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[Accepté] Demande de citoyenneté: smilou5336


Smilou5336
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Demande de citoyenneté: smilou5336

 

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Salut tous le monde,

 

Voici ma candidature paysanne: post89876.html?hilit=smilou5336#p89876

 

Je m'appelle Louise et je suis une fille (oui oui je sais une fille Minefield c'est inconcevable :P ) et je suis paysanne. J'aimerais devenir citoyenne car depuis le lancement des métiers, et bien menuisier m'a charmé énormément, enfin pouvoir s'asseoir pour entre l'effet du RP encore plus magique et sans parler des couverts ! (d'ailleurs je tiens à remercier Minefield pour son engagement et ses nouveautés spectaculaires !), donc inutile de vous le cacher ce métier sera à moi si je suis citoyenne. Ce que j'ai fait sur Minefield ? Et bien j'ai aidé à l'agrandissement et à l'aménagement du charme (il faut bien rajouter une touche féminine quand même :P ) dans un village.

J'ai construit pas mal d'édifice publique (un espace détente, un endroit publique avec de la musique, fabrication d'un jardin publique, ect…).

J'ai également aidé maxdal à la fabrication d'un dé à coudre sur la map robinson (car et oui je ne néglige pas cette map mais si elle est provisoire).

Dans Minecraft, j'adore faire des jardins car beaucoup de joueurs pensent que c'est une partie annexe mais en fait un jardin mal réalisé gâche l'entièreté d'une maison ou d'une propriété.

Aussi j'ai horreur quand un ami fait une maison et qu'il y'a un défaut, je veux toujours le rectifier.

Je suis une fille active sur le forum, qui n'est pas difficile mais qui est exigeante avec soi même sur mes constructions (bien oui faut bien montrer que les filles peuvent battre les garçons :D ).

Pour finir je ne me laisse pas faire et j'aime bien imposer mes idées pour un serveur meilleur !

 

Avant de passer au RP, voici quelques photos:

 

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Et bien voici un peu de RP :):

 

Mon prénom ?

Je ne m'en rappelle plus, il faisait si froid à ce moment, des cris des hurlements, de la terreur, de sang, et puis plus rien, le vide mais que c'est-il passé ?

quand je repensais à cette nuit je pouvais encore percevoir la détresse de ces gens. J'étais étendue sur une plage, mon bras droit me faisait si mal, et puis ma tête, oui ma tête j'aurais voulu m'en démettre tellement ma douleur était puissante.

Mais il y avait une question, qui suis-je ? pourquoi je suis comme ça ? J'aurais bien voulu y répondre mais rien ne me revenait. Après avoir retrouvé mes esprits je pu constater l'endroit ou je me trouvais, il y avait juste une ville qui surplombait la colline et la mer, je me rendu à cette ville c'était le début de l'aventure, les gens me voyant arrivé me regardait de travers, comme ci j'étais un monstre des collines.

Je cherchais un hôpital pour me faire administrer les premiers soins. La femme qui me soigna était habillée en blanc mais cette femme avait l'aire malheureuse, triste, je lui dit dit:

-"Excusez moi madame, je ne peux m'empêcher de vous demander si vous allez bien".

Elle me dit: "je suis désolée"

A ce moment je m'évanoui sans un mot. Pendant ce laps de temps je ne savais pas si je rêvais ou si je vivais vraiment cette instant, tout avait l'aire si réel mais à chaque fois que j'essayais de toucher quelqu'un elle disparaissait, comme si on ne voulait plus me parler, je pleurais, triste de ne plus rien avoir, ni à aimer, rien…

A mon réveil j'étais couchée sur un sol si dur et si froid, une silhouette sombre se dessina dans l'obscurité de cette pièce, elle me fixait dans cet endroit que j'aurais appelé "une cellule", les yeux de cette personne qui au début me semblait être un garçon était en faite une femme, jeune femme d'un vingtaine d'année qui en paraissait cinquante, elle avait un visage fatigué encadré de long cheveux noir, de grand yeux bruns et de hautes pommettes. Elle portait une robe noir déchirée avec le temps s'en doute, qui était étroitement serrée à la taille par une cordelière blanche. Elle m'adressa la pareille pour me dire:

-"Je ne sais pas pourquoi mais tu me semble être comme moi !"

D'un ton intrigué je lui dit:

-"Comme vous ?"

Elle me répondit:

-"tu parais être une fille qui a souffert n'est-ce pas ?"

Je lui répondit d'un signe de tête, je voulais lui demander ce qui s'était … Mais des gardes arrivant muni d'une épée à la main dans le dos avec un bouclier par dessus, leurs tenues était composées d'un heaume en fer avec des épaulières qui reflétaient le moindre reflet du soleil, quant au plastron, il était noir mais il y avait un blason par-dessus qui lui était rouge. L'un me prit le bras droit et l'autre le gauche, au moment où je du me lever je me rendit compte que j'étais à bout de force, ils ont du me tirer jusqu'à la destination prévue.

Je vis l'extérieur, pour arriver devant un château, et pas un simple château !

 

La douve, large et profonde, avait la forme d'un huit dont le cercle supérieur aurait été plus petit que le cercle inférieur. La terre qu'on avait délayée s'entassait à l'intérieur des cercles jumeaux, pour former des remparts. Au pied du huit, je franchissais la douve par un pont puis une ouverture dans les remparts permettait l'accès au cercle inférieur. Cela me parut la seule entrée. On ne pouvait accéder au cercle supérieur qu'en passant par celui d'en bas. Le cercle supérieur, c'était le saint des saints. je remarquai que la dernière partie du pont pouvait se soulever devant le massif corps de garde qui constituait l'entrée du château. Il y avait des tours de pierres à intervalles régulier tout le long du remblai de terre, si bien que chaque secteur du périmètre pouvait être couvert par les arches qui en assuraient la défense.

Arrivée dans la basse-cour, abrité du monde extérieur par le rempart se dressaient les habituels bâtiments annexes: écuries, cuisines, ateliers, latrines, chapelle. On sentait dans l'air une certaine explication. A un moment les gardes s'arrêtèrent brusquement à endroit, cette droite devait être la cour d'honneur, au centre de cette cour se dressait un bâtiment de pierre carré, haut de trois étages aux murs épais: le donjon. Comme d'habitude, le rez-de-chaussée était occupé par un magasin.La grande salle se trouvait au-dessus et l'on y parvenait par un escalier de pierre. Un homme se dressa devant moi, il était habillé de rouge avec le blason sur sa cape bleu. Il me dit:

-"Alors te voilà, moi qui pensais que tu n'étais qu'un mythe, et bien je me suis trompé…"

D'un aire ébailli et troublée je lui dit:

-"Mais de quoi parlez vous ?!"

-"Tu le sais très bien" dit-il, "A moins que tu ne t'en souvienne plus ? Pourtant un histoire pareille ne s'oublie pas !"

-"Mais de quoi bon sang !"

-"Et bien, tu es la fille de Andrew, l'homme qui pensait pouvoir faire trébucher notre royaume, et toi tu as essayé de reprendre son rêve avec cette fille là, commet s'appelle-t-elle ?, A oui Ania ! Une gentille fille qui elle aussi à perdu la mémoire, malheureusement à l'heure qui l'est, elle doit être morte …"

Je pensais à la fille de la cellule, était-ce elle, je ne me souviens de rien, ça m'énerve !

Il me promit de me relâcher si je me mettais à travailler pour lui mais je ne savais pas quoi faire c'étais moi ou lui le bon ?, je refusa la proposition car si mon père s'était battu contre lui et bien je pense qu'il y avait une raison.

-"Alors rendez-vous à la potence dans une heure !" a-t-il dit d'un ton énervé !

Cette heure me paru longue et interminable, ma vie s'arrêtait ici, triste sort, mais quelle âge avais-je ?

Soudain un flash ! Cet homme était l'homme qui terrorisait les villageois, qui régnait surtout le monde, et j'avais décidé de lutter contre lui et j'avais des alliés mais ou étaient-ils ? mort ? partis ?

Le bourreau arriva pour me chercher, il y avait du monde sur la place, je pris ma respiration pour être prête à mourir.

Soudain une flèche surgit de nul part, le bourreau s'étala sur le sol tel un rocher brisé pas la foudre. C'est à ce moment là que je compris que je devais faire quelque chose, et cette chose fut d'attraper l'épée d'un garde mort ou incisaient par la flèche qui lui avait transpercer l'épaule. La lutte fut longue et sanglante, c'est la que je compris d'ou venait mes blessures, et pourquoi tous le monde n'auraient pas pu me parler, car si quelqu'un aurait essayé d'entamer un dialogue il serait mort.

Les inconnus qui m'avaient sauvée étaient fort et habille, le chef du clan devait être celui qui avait lancé la flèche, il était grand aux yeux châtain et une carrure d'athlète, ses cheveux était entre du noir et du brun, ce qui lui donnait un ton sérieux, son âge?, je le lui aurait donné 19 ans. Au moment ou je crus que les troupes de cet homme qui avait voulu me pendre , je pensais que c'était fini mais à chaque fois l'ennemi redoublait de troupes, à ce moment exacte nous comprimes que la lutte serait perdue d'avance et nous choisîme de partir, je courais de toute mes forces dans cette plaine, mes ces gardes ne nous lâcheraient pas ! Arrivée près d'un endroit qui me parut familier les gardes s'arrêtèrent et repartir. Mais pourquoi ? Ils auraient pu gagner.

L'homme qui avait lancé la flèche pris la parole:

-"Je m'appelle Mathias et nous faisons parti de la résistance du royaume, nous voulons sortir de la détresse ces hommes et femmes qui chaque jour vive un enfer !"

Il essaya de remotiver les troupes et il faut dire que cela fonctionnait bien !

Je lui adressa la parole et lui dit:

-"Pourquoi ont-ils arrêtés de nous poursuivre ?"

Il me dit:

-"Ici tu es sur notre camp, nous avons disposés des pièges partout et puis, ils sont sur notre terrain, ils n'auraient que perdus des troupes en masse et cela pour rien !, ce soir nous ré-attaquerons le château, ils ne pensent pas subir une attaque d'aussi tôt !"

Avait-il raison ou tors ? La réponse arriva très vite car la nuit tomba deux heures après. Nous devions être 200 et eux d'après Mathias ils étaient 300 car on avait détruit une partie de l'armée tout à l'heure. Sans un bruit nous avons essayé de rentrer discrètement mais malgré le manque d'effectif un garde nous repéra. Et c'était repartit pour un bataille qui devait être la bataille décisive, le roi essaya de s'enfuir et je le pris en chasse. Soudain une pierre s'effondra sur ma tête, c'était son garde protecteur.

-"J'aurais du te tuer sur le champs" dit-il

Je ne savais rien répondre j'était à moitié évanouie, j'étais à genoux et je voyais du sang couler, le garde souleva l'épée et un bruit d'épée s'enfonça…

Je me crue morte, mais je me rendis vite compte que je ne souffrais pas, mise à part la pierre qui m'avait sonnée, je me sentais bien.

Devant moi le serviteur tomba devant mes yeux, la bouche ouverte et ses yeux avide grand ouvert.

J'entendis le roi dire:

-"non par pitié, je ferais ce que vous voudrez mais s'il vous plait épargnez moi !".

Et une voix lui répondit:

-"Tu aurais du le dire bien avant"

Et je m'évanouie. Je me réveilla dans un hôpital qui cette fois était bien plus luxueux que l'autre. Mathias était à mes coté.

-"Avions nous gagné" dis-je dans ma tête.

-"Nous avons réussi" dit-il, comme si il avait entendu ma question dans ma tête.

Depuis ce jour je commença à aménager la ville, la remettre en état, aider les gens, ne plus jamais laisser un homme de cet envergure dominer le pays.

Et maintenant moi Louise, je fais le serment que plus personne ne connaitra la douleur, non plus jamais !

 

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En vrai je n'aime pas trop les jeux vidéo mais minecraft m'a conquise, ce jeu est génial même si je m'ennuyais pas mal quand j'étais en solo. Puis j'ai découvert Minefield et là le coup de foudre, j'ai adoré les constructions des joueurs et j'ai tout de suite senti l'envie d'aider tous le monde :P .

J'aime aussi faire des maisons différentes et pas toujours les même (quand j'expérimente un projet je le fais d'abord en solo pour ne pas faire un magique faille en solo :P )

De plus la communauté de Minefield est géniale (malgré quelques kikoos qui griefs :S ) et bien j'ai fais des rencontres géniales et formidables sur le serveur avec qui je me suis super bien entendue et avec ces personnes j'ai envie de continuer l'aventure sur Minefield en tant que citoyenne.

 

J'espère avoir la chance d'être prise citoyenne et je vous souhaite une agréable journée !

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