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Luna Equites, chevaliers de luna.


Khiel
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Oyez, Oyez peuple Minefieldien, je me permets de crier haut et fort la formation d'une confrérie de justice et d'honneur, de combats et de gloires, de quêtes et d'aventures.

 

Cet ordre est nommé Luna Equites en l'honneur de la lune qui darde ses rayons sur ceux qui aiment la nuit et ses mystères.

 

Voici la charte qui régit notre Ordre, il existe Sept règles car cela est notre chiffre sacré.

 

Règle numéro un : Respectez ses frères d'armes et les traiter comme des égaux.

 

Règle numéro deux : Respectez les lois et la justice de ce monde, la faute d'un seul chevalier est la faute de tout l'ordre et les ressources communes seront mises a disposition pour réparer les erreurs, nous assumons tous les fautes de nos compagnons.

 

Règle numéro trois :Un chevalier de l'Ordre doit chercher a augmenter la bonne réputation de l'Ordre et sa droiture en aidant les faibles et en apportant assistance a qui est dans le besoin.

 

Règle numéro quatre :L'Ordre doit passer en premier devant toutes les autres obligations annexes du Chevalier. (Appartenance a une communauté ou a une croyance minefieldienne.)

 

Règle numéro cinq :Tout les sept du mois, les Chevaliers devront prendre quelques minutes afin d'écrire un rapport de leurs accomplissements de la semaine, de leurs quêtes et éventuellement d'un Ordre du jour qu'ils aimeraient exposer a leurs confrères pour en débattre.

 

Règle numéro six :Le partage du butin et des salaires se fera de manière parfaitement équitable entre les chevaliers qui ont participé a la quête. En cas d'inégalité, la différence sera reversée au tronc commun de l'Ordre. Nous devons tous partager les ressources au nom de l'Ordre.

Dans le même ordre d'idée, il ne faudra sous aucun prétexte qu'un Chevalier révèle l'emplacement de la cachette de l'Ordre et ne parle des mission secrètes de l'Ordre. Les actes des Chevaliers restent entre les membres de l'Ordre.

 

Règle numéro sept :L'une des règles les plus importantes si ce n'est LA plus importante :

Le Chevalier devra prendre plaisir a faire partie de ce groupe et a incarner la vertu de Minefield, il devra s' A M U S E R.

 

Pour l'instant il existe trois Chevaliers Fondateurs :

 

-Glafortu Chevalier Falcata.

-ArcadeLord Chevalier Nascens.

-Tenshinryu Chevalier Nova. -Porte parole de l'Ordre-

 

Les Nouveaux Chevaliers :

 

-Ethan_Acera Chevalier Crescens.

-Armonica007 Chevalier Novilunium.

 

L'Ordre bien sur rendra des services et remplira n'importe quelles missions, des missions d'aide, de protection, de combat, d'escorte, de récolte, de livraison, voire même des missions secrètes... et tout ce que vous êtes prêt a demander pourvu que vous ayez de quoi payer. Les tarifs diffèrent selon la tâche demandée et vous sera annoncée avant que toute action ne soit entreprise dans ce sens.

 

L'Ordre Comptera au final sept membres, qui seront élus selon plusieurs critères :

-Il faudra avoir 18 ans ou plus.

-Une orthographe correcte est exigée ! Nous ne demandons pas la perfection mais vous perdrez des points si vous faites des fautes sachez le !

-Être au minimum paysan. (Un vagabond pourra tenter sa chance par Mp si il est capable de respecter TOUT les autres critères.)

-Prêter serment a la charte.

-Test Roleplay sur le thème d'une quête accomplie par votre (futur) chevalier. 15 Lignes PLEINES minimum.

-Test In Game. Différent pour chaque Chevalier.

 

Vous avez compris au jour d'aujourd'hui il reste quatre courageux Chevaliers a désigner, venez a nous ceux d'entre vous qui se sentent assez vertueux et assez forts pour quérir la gloire et la richesse a nos côtés !

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Cet ordre m'intéresse au plus haut point, cependant je n'ai pas 18 ans. Me serait-il possible de me joindre à vous, malgré mon jeune âge ? Mon bras est fort et mes idées claires. Appartenir à cet ordre me procurerait honneur et intégration à la communauté Minefieldienne, car je ne suis pour l'instant qu'un paysan comme les autres...

 

En attente d'une réponse, qu'elle soit favorable ou non, je vous salue.

 

Ethan_Acera

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Jeune Ethan, je t'invites a me poster ton récit Rp par Message privé, afin que je puisse juger de la valeur de tes actes, cependant ton phrasé me plaît beaucoup, tu sembles être droit dans tes bottes, je te jugerai durement mais avec équité.

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http://www.minefield.fr/forum/viewtopic.php?f=29&t=1878 , pour la première partie.

 

 

Après acceptation par les services de la capitale de circuler librement sur le territoire minefieldien,je partit visiter les différentes villes et fut ébloui par la beauté et l'harmonie de toute ces construction.

 

Plein d'idée en tête je part en quête d'un bel endroit ou m'établir , arriver a destination je commençe mon installation par une serre, mais après le premier jour de travail une instance me dit que je ne suis pas au bon endroit et m'emmène a un endroit plus convenable.

 

Sur place je me rend compte que j'avais avant tout l'envie de connaitre et aider dans la mesure de mes possibilités la population de minefield, au meme moment j'apprend l'existence de l'Ordre Luna Equites, ca ne peut être qu'un signe du destin et plein de fougue je part en quête de métaux précieux , de combat épique et de sauvetage de femme en détresse afin de retourner voir l'Ordre et postuler pour avoir une place en leur sein.

 

Je me rend donc a cette fin dans les contrées les plus profonde de minefield dans lesquelles seul quelque cabane inhabité rompt la monotonie du territoire, puis après des jours de marche épuisante et monotone, je vois une forme au loin au milieu d'un grand champ de blé accolé a une petite ferme avec quelque cochon et vache, une petite ferme mais très bien entretenue et très étrange au milieu de ce paysage sans vie, avec juste a coté une petite maison de laquelle un parfum de pain cuit et de côtelette s'échapper.

 

Je m'approche et, la forme devient de plus en plus distincte et je suis extrêmement surpris de découvrir que cette forme est une vieille femme toute petite et toute courbée a cause de toute ces années apparemment passé a travailler dans cette ferme

 

M'ayant vue approcher la vieille femme me salut :

 

Ces pas trop tôt, tu fait peine a voir va te laver le visage et installe toi ca va être prêt.

 

Je reste sans voix, avant même d'avoir pue lui dire ne serait ce que bonjour me voila déjà attabler chez cette vieille femme a attendre un bon repas.

 

Aussitôt assis aussitôt servie, affamé par ces jours de marche et de disette culinaire je me jette littéralement sur la nourriture sans plus d'égard pour mon hôte comme un malotru, et fini mon repas aussi sec.

 

Mange pas aussi vite tu va être malade et on va pas te le voler, combien de fois je devrait te le dire!!!

 

Je suis désoler madame de m'être comporte ainsi, la faim m'a fait mal me conduire je vous demande pardon.

 

La vieille me regarde avec de grand yeux.

 

Qu'est ce que tu raconte encore Julius, ta prit un coup sur la tête dans la mine ou quoi

 

Je suis désoler madame mais je ne sais pas qui est ce Julius

 

Arrête de faire tourner ta grand-mère en bourrique Julius.

*murmure:si t'es parents te voyaient.

 

Et a ce moment la je comprend que cette vieille dame doit surement avoir perdue l'esprit et qu'elle me prend pour son petit-fils surement retenue a la mine pour le déjeuner.

 

J'avais eu bien de la chance quand même et même si mon geste n'avez fait de mal a personne je prit congé rapidement afin de ne pas abuser de cette vielle femme.

 

A ce soir, je te ferai de la soupe alors soit pas en retard cette fois!!!

 

Promis grand-mère.

 

Après tout, jouer le jeu pourra faire de mal a personne.

 

Je continue donc ma route toujours en quêtes de trésors éblouissant, quand peu après je passe près de la fameuse mine de Julius.

 

Allons voir cette mine!!!

 

Une fois sur place je ne trouve rien, a part un panneau indiquant que la mine avait été ferme depuis déjà plusieurs années suite a la mort d'un mineur se prénommant (je vous le donne en mille) Julius!!!

 

Et moi tout fier d'avoir "jouer le jeu" je me sent plus bas que tout, avoir profiter d'une vieille femme ayant perdue l'esprit et croyant revoir son petit-fils décède était tout simplement impardonnable.

 

Je ne peut plus continuer...comment aller chercher le prestige a présent...

 

 

Je rebrousse chemin!!! tant pis pour le prestige!!!

 

 

Je vais attendre la tombé de la nuit et retourner chez la vieille.

 

*a la nuit tombé*

 

Bonsoir grand-mère

 

Ah c'est bien tu est a l'heure ce soir, allez va prendre une douche on mangera après.

 

*pendant le repas*

 

J'ai prit quelque jours a la mine grand-mère je vais restez avec toi et t'aider un peu a la ferme.

 

Tu peut pas, tu va perdre ton travail et tu en a besoin!

 

Ne t'inquiète pas grand-mère, j'avais bien travaillé il m'ont donné du repos.

 

Bon j'espère, alors va au lit demain on se lève tôt pour récolter!!

 

*sourit intérieurement*

Oui grand-mère, bonne nuit.

 

 

Les jours passent, on parle très peu, mais qu'y a t-il a dire...elle a son petit-fils et moi je me rachète, et on passe notre temps a travailler du lever du soleil au coucher, courbé toute la journée a faire un travail épuisant, elle a bien du courage cette vielle femme !

 

Ce matin je suis le premier lever, étrange elle toujours si matinal, je part travailler et elle arrivera bien.

 

*heure du déjeuner*

Je le prend seul...

 

*heure du souper*

Je le prend seul...

 

Ce matin je suis sortie travailler au lever du soleil, comme toujours

Ce matin j'ai prit ma pelle, comme toujours

Ce matin je suis partie creuser comme toujours

Ce matin par contre le trou et plus grand...

Ce matin le trou n'est pas entouré de blé mais de fleurs...

 

Je monte la voir, elle est la allonger, elle a l'air heureuse c'est très étrange.

Je l'habile de "sa plus belle robe" qui n'est qu'une robe de travail mais propre.

Je la dépose dans ce trou que je rebouche.

Je dispose des fleurs dessus et laisse une pancarte.

 

Environ 3 semaines sont passé depuis mon départ pour vivre de grande aventures, seul 4 seront adoubé, je n'est plus le temps de partir en quête, il ne me reste donc plus qu'a me diriger vers la capitale en espérant trouver quelque chose en route.

 

Encore 1 journée de marche et je serait a la capitale, je n'est rien trouver en route, je n'est pas repenser a la vieille, mais ce soir je m'approche de la civilisation, et je me rend compte que cette vieille me manque dans sa petite ferme perdue loin, très loin , cette pauvre vieille pour qui je l'espère c'est derniers jours en compagnie de son "petit-fils" perdue ont été un peu plus gaie.

 

*les yeux embuées"

 

Finalement je vais quand même tenter ma chance, certes je n'est pas trouver de trésor, je n'est sauver personne, et je n'ai rien fait pour aucune contrée, mais je vais quand même y aller et bomber le torse pour cette vieille, pour qu'elle existe en comptant son histoire, que le monde sache que perdue loin de tout une petite vieille faisant un travail harassant, qu'elle était seule et qu'elle ne se plaignez jamais, et que je pouvait être fier de l'avoir aider au maximum de mes capacités sur le moment.

 

Voila finalement j'y suis devant les Fondateurs.

*j'avance devant eux, je pose un genou a terre*

 

Moi Kauete chevalier Zyx je me présente devant vous afin de rejoindre l'Ordre de Luna Equites, auquel je prête allégeance, que je placerai au dessus de tout autre titre que je pourrai acquérir et que j'honorerai et défendrai au prix de ma vie.

 

*Je me relève, et leur conte mon histoire*

 

Voila donc pourquoi je me présente a vous aujourd'hui, au nom de cette vieille je me doit d'aider et protéger les gens du mieux que je pourrai quelle qu'il soit.

 

[rp/off]

 

 

Voila désoler pour le pave :oops: , en plus c'est surement pourrie :P mais petit kif ^^

Désoler aussi des éventuels fautes j'ai fait gaffe mais j'ai du mal.

Edit: j'ai corrigé quelque fautes mais n'hésitai pas a me dire si il en reste ca me permet de les voir ^^

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Voici mon évaluation de ta candidature, cela n'engage que moi et pas mes cofondateurs dont la voix compte tout autant que la mienne.

 

Pour ce qui est de ton histoire, j'apprécie le fait que tu aie choisi un rp qui se focalise sur une petite chose plutôt que sur "j'ai tué 4000 dragons ololol". L'histoire en elle même est assez bien écrite et j'aime comment elle se focalise sur les sentiments et les pensées du personnage, avec un rythme rapide pour les passages qui se veulent moins prenant dans le récit et un autre plus lent dans les moments de drame.

 

Pour l'orthographe, on voit que ce n'est pas quelque chose avec lequel tu as des facilités, mais j'apprécie les efforts qui sont visibles.

 

Pour une note finale de 7/10

 

Concrètement :

 

Le Chevalier Nova écouta attentivement l'histoire du jeune aspirant, et le toisa de bas en haut afin de le jauger, il prit le temps de la réflexion et se leva pour prendre la parole.

 

"-Jeune homme, je reçois ta demande de manière positive, j'accepte que tu rejoignes nos rangs. Maintenant, il est nécessaire que mes deux compagnons s'expriment a ton sujet et donnent leurs propres avis quand a ta candidature au sein de l'Ordre. Une fois que cela sera fait, ou bien tu t'en retourneras sur tes pas, ou bien nous procéderons a la cérémonie de ton ascension. Sur ce, je laisse la parole a mes frères."

 

Edit 19 heures : 2/3 Réponses positives.

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J'ai quelque peu sourit en voyant votre ordre de chevalier, j'en avait en effet parlait avec Gla ... chevalier Falcata ( j'ai un peu de mal avec les titres ), et l'idée m'avait pour le moins séduite ( ben oui sinon je serais pas la avec ma plume à rédiger quelque chose sachant que j'ai une sainte horreur des rédactions ). Je vais également mettre en avant ma profession qui vous permettra d'acquérir un gérant pour les ressources de l'ordre. C'est donc dans le but d'intégrer votre noble groupe que je vais vous conter la potentiel peut-être aventure de notre sûrement pas chevalier pour le moment ( ça veut rien dire mais c'est pour la bonne cause ).

 

Dans la capital du pays, Stendel, s'était établit depuis peu un jeune commerçant prometteur âgé de 16 ans ( vous l'avez comprit, c'est mon âge IRL ). Étant régulièrement débordé pendant les périodes d'ouverture de l'échoppe et par sa fonction de chevalier en parallèle ( si j'ai bien comprit il devait être chevalier, et ben voilà il l'est), il décida de prendre congé de cette population bruyante pendant une période relativement longue, lui permettant ainsi de visiter les terres environnantes et peut- être trouver de nouvelles marchandises  ( vous croyez quoi ? Ce n'est pas dans un but totalement désintéressé que je me balade dehors ). Il passa ainsi lors du début de son long périple près du Hameau doré actuellement en construction au quel il avait déjà donné des ressources et protégé les environs lorsque les monstres devenaient nombreux. Il traversa par la suite Nouvelle Azure qu'il n'avait jamais visité et s'enfonça dans les terres inexplorées ( ça s'annonce bien niveau originalité et oui je suis doué pour l'autodérision ).

 

Après plusieurs jours passés à tuer des poulets à coup de hache, il ne découvrit rien d'autre que des grottes déjà exploitées par des concurrents ( j'avais dit qu'elles étaient inexplorées ? c'était juste pour augmenter le coté chevaleresque de l'aventure, les bardes et scribes sont doués pour rajouter des péripéties ).

Il découvrit, lors d'un détour dans une vallée, les ruines récentes d'une maison dont les façades étaient parsemées de trous caractéristiques aux explosions de ces créatures suicidaires.

Prit d'un certain malaise concernant son espérance de vie, sachant parfaitement que dans ce genre d'attaque, il reste toujours quelques dizaines de creepers dans les environs, il fouilla l'intérieur de la maison en espérant trouver des survivants et surtout une cachette pour y passer la nuit maintenant qu'il savait que les environs n'étaient pas sûr.

Il découvrit au bout d'un moment une plaque en roches pouvant être déplacé à l'aide d'un levier. Et quel fut sa surprise quand il découvrit, en plus d'une cave aménagé pour y survivre plusieurs semaines, un enfant ayant a peine 9 ans.

Il le rejoignit et tenta d'entamer une discutions pour savoir comment le drame, s'était déroulé.

Les seuls réponses qu'il reçut pendant la demi heure de monologue furent des hochements de tête. Aucun moyen de savoir ce qui s'était précisément déroulé ni depuis combien de temps il était là.

Il décida d'observer la cave pour savoir si elle pouvait tenir encore quelques temps, c'est avec horreur qu'il se rendit compte que plus qu'une des 5 poutres tenait le plafond et que la survie de cet enfant n'était du qu'à la chance pure et simple. Il n'y avait aucune solution a son problème, soit il sortait et aurait à affronter les creepers tout en protégeant un individu incapable de se défendre car il était en état de choque, soit il restait dans cette cave en priant le dieu Notch pour quelle ne s'effondre pas.

Il opta pour la 1er solution, il préférais mourir une arme à la main plutôt que planqué dans un espace réduit en attendant la fin. C'est ainsi qu'il prit le garçon sur son épaule gauche et dégaina son épée de diamant qui n'avait encore jamais servit venant juste d'être forgé.

Il espérait ne pas à avoir à s'en servir et gagner  pendant le peu de temps qu'il restait avant la nuit, la place forte la plus proche.

Courant à travers les bosquets, qu'il avait traversé seul le matin même pensant qu'aucun monstre ne viendrait gâcher ses recherches, il observait périodiquement l'emplacement du soleil dans le ciel voyant peu à peu ses chances de regagner un endroit sécurisé diminuer. Il se dit qu'il aurait du se rendre compte, avant de partir, que la zone était infesté de monstres, mais d'un autre coté il n'aurait pu trouver cet enfant, qu'il essayera par tous les moyens de sauver.

N'ayant plus aucun intérêt a continuer la route, le soleil étant presque couché. Il se dirigea vers une colline, cacha le garçon dans le creux cubique d'un arbre et éclaira a l'aide de torches l'intégralité de la colline espérant que cela aller éloigner les monstres de la nuit. S'ensuivit ensuite de longues heures d'attente, à tel point qu'il cru qu'il s'était suffisamment éloigné des zones dangereuses. Mais des monstres arrivèrent finalement peu avant le levé du jour, et s'ensuivit un combat mémorable ou notre jeune marchand/chevalier battit son précédent recors de monstres tués.

Lorsque la nuit laissa sa place à la journée, le jeune homme pût accompagner le garçon trouvé à l'orphelinat. Puis le chevalier, à nouveau seul, retourna au quartier général de l'ordre pour y rédiger ce qui venait de se passer.

 

Voilà ce sera tout pour les fabuleuses aventures de Vodairo. Je jure par ailleurs de respecter les lois de l'ordre Luna Equites en plus de celles de Stendel. Et j'espère que mon âge ne sera pas une barrière pour mon entré parmi vous.

 

Merci de m'avoir lu.

 

Cordialement,

Commerçant Vodairo.

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Je me permets d'ajouter la courte histoire RP que j'ai rédigée et envoyée en MP à Khiel (Nova), simplement pour vous la partager et que vous la critiquiez :)

 

[Tout d'abord un petit passage afin de réaliser rapidement l'articulation entre mon arrivée sur le serveur et ma candidature à l'entrée dans l'ordre.]

 

Après s'être présenté à la mairie de Stendel, l'on donna l'autorisation à Ethan, après un rapide test à propos de ses aptitudes à vivre en société, de vaquer librement dans le royaume. Ethan vit ainsi pendant quelques semaines, dormant dans les bois, sous des abris de fortune, prêtant main forte à des fermiers au moment des récoltes contre le gîte et le couvert, ou bien encore aidant les bûcherons afin de défricher certaines parties encore inexploitées du royaume ; ses bras puissants d'ancien mineur lui étaient d'ailleurs d'un grand secours dans ces tâches rudes et fatiguantes.

 

Mais cette place dans la société ne plaisait pas à Ethan. A mi-chemin entre le manant et le paysan, il ne souhaitait pas vivre toute sa vie d'un aussi rude travail pour un si maigre revenu. C'est alors que la Providence lui fit croiser le chemin d'un Chevalier qui recrutait des hommes pour son ordre. Il saisit sa chance sur le champ ; et ce serait peut-être la seule de sa vie. Refourguant la lourde botte de paille qu'il transportait à l'un de ses compagnons de travail, il se dirigea d'un pas leste vers l'homme.

 

"-Mes hommages, messire. J'ai ouï dire que vous cherchiez des bras vaillants pour servir le royaume. Je suis votre homme. Je n'ai que vingt ans, mais j'ai la force de deux hommes et je suis travailleur. Si je peux me permettre, aucun autre homme que moi dans les environs ne porterait mieux les couleurs de votre ordre."

Il attendit la réponse de son interlocuteur, le coeur battant, mais le regard franc et droit.

 

[Voici ma quête fictive qui, comme Nova me la fait remarquer, n'est pas d'une folle originalité, mais il est vrai que je n'ai pas trop voulu prendre de risques :D Au passage, félicitations à zyx pour son histoire beaucoup plus inventive que la mienne !]

 

Ethan avait reçu son ordre de mission au début de la journée, alors qu'il passait à Stendel. Sur le papier assez grossier, une fine écriture penchée lui indiquait ses ordres. Il devait simplement escorter un groupe de colons vers une vallée charmante où ils s'installeraient. Un groupe de cinq mercenaires accompagnerait également les voyageurs, afin de protéger le convoi des pillards et destructeurs parsemant les routes les plus excentrées. Les colons avaient insisté pour qu'Ethan dirige les mercenaires. C'étaient de solides gaillards, armés jusqu'aux dents de camelote, assez patibulaires. Ethan n'appréciait pas vraiment ces hommes, peu fiables et honnêtes. Mais leur aide serait appréciable : il ne se voyait pas défendre seul la quinzaine de fermiers non armés d'une embuscade de griefers. Son armure en fer, lourde mais résistante, ainsi que son épée forgée par un artisan de talent, feraient réfléchir les éventuels brigands. C'est sur ces réflexions que le petit groupe s'ébranla, sur la route menant à Nouvelle-Azur. Les ânes et les vaches marchaient lentement, ce qui ne plaisait pas vraiment à Ethan : ils n'arriveraient jamais à Azur avant la nuit ! Les voyageurs s'arrêtèrent pour restaurer les bêtes à l'auberge des cinq étoiles. Ethan en profita pour s'informer de la situation de la région auprès du tenancier.

 

"- Les brigands sont-ils nombreux, par ici ? J'ai entendu des voyageurs parler d'une recrudescence des attaques.

- Pas vraiment par ici, non. La proximité avec Nouvelle-Azur et les tours de garde dissuadent les malandrins. Mais si vous vous dirigez vers les montagnes derrière Azur, alors soyez vraiment vigilants."

 

C'était précisément la destination du convoi.

 

La fin du voyage vers Azur se passa sans mal, et la nuit venait juste de tomber quand les colons passèrent la porte de l'enceinte de la ville portuaire. Alors, Ethan put souffler pendant quelques heures ; les nombreux gardes de la ville assuraient leur sécurité. A peine l'aube était-elle levée que le Chevalier réveillait les voyageurs : ils devaient se dépêcher ! Le groupe partit à nouveau et emprunta un étroit chemin de montagne. Ethan était absolument vigilant, au contraire des mercenaires : ceux-ci avaient l'air suspects. Ils ne semblaient pas du tout s'inquiéter des éventuelles embuscades, très faciles à organiser dans ces défilés rocheux. Néanmoins, cette seconde journée de voyage se passa sans mal. Les voyageurs s'arrêtèrent le soir à l'orée d'un petit bois, juste à côté d'un ruisseau où se désaltéraient les bêtes. Des tours de gardes avaient été organisés avec les mercenaires : chacun veillerait pendant deux heures. Ethan se coucha, avec l'intention de ne pas fermer l'oeil de la nuit. Et il avait raison.

 

Au milieu de la nuit, l'un des mercenaires quitta son tour de garde sans un bruit. Au moins aussi silencieusement, Ethan le suivit avec la discrétion du renard. Le mercenaire connaissait visiblement son chemin ; il avançait dans la forêt sans hésiter. il sortit dans une petite clairière, où une torche éclairait un bandit. Le traître ! Ethan resta dans l'ombre des arbres, écoutant la conversation qui débutait entre les deux hommes.

 

"- Les voyageurs sont à l'endroit prévu. Il faut attaquer cette nuit.

- Sont-ils armés ?

- Non, mais un Chevalier nous accompagne. Il est peut-être dangereux.

- Voyons, nous sommes cinq plus tes compères. Nous nous en déferons sans mal.

- Tu as raison. A tout à l'heure."

 

Ethan devait agir vite et bien. Les deux complices s'éloignèrent, le mercenaire revenant en direction du campement. Alors qu'il passait entre deux arbres. Ethan jaillit et lui planta sa dague dans la gorge. L'homme mourut sur le champ. Le Chevalier partit ensuite sur les traces du malandrin, toujours aussi discrètement. Il n'eut pas de mal à le retrouver : sa torche se voyait de loin. Il décida de ne pas le tuer de suite. Mieux valait ne pas éveiller les soupçons de ses compagnons. Alors, Ethan se plaça en hauteur, pouvant ainsi observer le chemin qu'emprunteraient les brigands pour attaquer le campement. Une petite heure après, il discerna un mouvement dans les feuillages. Ils arrivaient ! Sortant son épée, il suivit discrètement les brigands. Quand le terrain, lui fut favorable, il sortit de sa cachette.

 

"- Vous ne tuerez point ces braves gens, malandrins. Il faudra me passer sur le corps !"

 

Les cinq brigands se ruèrent sur lui en poussant de grands cris. Mais l'environnement était à l'avantage d'Ethan : la dense forêt empêchait les voleurs de s'attaquer à plus de deux au Chevalier. Le brave mit ses compétences de combat à son service, tuant facilement les trois premiers brigands. Mais l'un des deux survivants le blessa d'une flèche au bras gauche. Ethan devrait combattre contre les deux malandrins, avec un seul bras ! Le chef du groupe se rua sur lui avec son épée de mauvaise facture, sur de sa victoire. Mais Ethan évita son coup et planta sa lame dans le flanc du cuistre, alors qu'il passait à sa portée. Le dernier voleur, pris de panique, s'enfuit mais trébucha sur une racine. Ethan s'approcha de lui.

 

"- Tu es fait comme un rat, brigand !

- Pitié ! Laissez-moi la vie sauve !

- Pour que tu recommences ?

- Non ! Je le jure !"

Alors, le preux laissa s'enfuir le froussard qui poussait des cris de cochon affolé. Ethan s'en retourna vers le campement. Là-bas, rien n'avait changé. Ethan dût seulement se débarrasser des traîtres durant leur sommeil, c'eût été trop dangereux de les laisser vivants.

 

Après cet incident, la caravane repartit en direction de la vallée tant attendue, qu'elle rejoignit le soir même. Son salaire en poche, Ethan Acera s'en retourna vers le royaume, vers la cachette de l'Ordre. Il avait accompli son devoir.

_________

 

 

J'espère que ça vous a plu ! J'ai écrit ce récit hier soir à 23h (et j'ai passé mon Bac blanc aujourd'hui... Idiot --'), alors ce n'est pas exceptionnel.

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Félicitation! Vodairo, pour ton RP. J'ai souri plusieurs fois durant la lecture. Je te connais déjà bien et tu fais partie de mon RP dans la taverne. Tu as une longueur d'avance aussi en étant commercant!

 

Je sais que tu as déjà servi la communauté en construisant des routes. Ta candidature sera supportée par moi durant la prochaine rencontre avec Chevaliers Nascens et Nova qui a du s'absenter aujourd'hui.

 

Bon jeu.

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Impressionnant Fearless.

 

Nous avons déjà discuté à ton sujet. Ton RP est superbe. Nous attendons d'avoir plusieurs candidatures avant de faire des choix, mais je t'invite à nous joindre «ingame» afin de mieux se connaître.

 

Mumble est un atout pour être membre du Luna Equites.

 

J'aimerais que tu me partages un peu tes expériences passés sur Minefield.

 

Nous favoriserons les gens qui ont des statuts reconnus (voyageur, citoyen, marchand)

 

Si tu es paysans, profites-en pour faire la demande durant notre réflexion. (bien sûr, respecte les délais demandés par les administrateurs à ce niveau)

 

Même s'ils te refusent ce sera une seconde marque de courage après ce texte.

 

Merci.

 

belle participation!

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Merci pour tes compliments, glafortu !

 

Je n'ai pas de micro, mais je vais essayer de me débrouiller pour pouvoir vous parler sur le Mumble de vive voix quand même.

 

Pour ce qui est du titre, je vais poster ma candidature au grade de voyageur dès que j'aurai atteint le délai requis.

 

Je vais essayer de vous trouver dans le jeu, si vous êtes connectés en même temps que moi ! :D

 

Je vous remercie pour le temps que vous consacrez à ma candidature.

 

Ethan Acera

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J'en profite que j'ai l'occasion de passer sur le site pour donner mon avis, même si je ne serais pas de retour immédiatement. Je serais sûrement sur les terres de minefield avant la nuit si ma monture ne me lâche pas sur la route ...

 

Pour les écuyers Zyx et fearless nos avis sont positifs en majorité, c'est pourquoi nous aimerions vous rencontrer dans le jeu afin de vous évaluer un petit peu et discuter avec vous, cependant la plupart du boulot est fait.

 

Pour ce qui est de Vodairo... je dois dire que je n'ai pas trouvé ton rp très convaincant... ton orthographe est loin d'être parfaite et tu mêles beaucoup de termes propres au jeu dans le texte, ce qui brise en partie la sensation d'immersion que je tentes d'atteindre quand je lis un rp, honnêtement je n'ai pas été touché.

 

De plus tu n'as pas l'âge minimum... pour moi seule la perfection peut excuser ceci.

 

Effectivement tu es un commerçant et un ami du Sire falcata... mais je vais être objectif et ne pas laisser cela rentrer en ligne de compte.

 

Glafortu te dis Oui. Moi, Chevalier Nova je ne suis pas favorable a ton acceptation pour les raison listées plus haut.

 

A Arcadelord de trancher. (Puisque l'humour peut aider dans ce genre de cas sache qu'il est très sensible a la corruption :lol: )

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Glafortu se connecte aux horaires québécoises et moi aux françaises ... mais j'étais en voyage vers de lointaines terres froides et ne suis rentré qu'il y a quelques minutes.

 

Si on a vraiment du mal a se retrouver nous conviendrons d'un rdv par mp.

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Je vous observe depuis un long moment, et vous n'aurez jamais idée depuis combien de temps je rôde dans vos parages, à vous regarder vaquer à vos occupations, écoutant chacune de vos paroles, surveillant vos moindres faits et gestes...

 

Zyx, je t'accepte volontiers au sein de l'ordre, tu as ma bénédiction.

 

Fearless, je t'accepte volontiers au sein de l'ordre, tu as mon approbation.

 

Vodairo, tu sors de notre sanctuaire immédiatement avant que je te dégage à grands coups de pied dans le train.

 

Voilà, j'ai donné mon avis sur la question. Mais je préconise d'attendre encore un peu, car patience est mère de toutes les vertus et il se pourrait que des candidats au potentiel non-négligeable viennent à passer. Et si nous n'avons plus de place pour les accueillir, nous ferions bien pâle figure.

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J'ai manifestement un don pour me faire virer brutalement.

 

J'aurais au moins essayé, et merci de m'avoir lu.

 

Si c'est possible je voudrais avoir la possibilité de faire un nouvel essai. Si c'est un "non" je ne vous importunerai plus.

 

Cordialement,

Commerçant Vodairo.

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Mes frères Chevalier je suis fier et honoré d'être accepter parmi vous.

 

Je promet de toujours faire honneur a l'Ordre, et d'agir pour le bien de tous.

 

 

 

 

 

Je suis assez souvent connecter (pseudo IG: Kauete) j'ai mumble pour mieux faire connaissance et pour me trouver allez a ma maison j'y travaille pas mal en ce moment.

 

Au plaisir de vous trouver :)

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Bonjour chers amis !

Ceux qui veulent me connaitre n'ont qu'à allaient voir mes candidatures.

J'ai pas 18 ans, mais je me vois assez matures ayant commencé à bosser à 16 ans. Je me vois comme quelqu'un d'assez mûr pour prétendre à postulé.

Niveau RP, à vous de juger, je me base sur un univers très héroic fantasy pour minecraft.

Je soutiens et j'approuve les règles qui régissent l'ordre.

 

† Lugubre et serviable. †

 

-Ils sont lâches, mais nombreux, maudits soient-ils... Parce que ce n'est qu'en bande que cette racaille ose s'attaquer aux honnêtes gens! Où est la défense promise? La liberté entrevue? Nulle échappatoire, nulle option de fuite... ce n'est là en rien ce pourquoi nous sommes nés, et ce n'est là certainement rien de ce pour quoi nous voudrions mourir!

Ces mots, je les ai entendus maintes fois. Parfois profané à mon égard, je le concède, mais pas cette fois. Non, au contraire, cette fois ces mots allaient être la pierre d'assise d'une merveilleuse histoire... et si je vous la racontais...

 

Il y a de cela quelques années, je passais par cette étrange cité. Les habitations fumaient encore, signal révélateur d'un brasier important. Le sol était jonché de corps de tous âges, certains mutilés, certains profanés... tous arborant le même visage. Un visage que je connaissais bien pour l'avoir fait porter à nombres de souvenirs... Les survivants s'affairaient tout autour de moi, ramassant les leurs, ramassant leurs pleurs et leur orgueil. Autour de moi, tristesse, désarroi, mais surtout résignation. Résignation, à une réalité déplaisante, mais tout aussi inéluctable que la mort elle-même. Je poursuivis ce chemin à travers le chaos des rues du village pour enfin trouver ce que je cherchais... Une auberge! Enfin. J'avais marché pendant toute la journée, j'avais faim et j'étais fatigué. Mon capuchon tiré bien bas, mon foulard remonté par-dessus mon nez, je pénétrai dans l'auberge. La discrétion n'était pas de mise, les gens de la place avaient bien d'autres chats à fouetter, un voyageur, aussi étrangement vêtu que je fusse, n'aurait pas pu faire lever le nez de ce peuple si parfaitement souillé. Là, je trouvai une table libre dans un coin sombre de l'auberge, et je m'assis attendant les murmures révélateurs de la tragédie qui avait eu lieu. Les premières heures se déroulèrent sans histoire, le repas que je demandai fut pauvre et sans goût. Malgré le sommeil qui me promettait monts et vallées, je ne pouvais chasser ce lugubre présage qu'amène le pressentiment d'une vie à côtoyer la tendre et exigeante Faucheuse. Aussi décidais-je de rester à ma place, à tendre l'oreille, à ouvrir l'oeil, à me renseigner... je ne fus pas déçu. J'appris rapidement l'histoire d'un peuple dégoûté, de bandits pillant et semant la mort... comme ils le font tous d'ailleurs... Ce manège durait depuis un certain temps, à en juger par la connaissance intime du sujet par tous. Même les ivrognes semblaient en parler en toute rationalité. J'écoutai l'histoire d'un père ayant perdu sa fille et sa femme. Selon ses dires, elles furent battues, puis ravagées, puis battues encore. La mort fut donnée par une méthode des plus exotique. Cela fut pour moi... très enrichissant... Les deux jeunes femmes avaient été tuées par des dagues chauffées à blanc, introduites de force, mais très lentement, dans les globes oculaires des victimes. J'en pris bonne note. J'avais fréquenté de telles scènes à tellement de reprises... mais habituellement j'en étais la cause, la situation était... rafraichissante pour moi.

 

Je ne ressentais aucune haine envers ses pillards, ils avaient un rôle à jouer, une raison d'être et à ce que j'étais en mesure de voir, ils le jouaient à perfection. Ils remplissaient pleinement la fonction première qui les avait vus naître. Aussi, je ne puis expliquer ce qui me poussa à agir. Pourtant, quand cette jeune fille à moitié morte entra en demandant sa maman tout en tenant son ventre éviscéré de maintes coupures profondes, je fus pris d'une émotion... Son visage était blême, sa voix...si faible, à peine audible, un murmure de souffrance et de solitude. L'assemblée se tut, leurs émotions à fleur de pot. La jeune fille redemanda : ''Maman?'' Cela fut ses dernières paroles avant qu'elle ne tombe face contre terre dans la marre de son propre sang qui continuait à s'extirper de sa peau formant ainsi une jolie flaque sur le sol de bois. Ce ne fut pas d'horreur que je réagis. J'avais vécu et infligé bien pire.

 

Non, je n'ai pas pu décrire l'émotion que je vécus à ce moment, mais maintenant que j'y repense cela devait être du dégoût... du dégoût face à une mort si bâclée... La mort, était et est toujours pour moi, quelque chose de beau, de ravissant, mais d'effrayant à la fois. La grande Faucheuse était pour moi bien plus qu'une partenaire de travail, elle était mon allier, mon amie, ma forme d'art... Ces entailles sur ce petit ventre, faites au hasard, sans aucun motif, sans aucune efficacité. Cela m'insultait, me révoltait. Comment pouvait-on se moquer de mon métier, de ma compagne? Comment pouvait-on manquer de goût à ce point...? C'est à ce moment que je pris ma décision. Je me suis levé de mon siège, j'ai marché en direction du cadavre, puis je me suis penché vers elle. Si mes souvenirs sont bons je lui ai murmuré quelque chose du genre : « Ne t'inquiète pas, ta fin sera le commencement de l'apothéose de mon œuvre. » Puis, ignorant les visages inquisiteurs de la foule amassée, je quittai l'auberge en direction de la plaine. La brume des champs de bataille avait conquis le petit village. Cela ne me gênait pas. Pas plus que l'odeur nauséabonde de la chair brûlée. J'ignorai les pleures, les horreurs... je suivais mon but.

 

Suivre le chemin de ses bandits s'avéra beaucoup plus facile que prévu. Ces criminelles, après avoir perpétué leur opération à plusieurs reprises, ne se souciaient guère plus de la possibilité que quelqu'un les suive. Je me rappelle m'être indigné face à ce manque de professionnalisme...j'aurais dû m'y attendre de la part de simples malfrats de bas étage. Ceci étant dit, leur troué à travers la plaine était aisément reconnaissable. On aurait dit une langue de feu passant à travers un couvert de neige. Le piétinement de leurs chevaux avait marqué le sol et m'indiquait le chemin aussi clairement que si j'avais été parmi eux. Après une heure ou deux de marche à travers les broussailles des nombreux champs avoisinante, j'eus un premier aperçu de mes ennemies. Là, gisant sans vie...et nue, dans un caniveau, se trouvait un homme d'une stature imposante bariolé de lignes bleues probablement tracées à l'aide des baies poussant de façon sauvage dans les boisés de la région. Je m'approchai de lui. Il avait été tué très récemment, le sang en arrière de sa tête n'avait pas encore eu le temps de coaguler. Par la forme et la profondeur de la blessure, j'en déduis que l'homme s'était probablement fait tuer par un objet lourd et contondant. Le bandit, du moins puisqu'il n'avait aucune caractéristique physiologique des habitants du village que je venais de quitter, je fis l'hypothèse qu'il s'agissait bel et bien d'un des bandits, avait visiblement été détroussé. Probablement une dispute sur le partage du butin... cela était un risque assez fréquent dans ce domaine d'activités. Néanmoins, cela m'indiquait clairement que j'étais sur la bonne piste...

Le jour commençait à tomber et la fatigue des longues journées de durs labeurs me gagnait. Aussi, je me mis donc à la recherche d'un logis où passer la nuit. Il me fallut une autre heure de marche pour apercevoir une habituation qui semblait avoir été épargnée par le carnage. Je me rappelle avoir trouvé cela très étrange... Pourquoi une maison appartenant visiblement à quelqu'un de confortablement riche, vu la décoration extérieure, avait-elle été épargnée alors que tout un village de pauvres gens avaient été pillé? Je me promis de corriger l'injustice perpétuée au pauvre propriétaire. Je me glissai sans bruit le long du mûr pour ainsi mettre la maison entre moi et la route. Je ne craignais pas particulièrement de me faire prendre, mais dans mon métier, on gagne à être perfectionniste. La maison était faite de pierres très légèrement désalignées. Je n'en demandais pas tant... Après m'être assuré, par un regard furtif par la fenêtre, de la vacance de la pièce. Je m'élançai et entrepris l'escalade du mûr. La maison ne possédait que deux étages, aussi l'ascension ne me pris que quelques minutes. Le toit était plus large que la maison elle-même pour assurer l'écoulement de la neige et de l'eau, aussi dus-je complétais mon escalade à l'horizontale en m'agrippant fermement aux poutres de bois liant le toit à la charpente de la maison. Une fois hissé en haut, je décidai de rester immobile pour deux raisons toutes simples : je voulais calmer ma respiration, et je voulais aussi écouter pour savoir si mon escalade n'avait pas par inadvertance, agité le détenteur de la propriété. Après quelques minutes, je ne pus que me réjouir, une fois de plus, du succès du début de mon opération. Une bourrasque de vent me ramena sur terre. Il ne me fallut que quelques secondes pour repérer la cheminée. J'entrepris la descente en appuyant mes pieds de chaque côté de bords de la cheminée. L'astuce est simple, en appliquant une force égale sur les deux jambes, on arrive à contrôler efficacement sa descente...

 

Une fois en bas, je ne perdis pas de temps. J'étais dans l'antre de l'ennemie et je me devais d'effectuer ma tâche le plus vite possible. À cette heure de la nuit, la chambre à coucher semblait le choix de recherche le plus logique. La maison était encore plus richement décorée de l'intérieur. À un point tel que le tout en était grotesque. Je fus cependant agréablement surpris de constater la présence de nombreux tapis. Bien que je sois capable de bouger sans le moindre son, un tapis facilite grandement le tout en étouffant tout son que mes pas auraient pu occasionner par mégarde. C'est donc dans un silence complet que je m'introduis dans la chambre. Bingo! Là, dans le lit, la forme de deux ventres montants et redescendant sous la cadence de respires m'indiquait que je touchais au but. Mes yeux habitués à la noirceur, purent apercevoir la silhouette d'un homme et d'une femme, plutôt rondelet d'une quarantaine d'années. Je m'approchai tout doucement de côté où dormait l'homme puis je montai sur le lit sans créer le moindre remous. Je sortis ma dague de son fourreau, caché sous mes habits, puis d'un coup sec et silencieux, je l'insérai en travers de la gorge de l'homme. Celui-ci voulut s'agiter et crier, mais mon autre main pressée fermement sur son torse le maintint en place tandis que mes genoux empêchaient ses bras de bouger. Pour le reste, vous essaierez de crier avec une dague dans la gorge... Une autre âme pour toi, mon amie Faucheuse... L'opération s'était déroulée dans un silence complet. Je fis subir le même sort à la femme. Une fois la besogne achevée, j'inspectai le reste de la maison. Ne trouvant personne d'autre je m'installai sur le canapé pour dormir un peu. Au matin, après m'être servi copieusement à même la nourriture de mes infortunés hôtes, je repris la route.

Les traces étaient moins fraiches, mais pour quelqu'un de mon talent, cela ne faisait pas grande différence et à en juger par l'espacement entre les pas des chevaux. Les bandits étaient très près de leur destination... et donc moi aussi. Il me fallut la moitié de la journée pour couvrir la distance me séparant du repère des malfrats. Cette proximité entre la maison et ici, expliquait probablement le fait que cette dernière s'en soit tirée à si bon compte. Un petit paiement par si, une petite information par là, et voilà un gage d'une sécurité absolue. Peu m'importait, j'étais ici pour une tout autre raison.

 

Le repère en question était constitué d'une caverne qui par son embouchure laissait présager une structure souterraine assez impressionnante. Je ne pus que constater l'intelligence du choix de l'emplacement. Par contre, je fus amèrement déçu de constater que le seul garde à l'entrée dormait à point fermé. Je m'approchai de lui tout en prenant garde de camoufler ma présence à travers les broussailles avoisinantes. Une bouteille d'alcool fort, un rhum de très mauvaise qualité à en juger par l'odeur de son haleine, pendait à sa main. Cette fois, je saisis mon sabre... mon arme de prédilection, une lame de verre presque invisible à l'oeil nu vu sa transparence, mais chauffé de telle sorte à la rendre aussi résistante que l'acier tout en restant bien plus légère et tranchante. Mon oeuvre d'art pouvait enfin commencer. J'ouvris son abdomen d'un coup précis. Un premier hurlement de douleur me fit frémir de plaisir. J'introduisis ma main dans la blessure béante et me saisis de son coeur. Un serrement fut suffisant. Une offrande de plus pour la grande Déesse, servante du Chaos... Ses cris rameutèrent la horde. Je me penchai pour éviter les deux flèches tirées dans ma direction. En même temps, je m'emparai de mes trois dagues de lancées, splendides couteaux allongés profitant d'un aérodynamisme parfait et empoisonné avec du sang d'araignée. Mon premier opposant le reçu en plein dans l'oeil, le deuxième, dans les bijoux de famille et le troisième dans l'articulation de l'épaule. Ensuite, je me projetai vers l'arrière en effectuant un double saut périlleux arrière. Une fois les pieds à nouveau sur le sol, je me saisis de ma poudre magique. Faites d'un savant mélange d'herbe, elle produisait une lumière aveuglante en réaction à un grand choc. Je la jetai vers le sol. L'éclair lumineux déstabilisa mes adversaires assez longtemps pour me permettre de plonger sur le côté dans un tapis de feuilles mortes. Je me camouflai. Une hystérie collective s'empara du groupe. Mis à part le premier qui était mort sur le coup, mes deux autres cibles se tordaient sur le sol dans une douloureuse agonie qui les mènerait indubitablement à leur mort, le tout sous le regard impuissant de leurs comparses. Criant de rage, ils s'élancèrent en bandes désorganisées à ma recherche. De ma cachette, je ne pouvais qu'apprécier la tournure des événements.

 

L'un des brigands, le plus gros et fort probablement le chef, quoiqu'il n'existe aucun moyen aujourd'hui pour en être certain, resta en arrière pour défendre la caverne. Il était suffisamment loin de tout obstacle pour que je ne puisse le surprendre par-derrière. Aussi, pris-je la décision de l'affronter. D'un bond, je me relevai en saisissant ma dague de ma main droite et mon sabre de la gauche. En guerrier expérimenté, mon adversaire se saisit de sa hache de combat. Elle devait faire deux bons mètres... mais devait être assez lente à manier. Je me servis de cet avantage à souhait. Ne lui laissant pas le temps d'appeler du renfort, je le chargeai. Je fis une feinte vers son ventre de mon sabre pour occuper sa hache, mais à la dernière minute, je pivotai sur la gauche et lui enfonça ma dague dans le bras droit. Au niveau de l'artère. Le gaillard tenta de riposter d'un coup vertical. J'évitai facilement en roulant sur ma droite ce qui me laissa le loisir de faire danser mon sabre autour de sa jambe gauche. Un cri de douleur... Sublime son pour tout assassin... Puis, vint la rage. Poussé par un accès de rage et d'adrénaline, le gredin enchaîna les coups verticaux et latéraux. Je virevoltais avec aise autour de ses coups récompensant chacun par une nouvelle blessure au bras ou aux jambes. Rapidement, la rage laissa place à la panique, à la peur, la mort sonnait son glas funèbre. J'entamai ma danse sous son chant impérial. Je me reculai de trois pas, lui tenta de prendre la fuite vers la forêt, vers ses compères, vers une illusion de sécurité. Je le laissai partir. Ses deux artères brachiales et ses deux artères circulant dans ses jambes avaient été sectionnées. La mort le trouverait par elle seule. Le son de la bataille rameuta les survivants. Je tourbillonnai sur moi-même avec mes deux lames tendues. Le bouillon de sang qui m'éclaboussa me rendit vite compte de l'état de la situation... Cinq autres âmes pour toi OH! Ma toute belle... Un coup de pied fouetté en atteint un autre au niveau de la tête. Je lançai un murmure d'extase face au son sublime du craquement osseux qui s'en suivit. Le démon noir... tel était le surnom que l'on me donna. Le flottement dans les rangs adverses me donna le temps de mettre en œuvre la touche finale. D'un saut, je pris ma pochette contenant ma poudre éblouissante et la lançai à terre. Lorsque la clarté s'estompa... J’avais disparu... comme j'étais venu.

 

Mais pas comme je l'avais espéré. C'est un homme que je ne connaissais que trop bien, de renommer. Cet homme que l'on surnomme "Crusher" est réputer pour ses méthodes de mise à mort. Il adorait traquer les assassins pour leurs prouvaient leurs amateurisme. Je me demandais comment était-ce possible qu'il m'ait pister jusque là. IL avait attendu un moment d'inattention pour me surprendre. Cette ombre qui survient au moment on l'on oublie même notre existence, c'est l'exécution de la mise à mort. C'est à ce moment qu'il attaque. Mes bras ce délogèrent de leurs articulations tandis que mes tendons d'Achille se sectionner. Ma vue me quitta suivis de mon ouïe et de mon odorat. Criant comme un perdu je découvris l'autre coter du miroir là où j'emmenais mes proies aux mains de leur maitresse. Crusher hait les hurlements, ce qui parait étrange venant d'un assassin. Mais lui, faisait dans l'invisible. Personne, en dehors du milieu, ne connait sa vocation. Le temps d'une seconde on disparait de la surface de la terre découpait, broyer, concasser ou même calciné. C'est découpé que j'ai commencé et broyé que j'ai fini. Mon corps ne ressemblait plus, ni à un homme ni a rien d'autres , je faisais plus penser à une marre de chair informe. Cet homme qui n'existe que dans des légendes de mercenaires saoul, partit sans laisser de traces.

 

Un assassin qui se fait tuer par un assassin. Lequel est bon lequel est mauvais; En tout cas, Crusher, lui n'a jamais tué d'innocents.

Voulant changer et devenir quelqu'un de plus reconnu et admirer il tenta sa chance dans un ordre de la chevalerie.

 

 

Voilà, en espérant être retenu. Merci d'avoir lu.

 

By Exl34

 

Fait moi confiance Loulou68 ;)

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Faisons cour si vous le voulez bien mon ami.

 

Pour ton orthographe elle est bonne mais pas parfaite.

Pour ton âge je serais d'autant plus dur ! Et je ne serais pas le seul, tu t'avances face a un jugement sévère. Comme je l'ai déjà dit, la barrière de l'âge est difficilement franchissable.

 

Niveau Rp, c'est très original et bien écrit, le point de vue de celui qui est tué est rarement adopté.

Bizarrement, peut être parce que je dois connaître trop d'histoires, j'ai vu la chute venir mais cela ne m'as pas retiré mon plaisir, et puis un peu de gore ça change un peu !

 

Comme vous le savez les places se font chères, il n'y en a plus que deux de libre actuellement pour ceux qui savent compter.

 

Nous allons donc délibérer assez rapidement a ton sujet et en public (c'est bien d'oser) je me réserves le droit de changer d'avis mais je suis plutôt favorable moyennant un test IG bien entendu.

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