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RP désopilants


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Yop ;)

 

J'entame un nouveau délire personnel : une série de blagues (plus ou moins drôles, souvent plutôt ridicules :P) sous forme RP plus ou moins long (le premier est assez long, et encore j’ai coupé un paquet de scènes au montage… bye bye toute l’aventure de l’ascension de l’arbre, sinon on double la longueur :lol: ).

 

En clair, je prends une blague qui me parait allongeable (et oui, il va falloir lire...) et transformable en RP, et je vous la post ici.

Parfois tout le texte sera humoristique (ou bizarre), parfois je ne conserverai que la fin (vous pourrez donc retrouver des scènes dignes d'Hollywood sur ce post !!!).

 

Si le principe, l'idée et/ou le style vous plait et que vous souhaitez voir une blague (ou une vdm ou votre vie personnelle pitoyablement amusante) publiée ici, MP moi en me racontant votre magnifique aventure dans les moindres détails, je vous dirai si ça me parait jouable. Si c'est jouable et que ça me plait, je l'attellerai à la rédaction et je la publierai après.

 

On commence par l'histoire qui m'a donné cette idée que l'on m'a racontée IRL et que j'ai tournée en RP) :

:air::air: La construction de Chli-nu-kiun arrive à son terme et la Reine pourra bientôt sortir de son abri pour élire domicile dans sa chambre de ponte.

:air::air: 18ème regarde le dôme gigantesque qu'elles sont parvenues à monter. Tous ces branchages, toutes ces brindilles... Un savant dosage de chaque composant allié au légendaire savoir faire de son peuple a une fois de plus donné naissance à une merveille parmi les merveilles. Quelle harmonie dans les formes, dans les couleurs... Et toutes ces travailleuses qui circulent ça et la, telles des rivières noires, symboles de vie de la grande cité qui vient de naître. La nature est belle, et pour peu qu'on la modifie légèrement elle devient magnifique. Elles ont choisi un emplacement paisible, à l'ombre d'un arbre gigantesque dont 18ème elle même ne parvient pas à distinguer les plus hautes feuilles. Et grâce à cet emplacement paisible et à cet arbre, elles ont pu laisser s'exprimer leur créativité, donnant vie à un dôme à l'équilibre parfait...

 

:air::air: BROUM !

:air::air: Une vibration... comme un séisme. Le flot noir se stoppe, les antennes vibrent, chacune est plus attentive que jamais.

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM !

:air::air: Oui c'est un séisme, le bruit est de plus en plus fort, la terre tremble, les secousses sont énormes, le flot noir s'active, il faut vite consolider le dôme, sortir les œufs, aider les....

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! CRAAAAC ! BROUM !

:air::air: La fourmilière s'écroule comme un château de cartes, emportant une partie de la population avec elle. Déjà des ouvrières, malgré les secousses de plus en plus fortes, creusent des tunnels, des passages pour aider leurs sœurs à évacuer les décombres.

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM !

:air::air: Soudain une masse grise énorme surgit du ciel et aplatit un groupe d'ouvrières qui courait vers les restes du dôme. Ce n'est pas un séisme, c'est une attaque ! Déjà les artilleuses sont en place et visent le point le plus haut de l'immense colonne grise. Les jets d'acide formique fusent, mais avant qu'ils n'atteignent leur cible celle-ci se relève dans les airs tandis qu'une autre écrase les valeureuses soldates. Les jets d'acide formique retombent ça et la, atteignant parfois une fourmi, causant sa mort dans d'atroces souffrances.

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM !

:air::air: Les secousses se font moins fortes, les masses grises s'éloignent. L'attaque n'aura duré en tout que quelques secondes, une minute tout au plus, mais elle n’aura laissé qu’un champ de ruines. Les fourmis survivantes en surface se regroupent et entament un énorme percement du sol afin de porter secours à leurs sœurs. Ces dernières font de même de leur côté et bientôt les mandibules se rejoignent et ouvrent une sortie, signant la le salut des dizaines de Chlinukiunites enfermées sous les décombres de la cité. Très rapidement une assemblée se forme afin d’évoquer cette attaque éclair. L’une argue que ce sont les termites qui disposent d’une nouvelle arme et qu’il faut envoyer une expédition sur leur cité. On lui répond que les termites n’ont pas été vues depuis plusieurs jours et que les éclaireurs qu’on y a envoyé sont formels : elles refont entièrement les défenses de leur cité suite à l’installation des fourmis de Chli-nu-kiun dans le secteur. D’autres fourmis jalouses sont suggérées, mais on écarte vite cette possibilité, aucune autre espèce fourmi n’ayant été aperçue sur des centaines de pas à la ronde. Alors on parle des guêpes, des taons, des mouches, et mêmes des grands monstres, ces étranges êtres qui prennent un malin plaisir à les écraser ou à les asphyxier. Personne n’en n’a jamais vu, mais on raconte dans d’autres lieux qu’ils prennent la forme de boules roses se déplaçant par groupes de cinq. Une lointaine cité fourmi européenne les avait étudié et avait fini par trouver leur nom : les doigts. 18è rétorque qu’il n’y a aucune de toutes ces espèces dans le secteur et qu’aucun monstre n’y a été répertorié non plus. De plus c’étaient des grosses masses grises et elles n’étaient que quatre. Il faudrait chercher ailleurs. Plus personne n’ayant d’idée, elles décident d’en référer à la Reine.

:air::air: Dans sa salle de ponte provisoire, la Reine est inquiète. Elle ne pourra pas donner naissance à des milliers de filles dans cette salle minuscule où les nourrices doivent se serrer les unes contre les autres pour pouvoir recueillir le moindre œuf. De plus elle a également ressenti les secousses, ce qui signifie que les masses grises sont d’une grande force. 18è se présente et lui rapporte les résultats de leurs débats. Mais la Reine la fait taire, elle a soudain eu un flash, une idée. Elle se souvient avoir entendu parler dans la cité où elle est née de….

:air::air: BROUM !

:air::air: Les fourmis sursautent. Deux attaques si proches l’une de l’autre ? Impossible.

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM !

:air::air: 18è se précipite vers l’emplacement de la cité et s’arrête net. Ce qu’elle voit la terrifie. C’est la panique complète, les fourmis qui sortaient de la cité se réfugient à nouveau sous terre tandis que les autres se dispersent, courant dans tous les sens, au hasard, afin d’échapper à la menace. Les quelques artilleuses restantes tentent une attaque et font mouche, mais les jets d’acide formique concentré paraissent sans effet sur la masse grise.

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM !

:air::air: Les masses s’éloignent une fois de plus, nombre des leurs ont encore été écrasées, le trou est en partie rebouché à cause de l’affaissement de ses parois et les décombres de la cité sont eux-mêmes en ruine. La menace est grande, il faut faire quelque chose.

:air::air: La Reine vient alors aux côtés de 18è. Elle lui explique qu’elle a bien vu les masses grises, et désormais elle en est sûre, il s’agit d’un….

 

:air::air: Chaque jour la chaleur se fait plus accablante sur la savane. Mouth avait auparavant un point d’eau à côté du lieu de vie de son troupeau, mais avec ce soleil de plus en plus dur le point d’eau s’est asséché. Et celui utilisé par ses congénères ne lui plaisant pas, il se rend à une rivière située un peu plus loin. Cela implique de faire plus de chemin, mais l’éléphant a le temps, en plus cela le fait passer près d’un arbre assez grand qui lui fait de l’ombre quelques secondes. C’est toujours agréable. Il rentre chez lui paisiblement, un aller-retour par jour devrait être amplement suffisant pour subvenir à ses besoins.

 

:air::air: 18è n’en revient toujours pas. Il existe donc des êtres si grands que ces énormes bêtes. Les éléphants, un seul d’entre eux avait mis à mal leur cité en quelques secondes. La Reine lui avait dit que l’on pouvait en rencontrer des troupeaux entiers… 18è frissonne, imaginant l’effet qu’aurait eu un troupeau s’il était passé aujourd’hui… Elle serait sans doute morte, et toute la cité avec. Heureusement cela n’est pas prêt de se reproduire, la Reine lui a assuré que l’éléphant de ce jour était certainement égaré car leur territoire est assez loin d’ici. 18è transmet le message de la Reine à ses sœurs, et celles-ci se remettent au travail. Ce nouveau dôme sera encore plus beau que le précédent, 18è en fait le serment.

 

:air::air: 10 jours plus tard, elles ne sont plus que 103. L’éléphant est repassé, deux fois par jour. Et chaque fois la même chose, la panique, le peu de cité reconstruit qui s’effondre, et la mort de centaines de travailleuses. Cependant elles ne peuvent s’établir ailleurs, cette terre est riche, fertile et tranquille. Et quand bien même elles iraient ailleurs, elles ne vont pas déménager au premier éléphant venu. Les fourmis prennent alors une grande décision : elles tueront l’éléphant et sa dépouille géante sera le symbole de leur puissance et de leur force. Elles sont petites mais nombreuses, et leurs sœurs d’autres cités sont déjà venues à bout d’animaux tels que celui-ci, il suffit de se préparer correctement.

 

:air::air: 3 jours plus tard, l’éléphant est repassé 6 fois, mais elles se sont installées plus loin, à l’abri de ses pattes destructrices.

:air::air: BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM ! BROUM !

:air::air: L’éléphant est passé, elles peuvent y aller.

:air::air: Dirigée par 18è, l’expédition regroupant 50 fourmis entame l’escalade de l’arbre géant. Elles ont quelques heures tout au plus avant que l’animal ne repasse, elles doivent se dépêcher ! Pas à pas, elles progressent lentement le long de l’écorce, cherchant une branche suffisamment haute. De cette branche, elles pourront sauter sur le dos de l’éléphant puis lancer leur attaque afin de le coucher. Une fois mise à terre, la bête sera immédiatement achevée par les fourmis restantes au sol. Le plan est parfait et chaque guerrière connaît son rôle. 18è est confiante.

:air::air: Quelques heures plus tard, elles sont parvenues à une branche qui leur parait suffisamment haute. Soudain, alors qu’elles finissent d’y grimper, les vibrations se font sentir. Et 18è voit l’éléphant du dessus. C’est une masse immense, bien plus grande que tout ce qu’elle a vu jusqu’ici. Semblable à un énorme rocher, il avance piétinant tout sur son passage. 18è regarde ses compagnes. Elles ne sont qu’une cinquantaine, elles n’arriveront jamais à mettre en échec un animal d’une telle envergure. Une soldate s’approche d’elle et lui dit qu’elles doivent être confiantes. Elles sont petites mais elles vaincront, elles l’ont toujours fait, et ce sera pour la cité, pour leurs sœurs, même si elles doivent y laisser leur misérable vie. La cité est plus importante, si elles ne le font pas aujourd’hui, elles mourront toutes demain. L’éléphant passe alors sous la branche. Se souvenant de ses principes de combat, 18è sait qu’il est préférable d’attaquer vers la tête. Elle lâche la phéromone de guerre, signe de l’attaque et se lance à l’assaut du monstre, sautant de la branche en direction de sa tête.

:air::air: 40 fourmis parviennent sur la tête du pachyderme. 9 autres sont tombées à côté et la dixième s’est engluée dans une toile d’araignée, faisant office de repas pour l’arachnide qui se précipite vers sa nouvelle proie. L’éléphant ne s’est rendu compte de rien, et 18è suggère d’en profiter pour s’approcher de sa tête en entrer par ses oreilles. Mais l’une d’elles, jeune et inexpérimentée, sent soudain l’ivresse de la guerre l’envahir et plante ses mandibules dans la chair de l’animal. La réaction ne se fait pas attendre. Sentant un picotement sur sa nuque, Mouth se secoue. Sur son dos, les tremblements sont terribles. 10 fourmis chutent et les autres s’accrochent en plantant à leur tour leurs mandibules. Mouth sent désormais de nombreux picotements, il doit être en train de se faire piquer par des insectes ou autre, il se débat et se secoue encore plus fort afin d’éloigner les bêtes en question. Les fourmis tombent par groupe, certaines survivent à leur chute, d’autres s’écrasent lamentablement par terre dans un bruit sourd de chitine craquée. Bientôt il ne reste plus sur que 18è qui est parvenue à s’accrocher dans le cou de l’éléphant. Mais elle ne tiendra pas longtemps en luttant de la sorte contre la gravité et les secousses. Ses compagnes à terre dressent leurs pattes et leurs antennes et hurlent leurs phéromones à l’attention de 18è, leur héroïne de ce jour, leur unique espoir :

:air::air: Etraaaaaaaaaaaaaangle le !!!!!!

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Tu m'as tué ! :lol:

 

Tout le monde au taf m'a pris pour un fou tellement j'ai ri aux éclats !

 

On lit ton récit, on est une fois de plus transporté par l'histoire et le suspense que tu arrive á créer, au point qu'on en oublie que c'est une blague et qu'on se fait avoir par cette chute surprenante.

 

J'essayerai de rédiger quelque du genre si je trouve une histoire sympa, ou bien je te la confierai. Je l'ai déjà dit mais tes talents d'écriture surpassent de loin les miens ainsi que la plupart de ce que j'ai pu voir dans cette communauté ;).

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Yop ;)

 

Merci à vous pour les compliments, c'est très encourageant.

 

Pour les histoires, je compte bien rédiger moi-même celles de ce post, mais rien ne t'empêche de faire la même chose de ton côté :lol:

 

J'en prépare une deuxième, très courte ;)

 

Bon jeu

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Vraiment bien, tu arrives à faire durer le suspense et à nous tenir en haleine jusqu’à la fin...

Humm... y il y a des drois d'auteur ? est-ce que je peux le montrer à ma prof de français et dire que c'est moi qui l'a fait, personne d'autre le saurait et j'aurait une super note ! :lol:

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Yop ;)

 

J'avais promis du court, voici du court :P

 

:air::air: Le désert est si vaste.... Mais comment à-t-il pu en arriver ici ?

:air::air: Lui, si fier chevalier, membre du Grand Ordre des Guilsariens. Ce voyage est-il son dernier périple ?

:air::air: Il se remémore ses derniers jours...

:air::air: Chargé d'encadrer des hommes, il avait débarqué avec la dernière croisade organisée par sa prestigieuse instance. Les ennemis n'avaient qu'à bien se tenir, il s'était préparé depuis longtemps à les affronter. Et c'était ce qui était arrivé, tout du moins en partie... Dès le débarquement du navire ils étaient tombés sur les armées ennemies. La charge avait été rude, virulente, et son épée avait tranché têtes et membres sans faire de différence. Mais alors qu'il était occupé à occire un énième opposant il avait aperçu des flammes. C'était son navire qui brulait, ainsi que sa cargaison et une partie de ses hommes. Soudain un grand bruit et un choc s'étaient produits à sa droite. Des catapultes ! Un flot rouge, blanc et argenté fonçait sur ce qu'il restait de son armée. Il avait juste eu le temps d'écarquiller les yeux avant qu'une flèche ne lui perce l'épaule et qu'il tombe la tête la première contre un rocher, sombrant dans l'inconscience.

 

:air::air: Il s'était réveillé quelques jours plus tard et avait eut confirmation de sa vision d'horreur. Les ennemis autochtones n'étaient qu'une diversion, son armée avait en réalité affronté d'autres croisés. Ceux la même dont personne n'avait eu de nouvelles... Ils avaient fait main basse sur les terres du Moyen Orient et s'y plaisaient, oubliant leur mission première. De simples nobles et chevaliers étaient devenus des seigneurs. Souvent vils, corrompus et injustes, mais tout de même seigneurs. On lui avait proposé une alliance, il l'avait refusée. La peine de mort aurait du lui être promise mais le seigneur avait eu une autre idée. Puisqu'il était si fier de ses principes et de son ordre, il n'avait qu'à prouver son courage et sa valeur.

:air::air: Il avait donc été lâché les yeux bandés au milieu d'un désert, avec pour "mission" de monter sa propre armée s'il souhaitait voir à nouveau le bien et la justice régner. Cela faisait 3 jours ; 3 jours dans le désert sans manger ni boire....

 

:air::air: Le chevalier touche une fois de plus son armure. Le seigneur la lui a rendue ainsi que son épée. C'est une excellente protection, notamment contre les scorpions, mais elle est lourde, encombrante et lui tient chaud. Cependant il ne peut s'en séparer, c'est le symbole de son ordre. Il sent que peu à peu ses forces le quittent, qu'à chaque pas la chaleur se fait plus étouffante. Mais il avance, espérant encore et toujours trouver un refuge, une oasis. Soudain, un reflet. Oui, c'est une étendue d'eau qu'il aperçoit au loin. La lumière du soleil qui se réverbère à la surface de l'eau, quel bonheur. Oubliant sa soif, sa faim, le poids de son armure et les forces qui lui font défaut, le chevalier court, n'ayant de cesse que d'accélérer vers l'étendue d'eau. Mais le liquide béni semble reculer au fur et à mesure qu'il avance... Il ralentit, comprenant qu'il a été victime d'un mirage. Ses dernières forces, qu'il a utilisé dans cette course désespérée, le quittent et il s'écroule à genoux dans un bruit de ferraille. Sa vision se trouble. Il a envie de pleurer mais les larmes ne peuvent venir à ses yeux. Tout comme la vie qui le quitte, l'eau a déserté son corps il y a longtemps et il n'a plus de quoi pleurer. Il porte un dernier regard sur l'étendue de sable avant qu'un voile noir ne recouvre le paysage, s'emparant de son esprit.

 

:air::air: Déjà les vautours s'intéressent à ce chevalier évanoui dans son armure. L'un d'eux atterrit à proximité et l'analyse de la tête aux pieds. Soudain il reprend son envol et s'adresse à ses semblables avec un air de dégoût :

:air::air: "- Pfff... encore une boite de conserve...."

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Haha j'aime la chute :D , par contre essaie de mettre plus d'humour dans le texte ;).

 

Yop ;)

 

Je voulais vraiment faire le contraste entre la belle histoire et la chute, mais je prends bonne note de ta remarque. De plus cela fait la deuxième dans un style sérieux avec seulement la chute qui est plus fun, il ne faudrait pas que ça devienne répétitif :) . Je ferai de toute façons quelques histoires contenant des scènes prêtant à sourire, ou des textes plus légers, plus "enfantins" (un peu comme mon arrivée dans le monde de Minefield au début de mes chroniques).

 

Bon jeu :P

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Yop !

 

J'y songeais justement ce matin, je cherche une blague sympa ^^

J'en posterai une dès que possible, j'ai 3 RP en cours de rédaction déjà ;).

Mais n'hésitez pas à m'envoyer vos blagues par MP, ça aide :P.

 

Bon jeu !

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