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[Accepté]Candidature Marchand : le Toit-sé


Yugaye
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Bien le bonjour!

 

Bien sûr, vous l'aurez deviné, c'est pour devenir commerçant.

 

Une petit présentation

 

J'm'appelle Matthieu, 15 ans, j'habite la banlieue parisienne, je vais passer en seconde. Voilà maintenant à peu près 4 mois que je joue, et à peu près la même chose sur Minefield. Amateur de Rp, j'espère que le mien vous plaira. Je fais pas un copier-coller de ma toute fraiche présentation de citoyen, je vous redirige donc vers ma candidature de citoyen, idem pour les projets et la présentation IG.

 

Donc voilà la candid : devenir-citoyen/postulat-citoyennete-yugaye-t24270.html

La paysan: candidatures-serveur-minecraft/yugaye-t17551.html

et celle de Voyageur :

candidatures-serveur-minecraft/postuler-rang-voyageur-yugaye-t20389.html

 

Au niveau Rp, c'est la première fois que j'écris de façon à faire des chapitres, alors voilà le Rp.

 

Bonne lecture

 

Introduction.

 

Dans les vastes campagnes de New-Stendel, Yugaye, un voyageur, se baladait. Et en se promenant, il s’amusait à regarder les constructions des nouveaux paysans. Ces constructions archaïques bâties à la hâte étaient laides, comme les maison d’antan. Yugaye, qui avait commencé des plans de manoir, avait dessiné les plans. Sous toutes les coutures il avait détaillé les angles des murs et du toit. Cette jonction formait une diagonale, et Yugaye appréciait de voir un travail qui prenait du temps, bien fait. Là, le travail était bâclé. Des orifices se démarquaient sur les toits, laissant la pluie passer au travers. De plus, les fameuse diagonales ne ressemblaient à rien. Enfin, certains toits auraient mérité un coup de marteau. Ah, les marteaux !

 

Un mauvais choix

 

Notre voyageur, donc Yugaye, voyageait. Jusque là, rien de bien difficile. Mais grâce à son statut de voyageur, il pouvait envisager de pratiquer un métier. Il en avait vaguement entendu parler, et sur un coup de tête, il avait choisi l’Ingénierie. Erreur qu’il regrettera plus tard. En effet, ses connaissances en Redstone médiocres l’avaient forcé à se tourner vers d’autre ingénieurs plus talentueux. Mais la vie est bien dure, car un bon ingénieur gagne plus que trois autres qui se complètent et qui doivent partager les revenus (citation de ma candidature citoyen). Il se voyait donc continuellement comme un incapable et avait honte de demander une association avec d’autres ingénieurs. Il avait finalement renoncé à entrer dans la vie professionnelle.

 

Un travail acharné

 

Après cette déception, Yugaye se dit qu’il valait mieux se changer les idées. Il revint alors à Miklagärd, et s’arrêta le regard perdu devant sa parcelle, grande pour la ville. Il avait déjà commencé à creuser, mais il avait rapidement cessé les travaux car il avait affaires ailleurs. C’est à ce moment que VKA32 arriva, et ils commencèrent à discuter sur son absence. VKA n’était pas très content d’avoir vu la parcelle à moitié entamée. Finalement, Yugaye s’engagea à construire le plus rapidement possible le manoir. Et il s’y tint. Le bâtiment prenait une belle forme, s’élevant parmi les autres constructions de la ville Viking. Cependant, ses plans ne convenaient pas avec la forme du toit. Il du donc adapter directement sur la construction. De nombreux escaliers finirent cassés suit à un mauvais placement. A lui seul, il avait relancé l’économie du bois. Les bûcherons s’en frottaient les mains. Mais il continuait, sans relâche à parfaire ses angles. Il était passé de théorie à pratique, et il travaillait du matin au midi, du midi au soir, du soir au matin. Les nouveaux arrivants de Miklagärd n’osaient approcher une personne qui mettait autant d’acharnement au travail. Il martelait les pauvres clous pour que cela soit solide. Il poursuivit ainsi durant plusieurs jours, trois semaines durant. A chaque fois que quelque chose n’allait pas, il le cassait à la hache, et recommençait. Tant et si bien qu’il finit par obtenir un résultat plus que satisfaisant, même excellent. Par rapport à sa maison de Nivalis, il venait de fabriquer une œuvre d’art. Il finit donc par croire qu’il était doué quelque part, et décida d’aider à la fabrication de toits en tout genre.

 

Un étrange tas de feuilles

 

Un jour, alors qu’il ouvrait sa boîte aux lettres, il vit un gros tas de parchemins imprimés, et marqués du sceau du Gouvernement. Il le prit et l’ouvrit. Il était daté de plus de deux semaines, et quand il demanda à darkez la cause de ce retard, le duc lui répondit que les coulées de boue avaient allongé le temps de livraison déjà long. Ayant obtenu une réponse, Yugaye s’en retourna au Manoir, Ministère et en même temps sa demeure. Il se mit à feuilleter ledit document, en apprenant plus sur les fameux métiers. Ses yeux se remplirent d’intérêt, et il pensa alors à sa candidature à la citoyenneté. Il avait des doutes quant à la capacité de ses arguments à convaincre le gouverneur. Il pensa alors, si l’échec devait arriver, à postuler pour devenir marchand. Il re-feuilleta les parchemins, et ses yeux s’arrêtèrent sur la page concernant le maçon. Tout ce dont il avait pensé avant sur les maisons pouvait être réalisé grâce aux marteaux, marteaux qui ô combien pouvaient arranger un toit! Et aussi par son expérience des toits qu'il avait donc acquise lors de sa construction. Ça y était, son choix ne changerait plus, il voulait devenir maçon.

 

L'exploitation minière

 

Cependant, un problème se profilait déjà : il était ingénieur et le coût de changement représentait une somme beaucoup trop importante pour ses pauvres moyens. Les 500 PAs requises étaient hors de sa bourse. Il décida alors de travailler pour des marchands. Il travailla surtout pour un commerçant qui payait gros mais dont le travail demandé était énorme. Chaque semaine, il devait ramener 200 kilos de minerais précieux confondus, fer, or, diamant. Déjà que Yugaye était claustrophobe, il avait horreur des travaux de minage. Mais le besoin d'argent l'emportait sur tout, et il en profitait pour apprendre des tactiques commerciales de son employeur. Il apprenait comment le riche exploiteur parvenait à gagner deux fois plus qu'il ne dépensait, en achetant au rabais et en faisant traiter les minerais par des machines manufacturées à l'étranger, là où la main d’œuvre peu chère fabrique des outils de qualité moyenne mais largement suffisante. Les réparations étaient faites par des ingénieurs payés par la société, et emprisonnés dans des cages dorées.

Mais un jour, alors qu'il revenait déposer ses trouvailles, Yugaye entendit l'exploiteur dans son bureau parler avec un autre marchand. Les gros cigares et les bottes cirées étaient au rendez-vous. Se faisant le plus discret possible, il se mit à écouter la discussion, et les révélations furent terribles pour lui. Son salaire médiocre pour son travail, les nombreux ouvriers le précédents morts en travaillant à la solde de ce marchand. Une vengeance, voilà à quoi pensait Yugaye.

 

La vengeance

 

La nuit, bien décidé à se venger, Yugaye se leva vers deux heures, quand personne n'est encore réveillé. Son plan était simple, entrer, prendre ses minerais, partir. Mais en passant devant le bureau, il ne put s'empêcher d'aller fouiller pour trouver quelque document compromettant. Il trouva son dossier, et un papier donnant les valeurs commerciales des lingots, et du diamant. Les prix étaient exorbitants, et ce qu'il avait remonté couvrait largement ses besoins. Et par chance, la relève des 200 kilos ne se ferait que durant la mi-journée. Il débuta donc son plan dans la confiance. Il récupéra ses minerais sur un charriot, et débuta une course effrénée, de joie et grisé. Mais il fut bientôt arrêté par deux problèmes : le bruit du charriot sur le rails à la sortie de la mine, et le portail maintenu par un cadenas. Il contourna sans problème le premier en ralentissant. Il devait maintenant résoudre le second. Utiliser de la dynamite de minage aurait réveillé toute la zone. Il essaya donc le crochetage de la serrure. Il échoua. Sa dernière solution, c'était de faire foncer ses bœufs contre la barrière. La barrière cassa, et le bruit provoqué sembla à Yugaye durer des dizaines de secondes. Les quelques hommes réveillés, dont le commerçant, voyaient le voyageur partir au galop sur sa mule, les boeufs suivant derrière. Le marchand ne se força même pas à signaler le jeune homme et son butin, il avait suffisamment de larbins et de richesses.

Stendel, perle des rêves les plus fous.

Lorsqu'il arriva sur la ville, Yugaye attira bien des regards et les convoitises de nombreux voleurs. Mais les boeufs fatigués ruaient à l'approche de quelqu'un, tenant les vils en respect. Les plus perspicaces ne s'étonnaient pas de l'home et des animaux, mais plutôt de la façon dont il avait passé les seuls escaliers montant vers Stendel, très étroits. Lorsqu'il fut sur la place, il se demanda comment il pouvait faire pour gagner le plus d'argent de ses minerais. Il en vendit la moitié à un commerçant, le reste à la banque. Il en récupéra environ 2500 pièces d'argent. Il en mit 600 de côté, 500 pour sa taxe de changement, 100 pour ses économies et son futur magasin. Une fois tout cet argent en poche, il alla le dilapider en matériaux de construction, en nourriture, et en équipement. Il se fit une armure en diamant, juste pour faire valoir sa fortune, malheureusement éphémère. Sa sacoche fut volée, avec son armure, une partie de ses matériaux qu'il n'avait pas mis à la banque, faute de place, et son argent, à peu près 1000 pièces, lorsqu'il déjeunait. Dépité, Yugaye alla directement chez le gouverneur s'occupant des commerçants et marchands.

Chez le gouverneur

 

Comme il était déjà venu dans un de ces bâtiments impressionnants, Yugaye alla directement à son but, étonnant les vagabonds venus ici par erreur, apprécié par son caractère conquérant par la haute société. Il fit le changement de spécialisation au secrétariat, et prit un rendez-vous le lendemain pour un entretient. Il passa une nuit à l'hôtel le plus proche, et se réveilla tôt le lendemain. Il prépara un petit résumé de son chemin jusqu'au gouverneur et ses motivations. Motivations, il présenta donc ses thèses sur la construction d'un toit, et il narra ensuite ses exploits pour gagner de l'argent, pour échapper à l'esclavage, son chemin jusqu'à la capitale (partie la moins intéressante) et enfin, ses achats. Le gouverneur se contrefichait des deux dernières anecdotes, il cherchait à obtenir le nom du commerçant malhonnête. Mais Yugaye ne le connaissait que sous le nom de M. X, et cela n'aidait personne. Entre deux conversation, le gouverneur lui demanda quelques informations sur le nom du magasin, ou encore sa spécialisation. Yugaye écarquilla les yeux à la demande de la dernière information. Il avait du le répéter cinq ou six fois rien que dans ses thèses. Il le répéta donc encore une fois, et le nom lui vint

miraculeusement, car il n'avait rien prévu. Son échoppe aurait pour nom, "Le toit-sé"

 

 

Des screens de mon premier magasin qui serait sur Nubes.

 

48163220110805163753.png

 

77800820110805163808.png

 

68628920110805163819.png

 

Maintenant, les prix.

 

:ironbock: Argile 1 PA/u, soit 4 PA/4

:ironbock: Bloc d'argile 4PA/u

:ironbock: Briques 1 PA/u soit 4 PA/4

:ironbock: Mur de briques 16 PA /4

:ironbock: Demi-dalles 1 PA/32

:ironbock: Ardoise 4 PA/6

:ironbock: Escaliers en Ardoise 4 PA/4

:ironbock: Sandstone 1 PA/4

:ironbock: Stone Lisse 1 PA/128

 

Et une petite bannière faite à la va-vite

 

877490Letoits.png

 

Merci d'avoir lu, et bonne journée!

 

 

Yugaye

 

EDIT: rajout des prix

 

INFO: rajout d'un screen de mon magasin quand je serai chez moi.

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Bonsoir,

 

Que vois je une candidature pour le grade de marchand de la part d'un certains Yugaye, mais je le connais celui la . . . Bon évidemment , si je viens là c'est pour plussoyer ce joueur sympathique et présent sur Mumble qui en plus rend souvent quelques services à Miklagärd et ailleurs.

 

Cordialement,

Dracorian.

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Candidature intéressante mais on ne saisit pas d'ou tu tiens tes savoirs? Apparement tu était ingénieur et tu n'as fait qu'un seul toit?

 

Je te met en attente que tu rajoute un passage explicatif (ou non) Tu as jusqu'au 20/09/11, faute de quoi je refuserai ta candidature.

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