PampaWarrior

J ai mon Pc ;D.

Je suis d'accord .

Pour moi comment je fait ?^^

Bon je vais essayer de maître minefield sur le Pc de mon père pour passer de temp en temp. Et pour mon pc perso je pense plus ou moin un mois ( sa dép. Si faut juste formate ou changer de disque dur :/ ) Édit je vais pouvoir etre sur mumble via l appli itouch

J'ai des nouvelles soit demain j'ai mon pc soit j'ai la date et le délais ^^

Donc voilà comme le titre le dit je ne pourrait plus me connecter ( a cause de problème de pc ...) donc je ne sais pour combien de temps j' en ais ... ( au mieux 1 mois ). Voilà donc a dans je sais pas quand IG :/

Fini les vac je peux donc me reco et crafter les scaphandres (et les harpons )

Mintar t' est payer pour faire sa ?

Moi je donne le craft c' est combien de point ??

http://imageshack.us/photo/my-images/41 ... 85437.png/

Je soutiens cette demande de commerce plus que complète a mon gout ! Vive les gâteaux de Modron

Bonjour, Pourquoi je souhaite devenir citoyen ? -Pour pouvoir me spécialiser dans la pêche ! Et crafter plein de scaphandre. -pour acheter une parcelle sur les Voltmonde . Qu'ai-je fait sur le serveur ? Voici ma maison(Sur la Place d' arme de Valmont, dans l'angle.) http://imageshack.us/photo/my-images/52 ... 52743.png/ des constructions que j' ai aider( construction/terraforming) http://imageshack.us/photo/my-images/96 ... 25946.png/ http://imageshack.us/photo/my-images/81 ... 30513.png/ ect... Maintenant le RP: Et puis... le silence. Toute cette eau, autour de lui, cette masse aqueuse tangible et en même temps fluide, transparente mais bleutée, douce et dangereuse... Pampa n'était à son aise que dans l'eau, il s'en était aperçu quelques mois auparavant. Depuis toujours, le regard des autres le perturbait, l'intimidait. Il préférait les fonds marins, là où seul le silence l'observait, là où les poissons en banc passaient et coulaient autour de lui sans se soucier de sa personne. S'enfonçant dans les profondeurs ténébreuses de l'Océan, protégé par son scaphandre en cuivre il se remémorait son passé, ce qui l'avait amené ici, à Valmont... Ou plutôt à Port-Valmont. Il était sans travail, sans domicile, sans famille. Il n'avait rien à manger, et ses habits étaient déchirés. Les fermiers ne voulaient guère d'un vagabond comme travailleur, même en échange d'un simple bol de soupe. Que lui restait-il à faire ? Personne ne voulait de lui, et il commençait à se résoudre à rejoindre l'Armée impériale de Stendel, au plus bas échelon s'entend, peut-être en temps que sapeur, ou même simple chair à canon, ce qui équivalait à un suicide à plus ou moins long terme. Passant dans un bourg animé, sur la place marchande, se trouvaient de nombreuses échoppes aux étals débordant de marchandises. Volerait-il une pomme ? Un morceau de pain ? Ou même, de viande ? Non. Il regarda autour de lui, tendu à l'idée de se faire prendre, crainte assez injustifiée du fait de la cohue générale qui régnait sur la place en ce jour de marché, et tendit la main. Il s'empara du butin, qu'il cacha sous sa chemise élimée, et s'éloigna rapidement. Une fois sorti de la ville, et après s'être écarté du chemin dans un sous-bois de hêtres, Pampa sortit son misérable trophée. Du fil. C'était l'instinct qui lui avait suggeré de s'emparer de cet objet non comestible, de très peu de valeur, mais ô combien utile pour obtenir à manger. Qu'allait-il en faire ? Il se dirigea vers un arbuste aux branches souples et solides, et en arracha une. Il attacha son fil à une extrêmité du bâton, et enleva sa ceinture de cuir défraichi, en retira la boucle en métal, qu'il aiguisa pendant une demi-heure contre une pierre. Il attacha l'hameçon ainsi obtenu au fil, et se mit en recherche d'un appât. Deux heures plus tard, Pampa s'éloignait de la rivière, quatre poissons de belle taille dans sa musette : il avait manifestement un don pour la pêche. S'en retournant à la ville, il put vendre trois de ses prises et garda la dernière pour lui-même. Même s'il ne dormirait pas sous un toit avant des jours, voire des semaines, il avait au moins un moyen de subsistance ou plutôt de survie. Pampa continua ainsi pendant quelques semaines, se déplaçant de cours d'eau en cours d'eau, de rivière en fleuve, s'essayant à la pêche en mer. Il avait pu s'acheter des habits neufs, bien que de moyenne qualité, ainsi qu'une vraie canne à pêche, bien plus efficace, qui lui permettait d'attraper du poisson dans presque n'importe quelles conditions. Il avait ainsi une existence nomade, à la recherche d'un coin tranquille comme il aimait à le dire, où le poisson grouillait, un coin à l'abri, de quoi manger, de quoi se chauffer : cela lui suffirait. Pampa arriva enfin au Comté de Valmont. La région était accueillante, verte et constellée de cours d'eau ; le poisson y était abondant et le commerce fructueux. Il songeait à s'installer définitivement au Comté, lorsque deux soldats de l'Ost de Valmont, l'armée du Comté, l'interpellèrent alors qu'il pêchait. "Toi ! Ces eaux appartiennent à Sire Ethan Acera, Connétable de Valmont ! La pêche sans autorisation y est interdite. Suis-nous au Port, le Capitaine décidera de ton sort." En moins de tant qu'il ne faut pour le dire, le pauvre pêcheur fut emmené par les gardes qui le tenaient chacun par un bras vers Port-Valmont. Ils se rendirent à la Capitainerie, robuste bastion qui gardait l'entrée de la Rade de Valmont et protégeait le Comté des pirates de Torcuba. Pampa attendit une quinzaine de minutes, puis fut conduit directement devant le Capitaine du Port, Kapohl. Celui-ci s'adressa à lui d'un ton rude : "Alors comme ça on braconne ! On vole les richesses du Comté pour son profit personnel ! Tu vas subir les conséquences de tes actes. Emmenez-moi ce vagabond aux cachots tout de suite !" Pampa frissonna en entendant Kapohl mentionner les cachots de la Capitainerie, réputés pour le humidité, leur inconfort et l'impression d'oppression et de claustration que l'on ressentait lorsque l'on s'y trouvait. Il décida de tenter le tout pour le tout, et supplia le Capitaine. "Je réparerai ma faute et je travaillerai pour le Comté ! Je suis un bon pêcheur, si vous n'êtes pas content de mon travail vous pourrez toujours m'envoyer en prison !" Kapohl, qui était un homme juste sous des apparences sévères, accepta la proposition du pêcheur. C'est ainsi que Pampa commença à travailler pour le Comté de Valmont, en temps que simple pêcheur. En quelques jours, notre ex-nomade devint connu dans tout Port-Valmont pour avoir rapporté plus de quinze kilos de poisson par jour pendant plus d'une semaine, équipé de sa canne à pêche et d'un filet. Pampa comprenait les poissons, il savait où ils se trouvaient, quand ils sortaient de leurs trous, où fallait-il se placer pour rester hors de leur vue. C'était un don inné, transcendant. En deux semaines son amende fut payée. Mieux : Pampa gagnait suffisamment d'argent pour s'acheter une petite baraque de pêcheur dans un recoin du Port. Deux mois après, il prenait possession d'un petit sloop de pêche qu'il avait acheté à crédit au chantier naval. Il avait un travail régulier, qui lui permettait d'avoir de quoi manger et même plus. Mais dériver sur son bâteau tout en pêchant ne suffisait pas à Pampa : il voulait savoir ce qu'il y avait en-dessous, dans les profondeurs de la Baie de Valmont. Ne sachant pas nager et ne connaissant personne pouvant lui apprendre, Pampa était impuissant, jusqu'au jour où il vit des artisans tester un étrange appareil de plongée appelé scaphandre devant des ingénieurs de la Cité. Le premier essai s'étant soldé par un accident et la noyade du cobaye, personne ne voulait enfiler à nouveau le scaphandre et plonger dans la Rade. Ce serait probablement la seule chance pour Pampa avant des années : il se porta volontaire. Ce second essai fut le bon, après un dernier réglage (le serrage d'un écrou oublié au premier essai), et Pampa plongea. Ce qu'il vit le sidéra : à travers l'épaisse vitre du scaphandre, il voyait les fonds marins, les algues vertes recouvrant le sol, les carpes paresseuses décrivant de lentes circonvolutions à faible profondeurs, les bancs de petits poissons en formation serrée, les crabes se déplaçant de leur si étrange manière, les méduses flottant en apesanteur... Un véritable choc. Une fois remonté, Pampa n'avait qu'une envie : retourner en bas. Il voulait comprendre cette faune et cette flore inconnues de lui et de la plupart de ses contemporains, il voulait connaître chacune de ces espèces, de ces êtres doués de vie aux formes si diverses. Engagé par le prestigieux Cercle scientifique Valmontois, Pampa passait le plus clair de son temps dans sa tenue de cuivre, explorant les profondeurs de la Baie de Valmont, rapportant des échantillons, des spécimens d'espèces rares. Il était dans son élément, il était heureux. Cordialement, Pampa.

Une simple tour pour un Compté si charmant ne suffit pas , en plus le Connétable mérite mieux! (enfin faux voir pour la deuxième ) Sinon je soutient vraiment ce magnifique projet!

Je postulerait surment aux rang supérieur dans plus ou moins 1 semaine et etre pecheur ne me dérangerait pas ( j' aimerai bien par la même occasion etre le pecheur/chasseur de Valmont ).

Je trouve que c'est une idée a creuser imaginer... " la terrible arme Valmontoise guider pas son conetable vêtu de sont stringue leopard. " et puis sa pourrait faire le volume 2 d' éthan en slip, mais cette fois penser a faire plusieurs exemplaire...