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[Accepté]Candidature de BobiSnow


BobiSnow
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Bonjour à tous !

 

Tout d’abord je me (re)présente :

Je me nomme Jonathan, et j’ai encore 18. Je joue souvent à minecraft, cela dure depuis 2 ans environ. Je suis beaucoup sur les jeux vidéo pendant mon temps libre mais pas que, il m’arrive aussi de faire du sport et d’aller au lycée.

Je viens de l’Aisne en Picardie et espère vous apporter à tous ma bonne humeur et tout un tas de services. Je suis quelqu’un de gentil mais assez fourbe de temps en temps, toujours prêt à rendre service et à effectuer les tâches les plus ingrates.

 

Vous pouvez consulter ma présentation paysanne à ce lien :

presentation-f923/presentaion-bobisnow-t58045.html

 

Voici ce que j’ai fait sur le serveur depuis mon arrivée :

 

La caserne et la taverne de Galianör dont je suis l’auteur des plans :

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La salle d’anniversaire de The_dionysos :

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J’ai participé à l’évènement de l’anniversaire de Cérule, en gagnant la loterie et le concours de maisons.

J’ai participé aux diverses constructions de ma communauté pour les nouvelles salles et bâtiment de Galianör. J’en suis d’ailleurs le second architecte désormais.

Je suis actuellement encore en train de travailler sur les murailles d’Ultharik pour qu’elles puissent être terminées le plus rapidement possible.

Bon, certes je n’ai pas encore de maison ni de cubo, du coup je suis en quelque sorte un nomade pour l’instant (qui utilise beaucoup l’enderchest) et cela ne me dérange pas. Je compte m’en faire une dans un futur proche mais pour l’instant chaque choses en son temps !

 

Maintenant passons à mes motivations !

Je souhaite devenir villageois pour les même raison que la plupart des paysans, le métier, la monture et l’envie d’évoluer. Mais pour moi, devenir villageois est aussi une façon de prouver que l’on est présent et utile sur minefield. Enfin, pour mon passage je souhaiterais devenir mineur et commencer vraiment à m’impliquer dans le commerce avec de bonnes ressources dans la poche.

 

Enfin, mon RP (plutôt long…) :

 

 

Chapitre 1.

L’éveil.

 

 

 

Cette histoire va vous conter mon histoire, celle d'une personne à qui la nature a fait regretter sa négligence et sa folie...

 

 

 

Tout débute dans une contrée aride, balayée par un vent glacial je me réveillais. Tout engourdi par ce froid je me rendis compte que j’étais à moitié enseveli sous une épaisse couche de neige. Avec beaucoup de mal, je parvins à me dégager de ce tombeau gelé qui allait être le miens et me redressai. Je contemplais le paysage unique qui s'offrait à mes yeux, il me sembla si familier, malheureusement je ne réussissais pas à savoir pourquoi, d'ailleurs je ne comprenais pas grand-chose, car je n’avais aucun souvenir de quelconques événements passés, malgré cela beaucoup de choses se chamboulaient dans ma têtes, énormément de connaissances me venaient à l’esprit et je ne sais, ni pourquoi, ni comment.

 

Je me posais énormément de questions, je ne sais d’où je connaissais tout ça ? Je ne savais pas non plus combien de temps je fus resté là, assis, à réfléchir... Soudain, je sentis des vibrations, elles se rapprochaient à vive allure ! Sans hésitation, je plongeai dans la neige. Moi qui pensai y avoir froid, il y faisait plutôt chaud finalement, mais les vibrations se rapprochant, je me remis sur mes gardes, prêt à me défendre ! C'est un cheval, avec un homme dessus et ils ont l'air de se diriger vers la montagne. Je les laissais passer sans faire de bruits, curieusement j’étais vraiment petit par rapport à lui. J’attendis qu’il s’éloigne suffisamment pour me relever, mais problème ! J'avais envie de me mettre debout, mais un autre instinct me guide sur mes quatre pattes, puis je regardais mes mains et mes bras. De la fourrure, à la première seconde je fus étonné puis la seconde suivante cela me paraissait normal, pareil pour les griffes de mes mains et pieds.

 

J’étais de plus en plus perdu, malgré ces connaissances, je ne comprenais pas pourquoi autant de non-sens. Je n'arrivais même pas à me l'expliquer moi-même, c'est comme si deux entités était en conflit dans mon corps. A force de réfléchir pour chercher des réponses je décidai de laisser tomber, mieux valait pour moi de trouver les réponses ailleurs que dans ma têtes. Et d'un coup d'œil je me rendis compte que le soleil allait se coucher. Sans vraiment y réfléchir je me mis rapidement à creuser un terrier pour la nuit, puis je me levai sur deux pattes et commençais à couper du bois puis à me créer des outils adéquats a la collecte de ressources importantes à ma survie.

 

Chapitre 2.

La chasse.

 

Les derniers rayons de soleil commençaient à disparaître à l'horizon et je réussis assez rapidement à me faire une petite demeure souterraine assez douillette, où j'y avais réunis ameublements et outils de base. Je contemplais le fruit de mon dur labeur lorsque mon estomac me ramena sur terre. Criant famine, je devais le nourrir car à ce point-là, il me sera impossible de finir la nuit. Sortant le museau dehors, je sentis de nouveau cet air si pur traversé mes narines. Puis, mon odorat s'emballa et je reniflai de la chair chaude non loin d'ici, mon dîner se trouvait peut-être à quelques mètres de moi.

 

Je décidai donc de suivre cette succulente odeur qui m'attira vers ma proie, je marchais à pas discrets et furtifs et sans me faire repérer et je parvins à me glisser à quelque mètres de ma cible. Elle était sereine et n'avais pas remarqué ma présence, je pouvais le sentir bouger. Oui ce lapin ne finira pas la nuit, mon instinct me faisait attendre, malgré ma faim qui me perçait le ventre je restais immobile et attendais le bon moment. Mes pattes se resserraient et mes muscles se raidissaient, j’étais prêt à bondir.

 

Je finis par surprendre ce pauvre petit animal en lui jaillissant dessus en une fraction de seconde, son destin était scellé, il allait terminer en bon civet au fond de mon four.

Aussitôt dit aussitôt fait ! Je m'empressais de préparer le nécessaire à la cuisson et à dégustation. Le plat prêt, je le dévorais avec appétit. Puis, une fois terminé, je trouvai qu'il commençait à se faire tard, je me couchais mais malgré ma volonté je n'arrivais pas à m’empêcher de repenser à toutes ces questions qui me tournaient dans la tête plus tôt dans la journée. Après plus ou moins de mal je parvins finalement à m'endormir paisiblement recroquevillé dans ma fourrure.

 

Chapitre 3.

L'enfant.

 

 

 

A peine réveillé, il me faillait suivre le nouvel objectif que je m’étais fixé : Trouver qui je suis et d'où je viens.

Je pris quelques restes du repas d'hier soir et ressortis de nouveaux à l'air libre pour décider d'une direction à suivre. Après mures réflexions je décidai de prendre le chemin opposé à la montagne afin de trouver, je l’espère, quelqu’un qui me ressemble ou des réponses à mes questions. Je me mis en marche en marchant toujours tout droit, j’avançais beaucoup, affrontant quelques blizzards, déserts, bourbes et animaux sauvages pendant plusieurs jours. Beaucoup d’obstacles et de pauses me firent changer plus ou moins de directions, je ne sais même plus si je tourne en rond ou si je retourne sur mes pas. Malgré cela je traversais beaucoup de paysages différents.

 

Environ une semaine plus tard, pendant mon voyage, je sentis une odeur particulière près d’un bois. Mes poils se hérissèrent, un léger sentiment de haine m’effleura et un autre de réconfort l'adoucit. Curieux, je décidai de m'approcher, mais soudain je perçus un bruit aigu. C'est assez loin, donc j’accélérai le pas vers le bruit qui se rapprochait. Je m’arrêtai d'un coup. Il s'agissait de pleures ! Je le voyais, c'était un enfant ! Je l'examinais de par les fourrées, je m'attardais sur un détail, pourquoi n'avais-t-il pas de fourrure comme la mienne ? Peut-être que cela était dû à son jeune âge !?

 

Après plusieurs moments d'hésitations, je finis par m'approcher de ce jeune garçon qui peinait à sécher ses larmes. Il était en boule sur lui-même et ne me vit pas approcher, au moment où je comptai lui poser la main sur l'épaule, le gamin me remarqua, sortis la tête de ses bras et me dévisagea, se releva d'un coup et prit ses jambes à son cou tout en hurlant à s’en casser la voix. Je n'eus pas le temps de dire grand-chose si ce n'est que « ...eh ! ...attends petit...! ». Avant de le perdre de vue je me mis à sa poursuite, je restais à distance car cet enfant me mènera forcement vers ses proches. Par chance, mon intuition disait juste, je l’avais quand même perdu de vue mais je venais juste d'arriver à la hauteur d’un village. Mon cœur s'emballais, je me disais que je touchais peut être déjà à mon but !

 

Chapitre 4.

L’espoir.

 

 

Après quelques hésitations, je décidais d'abord d'inspecter ces villageois, …mais qu'est-ce donc, ils n'avaient pas ou très peu de poils ! Comme le petit garçon de la forêt ! Mais pourquoi étaient-ils différent ? Aucun ne me ressemblait vraiment, mis à part qu’ils se tenaient tous debout sur leurs deux pattes arrière, je ne trouvais aucune similitude entre eux et moi.

Je ne savais pas quoi faire, je continuai alors mon inspection, soudain j’aperçus de nouveau le petit avec qui m’a rencontre fut brève. Il parlait avec de grandes personnes, j’avais très envie de savoir ce qu’ils se disaient. Je pris mon courage à deux mains et attendis le moment propice pour pourvoir me glisser entre ces grandes habitations en bois qui se situaient à quelques mètres de moi, je n’avais pas envie de raté mon coup, car je n’avais surement qu’une seule chance.

 

Je trouvai le bon moment et m’élança entre les petits espaces sombres que m’offraient les maisons jusqu’à arriver non loin de mes cibles sans me faire repérer du moins c’est ce que je pensais jusqu’à que j’entende des personnes hurler des mots incompréhensibles. Je devais déguerpir et en vitesse, je ne pensais pas qu’il m’avais vu, mais je devais croire que si. Je cherchais donc une issue mais aucune ne s’offrait à moi, j’étais coincé ! Quoique si, une sortie par-là ! C’était un petit tunnel, je pouvais me glisser dedans facilement grâce à ma petite taille, les personnes qui me traquaient à travers leurs ruelles, elles, étaient trop grandes je remarquai que mes poursuivants n’arrivant pas à me suivre décidèrent de contourner ce chemin. Je me retrouvai très vite aux frontières du village.

 

Je ressortis de ce trou et commençais à courir tout en surveillant mes arrières, ils arrivaient, je les entendais et c’est sans regarder vers où je me dirige que je me prends un panneau en bois. Je tombai par terre avec une horrible douleur sur le visage. Je regardais le panneau avant de me relever et essayais de lire, je ne parvins pas à déchiffrer une seule lettre mais je n’avais pas le temps de m’attarder sur ça je devais m’en aller à tout prix. Je repartis en galopant et atteignis assez vite la forêt, pour être sûr de ne pas me faire attraper je décidai de courir jusqu’à ce que je n’en puisse plus. J’avais très peur de ce qui risquait de m’arriver si je me faisais avoir!

 

 

Chapitre 5.

La Capture.

 

 

Epuisé et à bout de force, j’arrivais à peine à tenir sur mes pattes, j’avais perdu et lâché toutes mes affaires lors de la poursuite, je n’avais plus rien à manger et à boire. Alors que je continuai à avancer le plus loin possible dans ces bois interminables, quelque chose se produisit,… je ne réalisai pas vraiment ce qu’il se passait car soudain je ne vis plus rien et j’arrivai à peine à entendre quelques bruits. Que se passais-t-il ? J’étais secoué dans tous les sens et j’entendais toujours des bruits, cette fois plus proches. Je tentais de rester conscient pour comprendre ce qu’il m’arrivait mais en vain…

 

D’un sursaut, je me tapai le bras contre une paroi, je retrouvais peu à peu mes sens et ouvris enfin les yeux. J’étais courbaturé de partout, j’avais du mal à me tourner sur moi-même. Mais avec un peu de mal je me relevai enfin puis me frappai cette fois la tête contre quelque chose, je me rendis compte que j’étais dans une sorte de boite. Une ouverture au bout me permettait de sortir, une fois dehors je compris que j’étais dans une minuscule maison. Le plus surprenant est qu’il y en avait une juste dix fois plus grande à côté, ma curiosité me rattrapa encore et me fis entrer dans cette demeure. L’intérieur était très bien meublé et décoré d’une façon assez surprenante, je cherchais du coup un signe de vie, hélas personne n’était ici.

 

Je vis assez vite que la personne qui vivait ici étais seule et qu’elle n’était pas partie très longtemps. Pour attendre son retour de décidai de m’asseoir sur un fauteuil et de trouver une bonne façon de me présenter.

Plusieurs idées me passèrent par la tête quand tout à coup je sentis quelque chose de froid et pointu me toucher la nuque.

 

- « Qui est tu étranger ? Comment oses-tu rentrer dans la maison d’un pauvre ermite qui ne demande que la paix ?»

 

Ne sachant que répondre je me retournai et pris la première chose qui me vint dans la main !

L’ermite avait peu de cheveux et une grande et longue barbe blanche, il n’était pas très grand et portait une robe en soie de couleur grisâtre.

Il changea d’expression, laissa tomber son épée et marmonna :

 

- « Ah Bobi, tu aurais pu me dire que c’était juste toi ! Et la prochaine fois prend autre chose qu’une livre si tu souhaites te défendre !»

 

 

Chapitre 6.

La révélation.

 

 

 

 

Ebahi, je ne comprenais pas ce changement d’attitude et n’arrivais à prononcer qu’un mot :

 

- « …B… Bobi ? »

- « Oui Bobi, c’est le p’tit nom que je t’ai donné ! Tu s’ras désormais mon fidèle animal de compagnie ! »

 

Le dialogue était lancé, sous le choc je demandai :

 

- « Moi un animal ? Mais… »

- « Oh oh ! Oui j’ai toujours rêvé d’avoir mon propre p’tit chien »

- « …mais je ne comprends pas, les animaux ne parlent pas, donc je n’en suis pas un… »

- « J’le sais très bien mon p’tit Bobi, mais tu sais j’suis un vieillard qui perd la tête, donc plus rien ne m’étonne maint’nant ! »

 

Je ne disais plus rien, l’homme en profita pour s’adonner à ces occupations.

…Quel choc ! Si je comprenais bien, ce vieux monsieur n’avait pas pris peur à ma vue parce qu’il pensait qu’il était fou ! … Je ressemblais donc à un chien,… mais les chiens ne parlent et ne marchent pas !

Il fallait que j’en sache plus.

Je m’approchais du vieillard pour l’aborder mais il relança la discussion en premier :

 

- « Si tu t’cherches à manger, tout s’trouve à côté de ta niche dehors. »

- « D’accord merci, mais j’aimerais d’abord vous poser quelques questions sur… »

 

Il ne me laissa pas finir ma phrase et me dit :

 

- « Ah oui mon nom ?! Désolé, c’est Snowin, j’suis un magicien rejeté de la capitale de Stendel, qui à trouver refuge dans une contrée exilé, pour pouvoir s’adonné à sa plus grande passion, la magie ! »

- « Ah euh… encore merci mais ce n’est pas ce que je voulais vous demander… »

- « Eh bien qu’attends tu mon p’tit ? D’mande-moi c’que tu souhaites savoir ! »

- « J’aimerais tout d’abord savoir comment je suis arrivé ici ? »

- « Ah ah ! C’est très simple, j’commençais vraiment à manquer de compagnie donc j’ai tout simplement construit un piège dans la forêt pour te capturer… »

 

La discussion continua toute l’après-midi, l’ermite m’appris beaucoup de choses. Venue l’heure de dîner il m’offrit un vrai festin.

Je trouvais cet homme vraiment gentil et attentionné à mon égard. Finalement, traumatisé par les évènements du village, je décidai de m’installer ici. Par chance je coulerais peut être des jours heureux avec un toit et un amis tout le reste de ma vie.

 

Chapitre 7.

Le drame.

 

 

 

Comme je l’espérais, les jours que je passais dans cet endroit était paisibles et calmes. Je n’ai pas compté tout le temps que j’ai passé ici mais il me semble que cela a bien durée deux années et demi. Le vieil homme m’apprenait des choses sur la nature et surtout sur l’histoire de l’homme. La plupart des choses qu’il me racontait, j’avais l’impression de déjà le savoir, mais ce sage me fascinait, il avait une façon très particulière d’expliquer toutes ces choses, que jamais je ne m’en lassais. Je lui avais demandé des détails sur moi comment il me voyait et à quoi je ressemblais. D’après plusieurs ces dires, je me suis finalement défini comme étant une sorte de loup-garou, mais étrangement je n’avais pourtant pas de queue ! Il m’a aussi appris qu’un concentré d’une étrange magie circulait dans tout mon corps mais qu’il n’en connaissait pas l’origine.

 

 

Un nouveau jour se lève, j’étais prêt comme d’habitude pour la promenade quotidienne. Il ne s’agissait pas vraiment de promenades entre un animal et son maître, mais plus d’une promenade entre deux bons amis qui discutent. Mais Snowin n’était pas à l’heure, je l’attendais puis décida de rentrer voir ce qu’il fabriquait, car ce n’était pas à son habitude de faire la grasse matinée. Je me mis donc à me diriger vers sa chambre, et ouvris la porte et c’est dans une grande stupéfaction que je découvris un désordre monstre, ses livres et feuilles étaient éparpillées partout dans la chambre. Je remarquais de plus que la fenêtre est grande ouverte, je regardais dans l’arrière-cour et aperçus plusieurs autres papiers disséminé un peu partout.

 

Toutes ces pages laissées au sol traçaient un chemin, maintenant c’était clair pour moi, Snowin s’était échappé, mais de quoi ? Laissant derrière moi mon habitat sans surveillance je fonçais tout en suivant les traces laissées par mon ami, je courus aussi vite que je le pouvais. Soudain, plus de feuilles au sol mais des traces de sang, un énorme frisson me parcourus le dos et me hérissa les poils, j’ai peur et je n’avais pas envie de croire ce que j’étais en train de voir. Il était là devant moi assis contre un arbre, il essayait de parler mais son agonie lui compliquait la tâche. J’avais cherché tous les moyens possibles pour le sauver, je ne voulais pas qu’il meurt, pas tout de suite. Je me souviens encore, je pleurais toutes les larmes de mon corps et hurlais, je perdais mon meilleur ami et je ne pouvais rien faire.

 

Je me réalisais qu’il commençait à être trop tard… je posai les mains au sol et continuais à pleurer, quand tout à coup j’entendis la voix de Snowin ! Il… il me parlait… je me rapprochai et l’écouta :

 

- « B… Bo…Bobi… Il m’reste plus beaucoup de… temps, j’utilise mes… dernières forces… pour t’dire… que jamais… j’t’oublierais… »

- « Snowin ! Mon ami dit moi qui t’a fait cela »

- « …Ils… ils m’ont retrouvé,…j’pouvais pas… lutter contre eux… »

- « Qui ? Mais qui sont-ils ?! »

- « Argh… Bobi ! … t’es quelqu’un d’très… spécial… je l’ai … vu dès la première fois que… je t’ai vu …hungh AAAAaaaahhhhh… »

- « Non !!! Snowin ne me laisse pas seul ! Je ne saurais pas quoi faire dans ce monde sans toi ! »

 

Avec ces derniers souffles Snowin me dit des mots que je n’oublierais jamais :

 

 

- « …Argh… ! J’te fais… conf…iance mon ami… trouve ta voie… et n’la… quitte… jamais……. »

 

 

Chapitre 8.

Nouveau départ.

 

 

Après avoir enterré et pleuré la mort de mon ami, j’étais déterminé, il fallait que je retrouve à tout prix les personnes qui lui ont fait du mal et comprendre leur geste afin de rendre justice à mon défunt compagnon.

 

Pour le garder toujours près de moi, j’avais décidé de récupérer une partie de son nom afin de le fusionner avec celui qu’il m’avait donné lors de notre rencontre. Désormais mon nom était BobiSnow !

 

Le lendemain, il fallait que je parte, je ne pouvais pas rester dans cette maison où tous ces souvenirs allaient me hanter. Je pris donc quelques affaires nécessaires à mon nouveau voyage et pris aussi la précaution de me cacher la tête et le corps à l’aide de vieilles robes appartenant à mon ancien ami pour éviter tout sentiment de peur aux premiers regards qui seront posés sur moi ! Le camouflage fonctionnais plutôt et dans tous les villages les gens me prenaient pour un nain, je marchandais certaines ressources et discutais avec les villageois sans problème.

 

Mon voyage très long m’a faisait faire le tour du pays, j’avais appris énormément de chose mais fatigué de toute cette entreprise j’envisageai alors de m’installer temporairement dans le prochain village qui se dressera devant ma route. Et c’est en marchant tranquillement sur le bord d’une montagne que je fis la connaissance de Dionysos, un nain. Aux premiers abords il me prit pour un nain vagabond et perdu et me proposa de me reposer à Galianör pour cette nuit.

 

L’occasion parfaite pour moi, je jouais le jeu et suivis le nain vers la ville dont il me vanta la beauté pendant toute la route. Finalement nous arrivions enfin devant l’entrée de la ville, une tête de dragon était sculptée dans la roche tout autour, c’était la première fois que je voyais quelque chose de ce genre. C’est à ce moment que je me rendis compte d’un détail et lui dit :

 

- « Mais, cette ville est souterraine !?»

- « Exactement nous les nains vivons sous terre, nous aimons la bière et miner !»

 

Une nouvelle civilisation, avec des coutumes dont je ne connaissais pas l’existence. Ce rôle commençait à me plaire car j’aimais essayer de nouvelle choses, de plus les seuls choses que je connaissais de ces êtres étaient seulement leur particulière petite taille et leur amour pour la bière. Tout excité je découvris cette citée à l’aide de mon nouvel ami.

 

 

Chapitre 9.

La citée naine de Galianör.

 

Lors de la visite, Dionysos me demanda d’où je venais, je lui répondis que je ne savais pas trop, il m’avait ensuite avoué qu’il lui fallait rapidement de la main d’œuvre. Une fois la visite terminé il m’expliqua quel était les objectif de la reconstruction de Galianör, il m’expliqua aussi les différentes étapes qu’ils allaient suivre et me demanda finalement si j’étais d’accord pour m’installer et le suivre dans ce périple qui allait surement durer plusieurs mois.

 

Je ne savais pas encore ce que je vais faire, je demandais donc à Dionysos un petit temps de réflexion avant de lui transmettre ma réponse. J’avais loué temporairement une chambre dans l’auberge de la salle des piliers, malgré mon absence de réponse je demandais à mon nouvel associé quel était le premier travail qu’il pouvait me donner. Dionysos me répondit que pour l’instant il devait faire plusieurs plans pour les bâtiments qui vont être remplacés dans un futur proche. Je jetais un coup d’œil sur la liste des plans à effectuer et remarquai « caserne ».

 

Ce bâtiment très vieux étais l’un de ceux qui m’avaient attiré le plus d’attention lors de la visite, je décidai donc de mon plein gré à me rendre tout seul dans le quartier industriel où se situais l’ancien édifice. Malheureusement pour moi n’ayant aucun repère, je me perdis dans tout Galianör, après plusieurs minutes de recherche je retrouvais enfin ce quartier et m’engouffrais dedans. Je commençai par visiter cet imposant édifice de pierre.

 

Après avoir regardé ce que je voulais, je me mis à prendre des mesures de la salle et du bâtiment l’occupant, une fois toutes les informations nécessaires récoltées je rentrais dans ma chambre à l’auberge et commençais a travaillé d’arrache-pied sur les plans de la futur caserne toute la nuit. Je jour venu, je m’étais empressé de les montrer à mon ami Dionysos. Après les avoirs inspectés il les trouva superbe et me félicita pour ce bon travail.

 

 

 

 

Chapitre 10.

Mon nouveau chez moi.

 

 

Après avoir briefé tous les nains ouvriers de la citée ceux-ci partaient pour aller miner tous les matériaux nécessaires à la construction de la nouvelle caserne. Dionysos réfléchit puis se retourna vers moi et me dis :

 

- « Mon ami, je réitère ma demande, souhaite tu avoir ta place dans Galianör mais cette fois je te propose en plus de devenir notre second architecte ? »

 

Très enthousiasmé par la nouvelle proposition de Dionysos je lui répondis :

 

- « Oui bien sûr, par contre je souhaiterai rester pour l’instant dans cette chambre de l’auberge si cela ne vous pose pas de problème. »

- « Rassure toi, tu pourras y rester autant de temps que tu le souhaiteras ! Par contre aimerions que tu te revêtisses un peu plus comme nous pour que l’on sache que tu es des nôtres ! »

- « Absolument, je le ferais ! vous pouvez me faire confiance ! »

- « Je l’espère Bobi ! »

 

Ce nom, cela faisait longtemps que l’on ne m’avais pas appelé ainsi… !

 

Plus tard, comme me l’avait demandé mon nouveau collègue, je commençais à me faire une combinaison en cuir et acier à l’aide du nouveau forgeron de la ville ‘’Polichaud’’ tout en gardant évidement mon tissu autour de la tête. Je m’étais fait ensuite quelques amis dont ‘’Cacamille’’, ’’Viaduc’’, ’’Tigrisou, ’’Ptitpain’’, ’’Nats’’, et plein d’autres. Et finalement grâce à tous nos efforts Galianör commençait à reprendre vie…

 

Avec ce nouveau départ, je ne perdais pas vue mon objectif principal et commençais une nouvelle vie ici, à Galianör. Certes je faisais une pause sur la progression de ma quête, mais je ne comptais pas la laisser de côté très longtemps. Bizarrement personne ne me posait de question à propos de mon camouflage, mais moins ils en savaient et mieux ça allait pour tout le monde.

 

 

 

BobiSnow

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Bonjour,

 

Ma première impression: "La vache ! La taille du RP Oo "

Enfin bref...

Je trouve que Bobi est très sympathique et très dévouer et motiver (De toute façon il en faut de la motivation pour corriger ma candidature) car quand il commence une chose il la finit. Je ne sais pas combien de temps il a passé sur c'est foutu muraille d'Ultharik, mais il est au moins à plus de 20 heures.

Après Bobi mineur, c'est une bonne chose car comme il est sympa et qu'il m'adore trop fort de la mort qui tue il me donnera les 50% de ce qu'il vas récolter donc, je pense que c'est plus qu'un bon choix de devenir mineur !

Tout ça pour dire que Bobi est très généreux, sympathique, trolleur, avec une envie folle de ce faire plein de petits PAs qu'il pourra [barrer]me donner[/barrer] dépenser pour ce faire une belle maison, car Bobi est aussi un très bon architecte !

 

Cordialement,

 

Viaduc !

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je plussoye se magnifique architecte et se nain qui est éssentiel au bon déroulement de galianör et Ultharik.

Il est s'investie dans le travail, il est simphatique (jeu et mumble) et a de l'originalité pour les constructions.

Bobi ferat un bon villageois.

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BobiSnow est une personne très importante à Ultharik, comme la dit Guiwar, il fournit un travail important au projet.

Il a quand même une bonne vingtaine de points dans le topic des travailleurs qui méritent le bien !

+ 1

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Bonjour à tous

Ah [barrer]merde[/barrer] zut il y a aussi notre belle, gentille, aimable, adorée de tous, impératrice, louvinette, donc... ->

et à toutes !

 

Alors quel genre de plussoyement je peux faire à Bobisnow ?

 

Tout d'abord, son préfixe, bobi, nous indique clairement qu'il s'appel Jonathan, et bien qu'il ne soit pas méchant, je pense que ce nain est clairement, un magnifique architecte dont je conterai les éloges si j'en ai le temps.

Son suffixe, snow, nous montre qu'il aime la montagne, tout comme nous les lasagnes, bien que celle-ci soient depuis peu avariés, et quelque peu moins d'une bonne qualité.

Cela étant dit, je pense que vous verrais en quoi BobiSnow est un homme complet.

 

Maintenant, passons au in-game, car c'est pour cela qu'on l'aime, et je compte donc dire en quoi son grade de villageois, qui, je ne sais pourquoi, lui permettra de mieux être investi.

 

Depuis son arrivée sur le serveur, il n'a fait qu'approfondir son labeur, et à ses heures perdues, il aide ses amis sans leur demander aucun reçu. Il m'a déjà aidé, et je lui en suis reconnaissant, bien qu'il lui faille parfois être boosté, et pour cela sur moi il peut compter, car de mon fouet parfois je lui laisse le dos sanglant.

 

Donc, Bobisnow, cet être plein de joie, ce confrère de tout temps, mérite amplement, d'obtenir ce grade tant convoité, et tant espérer, de villageois !

 

*Continue de travailler sur tous tes projets, tu es un de nos meilleurs architectes !

 

Sur ce, je t'accorde un méga-ultra-troptop-delamortquitue- +1 !

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Donc ! Pourquoi ne pas vouloir accepter le rang de villageois à ce bon vieux BobiSnow frais comme la neige ! Hahaha ! Haha...ha...ha... ......

Bref après cette blague, on peut le dire à *bip*, continuons ce plussoiment.

BobiSnow est très actif sur le serveur, l'un des nains que je vois le plus travailler sur les murailles d'Ultharik en ce moment ( y travaillant moi même pas mal :roll: ) les autres ayant déserter sur Galïanor, [barrer]bande de traîtres ![/barrer]

 

Donc je vous invite à accepter sa candidature les yeux fermer ... ceci est du second degré bien sûr :lol:

+1 au nain BobiSnow !!! [barrer]Et vive les modos ![/barrer]

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