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  1. Salut à tous, Je fais ici ma candidature afin de devenir villageois. Sans plus blablater, la voici: Présentation IRL J'ai treize ans et toute mes dents à l'heure où j'écris ce post. J'habite dans le sud, et je suis actuellement en vacances (merci le bac). J'ai pour passions tout ce qui touche aux jeux-vidéos, à la T.V, mais aussi et surtout à la lecture, je lis des dizaines de bon gros bouquins par année (Eragon, Le Livre Des Etoiles, The Mortal Instrument, Harry Potter, BZRK, Percy Jacksons et j'en passe). Moi et Minecraft Minecraft et moi c'est une très longue histoire, j'ai d'abord joué sur des serveurs freebuild (dont un qui était un grand concurrent de Minefield à l'époque, qui a désormais fermé), puis j'ai commencé à faire du PvP/Fac pendant très longtemps. J'ai commencé minecraft en 2010, soit depuis 6 ans. En ce qui concerne Minefield, j'ai intégré le Fort Herobrine peu de temps après mon arrivée, et triomphé de plusieurs donjons tels que L'Ah Cros Branche, Le Nimps, le Manoir de Globos, La Pyramide de Khéopsis, des Douanes de Pied'Plat et enfin du terrible tombeau de Galianör. Lors de mon arrivée, Tonacs m'a accueilli dans Ilumia, et depuis je l'aide de temps en temps dans des travaux de la ville. - Ma présentation paysan (faite le 11 juin 2016) : https://www.minefield.fr/forum/topic/61256-pr%C3%A9sentation-yronusa2000/#entry493090 Mes motivations pour devenir Villageois: Si je veux devenir villageois, c'est parceque dès mon arrivée sur le serveur j'ai été happé par cette communauté soudée, sympa entre elle et avec qui on pouvait rigoler, bien s'entendre et s'amuser. Je veux devenir Villageois afin de m'investir d'avantage dans Minefield, mais aussi afin de pouvoir peut être devenir un jour tavernier , tout en passant par le métier de Pêcheur. J'aimerai devenir villageois pour prouver que Minefield n'est pas qu'un petit serveur sur lequel je passe le temps, je voudrais évoluer vers le métier de pêcheur, car même si pêcher peut paraître ennuyant il en est tout autre. RolePlay : [hrP] Le personnage, ici "l'ancien Yronusa200", vient de s'enfuir d'une prison de haute sécurité (du moins pour cette époque), pris au piège par son ennemi, est donc affaibli et est à la recherche de n'importe quelle contrée où survivre. Pour replacer dans le contexte -> https://www.minefield.fr/forum/topic/61267-le-r%C3%A9cit-dune-guerre-perdue/) [/hrP] Courir. Encore, et toujours courir. Sautant à travers les lianes de la jungle, zigzaguant entre les cactus des déserts, affrontant le froid de la toundra ainsi que l'humidité des plages. J'avais fuis, certes, mais je n'étais pas tiré d'affaire. La plupart de mon régiment avait été décimé par ces fourbes, ces Skjelm. Je n'avais plus d'autre choix que de continuer à avancer, à affronter la nature. Voilà trois journées et trois nuits que je cours, encore et encore. Enfin, j'arrivais aux bordures du continent. Mais ce continent était spécial, il semblait être dépourvu des règles que l'on pouvait observer dans mes contrées natives. Les arbres perdaient leur feuilles ou brûlaient sous l'action de l'eau, normalement bienfaisante. Je décidais de m'abriter dans une caverne. Je ne mangeais que très peu, maigrissant plus vite que jamais. Je me nourrissais essentiellement d'herbes fraîches, de racines, de baies mais aussi et heureusement d'animaux de toutes sortes - poulets, moutons, vaches, et même poulpes . Je ne tiendrais plus longtemps. Je ne sais pas cultiver la terre. Je suis un guerrier, je sais survivre dans la nature mais je n'ai jamais reçu l'enseignement des fermiers. Heureusement, j'avais appris à pêcher, à l'aide de ma tendre mère, partie à cause d'une des nombreuses maladies transmises par les rats. Des jours et des jours, j'expérimentais des cuissons sur des poissons. C'est ainsi que je tombai sur d'étranges poissons, tel un poisson rayé orange-blanc, ou une espèce spéciale de saumon. Des jours durant, je me nourrissais donc de poissons exotiques, délicieux et nourrissants lorsque cuits. Dans cet étrange contrée, il semblait que certaines espèces apparaissaient ou disparaissaient. Ainsi, un beau jour de pluie, je tombais sur une espèce inconnue, un poisson jaune pourvu d'épines... Je l’abatis avec un gourdin, car ce poisson avait l'étrange faculté de se gonfler et de pouvoir me piquer. Ah, quelle grossière erreur, J'étais tombé sur le premier et seul poisson empoisonné, mais je ne l'avais point reconnu à cette époque là. Piqué par ses épines venimeuses et malade comme un chien parceque j'avais fait l'erreur stupide que manger ce spécimen, je m'évanouis aux abords de la rapide cabane de pêcheur que je m'étais confectionné. Lorsque je me réveillai , j'étais allongé sur un lit bleu, avec à côté de moi un pêcheur, vieux comme le monde. Il semblait à la fois sourd et aveugle... Instinct de survie: Quand on connaît pas, on s'écarte. C'est ainsi donc ce que je fis. Sortant de la chambre puis par extension de sa maison, je découvris une contrée magnifique, peuplée de gens charmants, mais aussi d'arnaqueurs proposant de nombreuses quêtes et aventures avec pour seule récompense des chapeaux... J'étais arrivé dans vos contrées, j'étais arrivé sur Minefield. Jusque là, j'ai hésité à publier ma réelle arrivée. Il est assez ridicule d'avoir failli mourir à cause d'un simple poisson et d'avoir été sauvé par un vieillard ayant parcouru le monde pour me ramener chez lui. Mais la voici, la réelle histoire, la réelle manière dont je suis arrivé sur vos Terres. Merci d'avoir lu ma candidature, en espérant devenir villageois, Yronusa2000
  2. Salut à tous ! J'ai commencé minefield avant hier et je suis un peu perdu au niveaux des règles métiers/commerçants. Alors voici: -J'aimerai devenir tavernier pour créer une auberge et y vendre de la bières au joueurs. Puis-je vendre de la bières dans mon échoppe sans être commerçant? -A partir de combien de temps (d'ancienneté) peut-on devenir citoyen et/ou commerçant? -Ai-je le droit de demander à un fermier de faire une culture de houblon dans mon sous sol (avec l'accord du propriétaire du cubo) et de raser les deux derniers blocs afin d'avoir une culture d'houblon autonome, sans avoir besoin de paysans? -Quels effets apportent la bière? Voilà, merci d'avoir lu et merci pour ceux qui vont répondre à mes questions!
  3. Le sang. Les morts. Toutes ces batailles, ces combats que j'avais mené. Pour en arriver là. Enfermé dans une prison de pavés ronds, que je ne pouvais même pas casser. Nous avions perdu. J'avais perdu. J'avais mené mon armée à la mort. C'est dur d'imaginer cela. Notre armée était la plus puissante du royaume. Une marine de centaines de voiliers, tous plus équipés les uns que les autres... Des dizaines de milliers de fantassins, entraînés chaque jour, à chaque heure. Tout. Perdu. Mon combat s'arrêterait là. Je serais pendu demain, moi, Yronusa. J'avais été trahis. Replaçons les dernières pages de mon histoire, si fournie, dans le contexte... "Tout se déroule dans des contrées cubiques éloignées de ce monde là. A l'époque, il était monnaie courante de faire guerre entre plusieurs clans entiers, où les morts ne se comptaient plus tellement ils étaient nombreux. Le but: La richesse, l'agrandissement de son territoire ainsi que devenir le plus puissant. Je dirigeais le bataillon n°13, le dernier mais plus puissant de notre armée. Nous avions pour projet d'envahir un concurrent qui commençait à faire parler de lui. Que nenni. Depuis le début, ils se tenaient dans l'ombre, cachés mais étant pourtant tout puissants. Ils nous ont cueillis comme des fleurs, à l'aide de pièges élaborés, nous emprisonnant ou nous tuant. Je pourrais dire que je suis le seul rescapé, mais ce ne serait pas vérité. Nous attendions tous, seuls dans des cellules minuscules aux dalles pourries notre exécution. Bien entendu, les généraux principaux étaient pendus en premier, pour limiter les rebellions dans les prisons ainsi que les plans destinés à nous faire échapper.." Non. Je ne me laisserai pas tuer. Ils n'auront pas l'honneur d'assister à ma pendaison! Je décidai donc de me suicider. Mais sans armes, avec une épaisse couche de poussière et de pourriture recouvrant les murs, sols, je n'avais aucun moyen de mourir. Et nous n'étions pas nourris, à quoi bon... Jour II / Ca y est, c'est à moi d'y passer. Ils ont éliminé les quatre stratèges et ingénieurs, les plus intelligent, ceux qui valent le plus, et c'est à moi de mourir. Fini la gloire. Fini les guerres. J'y passerai... Tout homme glorieux doit mourir un jour. VM, comme qui dirait. Non. NON! Ca ne sera pas mon jour! Je ne mourrais pas comme un rat, un PORC dans une cellule, ou pendu! Je suis un guerrier. Je suis parti de rien, d'une épée en bois, et je suis venu à la tête du plus puissant - jusque là - empire de mes régions. Je combattrai. Lorsque les gardes vinrent me chercher, un geôlier vêtu d'une tunique grise cendre ouvra la porte. Plus rapide que l'éclair, je glissa entre ces jambes robustes et j'abattis le plat de ma main contre son cou, avant de lui donner un énorme coup de pied à l'arrière du genou, le faisant s'effondrer. Les trois gardes, qui étaient là, et étaient expérimentés, n'hésitèrent pas: Ils se jetèrent sur moi, lance à la main. Grossière erreur. Règle numéro une: Ne jamais se jeter sur un homme plus grand et lourd que soit si l'on a une arme faite pour tuer à distance - telle une lance -. Il fut facile pour moi de reculer dans ma prison, qui fut plus un ange gardien ce jour là, atterrissant sur une des innombrables moisissures, qui amortissèrent ma chute. Me relevant le plus vite possible , je saisi la première lance, qu'un des gardes avait lâché en s'effondrant par terre, et tua un a un les gardes, en transperçant la colonne vertébrale ainsi que le coeur grâce à un angle bien précis. Je n'avais pas beaucoup de temps; déjà d'autres gardes commençaient à rappliquer à cause du bruit. Mourir et libérer mon armée, ou fuir? Pourquoi pas les deux? J'ouvrai une à une le plus rapidement possible les prisons, qu'elles contiennent ou pas des alliés. Le but: faire le plus d'émeutes possible, afin de m'évader en toute sécurité. Néanmoins, le fait est qu'ils avaient eu la possibilité de bâtir et rebâtir ce bâtiment des dizaines de fois, car ils en avaient eu le temps. Ils avaient glissé des pièges de partout. Les portes se condamnèrent à cause de fuites de lave, ainsi que de tonnes de graviers tombant. Je n'avais plus d'autre choix. La prison étant à l'air libre, la cour de pendaison était faite dans un mélange de terre, sable et de roches. Je m'enfouis tête la première deux pieds sous terre, comme ceux qui me fuyaient auparavant. Quelle ironie. J'attendis ainsi pendant très, très longtemps. Que faire? Je ne mesurais plus le temps. Je n'avais pas de montre ni même de boussole. Je pouvais rester ici longtemps, même sans manger et boire, j'avais connu pire (Courir dans la jungle pendant plusieurs jours, sous le soleil ardent et sans eau ni nourriture). Au bout de ce que j'estimais cinq jours, je ressortis à l'air libre, prudemment. Aucune âme qui vive à perte de vue. Ainsi donc, ils étaient tous morts. Si les 13è bataillon était décimé, alors nous étions forcément tous perdus. Nous sommes venus à cinq bataillons, si on espère qu'il reste un huitième de survivants, ça fait 0,6 bataillon seulement. En clair, il restait de mon armée seulement 8,6 bataillons, en étant optimiste. Aucun doute, nous avons perdu. Ils sont tous morts. A cause de mon ordre envoyé. Je décidai donc de m'en aller, récoltant des herbes par-ci, par là, et mangeant les animaux, crus, que je trouvais sur ma route. C'est ainsi que je tombais sur votre contrée. Sur la contrée Minefieldienne, aux odeurs des tavernes, aux indicons rackettant les nouveaux, aux ingénieurs créant des systèmes plus complexes les uns des autres. J'avais un nouveau but. Après tant d'années de service dans l'armée, je repartirais à zéro, ici, en construisant, sans tuer.
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