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[Accepté] Cypra Insulae


Horneback
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:sponge: Cypra Insulae :sponge:

 

Initiateur du projet : Horneback

 

Participation à l’élaboration : Bukm0r ( principalement ), iWeeDooz, RigelKentaurus, nalaf (RP)

 

Plus d’info sur l’origine du projet : L’idée vint en même temps que ma candidature ( médiocre :c) ) de marchand. La réalisation s’est déroulée et se déroule encore sur un serveur à part. Le nom sonnera peut être à l’oreille des fans de W40k

 

Le but du projet : Dans l’idéal du développement du projet, j’aimerais réaliser un projet tant décoratif et « résidentiel » que lucratif ( pour moi ) ! ( une petite dose de culture ne fait jamais de mal non plus )

 

Point de vue décoratif : Le Cypra Insulae est une réalisation inspirée de l’univers Steampunk ( principalement des romans de Stéphane Beauverger et de Jules Verne ) adaptée au RP « minefieldien » ( pas de turbine où d’automatisation électrique, just pistons… ) : On peut donc s’attendre à un lot de dirigeables, éolienne ( lulz ), tuyauterie et autres joyeusetés représentatives ce style. L’archipel mécanique se composera de deux îles principales, chacune possédant un lien direct avec le rp ainsi que diverses agrémentations ( îlots mineurs avec un bâtiment décoratif où une habitation, dirigeables, hélices, … ).

 

Point de vue résidentiel : Le projet n’est pas une ferme anthropologique, les quelques habitants du projet seront triés sur le volet parmi ceux qui sont prêt à y mettre la bourse et les constructeurs. Les propriétés seront pour la plupart rattachées aux îles principales où disposées sur la plus grande des deux. Sur demande, un îlot détaché ( où même un archipel ) pourra être construit pour les plus solitaires des habitants ( ou ceux voulant un jardin de 500 cube², une piscine, une niche pour 10 chiens, une boite aux lettre, un zeppelin personnel, …. ).

Point de vue lucratif : MONAYYYYYYYY …. Sur les deux îles de nombreux emplacements de marchands seront disponibles pour les « touristes » où les habitants. Les habitations ( sauf constructeurs ) seront plutôt onéreuses afin de rentabiliser le prix du projet.

 

Point culture : La plupart des références sur l’île ( noms, formes, etc ) seront tirés de l’univers SF et steampunk, voir de l’histoire réelle ( Ex : Inventeur des premiers dirigeables propulsion vapeur : Giffard d’où le nom du réseau fictif d’aeroship )

 

Localisation souhaitée :

sansreio.png

Les seules maisons/terrains que nous avons trouvé en visitant sont deux maisons non cuboidés et un terrain (même si il n’est pas sur le lieu exact) => Les 3 bâtiments à côté du phare. Si jejesurfeur me lit (le propriété supposé du terrain ), prend contact avec-moi si tu vois ce message, même si j’enverrais un mp.

 

Screenshots ( de la pré-construction ) :

 

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Informations importantes :

Nom : Cypra Insulae

Dimension : +- 230/150

Hauteur : 55+- pour Cypra Insulae 20 pour le cratère ( voir RP )

Responsables : Horneback, Bukm0r pour l’instant

Zone de construction : Archipel d’iles volantes + Cratère en dessous

Objectif : Déco/Résidence/Marchand/Lulz

 

RP :

EDIT : Précisions pour le RP => C'est une fiction pure et dure, pas la peine de chercher des ressemblances vis à vis de mon passé sur MF. Merci à Nalaf pour le boulot :)

 

Quelque part près du centre de l'Univers, dans un lieu où le temps et l'espace ne sont plus que des notions sans réelle signification, où l'on peut à la fois contempler la naissance et la mort d'un monde, un lieu que même les trous noirs craignent, existe la Sainte Eponge.

 

La Sainte Eponge est un être qui échappe à toutes les perceptions, et à aucune simultanément. Il se murmure parmi les nomades de l'espace que seul un synesthète albinos aux pieds fourchus pourra appréhender pleinement l'essence de la Sainte Eponge, mais ce n'est probablement qu'un des nombreux mythes qui émaillent les civilisations en mal de légendes.

 

La Sainte Eponge est une sorte de divinité, elle n'intervient pas dans les affaires des êtres vivants, se contentant de vivre et de grandir, et pourtant avide d'absorber tout ce qui peut passer à sa portée. Car la Sainte Eponge a faim, elle a un besoin continuel d'énergie et rien n'a jamais pu la rassasier suffisamment longtemps pour qu'elle oublie sa voracité.

 

Éternelle, Omnisciente, Omnipotente, mais gisant dans sa demeure hors du temps, la Sainte Eponge attend et rêve.

 

Pourtant, sans que l'on sache comment cela arriva exactement, il advint un jour que la Sainte Eponge se fissura. Plusieurs fragments s'en détachèrent et filèrent à travers les cieux, pour finir par s'écraser sur le monde de Minefield.

 

L'un d'eux traversa la paroi d'une grotte et vint s'écraser dans ce qui était alors le repaire de pirates que l'on connaissait sous le nom de Torcuba. C'est là que commence notre histoire.

 

 

Horneback travaillait depuis des heures dans cette sombre et étroite cavité qu'on lui avait attribuée avec pour mission de l'élargir et de faciliter son accès depuis le réseau de grottes naturelles qui constituait la base pirate de Torcuba. Bien qu'éloignée, elle était considérée comme cruciale car donnant sur une partie de la côte invisible depuis l'emplacement actuel. Depuis plusieurs mois, les habitants du repaire secret avait entrepris de vastes travaux d'agrandissement et de fortification, non seulement pour en faire un lieu pleinement habitable, mais aussi pour pouvoir se protéger de la menace grandissante que faisaient peser sur leurs activités les autorités stendeliennes. Comme ses camarades, Horneback avait voté pour les travaux d'aménagement, sans comprendre que la main d’œuvre employée pour l'occasion ne serait autre que les pirates eux mêmes. Mais quand on lui avait tendu sa pioche et sa barre à mine, il était trop tard pour faire marche arrière, il fallait désormais creuser et étayer.

La sueur coulait abondamment sur son front, et il devait sans cesse s'interrompre pour remettre en place sa lampe frontale, qui ne cessait de glisser jusqu'à se mettre devant ses yeux. C'était la faute de cette chaleur étouffante, qui vous prenait aux tripes, vous vidant le corps de toute votre eau. Le moindre mouvement lui coûtait, le simple fait de penser à cette chaleur lui demandait des efforts considérables. Heureusement, il avait une jarre de tafia pour le réconforter et lui donner du cœur à l'ouvrage, mais il gagnait en fortifiant éphémère ce qu'il perdait en clarté d'esprit.

Aussi, quand pour la énième fois, le bandeau lui ceignant le front vint gêner sa vue, il s'emporta, l'arracha de son chef et le lança contre le sol. Un brisement sec lui apprit que la lampe était foutue. Il reprit aussitôt ses esprits, et se précipitant à terre, chercha à tâtons les restes de sa lampe, dans l'espoir vain qu'il resterait une étincelle pour l'éclairer. Mais ses espoirs furent déçus, il était plongé dans le noir, sans la moindre source de lumière à portée de main, puisqu'il n'avait pas jugé utile d'emporter son briquet à amadou avec lui. Le désespoir le submergea brièvement, car entre lui et ses amis se dressait un réseau de petites galeries si vaste, que ça en devenait un véritable dédale. Il était déjà difficile de s'y repérer avec de la lumière, alors sans, il n'avait aucune chance de s'en sortir. Son seul espoir résidait dans une éventuelle expédition de sauvetage de ses camarades, mais il n'y croyait guère, car tous savaient qu'il avait pour l'habitude de s'absenter longtemps et de ne revenir qu'une fois ses réserves d'alcool épuisées. Sans un miracle, il était voué à périr dans l'obscurité, à quelques mètres à peine de la lumière, perdu dans un labyrinthe de pierre dans lequel il s'était volontairement enfoncé quelques heures plus tôt, sans se douter de son funeste destin.

Cependant, Horneback n'était pas de ces êtres fades et veules qui renoncent au premier obstacle. Il n'était pas devenu flibustier pour rien, lui que ni les canonnades, ni les mises à prix n'effrayaient. Toujours le premier lors des abordages, il maniait le coutelas et le sabre avec maestria et traçait des sillons sanglants dans les rangs ennemis. La peur n'existait que pour lui rappeler la prudence, jamais pour retenir sa main au moment d'agir. Alors, face au sombre péril qui se présentait à lui, il ne perdit pas courage. Ramassant des débris de roche, il les frotta au dessus d'un tas de brindilles, espérant y faire naître quelques étincelles salvatrices, mais échoua. Sans perdre espoir, il se rappela ce conte pour enfants qu'on lui avait raconté il y a de cela bien longtemps. Il s'agissait d'un prince qui, alors qu'il devait sauver une princesse retenue prisonnière dans un labyrinthe par un monstre sanguinaire, avait déroulé un fil derrière lui pour retrouver son chemin. A défaut de retrouver sa route, un tel subterfuge lui éviterait de tourner en rond, puisqu'il saurait en touchant un bout de fil qu'il lui fallait rebrousser chemin. Aussi, il se débarrassa de sa tunique, et entreprit de la déchirer en bandes aussi fines que possible, puis mit son projet à exécution.

Au début, tout se passait relativement bien, il tâtonnait dans les ténèbres, heurtait parfois la paroi trop basse et était contraint d'avancer en rampant, les pierres tranchantes l'écorchant cruellement, mais sans jamais le blesser gravement. Même quand, au bout de plusieurs heures, il retomba sur ses pas, il continua à croire en ses chances. Il refit le trajet en sens inverse, repéra le mauvais embranchement et prit une autre direction. Mais à ce petit jeu, il comprit rapidement qu'il allait perdre lorsqu'il mit la main sur sa corde après un nombre incalculable d'échecs similaires. Heureusement, il ne céda pas à la panique et décida de dormir un peu, espérant avoir les idées un peu plus claires à son réveil.

Ce ne fut pas le cas. Perclus de courbatures, déshydraté par l'abus d'alcool frelaté et soumis à une tension prolongée, il n'était pas capable de penser clairement. Abandonnant toute idée de pérégrination souterraine contrôlée, il abandonna son bout de corde et se mit à errer au hasard dans les étroits corridors qui le séparaient de la civilisation. Ses pas le menèrent jusqu'à une salle qu'il n'avait jamais vue auparavant. De dimensions relativement grandes, elle comportait un point d'eau dans lequel il se jeta pour se désaltérer. C'est après avoir avalé probablement trop d'eau pour sa santé qu'il se rendit compte qu'il avait vu la mare, au lieu de la deviner en marchant dedans. Les idées subitement éclaircies, il releva la tête et chercha la source de lumière. Il repéra d'abord un trou dans la paroi, s'ouvrant sur l'extérieur. L'ouverture était trop étroite pour qu'il puisse s'y faufiler, mais il pouvait espérer attirer l'attention de quelqu'un en hurlant suffisamment fort. Hélas, le bruit du ressac couvrait sa voix, et il dut s'arrêter, incapable de proférer un son de plus, avant que quiconque l'ait repéré. Prostré face contre terre, épuisé physiquement et nerveusement par la perspective de sa mort prochaine, il allait enfin s'abandonner au soulagement de la folie quand une seconde lueur attira son attention. Ce n'était pas celle du jour déclinant comme auparavant, mais plutôt un doux chatoiement, comme une redtorche en train de lancer ses ultimes pulsations avant de s'éteindre. S'avançant à quatre pattes vers la source de lumière, il dut creuser le sol de ses propres mains, se brisant les ongles jusqu'au sang, avant de réussir à déterrer une petite pépite à l'apparence étonnante. Bien qu'elle fut recouverte d'une épaisse couche de terre et de gravats, elle dégageait un scintillement que rien ne semblait pouvoir bloquer. En la prenant en main, il eut l'impression de toucher une meule de gruyère. Compacte et souple à la fois, la pépite comportait d'innombrables minuscules anfractuosités qui semblaient vibrer au rythme d'un organisme intérieur.

Désireux de mieux contempler sa découverte, il la plongea dans la mare d'eau, la nettoya doucement, soucieux de ne pas briser cette source inespérée de lumière. A peine libérée de sa gangue de terre, elle se mit à étinceler si fort, qu'il dut mettre les mains devant les yeux pour s'en protéger. Son séjour prolongé sous terre lui avait fait perdre l'habitude de la brûlure du soleil, et cette étrange pierre ressemblait beaucoup à ce si réconfortant cercle de feu qui traçait son brûlant sentier à travers la voûte céleste sans qu'on y prête attention. Mais, progressivement, une sensation diffuse de sérénité envahit le pirate, les douleurs de son corps semblèrent s'apaiser tandis que ses idées s'éclaircissaient, il pensait n'avoir jamais été aussi frais et dispos qu'en cet instant précis, quand la pierre commença à lui parler.

Elle ne prononçait aucun mot, mais lui envoyait plutôt des vagues d'images que son cerveau analysait et interprétait. A l'en croire, elle était un fragment d'une entité nommée « la Sainte Eponge », qui était en fait un amas de micro-éponges agglomérées les unes aux autres, et venait de bien plus loin qu'il ne pouvait l'imaginer. Séparée de ses sœurs par un terrible accident, elle s'était écrasée dans ce monde et n'aspirait qu'à une chose : revenir chez elle. Puisant dans ses fantasmes les plus secrets, elle lui promit des montagnes de joyaux, des harems remplis de femmes toutes plus belles les unes que les autres, des armées d'hommes attendant ses ordres et des dizaines d'autres merveilles encore s'il acceptait de l'aider. Subjugué par les visions oniriques, flatté par l'attention qu'on lui portait et l'espoir de vivre qui s'offrait à lui, Horneback ne prit même pas la peine de réfléchir, il accepta aussitôt, scellant par là-même un pacte autrement plus maléfique que les tristement célèbres pactes avec le diable.

Au prix d'un contrat dont il ne comprenait pas encore tous les tenants et aboutissants, Horneback venait d'acquérir une puissance à nulle autre comparable. Et il était heureux.

 

Il ne revint jamais à Torcuba, car bien que fragment de la Grande Sainte Eponge, cette petite Sainte Eponge disposait déjà d'une puissance incommensurable, et avait transporté son premier serviteur loin de cette grotte fétide dans lequel il aurait péri si elle ne s'était pas révélée à lui. Là, dans un lieu devenu depuis sacré, elle lui apprit que d'autres éponges semblables à elle – ses sœurs – s'étaient écrasées sur ce monde, et qu'il lui faudrait toutes les récupérer pour pouvoir réussir sa mission. Pour y parvenir, il avait toute la puissance de la sainte éponge torcubaine à sa disposition. A lui d'en faire bon usage, et justement, il avait déjà quelques idées derrière la tête.

En une nuit, il coucha sur le papier les principes d'un culte dédié à la Sainte Eponge, bâtissant à partir de rien ce qui serait bientôt connu comme étant l’Église Spongieuse. Une fois ceci fait, il partit à l'aventure, prêcha les vertus du culte de la Sainte Eponge, accomplit des miracles devant des masses crédules grâce à son pouvoir sans limite, ridiculisa les cultes concurrents et finit par recruter des milliers de fidèles, prêts à tout pour prouver leur piété et être ainsi récompensés par la Sainte Eponge. S'instituant Pape, il fit de ses plus fidèles compagnons des prêtres, chargés d'enseigner les principes spongieux aux fidèles et de les guider dans leur foi.

Après quelques années, quand il eut rassemblé suffisamment d'argent, il passa à la seconde étape de son plan. Il établit la capitale de son culte sur un archipel désert, à à peine quelques jours de marche de la capitale de l'Empire Stendelien, non loin du crâne géant que l'Empereur Neymir avait fait ériger dans un accès de mégalomanie. En quelques mois, mobilisant l'aide de ses fidèles, il fit sortir de terre une ville comme on n'en avait jamais vu en Stendel, chaque île abritant un ensemble d'infrastructures distincts, tandis que le sous-sol était creusé afin d'y établir d'autres installations. Et pour ce faire, le serviteur de la Sainte Eponge avait fait venir des quatre coins du monde les plus innovants des ingénieurs, les artistes les plus doués, les architectes les plus ambitieux, les plus savants des érudits. A l'aide de cette somme de savoirs, il avait mis au point une cité à nulle autre pareille, en avance de plusieurs siècles sur tout ce qui existait ailleurs.

Digne des dieux, cette cité était ceinte d'une muraille d'airain haute de plus de trente pieds, et le sommet de ses édifices scintillaient lorsque les rayons de l'astre solaire s'y attardaient. Sa bibliothèque comportait tout ce qui avait été écrit – ou peu s'en fallait – et même le plus humble des ouvriers était suffisamment instruit pour tenir tête aux plus illustres penseurs étrangers. Nul ne connaissait la faim ou la misère, les maux du corps n'étaient plus qu'histoire ancienne et ceux de l'esprit ne résistaient pas aux ondes bienfaisantes de la Sainte Eponge qui, placée au cœur même de la ville dans un sanctuaire inviolable, prodiguait ses bienfaits à tous ceux qui croyaient en elle.

Mais disposer d'une énergie quasiment illimitée ne suffisait pas à assurer la prospérité d'une ville à la technologie inédite. Il fallait encore concevoir des systèmes complexes pour utiliser cette énergie et la rediriger vers là où les besoins étaient les plus pressants. C'est pourquoi il créa aussi un ordre d'ingénieurs dévoués à la construction, la maintenance et la gestion des infrastructures mécaniques de la cité spongieuse : l'ordre de la Barque Sacrée, dont les moines, dirigés par un Abbé, serait en charge de la lourde tâche de veiller à ce que tout fonctionne correctement.

La ville bâtie, la population soigneusement sélectionnée et invitée à venir séjourner dans ce cadre idyllique, et les installations mécaniques fin prêtes, Horneback put enfin déclencher la phase trois de son grand dessein. Dix ans jour pour jour après sa découverte de la Sainte Eponge, il fit décoller la cité qu'il avait bâtie en son nom. Grâce à des doses d'explosifs soigneusement disposées, il brisa la couche terrestre, faisant aussitôt s'activer les moteurs assemblés dans les sous-sols de sa citadelle qui, alimentés par l'énergie spongieuse, arrachèrent la gigantesque masse du sol.

Pendant quelques brefs instants, l'on put penser que l'opération allait échouer. Quelques ultimes lambeaux du manteau terrestre retenait la cité volante, mais un subit afflux d'énergie spongieuse dans les moteurs résolut le problème, et la gigantesque masse de terre et de pierre put enfin s'extirper du cratère qu'elle venait tout juste de creuser. Aussitôt, la nature reprit ses droits et une gigantesque vague envahit la fosse, qu'elle recouvrit rapidement d'eau, faisant disparaître toute trace de l'archipel de Cypra Insulae.

Désormais libre de ses mouvements, Horneback ordonna aux ingénieurs qui pilotait cet étrange vaisseau de le diriger vers un lieu qu'il soupçonnait d'abriter un nouveau fragment de la Sainte Eponge. Son périple ne faisait que commencer.

 

 

Politique et règlement : A VENIR

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Bah, le pire, c'est le gars qui s'est tapé le RP tout seul avec un malade pour lui donner les directives.

 

Bref, je soutiens.

 

@Horne, faut remettre en page le rp, ça fait tout pourri là. Et aussi, c'est jules verne, avec un s, c'est l'auteur moisi des bob morane. (henri vernes)

 

Et si vous savez pas ce qu'est le steampunk, ben c'est de la science fiction avec des machines à vapeur (en gros), et si vous voulez en lire, ben lisez beauverger, heliot, colin, gaborit, day et mauméjean, six auteurs français qui en ont fait (et du bon en plus), même si la liste est probablement plus longue encore.

 

En plus, rien que pour le mélange des sciences rhêdoniennes et de l'éponge, vous devez voter, namého !

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Ayant quelques connaissance dans le steampunk, et fait déjà pas mal de bâtiment type mécanique,

et plein d'engrenages (non fonctionnel, pure décoration) je me propose pour dessiné quelques zeppelins a ma folie et aide a la construction des îles (surtout là partie mécanique)

 

quelques images:

 

 

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Sinon c'est nalaf qui ma proposé à venir vous aider, et comme étant un connaisseur je viens vous déposer ma candidature, et un petit +1 pour ce projet

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Bien qu'étant ultra fan de l'univers Steam/Cyber punk et SF, je ne sais pas trop si je peux accepter ce genre de projet sur NS.

 

Il a été pensé pour s'adapter à l'univers Medievalo-Fantastique certes, mais il n'en reste quand même pas moins trop anachronique.

 

Evidemment j'ai déjà lu des livres dans lesquels on peut trouver ce genre de lieux et le tout dans un monde médiéval, mais là j'avoue que je ne sais vraiment pas comment traiter ce projet.

 

Je verrais avec Dorango.

 

Wait and see...

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Ben je vois pas le problème, ya des villes qui coûtent cher avec des matériaux simples. Nous on coûte cher parce qu'on utilise des blocs en fer, c'est vraiment justifié.

 

Depuis peu, les projets à connotation technologiques éclosent (aurais-je lancé une mode ?) et celui-ci n'est que l'aboutissement logique de ce qui a été enclenché. On associe un pouvoir presque magique à une technologie encore faible, mais en progrès, qui permet de tirer le meilleur parti de cette magie.

 

On a un rp qui tient la route, une architecture innovante, des participants, les moyens de réaliser notre projet, un emplacement disponible, le sujet répond à toutes les conditions, le seul problème étant justement la cohabitation de la science et de la magie.

 

Et c'est justement là que le steampunk est génial, car sans sombrer dans la science pure et dure, on peut proposer un compromis entre une époque médiévale (ou du moins caractérisée par des structures sociales obsolètes) et une époque industrielle, marquée par le positivisme.

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Une petite précision aussi pour kmai : Si l'objectif principal était l'argent, il y aurait des moyens 30 à 40 fois plus optimisés pour agencer l'espace, les parcelles, etc ... Au delà de la dimension humoristique que je pensais avoir réussie à retranscrire, le but principal du projet est bien évidemment de faire une ville chouette à regarder ou visiter, les parcelles n'étant pas nombreuses au vu de l'espace du projet, il faudra bien les vendre plus chères que la moyenne pour rentabiliser ne serait-ce qu'à 50% la construction.

 

Et pour l'univers anachronique, j'en ai parlé longtemps avec Bukm0r et nalaf, pour justement éviter de partir trop loin dans la technologie. Toutes les technologies "visibles" ou mécanismes font références à la puissance vapeur ( appliquée aux pistons ) : pas de turbine, de centrale thermiques à cycle etc etc;

une sorte de passé dans le steampunk... ^^ Les principaux éléments visibles seront les hélices, les zeppelins de Giffard et un systeme redstone qui "transforme" l'eau en energie cinétique.

 

D'ailleurs, si cela peut vous rassurer, je veux bien m'engager à faire une liste de tous les éléments décoratifs ( T_T ) en rapport avec la technologie, pour que vous puissiez vous faire une idée et juger par vous même

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Avé,

 

Pour ma part, l'anachronisme sur Minefield ne me gène pas tant qu'il est justifié et qu'il s'intègre à l'univers du serveur. Au contraire, je trouve intéressant de pouvoir y trouver ce genre de choses, un peu hors du temps, qui marquent une avancée soudaine du monde que l'on connait. Avancée sans laquelle le monde ne pourrait évoluer. En fait, c'est souvent le cas IRL. On découvre une nouvelle technologie, un nouveau matériaux, et soudain la vie change, des machines étonnantes voient le jour, etc... Ce projet semble donc la représentation parfaite de l'évolution par à-coups qui se produit à certaines périodes.

Donc je dis oui pour cette belle idée.

 

Côté esthétique, je suis moins impressionné. L'architecture a l'air intéressante mais pas révolutionnaire. Je ne me base que sur les screens donc je peux me tromper, j'attends d'en voir plus (et je suis loin d'être un expert en la matière ;)).

Cela dit, pour une ville comme celle-ci, il me semble indispensable d'y trouver de vraie preuves de la technologie qui y règne. J'entends par là une utilisation effective des pistons, de la redstone, des leviers etc... et de tout ce qui peut donner à ce projet l’ingéniosité que vous lui prêtez.Je ne sais pas si vous y avez déjà pensé mais je trouverai dommage que cet aspect soit mis de côté.

C'est, je pense, ce qui serait pour un visiteur le plus impressionnant et le plus intéressant à voir dans une ville comme celle-ci.

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Moi je suis pour, parce que j'aime le Steam-Punk, et parce que j'aime la redstone.

 

A la limite, pour les plus réticents, pourquoi ne pas s'orienter vers un style plutôt "Red-Punk" ? (Red pour redstone). Ou la vapeur serait existante mais rare. Je dis ça au cas le Steam Punk pure serait trop anachronique.

 

Sinon, je tiens tout de même à vous prévenir, si vous utilisez beaucoup de système redstone (c'est ce qu'on peut attendre de ce genre de ville), tenez bien compte du fait que la redstone est souvent inutilisable sur NS.

 

Je vous parle pas des systèmes "j'appuie sur un bouton la porte s'ouvre" mais des gros circuit un peu compliqué qui nécessite par exemple une synchronisation parfaite entre plusieurs pistons, ou repeater.

 

J'en fais beaucoup, et suivant les lags, certains ne sont pas utilisable, et engendre encore plus de lag dans la zone. (Et non, je ne laisse pas tourner mes pulseurs en boucle... ).

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En ce qui concerne l'aspect financier, je m'en tamponne le coquillard étant donné que je suis un arnaqueur.

 

Le projet, je l'avoue me botte bien, mais je vais attendre que les joueurs donnent plus leur avis avant de prendre une décision.

 

Cependant, Je ne vais prendre en compte que les nouveaux avis hein, ceux qui se sont déjà exprimés ne rentrent plus en ligne de compte désormais.

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C'est très joli, j'aime beaucoup, d'autant que j'ai toute confiance en les chefs de chantiers.

 

 

J'ai juste une question, qui n'est pas une critique, pourquoi faire des iles volantes sur Stendel et pas sur Nubes ?

 

(Après au niveaux du risque d'anachronisme, quid du coeur de nevah et de la centrale de cobble-man dans ce cas là ? Moi, ça ne me choque pas)

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:sponge: Je plussoie et vous savez pourquoi ! :sponge:

 

Je crois que c'est pour une raison RP que les îles volantes se feraient sur Stendel.

 

Sinon, vivement que la Sainte Eponge revienne en force, j'essaierai d'aider de tout mon troll si je trouve un peu plus de temps.

 

Vive la Sainte Eponge.

A+

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Ayant un peu participé à la création de l'avant projet sur le serv de horneback , je plussoie bien évidemment ce projet .

Pour ma part celui-ci devrait s'insérer au mieux dans NS au même titre que la fortersse volante issue du monde ghibli; quite à ce que ce projet s'en rapproche géographiquement pour centraliser les projet steam-punk du serveur.

 

Cordialement.

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sur nubes, les iles volent par magie. Ici, elle vole par l'utilisation de l'énergie spongieuse contrôlée par des mécanismes rhêdoniens, c'est une perspective radicalement différente et encore inédite sur le serveur.

 

Par ailleurs, nous préférons créer les iles de zéro pour les forger à l'image de nos idées, d'autant que les iles sont censées avoir été arrachées du sol, donc il nous faut un plan d'eau en dessous où faire un cratère.

 

Considérez que ce n'est pas seulement une cité volante, c'est aussi un monument RP. L'aspect urbain est secondaire dans ce projet, seul l'érection d'une cité volante mécano-spongieuse nous intéresse.

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