rassis, presque étonné d'avoir fait preuve d'autant de gaieté. Un long silence s'ensuivit, les gens m'observaient bizarrement. J'allais boire ma bière, quand Chafoins, visiblement stressé, s'éloigna avec Hancko, pour l'entrainer dans un escalier qui descend vers la réserve de fûts de bière. « Je n'ai même pas envie de savoir ce qu'ils vont faire dans cette cave, pensai-je. » Bien décidé à boire cette satané "fameuse" bière cervoise, j'approchai la pinte de ma "bouche". Tous les gens retinrent leur souffle, visiblement interloqués de voir un œil non pas émettre du liquide, mais en absorber. Mmhh... Plutôt goûteuse cette bière ! Je m'essuyais la bouche, quand un rôt sonore se fit sentir dans la salle. Après un silence, les gens éclatèrent de rire. De la musique démarra d'un jukebox (je ne savais pas que ça existait déjà à cette époque), et déjà des hommes commandaient des bières pour s'asseoir à ma table. Heureux d'avoir enfin pu me détendre après plusieurs semaines tendues, mon regard se tourna vers Chafoins et Hancko qui, visiblement alertés par le bruit, étaient remontés. Ils se regardèrent en souriant, et après quelques mots, la Matriarche s'approcha et dit : « Bienvenue à Cerve Dolfinsbizou ! » Chapitre dixième : Chroniques de nain Mmhh... Que c'est agréable de se sentir à nouveau chez soi ! Pour le lecteur fatigué qui a prit la peine d'ouvrir ce carnet, je vais résumer ce qu'il s'est passé depuis que Hancko, matriarche de Cerve, m'a accueillie dans son village. Les festivités s'étaient poursuivies jusqu'au soir suivant, et je m'étais endormit à l'hostellerie cervoise, harassé mais heureux. Le lendemain, Chafoins était venu me voir pour discuter avec la Matriarche. quelques heures de débat avaient suffit à ôter les derniers doutes de Hancko quant à mon acceptation définitive. J'avais reçu un petit terrain, sur lequel une maison a très vite poussé (merci tonton Roger, pour tes conseils en maçonnerie quand j'étais petit !). Je me suis ensuite très vite intégré, aidant çà et là qu développement du village. Les gens gardent cependant un peu de méfiance à mon égard, je mets ça sur le compte de mon apparence... Bref, tout allait pour le mieux. Ce matin, je me promenais justement sur le bord du lac Cervois, côté entrepôt. Alors que je regardais avec amusement un insecte posé sur une herbe essayer de faire décoller un morceau de pain, mon regard est attiré par un creux dans la roche de la falaise : je m'approche pour observer de plus prêt, et me rends compte que ce creux était en fait une grotte. J'entre donc jeter un coup d'œil (ce genre d'expression m'énerve particulièrement, si vous voyez ce que je veux dire), non sans avoir allumé auparavant une torche. Je m'avance prudemment, la main posée dans un geste rassurant sur le pommeau de mon épée. Soudain, je sentis que le sol n'était plus présent sous mes pieds : je regardai sous moi, pour me rendre compte que j'étais en train de chuter dans une crevasse. Je m'affalai dans un bruit sourd. Quand je revins à moi, j'observai avec attention ce qui m'entoure : la crevasse a été aménagée, dirait-on, dans un genre de petit village troglodyte, avec ses cases encastrées dans la roche, et ses ponts de corde branlants. il régnait dans la crevasse une atmosphère mi-lugubre, mi-chaleureuse. Tout ça me rappelle les villages de trolls dans un film que j'avais vu enfant, "The Hobbit" je crois... Un film fantastique sans scénario particulièrement puissant, mais qui m'avait assez plu. [...] Le lecteur se gratte la texte d'un air perplexe. Qu'est-ce qu'un "film" ? Sans doute une invention qui vient du futur, vu que l'auteur lui même vient du futur. [...] Je me redressais donc en massant mes reins, quand un bougre m'aborda. « Oh ! je peux vous aider ? —*Aïe* non, ça ira je crois... Une mauvaise chute, fis-je en cachant mon flanc écorché. —Ah, tant m... Ouh. Ne seriez vous pas l'homme œil dont tout le monde parle depuis quelques jours ? La matriarche m'avait parlé un peu de vous, il parait que vous venez du futur ? —... —Euh, enfin bref, ravi de vous rencontrer ! Mon nom est okamijador ! Je suis en charge de la rénovation de ce village abandonné, découvert il y a quelques semaines lors de fouilles ! —Ah ? Et bien vous feriez bien de sécuriser tout ça ! J'ai failli me rompre les os en tombant moi ! —Euh... Oui, sans doute. Que diriez vous d'un petit tour des lieux ? » Okamijador m'entraina à travers plusieurs escaliers et échelles massés contre la roche. Il me conduisit sur un petit chemin à flanc de faille, avant de s'asseoir sur le rebord. « C'est pas encore totalement déterré, mais on a bon espoir de récupérer 85% des installations d'origine ! Sans doute une ancienne base de minage naine... —Tu es manipulateur ? —Je te demande pardon ? —"85% des installations..." Les gens qui ajoutent des pourcentages dans leurs propos le font souvent pour donner plus de valeur à leur discours. Ça prend pas avec moi ça. —Euh... T'es vraiment bizarre toi ! Je sais pas ce que tu as vécu avant d'être envoyé dans notre époque, mais t'as pas l'eau chaude à tous les étages visiblement ! —Pff... J'en sais bien plus que toi... —Et prétentieux avec ça ! C'est pas parce que tu viens d'un époque prétendument évoluée que tu dois te sentir obligé de me rabaissé ! —Eh ! Tu as fais une faute de conjugaison à "rabaissé" ! C'est avec -er pas avec -é ! —Quoi ?! —Non, rien, laisse tomber... —T'es vraiment un drôle de drille toi... Dis, ça te dirais pas de m'aider au minage de cette faille ? Y a encore beaucoup de pierres et de gravats à dégager ! Ça te ferait passer le temps ! —Très peu pour moi ! J'ai déjà passé quelques mois à casser du sable en prison, je crois que j'en ai soupé du minage ! Trouve toi un autre pigeon, celle là elle est pas pour moi ! » Sur ce, je me levai, bien décidé à sortir respirer un peu d'air frais. « Hey ! Attends ! cria Okamijador. —Quoi encore ? —Tu vas le regretter, essaie au moins ! —Toi, tu mériterais l'oscar de l'emmerdeur ! —C'qui Oscar ? —Laisse tomber, j'te dis. » Satisfait, Okamijador me donna une pioche, et m'indiqua un conduit. Ma mission est simple : déblayer l'antique mine désafectée, et à l'occasion ramasser tous les minerais que je pourrais trouver. Un véritable travail de nain. J'ai passé quelques jours dans cette mine, et je dois dire que j'ai été agréablement surpris : d'abord exténué de me fatiguer à casser des cailloux, j'ai fini par me laisser emporter par l'ivresse de collecter, raffiner, même collectionner des minerais, des pierres en tout genre. Un matin, Okamijador me dit enfin : « T'es plutôt pas trop mauvais toi ! Ça te dirais pas comme métier ça, Mineur ? —Métier ? —Bah oui ! Tu sais pas que l'empire délivre sur demande des statuts divers et variés ? —Oh, j'ai déjà essayé de distribuer mes statues à l'empire, ça ne l'intéresse visiblement pas... —...Ce jeu de mot ne mérite même pas l'appellation de jeu de mot. Si je ne t'appréciais pas, je t'aurais sans doute déjà coupé la gorge pour ce que tu viens de dire. —Pff... Si j'ai même plus le droit de faire de l'humour... —Enfin bref. Si ça t'intéresse, tu devrais aller voir à Stendel. tu peux l'atteindre rapidement en marchant vers Tsuribashi, puis en prenant le Piaf vers la capitale. Tu pourrais même en profiter pour te faire recenser en tant que villageois : tu es habitant d'un village maintenant, plus un simple paysan ! —Pourquoi pas ? Y a quoi à gagner ? —Mais y a vraiment que l’appât du gain qui t'intéresse toi ? Allez, vas-y, tu regretteras après. » Je remontais vers la surface, réfléchissant à la suggestion d'Okamijador. Il est vrai qu'officialiser un peu mon nouveau statut de mineur me permettrait de m'enrichir en vendant aux autres les fruits de ma récolte, et... Oh et puis zut ! Je suis rapidement rentré chez moi prendre un peu de nourriture, une épée neuve, et un peu d'argent, et j'ai foncé sur la route de Tsuribashi. Stendel, me voilà ! TO BE CONTINUED !
  6. C'est vrai, mais une GUI est tout de même plus ergonomique. Enfin c'est aussi moins évident à coder.
  7. Il était une fois un mineur qui voulait prendre congé, pourtant, il aimait répandre son avis sur Jean-Kevin. Cependant, il n'accéderait jamais au bateau du Capitaine Haddock. Alors il décida ingénieusement de marcher sur Brigitte Bardot avec beaucoup d'enthousiasme, ce rêve-la fut vraiment normal, voyons. C'est ainsi que mourut Roger Rabbit qui était shooté aux prunes. Effectivement, le ciel rose-bonbon semblait monstrueusement dégueulasse puisque le mineur n'avait pas crafté le sceptre PolyPocket qui permettait l'ouverture délicate du passage vers les terres obscures du Nether qui sentaient la naphtaline. Pourtant, dans 8 Heures, certains creepers iront danser à la pleine lune du jugement hydraulique pour évincer un Zombie qui avait fondu. Néanmoins, le mineur dégaina sa pioche pour lui faire une patate parce qu'il souhaitait jouer à Mr patate et c'est là qu'arriva Pikachu en pyjama rose à paillettes.Et soudain trébucha sur une dalle en cobblestone . Il manqua d'adresse et il sentit une curieuse odeur émanant d'un trou profond et il se dirigea alors vers celui-ci pour le nettoyer. Quand Bob et Fanta mangeaient des tacos sur le croupion d'un marin aveugle, ils mangeaient aussi des tacos aux limites de la mer rouge , car ils cherchaient Moïse, on l'a fait remonter vivement par la puissance d'un mexicain mal dans sa peau écailleuse, il chercha un moyen de traire une poule avec des démonte-pneus chromés mais ça n'avait aucune importance. Le chemin dut rétrécir car le mexicain ne se souvenait plus comment manger une pomme a cause de l'arrêt du développement de son interphone pré-frontal relié au réseau neuronal. Qui de la source des libellules mortes, vint en creusant à l'aplomb d'un Creeper nommé "T-N-T" et mangea un loukoum. Puis, son nez irradié par les radiations incessantes émanées par la puissance discontinue du soleil, il fit mine de siffloter la mélodie entraînante de Bach, puis s'en alla au royaume des creepers. Dieu l'accueillit à bras fermés car il ne dansait pas correctement le mambo à Moscou. Cependant, un autre mineur qui était ivre mort, lui enseigna tout ce qu'un poivrot édenté sait sur Minefield. C'est avec rigueur qu'il enfonça un pieu gigantesque entre les deux creepers déchainés. Pourtant, le japonais photographierait son acte impie de honte sur la route de Pedobear l'intrépide chenapan du Nouveau-Mexique, il voulait à tout prix savoir comment un mouton marseillais réussissait à manger un cadavre sans couverts en plastique. Néanmoins le Nutella fondait délicatement sous le soleil, coulant entre les hamsters déchainés appartenant à la société de Découpeurs d'Autruches des îles flottantes embrumées par un cornichon dinde. Reprenons, le mineur était donc en état d'ébriété sur un bar à chutes, quand un ornithorynque fou cracha sur lui et le dindon énervé s'empara de son caleçon. Comment un tel exploit n'est pas sur toute les chaines en Paraguayen en Pennsylvanie sur Minefield où il devrait lever une courgette avec élégance, c'est ainsi que Bob se retrouva en mauvaise posture et s'exclama qu'il ne mangerait plus jamais de tapioca avec El Guapo en Alaska. Revenons à notre mineur sourd pour comprendre ce transfert incontinent de fluides vitaux qui éviteront sa coagulation, à condition bien sûr que Postal... Comment ?! On peut tout à refaire , bien qu'il fût paysan le gueux, jamais il n'arrivera à toucher l’élan bleu car il était saoul. Maintenant , il repeint le cochon avec des chaussettes en paprika raisonnable, emplit de bière. Il arriva furtivement devant le portail surmonté d'un broc de vrai bucheron agonisant. Des mouches volaient sans se soucier que le squelette mâchait un noob en chamalow gonflable fushia avec des paillettes multicolores. Il alla sur les chemins tortueux de Mislaid et y trouva un monstre tricheur et pas très sympathique nommé le Canard Cacahuète!!! Cependant, une otarie un peu abrutie nommé Itary Belami qui dansait sur une colline, tomba et roula en bas. L'otarie rebondit alors jusqu'à une étendue de planches moisie et rongée. Seulement, elle était pure et majestueusement belle de dindons farcis venant de Galianör. C'est ainsi qu'il démembra DokMixer et sauta dans une poubelle mal gonflée car il trouva que cela était chic et burlesque ainsi il commença à se faire tuer par un poulet asthmatique atteint d'un syndrome inconnu qu'était le fruit du démon Aelfyr le sanguinaire majestueux chef des Pirates de Torcuba. Magabon le psychédélique canard hémophile octogénaire apprit que la condition de vie des canards en boite était simplement bandante, surtout quand ils mangent des chips en construisant Nouvelle Azur. Mais un jour les ornithorynques lui firent un câlin maléfique, quand Mashmallow-man dit que la nouvelle maison du pêcheur borgne était laide et parti. Pourtant, Mlle Lennon fit des merveilles en tant que catcheuse professionnelle, gagnant le tournoi de Winbledon, cependant sa mère avait préparé bobby l'émulsif qui tua sa bouée en latex à cause des doigts de pied du Léviathan rouge à pois bleus. Cependant, il alla dans Navis pour chercher du pain orange empoisonné pour assassiner Pedo-bear. Heureusement, il but une citrouille qui le propulsa dans la lune. Notre bon mineur saoul brûla l’intérieur spongieux de Minefield mais il lui mangea aussi consubstantiellement son appendisse principal tout chaud. C'est ainsi qu'il tira de l'encre incandescente, brillant sous la lune comme une étoile, afin de pourrir son pot de chambre plein de miel séché. C'est alors qu'il dégusta une glace chaude gazeuse à bel-o-kube tout en prenant un objet impalpable et dégoulinant de rhum de Limace velue. Ça brulait encore imperceptiblement tout en mouillant de l'eau à des carottes fluorescentes transparentes. Que de souvenirs obscènement saints et biodégradable avait écaillaient son caleçon rose-vert troué par de gros mycophytes en furoncle ainsi que du pus violet faisant des taches heureusement radioactives et inflammables. Malheureusement,la fin était proche hypodèrmatologiquement car morue sa peau fut verte ronflante et pleine de boutons radioactifs, mais MartinMatin dit: Saperlipopette ! J'ai trouvé une Poptart anticonstitutionnellement aérospatiale qui fonçait vers moi menaçant Ned Flanders avec un démodulateur-pixelirisateur et le transforma en cube de bouse magique léchant le viaduc poilu chevauché par des crottes sur pattes qui mutaient en dragonnet en plastique comestible mais d'un goût douteux d'artère récurrente tibiale postérieur de Jean-Kévin qui mangeait des fibres alimentaires moisis. Soudain, caca noël envoya sa spécialité, la poutine italienne qu'il avait tué avec un lamasticot sauvage et méchant. Mais la caca noël n'en resta pas a la Grand-mère Fanfreluche. En effet, cette vieille peau détruisit la forgeciel dans un pet monstrueux qui fit fondre la structure métallique d'un kikoo désanchanté et malodorant qui pris l'huitre anticonstitutionnelle en plein dans le nez qui coula dans la javel rose du petit canard boiteux et plein de croûtes. C'est alors que Francis Lalanne saucisson mourut d'un cancer du diamant volé... Malheureusement il n'avait pas de bateau donc Saden prit une rousquille et pénétra le système solaire sensuellement mal, et hélas l'édredon maléfique débarqua ! Kleenex intervint pour le travesti-volant en fusion de ferrero-rocher en carton de nutella armé d'éponges et de pizzas. Donc Saden et Kleenex mutèrent en canard rose ninja et mangèrent de délicieux cailloux nappés de sauce banane chantilly, pop-tart et chat inclus,mais lamasticot arriva et
  8. ...Oui, je sais, j'ai pas mieux comme nom de suggestion... -->[] Bien le bonjour, si je poste ici, c'est pour vous faire une petite suggestion d'ajout. En effet, [barrer]j'aimerais avoir des tableaux de creeper nus, mouillés de[/barrer]... Erm, pardon... Plus sérieusement, j'ai choisi de vous présenter la suggestion de manière quelque peu différente, et qui je l'espère vous plaira ! Voilà plusieurs jours que je ne sors pas de ma cave. À Almaris, on commence à se demander si je vais un jour revenir travailler. Je suis certain qu'on rumine mon éjection de la ville. Mais je n'ai que faire, puisque je mets la touche finale à un projet qui a germé il y a trois semaines... ...Je rentrais alors de nuit d'un échafaudage, équipé d'un arc et d'une armure pour mieux me défendre. Une fois la porte de ma demeure refermée, j'ai voulu retirer mon armure et la poser sur un... En fait, j'ai dû la ranger dans un coffre, me rappelant que les portes-manteau n'existaient pas dans ce pays de fous. C'est alors que m'est venu une idée, une idée qui, je l'espère, peut plaire. Je suis descendu à ma cave, et j'ai successivement plongé dans mon bassin, pincé ma cuisse droite, pratiqué l'auto-mutilation de l'orteil et mangé un grec pour vérifier que l'idée qui poussait peu à peu dans mon cerveau dégénéré n'allait pas s'en aller pour autant. Mais non, elle était bien accrochée, et je devais la concrétiser pour la faire sortir. J'ai donc pris un papier et un crayon, me suis mis au travail jusqu'à arriver à coucher par écrit les grandes lignes du projet : ...Ouais bon, j'avais que ça sous la main ok ? Je me suis donc attelé à la tâche la semaine suivante, et après deux semaines de travail acharné, j'ai finalement réussi à sortir d'une masse de matière informe quelque chose qui peut ressembler à un résultat, ma foi pas trop mal. Un paquet sur le dos, je me suis donc mis en route vers la capitale... J'ai hâte de voir la tête qu'ils vont tirer là bas, quand ils vont voir que le misérable dont tout le monde se moque est arrivé à quelque chose ! Fini le petit délire, je redeviens sérieux. J'avais parlé sur ce thread d'une suggestion d'ajout d'une sorte de pantin, de statue sur laquelle on peut poser des pièces d'armures. J'ai décidé tant bien que mal de concrétiser l'idée et, étant maintenant satisfait du résultat, je me décide à vous le présenter. Assez rigolé, voilà donc la bête [barrer](mmhhhh...)[/barrer] : Ouaaaaah ! Une GUI pour modifier l'armure présente : la boule de neige est un slot pour modifier l'apparence de la demi-dalle, c'est une texture temporaire, vu que je code l'adaptation Minefield sans ModLoader, j'ai pris un textureindex au hasard... :° Pareil le briquet est pour le slot de l'objet tenu en main. Mais la version définitive sera correcte, don't worry! D'autres possibilités Plus d'informations, les sources et, pour ceux que ça intéresse, les liens de téléchargement du mod sont disponibles ici. Pourquoi est-ce que je fais ça ? Parce que, au contraire de certaines suggestions, j'ai envie de montrer du concret, montrer que je suis motivé, et que ce n'est pas juste une idée que je balance comme ça. J'ai pris conscience, en codant ce bloc, que le modding demande beaucoup de patience, et c'est pour cela que je vous livre ce résultat. Si d'aventure (j'en doute, mais sait on jamais ^^) cette suggestion est retenue (ah oui, là je rêve), les sources sont sous licence créative commons 3.0 by. Et quoi-qu'il arrive, toute personne étant intéressé par les sources pour son mod par exemple peut se servir, à condition de respecter les termes du contrat ! De plus, la MMUM qui se déroule en ce moment devrait, en tout cas c'est mon avis, être l'occasion de promouvoir le travail (pas forcément le mien) des personnes qui suggèrent, créent et proposent à minefield. En effet, je crois que les suggestions sont, en général, peu regardées par le staff, même si certaines, comme la suggestion de Splendide concernant des ajouts à l'interface présente un réel intérêt pour le serveur. Voilà voilà ! En espérant que cette suggestion fasse son petit bout de chemin, moi, je vais vous laisser pour le moment, j'ai un macchabée dans le placard. dolf, le cinglé mais rêveur. EDIT : l'adaptation du mod pour minefield avance bien, puisque le côté solo est terminé (sans ModLoader bien sûr), et le côté serveur... Grr, bukkit c'est vraiment de la daube à modder ! x) Mais Death_wing m'aide beaucoup de ce côté là.
  9. Il était une fois un mineur qui voulait prendre congé, pourtant, il aimait répandre son avis sur Jean-Kevin. Cependant, il n'accéderait jamais au bateau du Capitaine Haddock. Alors il décida ingénieusement de marcher sur Brigitte Bardot avec beaucoup d'enthousiasme, ce rêve-la fut vraiment normal, voyons. C'est ainsi que mourut Roger Rabbit qui était shooté aux prunes. Effectivement, le ciel rose-bonbon semblait monstrueusement dégueulasse puisque le mineur n'avait pas crafté le sceptre PolyPocket qui permettait l'ouverture délicate du passage vers les terres obscures du Nether qui sentaient la naphtaline. Pourtant, dans 8 Heures, certains creepers iront danser à la pleine lune du jugement hydraulique pour évincer un Zombie qui avait fondu. Néanmoins, le mineur dégaina sa pioche pour lui faire une patate parce qu'il souhaitait jouer à Mr patate et c'est là qu'arriva Pikachu en pyjama rose à paillettes.Et soudain trébucha sur une dalle en cobblestone . Il manqua d'adresse et il sentit une curieuse odeur émanant d'un trou profond et il se dirigea alors vers celui-ci pour le nettoyer. Quand Bob et Fanta mangeaient des tacos sur le croupion d'un marin aveugle, ils mangeaient aussi des tacos aux limites de la mer rouge , car ils cherchaient Moïse, on l'a fait remonter vivement par la puissance d'un mexicain mal dans sa peau écailleuse, il chercha un moyen de traire une poule avec des démonte-pneus chromés mais ça n'avait aucune importance. Le chemin dut rétrécir car le mexicain ne se souvenait plus comment manger une pomme a cause de l'arrêt du développement de son interphone pré-frontal relié au réseau neuronal. Qui de la source des libellules mortes, vint en creusant à l'aplomb d'un Creeper nommé "T-N-T" et mangea un loukoum. Puis, son nez irradié par les radiations incessantes émanées par la puissance discontinue du soleil, il fit mine de siffloter la mélodie entraînante de Bach, puis s'en alla au royaume des creepers. Dieu l'accueillit à bras fermés car il ne dansait pas correctement le mambo à Moscou. Cependant, un autre mineur qui était ivre mort, lui enseigna tout ce qu'un poivrot édenté sait sur Minefield. C'est avec rigueur qu'il enfonça un pieu gigantesque entre les deux creepers déchainés. Pourtant, le japonais photographierait son acte impie de honte sur la route de Pedobear l'intrépide chenapan du Nouveau-Mexique, il voulait à tout prix savoir comment un mouton marseillais réussissait à manger un cadavre sans couverts en plastique. Néanmoins le Nutella fondait délicatement sous le soleil, coulant entre les hamsters déchainés appartenant à la société de Découpeurs d'Autruches des îles flottantes embrumées par un cornichon dinde. Reprenons, le mineur était donc en état d'ébriété sur un bar à chutes, quand un ornithorynque fou cracha sur lui et le dindon énervé s'empara de son caleçon. Comment un tel exploit n'est pas sur toute les chaines en Paraguayen en Pennsylvanie sur Minefield où il devrait lever une courgette avec élégance, c'est ainsi que Bob se retrouva en mauvaise posture et s'exclama qu'il ne mangerait plus jamais de tapioca avec El Guapo en Alaska. Revenons à notre mineur sourd pour comprendre ce transfert incontinent de fluides vitaux qui éviteront sa coagulation, à condition bien sûr que Postal... Comment ?! On peut tout à refaire , bien qu'il fût paysan le gueux, jamais il n'arrivera à toucher l’élan bleu car il était saoul. Maintenant , il repeint le cochon avec des chaussettes en paprika raisonnable, emplit de bière. Il arriva furtivement devant le portail surmonté d'un broc de vrai bucheron agonisant. Des mouches volaient sans se soucier que le squelette mâchait un noob en chamalow gonflable fushia avec des paillettes multicolores. Il alla sur les chemins tortueux de Mislaid et y trouva un monstre tricheur et pas très sympathique nommé le Canard Cacahuète!!! Cependant, une otarie un peu abrutie nommé Itary Belami qui dansait sur une colline, tomba et roula en bas. L'otarie rebondit alors jusqu'à une étendue de planches moisie et rongée. Seulement, elle était pure et majestueusement belle de dindons farcis venant de Galianör. C'est ainsi qu'il démembra DokMixer et sauta dans une poubelle mal gonflée car il trouva que cela était chic et burlesque ainsi il commença à se faire tuer par un poulet asthmatique atteint d'un syndrome inconnu qu'était le fruit du démon Aelfyr le sanguinaire majestueux chef des Pirates de Torcuba. Magabon le psychédélique canard hémophile octogénaire apprit que la condition de vie des canards en boite était simplement bandante, surtout quand ils mangent des chips en construisant Nouvelle Azur. Mais un jour les ornithorynques lui firent un câlin maléfique, quand Mashmallow-man dit que la nouvelle maison du pêcheur borgne était laide et parti. Pourtant, Mlle Lennon fit des merveilles en tant que catcheuse professionnelle, gagnant le tournoi de Winbledon, cependant sa mère avait préparé bobby l'émulsif qui tua sa bouée en latex à cause des doigts de pied du Léviathan rouge à pois bleus. Cependant, il alla dans Navis pour chercher du pain orange empoisonné pour assassiner Pedo-bear. Heureusement, il but une citrouille qui le propulsa dans la lune. Notre bon mineur saoul brûla l’intérieur spongieux de Minefield mais il lui mangea aussi consubstantiellement son appendisse principal tout chaud. C'est ainsi qu'il tira de l'encre incandescente, brillant sous la lune comme une étoile, afin de pourrir son pot de chambre plein de miel séché. C'est alors qu'il dégusta une glace chaude gazeuse à bel-o-kube tout en prenant un objet impalpable et dégoulinant de rhum de Limace velue. Ça brulait encore imperceptiblement tout en mouillant de l'eau à des carottes fluorescentes transparentes. Que de souvenirs obscènement saints et biodégradable avait écaillaient son caleçon rose-vert troué par de gros mycophytes en furoncle ainsi que du pus violet faisant des taches heureusement radioactives et inflammables. Malheureusement,la fin était proche hypodèrmatologiquement car morue sa peau fut verte ronflante et pleine de boutons radioactifs, mais MartinMatin dit: Saperlipopette ! J'ai trouvé une Poptart anticonstitutionnellement aérospatiale qui fonçait vers moi menaçant Ned Flanders avec un démodulateur-pixelirisateur et le transforma en cube de bouse magique léchant le viaduc poilu chevauché par des crottes sur pattes qui mutaient en dragonnet en plastique comestible mais d'un goût douteux d'artère récurrente tibiale postérieur de Jean-Kévin qui mangeait des fibres alimentaires moisis. Soudain, caca noël envoya sa spécialité, la poutine italienne qu'il avait tué avec un lamasticot sauvage et méchant. Mais la caca noël n'en resta pas a la Grand-mère Fanfreluche. En effet, cette vieille peau détruisit la forgeciel dans un pet monstrueux qui fit fondre la structure métallique d'un kikoo désanchanté et malodorant qui pris l'huitre anticonstitutionnelle en plein dans le nez qui coula dans la javel rose du petit canard boiteux et plein de croûtes. C'est alors que Francis Lalanne saucisson mourut d'un cancer du diamant volé... Malheureusement il n'avait pas de bateau donc Saden prit une rousquille et pénétra le système solaire sensuellement mal, et hélas l'édredon maléfique débarqua ! Kleenex intervint pour le travesti-volant en fusion de ferrero-rocher en carton de nutella armé d'éponges et de pizzas. Donc Saden et Kleenex mutèrent en canard rose ninja et mangèrent de délicieux cailloux nappés de sauce banane chantilly, pop-tart et chat inclus,
  10. Il était une fois un mineur qui voulait prendre congé, pourtant, il aimait répandre son avis sur Jean-Kevin. Cependant, il n'accéderait jamais au bateau du Capitaine Haddock. Alors il décida ingénieusement de marcher sur Brigitte Bardot avec beaucoup d'enthousiasme, ce rêve-la fut vraiment normal, voyons. C'est ainsi que mourut Roger Rabbit qui était shooté aux prunes. Effectivement, le ciel rose-bonbon semblait monstrueusement dégueulasse puisque le mineur n'avait pas crafté le sceptre PolyPocket qui permettait l'ouverture délicate du passage vers les terres obscures du Nether qui sentaient la naphtaline. Pourtant, dans 8 Heures, certains creepers iront danser à la pleine lune du jugement hydraulique pour évincer un Zombie qui avait fondu. Néanmoins, le mineur dégaina sa pioche pour lui faire une patate parce qu'il souhaitait jouer à Mr patate et c'est là qu'arriva Pikachu en pyjama rose à paillettes.Et soudain trébucha sur une dalle en cobblestone . Il manqua d'adresse et il sentit une curieuse odeur émanant d'un trou profond et il se dirigea alors vers celui-ci pour le nettoyer. Quand Bob et Fanta mangeaient des tacos sur le croupion d'un marin aveugle, ils mangeaient aussi des tacos aux limites de la mer rouge , car ils cherchaient Moïse, on l'a fait remonter vivement par la puissance d'un mexicain mal dans sa peau écailleuse, il chercha un moyen de traire une poule avec des démonte-pneus chromés mais ça n'avait aucune importance. Le chemin dut rétrécir car le mexicain ne se souvenait plus comment manger une pomme a cause de l'arrêt du développement de son interphone pré-frontal relié au réseau neuronal. Qui de la source des libellules mortes, vint en creusant à l'aplomb d'un Creeper nommé "T-N-T" et mangea un loukoum. Puis, son nez irradié par les radiations incessantes émanées par la puissance discontinue du soleil, il fit mine de siffloter la mélodie entraînante de Bach, puis s'en alla au royaume des creepers. Dieu l'accueillit à bras fermés car il ne dansait pas correctement le mambo à Moscou. Cependant, un autre mineur qui était ivre mort, lui enseigna tout ce qu'un poivrot édenté sait sur Minefield. C'est avec rigueur qu'il enfonça un pieu gigantesque entre les deux creepers déchainés. Pourtant, le japonais photographierait son acte impie de honte sur la route de Pedobear l'intrépide chenapan du Nouveau-Mexique, il voulait à tout prix savoir comment un mouton marseillais réussissait à manger un cadavre sans couverts en plastique. Néanmoins le Nutella fondait délicatement sous le soleil, coulant entre les hamsters déchainés appartenant à la société de Découpeurs d'Autruches des îles flottantes embrumées par un cornichon dinde. Reprenons, le mineur était donc en état d'ébriété sur un bar à chutes, quand un ornithorynque fou cracha sur lui et le dindon énervé s'empara de son caleçon. Comment un tel exploit n'est pas sur toute les chaines en Paraguayen en Pennsylvanie sur Minefield où il devrait lever une courgette avec élégance, c'est ainsi que Bob se retrouva en mauvaise posture et s'exclama qu'il ne mangerait plus jamais de tapioca avec El Guapo en Alaska. Revenons à notre mineur sourd pour comprendre ce transfert incontinent de fluides vitaux qui éviteront sa coagulation, à condition bien sûr que Postal... Comment ?! On peut tout à refaire , bien qu'il fût paysan le gueux, jamais il n'arrivera à toucher l’élan bleu car il était saoul. Maintenant , il repeint le cochon avec des chaussettes en paprika raisonnable, emplit de bière. Il arriva furtivement devant le portail surmonté d'un broc de vrai bucheron agonisant. Des mouches volaient sans se soucier que le squelette mâchait un noob en chamalow gonflable fushia avec des paillettes multicolores. Il alla sur les chemins tortueux de Mislaid et y trouva un monstre tricheur et pas très sympathique nommé le Canard Cacahuète!!! Cependant, une otarie un peu abrutie nommé Itary Belami qui dansait sur une colline, tomba et roula en bas. L'otarie rebondit alors jusqu'à une étendue de planches moisie et rongée. Seulement, elle était pure et majestueusement belle de dindons farcis venant de Galianör. C'est ainsi qu'il démembra DokMixer et sauta dans une poubelle mal gonflée car il trouva que cela était chic et burlesque ainsi il commença à se faire tuer par un poulet asthmatique atteint d'un syndrome inconnu qu'était le fruit du démon Aelfyr le sanguinaire majestueux chef des Pirates de Torcuba. Magabon le psychédélique canard hémophile octogénaire apprit que la condition de vie des canards en boite était simplement bandante, surtout quand ils mangent des chips en construisant Nouvelle Azur. Mais un jour les ornithorynques lui firent un câlin maléfique, quand Mashmallow-man dit que la nouvelle maison du pêcheur borgne était laide et parti. Pourtant, Mlle Lennon fit des merveilles en tant que catcheuse professionnelle, gagnant le tournoi de Winbledon, cependant sa mère avait préparé bobby l'émulsif qui tua sa bouée en latex à cause des doigts de pied du Léviathan rouge à pois bleus. Cependant, il alla dans Navis pour chercher du pain orange empoisonné pour assassiner Pedo-bear. Heureusement, il but une citrouille qui le propulsa dans la lune. Notre bon mineur saoul brûla l’intérieur spongieux de Minefield mais il lui mangea aussi consubstantiellement son appendisse principal tout chaud. C'est ainsi qu'il tira de l'encre incandescente, brillant sous la lune comme une étoile, afin de pourrir son pot de chambre plein de miel séché. C'est alors qu'il dégusta une glace chaude gazeuse à bel-o-kube tout en prenant un objet impalpable et dégoulinant de rhum de Limace velue. Ça brulait encore imperceptiblement tout en mouillant de l'eau à des carottes fluorescentes transparentes. Que de souvenirs obscènement saints et biodégradable avait écaillaient son caleçon rose-vert troué par de gros mycophytes en furoncle ainsi que du pus violet faisant des taches heureusement radioactives et inflammables. Malheureusement,la fin était proche hypodèrmatologiquement car morue sa peau fut verte ronflante et pleine de boutons radioactifs, mais MartinMatin dit: Saperlipopette ! J'ai trouvé une Poptart anticonstitutionnellement aérospatiale qui fonçait vers moi menaçant Ned Flanders avec un démodulateur-pixelirisateur et le transforma en cube de bouse magique léchant le viaduc poilu chevauché par des crottes sur pattes qui mutaient en dragonnet en plastique comestible mais d'un goût douteux d'artère récurrente tibiale postérieur de Jean-Kévin qui mangeait des fibres alimentaires moisis. Soudain, caca noël envoya sa spécialité, la poutine italienne qu'il avait tué avec un lamasticot sauvage et méchant. Mais la caca noël n'en resta pas a la Grand-mère Fanfreluche. En effet, cette vieille peau détruisit la forgeciel dans un pet monstrueux qui fit fondre la structure métallique d'un kikoo désanchanté et malodorant qui pris l'huitre anticonstitutionnelle en plein dans le nez qui coula dans la javel rose du petit canard boiteux et plein de croûtes. C'est alors que Francis Lalanne saucisson mourut d'un cancer du diamant volé... Malheureusement il n'avait pas de bateau donc Saden prit une rousquille et pénétra le système solaire sensuellement mal, et hélas l'édredon maléfique débarqua ! Kleenex intervint pour le travesti-volant en fusion de ferrero-rocher en carton de nutella armé d'éponges et de pizzas. Donc Saden et Kleenex mutèrent en canard rose
  11. Bonjour bonjour ! Je poste donc à mon tour, car j'ai adoré ce que tu as fait pour splendide, et puis j'ai bien envie de voir mon skin pixel-artisé (ça se dit ?). Alors donc, voici le fichier de mon skin : C'est un œil (pour ceux qui n'auraient pas compris ^^ ), mais pas un cyclope, juste un gros neuneuil visqueux [barrer]à qui l'on fait des calins[/barrer]. Je ne suis tout de même pas atteint de cyclopie* ! Bon sinon pour l'habit, c'est le skin des habitants d'Almarïs (oui, je ne suis que nouvel arrivant, mais j'anticipe). Dans la main, j'aimerais bien un arc vu que les l'arme almar principale est l'arc. Voilà voilà ! Pour le paiement, je le réaliserai dès que tu le souhaiteras ! Si tu es absent, je prendrai une capture d'écran (ne t'inquiète pas, tu peux compter sur ma bonne foi). Merci d'avance pour le travail que tu vas réaliser, dolf. *La cyclopie est une malformation génétique grave qui provoque une fusion des deux orbites oculaires, souvent couplée à d'autres malformations. Pour ceux que ça intéresse, vous pouvez aller regarder l'article sur Wikipédia. /!\ L'article de wikipédia contient une image susceptible de heurter la sensibilité des plus jeunes d'entre vous (moi y compris, et je ne plaisante pas).
  12. Bah quoi ? Moi je suis bien un peu cataptophobe sur les bords (véridique). :-°
  13. SI j'aime le froid ? Mais je suis né dans le froid ! Euh... Enfin bref, merci pour votre accueil, je me pare dès maintenant de mes habits de nouvel arrivant ! (enfin, le skin de nouvel arrivant)
  14. N.B : Suite à un petit ennui technique (c.f Lordmick —pardon si j'écorche le pseudo— pour plus de détails :-° ), je vais accélérer mes projets de ralliement à Almaris. Présentation IRL et IG Je me présente donc, dolfinsbizou, Guillaume I.R.L, bientôt 15 ans, jeune geek paumé du sud de la France, postule donc [barrer]en ce jour d'octobre 75[/barrer] pour rejoindre la jolie ville qu'est Almaris. Je suis membre de Minefield depuis peu de temps (un peu plus d'une semaine je crois). Bon, je vais vous résumer mon rapide parcours sur Minefield, sans en faire des tonnes comme je fais d'habitude. Je me suis installé dans (ce que je croyais être) un désert humain, les plaines glaciales au nord d'Almaris (que je pensais situé en dehors de tout territoire vu l'(ancienne) carte du routard). J'y ai installé ma coquette petite maison, mon coquet petit champ, [barrer]et mes coquettes petites féfesses[/barrer] (oui, faudra vous y faire, j'ai réellement un humour douteux). J'y ai creusé plusieurs [barrer]coquettes[/barrer] petites caves jusqu'à ce que, par un terrible jour de septembre, la vérité éclate. Epic fail Lordmick : "Euh, t'es sur le territoire d'un projet mec." Moi : "Mais, la carte du routard elle dit que..." Lordmick : "Elle a été mise à jour aujourd'hui, et le projet est là depuis un mois." Moi : *air médusé* Lordmick : "Euh, ça va mec ?" Moi : "Fuuuuuuuuu ! *casse tout dans la maison* Lordmick : *appelle les services psychiatriques* Ouais bon, j'ai à peine romancé le fait que j'ai construit ma maison sur le terrain d'un projet (biggest boulay ever spotted). :-° D'ici à mon acceptation, et à l'obtention d'un cubo à Almaris (si d'emblée je suis accepté) pour transférer mes petites affaires, je vous promet de détruire mon œuvre (le mot est fort) et de reboucher l'immense trou que ça va laisser, vu que j'ai fait des caves jusqu'à la bedrock. :-° Profession Vu que je ne suis qu'un pauvre paysan totalement dénué de droits, je n'ai pas encore de spécialisation. Mais je compte devenir mage, vu que le RP de mon personnage stipule que mes parents étaient magiciens (et que donc, logiquement, je le suis aussi ). Style de joueur Je suis à la fois bâtisseur, architecte, terraformeur, [barrer]déconneur,[/barrer] et aussi larbin venu des pays de l'est quand il le faut. ^^ Mais on va dire que je suis surtout "spécialiste" en construction. Motivations [barrer]Tout casser et violer dans sa bouche Lordmick (m'voyez) pour me venger d'avoir été expulsé Mouwa ah ah ah ah *rire sadique*[/barrer] Euh non sérieusement j'ai été conquis (oui, conquis) par l'architecture de votre ville, qui est à la fois complexe et belle. J'ai vraiment hâte de m'atteler à la construction d'une maison sur cette ville, et puis j'ai aussi envie de m'intégrer à une communauté qui m'a l'air ma foi très sympathique. De plus, un ami IG rencontré sur un autre serveur, Chafoins, y réside. Cela me permettrait de ne pas me sentir complètement largué à mon arrivée. Et puis comme ça, vous pourrez vérifier mes états de service ! Chafoins : "dolfinsbizou ? Oh, un pauvre attardé, soyez pas trop méchant avec lui, ne le tapez pas trop fort. *sourire démoniaque* c'est-bon,-vous-pouvez-rouvrir-les-yeux> Le RP || <-Ceci est un bouton pause Pour comprendre ce qui va suivre, il est largement préférable d'avoir lu (désolé) mon premier RP, tiré de la candidature paysan. Bonne lecture... *rire sardonique* http://www.minefield.fr/forum/paysans/candidature-dolfinsbizou-episode-retour-jet-ail-t42849.html I> <-Ceci est un bouton play Et voilà donc mon histoire. Ça vous a plu ? Assistance : ... Euh, bon. Ok. Bon, plus sérieusement, j'espère que vous ne prendrez pas ce RP comme un message subliminal, ce n'est pas mon intention. C'est juste mon esprit de plus en plus dérangé qui rassemble des évènements, et qui, euh... Ouais bon ok, ma phrase n'a aucun sens, oubliez ce que je viens de dire ! Pour finir Tout d'abord, ne tenez pas compte de mon air faussement agacé et énervé contre le fait que ma maison va devoir être rasée. Je ne vous en veux absolument pas, vous êtes dans votre droit, c'est moi que j'ai fais la bêtise #épissétou. En plus, dans mon RP, mon personnage est censé être un associal rejeté de la société parce qu'il est différent. (Non, ce n'est pas du vécu ! #menteur) En revanche, je suis très déçu parce que j'avais beaucoup travaillé et englouti la moitié de mon forfait pour des PA pour mener à bien ce petit projet. M'enfin, c'est la dure loi [barrer]de Koh lanta[/barrer] de Minefield, et promis, j'arrête avec mes blagues, je suis en train d'exploser littéralement mon forfait de [barrer] ! De toute façon, les ressources seront réutilisées pour construire la plus grande et la plus belle des maisons d'Almaris ! #prétentieux Ah sinon, Lordmick, ne t'inquiète pas, je ne t'en veux absolument pas à toi non plus ! On va dire que tu m'as donné un petit coup de pouce pour me mettre à une candidature que je devais finir depuis quelques jours déjà (en fait je manquais d'idées pour le RP, là vous m'avez donné l'inspiration ). Voilà voilà, c'est tout pour le moment, j'attends désormais avec impatience votre réponse. En attendant, je vais vous laisser, je dois aller tester le dentifrice au chocolat. dolf.
  15. Oui c'est ce que j'allais dire, mes frères ont la même chose sur un serveur en 1.2.4. Enfin bref, plus qu'à prendre son mal en patience. Wait and see.
  16. Bonjour bonjour. Je poste dans cette section, car je commence à en avoir un peu marre de devoir m'y prendre à 5 fois pour me connecter à Minefield. En effet, quel que soit le serveur minefield, le log in prend des années, et souvent on nous retourne une erreur "End of stream" ou "Took to long to login". Bien souvent, ça me gèle carrément le jeu sur la fenêtre de login, et je suis bon pour forcer à quitter et recommencer ! Je ne suis pas le seul dans ce cas, beaucoup de personnes dans le chat IG se sont plaintes de la même chose, et ce depuis deux trois jours. J'espère donc que vous pourrez éclairer notre lanterne à ce sujet. dolf.
  17. @descamps bah ça y est je suis paysan. Ah au fait ! Est-ce que les achievements minefield sont buggés ? Parce que j'ai "cube sweet cube" et "castle crasher" de déverrouillé, alors que je n'ai aucun cuboïd.
  18. Et bien écoutez, merci pour votre aide ! Me voilà désormais paré pour commencer mon aventure ! P.S : quand j'étais vagabond, je n'ai jamais eu besoin de faire /money pour gagner mes 3 PA quotidiens. Ma foi...
  19. Bien le bonjour, habitants de minefield. Si j'écris la présente missive de mes mains malhabiles, c'est pour vous poser quelques questions concernant le fonctionnement de la vie sur le serveur. En effet, je suis un peu perdu quant à la manière de gagner des PA, construire une maison en dehors des villes, la cuboïder... Premièrement donc, je ne comprends pas comment gagner des PA. En effet, en tant que paysan, je ne peux ni créer des panneaux de vente, ni faire d'annonces sur le tchat. Quant aux offres d'emploi, il est précisé que les rémunérations sont en ressources, et non en PA. Ensuite, de quelle manière construire sa maison. Si j'ai compris que les maisons devaient être bâties à l'extérieur des territoires officiels, je ne suis pas sûr d'avoir saisi le cuboïdage. Je m'explique : est-ce qu'il est nécéssaire de faire cuboïder un terrain pour pouvoir y bâtir quelque chose ? Et si non, est-ce que, en cas de grief dans une maison non cuboïdée, je pourrais demander réparation en postant une plainte ? En clair, est-ce que le grief sur une maison non protégée est autorisée (nan parce que je n'ai pas vraiment envie de voir mes murs saccagés, mon tapis sali et mes coffres vidés par quelque maraud qui passerait par là ) ? Enfin, est-ce que, dans le cas où je pourrais construire sans besoin de cuboïdage, je peux faire par la suite cuboïder ma construction ? Non parce que je suis un peu à sec côté PA en ce moment. :-° En espérant ne pas avoir été trop obscur dans mes explications, et en souhaitant que vous puissiez éclairer ma lanterne sur ces quelques points. En attendant, je dois vous laisser, j'ai un cube sur le feu/qui sonne à la porte. dolfinsbizou.
  20. Il était une fois un mineur qui voulait prendre congé, pourtant, il aimait répandre son avis sur Jean-Kevin. Cependant, il n'accéderait jamais au bateau du Capitaine Haddock. Alors il décida ingénieusement de marcher sur Brigitte Bardot avec beaucoup d'enthousiasme, ce rêve-la fut vraiment normal, voyons. C'est ainsi que mourut Roger Rabbit qui était shooté aux prunes. Effectivement, le ciel rose-bonbon semblait monstrueusement dégueulasse puisque le mineur n'avait pas crafté le sceptre PolyPocket qui permettait l'ouverture délicate du passage vers les terres obscures du Nether qui sentaient la naphtaline. Pourtant, dans 8 Heures, certains creepers iront danser à la pleine lune du jugement hydraulique pour évincer un Zombie qui avait fondu. Néanmoins, le mineur dégaina sa pioche pour lui faire une patate parce qu'il souhaitait jouer à Mr patate et c'est là qu'arriva Pikachu en pyjama rose à paillettes.Et soudain trébucha sur une dalle en cobblestone . Il manqua d'adresse et il sentit une curieuse odeur émanant d'un trou profond et il se dirigea alors vers celui-ci pour le nettoyer. Quand Bob et Fanta mangeaient des tacos sur le croupion d'un marin aveugle, ils mangeaient aussi des tacos aux limites de la mer rouge , car ils cherchaient Moïse, on l'a fait remonter vivement par la puissance d'un mexicain mal dans sa peau écailleuse, il chercha un moyen de traire une poule avec des démonte-pneus chromés mais ça n'avait aucune importance. Le chemin dut rétrécir car le mexicain ne se souvenait plus comment manger une pomme a cause de l'arrêt du développement de son interphone pré-frontal relié au réseau neuronal. Qui de la source des libellules mortes, vint en creusant à l'aplomb d'un Creeper nommé "T-N-T" et mangea un loukoum. Puis, son nez irradié par les radiations incessantes émanées par la puissance discontinue du soleil, il fit mine de siffloter la mélodie entraînante de Bach, puis s'en alla au royaume des creepers. Dieu l'accueillit à bras fermés car il ne dansait pas correctement le mambo à Moscou. Cependant, un autre mineur qui était ivre mort, lui enseigna tout ce qu'un poivrot édenté sait sur Minefield. C'est avec rigueur qu'il enfonça un pieu gigantesque entre les deux creepers déchainés. Pourtant, le japonais photographierait son acte impie de honte sur la route de Pedobear l'intrépide chenapan du Nouveau-Mexique, il voulait à tout prix savoir comment un mouton marseillais réussissait à manger un cadavre sans couverts en plastique. Néanmoins le Nutella fondait délicatement sous le soleil, coulant entre les hamsters déchainés appartenant à la société de Découpeurs d'Autruches des îles flottantes embrumées par un cornichon dinde. Reprenons, le mineur était donc en état d'ébriété sur un bar à chutes, quand un ornithorynque fou cracha sur lui et le dindon énervé s'empara de son caleçon. Comment un tel exploit n'est pas sur toute les chaines en Paraguayen en Pennsylvanie sur Minefield où il devrait lever une courgette avec élégance, c'est ainsi que Bob se retrouva en mauvaise posture et s'exclama qu'il ne mangerait plus jamais de tapioca avec El Guapo en Alaska. Revenons à notre mineur sourd pour comprendre ce transfert incontinent de fluides vitaux qui éviteront sa coagulation, à condition bien sûr que Postal... Comment ?! On peut tout à refaire , bien qu'il fût paysan le gueux, jamais il n'arrivera à toucher l’élan bleu car il était saoul. Maintenant , il repeint le cochon avec des chaussettes en paprika raisonnable, emplit de bière. Il arriva furtivement devant le portail surmonté d'un broc de vrai bucheron agonisant. Des mouches volaient sans se soucier que le squelette mâchait un noob en chamalow gonflable fushia avec des paillettes multicolores. Il alla sur les chemins tortueux de Mislaid et y trouva un monstre tricheur et pas très sympathique nommé le Canard Cacahuète!!! Cependant, une otarie un peu abrutie nommé Itary Belami qui dansait sur une colline, tomba et roula en bas. L'otarie rebondit alors jusqu'à une étendue de planches moisie et rongée. Seulement, elle était pure et majestueusement belle de dindons farcis venant de Galianör. C'est ainsi qu'il démembra DokMixer et sauta dans une poubelle mal gonflée car il trouva que cela était chic et burlesque ainsi il commença à se faire tuer par un poulet asthmatique atteint d'un syndrome inconnu qu'était le fruit du démon Aelfyr le sanguinaire majestueux chef des Pirates de Torcuba. Magabon le psychédélique canard hémophile octogénaire apprit que la condition de vie des canards en boite était simplement bandante, surtout quand ils mangent des chips en construisant Nouvelle Azur. Mais un jour les ornithorynques lui firent un câlin maléfique, quand Mashmallow-man dit que la nouvelle maison du pêcheur borgne était laide et parti. Pourtant, Mlle Lennon fit des merveilles en tant que catcheuse professionnelle, gagnant le tournoi de Winbledon, cependant sa mère avait préparé bobby l'émulsif qui tua sa bouée en latex à cause des doigts de pied du Léviathan rouge à pois bleus. Cependant, il alla dans Navis pour chercher du pain orange empoisonné pour assassiner Pedo-bear. Heureusement, il but une citrouille qui le propulsa dans la lune. Notre bon mineur saoul brûla l’intérieur spongieux de Minefield mais il lui mangea aussi consubstantiellement son appendisse principal tout chaud. C'est ainsi qu'il tira de l'encre incandescente, brillant sous la lune comme une étoile, afin de pourrir son pot de chambre plein de miel séché. C'est alors qu'il dégusta une glace chaude gazeuse à bel-o-kube tout en prenant un objet impalpable et dégoulinant de rhum de Limace velue. Ça brulait encore imperceptiblement tout en mouillant de l'eau à des carottes fluorescentes transparentes. Que de souvenirs obscènement saints et biodégradable avait écaillaient son caleçon rose-vert troué par de gros mycophytes en furoncle ainsi que du pus violet faisant des taches heureusement radioactives et inflammables. Malheureusement,la fin était proche hypodèrmatologiquement car morue sa peau fut verte ronflante et pleine de boutons radioactifs, mais MartinMatin dit: Saperlipopette ! J'ai trouvé une Poptart anticonstitutionnellement aérospatiale qui fonçait vers moi menaçant Ned Flanders avec un démodulateur-pixelirisateur et le transforma en cube de bouse magique léchant le viaduc poilu chevauché par des crottes sur pattes qui mutaient en dragonnet en plastique comestible mais d'un goût douteux d'artère récurrente tibiale postérieur de Jean-Kévin qui mangeait des fibres alimentaires moisis. Soudain, caca noël envoya sa spécialité, la poutine italienne qu'il avait tué avec un lamasticot sauvage et méchant. Mais la caca noël n'en resta pas a la Grand-mère Fanfreluche. En effet, cette vieille peau détruisit la forgeciel dans un pet monstrueux qui fit fondre la structure métallique d'un kikoo désanchanté et malodorant qui pris l'huitre anticonstitutionnelle en plein dans le nez qui coula dans la javel rose du petit canard boiteux et plein de croûtes. C'est alors que Francis Lalanne saucisson mourut d'un cancer du diamant volé... Malheureusement il n'avait pas de bateau donc Saden prit une rousquille et pénétra le système solaire sensuellement mal, et hélas l'édredon maléfique débarqua ! Kleenex intervint pour
  21. J'ai entendu quelqu'un dire que Pokémon ne serait pas du tout adapté au RP minefield... Ça dépend ! Ce n'est pas parce que l'anime et les jeux Pkmn se passent dans un monde plus ou moins moderne que les créatures en elles mêmes doivent être modernes ! Bon après faut pas que minefield devienne uniquement axé pokémon.
  22. Premiers résultats, wtcraft : http://www.wtcraft.com/minefield-ajoute ... 10361.html Pour ceux que ça intéresse.
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