Aller au contenu

[Accepté][Aventurier] The Adventurer - Kolwako (Repreneur)


Kolwako
 Partager

Messages recommandés

Ô jeune confrère, je n'ai beau t'avoir vu beaucoup à l’œuvre, tu es une personne qui me fait bien rire du fait de votre ténacité et à ce don incroyable que vous possédez qu'est l'humour facile.

Je vous ai rendu un service en garnissant votre garde-robe, j'espère que vous me rendrez la pareille via votre présence.

Je ne doute pas qu'entre nous, notre potentielle concurrence sera dure mais je suis ferme sur le fait que vous ferez un bon Commerçant et que vous appliquerez vos qualités à vos tâches, je te soutiens sous toutes les formes,

Weexy

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Hello hihihih depuis maintenant quelque mois je me doit de venir ici et enfin je le fais :P mais pour faire quoi :o dire bonjour... non :P (ou comment gagner 2 ligne dans un plussoiement)

Je viens ici pour plussoyer klowako :D c'est un joueur très sympathique nous avons longtemps jouer ensemble et nous continuons a joué, joueur respectueux et mature il est aussi actif dans de nombreux projet :P a mon avis il mérite de passé commerçant :)

 

+1 Kolwako ^^

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salutations,

 

Voici donc le "double-poste" me servant à mettre la suite de mon Rôle-Play (à cause de la limite de 60 000 caractères, que je dépassais de 6000).

Mais avant tout, je voudrais remercier du fond du coeur tous ceux qui m'ont plussoyé, ou montré leur soutien. En effet, certains n'ont pas pu me soutenir par écrit, mais l'ont peut-être fait encore mieux à l'oral, et je vous dit à tous Merci.

J'espère que vous aimerez cette suite de mon Rôle-play (que je n'ai pas autant travaillé que les précédents à cause d'occupations IRL à mon plus grand regret) et que vous prendrez du plaisir à le lire.

 

Chapitre VIII : Refaire surface.

 

Cela faisait quelques jours que je voguais sur cet océan. Quelques jours que je ne voyais que lui aussi. Et enfin quelques jours que je ne mangeais plus que du poisson cru. Je pensais en effet trouver une taverne, ou bien même un établissement dans lequel je pourrais acheter quelques aliments pour mon voyage. Je ne vis pas même l’ombre d’un rocher. Je commençais à ne plus pouvoir ouvrir les yeux. Une douleur, persistante, s’installait lentement dans mon ventre. La faim. Le soleil ne m’épargnait pas pour autant, et me brulait de ses rayons, sans que je ne puisse m’abriter quelque part. Etait-ce ça, un voyage en quête de soi-même ? Je ne pus répondre à cette question rhétorique, et me suis évanouis.

 

Je fus soudain réveillé lorsque je sentis que ma barque cogna dans un rocher. Je sursautai, pensant enfin avoir échoué sur une plage. Lorsque j’ouvris, péniblement, mes yeux, je vis un tout autre spectacle. Une immense île, à l’architecture très spéciale, abritant sous son feuillage une petite citée, avec en son centre un cristal, un immense cristal, lévitant sans aucune aide. Je crus halluciner. Je me suis frotté les yeux, à m’en arracher les yeux. Non, je ne rêvais pas. Soudain, un homme, sûrement un fermier par ses vêtements, vint vers moi. Il me demanda ce que je faisais là, mais ma gorge était top sèche pour que je puisse parler. Il m’aida alors à arriver au quai, et m’emmena dans une taverne. Il y avait là deux hommes, l’un derrière son comptoir, surement le tavernier, et l’autre, assis à une table, dégustant un gâteau. Le fermier me fit asseoir à une table, tandis que le tavernier m’amena une carafe d’eau et un grand verre. Je bus une dizaine de gorgée, et alors que j’allais m’en resservir une onzième, toujours assoiffé, le tavernier chuchota, mais pas assez bas, au fermier : « Faudrait-pas qu’il boit tout, le convoi de ressource n’arrive que dans deux jours, et j’ai bientôt plus d’eau ! Manquerait plus qu’on aille boire l’eau de l’océan. ». Ils se sont alors assis devant moi, et ont commencé à me questionner. Je leur expliquai alors comment j’avais échoué ici, et toute mon épopée précédente. Je ne pus m’empêcher de penser à mon arrivée, à Labes, dans les mêmes conditions que maintenant : Seul, affaibli, recueilli par de braves gens.

 

Les deux hommes me firent visiter leur île, qui se nomme l’Ile Yppade, et m’expliqua son histoire, que je ne compris pas, non pas qu’elle ne soit pas intéressante, mais car elle est longue, compliqué, et que je n’étais pas en état de l’écouter, tout simplement.

Je compris simplement que trois communautés vivaient en harmonie sur cette île, les Précurseurs, les Epicuriens et les Stoïciens, vivant chacun de leur côté. Ces trois « peuples » se distinguaient d’ailleurs par l’architecture de leurs bâtiments, chacune très distincte des autres. Je me sentais bien avec eux, et ils semblaient m’apprécier. Ils me proposèrent d’ailleurs de rester, afin de me rétablir, et pourquoi pas de les aider à reconstruire l’île, dévastée par un Cataclysme.

 

J’ai donc passé les semaines suivantes avec eux, les aidant dans les travaux et autres tâches. Ils me rappelaient Labes. Une communauté petite, mais soudée, où tout le monde se connaît.

Je me suis lié d’amitié avec la plupart des habitants, et j’étais même considéré comme un Yppadis, en quelque sorte.

Je n’avais pas fait attention au temps qui s’était écoulé en leur compagnie, et me rappela soudain du rendez-vous que nous tous, les labessiens, nous nous avions fixé. « A dans un mois ! ». Il ne me restait que quelques jours, et je ne voulais pas rater ce moment là. J’en fis part aux Yppadis, qui ne le prirent pas mal, bien au contraire. Ils m’expliquèrent d’ailleurs qu’un convoi de vivre faisait le trajet entre Stendel et l’ile Yppade tous les lundis, et allait d’ailleurs arriver. Il me déposera au port de Stendel, et il me suffira, lorsque je reviendrai, de repartir avec cette même navette.

Je préparais donc mes affaires, afin de repartir vers Stendel. Enfin, plutôt partir, étant donné que je n’étais jamais allé encore à Stendel. Je les remerciais pour tout ce qu’il avait fait pour moi, et ils me souhaitèrent en échange un bon retour parmi ma « famille ». Ce n’était qu’un au revoir, et nous savions tous que nous nous retrouverions très bientôt. J’embarquais dans la navette, et nous nous mîmes en route, moi et le capitaine, vers la capitale.

 

Chapitre IX : La couronne de l’Empire.

 

Nous avons mis seulement quelques heures pour arriver au port de Stendel. Arrivé, je lui est donné quelques sous que j’avais sur moi afin de le remercier, et me mis en route. Je me retournai, et vis Stendel. J’étais ébahi par cette nouvelle ville, si immense ! Je voyais de là un quartier perché sur les hauteurs, un autre dans une immense faille, et enfin une multitude de quartier, s’étalant à mes pieds. Chaque quartier correspondait à un métier, et je me trouvais dans le quartier pêcheur. J’avais hâte de me rendre au quartier aventurier, et décida de prendre un métro afin de m’y rendre. J’allai descendre les escaliers quand j’entendis quelqu’un m’appelait, l’air hésitant. « Kolwako ? C’est bien toi ? ». Je me retournai, et vis TheTsarevitch, accompagné de Lebrank, plusieurs scaphandres chacun dans les bras.

 

TheTsarevitch : « Hey ! Comment vas-tu ? On ne s’était pas vu depuis un bon bout de temps ! Tu deviens quoi ? Enfin commerçant ?

Kolwako : Bah non, je viens d’arriver à Stendel, afin de repartir à New-Stendel, comme on s’était dit avant de tous se quitter. Non ?

TheTsarevitch : Pas la peine ! Je t’explique. Il s’est trouvé qu’on s’est tous retrouvé à Stendel. On a discuté et on s’est dit que ça pourrait être bien de devenir commerçant. Je n’aime pas dire ça, mais je pense que Nubes ne sera pas rouvert avant un moment. En plus je rêve depuis tout petit de faire du commerce ! Bah, tu sais quoi ? J’vais t’amener voir les autres ! »

 

Tandis que Lebrank finit de remplir les stocks, et d’aller repartir pêcher, TheTsarevitch et moi sommes partis pour retrouver tous les autres labessiens, apparemment tous commerçant. Nous avons d’abord croisé Ptitmonstre, ramenant des minerais tout frais dans son échoppe, puis the_diable_noir, se dirigeant vers la taverne de Vincineuze, à deux pas de son échoppe. Nous nous sommes ensuite rendu chez les souffleurs de verres, afin d’y rencontrer Pipoup, construisant son nouveau commerce. J’ai aussi entrevu Neyzhak, en train de vendre une machine à piston, dont je ne voyais pas l’utilité. En même temps, c’était Starfunx qui lui achetait, il avait surement inventé une des ces machines bizarre, mais tellement pratique. Mais, pas tous était devenu commerçant. En effet, sur le chemin du retour, nous avons vu Shinozuke, maintenant enchanteur, volait de failles en failles sur … Une poule. Je lui demanderais comment il fait d’ailleurs. Fenrile, de son côté, était à la scierie du quartier Bûcheron, contemplant ses immenses machines, tandis qu’au quartier d’en face, KillerMapper était en train de fabriquer quelques tables et autres chaises.

 

Nous avons terminé notre visite au quartier aventurier, où il m’a d’ailleurs laissé, car il devait repartir au travail. Ce quartier m’a ébloui de par sa beauté, et son ambiance. Je vis quelques échoppes, chacune très belle, puis je vis une parcelle, commerçante, vide. Je me dis que je devais tenter ma chance. Le soir commençait à se coucher, et le soleil se reflétait sur la rivière, qui avait surement creusé la faille du quartier. Je n’arrivais pas à m’en aller. Ce sentiment de bien-être me poussa à vouloir m’installer ici

 

Je logeai la nuit dans la taverne de Vincineuze, et partit le lendemain je partis au Fort de l’Ambassade des Nouveaux Arrivants, à New Stendel afin de récupérer mes quelques biens.

Sur tout le chemin, je n’arrêtai pas de penser à une chose : faire du commerce.

Cela ne m’avait jamais paru important ni utile, car je me satisfaisais à tuer des monstres. Mais cette bataille m’a changée. Profondément. Je ne suis plus le jeune garçon tentant désespérément de retrouver sa bien-aimée. J’ai abandonné cela. Je continuerai, certes, mes recherches, mais le cœur n’y est plus. Je n’arrive plus à rallumer cette lueur d’espoir. Un vent nouveau l’a balayé. Je dois désormais passer à autres choses. Aller de l’avant. Je dois vivre.

 

Le voyage n’a pas été si long que cela, une journée environ. Je décide de passer la nuit au Fort, pour repartir le lendemain au lever du soleil. J’ai d’ailleurs fait un drôle de rêve. Je revoyais mon arrivée à ce fort. La première fois que j’ai foulé les terres de Minefield. Ah que du temps s’est écoulé depuis ! Le lendemain, je contemplai une dernière fois le soleil se lever sur New-Stendel. Avant de m’en aller pour de bon, je fis une dernière promenade.

Sans que je ne le veuille, je pensais à ce que je pensais d’habitude lorsque j’arpentai les rues, que je connaissais à force par cœur, de New Stendel : Nubes. Plus j’y marchais, plus j’en tombais amoureux. Et je ne savais pas si, lorsque Nubes rouvrira, si j’aurai la force de la quitter. Car malgré que je parte pour Stendel, New-Stendel restera dans mon cœur à jamais.

Soudain, un homme, vêtu comme un messager, me tendit une lettre. « Ah bah dis donc, ça fait une semaine que je vous cherche ! C’est une lettre de convocation au bureau des Conseillers de l’Assemblée Minefieldienne ! Si vous ne vous y rendez pas demain, vous pouvez dire adieu à votre possible grade de Voyageur et recommençait une candidature ! ».

J’avais totalement oublié cela. Et ce n’était pas de moi. Tous ces événements m’en avait fait oublié l’essentiel : être Voyageur.Je fis envoyer une lettre à Stendel pour prévenir les autres labessiens de la convocation. Je leur avais promis que si je passais Voyageur, c’était avec eux.

Cela fait, je repris ma balade, et me dirigea vers le Volbourg, Voltemont que j’appréciais particulièrement. Je vis au loin une échoppe aventurière. Celle-ci appartenait à un certain om24. Je remarquai alors une petite annonce dessus, stipulant qu’il cherchait un repreneur, car il ne souhaitait pas laisser à l’abandon ses commerces. L’occasion était rêvée pour moi, qui voulais devenir Commerçant Aventurier ! Je laissais donc un petit mot en desus, en disant que j’étais intéressé et que je lui donnais rendez-vous à la Taverne Nonérpeh près de l’Ambassade des Nouveaux Arrivants, bastion des labessiens pendant plusieurs semaines, faute d’autre lieu où se retrouver.

 

Alors que je buvais une bière au fond de la taverne Nonérpeh, je vis un homme, vêtu d’un pantalon et d’une tunique avec un petit veston en cuir entrer. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai su que c’était om24, et je lui a fait signe de s’asseoir à mes côtés. Celui-ci, pas plus étonné que cela, s’est approché, et en levant un sourcil, me demanda si c’était moi « Kowalco ». Je le corrigeai et lui dit que c’était « Kolwako », mais à son sourire, om24 comprit que j’avais l’habitude. En effet, à son arrivée à Labes, seule une personne avait réussie à prononcer mo, nom correctement du premier coup. Je m’y faisais, à force.

 

Nous avons tous deux commandé une bière, et nous nous sommes mis à discuter de la succession de la chaîne d’échoppe d’om24. Au détour d’une conversation sur Nubes, om24 m’apprit qu’il était un ancien labessien, mais qu’il avait choisi le retour à la ville, malgré qu’il apprécie énormément les labessiens, pour y faire du commerce, ce qu’il préférait par dessus tout. Au moment de commencer à préparer le dossier, je sortis quelques feuilles de ma sacoche, où été griffonnées des idées, des plans d’architecture et des tarifs, tandis qu’om24 mit sur la table un petit cahier en cuir, assez usé, avec toutes les informations concernant ses échoppes, ainsi qu’un petit papier où été marqués les différents composants du dossier. Om24 se mit à me dicter ce qu’il fallait mettre pour compléter le dossier.

Quelques heures plus tard, le dossier été rédigé. C’était bizarre de préparer mon grade de Commerçant alors que je n’étais pas encore Voyageur, mais om24 été persuadé que j’allais l’être. Il avait l’intuition pour cela.

 

Chapitre X : Une nouvelle vie.

 

 

Le suspens devient terrible. Cela fait plus d’une demi-heure que j’étais dans le bureau des Conseillers de l’Assemblée Minefieldiennne, ne sachant toujours pas s’il j’étais accepté en tant que Voyageur. Ce serait la fin d’un voyage, un voyage qui aboutirait au retour sur Labes, si je ne l’étais pas.

Aux yeux des Labessiens, j’étais déjà Labessien. Labessien dans l’âme, Labessien dans le cœur.

Ca y est, la porte s’ouvre avec un grincement très stressant. J’arbore un magnifique sourire, et je leur tends la main.

« - Et voilà ! Je suis désormais Voyageur ! A nous Labes !

(En chœur) Ouais ! Bravo à toi ! »

Tandis que les Conseillers, qui n’avaient pas refermé la porte, assistaient, le sourire en coin, à cette scène de joie intense, nous sommes partis à la taverne où nous avions pris nos habitudes près du Fort de l’Ambassade des Nouveaux Arrivants. S’en suivi une soirée pleine de rire, de jeux aussi, et bien sûr d’alcool, mais avec modération bien sûr. Ce nouveau grade m’assurait non seulement ma place lors du retour de Nubes, mais aussi le tant convoité droit de pouvoir postuler au commerce. En effet, en plus d’être un grade rapportant de l’argent, c’était un grade d’honneur, d’estime. Et y accéder n’était pas chose facile.

 

Quelques jours plus tard, je suis allé présenter mon dossier de candidature commerçant Minefieldien accompagné d’Om24. C’était la première fois que j’écrivais une candidature, avant même d’être sur de pouvoir la donner aux Conseillers d’ailleurs. Quelques craintes subsistaient dans mon esprit. Avais-je bien retranscrit mes sentiments, et mon envie d’être commerçant avant tout par amour de l’aventure ? Avais-je au moins rempli correctement le dossier, avec tous les critères qu’il requiert ? Om24, de son côté, en était sûr et certain.

 

Tous deux marchions, d’un pas pressé, le stress nous emportant avec lui, vers la salle du Conseil. Nous nous sommes assieds, afin d’attendre notre tour. Après quelques minutes, un jeune homme, encore Vagabond, à voir avec ses vêtements, sors, le regard baissé, les poings serrés. Il venait d’être refusé en tant que Paysan. Avant de s’en aller, il prononça une dernière parole dont je ne saisis pas le sens : « trololol ! ». On me fit signe de rentrer, ce que je fis. A la vue de mon dossier, l’un des Conseillers me tendit sa main, et je lui remis mon dossier. Il me fit alors un signe de la main, pour me signifier que je m’en aille. A sa sortie de la salle, Kolwako chuchote, pour ne pas déranger les autres prétendants dans la salle, que c’est bon, et qu’il ne reste plus qu’à attendre. Nous sommes partis, et avons repris le métro en direction de la maison d’om24. Nous nous sommes installés sur son balcon, et avons discuté sur la reprise de ses échoppes. En effet, il disposait de cinq échoppes : Deux à New-Stendel, au Volbourg, ainsi qu’en Banlieue Sud, une à l’Hypérion, une au Vampire Bund, et une sur un monde parallèle dont je ne connaissais alors pas l’existence : Nimps. Avant toute chose, il a décidé de m’y emmener, et nous avons passé l’après-midi à voyager, à pied, en métro, et même en passant un portail, afin qu’il me les montre chacune, une à une. Je fus surpris d’apprendre la connaissance d’un portail pour aller sur un monde parallèle à la Tour des Mages, moi qui y était allé lors de mon départ de Nubes. En effet, à l’inverse du portail dudit monde, situé en haut de la tour, le portail de Nimps lui est au sous-sol. Difficile donc d’en connaître la connaissance. De plus, ce monde est très étrange, par le type de construction, et l’ambiance de « liberté » qui y règne. Mais, passons.

Nous avons par la même occasion « centralisé » les stocks d’om24 afin que j’aie plus de facilité pour les redistribuer dans chaque échoppe, et m’a confié tous les papiers de parcelles, en cas de contrôle.

 

Les premiers jours il resta avec moi afin de m’aider dans la reprise des échoppes, et m’entrainer, mais je dus assez vite reprendre le flambeau seul. En effet, il devait s’absenter pour s’entrainer durant quelques semaines afin de passer son Brevet d’Annihilation de Creeper (autre appelé BAC) afin de compléter son parcours d’Aventurier.

Etant donné que je n’étais pas officiellement commerçant, je stipulais que j’étais son apprenti (ce qui est vrai d’ailleurs) et évitais de vendre en trop grande quantité, ou des objets de trop grande valeur. Je ne faisais pas grand-chose de mes journées, il faut le dire. Afin de briser la monotonie de celles-ci je changeai chaque jour d’échoppe. Mais j’y faisais toujours la même chose : Penser, à une multitude de chose. A Kalwena tout d’abord. Je n’arrivais pas à me faire à l’idée de l’avoir perdu. Et même si je voulais penser à moi, elle serait toujours au fond de mon cœur. A m’attendre. Penser aussi à Nubes, mon deuxième amour. Le gouvernement nous dit que son retour sera long, mais qu’il nous remerciait de notre attente. Avions-nous le choix, de toute façon ?

Un jour, j’en eus marre. Ce n’est pas cette conception du commerce que je voyais. Ce que je souhaite, c’est partir, sans savoir où aller, en quête d’un trésor caché, tuer des monstres, revenir les bras chargés de ressources, et les mettre dans mon échoppe.

J’informai à om24 que je laissais ses échoppes en berne quelque temps, afin de préparer mon commerce, et faire tout mon possible pour qu’il s’accorde avec le sien. Il prit la nouvelle de bon cœur, même heureux de voir que je ne voulais pas me contenter de son commerce. Ce qu’il craignait le plus, c’est de voir son commerce survivre. Mais moi, je ne voulais pas le faire survivre. Mais vivre.

 

Je suis donc allé à Stendel, au quartier aventurier. Je me permets de vous passer mon voyage, banale en somme et reprend mon histoire au moment de mon arrivée.

A mon arrivée, j’étais époustouflé. Le quartier avait été bâti dans une immense faille, avec au fond d’elle une petite rivière, ruisselant jusqu’à l’océan très proche. Quand je suis arrivé dans la zone commerçante, je vis quelques échoppes déjà en place, plus magnifiques les une que les autres. Cependant, il restait une parcelle en vente. C’était l’occasion rêvée de s’installer dans la capitale ! Alors que j’en faisais le tour, deux hommes vinrent à moi. Ils étaient tous deux commerçants aventuriers dans ce quartier, et me demandèrent si j’avais besoin de renseignements au niveau de cet emplacement. Je fus surpris de leur aide, que je n’avais même pas formulé à voix basse. Je leur demandai si elle était en vente, et me dirent que oui, et une discussion s’engagea alors. Nous nous étions mis à couvert, la pluie s’étant mise à s’abattre de plus belle quand un jeune homme vint à nous. Au départ, il fut assez distant, et semblait écouter de loin notre conversation. Il comprit que je l’avais repéré, mais il me semblait plutôt sympathique, je ne saurai dire pourquoi. Les aventuriers avec qui je discutais depuis quelques heures pensèrent pareil, et il s’invita sans le vouloir à la conversation. Nous avons très vite sympathisé, et après que les aventuriers (commerçants je pense) soient repartis travailler, nous sommes allez chez lui, à sa maison au quartier aventurier, pour continuer de discuter sur le commerce. Il m’a dit qu’il se nommait Dranoel, Torcubain-Providencien depuis la première heure, assoiffé d’aventures. En effet, lui aussi voulait devenir commerçant aventurier. Quelques jours plus tard, il m’invita chez lui afin de discuter. Il avait un projet dont il voudrait me faire part. Nous avons commencé à parler de nos projets, et en lui expliquant que je reprenais la chaine d’échoppe d’om24, illustre aventurier, « The Adventurer ». Tout d’un coup, nous nous sommes levés, et avons dit, quasiment en même temps : « Et si on était associés ? ». Cette scène montre déjà que nous l’étions à l’époque.

Dès lors, de longues discussions s’en sont suivies afin de déterminer nos futures échoppes, le partage des stocks, et leur répartition. J’étais très heureux d’avoir trouvé un associé, car j’aime travailler en équipe, et non seul, et om24 a très bien accueilli la nouvelle. Il me fait confiance. Au niveau des échoppes d’ailleurs, je lui ai d’ailleurs laissé celle du Vampire Bund, car il connaitrai plusieurs personnes là-bas et sera plus apte à la gérer que moi.

A la fin des discussions, je possédais, comme lui, 3 échoppes : Une à Nimps, une à l’Hypérion, et une à l’Ile Yppade. De futures échoppes étaient en construction, mais il est trop tôt pour en parler.

Notre routine s’est au fur et à mesure du temps formée. Celle la routine que j’aimai. Partir, sans savoir où aller, en quête d’un trésor caché, tuer des monstres, revenir les bras chargés de ressources, et les mettre dans mes échoppes. Nous allions tous les deux déjouer les pièges des donjons, et assassinions des dizaines et des dizaines de monstres en tout genre. Nous dormions à la belle étoile, parfois sur le toit de l’une de nos échoppes, et repartions, toujours assoiffé d’aventure. J’aime cette vie, et je ne la quitterai pour rien au monde. Les quelques pièces que nous gagnions nous servaient à payer notre casse-croûte, ou une nouvelle épée, car l’autre a cassé face à un creeper un peu trop persistant.

Les semaines passaient, et vint le jour où j’étais enfin convoqué au bureau des Conseillers de l’Assemblée Minefieldienne, tout comme Dranoel. Nous avons mis une journée de marche pour revenir à New-Stendel, où se trouvaient leurs bureaux.

Beaucoup de gens attendaient déjà, mais à notre plus grand étonnement nous fûmes pris avant les autres. A croire que le grade de commerçant avait une importance toute particulière au sein de la société Minefieldienne. Nous nous sommes séparés, chacun allant dans un bureau différent. Trois conseillers étaient assis, comme à l’acoutumé, derrière un long bureau de bois sculpté, et m’ont fait asseoir. « Il est grand temps de connaître votre avenir, Kolwako … ». Et la suite, vous la connaissez, non ?

 

 

Note de l’auteur : La suite dont parle le narrateur est la réponse à la question « Kolwako sera-t-il commerçant ? » et s’adresse directement au modérateur qui aura eu le courage de lire son Rôle-Play jusqu’au bout.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est qu'il grandit vite, ce petit !

 

Kolwako, Kolwako...

 

C'est une longue histoire d'amour entre nous... Laissé moi vous la conter :

Tout a commencé, ce samedi 4 février de l'an 2012... Moi, nouveau parrain à l'ANA, je lis cette formidable présentation (post234264.html?hilit=kolwako#p234264) et je le contacte immédiatement. Après quelques MP pour l'aider avec Mumble, j'arrive enfin à lui parler. Et là, le contact passe super bien entre nous, et quelques semaines plus tard, une vraie amitié était née.

Il est mérite beaucoup sa licence, de par son investissement sur le serveur.

C'est un joueur exceptionnel, et son commerce est original. Et reprendre le flambeau du grand Om24 ne sera pas une mince affaire mais je suis sur que ce "jeunot" le fera très bien surtout accompagné de Dranoel.

 

Ça y est, l'élève a dépassé le maître, et je t'en félicite.

 

Cordialement.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Chers Gouverneurs,

 

Je vous écris cette brève lettre pour vous annoncer mon total soutient a un certain Kolwako. Ce jeune homme a su me convaincre par ses qualités innombrables (notamment la patience...) et sa grande gentillesse. Il passe énormément de temps a aider ceux qui le lui demande, a préparer son futur commerce, a travailler pour la ville de Labes et pour la ville de New Providence. Il fait bon, en toute circonstance de l'avoir a ses cotés et c'est pourquoi je pense qu'il mérite le rang de commerçant.

 

Anordam

 

Ps: Bravo a lui pour cette candidature incroyable et pour ce Rp que je n'ai pas encore lu en entier.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Chers Gouverneurs,

 

Je tiens à apporter mon soutien à Kolwako que je n'ai rencontré que très récemment, mais le courant n'a pas mis beaucoup de temps à passer entre nous. En effet, Kolwako m'est vite apparu comme un joueur extrêmement sympathique ! Comment nous sommes-nous rencontrés ? Sur une poule. Oui, sur une poule, je lui ai confié que je n'avais jamais chevauché de poules, et il m'a gentiment proposé de m'initier à cette dangereuse pratique, s'en est suivi une longue période de rigolade aérienne, suivie d'une chute brutale à cause de l'arrivée d'un Socolin muni d'un arc !

 

Tout ça pour vous dire que Kolwako mérite sa licence, il est actif, sympathique, et toujours volontaire, et je suis persuadé qu'il fera un bon commerçant !

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il est grand temps de connaître votre avenir, Kolwako...

Non je n'ai pas envie de finir cette phrase :P.

 

Je connais la valeur des Labessiens ainsi que leur acharnement dans le travail et cette candidature ne fait pas exception. Elle est tout simplement géniale, complète, bref rien à redire.

 

Je ne vais donc pas m'étendre en fioritures inutiles, les nombreux soutiens de qualité que tu as reçus seront suffisants pour cela, et je t'informe donc que j'aurai l'honneur de t'élever au rang de commerçant, pour lequel tu possèdes toutes les qualités requises, dès que tu te seras acquitté des 500 PAs nécessaires à l'obtention de ta licence et que tu m'auras envoyé la preuve de ce règlement par MP.

 

Bon jeu :).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Yop !

 

Suite au paiement de ta licence ce jour j'ai le plaisir de t'attribuer ta licence commerçant. Puisses-tu, avec ton associé récemment promu lui aussi, donner longue vie à The Adventurer et t'éclater en éclatant des mobs.

Je m'occuperai d'ailleurs dès que possible de te fournir un bon lot de creepers juste histoire de te faire regretter d'avoir osé m'écrire par MP "13 heures de l'après-midi".

Oui je sais certains diront que pour eux 13h c'est le matin mais ce n'est pas correct du point de vue du français :P.

 

Bon jeu :).

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité
Ce sujet ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.
 Partager

×
×
  • Créer...