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[Accepté]Candidature voyageur - Night_Wind


Night_Wind
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Bonjour à tous et à toutes,

 

Je vous exprime ma volonté de devenir voyageur en ce jour qui clôt mon quatrième mois de paysannerie sur Minefield.

 

Ma candidature pour devenir paysan :

paysans/demande-candidature-night-wind-t34991.html

 

Présentation IRL :

 

IRL, j'ai 13 ans et je suis en seconde dans un lycée parisien (eh oui, j'ai deux ans d'avance), et je joue à Minecraft depuis la 1.5, et à Minefield depuis le 23 novembre dernier.

 

Présentation et motivations IG :

 

Depuis que je suis devenu paysan, je me suis installé à Miklagärd, et j'ai rejoint le projet Namnis, après avoir passé quelques jours en tant qu'esclave au Directoire.

Je souhaite devenir voyageur pour pouvoir aider en tant que mineur la communauté de la future Namnis (si le projet est accepté).

 

RP :

 

Les chapitres 1 à 3 constituent mon RP de paysan, et les chapitres 4 à 6 sa suite.

 

Chapitre 1

 

 

Il y a bien longtemps, seulement trois cents ans après la fin de l'ère glaciaire, un immense cataclysme survint, tua plusieurs centaines de milliers de personnes, et rasa un quart des villes de ce monde. Les rescapés de la zone touchée se réunirent alors et quittèrent ce pays dévasté. Le voyage fit de nombreux morts ; sur les trois mille personnes parties, seules quatre cents étaient encore vivantes au terme de ce voyage. Les survivants arrivèrent alors dans une région où la terre était fertile, et y bâtirent un village à l'abri des attaques d'orques, au pied des montagnes.

 

Deux mille ans plus tard, là où autrefois se tenait ce petit village, il y avait une magnifique cité, de plus de trente mille habitants, nommée Lyrënia. Les habitants de cette ville, où Night_Wind habitait, ne manquaient de rien, et menaient une vie heureuse, jusqu'au jour où un groupe de mineurs revint dans la ville en déclarant avoir vu dans la montagne une armée de gobelins très importante.

 

 

Chapitre 2

 

 

Au bout de trois jours, dans cette ville, dix mille hommes se tenaient prêts à défendre leur ville, leur foyer, leur famille et leur vie, et c'étaient dix mille hommes braves, fiers, forts, courageux, s'étant pour la plupart déjà battus, et voulant à tout prix empêcher qu'un cataclysme pareil à celui qui était survenu longtemps avant se reproduise. Mais les gobelins tardèrent à les attaquer, et quand ils les attaquèrent, c'est-à-dire deux mois après que leurs mineurs les avaient alertés de la présence de ceux-là dans la montagne, ils n'étaient plus sur leurs gardes, et ils ne purent riposter comme ils l'auraient fait deux mois plus tôt. Ils les prirent par surprise, alors qu'ils ne s'y attendaient plus, et la bataille fut très désorganisée. Ils avaient fini par se reprendre, et ils se battirent vaillamment, mais chaque gobelin tué était remplacé par trois autres, et ils ne purent endiguer cette marée verte déferlant sur leur magnifique cité.

 

Au cours de cette bataille, ils étaient à un contre vingt, et beaucoup de ses amis moururent sous ses yeux, sans qu'il ait rien pu faire pour les soustraire des griffes de ce destin tragique. Tous se battirent vaillamment, et aucun ne chercha à fuir, malgré la peur que leur nombre leur prodiguait. C'étaient des hommes fiers, et il en connaissait la plupart depuis très longtemps, et, encore aujourd'hui, il lui arrive de pleurer en repensant à eux, qui étaient morts en héros face à ces ignobles peaux-vertes.

 

L'affrontement dura très longtemps, si longtemps qu'il arrêta de craindre la morsure des lames ennemies, si longtemps qu'il ne pouvait plus compter le nombre de monstres qu'il avait abattus, si longtemps que son épée lui semblait peser plus lourd qu'un rocher, si longtemps qu'il avait l'impression d'évoluer dans un rêve.

 

Mais leur nombre eut raison de la bravoure des guerriers et de leur détermination, et, ayant prit conscience que tout était perdu, ses onze amis étant encore debout et lui quittèrent leur cité en ruines. Ils étaient tous légèrement blessés et épuisés à cause de cette bataille qui scella leur destin, cependant, ils se poussèrent à lutter contre leur fatigue et continuèrent à marcher jusqu'à ce que les gobelins ne puissent plus les repérer. Le jour touchait a à sa fin, et ils purent contempler avec désespoir notre cité éclairée par une lumière d'un même rouge que le sang versé par ses défenseurs pour la protéger. Ils s'endormirent alors sans manger car ils étaient trop épuisés et car leurs provisions étaient trop maigres pour qu'ils puissent se permettre de les gaspiller ce soir où ils étaient trop las pour pouvoir avoir faim.

 

Chapitre 3

 

 

Au matin, ils entamèrent alors leur périple, ou leur errance, car ils allaient sans destination précise, voulant seulement les séparer de leur ancienne cité qui pesait trop lourd sur leur cœur et de son envahisseur, et cherchant sans trop d'espoir un endroit pour se réfugier, pour se soigner et pour habiter, ne voulant pas se résigner à vivre une existence d'ermite pour le restant de leurs jours. Ils partirent donc vers le nord, et marchèrent dans cette direction sans rencontrer de difficultés, et ce pendant quatorze jours. Jusqu'alors, le climat et le terrain leur furent favorables, ils purent chasser pour se nourrir, et, ainsi, ils accumulèrent suffisamment de viande pour pouvoir survivre pendant vingt jours sans trop se rationner. Malheureusement, un désert se dressait alors devant eux, et il leur était impossible de le contourner. Ils se résolurent donc à le traverser, bien que connaissant tous les dangers que cela représentait.

 

Ainsi, le soir du quinzième jour, ils bivouaquèrent à l'entrée de ce désert. Ils mangèrent peu, car ils savaient qu'ils trouveraient très peu de vivres dans ce désert qui s'étendait sous leurs yeux. Il s'endormit donc le ventre pas assez plein à son goût, mais il commençait à s'y habituer.

 

Le guerrier retira sa lame ensanglantée du cadavre de son ennemi qu'il venait de tuer. Il se retourna, et aperçut un autre gobelin, à l'aspect repoussant, peut-être plus encore que ses congénères, si c'était possible. Il était aussi plus grand, et plus menaçant. Le guerrier avait peur, cependant, il n'hésita pas à l'attaquer. Le gobelin para, puis tenta de décapiter le guerrier. Il esquiva en faisant un bond sur le côté, puis perça de son épée le ventre de son adversaire. Il se retourna, quand, soudain, il vit son frère, face à trois peaux-vertes. Un épieu dans le cœur.

 

Il se réveilla en sursaut. A ce moment-là, il vit trois silhouettes dans la nuit, étant presque nyctalope. Son compagnon qui était de garde ne les avait pas encore remarquées, car la nuit recouvrait le monde de son manteau noir. Ils réveillèrent le reste du groupe, et combattirent ces silhouettes qui s'avérèrent être des chasseurs orques. Ils s'en tirèrent sans mal, mais ils durent partir en vitesse, la présence de ces chasseurs ne pouvant signaler que celle d'un groupe beaucoup plus important d'orques à proximité.

 

Pendant leur traversée de ce désert, qui s'étendait plus loin que ce qu'ils pensaient, ils manquèrent cruellement d'eau, mais ce n'était pas le pire. En effet, cet endroit regorgeait d'araignées et de serpents, et, en ce lieu, deux de ses compagnons succombèrent à la morsure d'une araignée. En moins de cinq minutes, le venin s'était répandu dans leurs veines, et, quand ils moururent, leur visage, noir et boursouflé, était méconnaissable.

 

Quand ils réussirent à quitter ce désert, ils n'étaient plus que neuf ; l'un d'eux les ayant définitivement quitté, tué par un serpent. La première nuit après leur sortie du désert, quand il montait la garde à la lisière d'une forêt, il eut la désagréable impression d'être observé. Alors, il remarqua que seize loups se tenaient non loin de leur campement. Ils attaquèrent peu de temps après qu'il eut donné l'alerte. Ils les vainquirent, mais, au cours de cet affrontement, deux de ses compagnons moururent et il fut blessé au bras droit.

 

C'est donc à sept qu'ils pénétrèrent dans la forêt, qui était très dense, et donc très sombre, ce pourquoi ils restèrent constamment sur leurs gardes. Dans cette forêt, leur groupe se réduisit à six membres ; l'un d'entre aux ayant perdu la vie suite à une seconde attaque de loups.

 

Il ne leur fallut que deux jours pour quitter cette forêt, et, quand ils en sortirent, un groupe d'une trentaine d'orques les repéra, et les attaqua. Ils s'enfuirent donc, mais, après deux jours de fuite, l'affrontement s'avéra inévitable. Au cours de ce combat sanglant, trois de ses amis périrent, et, bien qu'ils en soient sortis victorieux, leur moral était au plus bas.

 

Alors qu'ils continuaient leur épopée sans fin, ils aperçurent des lueurs au loin. Immédiatement, ils reprirent espoir et se remirent à cheminer vers ce qui pouvait représenter la fin de leur voyage, mais, pendant qu'ils marchaient, ses deux compagnons moururent sous les traits de monstres qu'il ne put identifier, dans sa panique et dans sa précipitation. Il leur échappa, car ils ne le poursuivirent pas, mais ils réussirent à le toucher à la jambe.

 

Bien que blessé, il réussit à atteindre ces lueurs qu'il avait aperçues, et c'est donc à New Stendel que s'acheva son voyage.

 

 

Chapitre 4

 

 

Il se remit tant bien que mal de sa blessure, et crut s'habituer à la vie Stendelienne, qu'il ne trouvait, en fin de compte, pas si différente de sa vie à Lyrënia. Il se remit aussi de ses vives émotions dues à l'envahissement et à la destruction de sa ville.

 

Mais la vie à New Stendel qui fut pour lui un paradis les premiers jours se ternit vite ; il n'avait pas la moindre pièce ayant quelque valeur en ce monde, et, bien qu'il pût vendre sa légère armure de cuir et son épée, il préférait les conserver, au cas où.

 

Cependant, alors qu'il avait entièrement tourné la page sur sa vie dans son ancienne ville, il rencontra un ancien habitant de cette ville, qui l'avait quittée quelques années auparavant. Cette personne, Lemacanul, fit revenir à la surface de son esprit tous ses souvenirs qu'il avait enfouis et qu'il voulait oublier. Après que le vif choc que cette rencontre leur causa se fut dissipé, Lemacanul ayant quitté sa ville Stendelienne et lui cherchant à vivre ailleurs, ils décidèrent de choisir une nouvelle cité pour y habiter, et, pour cela, firent la route ensemble. Leur vie d'origine ayant été marquée par des combats assez fréquents, ils décidèrent de partir dans une contrée où errent beaucoup de monstres pour ne pas trouver leur nouvelle vie trop inanimée.

 

Leur voyage ne fut pas marqué par beaucoup d'incidents, si ce n'est plusieurs attaques de loups qui furent repoussées sans mal. Cependant, un voyage ne pouvait pas se dérouler de la sorte pour ces deux personnes d'habitude malchanceuses. Ainsi, le douzième jour de cette errance les ayant menés près d'une route assez fréquentée, ils furent attaqués par un groupe de bandits voulant visiblement leur argent et leur mort. Ils finirent par prendre le dessus, mais il fut blessé par une flèche qui perça son bras. Tentant d'ignorer la douleur qui en irradiait, il courut vers l'archer, et, la rage provoquée par sa blessure lui insufflant une force inhumaine, planta sa lame dans le torse de son adversaire avant qu'il ait eu le temps de réagir. Son compagnon ayant vaincu le reste des ennemis pendant ce temps-là, il pansa sa plaie, puis ils repartirent.

 

Six jours plus tard, ils avaient perdu tous leurs repères. Ils étaient en pleine forêt, et commençaient à perdre espoir. Cependant, ils ne s'arrêtèrent pas pour autant, et, cet effort ayant porté ses fruits, ils finirent par trouver une ville, au cœur de cette forêt. Ils s'entretinrent avec ses dirigeants, Descamps et Cackie, et, ces derniers leur ayant souhaité la bienvenue, décidèrent d'y habiter.

 

Cependant, cette vie facilement menable ne pouvait pas durer ainsi, car cette ville était très isolée, et presque coupée du monde réel. C'est pourquoi, la communauté de cette ville se réunit à plusieurs reprises, et conclut par cette décision : Il fallait partir.

 

 

Chapitre 5

 

 

Cette décision prit beaucoup de temps pour être appliquée, parce qu'il fallait partir par la mer, et donc construire un bateau. Ce fut long et laborieux, mais au final, un navire répondant parfaitement aux attentes et aux besoins des villageois tenait debout, si on peut dire cela d'un bateau.

 

Le voyage à bord de ce navire se déroula sans incident notable, tous les villageois étant organisés, et ayant chacun un talent spécifique nous permettant de survivre sans problème sur les flots.

 

Alors qu'une nouvelle journée débutait, s'annonçant sans encombre, au même titre que les nombreuses qui l'avaient précédée, le vent se leva. Un fort vent. Un vent de tempête. L'orage qu'il annonçait arriva vite, et, bientôt, le ciel strié d'éclairs insuffla une peur terrible aux voyageurs qu'il couvrait, les menaçant de sa furie foudroyante.

 

La visibilité, pour les ex-villageois, était très réduite, presque nulle, à cause de la pluie torrentielle qui s'abattait sur eux et leur navire. Ils devaient donc naviguer avec prudence, car les rochers, invisibles à cause des larmes déversées telles un fleuve tumultueux par le plafond d'un gris très sombre de cette scène.

 

A cause de leur inexpérience en tant que matelots, la voile fut déchirée, et le navire ne put plus lutter contre le courant.

 

Chapitre 6

 

 

Mais, de même qu'ils ne pouvaient presque pas voir les rochers, ils ne virent pas le vaisseau sillonnant les flots pour aller à leur rencontre. Quand ils l'aperçurent, ils tentèrent de s'en approcher, méfiants mais espérant que ses passagers pourraient leur indiquer une terre proche, et la fin de leur épopée.

 

Leurs vœux ne furent pas exaucés, loin de là : le vaisseau, navire pirate, n'était pas là pour les aider, mais pour s'emparer de leurs biens et de leur vie. Les villageois s'armèrent, et leur navire aborda celui des pirates en évitant les boulets de canon envoyés par leurs ennemis. Ils ripostèrent à coups de flèches ; mais beaucoup de tirs manquèrent leur cible à cause de la violence du vent. Quelques pirates cependant s'effondrèrent. Le combat au corps à corps commença alors ; les villageois, étant une douzaine contre plusieurs quinzaines d'ennemis, avaient le désavantage du nombre, et se battaient contre des adversaires habitués au combat en haute mer.

 

La bataille devint vite désorganisée, et les villageois, qui étaient groupés au début, étaient dispersés, et avaient du mal à se voir, du fait de la mauvaise visibilité, et notre héros se retrouva isolé. Un pirate l'attaqua, le villageois bondit vers lui et le décapita. Il se fendit et tua un autre ennemi, para le coup d'un troisième, feinta, lui trancha le bras et l'acheva. Il récupéra un bouclier sur le cadavre de son adversaire, puis para l'épée d'un quatrième pirate. Il l'attaqua, mais son assaillant esquiva et brisa le bouclier du villageois, qui se glissa sous lui et lui perça le ventre. Il jeta les restes de son bouclier inutile en direction d'un ennemi qui l'évita en se baissant et chargea le villageois qui lui enfonça son épée dans le flanc. Il profita de quelques secondes de répit pour jeter un rapide coup d'œil aux alentours. La plupart de ses amis s'en sortaient aussi bien, mais certains avaient l'air de peiner à prendre le dessus face à leurs adversaires. Il remarqua légèrement trop tard la lame d'un assaillant qui fusait vers sa gorge ; il bondit sur le côté, mais l'épée, traversant sa légère armure de cuir, traça une profonde entaille sur son bras gauche. Il ne put retenir un cri de douleur, puis se baissa pour esquiver la lame ensanglantée de son adversaire. Il recula pour éviter un troisième coup, puis heurta un mur. Il était acculé. Derrière le pirate, il vit plusieurs de ses compagnons, blessés, désarmés, vaincus, à la merci de leurs ennemis. Il pensa : "C'est la fin. Nous n'aurions jamais dû partir." Son ennemi se préparait à l'achever, quand soudain, une volée de flèches s'abattit sur les assaillants. Des archers, sortant sur le pont, couverts par des épéistes, semaient la confusion dans les rangs ennemis. Notre héros reprit courage, et sentit une colère grandissante monter en lui, lui prodiguant une grande force. Il frappa et brisa l'épée de son adversaire, et le décapita. Il regarda autour de lui, s'appuyant au mur de son bras valide. Partout, la situation s'inversait. Les pirates étaient repoussés par les villageois, et finirent par tous être vaincus.

 

Il n'y eut aucun mort du côté des villageois, mais aucun n'était indemne. Ceux ayant reçu des blessures sérieuses furent placés dans leur couchette, et les autres se réunirent.

" – Nous avons eu de la chance. Beaucoup de chance. J'ai entendu pas mal de choses à propos de ces pirates, leurs cibles survivent rarement. Ils sont sans pitié. Mais ils naviguent toujours près des côtes, car c'est là qu'ils peuvent faire le plus de victimes. Ce qui ne peut vouloir dire qu'une chose : Nous ne sommes plus très loin de notre objectif !

- Ils venaient de devant nous, répondit Nutellcraft, le villageois qui était à la vigie. La tempête est déjà moins forte, continuons par là !"

 

Quelques jours plus tard, la tempête n'ayant pas fait plus de dégâts et tous les membres étant plus ou moins rétablis, ils entendirent avec soulagement Nutellcraft crier "Terre en vue !" de la vigie. Ils accostèrent, et bâtirent un campement, peut-être provisoire, mais qu'ils voulaient changer en une ville, Namnis.

 

 

 

Je vous remercie d'avoir pris le temps de lire ma candidature.

 

Cordialement, Night_Wind

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Salut c'est Power !

 

Je voulais faire autant que Night en étant le premier à plussoyer sa candidature comme il l'a fait sur la mienne de commerçant mais bon ...

Pas grave mais ça ne m'empêche pas de donner un gros +1 à ce joueur super motivé et motivant ;)

 

Si t'as besoin d'un service hésite pas !

 

Bonne Chance à toi !!

PowerMidnight

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Night_wind mérite plus qu'amplement ce grade de voyageur !

C'est un joueur qui a su montrer son efficacité dans le projet Namnis, où il travaille donc toujours, et où je suis toujours son chef démoniaquement démoniaque (mwa ah ah)

Donc un énorme +1

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BOUM ! Moi je dit +1 pour ce joueur investit dans le projet Namnis et sur Minefield en général (surtout pour aider les magabons). De plus un R.P. sympa et plutôt long pour cette candidature.

 

Bonne chance, cordialement, lemacanul

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