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[Accepté] Postuler au rang de Voyageur : Hotcoon


Hotcoon
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Amis Minefieldiens, bonjour!

 

Voici maintenant trois mois que que j'arpente le serveur, dont deux en tant que paysan, et il est désormais grand temps pour moi, me semble-t-il, de postuler à un rang plus élevé. Afin de ne pas vous imposer une longue présentation de moi-même, voici le lien de ma candidature de paysan, qui pourra vous fournir certaines informations sur ma vie (IG et IRL):

 

http://www.minefield.fr/forum/viewtopic.php?f=21&t=12697

 

J'ai donc réellement débuté cette aventure, il y a deux mois, avec Ctrofun et ai été rejoint, plus ou moins récemment, par Jeremiepetit. Nous nous sommes établis dans un premier temps aux abords d'Azur, dans une petite fermette à la sauce Azuréenne, avec son champ, sa cabane, ainsi que sa mine où nous avons pu nous intégrer lentement, mais sûrement, au peuple Minefildien.

 

reduit42689477house1.png

 

Les aménagements ici présents y ayant été rapidement réalisés, nous passâmes à un autre projet, bien plus important et conséquent qui n'aura malheureusement pas abouti. En effet, nous désirions faire de cet hameau miteux et sans histoire, un village à part entière, regroupant des paysans motivés et engagés pour ensuite nous proposer au rang de banlieue officielle d'Azur. Nous y avons d'ailleurs complètement refait les routes, avant de nous rendre à l'évidence qu'il nous serait impossible de mener ce projet à son terme.

 

Lors d'une sortie de groupe, nous nous rendîmes au Dôme Soulaflotte et nous fûmes accueillis là-bas par SamsamTS et ProCactus qui s'improvisèrent guides pour l'occasion. Après une brève concertation, nous décidâmes de tenter notre chance là-bas et nous faisons désormais partie intégrante de cette communauté. Des projets sont en cours de discussion et il me tarde de mettre la main à la pâte!

 

A côté de tout ceci, voici l'aménagement intérieur de ma bulle au dôme.

reduit1787179443dome1.png

 

Enfin, je conclurai cette postulation par mon RP, qui s'est "légèrement" étoffé depuis ma postulation de paysan.

Chapitre 1

 

Elle s'appelait Tiphaine.

Ses champs, ses enfants, voilà ce pourquoi elle vivait. Contrainte et forcée de s'occuper seule de leur éducation, Tiphaine changea. Sa façon d'être, son sourire et sa précédente joie de vivre cédèrent leur place à une mélancolie apparente. Délaissée par son mari, Eudes, qui rapidement préféra consacrer la majorité de son temps à sa place au sein du conseil du village, elle dut se résoudre à endosser son rôle, et à l'assumer sans dire mot. Ce qu'elle fit, tout au long de sa vie. Ce matin-là, jamais je n'aurais pu penser un seul instant que mon monde basculerait. Ma mère déposa un baiser sur mon front de jeune adulte et s'en alla dans ses habits de travail. Le soleil rayonnait, la journée allait être agréable, du moins, c'est ce que je pensais. Je réveillai mon frère Jehan et nous partîmes pour Mislaid. Il était en effet temps de vendre ce que nous avions produit.

 

La journée fut plutôt bonne et c'est fiers de notre vente que nous prîmes le chemin du retour. Je poussai la porte et découvrit la maison comme nous l'avions laissée plus tôt dans la journée. Maman n'était pas rentrée. Ce n'est qu'après une bonne centaine de mètres que j'appris que Maman ne rentrerait plus jamais.. Non, plus jamais.

Me voici aujourd'hui, les yeux noyés de peine. Mon frère est bien là, à mes côtés. Maman ferme les yeux, son teint est plus pâle que jamais. Papa quant à lui n'est toujours pas arrivé, mais je ne lui en veux pas, je sais qu'il travaille également dur pour nous. La voix du prêtre se fait entendre et je tâche de contenir mes sanglots. Ses mots, je les entends, mais je ne les comprends pas. Ils m'atteignent sans me traverser, m'effleurent sans me toucher. J'ai peur. Jehan me saisit le bras et m'invite à me lever. Il est temps de dire au revoir à Maman. Nous sortons de l'Eglise et nous rendons derrière le presbytère en silence. C'est là que Maman habitera désormais. Une main saisit mon épaule. Je me retourne et découvre mon père, hors d'haleine. Ma gorge se sert de plus belle et mes larmes redoublent. Jehan est là, à côté de nous, en larmes.

Vous l'aurez certainement remarqué, je n'ai pas hérité du caractère de ma mère. Sensible à souhait, j'éprouve plus de difficultés que Jehan à dissimuler mes émotions. Je m'appelle Maurin et j'ai grandi dans ce petit village pauvre du nom de Ménardier. Ma famille n'est pas très riche non plus à vrai dire et c'est très jeune que j'ai du me joindre à l'entreprise familiale. Malgré ses absences , je porte beaucoup d'estime à mon père et l'apprécie pour ses capacités intellectuelles. Mais je préfère éviter ce sujet qui divise l'opinion fraternelle, si je puis m'exprimer ainsi.

 

« Au revoir Maman. »

 

Je relève la tête et essuie mes larmes qui ne cessent de couler. La nuit tombe, il est temps de rentrer. Sans dire mot, nous nous retournons et gagnons la route. Je pleure, en silence cependant. A travers le rideau d'eau qui voile ma vision, je parviens à apercevoir au loin notre ferme. A côté de celle-ci, une dizaine de mètres plus loin, se trouve la petite cabane dans laquelle j'aimais tant jouer avec mon frère, quand l'insouciance de l'enfance enveloppait encore nos esprits endormis. Le temps passe, c'est une fatalité. Je me souviens également du grand Gaspard, notre ancien voisin, qui m'apprit à monter à cheval. Il décéda deux mois plus tard, écrasé par un arbre. Mon frère marche devant nous, il semble serein, même si je sais qu'il souffre tout autant que moi. Nous approchons du champ où Maman vit le soleil pour le dernière fois. Je ne peux que détourner le regard. Et si nous déménagions? Je ne veux plus vivre ici. Non. Mon père demeure silencieux, je remarque qu'il semble analyser les environs. Je ne sais à quoi il pense. Certainement à ses prochaines visites. Je passe la barrière. Les souvenirs reviennent en pagaille. Ses attentions, son courage, son rare sourire, sa force inépuisable, ses cheveux, son visage, le doux son de sa voix, ses baisers, sa façon de prononcer mon prénom..

 

La nuit sera longue.

 

Neuf jours plus tard, le soleil brille, comme à son habitude. Je me suis disputé avec Jehan hier, au sujet de notre père. Je découvre à mon réveil qu'il est déjà parti travailler. Tant mieux, j'éviterai ainsi son regard fuyant. Je ne comprends pas pourquoi il réagit ainsi. J'aimais Maman, et ça ne doit pas m'empêcher d'aimer notre père. Je décroche ma faux et sors du logis. Les journées se suivent et se ressemblent depuis la disparition de ma mère. Mon frère est là, un peu plus loin. Il s'attèle à la réparation de la clôture. Bonne nouvelle, je pourrai labourer les nouvelles parcelles sans avoir à supporter ses pensées assassines. Mon père est parti tôt ce matin, un mot de sa part, déposé sur mes vêtements de travail, m'apprit qu'il avait à nous parler d'une affaire urgente et qu'il tâcherait de rentrer plus tôt que d'habitude pour ce faire. Il faut travailler. Je ne peux m'empêcher de penser à ma mère, qui aurait été heureuse d'acquérir cette nouvelle surface non négligeable de terrains exploitables. Ces champs, elle y est née. Le hasard a voulu qu'elle y soit morte. Une larme m'échappe et s'écrase au sol. Ce sol, il me faut le quitter. Je ne veux plus vivre ici, je ne peux plus vivre ici. Je relevai la tête et épongeai mes yeux avec ma manche. Mon père était là, à hauteur de la barrière. J'emportai ma faux et me dirigeai vers lui. Jehan se joignit à moi et nous nous présentâmes ensemble devant lui. Celui-ci nous fit entrer et asseoir. Il nous exposa ensuite la raison de son retour si rapide. Papa voulait partir. L'aventure, c'est de ça dont il avait envie. Il était question de partir le soir même, et de ne plus jamais revenir sur ces terres. Cette proposition m'enthousiasma, au contraire de Jehan, qui resta indifférent à la nouvelle. Je récupérai mes rares affaires dans ma chambre et rejoignis mon père sur le seuil de la maison. Jehan n'avait pas bougé de sa chaise. La tête haute, les épaules redressées, l'expression affirmée, c'est cette image qui me revient en tête, quand je repense à ce frère qui ce jour-là, refusa de nous suivre.

 

New Stendel est une ville plutôt agitée. Je trouve mon père changé, comme si tout d'un coup, il s'était libéré de toutes ces chaines qui l'emprisonnaient. Pour tout vous dire, je n'aime pas trop ce nouveau père. Plus égoïste, moins humain, je me demande si j'ai pris la bonne décision. Comme si ce mois passé loin de ce village l'avait profondément transformé. A vrai dire, j'ai également beaucoup évolué au niveau de mon caractère. Ma mère me manque toujours, mais j'ai appris à vivre avec. Au final, le plus dur dans l'histoire, c'est de devoir vivre sans Jehan. Ce soir, mon père doit se rendre à une réunion, afin de mettre au point son prochain voyage. C'est le moment idéal. Je rassemble quelques vivres trouvées sur le buffet et prépare rapidement un petit sac de voyage. J'espère que Jehan se trouve encore à Ménardier.

 

Jehan, j'arrive.

 

Le bruit court qu’Eudes n’est plus et que ses enfants se manquèrent en chemin. C’est ainsi, abattus mais volontaires, qu’ils entreprirent la quête, écumant les vastes étendues de Minefield, de se retrouver un jour.

 

Chapitre 2

 

J'inspirai profondément et quittai le territoire de New Stendel. Mon passé, mon père, était désormais derrière moi. Il était temps pour moi de retourner à Ménardier et d'y retrouver Jehan, ce frère, que jamais je n'aurais du quitter ce soir là. Plus libre que jamais, je marchais au milieu du sentier quand je croisai un jeune homme à la barbe brune. Il me rappela Landerdeniz, cette personne dont j'avais par hasard fait la rencontre lors d'une de mes nombreuses balades dans New Stendel. Il faut dire que c'était un type plutôt étrange, déterminé à retrouver un certain « Sayz » dont il n'était même pas assuré de l'existence. Je me souviens particulièrement de ses yeux, qui, le jour où je lui avais fait part de ce que je savais sur cet étrange nom, avait retrouvé un peu de leur éclat. Vint ensuite le jour où ce fameux Landerdeniz décida de poursuivre sa route vers la très célèbre ville d'Azur. Nous avions convenu de nous revoir avant la fin de l'année.

 

Je marchai durant plusieurs jours et arrivai à Ménardier. La fumée qui d'antan s'échappait de la cheminée en brique rouge n'était plus et un nombre incalculable de souvenirs me revint en tête. Je ne parvins malheureusement pas à retrouver Jehan ce jour-là, en poussant la porte de l'ancienne ferme familiale. Je passai ensuite sur la tombe de ma mère et y restai une bonne partie de l'après-midi. Les ombres ne cessaient de s'étirer, la nuit n'allait pas tarder. Le village était calme et malgré mes tentatives, je ne parvins pas à obtenir d'information sur la destination de Jehan. Les rares gens que j'interpellai semblèrent avoir du mal à me reconnaitre. Je quittai Ménardier et entrepris de rejoindre Azur, afin de peut-être y retrouver Landerdeniz.

 

Les journées étaient longues, et les nuits, plutôt courtes. Sur la route menant à Azur, je tombai sur une ville du nom de Nevah. Je ne pus m'empêcher de passer les portes de la ville et décidai d'y rester quelques temps. Malgré son apparence extérieure plutôt calme et paisible, je découvris dans cette ville des habitants motivés et dévoués à leur cité. Déjà, les feuilles des arbres perdaient de leur éclat et je compris qu'il était temps pour moi, sans même m'être rendu à Azur, de rentrer à New Stendel. Il fallait en effet que je sois présent là-bas, au cas où Landerdeniz tiendrait sa promesse. Je pliai donc bagage et pris le chemin de New Stendel. Le temps était humide et froid, rendant mon retour au bercail plus compliqué que prévu. Je dus d'ailleurs me résoudre à m'arrêter dans une auberge, le temps de retrouver un semblant de santé.

 

Au loin, se dessinaient les murailles de New Stendel. Mes sentiments s'entrechoquaient en cet instant et je ne saurais vous décrire avec précision l'état dans lequel je me trouvais. J'étais à la fois déçu de ne pas avoir pu retrouver la trace de Jehan et à la fois impatient de retrouver Landerdeniz pour lui raconter mon épopée. J'insérai la clé que j'avais précieusement conservée au fond de mes poches dans la serrure et ouvris la porte. Une vive odeur de renfermé pénétra mes narines et je découvris avec stupéfaction que la petite maison citadine que j'occupais autrefois avec mon père, semblait avoir été laissée à l'abandon. Une épaisse couche de poussière recouvrait le mobilier environnant et je découvris, posée sur la table, une lettre adressée à mon nom. Mon père était mort.

 

Cette vie de solitaire que je menais désormais, me convenait parfaitement. Cependant, je ne perdais pas espoir de retrouver mon frère un jour, et espérais secrètement renouer avec lui. Je poussai la porte d'entrée et découvris, à quelques mètres de moi, mon frère. Un sourire se dessina sur son visage, mais je pus cependant distinguer une pointe d'émotion dans son expression. Je fondis en larmes et en me précipitant vers lui, j'aperçus Landerdeniz, assis sur les marches d'escaliers. Retrouver Jehan fut un véritable soulagement pour moi. Il était temps pour nous de rattraper le temps inutilement perdu. Quelques jours plus tard, nous nous rendîmes tout les trois à la taverne du Chien Hurlant dans l'espoir de retrouver ce vieil homme, qui avait évoqué dans l'un de ces récits, ce mystérieux Sayz. Malheureusement, nous apprîmes par le tenancier que l'homme avait succombé à une maladie et les espoirs de Landerdeniz furent réduits à néant.

 

Une semaine passa et Landerdeniz descendit un soir, pour nous exposer son projet. Il avait semble-t-il, visité un magnifique dôme immergé et nous proposait de nous y rendre. L'évocation de ce dôme me rappela une discussion entre deux habitants de Nevah et je ne pus qu'accepter et encourager notre départ! Nous quittâmes donc New Stendel peu de temps après et nous rendîmes au Dôme Soulaflotte, dans l'espoir d'y trouver une place. Je dois vous avouer que la beauté du lieu me coupa littéralement le souffle et je restai sans voix devant le spectacle qui s'offrait à ma vue.

 

Chapitre 3

 

Deux habitants du dôme se présentèrent à nous et s'improvisèrent guide. Nous pûmes dès lors visiter cette ville sous-marine aux milles et unes merveilles dans ses moindres recoins! Nous rencontrâmes par la suite le grand et vénérable Stoobyte, dieu de ces profondeurs abyssales, à qui nous dûmes prêter allégeance afin de pouvoir prétendre à une quelconque habitation en ces lieux.

 

Nous fîmes quelques jours plus tard l'acquisition de dômes individuels, ce qui nous changea radicalement de notre précédente habitation. Jehan habitait dans la serre du dôme et endossait le rôle de gardien des récoltes. Quant à moi et Lander, nous avions tout deux jeté notre dévolu sur deux magnifiques petites bulles, que nous nous sommes empressés d'occuper et d'aménager. La vie au dôme m'apparut rapidement comme pleine de joies et de surprises. A ce propos, nous étions conviés, moi et mes deux compagnons, à une fête donnée par son éminence, Stoobyte, en l'honneur de notre arrivée au dôme. Celle-ci s'annonçait dors-et-déjà mémorable et nous nous retrouvâmes au bar de Moraking, le jour des dites festivités. Toutes sortes de liquides circulaient en ce lieu magique et pour la première fois de ma vie, je dus faire face à la rotation de la terre. Mes gestes étaient maladroits et mon corps entier semblait se diriger tout seul. Les rires éclataient, les mains claquaient, la bonne humeur et la joie de vivre transpiraient de toute part. J'avalai cinq autres gorgées de ce breuvage envoutant et.. me réveillai.

 

Après de nombreux efforts, je parvins à entrouvrir les yeux, malgré le poids de mes paupières, et découvris avec stupeur le corps endormi d'Anthelme à quelques centimètres du mien. Les souvenirs me fuyaient et ma mémoire flanchait. Je me redressai et inspectai minutieusement l'état de mes vêtements. Heureusement, je ne découvris rien d'alarmant et poussai un soupir de soulagement. Ma tête était lourde et mon estomac semblait vouloir s'échapper de mon organisme. Il semblerait que cette fête de bienvenue, organisée par ces étranges Souflottiens, ait été une réussite. Je mis à profit mes facultés de bipède et me dressai sur mes pieds. Le bar était sans-dessus-dessous et mes chaussures éprouvaient des difficultés à quitter le sol tant il était plaquant. Je trébuchai sur le corps de Samsam et atterri sur celui de Jehan qui, profondément endormi, ne réagit même pas. Je gagnai rapidement la sortie et, après ce parcours plutôt bancal, inspirai profondément.

 

En cette matinée peu commune, le dôme se révéla être un véritable havre de paix. L'air y était frais et le calme régnait sur les lieux. Le soleil se fit attendre et j'effectuai, comme à mon habitude, ma petite promenade quotidienne. Chaque pas était une épreuve à surmonter et, malgré une capacité à réfléchir fort limitée en ce lendemain de fête, il m'apparut évident que dormir restait la meilleure chose à faire. Je gagnai donc ma bulle (Avec quelques difficultés notoires) et m'installai confortablement.

 

Inutile de vous préciser que je ne dormis pas fort longtemps cette « nuit-là » et que la journée qui s'en suivit fut assez laborieuse. Les blagues fusaient et des allusions à des évènement auxquels j'avais semble-t-il participé m'étaient faites du réveil au coucher. Des jours voir des semaines se succédèrent et l'ambiance au sein du dôme n'évolua que positivement. Jehan semblait cependant différent depuis son arrivée. J'attribuais ce changement d'état à l'absence d'oxygène et de lumière en ces profondeurs de l'oubli. Nous faisions désormais partie intégrante de cette communauté et l'avenir ne semblait nous réserver aucune mésaventure. Du moins, c'est ce que je pensais.

 

« Lander, il est arrivé quelque chose à Lander. »

 

Voici les mots que Jehan prononça en toute hâte, encore essoufflé de cette course qu'il n'aurait jamais pensé courir. Quelque chose en moi implosa et je dus demander à Jehan de répéter ce qu'il venait de m'annoncer. Lander, mon ami, avait disparu.

En espérant vous avoir convaincu!

Hotcoon

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Hotcoon celui qui passe des nuits minefildiennes à se balader dans le dôme pour l'admirer même avant d'en devenir un habitant, comment ne pas plussoyé ce joueur qui comme ctofun et jeremiepetit s'intègre maintenant parfaitement à l'équipe du Dôme SouLaFlotte avec de multiple qualités.

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Bonjour !

 

J'ai l'honneur de t'annoncer que ta candidature est acceptée !

Que le Bambou te protège et le Dieu Panda te surveille : être voyageur implique de grandes responsabilités. Montre l'exemple, soit courtois, aide ton prochain.

 

À bientôt peut-être ! Bon jeu à toi !

 

Origine_chan

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