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[Acceptée] [Candidature] Rafalle, villageois bucheron.


rafalle
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Je me nomme Rafalle et je vous souhaite la bienvenue sur cette candidature pour accéder au rang de villageois ! Bonne lecture.

 

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Candidature précédemment validée : Candidature Paysan

Temps écoulé depuis mon acceptation : Environ 6 mois.

Projets auxquels j'ai participé : Namnis.

Spécialisation voulue : Bucheron

 

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Dans la vraie vie, je m'appelle Raphaël et je suis un collégien dans l'ouest de la France. Je suis un passionné d'informatique et de natation, passion partagée avec Descamps et Cackie, mes deux grands frères. Je compte faire des études scientifiques et pourquoi pas en rapport avec la langue anglaise, puisque je me débrouille bien (les nombreuses vidéos de la communauté mincraftienne anglaise ça aide).

 

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Depuis mon acceptation paysan, j'ai traversé en long et en large Stendel mais aussi le Nether, mes deux mondes favoris. Membre de Namnis depuis son commencement, j'y ai passé la plupart de mon activité minefieldienne à construire, creuser mais surtout déconner. Ce projet a été l'occasion pour moi de rencontrer un tas de gens et de me faire pas mal d'amis qui j'espère viendront témoigner ici. Au départ des deux dirigeants, j'ai préféré me retirer avec eux, par manque de motivation, pensant arrêter minefield. Mais je suis pas le seul dans ce cas là, je n'ai heureusement pas réussi ! Je joue aujourd'hui majoritairement dans le Nether, vivant (en l'attente de l'obtention du grade citoyen) illégalement sous le lit de Descamps à la capitale. J'y entrepose aussi mes affaires et récoltes ! Concernant mon avenir, je compte devenir menuisier citoyen voir commerçant dans l'optique d'aider Descamps dans un nouveau projet top secret qui, je l'espère, aboutira dans les prochains mois. Les meubles y seront primordiaux et je serai d'une grande aide !

 

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NB : Toute intervention d'un quelconque joueur réel dans ce RP ne serait que purement fictive.

 

Un coup de pied au derrière, le pont levis refermé, et me voilà face à la nature : Namnis derrière moi, un avenir d'aventure devant moi ! Les pavés de la route de l'Ouest étaient encore frais, et son tracé me permit de rejoindre la capitale en moins de deux jours. Les portes immenses de la ville de Stendel si bien gardée me confortèrent dans mon choix : J'y vivrai surement une vie paisible et sans problème, loin de tout le tumulte incessant des contrées en guerres. Les yeux écarquillés, j'y découvris pour la première fois cette ville qu'on ne m'avait que décrit oralement, autour d'un feu et de cookies grillés. Les grandes artères me permirent d'accéder rapidement à la place principale, qui me semblait être l'endroit ayant le plus de chance d'abriter le bureau des admissions au rang de citoyen. J'avais préparer de quoi convaincre l'employé pendant tout le voyage, j'étais fin prêt, sur de moi ! La clameur du peuple me tira de mes pensées... Il semblerait qu'un pauvre paysan ait commis une faute grave et soit condamné à mort sur la potence. La justice règne, et j'étais contre toute forme de vol ou de banditisme. Cette exécution était surement une bonne chose. Mais ces spectacles barbares ne m'intéressant pas, je repris bientôt mes recherches, n'hésitant pas à interpeller de riche citoyen se pavanant en armure en maille tressées avec soin pour leur demander des indications. Quelques minutes plus tard, je pénétrai le bureau.

"- Bien le bonjour ! commencai-je, je souhaiterais devenir citoyen et m'installer dans votre magnifique ville. Quels sont les procédures à remplir ? Je suis paysan et motivé !

- Vous êtes complètement dépasser mon pauvre ! me répondit le PNJ, réajustant ses fines lunettes et se retenant de rire. Nous n'acceptons plus de citoyen depuis longtemps. Il vous faudra commencer par être villageois, puis nous verrons. Ahah, quand je vais raconter ça à Jeanne, devenir citoyen, très motivé, ahahah !"

Vexé, je n'attendis pas la suite pour décamper. Devenir villageois ? Et pourquoi donc ? Je suis venu pour être citoyen moi, et citoyen menuisier par dessus tout. Tapant dans un lampadaire, je regrettai déjà. J'avais été stupide de m'imaginer que dès ce soir je serai au chaud dans un maison au coin d'une cheminée avec un emplois ou même ma menuiserie. Maintenant le soleil se coucher, et je ne savais pas où aller. J'aurai pu demander conseil à ce PNJ, à l'accueil du bureau, mais mon honneur m'empêcher d'y retourner. Plutôt dormir dehors ! Et ce qui devait advenir advenu : depuis ma naissance, ce fut ma pire nuit. Le froid emplit bientôt la ville et errant dans les rues de plus en plus vides et de plus en plus sombres, je dû me résoudre à m'allonger sur le pavé, profitant de la chaleur des fours d'une forge pour ne pas mourir de froid. Je fus réveillé par une désagréable sensation :

"- Et t'as de la chance que ça ne soit qu'un sceau d'eau ! La prochaine fois c'est de la lave ! Non mais, un clodo devant ma forge, comment veux-tu avoir des clients ?". Prenant mes jambes à mon cou, je déguerpis. Finalement, n'ayant pas pris de douche depuis quelques jours, cette eau n'était pas une mauvaise chose. Bien déterminé à trouver un emplois pour pouvoir peut être louer un appartement à l'auberge, je parcouru les menuiseries. J'avais de l'expérience dans le métier, et je pensais trouver un métier rapidement, du moment que je gagnais assez pour me loger et me nourrir. Je fut surpris de constater qu'après avoir fait mon offre, le premier potentiel patron me dévisage et refuse poliment mais fermement. Le second fit de même, avec plus de violence. Après un énième refus, j'exprimais moi-même ma colère, ne comprenant pas pourquoi personne ne voulais de moi.

"- Comprends bien, des propositions comme les tiennes on en reçoit une par semaine... Quitte à en choisir une on prend généralement pas un paysan vêtu de haillon et sentant pas la rose. Désolé, tu trouveras ailleurs.".

Comprenant enfin tout ces regards en biais, je le remerciais et repartit. Je n'avais aucune idée de la manière de me sortir de ce cercle vicieux : plus le temps passe, moins j'aurai de chance de trouver un travail. De plus, je ne savais pas comment occupé le reste de ma journée, mes entrailles me tordant le ventre de faim, salivant devant chaque taverne. Je vagabondais ainsi jusqu'au soir, réfléchissant à une manière de m'en sortir. Lorsque le ciel commença à devenir orange, je me trouvais justement devant une auberge exposant des pommes et des pastèques dans un étal en travers du trottoir. Mon estomac pris le pouvoir sur mon esprit, et ni une ni deux, j'attrapais une poignée de pomme et couru aussi vite que mes maigres jambes le pouvait, ignorant les cris du marchand au loin. Quatre rues plus loin, je m'assis et pris une première bouche. A peine je déglutissais que l'image du paysan exécuté me revint. Et dire que je m'étais permis de le critiquer, moi étranger ne connaissant rien de son histoire ! Ces quelques pommes ne méritaient pas une peine de mort mais pouvait me faire casser pas mal de cailloux quand même. Finissant la dernière, je me promis de ne plus voler et m'endormis sur le trottoir. La nuit fut moins froide mais le sommeil tout aussi désagréable.

Le réveil fut même pire : Des enfants, passant dans la rue, trouvèrent drôles de se moquer de ce pauvre paysan presque nu, la peau sur les os, ronflant sur le pavé. Ils me jetaient des pierres les polissons ! C'en fut trop pour moi, je devenais fou de tout ces gens heureux ne réalisant pas le calvaire des gens comme moi. Hurlant, je fis fuir les petits et me dirigeai vers la place principale. Sans réfléchir, je gravis les marches de la tour des suicides, d'un pas décidé, prêt à leur faire comprendre. Arrivé en haut, je changeai d'avis en voyant un riche magicien attelant sa monture volante et se préparant à partir vers un autre projet. Je n'avais pas un sous pour repartir vers une ville plus accueillante, et couru donc vers l'honnête citoyen. Celui-ci, apeuré, se dépêcha et décolla aussi vite qu'il le pouvait. Pris dans mon élan, je sautais à sa poursuite. Un réflexe me sauva la vie : Je m'accrocha de toute mes forces à ce qui passais par là, c'est à dire une pâte de l'oiseau. Trop puissant pour sentir la différence, l'animal accepta sans problème cette charge supplémentaire. C'est ainsi que suspendu, je vis l'oiseau avec horreur prendre de l'altitude. N'en tenant plus, je fus bientôt obligé de lâcher. Loin de Stendel maintenant, je ferma les yeux et respira une dernière fois l'aire pure avant de tomber en chute libre.

Lorsque j'ouvris les yeux, j'étais dans ce qu'il restait d'un lit, fendu en deux tout comme le toit et quelques dizaines de branches au dessus. La forêt rendait sombre le ciel, à moins que j'ai dormi pendant plusieurs heures. Sortant difficilement des lambeaux de couette et de planche, je me dirigea vers la sorti pour tomber nez-à-nez avec un grand gaillard trois fois plus large que moi.

"- J'ai entendu un énorme craquement vers ma maison, j'ai tout de suite laissé mon arbre pour venir voir ! Qui es-tu ?

- Je suis Rafalle, et je suis tombé d'un piaf... Je ne pensais pas en sortir vivant. Je suis sincèrement désolé pour votre lit, il semblerait que je lui doit la vie, articulais-je difficilement.

- T'en fait pas pour ça ! J'en referai un. Je suis Antoine Prince, bucheron au village de Coupebois et gérant de la station de SPLASH du village. Nous fournissons la capitale en bois depuis un paquet de temps, en même temps on a de quoi faire ici. Tu parais affamé, tu désires surement quelque chose ?

- Ce serait avec plaisir, cela fait maintenant 2 jours que je n'ai rien mangé... Merci pour tout.

- T'en fait pas, la solidarité ici ça nous connait. Quand tu seras rétablies, couper du bois, ça t'intéresse ? Ou tu préfères revenir à la capitale ?

- Tout sauf la deuxième proposition, par pitié.

- Va falloir que tu m'expliques ça, s'exclama t-il d'un air joviale, servant deux bières. Tu seras heureux ici, ne t'en fait pas !

 

Ce bois me sera surement d'une grande aide si un jour je décide de revenir à la capitale, maintenant villageois. Après m'être rétablie, je fis la connaissance des autres membres du village et m'intégrai parfaitement. Certes, on m'a pas mal charrié d'être venu du ciel, mais le travail du bois ne manquait pas et je pus bientôt encaisser quelques pièces en vue de mon installation future.

 

 

***

 

 

Merci d'avoir lu mon RP et plus généralement ma candidature !

Bonne journée,

Rafalle.

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Yop !

 

Je souhaiterai plussoyer Rafalle. Pas seulement parce que c'est mon petit frère IRL et que je suis bien placé pour connaitre sa motivation, aussi pour avoir vu de nombreuse fois sa bravoure au Nether. De plus il serait d'une grande aide à notre futur projet en commun !

Et puis en plus son RP est génial, ce clodo hideux baveux.

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Je viens ici pour plussoyer mon homologue Creeper des Neiges !

 

Rafalle est un très bon joueur, il est capable de relever tous (ou persque :P ) les défis et est très (très²) sympatoche IG et Mumble. Comme Descamps l'a dit, nous admirons sa bravoure dans les terres rouges de sang que sont le Nether. Plus d'une fois il nous a aidés à combattre l'ennemi, et a réussi à l'abattre.

Pour résumer, RP pas mal (même si la scène de départ de Namnis m'a choqué par sa petite taille) et Personnage sympatoche, Rafalle mérite un joli +1 !

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Hop, hop. Rafalle est joueur que je cotoie souvent dans le nether, malgré qu'il ne soit pas mon allier et qu'il m'ait tué de nombreuses fois; il reste néanmoins un joueur amical, sympatique et jovial. Il possède selon moi les qualités nécessaires à un bon villageois.

Bref, +1.

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Rafalle est sur Minefield depuis bien longtemps, je me rappelle encore de ce début d'année ou nous nous sommes rencontrés. Cela fait maintenant quelques mois que je le connais et je peux vous assurer que cette personne est très investie sur Minefield et être villageois pour lui est la suite de son incroyable parcoure.

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J'entame cette deuxième page de plussoiement avec un plussoiement comme je l'ai dit.

 

Rafalle, ces derniers temps je ne t'ai pas beaucoup vu (j'étais sur Battlefield), mais je t'apporte mon soutien car je sais que tu feras très bien ton boulot de bûcheron et qu'on en a besoin. Depuis que je te connais, tu est paysan et crois moi, je sens que le changement est maintenant.

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Comment ne pas connaître rafalle ? Très actif sur le tchat, il ne manque pas d'activité et je pense que tout le monde le connaît au moins de nom. Une deuxième raison de le soutenir ? Sa candidature propre, soignée, avec une orthographe irréprochable et une superbe plume (en tout cas c'est mon avis). rafalle a, à mon sens, beaucoup à dévoiler et à faire partager à la communauté. Son grade de Villageois l'aidera sans aucun doute à le faire.

 

+1

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