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[Accepté] Alexiram - La redstoïne


TheZozor
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La redstoïne

 

Spécialisation : Ingénieur

Nom de l'échoppe : La redstoïne

Localisation : Héliopolis

 

Bonjour à tous et a toutes ! Mon pseudo est Alexiram et je suis sur le serveur depuis neuf mois.

Je suis citoyen depuis plusieurs mois et j'ai choisi le beau métier d'ingénieur.

Il est grand temps pour moi de passer commerçant et j'ai d’ailleurs commencé à préparer des stocks.

Si vous voulez voir des screens des projets auxquels je participe sur le serveur, Héliopolis, Tsuribashi ciquez ici:

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Je compte donc ouvrir des boutiques du nom de "La redstoïne", nom qui illustre l'addictivité de la redstone...

La suite de la candidature sera RP.

 

laredstone.pngAgrandir

 

Chapitre 1: La chute

Des sons confus se bousculaient dans sa tête. Des hurlement, crissement, chuintement se bousculaient par dessus le fracas d'une mécanique rouillée et ancienne. Il retrouvait ses esprits dans cette gare, mais quelle gare ! Tout s'y complétait, s'y imbriquait, de la plus petite vis à la plus grande pompe, du plus pauvre mécanicien au chef de gare. Et, comme pour se moquer de cette organisation, de cette chaîne de fonctionnement, la mécanique se faufilait partout, courrait sur les murs, couvrait les trains de ses rouages et se ramifiait telle une plante en constante expansion. Une plante qui grouillait de vie, les rouages tournaient, s'imbriquaient, se déplaçaient emportant des courroies qui mettaient en marche les pistons des machines à vapeurs, la redstone s'enfouissait partout, tantôt éteinte tantôt allumée, des grilles au sol révélait sa lumière rouge tandis que des lampes redstone clignotaient. Tout ce mouvement montrait la vie de cette gare, ce monstre qui semblait avaler les voyageurs dans sa lourde fumée grise, cet animal de métal parfois gris et froid, parfois rouge et chaud. Dans son ventre toute chose formait la gare si bien que aucun ne faisait attention aux autres comme s'il appartenaient au décors, à la gare.

C'est à cause de cette indifférence que personne ne l'avait réanimé alors qu'il gisait à terre. Il s'était relevé tant bien que mal et contemplait l'impressionnante locomotive qui avec fracas se précipitait sur lui. Cette locomotive comme un monstre démoniaque rugissait et sifflait tandis que ses roues jetaient des étincelle sur les courroies semblant prêtes à craquer de son mécanisme. Comprenant ce qui allait lui arriver il se jeta de la voie et le temps s'étira tel que cette seconde lui paru une minute. Il voyait tous les rouages et moteurs entrainant les roues du monstre s'activer pour le happer. Le train le frôla, et ce corps à corps avec ce démon lui fit prendre conscience de sa faiblesse, l'homme ne dominait plus la machine, ni la machine ni la nature. Il ressenti une vive douleur puis plus rien, le noir complet.

 

Chapitre 2: L'éveil

Réveille toi ! Réveille toi ! Ce cri lointain le sortit de sa torpeur. C'était un jeune garçon se prénommant Agris. Il lui expliqua qu'il avait dormis trois semaines et qu'il avait les deux jambes et les deux bras cassés.

"- Et toi comment t'appelle tu ? lui demanda Agris.

- Mon nom ? Hum, hé bien je ne m'en souvient plus. En fait je ne me souvient plus de rien.

- En attendant que tu recouvre la mémoire. Intervint Agris, je t'appellerais Aer, ça veut dire ciel dans ma langue, en référence au vol plané que tu a fait lors de l'accident."

Aer fut ému, c'était la première fois qu'un inconnu ne le rejetait pas depuis sa transformation en Feil.

"- Tu viens de me parler de ta langue, demanda Aer. D'où viens tu ?

- D'ici, répondit Agris de sa voix cristalline, dans ce pays on parle parle latin. Hum, vu ta tête tu ne te souviens pas de l'endroit où tu te trouve... Je vais t'éclairer, tu te trouve à Technadril, la ville de la technologie et berceau des plus grandes écoles d'ingénierie, où j'étudie d'ailleurs en tant que fils du défunt chef de gare. Là où d'ailleurs je t'ai ramassé après ton accident. Mais rendort toi tu a besoin de repos."

Agris se releva de la chaise posée au chevet d'Aer et quitta la chambre, sa longue chevelure blonde flottant derrière lui.

Aer resta seul avec ses pensées, Technadril, ça lui rappelait quelque chose. Des bribes de souvenirs lointains, une forêt, des loups, la lune, une question sur l'existence, une citée de d'or et de vermeil. Il sentait qu'il devait accomplir quelque chose d'important ici, et, pour lui son accident se changeait en défaite. Une seule défaite mais pas la guerre ! Il vaincrait la machine, la dominerais et cette vie complexe naîtrait de ses doigts ! Une vie si parfaite mais si froide, non, il ne voulait pas qu'elle domine l'homme et il apprendrait à la dompter !

 

Chapitre 3: La descente

Un nouveau chapitre de sa vie commençait même si les pages précédentes s'étaient effacées. Les semaines passèrent et Agris visiblement heureux d'avoir à qui parler lui expliquait ce qu'il apprenait a l'école, la technique, les mathématiques, les algorithmes, la redstonique. Rapidement le maître devint l'élève car Aer semblait avoir un potentiel illimité et passait ses journées a étudier et à faire des plans de mécanismes sans cesse plus complexes. Dés qu'il eu recouvert l'usage de ses bras il commença à construire, sans cesse dans la pénombre Agris lui apportant à manger. Aer excellait dans son domaine et ses connaissance ne faisait qu'augmenter, ses recherches sur l'intelligence artificielle lui prenait ses jours et ses nuits, si bien que son état frisait la folie. Il s'arrêtait tout de même une fois par jour pour parler avec Agris, lui montrer l'avancement de ses machine, de ses théories. Agris apprenait puis lui parlait de sa journée, des petites choses si rare que Aer ne pouvais pas voir, le calme, la vie, le soleil que Agris côtoyait chaque jour où il sortait de la ville après l'école pour visiter les compagnes d'AmbreMorte, le royaume où se trouvait Technadril, et que Aer ne pouvais pas voir enfermé dans les ténèbres de la ville aux cent mille rouages. Aer se souvenait, d'images, de sa forêt intérieure, passée et oubliée. Il oubliait parfois son importance, à cette nature mais ces moments la lui rappelait.

Quelques mois plus tard il comprit qu'il ne pourrait plus marcher, la nature heurtée par par le monstre de la technologie, avait perdu ses ailes et Aer restera cloué au sol au milieu des dents monstrueuses des rouages.

Il se replia sur lui même cherchant un moyen de recouvrer ses ailes mais tel Icare il ne comprit pas qu'on ne pouvait se jouer du destin qui voulait le retenir dans les fumées noires de cette ville et qu'en contrepartie de retrouver les nuages il sacrifierait son âme.

C'est ce qu'il fit, coléreux et désespéré il s'enfermait parfois des semaines sans donner signe de vie et ses discussions avec Agris n'en furent que plus rares.

 

Chapitre 4: L'accident

Ses recherches progressèrent grandement si bien qu'un jour il sorti de la chambre. Agris qui ne l'avait pas vu depuis des mois ne lui parlant que quand il lui apportait à manger, Aer lui tournant irrémédiablement le dos penché sur sa table de travail, ne le reconnu pas.

Ses joues creusées par la fatigue auquel s'ajoutait un teint blafard et des cernes violettes sous les yeux le surprirent, il allait lui reprocher de trop travailler quand il s'écria.

"- Mais, mais tu marche !

- Oui, répondit Aer d'une voix enrouée, j'ai retrouvé mes jambes je pourrait sortir maintenant. Mais, entre plutôt voir."

Agris s'exécuta. Le sol de la chambre était juché de pièces et de machines toutes plus compliquées et abstraites. Sur le bureau, au milieu de papiers froissés et de plans un petit mécanisme clignotait. Aer fit signe à Agris d'approcher.

"- Cette petite chose est le fruit de mes recherches, la preuve de la domination de l'homme sur la machine, c'est l'intelligence, la vie primitive comme elle a donné naissance à notre monde, je l'ai baptisée ZOÉ, la vie."

La petite chose paraissait intimidée, pas plus haute que la main, elle était de la forme d'un œuf, avait une sorte d'objectif en guise d'oeil. Son ventre laissait apparaître des mécanismes complexes et elle était prolongée par quatre pattes arachnéiques. Elle s'était réfugiée sur un coin de la table, dans l'angle du mur où elle s'était constitué un abris en ferraille.

Agris, émerveillé par cette merveille ovoïde, tenta d'approcher la main, il ressentait le besoin de toucher, comme pour se figurer que c'était réel. Cependant la machine était imprévisible et sa technologie avait atteindre un stade tel que même son créateur ne pouvait prévoir sa réaction. Acculée comme un animal sauvage, ZOÉ, bondit. Agris, projeté a terre vit disparaître l'index et le majeur de sa main droite entre les pattes aiguisée. La créature réitéra son assaut et Agris n'eu que le temps de retirer sa main droite dégoulinante de sang. Cependant elle s'attaqua à la chaussure du jeune garçon, déchiquetant le cuir, et sectionnant son gros orteil. Cependant Aer pût stopper la machine en lui administrant un choc électrique. Il se précipita vers son ami, le garçon souffrait et ses doigts criaient leur voisins absents. Les moignons et les nerfs a vifs s'agitaient déboussolés cherchant à comprendre ce qui leur était arrivés l'incroyable machinerie de l'homme était une nouvelle fois blessée par la machine.

Le jeune garçon était inconscient.

 

Chapitre 5: Des adieux

Lorsqu'il se réveilla il tâta ses plaies, entourées d'un bandage taché de sang. Un son, une voix, "Tu est blessé mais il n'est rien que je ne puisse réparer", puis il sombra dans l'inconscience.

Aer le sauva, lui greffa des protèses mécaniques, mais il comprit le message, il était dans la mauvaise voie, il avait fait le contraire de ce qu'il voulait, créer un mécanique ne présentant aucun danger pour l'homme. La création d'une entité pensante amicale était impensable, elle chercherais forcément à s'émanciper, présentant un danger pour l'homme. Lorsque Agris fut finalement rétablit Aer décida qu'il avait trop abusé de son hospitalité et lui annonça son départ, les adieux furent longs et Aer promis de revenir le voir...

L'air rouillé irritait ses narines et un âcre goût de sang occupait sa gorge, il lui fallait partir de cette ville. Il avait quitté la maison d'Agris ce matin même et avait erré longuement avec ses pensées: "Où aller maintenant ?". Maintenant à la gare il lisait les destinations, et un nom lui rappela quelque chose, "Quai 10: Trains pour Minefield". Minefield, ce nom évoquait un passé brumeu dont il n'arrivait à se souvenir, "Optons pour le quai numéro 10" pensa t-il.

 

Chapitre 6: Des retrouvailles

Une fois sur ce quai, un passant l'aborda:

"- Coucou mon agneau !

- Bonjours je vous connaît ?"

L'homme lui inspirait un sentiment étrange, un mélange de sympathie extrème et de de dégout: ses yeux exorbités s'écartaient maladroitement "Il a un oeuil qui dit merde à l'autre" pensa t'il. Aer ressenti ensuite une sensation de déjà vu, il connaissait cet homme.

"- Mais voyons Alexichou c'est moi khamelot !"

La page sa vie à Technadril se tourna alors, une foule de souvenirs oubliés émergèrent, il recouvra sa mémoire. Il ressentit une profonde sympathie pour khamelot son ami de longue date l'avait délivré.

Ils discoururent longtemps, khamelot était venu pour refaire ses stocks de fusées, qui sont a très bas prix à Technadril. Alexiram lui raconta son aventure ici et khamelot apprenant le talent en ingénierie de son ami lui conseilla d'en faire son métier puisque c'était un métier que Alexiram cherchait avant son départ à Technadril.

De retour sur minefield, Alexiram s'acheta une maison sur Stendel pour reprendre ses recherches sur la guérison de sa malédiction et pour commencer à réunir les moyens nécessaires pour l'ouverture de son magasin d'ingénierie: "La redstoïne"

 

Extrait des Chroniques palpitantes d'une vie ennuyeuse, traduction: Alexiram

 

 

 

Oyez oyez, en espérant que ces quelques pages vous ai distraites, je vais maintenant vous parler de mon projet...

Depuis l'obtention de la citoyenneté, j'envisage de créer une boutique en capitale, il me faudra cependant obtenir les PAs pour cela.

Je compte donc d'abord ouvrir une boutique d’ingénierie à Héliopolis, voici des images de celle-ci:

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J'ajoute que cet essai ne sera pas forcément le résultat final car je ne sais actuellement où m'installer, j'adapyerais bien sur mon échoppe à la ville.

 

Nous proposerons des prix raisonnables et ceux-ci seront toujours discutables lors de grosses commandes:

prix.png

 

Ainsi je conclus cette candidature et remercie les joueurs et la modération de ce remarquable serveur de m'avoir lu jusqu'au bout. Et, sur ce je retourne sniffer ma redstone, Snnnnnnniffff !

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