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[RP] La révolte du peuple de Namnis


FeuTarse
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Bon je vous explique le systeme du rp

Du a la gréve général de Namnis je commence ici le rp général racontant donc l' histoire.

C' est moi qui donnerait fin a cette histoire

 

Règle :

Vous devez donné votre point de vue, vos action, etc durant la période EN AUCUN CAS vous n' avez le droit de décider de la mort de quelqu'un ou de mettre le personnage de quelqu'un d' autre dans une situation ou il ne peux s' en sortir.

Vous pouvez créer des personnage fictif mais veuillez a ce qu' il ne joue pas un rôle majeur dans l' histoire ( évitez de leur donnez des noms utilisé plutôt des adjectifs )

 

Journal du chef des rebelles surnommé Feutarse :

 

L'étau se ressert sur mon sort alors que de nombreux alliés passent du coté adverse, je tente encore de tenir le bord de la révolte !

Alors que j'avais fait confiance au nain, certains pactisants des dictateurs les on achetés ce qui m'empêchai de leur demander des renforts...

Stendel reste sourd à nos demandes d'aide, je n'aurai bientôt plus assez de nourriture pour faire vivre mes hommes, je pense parfois à me rendre pour éviter le massacre mais je ne peux le faire en regardant le visage des hommes qui sont à mes cotés, je ne peux les décevoir.

Je ne vois qu'une seule solution pour nous sortir de cette endroit : l'exile, ou le coup d' état. J'ai encore assez d' hommes pour le faire, mais si j'échoue, je serai pendu ou brulé vif et la meilleure mort pour un homme dans mon genre est le champ de bataille...

J'entends la garde royale frapper aux portes de notre repère, il nous faut fuir pour espérer survivre, 5 de mes hommes on décidé de les retenir pour nous permettre de fuir mais je le jure sur mon sang : Je les vengerai !

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Nutellcraft, à la tête de l'armée royale, faisait les cent pas dans son bureau. Il fixa quelques secondes quelque chose qui était accroché au mur qui faisait face à la fenêtre donnant sur le centre-ville Namnète. Il dégaina une dague de sa ceinture où étaient accrochées d'autres armes, un marteau burin ainsi qu'une épée de diamant. Il lança la dague vers le mur. Sur le mur était en fait peinte la tête de Feutarse, le chef de l'insurrection. Cet acte symbolique symbolisait que le maçon, sous-chef de Namnis, ne prendrait pas une seconde de répit tant qu'il n'aurait le crâne de Feutarse en guise de vase pour mettre ses fleurs.

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Dans ses appartements personnels du haut de la tour du Palais namnète, Descamps réfléchissait. Il avait pourtant essayé en compagnie de Cackie de gérer leur giganteste royaume du mieux qu'ils le pouvaient tout au long de leur vie, se dévouant pour leur peuple. Mais aujourd'hui, voici comment celui-ci le leur rendait. Une milice avait prévu de renverser le gouvernement, et avait reçu le soutien de peuples étrangers à la ville. Namnis avait vécu en paix jusqu'alors, mais peut-être qu'en ce jour il faudrait mettre à l'eau leurs navires de guerres et affronter leurs ennemis, intéressés par les richesses contenues dans l'entrepôt.

Cackie brisa le silence de leur réunion :

- Écrasons-les, ils ne sont pas assez pour rivaliser avec une ville entière. Notre popularité n'est plus ce qu'elle était, mais notre peuple nous aime et sait que l'on consacre l'ensemble de notre temps pour eux. Ces rebelles ne sont que des égoïstes en manque de puissance ou alors des idiots.

- J'en conviens... Mais ce ne sont pas ces rebelles qui m'effraient. Non, c'est les nains. Ce peuple guerrier ne cherche qu'un prétexte pour lever une armée contre notre ville et piller nos richesses. Alors si cette milice les contacte et obtient leur soutien, le problème prendra une autre envergure. Parlons avec Nahes, il nous est dévoué et connait bien les nains. Il nous en dira plus sur leur comportement et si le risque est si important. Peut être pourra-t-il même les raisonner.

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Je me réveillai en sursaut... Quelque chose avait heurté la porte de ma demeure.

Sur le seuil de la porte, je trouvai deux missives cachetées très différemment l'une de l'autre. J'ai aperçu le sceau de Namnis, lettre d'une plus haute importance semblait-il...

L'autre, d'un cachet non-inconnu, ne me disait malheureusement plus rien... Mon esprit sortit de ce trou noir, c'était clair, désormais : le sceau de la Nation Naine.

Que me voulaient-ils ? J'ouvris la missive des dirigeants de Namnis en premier lieu.

""

Cher habitant de Namnis, votre aide est demandée pour l'avenir du peuple et de la ville.

Vos confrères nains se sont alliés à la révolution, nos forces militaires ne sont pas assez expérimentées et nombreuses pour combattre vos frères souterrains.

 

Nous venons quérir vos compétences et connaissances de la Nation des nains pour trouver un accord et des pourparlers, et dans un avenir proche, mater la révolution. ""

 

La lettre était explicite , mater les révoltés.. Je connais très bien mon peuple et sa soif de sang et d'or... Une fois l'auberge pillée, ils ne répondront de rien.

J'ouvris la lettre de mes frères nains.

 

""

 

Frère Nain !

La nation réclame ton aide, et ta bravoure, hache à la main !.

Nous avons reçu des tonneaux d'or et d'hydromel par un mystérieux révolutionnaire, nous te savons en exil dans la ville portuaire, mais nous avons besoin de toutes les forces naines disponibles.

 

Notre peuple n'a plus remporté de guerre depuis milliers de granite. Mais encore, la récompense promise et l'acompte de l'étranger promettent un grand avenir, une place dans l'administration de ce port commercial, et un dû en or hors du commun.

 

Frère Nain, nous attendons ta réponse.

""

 

Je faisais un amalgame dans mon esprit... Je dois trouver un moyen d'arrêter l'invasion des nains... Ou piller la ville de l'intérieur avec eux ? ... Je ne sais pas, la nuit porte conseil.

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Night_Wind réfléchissait, à la limite du désespoir tant la situation était complexe pour lui. Au début, Namnis s'était bien bâtie et bien développée, gérée par Descamps et Cackie, qui étaient aidés par Nutellcraft, et ces trois chefs se dévouaient pleinement à la construction de la ville, mais... La situation avait changé, s'était envenimée. Feutarse avait déclaré que Namnis se devait pas, ne pouvait pas continuer à être gérée ainsi, et avait demandé à être le chef de la ville.

En un sens, c'était prévisible. Feutarse avait tuojours été réputé pour sa mégalomanie, à Namnis. Ce qui était plus inattendu, et plus embêtant aussi, car le problème prenait de l'ampleur, c'est que certains habitants de Namnis l'avaient rejoint, et qu'ils avaient acheté des mercenaires pour les soutenir. Namnis, ville depuis toujours pacifique, s'était retrouvée engagée dans une guerre civile. Pire encore, d'autres nations menaçaient de rejoindre le groupe de Feutarse pour s'approprier des ressources et des terres qu'ils ne pouvaient obtenir en restant chez eux. Et là, il y avait encore un problème majeur. Lui le savait, certains partisans de Descamps et Cackie aussi, mais aucun allié de Feutarse ne s'en était rendu compte, et les en avertir signifiait la mort si l'on était un allié de Descamps et Cackie, ou la mort si l'on n'avait pas choisi de camp, la mort par l'armée royale.

En effet, les peuples qui avaient rejoint Feutarse ne l'avaient pas fait pour l'aider, mais pour piller Namnis, ce qui faciliterait la victoire des révoltés avant d'entraîner une série de nouvelles guerres des ex-alliés de Feutarse contre lui.

Déjà, plusieurs combats avaient eu lieu. Quelques gardes avaient été tués, quelques révoltés aussi. Mais on avait constaté un phénomène étrange... Certaines épées se brisaient alors qu'elles allaient faucher une vie, et certaines blessures guérissaient instantanément, légères ou graves. La magie de Tyroine, qui opérait de manière permanente à Namnis, y était très forte, et avait maintes fois changé l'issue d'un combat. Et en plus, on soupçonnait les révoltés d'avoir une base sous le temple ou le lac sacré...

 

Soudain, une idée le frappa. Mais il la repoussa bien vite... Il avait pensé que Tyroine pourrait les aider, mais... Deux problèmes se posaient. D'une, il ne le feriat probablement pas. Et de deux, aider à quoi ? Ou plutôt, aider qui ? Il avait béni Namnis, mais de qui prendrait-il le parti dans cette guerre ? Les deux étaient issus de Namnis, à l'origine. Et puis, lui aussi hésitait beaucoup. Une rumeur courait, celle que Descamps et Cackie n'avaient que feinté leur attention et leur dévouement, et que cette ville servirait à nourrir leur avarice. Ces rumeurs, en soi, n'auraient pas dû être fondées, mais le concours que les chefs avaient organisé jouaient en leur faveur : ils offraient des choses qu'ils avaient gratuites, contre des biens. Beaucoup de biens, d'ailleurs, vu que le concours s'était très vite lancé, avant d'être soudainement ralenti par cette rumeur. Et suite à cela, Descamps et Cackie avaient été nommé les dictateurs par Feutarse. En effet, son opinion pouvait être défendue... Qui choisir ? Des chefs qui accompagnaient la ville depuis ses débuts, au risque qu'ils l'asservissent, ou un "libérateur", comme il se qualifiait, qui donnerait un meilleur avenir ?

Ses principes le poussaient à rejoindre les "dictateurs". Mais Feutarse, son aspect de "libérateur" faisant de lui un personnage assez charismatique, avait été rejoint par beaucoup d'hommes. Et si Night_Wind pouvait parfois être très fidèle à ses principes, il ne pouvait s'empêcher d'être un peu apeuré, presque intimidé, par l'idée de s'opposer à l'armée de Feutarse. Surtout après ce qu'il avait enduré, comme le reste de la ville, pour rejoindre Stendel par la mer... C'était ça le problème. Il ne voulait pas mourir après ça.

Et quant aux actes des deux partis... Corruption, assassinat et torture avaient lieu dans les deux camps. Il entendit un sifflement presque imperceptible derrière lui et se baissa d'un geste vif. Il soupira en voyant la flèche aux plumes rouges plantée dans le mur devant lui. Encore une fois, ses réflexe l'avaient sauvé. Il revint sur ce à quoi il pensait juste avant, non sans avoir jeté un coup d’œil par sa fenêtre pour voir ce qui se passait, et rajouta à la liste des défauts des deux partis que leurs partisans avaient parfois la facheuse manie de tirer sur tout ce qu'ils voyaient...

Il pouvait encore quitter Namnis, et fuir vers Stendel, et se réfugier dans la capitale, ou aux Cités d'Or. Mais toutes les villes étaient maintenant au courant de ce qui se passait à Namnis, et il savait qu'il risquerait toujours de se retrouver poignardé dans son lit, où qu'il aille, tant que cette guerre ne serait pas finie... Les habitants de Namnis n'étaient pas du tout bien vus, en général...

Il soupira une seconde fois et décida d'aller essayer d'espionner un conseil tenu par Descamps et Cackie pour se tenir au courant de la situation. Ça n'allait pas être facile, mais il se voyait mal demander un compte-rendu de tout ça à un garde, ou à un révolté... S'il réussissait, il pourrait se faire une opinion sur le camp à choisir.

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Hrp : Ce qui est bien, c'est que vu que chacun donne son point de vue, je suis le méchant pour certains mais vous êtes les méchants pour d'autres, ce qui permet que chacun aie sont point de vue.

Edit 1 :Hey j'ai jamais dit que mes hommes était des truands XDD (à vrai dire je m'en fous je rectifierai le tire au prochain texte)

 

Journal du chef des rebelles surnommé Feutarse :

 

Lors de mes nombreux voyages en terre de Stendel, un mage m'a un jour dit :

- C'est dans la plus noire des nuits que l'on voit pointer l'aube.

Je pense enfin avoir compris ce qu'il entendait par là : alors que moi et mes hommes étions pourchassés par la garde royale, nous avons réussi à les semer et à nous réfugier dans les montagnes bordant la ville, mais en quittant notre ancien repaire nous avions perdu nos armes et vivres, nous devions donc recommencer à zéro.

Je demandai à un de mes généraux de s'occuper des relations commerciales et du recrutement, pendant que je m'occupais des plans de bataille ; en effet, nous ne pouvions retourner dans notre ancien repaire, il nous fallait donc nous procurer des armes et je savais où : dans l'arsenal de la ville...

Cette nuit, moi et le reste de mes meilleurs hommes allons prendre l'arsenal, récupérer un maximum d'armes, de munitions et de canons avant de le faire sauter pour empêcher la garde royale de nous rattraper, occupée par l' incendie.

Car grâce à notre victoire la dictature prendra fin et la démocratie vaincra !

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HRP :

 

Feutarse tout ceci n'est que RP, rêve pour toucher à un des diamants qui constitueront mon palais en diamant massif !

 

 

Leurs troupes se dispersent dans les montagnes ! Je vous l'avais bien dit, hurla Descamps à ses généraux, ce n'était que de la rigolade. Sans nourriture ou armes, ils ne passeront pas la nuit peuplée de monstres. Nous sommes quant à nous bien au chaud derrière notre haute muraille. Toute fois, leur chef a une forme primitive d'intelligence, et il va deviner sa seule chance : Revenir en ville discrètement et se servir ! Nous devons redoubler de vigilance et nous préparer au pire. Cette nuit, pas de tour de pause, faites ordonner à tous nos gardes de veiller ! Le premier qui joue aux cartes ou pique un petit somme ira gouter l'eau de notre océan un poids à la jambe, l'avenir de la ville en dépend !

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Journal du chef des rebelles surnommé Feutarse :

 

D'après la position de la lune, il doit être aux alentours de deux heures du matin, ce qui veut dire, si mon plan est bon, que les gardes doivent commencer à fatiguer ; il est temps de lancer l'opération : Tempête sur la ville !

 

Feutarse posa son journal sur sa table de chevet qu'il avait fabriquée avec un peu de paille et de branches, et regarda depuis la montagne la ville endormie où on voyait quelques points jaunes qui représentaient les gardes surveillant la ville

 

-Soldats !

 

Tous ses meilleurs hommes était là, devant lui, le buste droit et les yeux regardant fièrement leur chef.

 

-Allons-y !

 

Il n'avait pas besoin de donner d'ordre, chacun lisait dans ses yeux ce qu'il avait à faire.

Feutarse se dirigea devant la porte principale de la ville. Il y avait 2 gardes postés sur chaque tour ;

il arma son arc, visa le premier garde et tira. La flèche vint se planter dans la nuque de celui-ci ; quand au second garde qui allait donner l'alerte, une flèche vint lui aussi lui transpercer la nuque. Lors de sa chute, son cadavre tomba sur le levier d' ouverture, ce qui permit aux hommes de Feutarse de rentrer discrètement dans la ville.

 

Pour éviter de se faire repérer, le groupe escalada les murs des maisons pour ensuite marcher sur les toits de la ville, pour pouvoir traverser les grandes rues. Feutarse avait tout prévu : des grappins ainsi que des tyroliennes ! En quelques minutes, ses hommes et lui parvinrent devant l'arsenal gardé par quelques gardes endormis ou bourrés. << Pitoyable>>, se dit alors Feutarse.

 

Ses hommes se mirent en ligne, armèrent leurs arcs et tirèrent. Chaque flèche parvint à son but, dans le cœur des gardes, puis ils rentrèrent dans l'arsenal par une des fenêtres.

 

Dans l'arsenal, une vingtaine d'hommes postés à chaque coin de mur sortit à chaque balustrade, Feutarse et ses hommes allait enfin pouvoir s'amuser !

Après quelques minutes de grand spectacle d'assassinats en plein vol, d'égorgements spectaculaires et de suicides par désespoir, Feutarse tenait l'arsenal de Namnis.

Ils prirent ce qu'ils pouvaient porter ou ce dont ils avaient vraiment besoin ; une charrette les attendaient derrière l'arsenal. Après quelques minutes à charger leur convoi, il s'en alla sans eux pour éviter se faire repérer, dépassa les portes de la ville restée ouverte et se dirigea vers les montagnes.

Feutarse regarda l'arsenal qui venait d'être chargé de poudre à canon, et autres explosifs et dit :

- Boum...

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C'était une véritable catastrophe. La ville était à feu et à sang. Dans mes appartements, je pouvais admirer la splendeur du feu... qui était en train de saccager tout ce que j'avais donné à Namnis durant ces 15 années.

Quelque chose s'éveilla en moi. Je courus tel un forcené vers ma salle des coffres, en sortit une armure intégrale de diamants que j'avais commandée à l'armurier juste avant la révolte, sentant des nombreuses tensions au conseil. Je l'enfilai, puis allai m'équiper dans la salle d'à côté. Ici étaient entreposées de nombreuses armes. Je pris un arc, ainsi qu'un carquois de flèches empoisonnées ; une épée de diamants que j'avais enchantée à un niveau fort élevé, en prévision d'une époque plus sombre. Quiconque traverserait cette lame serait immédiatement évaporé dans la flamme de l'enfer et téléporté dans un lac de lave situé quelque part dans la salle de torture :twisted: .

Je m'équipai ainsi quand mon œil se posa sur une vitrine que j'avais installée là il y a longtemps. A l'intérieur était glissé dans un écran une magnifique dague en argent. C'était celle-là qui m'avait servie à vaincre le rôdeur qui avait tué mon père. Je me jurai alors que c'était cette dague qui permettrait la mise à mort de Feutarse. Je l'imaginais déjà sur la place publique, enchainé, les citoyens Namnètes lui jetant des tomates et de la bouse, et moi lui enfonçant la fameuse dague dans le cœur.

 

Mais encore fallait-il gagner la guerre pour sauver notre peuple, notre vie.

Je sortis de chez moi et constata une nouvelle fois que à quelques pâtés de maisons de chez moi, c'était la guerre. Une formidable explosion avait eu lieu, provoquant l'effondrement d'une partie de l’entrepôt. Je priais intérieurement pour que l'endroit ou nous avions entreposé nos diamants et notre or ne fut touché. Je me précipitai vers les appartements royaux ou je retrouvai, dans la salle de conseil, les chefs et le peu d'armée qui nous restait en train d'établir un plan de riposte. Les plus hauts gradés étaient déjà en train d'enfiler des armures d'obsidienne. Mais j'étais très attendu, étant l'un des chefs de la ville, mais également des armées. Nous décidâmes qu'il fallait d'abord concentrer nos efforts sur Feutarse et sa garde rapprochée. La rébellion perdant son cerveau, elle serait incapable de continuer sa stratégie.

Nous n'attendions plus que nos soldats finissent de s'équiper pour partir à l'assaut. Peut-être ne reviendrions-nous pas. Mais il fallait tenter, c'était notre seul espoir.

Notre pêcheur et bourgeois, l'un des rares fidèles au gouvernement, Loren36, s'équipa d'une armure d'obsidienne, et d'un harpon en diamant, objet que lui seul possédait, car il l'avait inventé et forgé lui même avec l'aide de Cackie le forgeron. Cet harpon pouvait trancher les poulpes les plus robustes mais suites à quelques améliorations, il était également à même de s'enfoncer dans les cuirasses les plus solides.

L'armée étant prête, nous sortîmes dehors. Mais j'entendis un hurlement.

 

C'était le Roi Descamps qui hurlait.

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HRP : Feutarse tu les trouve où t'es tyrolienne trop sophistiquée dans notre monde moyenâgeux alors qu'en plus tu es sensé ne plus rien avoir ?

 

J'ai pas le temps mais je vous écrit mon truc d'ici une heure et demi :P

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Derniere question hors roleplay, apres on supprime tout, mais pourquoi ca serai toi feutarse qui le finirait ? En gros cackie et moi auront la tete coupé et tu rasera la ville pour en faire uncentre commercial et rien ne peut empecher ca ?

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Hrp : Naaaaan comment il as deviné !!!!!!!!

Meuh non vas pas être aussi pessimiste je me dermederais pour que la gréve soit résolu et que personne ne se sente oublié tout en restant dans un truc logique !

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La bataille faisait rage. Le vent soufflait tellement fort que les voiles des navires menaçaient de se casser. Heureusement que nous avions un bon tisserand. Il pleuvait des cordes. Je suais sous mon armure en diamants, mais je n'y prêtais guerre attention. La bataille faisait rage : certains de nos gardes avaient été tués, et certains révolutionnaires aussi. Mais aucune trace de Feutarse. Quelques heures plus tôt, nous avions ordonné l'évacuation de nos femmes et enfants vers la campagne, où se trouvaient des refuges pour les mauvais jours. Je songeais à ma nouvelle famille lorsque j'entendis une gigantesque explosion. Encore une, pensai-je. Je ne comprenais pas : pourquoi les rebelles détruisaient la ville si c'était pour en prendre le contrôle une fois la guerre remportée ? Quelque chose me dit que Feutarse n'était pas si intelligent qu'on le laissait supposer. Je courus vers le lieu de l'explosion, afin d'en jauger les dégâts. Je découvris avec horreur que cela s'était déroulé sur la place principale. La fontaine, autrefois magnifique et immense, n’existait plus. A la place, il y avait avait un immense cratère. C'est alors que je le vis. Feutarse, avec son armure d’obsidienne était au centre du cratère. Il était aux prises avec un autre soldat de notre camp, qui avait l'air en bien mauvaise posture. Je voulais ma vengeance, et sauver ce pauvre soldat. Alors, moi aussi, je courus vers le centre du cratère, dévalant la pente. Le soldat gisait maintenant à terre, et Feutarse, la botte sur le torse du soldat, et l'épée soulevée par ses deux mains, s'apprêtait à l'achever. Mais en m'approchant, et en sentant une irrésistible odeur de cookie, je remarquai que cet individu n'était autre que Cackie. Mon sang se figea, en une fraction de seconde je dégainai mon épée. Feutarse se retourna. J'ai hurlé "Cackiiiiiiiiiie" de toutes mes forces. Je constatai avec soulagement que Feutarse avait laissé Cackie au sol sans le tuer, afin d'affronter ce combat. Je lus une cruauté dans son visage qui me fit penser que cette histoire de rébellion, de grève, n'était qu'un prétexte pour que Feutarse le mégalomane puisse accéder au trône. Il tenta de me porter un coup fatal à l'abdomen. Mais ce fut sans compter sur mes réflexes légendaires. Je parai l'attaque et blessa Feutarse à la jambe gauche. Une satisfaction naissait sur mon visage : je dominais le combat. Mais le terrible Feutarse fit quelque chose que n'importe qui aurait trouvé insultant. Il profita d'une poussée d'adrénaline pour sortir une potion de sa veste. Je fus tellement étonné que je ne réagis pas à temps. Il but la potion et il disparut. Quel imbécile, pensai-je ! Une potion d'invisibilité. Ce mégalomane, sans pitié, idiot et qui plus est traître de Feutarse s'était maintenant défilé ! Quelle honte ! Je fus tout de même heureux pour Cackie. Je lui offris un cookie et il se releva, déterminé à se vengé.

 

La guerre n'est pas finie, Feutarse, elle ne fait que commencer. Plutôt mourir que de rejoindre tes rangs. A la vie, à la mort, Cackie et Descamps sur le trône ! J'y laisserais ma vie.

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HRP: Mettez vous

en fond pendant que vous lisez ! (pas vraiment en rapport mais j'aime bien !).

 

Bien que totalement extérieur au conflit qui venait d'avoir lieu car parti loin de sa chère patrie, Lemacanul revenant alors de contrées encore plus lointaines et hostiles que celles de notre chère baie à notre arrivée par la mer faisait alors son retour parmi les siens.

Je fus durant mon voyage retenus en captivité durant de longues année par une tribus aborigène, mais je ne savais combien de temps exactement c'était écoulé depuis mon départ de la cité maritime. Cette épopée fut tout de même initiatique pour mon compte, j'appris au contact, bien que réduit, des personnes venant me voir dans ma prison de bambous et de lianes, des habitants de cette étrange communauté isolée dans une jungle profonde, de nombreuses techniques de fusions de divers ingrédients. Mais un jour, au lieu de voir comme à l'accoutumée mon geôlier, je ne vit qu'un cadavre, les lianes étaient coupées, le village avait été massacré et n'était plus qu'une marre de sang. Je décidais alors immédiatement de rentrer à ma maison en bord de mer en compagnie de mes amis afin de leurs conter mes aventures, malgré qu'ils aient certainement perdus tout espoir de me revoir vivant un jour. Arrivant alors, je découvris qu'une partie du village manquait, pas une personne n'était dehors, et au fur et à mesure que je progressais, horrifié, au milieu des ruines éteintes depuis bien longtemps, je vit une tête qui m'était familière. Je courus alors vers Nutellcraft (HRP : Et oui fallait bien choisir quelqu'un...) à moitié en pleurs, lui émus de me revoir après une absence prolongée. Je lui demandais alors de me raconter les derniers évènements qui avaient menés la ville à un tel chaos. Nous allions alors dans sa maison afin de pouvoir discuter autour d'une bière. Je demandais alors la cause d'une telle haine de la part de mon ami architecte mégalomane, il ne sut me répondre clairement, ajoutant avec humour, bien que la situation ne le permis pas, qu'il n'était plus vraiment en état de lui demander à la vue de leurs positions respectives. Mais malgré sa tentative de réduire cette question principale à une simple interrogation subsidiaire, je fut avide de vérité et de réponse. Je lui demandais alors si il avait une quelconque idée de où aurais put se cacher le prétendu félon, je n'eu que pour réponse un regard vers les plaines immenses par leur tailles et par leur solitude. Décidé à rencontrer l'homme en question je restais toutes les nuits dehors, sur le seuil de la maison de Nutel, où il décida de m'héberger, à espérer voir l'accusé. Et un soir, alors que la fatigue commençait à m'envahir et que la lune approchait de son zénith en baignant les eaux du port de reflets argentés décuplés par la pleine lune, une main me tapa sur l'épaule. Je me retournais brusquement et découvrit le visage de mon ancien ami me disant de faire le silence. Il m'emmena alors dans une partie plus calme de la ville afin de converser de manière normale sans être aperçus par les autres habitants alliés à sa traque. Il m'expliqua alors jusqu'au levé de l'aube et l'apparition des premiers rayons de l'astre lumineux le despotisme et la tyrannie qu'avait subi les membres de notre communauté avant et après mon départ. Convaincu par ses dire, je passais rapidement prendre mes affaires chez mon hôte et disparu en compagnie de mon nouvel allié dans une quête de liberté qui semble devoir durer longtemps encore. Je suis aujourd'hui dans le repaire de mon nouveau chef résistant afin de vaincre la présence de tout dogmatisme Descampesque, ou d'un quelconque autre dignitaire s'avouant adhérer à ses principe, et d'éradiquer toute forme de vie opposé à notre irrésistible acte de liberté et de vengeance....

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J'écris depuis portable, excuser moi d'avance :P.

EDIT Night_Wind : De toute façon je passe sur chaque post de ce topic.

 

- Cackie, la prochaine fois si tu n'es pas capable de tenir tête à Feutarse et son armée seul (et peut pourait le dire), essaye de te faire accompagner d'un minimum de companie ! Parfois tu peux être si inconsc...

La porte venait de résonner et dans le hall de la bibliothèque Namnètes, un silence glaça nos veines.

Cackie et moi nous regardiâmes. Depuis le temps que l'on se connaissait, on avait appris à réfléchir de la même manière, et un coup d'oeil suffit à mettre en place notre stratégie. M'embusquant derrière un rayon de bibliothèque, je pus décocher une flèche et tendre mon arc. La flamme de la torche accrochée au dessus de ma tête émis un petit grésillement, puis s'éteignit, plongeant mon rayon dans l'obscurité. Les dieux étaient avec nous. Depuis le commencement de cette monstrueuse affaire, Ils ne nous avait pas beaucoup soutenu. Pourtant tout ceci partait d'une histoire des plus banales : la jalousie expotentielle de Feutarse l'avait conduit à vouloir faire tomber le royaume. Son cas avait animé de nombreuses discutions des semaines auparavant, quand il revint d'une expédition littéralement changé. Personne ne sut ce qui lui arriva, mais dès lors son comportement fut plus compulsif, jaloux mais surtout pernitieux. Et le temps n'arrangeait pas les choses. Son travail d'architecte le contentait autrefois, mais l'introduction de marlun pour l'épauler le rendis encore plus fous. En suivi une transformation progressive qui avait attend son stade terminal -je l'espère- aujourd'hui. Cette passion n'est pas une quête de pouvoir, comme certain le croient. En réalité, cest un besoin vital de destruction, et il l'illustrait ici. Comment son armée et ses fidèles peuvent toujours croire que cet homme oeuvrerait pour le bien de la ville alors que la plupart des batiments sont en cendre, et que maintenant ils attaquent aussi des civiles ? Une fois la ville réduite à néant, que feront ils ? Passeront ils de royaume en royaume, pillant tout sur leur passage jusqua l'extinction de leur armée ? La folie dont était possédé leur chef le pourrait. Mais Namnis n'était pas qu'un simple royaume. Non Namnis avait une histoire, et avait souffert pour arriver à devenir prospère. Ce n'est pas un mégalomane et sa bande de babouins qui changeront ça !

Descamps serrait les dents à s'en décrocher les machoires. Sa flèche tuerait au moindre danger. Cackie, l'air parfaitement naturel, ouvrit la porte non sans garder la main sur le pommeau de son épée.

Une fleche les érafla la joue, lui laissant une balafre rouge écarlate au travers du visage. Déjà, le propriétaire de l'objet était étendu sur le sol, abbatu dans le coeur par Descamps. Il remercia encore son dieu Tyroine pour avoir enchanté son arme sur l'hotel, lui permettant de ne jamais manquer ses cibles. Cackie s'écroula sur le sol, mais non de douleur. C'est le tranchant d'une épée qui passa la où se trouvait sa tête quelques secondes auparavant. Mais déjà l'épée de l'amateur de cookie avait été dégainée et tranchait de bas en haut son agresseur. Il s'écroula, mais cackie l'attrapa et s'en servit pour parer une autre flèche qui aurait du être mortelle. Jettant sa dague, le dernier aggresseur fut poignardé contre le mur.

- Ils n'étaient que 3 ? Un rapide coup d'oeil leur confirma que oui. Courrant à l'entrée du batiment, ils aperçurent les 4 gardes étendus sur le sol.

- Seul un alchimiste peut faire des potions aussi puissantes. Lemacanul a rejoint leurs rang. Pour compenser cela, le retour de marlun notre armurier parmi nous va fournir à notre armé de quoi les anéantir pour de bon. Mais ces attaques de plus en plus fréquentes n'augurent rien de bon, ils sont nombreux pour ce permettre cela. D'ailleurs, cest trois soldats ne ressemblent pas à des Namnètes ayant désertés la ville.

- Allons lui demander de faire chauffer ses fournaux, il va avoir du travail. Esperons qu'ils ne sont pas déjà passés chez lui.

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"ENCORE ! C'est impossible !" me dit Feutarse. Trois de nos hommes avaient été tué lors d'une de nos attaque d’assassinat des deux despotes. Il est vrai que je m'y attendais, nos hommes n'était pas des plus expérimentés, mal armés et malgré les différentes potions que je leur avait fait ingurgiter avant de partir, je doutais qu'ils reviennent vivants. Il est vrai que les deux frères ont toujours été doué au maniement de l'épée et de toutes les autres armes tranchantes. Je peut certes améliorer les capacités de nos alliés, les cadavres de gardes en témoignes, mais pas les rendre invincible ! Il me faut donc encore travailler mes préparations pour plus d’efficacité et de durée d'effet. Mais au fur et à mesure des jours qui passe, et des hommes, ou pour être exact, des cadavres qui s'accumule dans les rues, de plus en plus souvent je repense au sens de cette lutte. A-t-elle un réel sens ? Et surtout aura t'elle une fin qui pourra valoir les dizaines d’âmes sacrifiées au combat ? Mais la question est toujours vite écartée par la présence de Feutarse et par sa détermination, qui me renforce dans mon idée d'avoir choisi le bien pour l'accès à notre liberté.

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Hrp : Bon, bah si c'est à la mode... Ça n'a rien à voir, donc mettez ça en fond. :P

 

Night_Wind prit son épée et son armure de cuir améliorée par Marlun, et se prépara à sortir pour tenter d'aller espionner un conseil tenu par les deux chefs. Il descendait de sa chambre, quand il entendit une explosion. Il remonta en vitesse et se précipita à sa fenêtre. Un nuage de cendres masquait totalement la vue, jusqu'au mètre devant la fenêtre. Quand il fut dissipé l'entrepôt n'était plus que ruines et braises rougeoyantes dans l'air embrumé de l'aube naissante. Il recula d'un pas, horrifié.

"Pourquoi ? Et qui ? Quand on y réfléchit, la réponse s'impose. C'est la ville de Descamps et Cackie, ils ne vont pas détruire ce qu'ils ont fait construire pour en garder le contrôle. Mais Feutarse... Il s'était déjà trop engagé dans ce qu'il faisait pour pouvoir revenir en arrière... Et il n'avait rien à perdre... Il était prêt à détruire la ville qu'il voulait contrôler...

C'est insensé ! Ce serait complètement stupide d'être roi d'une ville inexistante, qui pourrait même ne pas pouvoir être reconstruite à cause de ses ruines ! Pourquoi fait-il ça ? Il ne peut plus reculer, mais de là à faire sauter Namnis !

Il est traître à sa ville, traître à cette ville qu'il prétend sauver de ses actuels prétendus tyrans ! S'il en est là... De là à détruire l'auberge, le temple, le théâtre, la place, le port, la ville entière même, il n'y a qu'un pas ! Pas qu'il s'apprête à franchir, assurément, avec ce qu'il vient de voler ! Ah, cet infâme traître ! Il me le paiera, je le jure sur mon honneur et ma vie ! Comment se fait-il que des hommes de la ville qu'il détruit l'aient rejoint et aidé ? Seraient-ils tous du même sang que ces criminels qui se révoltent à Stendel ?

Si encore la lâcheté peut me conduire à ne pas respecter mes principes pour plutôt respecter ma vie, elle ne m'empêchera pas de protéger Namnis des lames de ces démons ! Ah, Tyroine, soutiens mon bras et sois le tranchant de mon épée, je m'en vais purifier notre terre sacrée de ces bâtards dégénérés et abreuver de leur sang tout ce qu'ils y ont souillé !"

Il cala une deuxième épée en diamant à son dos, ajouta à son équipement un arc enchanté et passa un carquois avec cinquante flèches à sa ceinture. Il descendit et se dirigea vers la maison des chefs, une froide détermination naissant en lui, engendrée par sa colère.

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Pendant ce temps Tata et quelques autres Elfes de Minas Alagös protégaient Elvis des assauts des 2camps et demi ...saleté de nains....

Si les nains venaient ici avec leurs hâches et bierres diluées Tata et ses elfes prêteraient main-forte aux cookies des champs et sauveraient le nutella du frigo.(Ne PAS mettre au froid... comme ma grand mère quoi ...)

Sinon ils se contenteraient de parier sur le gagnant

Mais si quiquonque touchait à UNE feuille d'Elvis il se prendrait un [barrer]Katana dans ta gueule ![/barrer]coup de cimeterre dans ses parties intimes.

Edit Night_Wind : DOOOÏÏÏÏNG ! [Accent oriental] Comme le disait Maître ShingFu, une petite graine doit savoir patienter avant de planter ses fruits damnés. [/Accent oriental]

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Voilà bien des mois que la révolte avait pris fin... Nutellcraft avait tué Feutarse, les nains avaient été repoussés dans leurs mineset les principaux acteurs de la révolte avaient été tués. Mais, quelques mois plus tard, la situation s'était inversée... Nutellcraft n'avait pas réellement tué Feutarse, il ne l'avait que feint pour lui permettre de fuir ( le remplacant sur l' echaffaudage par un autre prisonnier ), et, à l'aide d'Apoly, il avait pris la tête de la révolte. Et les nains, appelés quelques jours plus tôt, étaient revenus du côté des révoltés. Ils avaient tué Descamps, Cackie, Rafalle et Marlun avant de trahir les nains quand ils savaient la victoire leur. Les rares défenseurs encore en vie s'étaient rendus, à l'exception d'Aërlyn qui avait changé de camp quand il avait vu que les révoltés prenaient l'avantage. Eh oui, il préférait sa vie à son honneur. Et en ce jour, les trois traîtres étaient au pouvoir, avec les personnes qui les avaient le plus aidés (Aërlyn n'aurait pas dû être au pouvoir, mais il avait suffisamment manipulé les dirigeants actuels pour pouvoir avoir sa place au gouvernement).

 

Happy end :P

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HRP : Mettre cette musique en fond : http://www.youtube.com/watch?v=FV8MNbBIlOI

 

Ce n'est que plusieurs mois plus tard, lorsque le calme et la démocratie étaient de retour en ville que le jour vînt. Les épées étaient affûtées, les potions prêtent, le navire de guerre attendait au large du port. En reconstruction, les habitants étaient occupées, l'attaque serait rapide et puissante. Fulgurante et destructrice. La défaite viendrait de là où elle n'aurait pu venir en théorie, à cause des traités de paix et autres pseudos accords. Mais déjà le bruit distordant des lames battant l'air dans les rues Namnète résonnait dans les coeurs, les âmes par la mort et le sang qui allaient de nouveau abreuver la terre de la révolte.

Rien n'est fini. Tout commence. Tout est permis. L'humain autrefois nain et maintenant tout puissant par l'accès au plus haut niveau de son art chimique le rendait maintenant invincible. La mort au coin de la rue, les épées prêtes au combat, les armées déjà emportant la victoire, dans la joie de la gloire. Le sort allait tourner en sa faveur, en ma faveur, le retour inattendu allait avoir lieu dans le chaos avant de redéfinir les lois de la liberté autrefois perdues mais bientôt retrouvées. Il est venu le temps de se venger, de faire payer les traitres et de dominer à nouveau. Rien n'est joué, tout est permis.

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