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[Accepté]Candidature Marchand Citwon - L'or-fèvre


Citron
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Bonjour à tous !

 

- Candidatures précédentes -

Paysan : Par ici

Voyageur : Par ici

 

- Présentation -

 

Pour ceux qui ne me connaîtraient pas, je m'appelle Benoît, j'ai 14 ans et m’apprête à rentrer en 1ère S. Dans le jeu, je suis habitant de Nivalis et j'ai déjà réalisé plusieurs constructions sur le superbe monde de Navis. J'aime beaucoup miner et raconter ma vie et autres inutilités sur Mumble. Je suis sur Minefield depuis deux semaines et demi et suis parfaitement intégré à la communauté Nivalienne. Il est maintenant temps de vous parler des mes...

 

- Motivations -

 

Je désirerais devenir marchand pour pouvoir vendre toute mes ressources que je n'utilise pas, et pouvoir en faire profiter des gens. De plus, ça me permettrait de gagner de l'argent et donc pouvoir financer des projets qui me tiennent à cœur mais qui risquent de me coûter très cher, comme par exemple mon Nyan Cat géant en laine sur Nimps (qui requiert 3 stacks de laine rose par exemple).

 

- RP -

 

Introduction (résumé des RPs précédents)

Citwon raconte à ses petits-enfants l’histoire de comment il est devenu l’homme qu’il est à ce jour. Il a traversé de nombreuses épreuves, du mariage raté au décès de son meilleur ami. Mais là ne sont pas les grandes lignes de son histoire. En effet, il a tout d’abord traversé le monde à la recherche d’un logement décent. Il s’est ensuite fait embarquer à Navis, où il s’est fait exploité par un marchand bien trop cupide. A ce stade de l’histoire, il a 23 ans et s’est installé dans un petit village dans le monde de Nimps et est apprenti au près d’un joailler bien connu dans la région, le maître Swavorski.

 

Chapitre 1 : La parole du maître

 

Ah… Mon maître Acapelo Swavorski était certainement l’un des meilleurs orfèvres de tous les mondes parallèles réunis. En effet, il savait manier l’or et le diamant avec une telle dextérité qu’il était capable de recréer toute sorte de personnage dans ces minerais. Nombre de personnalités locales ou non venaient commander leur petite statuette et la montre en or très en vogue à cette époque. Mais dans sa petite boutique nommée « L’or-fèvre », lui ne créaient que les fameuses reproductions que tout le peuple de Stendel s’arrachait. En effet, c’était son apprenti, c'est-à-dire moi-même, qui s’occupait du reste. Je réalisais toute sorte de travail de joailler tel les montres, les horloges, les cerclages… C’est d’ailleurs pour mon talent à réaliser toutes ces choses que maître Swavorski m’avait pris sous son aile.

Je dois vous avouer une chose, c’est que je n’avais absolument aucune idée d’où venait ce talent inné de maîtriser ces petites merveilles en minerais précieux. Avec du recul, je peux conjecturer que cela me venait surement de la fonte de l’or que j’avais appris très jeune. Mais je ne peux l’affirmer. Enfin bref, retournons à nos moutons. Où en étais-je ? Ah oui, l’époque où je réalisais la plupart des marchandises de la célèbre échoppe que tenait mon virtuose professeur.

La boutique ne désemplissait pas de l’ouverture jusqu’à la fermeture, ce qu’il fait que j’étais bien obligé de travailler comme un bœuf à la charge de mon employeur. Mais ça ne me déplaisait pas, pas comme lorsque on m’obligeait à pêcher beaucoup de poissons pour quelques piécettes. En fait, je trouvais ça même très intéressant de devoir travailler à un rythme effréné, ce qui me permettait de produire quantité et qualité tout en exerçant mes mains à la dure pratique de l’orfèvrerie.

Un soir, j’étais alors en train de tenter de créer un modèle de couverts et d’assiettes révolutionnaires, il vint me voir et me confia ces mots, dont je me souviendrai toute ma vie :

« Citwon, mon brave apprenti, il est temps pour toi que je te révèle mon plus grand secret de réussite de toutes mes œuvres.

- Pourquoi donc ? Mes créations ne sont-elles pas bonnes ? lui répondis-je

- Si, bien sûr. Elles sont même d’excellente qualité. Mais elle n’atteigne pas la perfection. Pour atteindre la perfection des maîtres de l’orfèvrerie, je dois te confier un secret. Mais je ne peux te le dévoiler qu’à une condition : qu’une fois que je serais mort, tu reprennes ma boutique jusqu’à ton décès et que tu prennes en charge un apprenti et tu lui divulgueras ce secret à ton tour. Si je veux être sûr que tu respectes cette parole, il nous faudra réaliser quelque chose d'ignoble. Ce n’est pas un rituel agréable mais indispensable. En effet, il te sera alors obliger de réaliser ce que tu m’auras promis sinon tu mourras dans d’atroces souffrances.

- Mais maître, de qui tenez-vous cette information ?

- De mon professeur, qui le tenait de son professeur, et ceci depuis d’innombrables générations. »

Ce ne fut pas un choix facile. Il me fallait réfléchir. Prêter un tel serment n’était pas sans risque si jamais je ne le respectais pas. Voulais-je rester joailler jusqu’à la fin de ma vie ? Il me nécessita de longues semaines pour enfin prendre ma décision. Un matin glacial d’hiver, je me dirigeai vers mon maître et lui annonça distinctement, sans aucune hésitation, ces trois mots qui marqua ma vie à jamais :

« Je suis prêt. »

Il me regarda d’un air satisfait. Il m’avoua qu’il savait que j’allais prendre la bonne décision dès qu’il m’avait vu. Il ferma alors boutique et nous nous livrâmes à un rituel que je ne peux vous décrire et que je ne vous souhaite jamais devoir faire. Une fois cette horreur accomplit, il me chuchota quelques mots à l’oreille. C’est le secret. Le secret qui me permit de devenir moi-même.

 

Chapitre 2 : La maladie

 

Les premiers jours après le pacte de sang ont étés plus durs que d’habitude. Beaucoup plus dur. Maître Swavorski était devenu bien plus sévère avec moi, maintenant qu’il m’avait révélé sa technique. Mais j’encaissais et essayais de mettre désespérément la méthode en œuvre. Visiblement, mon tuteur me paraissait plus tendu, plus anxieux et surtout plus irritable. Je n’en connaissais pas la cause et je ne la saurais probablement jamais.

Ce fut très difficile pour moi de passer de ma technique acquise personnellement à une technique pratiqué par de nombreux maîtres joaillers avant moi, bien que mon maître me soutenait du mieux qu’il pouvait. Et un jour, venant raviver ses étagères, Swavorski le talentueux se saisit d’une montre et resta un instant fixé dessus. Il inclina légèrement la tête, afficha un grand sourire et murmura :

« Ca y est. Tu y es enfin arrivé. »

Des mois passèrent et mon professeur tomba gravement malade. Les meilleurs médecins de Stendel se penchèrent sur son cas mais nul ne put résoudre l’énigme qu’engendra sa maladie : il était en parfaite santé et était très très très rarement malade. Je me faisais évidemment beaucoup de soucis pour lui, mais il m’avait très clairement ordonné de tenir la boutique à une seule condition : ne pas essayer de reproduire les statuettes. Les clients qui en voulaient une devraient attendre que le virtuose soit sur pieds.

Devoir gérer un commerce n’était pas dans mes compétences. Mais je n’eus pas vraiment le choix. Je devais à la fois vendre aux clients et gérer les marchandises disponibles, tout en m’assurant de la santé de mon maître durant mes rares pauses. La technique vint petit à petit.

Mais Acapelo ne guérissait pas. C’était même de pire en pire. Les boutons jaunâtres se multipliaient sur son visage et ses yeux devinrent d’une couleur rosâtre et n’arrêtaient pas de révulser dans tous les sens. Le possesseur de la boutique commença à perdre sa tête et au bout de deux semaines de maladies, je le retrouvai raide mort dans son lit.

 

Chapitre 3 : Le renouveau de l’ « or-fèvre »

 

La mort de mon professeur me consterna et me prit de court. En effet, il était encore jeune et je devais encore rester au moins une dizaine d’années en apprentissage, le temps que je comprenne comment gérer un magasin et parfaire mon art. Mais non. Je dus me débrouiller tout seul, avec la tristesse d’une mort sur les épaules. Mais je devais gérer l’ « or-fèvre » coûte que coûte. Et c’est de ma vie qu’il en dépendait.

 

Conclusion

 

Citwon se lève, fatigué et se tenant le dos. Ses trois petits-enfants le suivent du regard, étonnés. Le grand-père se tourne alors vers eux et leur annonce : « Ma tâche de vous raconter comment je suis devenu commerçant à part entière est terminée. Le reste, c’est une autre histoire, comme on dit. ». Le vieil homme part se coucher, laissant en plan sa progéniture qui attendra une prochaine histoire de leur aïeul.

 

Notes :

- Le chapitre 3 est très court car tout simplement, c'est une histoire qui reste à écrire.

- J'ai séparé en chapitres pour une lecture plus agréable (avoir un gros pavé c'est pas super agréable - c'est mon avis)

 

- Magasin -

 

L' « or-fèvre », joaillerie de luxe depuis des lustres, vous propose une dizaine d'articles dans un magnifique cadre proche du spawn de Nimps !

 

 

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Nous vous proposons des prix défiant toute concurrence qualité/prix !

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Voilà ! J'espère que je n'ai rien oublié et que vous avez apprécié ma candidature !

Sur ce, à bientôt !

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Citron est un joueur ambitieux, créatif et impliqué aussi bien mumble que IG. Il participe particulièrement beaucoup à l'évolution de la ville de Nivalis.

 

Je plussoie donc Citron et j’espère le voir très bientôt en jaune !(Parce qu'un Citron bleu, c'est un peu bizarre)

 

PS: il n'y a aucune allusion à BlueTheLemon

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