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Revan55

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Tout ce qui a été posté par Revan55

  1. Revan55

    Un petit jeu

    9562... ça me fait penser à : 1...2...3...SOLEIL ! (je retombe en enfance )
  2. Revan55

    Un petit jeu

    9568... On est pas encore arriver à zéro, à ce rythme là...
  3. Revan55

    Un petit jeu

    9576 Comment ça, c'est pas noble d'augmenter son nombre de message ainsi ? Je trouve ça très classe...
  4. Très bon joueur, fort sympathique, prêt à aider son prochain... (bon, il a voulu me tuer en m'envoyant sur Nimps, mais je lui en veux pas ) Je plussoie donc ! En espérant vite que tu sois accepté afin que je vienne dévaliser ton échoppe...
  5. Je soutiens moi aussi ce projet, si vous avez besoin de main d'oeuvre, n'hésitez-pas, je suis dispo !
  6. Bonjour, bonsoir, bonne nuit, bon appétit. Bon, une petite présentation IRL ne ait pas de mal pour ceux qui ne me connaissent pas (vous ne connaissez pas le grand, le fort le magnifique Revan ? inculte ) De mon vrai nom Valentin, j'ai presque 17 ans, je rentre en Terminale S. Je vis en Meuse, près de Verdun (1916, remember). Je suis passionné par l'informatique, je suis développeur (amateur) web et de softwares/jeux. Je suis aussi un musicien, je joue de la batterie. Mais trêve de bavardage, place au RP ! Pour ceux qui ont du temps à perdre, le lien de mes précédents RP pécore : candidatures-serveur-minecraft/demande-canditature-revan55-t7757.html arpenteur de route : candidatures-serveur-minecraft/postuler-rang-voyageur-revan55-t13565.html [rp ON] [Hors RP] ceci se passe quelques années à peine après les précédents RP... pauvre moi... [/hrP] Le pourquoi du comment Il était une fois, dans une région fort reculée d’un monde sauvage et dangereux… A l’intérieur d’un manoir familial, dans la plus haute pièce de la plus grande tour, celle qui domine les plantations, dont l’allure semble austère, avec sa petite lucarne bardée de fer, et ses quelques tuiles manquantes, se trouvait la chambre du maître. La pièce était faiblement éclairée par quelques bougies, placées autour du meuble central : le lit du maître. Ce dernier était occupé par Revan, le cinquante-cinquième du nom et, malheureusement, le dernier de l’illustre lignée. En effet, depuis quelque jour déjà, Revan était cloué au lit, incapable de s’extirper de ses draps, le front moite, le teint blême. Ses joues étaient attaquées par une barbe de plusieurs semaines. Une croix en éponge trônait au dessus du grand lit à baldaquin miteux. En face, la cheminée laissait passer des courants d’air par son foyer éteint. Des cendres tournoyaient dans le climat glacial de la pièce. Revan était mourant. La vie le quittait, il ne se sentait plus la force de se battre. Tout espoir était désormais vain. Plus rien, ni personne, ne pouvait le sauver de son destin. Tous ses domestiques avaient fuit la maison, par peur d’être touché par la mystérieuse maladie dont était atteint le maître, en emportant au passage quelques souvenirs du lieu, comme l’argenterie, deux chandeliers d’argent, un lustre, un set d’alchimiste, une hache en bois, un coffre rempli d’or, une toile d’araignée, une dinette et l’épée mystérieuse ramenée par le maître des enfers obscurs d’une religion trépassée sans intérêt aucun. Seul son domestique préféré lui était resté fidèle. Lui n’avait emprunté qu’une demi-douzaine de diamant de la aille d’un crâne humain et un œuf pour le diner. - Dominique, dit Revan d’une voix faible… approche-toi, Dominique. - Qu’y a-t-il, maître ? répondit-il. - J’ai besoin d’aide, Dominique… va chercher le boiteux… - Pardon, monsieur. Qui ? - Tu sais, celui qui a une jambe moins cubique que l’autre, et qui passe son temps à pester. - Je ne vois pas de qui monsieur veut parler… - Enfin, celui qui a un œil qui dit merde à l’autre, et qui à une haleine de chiotte ! - Je ne vois pas où monsieur veut en venir… - Va chercher le rebouteux boiteux, ignare ! - Mais, c’est moi, votre rebouteux, répondit Dominique le majordome qui fait aussi office de rebouteux boiteux. - Ah, rebouteux, j’ai besoin de me confesser. Voyez-vous, cher boiteux, j’ai eu un rêve, qui me hanta toute ma vie… - Lequel ? interrogea Dom’. - J’ai toujours souhaité devenir marchand… Le moment où le vieux explique son rêve. - Ah. Répondit le serviteur zélé, sans grand intérêt. - Eh oui. Je rêvais toujours d’ouvrir une petite boutique, là près de chez moi. Le long de la nouvelle route, qui est assez nouvellement fréquentée, puisqu’elle relie New Stendel et Nouvelle Azur. J’aurais construit une échoppe de menuisier, puisque un vieil ermite bûcheron dans la forêt m’avait appris comment manier à la hache. Et, mon frère m’aurait fabriqué de beaux meubles, parce qu’il aime fabriquer de beaux meubles. Et je les aurais vendus, à prix bas, parce que mon but n’est pas d’arnaquer les pauvres gens. J’attendrais au comptoir, des jours durant, patientant, et lorsqu’un visiteur arriverai, je l’aurait conseillé, et lui aurait vendu le plus beau des meubles existant… - Mais, vous n’avez pas de frère… - Si j’avais eu la chance d’être nommé marchand, j’aurai eu un frère ! Mais il est trop tard maintenant. Tout mon savoir si chèrement acquis en parcourant le monde va disparaître avec moi, et ma lignée de même. Pourquoi donc, Oh Glorieux Empereurs, m’avoir ainsi maudit ? Je ne voulais que votre bien, et faire fleurir le commerce dans mon tendre hameau, permettant à mes amis de vivre heureux et de couler de vieux jours… Pourquoi m’avoir fait ça ? Et la chute qui explose comme le tonnerre en pleine face. Dominique, surprit, lui répondit : - Mais, Monsieur, vous n’êtes pas souffrant… Vous êtes juste tombé dans les escaliers et vous vous êtes fait une bosse sur le coude… C’est tout. Vous n’allez pas mourir aujourd’hui, ni demain, ni après-demain, ni après-après-demain, ni… - Mais c’est merveilleux ! Va mander mon frère, que je lui annonce la bonne nouvelle ! - Monsieur, vous n’avez toujours pas de frère. Par contre, je peux vous annoncer que vous ne mourrez ni après-après-après-demain, ni après-après-après-après-demain... - Dehors, misérable rebouteux boiteux ! Je ne veux plus jamais te voir ! Tu m’horripiles. - Bien, monsieur. Le Rebouteux boiteux s’en alla donc. - Dominique ? Où es-tu, fidèle servant ? Le Rebouteux, qui n’était qu’autre que Dominique, revint - Je suis toujours là, Monsieur. - Va me chercher une plume de poule du jardin est, une feuille de papier importée de Nevah et un verre de jus de citron agrémenté de quelques glaçons de Sedannah… - Bien, monsieur. - Je vais enfin pouvoir commencer ma lettre de demande de titre de marchand ! Alors, comment pourrais-je commencer. Ah oui ! « Il était une fois, dans une région fort reculée d’un monde sauvage et dangereux… » Oui ! ça claque ! [rp OFF] Bon, comme expliquer dans le RP? j'aimerais créer une échoppe. étant menuisier, je souhaite vendre des meubles. Le nom de l'échoppe m'est donc venu naturellement (merci Robrock55 pour l'idée) : Monsieur Cube (basé sur Monsieur Meuble mais en mieux, faut pas déconner non plus) Mon magasin se situe sur la route reliant New Stendel à Nouvelle Azur, après le musée et la pyramide. quelques screens : l'extérieur By revan_du_55 at 2011-07-12 et l'intérieur By revan_du_55 at 2011-07-12 By revan_du_55 at 2011-07-12 By revan_du_55 at 2011-07-12 L'étage sert de salles des coffres, pas de screen^^ Concernant les prix, mon but n'est pas de ruiner mon prochain mais de l'aider à améliorer son quotidien. On a donc : chaise : 1 pa/unité tabouret : 1pa/unité plateau central de table : 1pa/unité table avec patte : 1pa/unité banc avec pattes : 1pa/unité banc sans patte : 1pa/unité tonneau : ? planches : 2pa/stack escaliers en bois : 5pa/stack porte : 1pa/unité Voilà, merci de vous être intéressé à cette candidature !
  7. Je soutiens moi aussi cette construction ! J'essayerais d'aider à sa construction !
  8. Ciel ! Après des semaines de voyages interminables, mon frêle esquisse m'a porté vers les rives de cette charmante cité. j'y ai rencontré moult âmes charitables qui m'ont secouru, alors que je me noyais dans vos eaux glacées. Et, maintenant, je ne souhaite plus quitter ces lieux, la blancheur de la neige couvrant vos toits m'émerveille à chaque instant. C'est pourquoi j'aimerais m'installer en ces lieux, afin de vivre en communauté et quitter ma grotte sombre et malodorante, et goûter au plaisir des chutes de neige ! PS : je suis désormais voyageur.
  9. Ainsi, le sort de l'humanité est entre vos mains. Et hop, la citation qui fait tout : PS : traduction aproximative, Yoda ne parlant pas français
  10. Il serait donc affaire de" restitution de propriété" mais les villes n'ont-elles pas elle-même décidées de leurs frontières, en accord avec les Empereurs Stendeliens ? Ainsi, vous décidez reprendre un territoire acquis au cours de transaction des hautes sphères (dans lesquelles le péon de base ne peut s'interposer). Toute une zone devient alors inhabitable, sur la simple raison de prévoir l'avenir et de préparer un future agrandissement de la ville. A mes yeux, ceux qui se sont installés, bien qu'étant des hors-la-loi, ont leurs raisons. Un espace vide est un bon emplacement pour s'installer. Peut-être vos frontières sont trop éloignées des limites réelles de la ville, pour que ces braves hommes s'installent ? Dans ce cas, il faudrait peut être revoir la position des frontières... Ma parole ne changera sans doute pas grand chose aux actions allant se dérouler ce soir, mais au moins, j'aurais tenté de défendre mon point de vue.
  11. Bien que ma parole n'ai qu'une piètre valeur en ce bas-monde, je m'oppose contre cette croisade horrible. En effet, cette croisade qui a pour but la purification ne devrait pas passer par la violence et la destruction mais par un cheminement plus pacifique et administratif ! Ce que vous proposez, c'est le génocide de toute une civilisation ! Je suis d'accord concernant la laideur de l'architecture des bâtiments que vous désirez raser, mais cette action entraînera une terrible répercussion ! Le bas-peuple s'enflammera ! Ce sera l'anarchie ! Une ère de grief massif ! L'apocalyspe minefieldienne ! Je préconise donc de passer par les chemins administratifs habituels plutôt que de saccager des mochetés illégales.
  12. Bonjour à toi, Ô peuple Minefieldien ! en guise d'introduction, je remercie les admins qui ont su faire le bon choix et relancer Minefield ! Je félicite aussi les modos qui ont su gérer ce problème avec brio. Mais trêve de plaisanteries, passons aux choses sérieuses ! rappel de la candidature pécore : viewtopic.php?f=29&t=7757 [RP ON] La liberté... Enfin... Après tant de temps d'attente, il était temps de tenter une nouvelle existence, une vie de décadence, de puissance, de richesse ! Revan, le cinquante-cinquième du nom, s'élança. Il courut, à en perdre haleine, dans la ville, le long des routes, à travers collines boisés et montagnes enneigées. La nature s'offrait à lui. Une nouvelle ère commençait. Il vagabondait, de lieu en lieu, de ville en ville, de monument en monument. Il se passionna pour l'art. La culture était son point sensible. Il courrait le monde pour découvrir tous ses secrets : Pourquoi les cochons étaient roses ? Pourquoi l'eau coulait, le bois flottait, mais pouvait aussi brûler ? Pourquoi ses parents étaient morts ? Comment des îles pouvaient flotter dans l'air ? Toutes ces questions étaient malheureusement sans réponse. Il décida donc d'interroger les sages, qui avaient coucher sur papier toutes les connaissances du monde. Mais tous les savoirs se contredisaient. Certains prônaient l'aventure, d'autres l’abandon total au nom de quelque divinité païenne, mais il livre attira son attention. Ce n'était qu'un petit bouquin, sans aucune prétention. Découvert au bord d'un chemin, dans le fossé, il ouvrit l'esprit de notre brave héros au cœur pur et intrépide et à l'esprit aiguisé. Le livre en lui même était banal, c'était l'histoire d'un jeune homme traversant le monde, entouré de moult malheurs, et croyant que tout était pour le mieux dans le meilleur des mondes. "Utopie moderne et sans prétention aucune" pensa le jeune érudit, déjà fort cultivé pour son âge. Mais la fin attira son attention. Un vieil homme énonçait une phrase qui allait changer à jamais la vie de Revan. "Il faut cultiver son jardin". Maxime choc, et pourtant possédant peu de prétention. Revan réfléchit plusieurs jours à la signification profonde de la phrase, et au bout de nombreuses nuits de contemplations, il vint à la raison que le livre disait vrai. Il décida de suivre ces enseignements et prit comme décision de changer de décision : il serait désormais un fermier. Il chercha donc un lieu où s'installer et y bâti une jolie baraque pour y entreposer ses récoltes et y passer ses vieux jours. Tout allait pour le mieux. Alors qu'il partait aux champs, le tonnerre gronda. "Ce n'est pourtant pas la saison", se dit Revan. Il courut, s'abriter, mais il était trop tard. La terre s'ouvrit sous ses pieds. C'était un déchainement de pouvoirs maléfiques. Tout s'écroulait, s'enflammer, explosait. Revan plongeait dans les ténèbres. Il ne pouvait s'accrocher. Il disparut avec tout ce qui l'entourait, perdant connaissance. A son réveil, tout avait changé. Il se trouvait dans une vaste plaine entièrement déchirée par d'innombrables cratères. Il pleuvait même des mottes de terre. Revan tenta de s'abriter dans une grotte, mais le plafond de celle-ci s'écroula dans un terrible fracas. Sonné, il réussit à s’extirper des gravats. C'était le Ragnarök ! De cratère en cratère, Revan parvint à quitter les lieux du désastre. Devant lui se profilait une immense plaine bordée d'une sympathique plage. De nombreuses personnes y bâtissaient une ville. En parlant avec les autochtones, Revan apprit que les mages n'avaient pas su arrêter une terrible attaque des démons noirs et maléfiques des ténèbres infernales des fonds marins. Ils avaient alors envoyé la population de l'Empire sur ces terres inexplorées. A la suite de conseils avisés, Revan s'enfonça donc dans cet immense territoire inconnu, afin de s'installer. Et, durant son périple, il tomba sur une activité inhabituelle. Un fort se construisait, sous les ordres du Puissant Aelfyr. Revan, sans foyer, étranger à cette terre, s'engagea au service du seigneur. Commença alors pour lui une vie de servitude absolue.Il s'enfonça sous terre, creusant,récoltant, détruisant au nom du Seigneur Lumineux, comme il l'appelait (Aelfyr vivait dans le donjon, en haut d'une montagne, alors que Revan minait dans les entrailles obscures des mines de Rune). Il s'installa avec ses amis mineurs dans une salle aménagée en leur honneur, la grande salle. Obéissant aux ordres venant d'en Haut, Revan dû laisser sa maison en construction pour ramener les ressources voulues par le maître. Revan resta donc sous terre des jours durant, perdant toute notion du temps, oubliant même la sensation de vent sur la peau, la beauté d'un lever de soleil au bord d'un champ.Et Il continua, creusant, s'enfonçant encore jusqu'à ce que, brisé physiquement et moralement, il ne put descendre plus bas. Il se retourna. La remontée allait être longue, très longue. Des jours durant, il suivit l'immense boyau qu'ilavait traversé auparavant, éreinté, s'appuyant sur les rebords, courbé, s'abîmant ses mains sur la roche, laissant des traînées sanguinolentes derrière lui. Avant de ramener le fabuleux trésor qu'il avait amassé au cours de cette longue période, Revan décida de se reposer quelque jour dans sa demeure. Quelle fut alors sa surprise lorsqu'il vit toute la citée souterraine détruite, ensevelie sous la roche, inondée de torrents de lave ! Et, au dessus d'un pilier à demi effondré, il vit le glorieux noble, sa face éclairée par la lueur blafarde de la lave, assistant au spectacle, avec un tel regard de férocité que Revan ne put bouger. Il prit enfin conscience de toute la personnalité de son seigneur, maitre des ténèbres et de la désolation. Il croyait pourtant avoir enfin trouvé sa place et pensait servir un être d'exception. Tous ses espoirs, toutes ses aspirations disparurent alors. Plus rien ne le retenait ici. Il retourna à l'air libre et, vit au loin, une fille flottante soutenue par un pilier de terre. Les mages avaient réussi à vaincre les démons, même si de nombreux âmes perverties hantaient encore les terres impériales. Alors, montant sur une roche magmatique refroidie, Revan jura, face au soleil levant : " Par les lames des Empereurs, je jure d'arpenter ces terres, me refusant tout repos ou tout point d'attache, tant que justice, grandeur et prospérité ne règne sur le pays entier ! "
  13. Revan55

    Radio minefield

    Bonne idée de projet ! Et ce live-test commence bien ! Moi, je vais suivre de près ce projet... Bonne chance !
  14. Rooh... le passage où il me remercie a été coupé au montage... C'est pas gentil La vidéo est sublime, beau boulot Tyroine !
  15. Un concert, ça dégénère vite... surtout si c'est Robrock55 qui joue ! http://img130.imageshack.us/img130/4564 ... 212753.png Et à partir de là, c'est le carnage ! http://img849.imageshack.us/img849/3969 ... 214606.png http://img858.imageshack.us/img858/4227 ... 215805.png PS : désolé si les images ne sont pas très belles, mais prendre des screenshots en plein pogo, c'est pas facile
  16. L'évènement sera filmé ? Afin d'en garder une trace...
  17. Parce que je ne suis pas un bot, ou que je ne passe pas 25h de ma vie par jour sur un ordinateur, j'ai une vie sociale (ou pas). Voici donc une petite présentation IRL, parce que c'est bien de savoir on a qui en face de soi. Je me nomme Valentin, et j'ai 16 ans (je me rapproche à grands pas des 17, mais on va pas faire une controverse dessus). J'ai plusieurs passions assez variées : musique (je suis batteur depuis plus de 5 ans), informatique (je fais de la programmation) et, bien entendu, Minecraft (le meilleur pour la fin !). Sinon, je suis actuellement en 1ère S, spécialité SVT, en vue de devenir quelque chose plus tard... Non, plus sérieusement, mes projets d'avenir sont encore flous... J'ai décidé de rejoindre la grande et reconnue de Minefield car j'ai été guidé par une de mes connaissances, Robrock55. De plus, je cherche un serveur qui ne risque pas de fermer quelques mois après son ouverture, or Minefield ne risque pas de fermer de sitôt (j'espère ). Enfin, J'aimerais jouer aux côtés de grands noms de Minecraft, et auprès de grands architectes de talent. Je suis disponible sur Mumble, principalement le week-end. J'y ai déjà fait quelques tours, ce qui 'a permis de confirmer mon idée concernant la bonne humeur régnant dans cette communauté. Allez, ta vie est barbante Revan55, nous on veut du RolePlay ! Puisque c'est si gentiment demandé, je vais en faire un... PS : pour plus de réalisme, le personnage portera le nom de Revan. C'est plus court et plus joli. Nous sommes en l'an de grâce -on s'en fout. Quelque part dans la campagne profonde, un évènement historique allait se produire. Dans une vieille étable à moitié en ruine, perdue au milieu des arbres, naquit Revan. Sa première vision fut : une poule qui le regardait avec tendresse. Il éclata en sanglot. Revan, le 55ème du nom, fils de Revan (dit le 54) le fermier et de Marguerite la fermière, était né. Il passa son enfance dans la ferme familiale, à s'occuper de veaux, vaches, cochons. Il n'y avait pas d'école près de chez lui. Son père dût donc s'occuper de son éducation. Il lui apprit à respecter les bêtes, à leur parler avec courtoisie, de ne pas les brusquer si il voulait tirer le meilleur lait des vaches. Il vécut ainsi, heureux, loin de la ville et de la société, en parfait agriculteur de campagne profonde (c'est pas contre les agriculteurs, je les respecte ). Mais, un beau jour, pour son seizième anniversaire,son père décida d'immortaliser le jour en tuant Tire-Bouchon, le cochon préféré du pauvre petit Revan (toujours le cinquante-cinquième du nom). ce dernier décida donc de s'enfuir, voulant fuir cette ferme immonde et sans cœur, et, au passage, ouvrit le poulailler et partit avec CôtCôt la poule. ils fuirent donc ensemble, main dans l'aile, à travers la sombre forêt qui entourait la ferme. Ils durent alors affronter moult danger : des loups sanguinaires, des renards mangeurs de poules, des vers de terre géants, des arbres titanesques, des fougères, des ronces, de l'eau, des marécages, des noobs qui apparaissaient de nul part, sans doute envoyé par quelque divinité pour les punir, des cobras, des vaches, des hommes-cochons, sans parler des mille et un autres dangers. 10 ans plus tard, selon les calculs de ce brave Revan (en fait, j'ai calculé, son voyage dura presque un quart d'heure !), il arriva dans un paisible village. Entièrement composé de chalets. Un peu comme sa ferme. Son ancienne ferme. Il pénétra dans le village, évitant les grandes rues et la place. De ruelles en ruelles, il étudiait les habitants. Alors qu'il tentait de voler une belle pomme dorée qui trônait dans un étal, le marchand l'aperçut, et le chassa. Il courut. A terre, il trouva un briquet. Son père lui avait formellement interdit d'utiliser des briquets. mais son père l'avait trahi, il n'était plus là. Il l'alluma, et l'apocalypse s'abattit. Un torrent de flammes dévalèrent la pente, brûlant tout : herbe, arbres, fleurs, maisons, habitants. Tous y passèrent. Il se jeta dans l'eau pour éviter d'être carbonisé à son tour et de rejoindre l'autre monde. Il était perdu, désorienté. Il parcourut alors le monde. 3 jours plus tard, il arriva dans la capitale, d'après ce qu'il en comprit bien des mois plus tard. Il courrait, fuyant les autres habitants et les gardes à ses trousses (à ce jour, les raisons de cette course-poursuite sont encore inconnues), se cachait derrière les maisons, dans les cours d'eau, et finalement, la foule le rattrapa. Les gardes l'emmenèrent, malgré ses protestations. Ils l'enfermèrent dans un sombre cachot humide. Au milieu des immondices et des rats, il put réfléchir à ses actes. Et c'est à ce moment qu'il comprit ses erreurs. Il fallait qu'il retrouve ses parents. Il décida de s'évader. Un matin, alors que le garde lui apportait à manger, comme d'habitude, il assomma ce dernier d'un féroce coup de point sur l'arrière de la nuque. Il sortit de la cellule et courut à en perdre haleine. Mais, au détour d'un couloir, il se trompa de direction et déboula dans la salle de gardes. La chance lui avait tourné le dos. Il prit un mois de plus pour cette tentative d'évasion. Il apprit, quelques jours plus tard, que ses parents étaient morts, d'une cause inconnue. Plus rien ne le rattachait à son ancienne vie (qui, rappelons le, n'était guère enviable. Un gueux perdu dans une forêt, c'est pas classe à raconter aux petits-enfants). Le temps passa. Sa peine fut alors purgée. Les gardes l'expulsèrent dehors. Il était de nouveau libre. Pour lui, une nouvelle vie commençait. Cette histoire ne parle pas de l'avenir de CôtCôt, la poule. D'après mes recherches, elle fut mangé par un des gardes de la prison. Qu'un empereur, de sa force divine, le châtie !
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