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[Refusé]Postuler au rang de voyageur : Matamort


matamort
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Bien le Bonjour à tous et à toute !

 

Pour commencer voici ma candidature de paysan : http://www.minefield.fr/forum/post57967.html?hilit=Matamort#p57967

 

Présentation IRL

 

Je m'appelle Matthieu je suis un lycéen de 17 ans comme écris dans ma candidature de paysan. Je vis toujours en Normandie dans la ville de Rouen. J'ai toujours quelques activités extrascolaires comme le Golf et le Théâtre. Je suis devenus le présentateur de l'émission Critique Mon Cube, je suis passé sur beaucoup de Web Radio. Et en plus je fais des bruits bizarre avec ma gorge ! Mais ça on s'en fou.

 

Bon passons à ce que vous attendez tous le R-R-RÔLE PLAY !

 

Rôle-Play

 

Il y a fort longtemps, une époque d'on je ne connais point la date mais qui fus le commencement de ma vie, le début de mon être et de ma chair. Je pris conscience que j'étais quelqu'un de vivant l'or que j'atteignais approximatives mes deux ans. J'étais là, à tenter de comprendre le monde, de savoir qu'est ce qu'est ceci, a quoi sert cela. Heureusement, j'étais bien entourer. Une belle famille m’accompagnait pendant que j'expérimentais les premiers pas de ma vie. Je grandissais vite et dans les meilleurs conditions qu'un monde utopique aurais pu me donner. Ma mère, ma cher mère que je regardais de haut tout en jouant avec mes petits cubes de l'aine que j'aimais tans. Elle était parfaite, gentille, attentionner et me protégeait autant que mon père. Mon cher père. Il était moins présent que ma tendre maman, mais il était celui qui nous faisait subsister à nos besoins. Tous nos besoin, de l'Or, de la nourriture et de quoi nous chauffer auprès de notre cheminer. Je l'aimais pour ce qu'il nous a donné, protéger et qui rendais le sourire à ma mère quand il ramenait les exploits nutritif de la journée. Ah, Mes parents, j'aurais pu écrire un roman ou même une encyclopédie sur eux. Il y a aussi une personne, une personne bien différente, qui m'accompagne elle aussi. Elle ce nommais koiselo. Ce n’était pas un humain ordinaire, pour cause, c'était un Creeper. Mais pas un Creeper sauvage, violent et dangereux. C'était un très jeune Creeper que mon père à retrouver blessé par une flèche très acérer venant d'un certain squelette. Mon père n'a pas eu la force de mettre fin à ses jours, et l'emmena voire un docteur. Il arriva chez ce docteur, soigna et accepta l'offre du docteur. Une offre qui a permis à cet être violent et terrifiant de devenir notre cher petit compagnon. L'offre était de sorte que pour une modique somme d'argent, le docteur extrairait la poudre explosive loger dans ce mignon Creeper, ce qui le rendrait inoffensif, gentil et attachant. C'était pour moi, l'acte le plus beau que mon père n'ai jamais fait, fin, le second plus beau. Quand il retrouva ce Creeper et qu'il le ramena à notre pittoresque maison qui était tous en bois de boulot et de pin. Je n'avais que six ans, j'avais bien grandis, mais peut-être pas assez. Il nous montra donc avec excitation cette créature fatiguer par cette blessure et cette opération. Qui ne tarda pas à s'endormir dans les bras forts et puissants de mon père. Une créature qui était si mignonne quand elle dormait. Mon père demanda à mon amour de mère s’il y avait de la place pour ce Creeper inoffensif. Elle accepta.

 

Les journées et les années passaient, je grandissais encore et toujours. Entourer par ces trois être adorables qui me regarder pousser comme une petite pousse de plante verte qui fleurira un jour. J'aimais passer du temps à écouter ma mère me raconter des histoires avant de dormir, les histoires comme "Blanche laine et les sept slimes", " Le roi de la cobble maudite" ou encore " Bob Lennon le prince des testiboules". Ses paroles raisonnaient dans ma tête comme une symphonie qui ne jouait rien que pour ma personne. J'étais aux anges. Je voulais quelle m'en lise encore plus chaque soir. Mais elle ne voulait point, elle voulait que je dorme, que je sois en forme pour devenir "vite adulte" selon ses dits. Heureusement quand la nuit étais bien tombé et que j'entendais le bruit assourdissant des ronflements grave et puissant de mon père. Je regardais mon adorable koloise venir dormir sur mon petit lit, près de moi. Il était très froid, mais je m'en moquais. Je l'aimais plus que tous. Le matin montrais le bout de son nez et j'entendais déjà le brouhaha du lever de soleil. Ma mère préparais le petit déjeuner et mon père ce préparais à partir comme d'habitude. Toujours ce même quotidien. Ces mêmes paroles, cette voix qui ne revenais que très tard.

Mon père me manquait rapidement, je ne le vois plus souvent. Même presque plus. Je l'apercevais au souper où il ne bronchait pas un poil, pas un mot. J'ai demandais à ma mère, après l'histoire "Le Reportage des Rêve de Tyroine" pourquoi ce silence l'empoignais. Elle me répondit avec hésitation, et m'a répondus qu'il allait redevenir comme avant. Elle me dit aussi d'une douce voix de ne point m'inquiéter. Elle sortit, un peu tremblant de la pièce.

 

Les jours passais, mon père gardais son silence comme si c'était la dernière chose qui lui restais dans sa vie, dans son être. Je m'inquiétais de plus en plus. Cela me rendais triste, heureusement que Koloise étais là, chaque soir, à dormir sur mon lit. Il avait lui aussi bien grandis, et prenne bien plus de place qu'avant. Mais je m'en moquais. Je l'aimais plus que tous.

 

Un jour, mon père rentra comme d'habitude, tard, mais cette fois si, il parla. Malheureusement, j'aurais aimé qu'il n'ait rien à dire. Du haut de mes neuf ans, j'allais vivre la première épreuve de ma vie. Mon père est accusé d'avoir assassiné le Roi de notre royaume. Je restais sur place, choquer et je commençais à avoir peur pour mon propre père. Il nous jura que c'était pas lui, que c'était une erreur. Il nous a surtout dit d'un ton grave et effroyable que je n'oublierais jamais. Qu'il allait être exécuté demain. Je ne savais vraiment pas quoi dire, j'étais apeurer, sous le choc, triste et ne savant plus où donner de la tête. Ma mère pleurait en sanglot. Je me sentais vraiment mal, vraiment très mal. Mais mon père nous dis une chose et partit précipitamment dans la cave. Ces paroles on traverser mon cœur. Et mon marquer. Elles étaient "pensez à vous, pas à moi, et fuyez !". Ma mère me pris sauvagement par la main. Elle m'emmena dans ma chambre m'aida à faire mes valises, pris les siennes et m'emmena moi et Koiselo dans une charrette que je ne connaissais point.

 

Tout allais si vite, je ne faisais que pleurer sur mon sort et je demandais a ma maman ce qu'allais faire papa. Elle me répondit quelle que temps après, qu'il allait se vengé. Étonner de ces paroles je séchai mes larmes et demanda d'ample explication. Ma mère, reprenant ses émotions m'expliqua ce qui ce passais. Elle racontait la supercherie qu'on inventer des certains brigands qui ont eu vraiment assassiné le Roi. Et Elle m'e disais que mon père n'étais pas qu'un simple chasseur, il était le gardien du Roi. Etonner je la questionnais sur ce qu'étais un sois disant gardien. Elle me répondit, une larme aux yeux, que c'était une personne dévouer pour le Roi, qui protégeais quoi qu'il arrive le Roi. Je lui demandais avec stupéfaction pourquoi elle ne me la jamais dit. Il fut un long silence et ma mère répondit d'une voix douce, comme quand elle me raconte des histoires, "Pour te protéger.". Encore pris par les émotions je pus rien demander d'autre et je regardais koiselo qui étais lui aussi sous le choc de ce déplacement soudain. Mon pauvre petit koiselo de la poudre lui coulais aux yeux. J’étais encore plus pris d'une grande mélancolie quand je regardais son émotion ce dévoiler à nu. Je l'aimais plus que tous.

 

Le soleil ce levais, nous étions arrivées à un petit village, un tout petit village. Il était d'une grande pureté et il me paraissait très accueillant. Malheureusement, l'accueil n'était pas vraiment là. Et pour cause, ce petit village pittoresque était vide. Il n'y avait pas un bruit, pas une voix. Je n'entendais que le bruit assourdissant de notre charrette qui foulait ces lieux où le silence régnait. Quand la charrette s'arrêta et que je pus enfin ne plus entendre ces éclatements de bois contre la puissante cobblestone. Je mis pied à terre et je repris un grand souffle, j'essayais de faire partir toute cette mélancolie qui m'hantais et toute ses pensées qui me détruisais. Je me demandais ce qu'étais devenus mon père, mon fort et beau-père. Malheureusement, je pensais au pire, et rien de m'enlever cette idée morbide qu'est son....

A ce moment précis, si ma mémoire est toujours aussi fraiche. Je suis tombé dans les pommes.

 

Je me suis réveillée dans une pièce. Une pièce simple, un peu usée par le temps mais qui avait comme grande qualité d'avoir un magnifique tableau. Un tableau d'un réalisme à faire taire les plus grands Artiste de notre époque. J'étais encore un peu flouer par cet incident, par ces évènements qui me détruise et mes pensées mélancoliques qui me hantent. Que je n'avais point remarqué un détail sur ce magnifique tableau, un détail bien particulier, un détail que j'ai mis quelque heure à le décerner. Sur ce tableau d'une pure beauté, il y avait mon père. Mon père et ma mère me tenant tous les deux dans leurs bras avec un magnifique coucher de soleil. Je devais avoir un ou deux mois quand ce tableau fut peint. A ce moment même où je découvrais réellement ce chef d'œuvre, ma mère entrant dans cette simple pièce et me demanda si j'allais mieux. Je ne lui répondais pas et je lui demandai, en regardant l'œuvre, pourquoi j'étais sur cette toile. Elle ne répondit pas de suite et elle s'assied sur le bord du lit où je suis couché. Elle me raconta que lors de ma naissance mon père était si heureux, si content qu'il demanda, les larmes aux yeux, si on ne pourrait pas faire un tableau magnifique pour ma naissance. Elle me racontait avec amusement qu'elle n'avait même pas eu le temps de répondre qu'il avait déjà envoyé une lettre à un de ses meilleurs amis. Un grand peintre très reconnu qui accepta de faire ce chef d'œuvre où nous étions tous les trois ensembles avec ce paysage presque utopique. Elle exclama que mon père avais beaucoup envie de faire ce tableau. Je lui ai donc demandé pourquoi. Elle ne me répondit pas, puis après un silence, elle me disait que j'étais née ici dans cette pittoresque maison, dans cette petite pièce. Elle m'expliquait que ce tableau fus accrocher, ici, en l'honneur de cette pièce où tu es né. Je lui demandais, un peu surpris par ces dits, pourquoi elle me n'en avait jamais parlé. Elle répondit un peu déçu, qu’elle et mon père voulaient attendre ma majorité pour le montrer. Comme un cadeau. Comme le plus beau des cadeaux. Une larme coulait sur la joue de ma mère. Je me sentais mal. Elle devait être plus que déçu. Mais... je lui redemandais autre chose, pourquoi ne l'aurais-t-elle pas caché jusqu'à que je quitte cette pièce. Elle me répondit d'une voix que je ne connaissais pas, une voix qui m'été presque inconnue d'elle. Elle me disait que c'était ce qu'avait demandé mon père avant que l'on parte de notre cher village. Et maintenant, Je me sentais encore plus mal. Toujours plus mal. A un point que je n'avais jamais imaginé. Que je n'avais jamais connu. Je ne savais plus où j'allais. J'étais déboussolé et troublé au plus profond de moi. Je ne savais pas quoi dire. Ma mère ma prit dans ses bras et j'ai perdu toute paroles qui aurait pu la rassurer. Qui aurait pu lui redonner un petit sourire joyeux. Mais je n’ai pas eu la puissance, le courage, ni la force de dire quoi que ce soit. Je m'en voulais. Je m'en voulais énormément. Elle sortit de la pièce et moi je restais là, à regarder tristement le sol sans bouger.

 

Les journées passèrent, je n'avais toujours aucune nouvelle de mon père. Je craignais toujours le pire. Mon petit koiselo ressentait comme moi ce vide qui engouffrait mes envies et mes désirs. Il ne mangeait presque plus de croquette au cochon griller saupoudré d'épice de Citrouille. Je m'inquiétais pour lui, lui qui aimait la nourriture. Lui qui aimait la vie et être joyeux. C'était un moment aussi dur pour moi que pour lui. Et pour arranger le tous, nous vivions écarter du monde. Dans ce petit village silencieux sans signe de vie. Le seul contact extérieur était les petites annonces que ramenait ma mère lors qu’elle revenait d'une ville proche pour acheter de la nourriture. Je m'ennuyais de plus en plus et je m’engouffrais encore et toujours dans ma mélancolie.

 

Un jour, je crois que c'était un samedi, un jolie petit samedis de début d'automne. L'or où les feuilles tombes avec grasse et douceur. Les plus rapides ont déjà atteint le sol. Ma mère me proposa de l'accompagner à la ville où elle fait ses propres courses. J'ai accepté, je voulais changer d'air.

Je suivais donc ma cher mère et nous somme monter dans la charrette en laissant soigneusement dormir koiselo dans ma chambre. Nous arrivâmes à cette ville en prenant un petit chemin sinueux. Cette ville était plutôt grande et plutôt belle même si quelque rénovation lui aura redonné une allure bien plus luxuriante. Selon le panneau en bois elle s’appellerait Thaïlos.

Nous descendons de la charrette pour pouvoir continuer à pied. Après quelque minute de marche, nous arrivismes à la place central, elle était grande, bien plus grande que notre village à elle seul.

Je ne savais pas qu'il existait des choses aussi grandes. Surtout quand je voyais la taille des architectures environnantes. J'étais choquer mais un peu émue et émerveiller. Il y avait une bibliothèque très imposante avec de grand pilier en pierre. Il y avait aussi une milice protéger par des gardes en grosse armure de fer et armer jusqu’aux dents avec de puissante épée en obsidienne. Ils me rappelaient les amis de mon père qui venaient à notre ancienne maison avec leurs armures de cuire certes bien moins importante. Cela me faisait repenser à mon père... . J'avançais dans les ruelles riches de la cité, elles étaient construites avec des dalles de pierre et d’autres matériaux plus chers les uns que les autres. J'étais toujours sous l'effet de l'émerveillement.

Après quelque bâtiments aussi beaux les uns que les autres nous arrivions devant un grand marcher. Ce n'étais pas très loin de la place central et cela y sentais une drôle d'odeur. Il fallait passer par la grande allée du Fortin-Gauler puis on arriverait directement à l'intérieur du marché. Ce marché remplit de commerce en tous genre, je m'en rappellerais toute ma vie. Il y avait de tous, du poison frais, des côtes de porc bien grillées et tendres. Il y avait même du diamant et du lapis lazulie. J'étais émerveillé devant cette beauté qui venait du plus profond du sol. Il y avait aussi de drôle de marchand vendant des capes en tissus et d'autre même des potions étrange, par la même occasion ce vendeur de potion était eux aussi étrange. Mais ce n'étais pas cela qui me marqua le plus. En continuant de vagabonder, moi et ma mère nous arrivions près de personne essayant de gagner de l'argent... Autrement. Ces personnes faisaient des sortes de spectacle de rue. Certain cracher du feu, d'autre dansais, certain faisaient le mime et d'autre montrais des spider-jockeys dressées, j'avais peur de ces derniers. Mais dans toute ces drôles de personnes une et une seul ma vraiment marquer. Elle était vers la fin du marché, il n'y avait pas trop de monde et ce fus simple d'y accéder. Cette étrange personnage étais a première vu banal car elle ne bougeait pas, ne dansait pas, ne crachait pas du feu et ne vendais rien. La seul chose qu'il faisait c'est de faire de la musique, mais sans instrument. Sans objet, rien. Il utilisait le son de sa gorge et sans chanter ni rien sortais des mélodies magnifique avec des bruits originaux qui changeais des luths en fil d'araignée. Je fus surpris par la confiance qu'il avait de faire cela et de la maitrise de sa voix. Je suis resté bouche bée et j'ai eu l'envie d'essayer de faire comme lui, mais rien ne sortis de beau. J'étais jeune et émerveiller je voulais y arriver. Quelle que minute plus tard ce fabuleux personnage pars je ne l'ai plus jamais revus enfin presque. Puis je continuais ma route dans la ville de Thaïlos j'avais envie de raconter ma journée à mon koiselo. Car oui je parlais à mon Creeper, car même si certains disaient qu’il ne comprenait rien, pour moi il m'écoutait et il appréciait que je lui raconte des histoires ou même ma vie. Après qu'elle que heure nous rentrions chez nous. Avec pleins de bonnes choses à manger. Ah, je commençais un peu à m'adapter à ce changement soudain.

 

 

Les années passèrent encore... et encore et vous en saurez peut être plus dans un futur proche ou lointain.

 

Sur ce s'achève mon petit bout de RP que je vais surement grossir (peut être) dans d'autre candidature ou sur un sujet que je créerais spécialement pour.

 

Moi et Minefield

 

J'ai commencer Minefield , il y a bien longtemps. Ma candidature paysan le prouve. J'ai participer a quel que projet. J'ai aidée quel que ville (aide, terraforming...) et j'ai rencontrer pas mal de monde. Je suis un peu rentrée dans la grande communauté de Minefield.

 

Et pour finir, je fais partis officiellement du projet de la ville d'Egnokia une toute nouvelle vile en création qui promet d'être super prometteuse. Elle a été créer par Vimil et voici une screenshots du terraforming de folie !

 

 

mini_111114111643303883.png

 

Et une screenshots prise par Lokoise (qui fais aussi partit du projet Egnokia).

C'est la Marina.

 

1111140753142697.png

 

Merci de m'avoir lu.

 

Cordialement,

Matamort

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+1 Pour ce giganimateur de mumble, auto-proclamé meilleur guitariste vocal de Tetris! Matamort est frais, Matamort est doux et Matamort est vraiment très pratique!

 

Gentil, rigolo, Matamort est un joueur très agréable qui sait réchauffer les coeurs dans ces contrées si froides de Frowin. Il est investi, sérieux et travailleur, il mérite son rang!

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+1 Pourquoi aller vous me dire ?

 

- il chante bien tetris

-il a réussi à prononcer mon nom sans erreur la premiére fois

 

Bref , mes arguments appuient donc un joueur qui mérite une place conséquante au sain de la communauté ( dois-je vraiment préciser qu'il est drôle affectueux et travailleur ainsi que sympathique ??)

 

Plussoiment de pingouin :D

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Je plussoie Matamort, parce qu'il fait des bruits bizarres et rigolos.. et parce qu'il est très sympathique, que c'est un joueur actif sur mumble et qu'il travaille bien dans le chantier d'Egnokia. Bref, je le soutien dans sa postulation au rang de voyageur, il merite bien ce rang!

 

 

5794864525593_ewok_plussoiement.jpg

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+1

 

Matam0rt je le connais depuis presque 1 ans.

 

Et lui sais un mec qui anime les munble. Bon on aime ou on aime pas.

 

Mais on ri tout le temps avec lui !

 

Même si des fois il est lourd (OUI matam0rt !!! xD)

 

Donc oui il le mérite sa place !

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Attaque éclaire!!! Eu... Je suis ou la?

Je suis pas dans une arène pokemob?

Mais...mais c'est une candidature bien sympathique que je vois ici...hic!

Le RP me semble bien fait et surtout bien colorée...hic!

Qui est donc l'auteur de cette candidature?

On vient de me faire parvenir que c'était un joueur investi et sympathique dans mon oreillette. Eu... +1

Matamore...What els?

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Bonjour,

 

J'aimerais que tu revois ta candidature.

 

Quelles sont tes motivations pour être voyageur ?

 

Tu dis que tu as fait des choses depuis que tu es paysan, certes, je te crois sur parole, mais ce serait encore mieux si tu expliquais en détail (et pas seulement le projet sur lequel tu es actuellement).

 

Deux remarques concernant ton rp, quand tu inventes un nom pour un de tes personnages, fais attention d'utiliser toujours le même et fais attention aux fautes s'il te plaît.

 

Merci de prendre en considération ces remarques pour ta prochaine candidature.

 

A bientôt.

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