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Cinéphilie


Tybalt
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Coucou les cinéphiles !

 

 

Je reviens juste du ciné, je suis allé voir J.Edgar de Clint Eastwood avec Leonardo DiCaprio.

 

 

Je fus bluffé. Le grand Clint de retour au sommet de son art. Ne vous y trompez pas, bien que ce film soit un biopic de J.Edgar Hoover, le créateur du FBI, c'est bien d'un film d'amour dont il s'agit.

 

Chef d'oeuvre en vue, je pressens l'oscar pour ce bon vieux Leonardo :)

 

zou bande annonce :

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19257916&cfilm=178870.html

 

 

voila voila :D

 

Rien que la bande annonce, j'ai du la regarder 10 fois. Elle claque en VO.

 

Je vais surement aller le voir la semaine prochaine.

 

Sinon content que quelqu'un ai enfin cité Into The Wild.

Faut vraiment que je trouve du temps pour poster quelques films. :)

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Oh p...n, j'ai raté ce topic!

Ah bah, je vais pas citer tout les films que j'aime, donc un top 3, ça devrait le faire:

 

Brazil, de Terry gilliam (l'administration à la française vous paraîtra limpide):

 

Son meilleur film, selon moi, tellement prenant, une musique sublime (une des meilleures interprétation du thème de Brazil d'ailleurs, par Michael Kamen), et que dire de Jonathan Pryce! Excellent acteur (il joue dans pirates des caraïbes, le père de la nénette). J'ai eu la chance de le rencontrer, se baladant à la Fnac d'Avignon, où je travaillais, du coup j'ai son autographe ;). les producteurs voulaient une star, de ce fait Robert de Niro a un second rôle hilarant, une sorte de super héros plombier (non ce n'est pas mario). Et pour finir, ce film a été salement modifiée par les producteurs, sur la fin, pour les projections test, mais heureusement Terry Gilliam a eu le dernier mot, et la vrai fin est restée.

 

Fight club, de David Fincher (vous ne regarderez plus votre savon comme avant):

 

Là aussi son meilleur film (Je ne suis pas fan absolu de Seven, même si c'est un très bon film), qui a valu au directeur de la fox de se faire virer, car le film a fait un bide énorme au cinéma, et il a coûté les yeux de la tête (Brad Pitt a coûté très cher pour ce film, et non, lui n'est pas passé à la fnac d'Avignon...). Finalement il a cartonné en dvd, et il est devenu le film culte que l'on sait. La musique encore une fois est dantesque (the Dust Brother), et semble confirmer la règle de "une bof géniale = un film qui cartonne" (Je citerai Amélie Poulain et Requiem for a dream vite fait, ça illustre l'importance que la musique a dans un film). Fincher via ce film est un pionnier des plans improbables, assisté numériquement. La caméra qui rentre dans la poubelle, ou la présentation éclair des bombes placés dans l'immeuble en sont des exemples réussis. Bref un film énorme.

 

Pour finir, un film que je suis allé voir par hasard, durant la fête du cinoche. Le film que je voulais voir était complet, mais j'avais déjà acheté mon billet, du coup je suis entré voir...

 

La cité des enfants perdus, de Jean-Pierre Jeunet et Marc Caro (où comment faire du père noël votre pire cauchemar):

(en anglais, mais je voulais cette musique. edit: après visionnage en entier, ça contient du spoil sur la fin, coupez avant donc)

 

Un film français!!! Encore une musique sublime d'Angelo Badalamenti, un (ou plusieurs) Dominique Pinon énorme, une histoire originale et tellement bizarre, et un décor/univers de malade mental. Ce film fût malheureusement la dernière collaboration de Caro/Jeunet. Il s'agît d'un conte moderne extrêmement flippant, pour un gosse (les enfants acteurs y sont d'ailleurs remarquables), et d'un drôle pour nous adultes. Pour ne parler que d'un aspect, je trouve l'idée des cyclopes juste excellente, notamment la scène où l'un d'entre eux en étrangle un, en inversant la vision. Se voir mourir, dans la peau du tueur... Ca fait froid dans le dos.

La fin un poil baclé, mais on s'en fout, le film est à voir et à revoir.

 

Voili voilou.

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Hey hey, super comme Topic !

 

Bon, pour mes films...

je ne suis pas sur que sa passe bien ici, alors je vais vous mettre un cour-métrage !

 

 

J'ai vu ce clip il y'a environ deux mois je crois, je ne sais plus et je ne vais pas mentir mais j'ai pleuré, bah des grosses larmes d'enfants mais j'ai pleuré. Ce court-métrage est d'une rare intensité qu'il m'as réellement pris aux tripes au point d'un arriver là.

 

Concernant J. Edgar j'ai également prévu d'aller le voir le plus tôt possible, il faut que j'aille jeter un oeil au "reboot" de la série Millénium par David Fincher.

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Magnifique le court-métrage Meikah, je sais quoi faire de mes pièces rouges maintenant !

 

Sinon, j'ai l'impression qu'ils ont pas encore été cités ici : Les 3 Ocean's (eleven, twelve et thirteen) avec George Clooney, Brad Pitt, Matt Damon, et plein d'autres acteurs connus (le black dans dans Demolition Man, un autre bon film que j'apprécie). En gros c'est une équipe de génies qui volent des grosses banques, des casinos... Toujours avec des plans pleins de surprises et des retournements de situations hallucinants. Petite préférence pour le premier quand même !

 

Batman : The Dark Knight à déjà été cité, je rajoute Batman : Begins antérieur au précédent, et qui change complètement le cadre habituel et le déroulement de ce type de films d'actions, franchement à voir, ça vaut le coup d'essayer

Petit apparté : La suite de The Dark Knight sort dans pas long je crois, "Rising" je crois, ça m'a l'air de toute beauté, avec Bane et encore d'autres vilains pas beaux tordus ! ;)

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Pas de bras , pas de chocolat !

 

xDDD on connait non ? :) ( intouchable )

 

A la suite d’un accident de parapente, Philippe, riche aristocrate, engage comme aide à domicile Driss, un jeune de banlieue tout juste sorti de prison. Bref la personne la moins adaptée pour le job. Ensemble ils vont faire cohabiter Vivaldi et Earth Wind and Fire, le verbe et la vanne, les costumes et les bas de survêtement… Deux univers vont se télescoper, s’apprivoiser, pour donner naissance à une amitié aussi dingue, drôle et forte qu’inattendue, une relation unique qui fera des étincelles et qui les rendra… Intouchables.

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Bizarrement le Batman 3 me fait pas beaucoup envie... Enfin je n'ai vu que la bande annonce pour le moment aussi.

 

En parlant de films de super-heros:

 

Tout d'abord Marvel:

Que des navets mis à part X-Men Le commencement. En passant un film sur Deadpool (-18 ans) serait en production, j'ai hâte mais je suis pas sur qu'il vera le jour... :/

 

DC Comics:

Les Superman sont nuls (heuresement que SmallVille remonte un peu la pente).

 

Mais sinon... Que des chef-d'oeuvres !

 

- V for Vendetta ( par les frères réalisateurs de Matrix ), superbes images, bonne musique ( Tchaikovsky c'est mon héros ! ).

À noter que la voix de V en français est plus convaincante que en anglais.

 

- Les Batman de Nolan. Plus besoin de les citer je pense ? D'ailleurs Nolan a récément refusé de faire un film avec la ligue des justiciers et Batman, voilà un réalisateur qui travaille pour l'art et non l'argent !

 

- The Watchmen (spéciale dédicace à Dom') superbe. Les musiques sont (mis à part Chemical Romance) tous des années 70-80 et s'intègrent parfaitement.

Un film à voir de toute urgence !

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Deadpool en préparation, ca va saigner :D

Par contre, pour un bon film de super-héros je trouve que les Watchmens dépassent tous les autres!

Ca n'a pas le coté niais de certains héros, ni l'aspect tout blanc/tout noir (il n'y à qu'à voir Roschach) et ce n'est pas non plus du gros "fuck yeah america" comme on vois dans pas mal de films de super impliquant des conflits...

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Deadpool en préparation... D'après Wikipédia. Je n'ai pas trouvé d'autres sources donc c'est pas sur.

 

Je trouve que dans les nouveaux DC Comics (donc or Superman) il y a toujours ce côté ni bon ni mauvais.

Batman est bon mais passe pour un mauvais. Dent est mauvais et passe pour un bon.

V utilise des manières extrèmes pour faire prévaloir ses opinions, le médecin-legiste est à la fois bon et mauvais...

Quant au Watchmen ! C'est une remise en question du bien et du mauvais avec le Comédien.

 

C'est ça je trouve qui est cool avec les nouveaux Dc Comics y a pas de manichéisme. Et en plus les musiques sont à tomber !

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Cette année à selon moi été un peu décevante du côté américain malgré la petite perle qu'est drive, un Ryan gosling terriblement bon, un scénario intelligent et un univers sortant de l'ordinaire bien qu'un peu malsain. Bref selon moi un bel hommage à taxi driver de Scorsese, à ne pas aller voir si vous vous attendez à un film d'action car il n'a rien a voir

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Pour DeadPool

 

http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g ... .html(trop d'info... :( )

 

Par contre un truc viens de m'effrayer un peu: les trailers ne laissent pas transparaitre le pouvoir "lézard" de deadpool, est-ce qu'ils ne voudraient pas enlever ce pouvoir pour en faire uniquement une brutasse dans un film dans lequel on pourra emmener ses enfants :( ?

deadpool sans tripes par terre(le héros aussi^^), têtes coupées et bras arrachés(encore le héros qui se prends ca et qui le rends bien aux ennemis), ni sex, drug and big gun...

 

(essayez de lire le "marvel zombie" avec deadpool ou bien celui ou il doit retrouver un double de sa tète réduite par des indigènes^^, voila de bien saines lectures...)

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Et bien je vois que nos amateurs de films sur le forum ne sont guère datés ;).

 

Je regarde pas trop les films modernes, il y en a peu qui présentent un intérêt à mes yeux.

 

Je vais vous parler d'un film culte du registre cinématographique surréaliste : Eraserhead ( Tête à effacer). A regarder sous public averti et sous une approche la plus réflexologique possible.

 

1954_12d2d2838bbdabf35e8934f1ea81f9e6.jpg

 

Petite fiche descriptive tiré du site : http://archive.filmdeculte.com/culte/culte.php?id=190

 

Etats-Unis, 1977

De David Lynch

Scénario : David Lynch

Avec Jack Nance, Charlotte Steward, Allen Joseph, Jeanne Bates, Laurel Near

Photo : Herbert Cardwell et Frederick Elmes

Musique : David Lynch et Fats Waller

Durée : 1h25

 

 

Dans une ville sombre et oppressante, Henry mène une vie routinière quand il reçoit un jour une invitation à dîner des parents de Mary, son ex-petite amie. Celle-ci a mis au monde leur bébé, un petit être difforme, et un mariage est arrangé. Ne supportant plus les pleurs incessants de sa progéniture, Mary quitte le domicile conjugal. Henry se retrouve père célibataire et s’échappe de son triste quotidien, réglé par les cris du bébé, en trouvant refuge dans un monde parallèle où vit la dame du radiateur.

 

 

 

UNE VRAIE HISTOIRE

 

En 1965, David Lynch déménage dans un quartier industriel de la ville de Philadelphie. Le scénario d’Eraserhead trouve son origine au travers de son expérience dans cette ville qu’il qualifie "d’étrange, bizarre, à mi-chemin entre le rêve et la réalité". Il sème déjà les graines dans ses courts métrages et le 29 mai 1972 commence le tournage de ce premier long, qui va s’étaler sur cinq années. Le film, qui est une réécriture du projet Garden Back, devait à l’originer durer 42 minutes mais de nouvelles idées viennent jour après jour s’ajouter aux vingt pages du script originel. L’équipe n’a jamais dépassé plus de dix personnes, les cinq acteurs principaux inclus, et ses membres devaient ainsi se montrer très polyvalents. Au printemps 73, l’Institut du Film Américain, principal producteur du film, demande à voir des images et David Lynch leur montre la scène du dîner chez les parents de Mary. La suite ne se fait pas attendre et les producteurs se retirent du projet. Le tournage se poursuit tant bien que mal et doit être régulièrement interrompu. Afin de trouver des fonds, et pour pouvoir continuer son œuvre la journée, le réalisateur vendra le Wall Street Journal la nuit. En mai 74 le tournage reprend et le film sera achevé début 75. David Lynch voulait le présenter à l’édition cannoise de 1976 mais c’est finalement le 19 mars 1977 que le film aura sa première à Los Angeles. La version d’une heure cinquante provoque quelques bonnes réactions mais la plupart sont négatives. Lynch décide alors de raccourcir son chef-d’oeuvre de vingt minutes. Il sera distribué dans deux salles underground de New York et restera quatre ans à l’affiche. Le film arrive en France en 1980 sous le titre Tête à effacer avant d’être rebaptisé Labyrinth Man pour des raisons marketing, en référence à la sortie d'Elephant Man la même année. Son titre restera par la suite Eraserhead.

 

 

 

YOU’RE IN VERY BAD TROUBLE IF YOU DON’T COOPERATE

 

Derrière une histoire somme toute simple, celle d’un homme dépassé par les événements qui se réfugie dans un monde imaginaire avant de commettre l’irréparable, David Lynch a dissimulé une multitude de sous-couches qu’il donne en patûre au spectateur, le laissant maître de toute interprétation. Son film n’est pas à comprendre mais à ressentir, et chacun est libre d’y discerner les reflets qu’il désire. Ainsi est-ce que l’entièreté du film ne serait pas un seul et même rêve d’Henry dans lequel se mêlent des peurs inconscientes telles celle de la paternité, des tabous de la religion (sexe hors mariage, adultère, meurtre) ou encore un désir d’émancipation? De plus, Henry et Mary sont les seuls personnages avec une identité, la famille de la belle, qu’il n’a sûrement jamais rencontré, s’appelle X, Henry semble être constamment en vacances, et à cela s’ajoute l’extrème difformité du bébé. En outre, le réalisateur lance-t-il un appel à reconsidérer les relations humaines? Henry vit dans un monde où la communication n’existe plus (le film comporte environ trois cent répliques) et dans lequel la seule solution aux problèmes se trouve dans un univers imaginaire. Le dîner chez les beaux-parents, qui ressemble plus à un interrogatoire, en est un bel exemple et la grand-mère prostrée dans son fauteuil est le reflet du futur qui les attend tous, sec. Le présent est aseptisé, les sentiments aux abonnés absents. Le père de Mary ne pense qu’au dîner qui refroidit alors que l’avenir de sa fille se joue, et quand la voisine, s’invitant chez Henry, lui demande où est sa femme, lui de répondre qu’elle doit être repartie chez ses parents. Nous vivons les uns avec les autres, mais qui se soucie de qui?

 

 

Lynch critiquerait-il également l’industrialisation qui, avec la mécanisation, utilise les hommes et transforme littéralement leur cerveau en matière première? Ces hommes qui survivent sur une planète sacrifiée: Henry vit dans un monde post-apocalyptique (sur l'un des murs de sa chambre est accrochée une photo de champignon atomique) dans lequel il fait tout le temps nuit et les orages et autres intempéries, maintenant omniprésents, se font entendre tout au long du film. De plus, la seule forme de nourriture qui reste est synthétique et la nature semble avoir disparu avec le soleil. Le bébé d’Henry étant une victime des radiations qui ont provoqué des mutations, il en va de même pour la femme du radiateur, ce qui équivaudrait à dire que même les rêves, et à travers ce personnage le paradis, sont contaminés. Cette apparition serait-elle l’ange gardien qui va conduire Henry sur le chemin de l’émancipation? Elle représente, en opposition à la famille et au mariage, un idéal, terre de plaisirs partagés, et les dangereux embryons empoisonneurs de vie, elle les écrase avec un sourire complice. Cela dit, Lynch nous rappelle que le chemin est long et semé d’épreuves pour accéder au bonheur surprême. Ainsi quand Henry monte sur la scène où la belle se produit pour la rejoindre, il sera décapité et c’est la tête du bébé qui apparaîtra dans le trou béant lui rappelant que non content de lui faire perdre la tête, c’est encore et toujours lui qui se dresse sur le chemin de son bonheur, ce même bébé qui pleure dès que son père ose s’éloigner de son chevet et semble le narguer depuis sa couche. Le message est clair et le dernier sacrifice désormais inéluctable.

 

 

 

CAUCHEMAR NOIR ET BLANC

 

De la cryptique introduction au poulet en période de menstruation en passant par la chienne et ses chiots, les spermatozoïdes, ou encore le "bébé", la création est omniprésente, et à travers elle Dieu. Seulement Dieu a maintenant une usine de crayons à papier et règne sur un monde déjà mort où il ne contrôle plus les destinées humaines. Ainsi quand Henry décide de se libérer de sa croix, Dieu, malgré ses efforts, ne peut rien y changer. Happy end pour l’hallucinant cauchemar de Monsieur Lynch dont il a non seulement extrêmement travaillé le fond mais également la forme. Ainsi les images plus noires que blanches, le film se déroulant dans une quasi semi-obscurité, les intérieurs étant seulement éclairés par des lampes, ne sont que le reflet du côté déjà obscur de l’histoire. David Lynch mise sur la seule force de ces images pour expliquer ce qui se passe sur l’écran et les rares dialogues ne sont là que pour accentuer le côté superficiel des relations humaines: "Est-ce qu’il y a du courrier?". Ainsi la dame du radiateur ne parle pas avec Henry, elle lui chante les vérités qu’il a à entendre. Le réalisateur a également distillé tout au long du film des "sons organiques" (dont le traitement a commencé avant le tournage et fut poursuivi en post-production), issus d’expériences et autres accessoires créés spécialement pour l’occasion, qui concourent à donner cette atmosphère indéfinissable et étrange à l’œuvre. Un objet filmique si différent que certains critiques ont à l’époque de sa sortie clamé que sa vision provoquerait des lésions cérébrales. Pourquoi craindre l’inconnu alors qu’il est si enrichissant de se laisser emporter à sa découverte?

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Pour moi ce sera Sacré Graal des Monthy Python. On sort changé après avoir vu ce film tant il est délirant !

Sinon dans les films récents Intouchables arrive en tête de la liste, suivi de très près par Inception, dont l'univers est tout simplement magnifique, la musique parfaite ( Hans Zimmer toujours et encore ) des acteurs qui jouent très bien...

De plus on est gâtés cette année avec The dark knight rise et la première partie de Bilbo le Hobbit !

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Oui et c'est aussi lui qui a fait les musiques de Gladiator, des Pirates des Caraibes ( des Sherlock Holmes je crois aussi )...

En tout cas je me demande vraiment comment Christopher Nolan pourra faire mieux que The dark knight ( merci d'en avoir parlé je l'avais oublié ) dans le prochain car c'était une telle claque visuelle, sombre et dur, que ce sera dur de le dépasser.

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Bonjour

Juste pour dire qu'il y a pas longtemps j'ai revu kick-ass et j'avais oublié a quel point ce film était drôle, un kill bill sauce super heros, qui s'accompagne d'une b.o magistrale.

Bref, a voir pour les amateurs de films Tarantinesques.

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Je vous propose aussi un très bon film de Quentin Tarantino

 

Inglourious_Basterds_-_Logo.png

 

Synopsis:

 

Dans la France occupée, Shosanna Dreyfus, une jeune juive, assiste à l’exécution de sa famille par le colonel SS Hans Landa. Mais elle parvient à s’échapper et s’enfuit à Paris où elle se construit une nouvelle identité, devenant propriétaire d’un cinéma de quartier.

Pendant ce temps, le lieutenant Aldo Raine recrute un petit groupe de soldats Juifs-américains pour terroriser les troupes d’occupation allemandes. Très vite connus sous le nom des « Bâtards », Raine et ses hommes sont amenés à faire équipe avec Bridget von Hammersmark, une actrice allemande qui est aussi agent double pour les services secrets britanniques. Ils doivent tenter d’assassiner les principaux dirigeants du Troisième Reich, réunis pour la première d’un film de propagande, La Fierté de la Nation. C’est alors qu’ils croisent la route de Shosanna, qui mène sa propre vendetta. Elle met le feu au cinéma parisien le soir de la première, tandis que le commando organise de son côté un attentat visant les dignitaires nazis présents.

 

C'est un super bon film avec comme acteur principal Brad Pitt, il mêle à la fois des passages assez romantiques doublé à l'horreur de la guerre. Ce film n'est pas à mettre entre les mains des plus jeunes car il comporte certaines scènes assez sanglantes et difficiles...

En un mot: magnifique.

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Brad Pitt au sommet de son art dans ce film là, et une première scène magistralement orchestrée par le gros méchant pas beau Christoph Walz dont c'est le premier grand rôle.

 

 

Oh que oui, ce film là est un des meilleurs relatant de la seconde guerre mondiale.

 

Mais si la violence n'est pas non plus outrecuidante, le fait est qu'il ne faut pas le mettre devant toutes les paires d'yeux, parce que l'Histoire y est totalement renouvellée, il ne faudrait pas que nos petites têtes blondes prennent pour argent comptant tout ce qui est dit dans ce film ;)

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