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Wariow

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Messages posté(e)s par Wariow

  1. Hello.

     

    Vu le stock de viande actuel dans la taverne T.C.M du quartier forgeron qui dors dans des coffres sans fond ou sur des pancartes de lot, je me suis dit de faire le point sur les dates de péremptions. Mais ne vous inquiétez pas, les 60% de remise sur les lots de boeuf, porc et mouton n'ont rien à voir avec une éventuelle date courte. Il y a de toute façons une étiquette avec la date de production sur le packet* pour vérifier.

    Mais si l'odeur vous fait peur, achetez avec ça un tonneau de bière T.C.M à 7 Pa's au lieu de 10. Comme ça les gosses mangerons sans se plaindre et vous en redemanderons même pour pouvoir profiter d'une autre pinte.

    Et si vous trouvez malgré tout des asticots, rappelez vous que ça n'est pas pour vous, mais avant tout pour Diana Nasse qui vous l’achètera quoi qu'il arrive.

     

    Valable jusqu'au 14 Avril prochain.

     

    *N'est visible qu'après achat.

  2. Hello.

     

    A la demande de @Squirkiz, voici une petite mise à jour du topic pour relater les différents changement dans le projet depuis le temps.

     

    [RP]

    Vouée à devenir une cité commerçante à ses débuts (je parle là du début de ma reprise, pas le projet de base), Middenheim devait néanmoins, et ce dès le début de la reprise des travaux, accueillir un arsenal dans sont port pour la construction de navire de commerce. Dépourvu de défenses, Middenheim s'est très vite allié à la Garde Volontaire, sous un simple protectorat, pour assurer la protection de son territoire. Quelques mois après avoir achever les premiers travaux de mise en service des arsenaux, La cité fût reconnue non pas pour son commerce qui était alors ridicule comparé à d'autres projets, mais par la fabrication de navire. Vendus alors aux particuliers pour les embarcations commerçante, et à la Garde Volontaire pour les navires militaires. 

    La construction de la ville fût brutalement arrêté lors du début de la guerre froide qui l'opposa à Freiwald. L'exportation de navire fût dès lors complètement stopper aux particuliers. Car il fallait concentrer la production à des fins militaires. La partie commerçante et habitation était alors complètement à l'abandons. Pire, les constructions en bort de mer qui n'étaient pas déjà utiliser pour la fabrication furent détruite pour laisser place à de nouvelles infrastructures pour améliorer les embarcations.

    Après avoir signé officiellement la fin des hostilité avec Freiwald, Middenheim garda ses structures pour proposer à nouveaux des navires pour les désireux. La guerre avait permis à Middenheim de se spécialiser dans la construction de navire et d'armement. Et est devenu depuis une entiter à part entière de la Garde Volontaire. Les habitations sont réservées quasi-exclusivement aux ouvriers, Et le commerce définitivement laisser à d'autre projet, sans doute plus efficace. et mieux situer pour cette activité. 

    [HRP]

     

    Tout ça pour dire que Middenheim n'a plus rien d'une cité commerçante l'où tout le monde se bouscule. L'activité principale étant la conception et la réparation de navire.

  3. Double post pour la visibilité.

     

    Quêtes hebdos non reset ce vendredi. 

     

    Quêtes de Rainnon impossible à prendre pour le lendemain. (Pour rappel, il était possible de prendre les trois quêtes journalière sur place, revenir le lendemain pour faire la livraison et prendre les nouvelles quêtes pour livrer le lendemain et ainsi de suite. Cela permettait de ne faire qu'un aller à Riannon par jour), hors ici, avec un quête en cours, on peut livrer les fournitures mais pas en prendre de nouvelle.

     

    EDIT : 1000 messages forum. No rage de mon bavardage.

  4. Le 31/01/2019 à 19:07, Dark-Hoshin a dit :

    Je tiens à soulever quand même le point essentiel qui doit être pris en compte dans le nouvel évènement : l'ambiance. Cela fait 2 étés que l'ambiance est très électrique, notamment je pense parce que les récompenses sont grosses et que certaines inimitiés se frictionnent, mais aussi parce que disons le haut et fort vu que chacun organise son épreuve et que y'a pas forcément toujours une surveillance, on est parfois sur le fil du rasoir des règles des différentes épreuves (qui sont écrites par les projets). Je pense qu'il faudrait si possible essayer un évènement "contre le serveur", comme la reconstruction, qui était bien plus fun à mon avis qu'une succession d'épreuves l'un contre l'autre

     

    Je pense qu'on a connus mieux niveau ambiance lors de l'event de reconstruction. Surtout lors de la première semaine ou certain commençaient à rager d'avoir perdu des ressources quand ils ont vu deux bulldozers défoncer Novum à grand coup de pelleteuse. 

    Malheureusement, dès qu'ils y a des récompenses intéressantes, y'a des gens qui vont la jouer compèt'. Moi le premier. Et si les récompenses sont pas ouf, les gens ne participent pas... Moi le premier également. 

     

    EDIT : Rikka m'a encore devancer.

  5. Bonsoir,

     

              Etant donné que la concurrence s'en va voir ailleurs si l'argent est plus facile à se faire (Nan, parce que, mon bon Mopi, ne me fait pas croire que t'as choisi de devenir outilleur par passion hein =D), Je me dois de le soutenir dans sa démarche, et m'assurer au passage la récupération de ses tavernes dans tout l'Empire (Comment ça "J'avais juste celle en capitale ?") Qu'a delà ne tienne. Je te soutien quand même, parce que t'es un bon copain. Si tu peux étudier rapidement ma candidature pour devenir modo, mon poto ^^ Histoire ne pas avoir acheter l4d2  et y avoir passer 150 heures avec Thorgrin pour rien.

     

              Mopitio ne fais pas partie des joueurs que je fréquente le plus, mais c'est néanmoins quelqu'un avec qui j'aime beaucoup passer du temps. Que se soit IG, sur Mumble, Ou sur L4D2. Mais avec le projet d’extension de P.E et la construction d'une flotte de la Garde Volontaire, ça devrai nous permettre de nous approcher d'avantage. Je peux aussi envahir Kallanos avec quelques frégates de 38 et 74 canons histoire d'entretenir la flamme de notre relation. Enfin, après avoir validé cette demande bien sûr. Histoire d'éviter l’effondrement du prix de la bière et du cookie en capitale. (Mais surtout la bière hein)

     

              Quant au nom de la boutique, je propose "Cookilleur" (Tu cherchais un nom pourri, après tout)

     

     

    Donc pour moi c'est un +1

     

    Bonne attente !

     

    Et si t'as du stock à évacuer, on peut en discuter pour que je te débarrasse de tout ça ^^

     

     

     

     

     

  6. Hello.

     

    En qualité d'Amiral de la Garde Volontaire, je me dois de porter mon soutien à TaThal pour obtenir la monture blanche qui sera pour lui la représentation de la pureté Impérial, la preuve de son adhésion au couleurs de Stendel, Mais surtout la preuve du pardon que je lui accorde vis à vis de son passé à être perdu dans l'ombre. 

    Mais aujourd'hui, c'est différent. Il a trouvé la lumière de l'empire, le droit chemin. Et je l'en félicite.

    Thalkion est un joueur que j’aimerai mieux connaître. Si il passait moins de temps mute sur Mumble aussi, ça serait plus simple. Mais même si je ne le connais pas trop en dehors du jeu, je peux dire néanmoins beaucoup sur lui. Architecte que j'admire, j'avoue m'être déjà inspiré par son travail. Qu'il vienne du fort Herobrine ou de ses projets personnels. Pour te remercier, promis que te construirai un navire un peu plus haut gradé que la petite frégate de 36 canons que tu as actuellement.

     

    Bref, je le soutien totalement. Tu as toutes les qualités pour devenir un fier chevalier de l'Empire. Juste, impliqué, et toujours honnête quand il s'agit se donner son avis sur des constructions. Et même si il n'a pas toujours été du bon coté, il est pour moi aujourd'hui un exemple à suivre pour tout les joueurs de Minefield. 

     

    Tiens, d'aillieurs, si tu pouvais réserver ton second home pour Middenheim ? J'ai besoin de mains-oeuvre de qualitey ^^

     

    Bonne attente,

    James Wariow, Amiral de la Garde Volontaire.

     

    EDIT : J'avais oublié ça

  7. Hello. 

     

    Aujourd'hui, je souhaiterai soutenir Guillaume quand sa quête du saint-deuxième-home.

    Même si il n'est pas le joueur que je coutoie le plus, il s'agit néanmoins de quelqu'un avec qui j'aime bien passer du temps. Il en est de même pour son projet, sur le quel j'ai eu le plaisir de pourvoir participé lors de la construction de la flotte de Crystalis. Véritable musée, en vu des navires qui ne sont à ce jour plus produit ou alors sous des versions bien différentes. (Je te les rachète toujours d’ailleurs xD)

     

    Guillaume est un vieux de la vielle. J'aurai tendance à dire qu'il était temps de faire cette candidature. Ancien et impliqué. Que se soi sur son projet ou pour le WAM, pour qui tu as beaucoup donner encore aujourd'hui. Et d'une certaine manière, ont peut dire que tu fait vivre Nimps. 

     

    Et puisque Jihair semble d'accord, si vous souhaitez vous taper une bouffe dans Grenoble, je veux en être. On pourra se voir IRL comme ça

     

    Pour finir, je pense important de souligner le fait que tu sois particulièrement apte au garde de Chevalier. Attachant, impliqué et bien sûr agréable. C'est un joueur respectable de par ces faits-armes sur le serveur (Enfin, Nimps surtout). Et j'espère bien pouvoir te côtoyer plus souvent que ça sur Mumble ou IG. Toujours un plaisir.

     

    Bonne attente,

    James Wariow, Amiral de la Garde Volontaire.

     

  8. Aye mes gaillards ! 

     

    T.C.M sera présent au marché de Nevah pour ses 8 ans. Une frégate déchargera sur place de nombreux tonneaux de bière classiques, qui seront au doux prix de 7 Pa's le tonneau*. mais également une édition spéciale T.T.C Lager, bière brassée dans les locaux de la taverne'Ciel, aujourd'hui collector due à la disparition de ces derniers. Comptez 25 Pa's pour l'un d'entre-eux. Quinze tonneaux* disponibles. 

     

    Ensuite, 4 lots très spéciales pour vous : Des pommes, très nourrissantes (profitez d’ailleurs les pommes vont bientôt être nerf..) sont vendues par caisse** entière à 20 Pa's le lot. Mais également des viandes de bœuf, porc et mouton, vendues également en lot pour 12 Pa's la caisse**. 

     

    Valable à partir du lundi 21 janvier prochain, et jusqu'au 27 inclut. 

    * : Un tonneau = 16 bières.

    ** : Une caisse = 64 unités.

     

     

     

  9.  

    Candidature Chevalière

    James Wariow

     

    Bonjour et bienvenue dans ce qui pourra bien être ma toute dernière candidature.

     

     

    - Présentation -

     

              Tanguy, 24 ans, diplômé d'état ambulancier. Je vis à mon compte depuis que j'ai commencé mes études dans le domaine. Et je suis très satisfait de ma situation. J'aime toujours autant jouer aux jeux vidéos, à la différence que je me suis ouvert un peu plus aux autres pour jouer à des jeux d'équipe avec des gens que je considère comme des amis. 

    Comme beaucoup le savent, j'aime beaucoup l'histoire de la navigation en général. Je ne vais pas dire que je suis un fan, mais pas loin. Je m’intéresse également pas mal à l'astrophysique. Je suis donc fatalement fan des jeux où l'on dois géré une flotte navale ou des space-opéra. Donc oui, fatalement, mes film préférés sont également ceux dans le style pirate des caraïbes ou, de conquête spéciale dans un SF bien bourrin. Et un jour, Disney à sorti un film d'animation où ils ont réussi à casé ces deux catégories. Les vrais savent =D 

    In game, je suis James Wariow, Amiral de la Garde Volontaire, Commerçant Tavernier, dirigeant des infrastructures navales de Middenheim et du fort Ehver sur Nimps. Je suis également le commandant Wariow sur EliteDangerous, Chasseur de prime reconvertis dans l'exploration à bort d'une frégate nommée l'Unlimited. Et peut être bientôt pourrai'je également devenir un célèbre explorateur sur Star Citizen ? à voir si le jeu sort ^^. Je suis aussi un riche criminel partie de rien sur GTAV, et aujourd'hui la tête d'un organisation mafieuse mieux armée que certain pays. Spécialisé dans le trafic d'arme et de voiture de luxe. Je suis aussi un survivant d'une infection zombie sur l4d2. Mais parfois aussi une Ayano. ça arrive. Je suis sur le serveur depuis plus de trois ans, je suis toujours autant content de parcourir les terres de Minefield. J'ai des projets toujours plus ambitieux et j'espère que ça sera le cas encore longtemps.

     

    Voici la liste des mes candidatures à diverse titre. 

     

    Citoyen de l'Empire.

     

    Commerçant Tavernier

     

     

    Villageois 

     

    Présentation de la honte

     

    - Motivations -

     

              La partie que je n'aime pas d'habitude. Devoir limite mentir et s'inventer une motivation un peu mystique, spirituelle pour cacher les vraies motivations, c'est pas vraiment mon truc. Bah oui. Bien sûr que le second home n'est pas de refus, que la monture ultra rapide et classe sera un plus appréciée et que l'accès à une chambre dans la chevalerie en plus des accès vip au château des chevaliers sera une preuve de réussite. Pour ne pas dire qu'on ne fait une candidature juste pour ça. Pour ma part, oui, ses avantages/privilèges sont bien sûr la raison principale de ma motivation. J'en accorde pas moins beaucoup d'importance à la couleur bleu clair qui représente l'élite du serveur. La représentation d'un joueur respectable. La représentation d'un chevalier de l'Empire.

    Rejoindre la chevalerie sera pour moi le moyen de m'investir toujours plus dans le serveur, à la hauteur de ce qui me sera permis de faire. Et du mieux que je pourrai. 

     

     

     

    - Depuis le premier jour -

         

              Depuis que je suis arrivé sur Minefield, je n'ai jamais cesser de faire et défaire mes constructions. du coup, certaines de mes créations dont été rasées. Mais voici ce que je peux vous monter à ce jour. Des construction aussi bien terrestre que navales. Il se peut que j'ajoute des screens avec le temps.

     

     

    Middenheim :

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    L’Arsenal de Middenheim. Siège de la division navale  de la Garde Volontaire. Ce projet regroupe les infrastructures nécessaires à la construction et la maintenance des navires et de l’artillerie. Il est néanmoins possible pour un particulier de commander ses propres navires s'ils sont prêt à délier les cordons de leur bourse. L'artillerie, quant à elle, est exclusive à la Garde Volontaire. Les seules armes disponibles à la vente pour sont les caisse de mousquet, munitions de tout calibre, et l'artillerie vendue de base à bord d'un navire.

    Middenheim possède sa propre raffinerie à acier. Fait à partir de minerai de fer et charbon extrait du sous sol du terrain. Le bois est récolter dans les vielles forêts au nord du chantier naval. Et les tissu et cordage sont fabriqué sur place en important les matière première depuis le Fort Ehver.

     

    Des screens sortirons à l'avenir une fois les travaux un peu plus développer. 

     

    Atelier de petite menuiserie. Sont fabriqué ici tout les petit meubles. Mais également les contenants comme des coffres de bois étanche, caisse et tonneau. Y sont également monter les affûts pour les canons.

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    Quai où sont fabriqué et réparer les chaloupes destinés à être embarquées à bort des navires de classe 3 et plus.

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    Atelier de la forge. Sont fabriqué en série ici toute les armes classique de la Garde Volontaire. Les sabres destinées aux gradés sont faite dans un atelier spécialisé. 

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    La partie où sont décharger les affûts. L'on peut voir au fond à droite de l'image le haut-fourneau ou le fer est raffiné en acier.

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    Il sont ensuite descendu vers la fonderie. Le métal qui n'est pas raffiner en acier y est descendu également pour être fondu et remonter pour y être couler en lingot. Le fer non raffiné servira alors à faire les petites pièces pour les navires tels que les clous et vis. Mais également les armures pour les cuirassé et chevaux. Les armes, quant à elles, ne sont jamais faite que de fer, car ébrécheraient au moindre choc. 

    La fonderie est aussi le lieux où l'on coule, perce et fixe les canon à leur affût. Les boulets de tout type et tout calibre y sont également couler.

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    Les armes ainsi prête sont directement envoyés dans le storage. Lieux de stockage de l'artillerie.

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    Une des cales sèche. Là ou les navires sont construit de la quille au nid de pie. Actuellement vide car on manque d’ouvrier ^^ 

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    Fort Ehver :

    Divulgacher

    Mon projet sur Nimps. Il s'agit là d'un farm sous terrain. Mais il est, au jour ou je boucle ma candidature, désaffecté. Une nouvelle infrastructure est en cours de développement et sera construit sur la zone marécageuse à gauche de l'image. 

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    Flotte de la Garde Volontaire et autres constructions issues de mon chantier naval  :

    Divulgacher

    Quelques navires de la flotte de la Garde.

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    Jonques sur Akuma Kiodai

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    Le navire amiral de Squirkiz. Un flotte complète doit être faite dans le futur.

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    Galère sur Khérinops.

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    Vrac :

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    Ma taverne en capitale.

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    Maison de Loupon en capitale, que j'ai faite en .... 5 mois ? (Faudrait me retirer du cubo, d’ailleurs =D)

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    Champs d'épave sur Nydria.

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    - L'histoire -

     

             

              L'histoire de mon personnage à été entièrement refaire. Inutile donc de chercher à faire des liens avec mes rp de mes précédentes candidatures. Seul certain personnages ont été gardés et sans doute quelques scènes sympas . Il retrace néanmoins l'évolution de mon personnage sur Minefield et même avant. Il s'agit de la partie 1, la suite sera disponible après mon passage au rang supérieur, ou même au refus de ma demande. Le destin de mon personnage et la suite de son aventure dépends de la suite donner à cette candidature.

     

    Bonne lecture.

     

    Divulgacher

     

    - Faites feu !  Ordonna le capitaine Lockook levant son sabre en l’air. 
    James était à la barre, il calait le navire selon les déplacements de leur adversaire. Les coups de canon fessaient un tels fracas que ces pimpants était douloureux. Il lui était difficile de ce concentré.  Le mât de misaine du navire pirate était en train de tomber sous les coups des boulets chaînés. Et ses voiles sur les deux autres mâts étaient pratiquement toute déchirées. 
    - C’est le moment ! Fît le capitaine Lockook. Lieutenant Wariow, foncez dessus ! 
    Sur ses ordres, James s’exécuta. Donne un coup de barre sur tribord est donna un coup d’éperons décisif sur le navire des forbans. Créant ainsi une grosse brèche dans la coque de ce dernier. 
    « Il coule ! Il coule ! » fît l’un des officiers. Mais immédiatement, un des marins se rendit compte de la réserve de poudre en feu. Mais nul le temps de réagir. Celle ci sauta avec une violence spectaculaire. James fût projeté par le souffle. Les bouts de bois volèrent dans tout les sens. Il se retrouva dans l’eau, juste assez conscient pour regagner la rive. Tout en se traînant sur le sable, il regarda derrière lui son navire couler au même titre que ces pirates. S’allongeant contre un  rocher, il regarda son avant bras droit. Un bout de métal y était incrusté.  Il le retira, la plaie saignait, mais pas assez pour le mettre en danger. Aucun de ses collègues ne semblait revenir. Il pensa alors être le seul survivant. Il entendit la voix de son père raisonner dans sa tête. James perdit peu à peu connaissance. Sa tête était lourde. Il ne pût la tenir plus longtemps. Des souvenirs des événements qui l’avaient mené jusqu’ici  lui revenaient alors qu’il fermait les yeux. 
        

     

    - James ? Réveilles toi !
    - Hm.. Oui ? 
    - Encore au lit à cette heure ! Viens vite nous aider à remettre ce navire à flots ! 
    James Wariow était un jeune homme âgé de tout juste 18 ans. Plutôt grand, de corpulence moyenne. Pêcheur et menuisier  vivant dans la plantation familiale de ses parents depuis sa naissance. Plantation qu’ils avaient nommée de leurs noms de famille : Wariow. James sauta dans ses habits de fortune, un simple tricot et un pantalon en lambeau. Il regagna le chantier navale ou se trouvait le petit navire de pêche, un sloop. Tout juste réparé de l’usure. Lui, son père, sa mère et quelques ouvriers de la plantation s’activèrent pour pousser le navire à l’eau. L’embarcation avançait doucement, et fût entièrement dans l’eau en quelques minutes seulement. Tout le monde fît des cris de joie voyant le fier petit navire reprendre à nouveau la mer. A cet instant, un homme à cheval arriva à l’entré du domaine. Prévenu par un des ouvriers, James et son père allât à sa rencontre. L’homme, qui était en fait un coursier, demanda alors à voir Wariow James. Sans plus attendre, il  se manifesta et récupéra son enveloppe. Elle était munie d’un sceau de la couronne. « La réponse à ma demande d’intégration de la marine royale ! » s’écria t'il. Il l’ouvrir pour découvrir de sa demande avait été acceptée en vue de ses compétences dans la navigation. Il avait toujours voulut devenir marin. Mais son jeune âge ne lui avait jusqu’ici permis de ne navigué que avec son père à bord de leur modeste embarcation. Il pût néanmoins apprendre depuis qu’il tient debout à manœuvré un navire. Navire qui était plutôt difficile à manier en vu de sa conception plutôt ancienne. C’est sans plus attendre qu’il embrassa ses parents, pris ses affaires et se rendis à pied vers le port d'un complexe commerçant pour se payer l'aller simple vers Terral avec la maigre bourse dont t'il disposait. Terral était la capitale du pays. C'était une région réunissant plusieurs îles dispersées sur plusieurs centaines de miles nautique. Chacune dirigées par un gouverneur respectif. La plantation Wariow se trouvait cependant à plus de trois semaines de voyage de Terral. 
    Alors qu'il fessait route à bort d'un navire de transport, il repensa à cette lettre qu’il avait envoyée il y a plusieurs mois à la marine royale Orylienne. Se demandant encore s’il était vraiment prêt. Son, père charpentier de métier en était plus que sûr. Et sa mère n’avais jamais cessé de se faire du souci pour lui. Mais qu’importe, James voulait vivre de son amour pour les océans. La marine royale était pour lui une chance de devenir un jour capitaine de son propre navire. 
    C'est après une vingtaine de jour de voyage que James arriva enfin sur Terral. Il se rendit aussitôt devant les fortifications de la capitale. Il était un peu sous pression. Mais c’est avec fierté qu’il se rendit au fort Kyle, là où de trouvait la caserne, ainsi que l'arsenal où les navires de la flotte étaient fabriquer et réparer. Reçu par un officier en charge du recrutement, il lui demanda sa lettre comme preuve de son acceptation. Après lui avoir soumis son document, James se vît offrir un uniforme neuf. Qu’il mît rapidement. Son nouvel habit lui donnait fière allure. Bien que se ne soit que le vêtement d'un sous-officier. Sans plus attendre, il gagna la cour d’arme ou on lui donna un sabre et un pistolet à silex. Puis gagna les dortoirs pour y trouver son nouveau logis.
     James passa plus de deux dans la marine Royale, et n'avait eu aucune difficulté à grimper les échelons de la hiérarchie pour devenir lieutenant. Il était devenu un fier corsaire, attribuer au transport de marchandise et d'armement pour le compte de l'armée à bort d' une frégate de la marine royale. Le capitaine Lockook en avait le commandement. Il  se retrouva dans un transport de routine à bort du "Prime" et allait passer non loin de Sathym, principale ville commerçante du pays suitée au Sud de la capitale à environ quatre-vingt-dix miles nautique.  Mais alors qu’il avait jeté l’ancre pour la nuit, il se fît attaquer par ces pirates.
    - J'ai fait une promesse à ma mère, Je vais me battre, jusqu'au bout !
    jusqu'au bout 
    jusqu'au bout 
    jusqu'au bout 

     

     

    James se réveilla en sursaut. Il était dans un lit de paille. Son bras droit avait été bandé. En cherchant à ce relever, il marcha sur ses bottes qui avaient été posé au pied du lit et trébucha. Le bruit de sa chute alerta un homme qui débarque aussitôt.
    - Ah ! enfin ! Non, ne te lève pas tout de suite ! Tu as encore besoin de repos.
    Wariow se mit sur le lit en demandant ;
    - Qui... Qui êtes vous ? où suis'je ?
    - Tu te trouve dans ma maison, en banlieue de Sathym. Tu as sûrement plein de question à me poser. Je t'ai trouvé sur la plage, j'ai été intrigué par des coups de canons non loin des côtes. Mais quand je suis arrivé, il y avait deux navires en train de sombrer. Et c'est là que je t'ai vu allonger sur la plage. Et je t'ai porté jusqu'ici.
    - En banlieue de Sathym ? D'accord ! Y'a t'il un avant poste des autorités dans le coin ?
    - Plus maintenant. Le contrôle de la ville est entre les mains d'un nouveau gouverneur. Un certain Philippe Arghoud. La ville avait des dettes envers lui car il avait fournis les navires pour la flotte des autorités locales. Mais ne pouvant pas payer par la suite, Arghoud est venu prendre l'île par la force. 
    - Comment se fait t'il que le pays se soit retrouver avec une dette ? Il y a des plantations partout qui rapportent beaucoup.
    - ça, c'était avant que plusieurs groupes de pirate ne commencent à pilier et voler tout pour leur compte. Les plantations ne fournissent donc plus. Mais Arghoud n'a rien voulu entendre. 
    - Je vois. Où sont mes affaires ?
    - Sur la chaise là, mais je te recommande de ne pas les mettre ici. La ville n'appartient plus au pays. Arghoud à ses propres troupes. Des mercenaires. Ils ne supporteraient pas ta présence.
    James récupéra la ceinture avec son sabre, son pistolet et son petit sac de poudre et de balle.
    - Bien, mais je ne compte pas sortir à moitié nu ! As tu des vêtements pour moi ?
    - Je t'ai préparé quelques fringues, oui. Fît l'homme lui donnant une chemise grise et un pantalon noir. 
    - Merci. Sais-tu si il est possible de sortir de la ville ?
    - Hélas, j'aimerai bien le savoir. Depuis que Arghoud est au pouvoir, seul les commerçants peuvent passer la douane. Toute l'île est bouclée.
    - Mais pourquoi ? Pourquoi vouloir isolé ses habitants ?
    - Tu sais, je ne suis qu'un paysan dans la banlieue. Je n'en sais pas tant que ça. 
    James se leva.
    - Bien, je vais trouver un moyen de sortir de cette île.
    Hésitant, l'homme lui demanda :
    - Je peux venir venir avec toi ? je n'ai aucune envie de rester ici sous la dictature de d'Arghoud. On ne m'a que trop répéter que c'était un homme cruel et avide de toujours plus de richesse.
    - Bien sûr ! Tu m'as aidé après tout. Allons y.
    C'est sans plus attendre qu'ils se prirent la direction de la ville. Sur la route, il appris que l'homme s'appelait William Quent, Installé sur Sathym depuis un an en tant que petit forgeron. Ses parents venaient disparus dans un naufrage, et il tenait depuis sa petite forge. Le marché ouvert de la ville était juste à coté du port. Gardé, bien entendu. Ses nouveaux vêtements lui permettaient de passer près des gardes sans être suspect. Malgré quelques navires marchant pouvant quitter le port, ils passaient tous avant par une fouille complète. Ils passaient justement à coté d'un groupe de paysans à qui ont mettait les fers. Ils avaient probablement tenté de se caché parmi les caisses d'un schooner sur le départ.
    William lui fît alors :
    - Je vais aller à la taverne pour voir ce qu'il est possible de faire pour partir. Je connais le proprio. 
    - Bien, je vais du coté des quais moi. On se retrouve dans une heure maximum ici même. 


     Même si il était plutôt discret, James pris garde de ne pas trop d’attardé. Tout en continuant son chemin vers un quai bien moins fréquenté, il entendis des cris plus loin sur le quai. Il courra alors en direction vers ces hurlements. Une femme, sans aucun doute. On l'entendait juré à des dizaines de mètres. Arrivé sur place, une bande de garde, tentant de maîtrisé une jeune femme qui se débattait alors vivement. Hésitant, James ne savait pas ce qu'il pouvait faire. Prendre le risque de se faire arrêter ? Ou laisser une bande de garde s'en prendre à cinq contre une? Il en était pas question pour lui. Il bondis sur les gardes arme à la main. Tuant les deux premier en plantant latéralement son sabre au coup du premier, pour la retiré en donnant un coup de pommeau en plein crâne du second. La jeune femme pu alors se saisir d'une planche trouvée au sol. "Tu vas regretté de t'être interposé, freluquet !" Fît alors le garde le mieux vêtu. Probablement l'officier de la petite troupe. Alors que la jeune femme avait déjà assommé l'un des deux garde qui étaient sur elle, James contra les coups de l'officier comme il pouvait. Il était face à un adversaire très habile. Mais voulant porté un coup décisif en s’avançant, James esquiva et le frappa au tibia avec son pied. Se qui fît perdre son équilibre à l'officier. James pu alors donner un coup de pied sur l'arme de son adversaire pour le lui faire lâcher, et enchaîna sur un coup de genoux au visage pour l'envoyer au tapis. Mais pas assez fort pour l’assommer. Car une fois au sol, l'officier s'empara de son pistolet à silex qu'il pointa immédiatement sur lui. Mais c'est alors que la jeune femme, ayant finit avec l'autre garde, donna à son tour un coup de planche sur la main armé de l'officier. Et lui donna le coup de grâce en pleine tête. Le groupe de garde était alors complètement neutralisé. 
    - Je maîtrisais parfaitement la situation ! Mais ... merci à toi. Lui fît alors la jeune femme tout en jetant sa planche au sol. 
    James ne répondis pas, regardant plutôt le navire accoster a quai juste à coté. Voyant que cette femme était habillée comme un corsaire, il lui demanda.
    - C'est le tiens ? 
    - Oui, c'est mon navire. le Cloopiat.  Mon équipage est partis profiter du pied à terre pour aller s’enivrer. Et c'est là que ces gardes se son pointés.
    - Que voulaient t'ils ? demanda alors James.
    - Ils sont venu me dire comme quoi il allaient immobilisé mon navire à cause d'une loi martiale tout juste mise en place. Je crois que c'est à cause de toute ces affaires politique du coin. Répondit  t'elle tout en traînant un des corps inanimés à bord de son navire. James en fît autant et repris.
    - Je ne sais pas grand chose sur ce qui se passe ici. Je suis arriver ici hier, mais notre navire à coulé suite à une attaque de pirate. 
    - T'es un marin alors ?
    - Aye. Et James demanda aussitôt :
    - Il y a moyen de quitté le port avec ton navire ? tu as bien un laisser passé ?
    - J'avais, cette bande de crapule me l'on déchiré. Signe d'invalidité pour les douaniers à l'entrée du port. Mais je ne compte pas rester là, certainement pas ! Mais il faut que je trouve mon équipage avant, leur dire de rester sur le navire et de dire aux gardes qu'ils n'ont pas eu ordre de quitté la port pour l'instant. ça devrait les garder calme. 
    Chargeant le dernier corps, James demanda.
    - Et on va faire quoi d'eux ? Si ton navire vient à être fouiller...
    - Je vais dire à mes hommes de leur mettre des boulets de douze-livres dans les fringues et de les jeter à la flotte une fois la nuit tombée. 
    Marchant alors sur le quai en direction du marché pour aller retrouver l'équipage du Cloopiat, James demanda.
    - Comment te nommes tu ?
    - Marie Anna Lanoyse pour le nom complet. Et toi ?
    - James. Wariow James. je viens d'une plantation familiale plus au sud.
    - Toi aussi tu viens d'une plantation ? Je vivais aussi dans une plantation étant petite. Mais un jour, la plantation à pris feu après une soirée un peu trop arrosée. Mes deux parents sont mort. Ma mère à préri dans les flammes de ce maudit incendie, mon père, lui, est mort quelques mois plus tard, une bouteille de whisky à la main. Mon frère et moi avons pu nous réfugier à bort du Cloopiat. Le navire que notre père avait acheté pour devenir corsaire. Mais il n'a jamais quitté le quai à cause se son amour pour la boisson. Alors après sa mort, j'ai pris le commandement du Cloopiat et mon frère est aller à son repaire, ou il doit y boire des litres de rhum quand c'est pas pratiqué la piraterie avec ses soi-disant amis.
    - Ton frère est un pirate ?
    - Oui, Billy, Un vrais dur à cuire. Mon père l'adorait. Il voulait avoir deux garçons pour tenir sa plantation. Et quand il a vu que sa deuxième descendance était une fille, il s'est dit que c'était sans importance et qu'il allait me traité comme si j'avais toujours été un homme. C'est pour ça que je sais me battre et naviguer. Mon frère tiens tout de mon père. Il était du genre rebelle. Si il aurait pu, il serait aussi devenu un pirate. Mais il passait son temps à boire. Et il n'avait jamais navigué de sa vie. Mon frère et moi avons appris la navigation sur le tas avec ses potes à bord du Cloopiat. Il est devenu pirate, et moi, je transporte des marchandise d'un port à l'autre pour gagner ma vie. Mais je pense que le port de Sathym ne ferra plus partis de mes destinations. 
    C'est alors qu'elle fît attention au sabre que qu'il avait remis à sa ceinture.
    - Un sable de la Marine Royale hein ? Je crois que j'ai compris. T'as besoin de te faire la malle depuis que Sathym n'est plus sous l'ordre des autorités du coin ? 
    - En fait. On est deux à vouloir partir. J'ai rencontré un homme. Il m'a tiré du naufrage du navire dans le quelle j'étais affilé.
    - Bon. Tu m'as aider après tout. Je veux bien tenter de t'aider à sortir de la ville, toi et ton ami là. Il est où ?
    - Il m'a dit qu'il était aller à une taverne près du port pour voir comment quitter l'île.
    - Si c'est la taverne du port, alors mes hommes doivent y être aussi. Allons y !
    Sans encombre, ils arrivèrent à la taverne. Les hommes de Marie-Anna y étaient et William également revenait tout juste de sa discutions avec l'aubergiste. Il s'approcha.
    - Rien, Pas moyen de partir sans être vu ! Des navires vont faire blocus dès aujourd’hui !
    - Et merde ! Même avec un navire, on ne passera pas ! fît alors Marie-Anna. Elle repris.
    - Je suppose que c'est lui ? tout en regardant William.
    - Oui. Répondis James. William, je te présente Marie-Anna. Je viens de la rencontrée sur les quais.
    - Enchanté ! Vous êtes capitaine d'un navire ?
    - Oui, j'ai un schooner amarré à quai. Mais si il y a un blocus, il ne nous servira pas.
    - Laissez moi y réfléchir... Fît alors James en débouchant une bouteille de whisky qui traînait sur la table. Marie-Anna et William firent connaissance en prenant place à table. Les hommes de la jeune capitaine chahutaient sans se rendre compte de la situation. James releva la tête.
    - Je pense à un truc, une méthode que j'ai appris à la marine. Il nous faut un second navire.
    - Que veux tu dire par là ? Répondit Marie-Anna.
    - On prend une petite embarcation dans la quelle ont mets poudre et poids. On s'approche des navires qui vont alors nous faire signe de s'arrêter pour présenter les autorisations de sorties. On met le feu à une mèche et on le fait charger sur les navires du blocus à l'entrée du port avant se sauté par dessus bord. ça devrai les réduire en miettes. Mais bien sûr, il faudra rester à bonne distance.
    - Et qu'allons nous faire des caronades sur les fortifications du port ? Ils n'auront pas de difficultés à nous couler.
    - Alors voilà ce qu'on va faire : Il va nous falloir de la poudre et des poids de toutes façons. Si ce sont des caronades qu'il y a sur les fortifications, alors ont devrais pouvoir trouver des boulets d'une cinquantaine de livre sur place en plus de la poudre. On va se faire passer pour des gardes et aller chercher tout ça !
    - Nous faire passer pour des gardes ? Et tu compte t'y prendre comment ?
    James ne répondis pas. Fit seulement un léger sourire. 
    - J'ai compris ! Retournons à bord du Cloopiat, on va prendre les uniformes de nos amis restés à bord. Et pour le navire qui servira de brulo, tu as une idée ?
    William intervena alors :
    - Moi je sais où en trouver un. Il y a le navire d'un marchant qui s'est tuer en tombant du nid de pie il y a quatre jours. Je ne le connaissait pas bien, mais bon, de toutes façons, son navire ne lui servira plus. Son navire est toujours à quai je pense.
    - C'est quoi comme type de navire ? demanda James.
    - Un sloop. Un truc facile à piloter. Il me semble qu'il était seul à le manœuvré.
    - Parfait ! fît James, nous allons le déplacer à coté du Cloopiat alors. Marie Anna, explique tout à tes hommes, on se retrouve à bord de ton navire en début de soirée.
    Alors que la nuit tombait sur Sathym, Le Capitaine Marie Anna Lanoyse expliqua la situation et le plan à son équipage. William, quant à lui, était retourné chez lui pour prendre ses affaires. James, Marie Anna et trois de ses hommes s'étaient vêtu des uniformes des gardes qu'ils avaient tuer. Ils furent jeter à l'eau par la suite.
    - Bien, une dernière fois : Nous allons au fort qui donne sur le port. Nous devons saboter les caronades, prendre toute la poudre et boulet qu'il nous est possible de porter. Nous les jetterons depuis la tour principale où les autres membres d'équipage pourrons les récupérer rapidement et les  mettre à bord du sloop de William. Si on a le moindre problème, on agit vite et en force. Mais rester discret par dessous tout. Des remarques ? des questions ? Non ? Bien. Allons y !

     

     


    - Je ... Je ne sais pas James ! Si il t'arrivait malheur ?
    - Ne t'en fait pas pour moi, je ne peux plus rester ici. Cet ennui si profond. Je ne suis pas fait pour le travail dans cette plantation. Je veux devenir marin ! Un chasseur de pirate !
    Sans répondre, Eva baissa la tête. Une larme coulait le long de sa joue. Wariow repris :
    - Ne t'en fait pas ! Je reviendrai !
    - Mais dans combien de temps ?
    - Il me faut au moins deux ans pour prétendre à devenir capitaine d'un navire de traque. Vu que j'ai de l’expérience dans le domaine naval grâce aux nombreux petits voyages avec notre sloop, je vais pouvoir intégrer un équipage en tant que segond-maître. 
    - Mais pourquoi ne restes-tu pas ici en tant que pêcheur ? Tu ne gagnera pas plus ta vie dans la marine qu'ici !
    - Dans la marine Royale, je pourrai prouver que je mérite d'être nommé capitaine d'une classe de navire que j'admire tout particulièrement ! Réputés pour leurs parfaits équilibre entre vitesse, manœuvrabilité et puissance de feu, un brick ! Et c'est pas avec le salaire d'un misérable pêcheur que je vais y parvenir. Crois moi, la marine Royale, c'est ma meilleure chance !
    - Deux ... Deux ans tu dis ?
    - Disons trois. Il me faut du temps pour prouver ma valeur. 
    - D'accord. Pas plus de trois ans alors.
    - Merci mère ! Tu verra, tu me verra arriver à notre quai à bort d'un splendide brick de traque, en tant que chasseur et patrouilleur ! Et je gagnerai tellement d'argent que nous n'aurons plus besoin de rien ! Sans compter le prestige que j'aurai. Crois moi, à mon retour, nous vivrons comme des rois ! Je te le promet !
    Je te le promet
    Je te le promet
    Je te le promet

     

     


    - Plus vite ! Plus vite ! fît Marie-Anna à ses hommes en chuchotant.
    - Il en reste beaucoup ? demanda James
    - Non, c'était les derniers tonneaux de poudre. Nous y somme arriver à deux finalement. Et toi ? les boulets ?
    - Tes deux matelots et moi même avons pris toute les caisse qu'on à réussi à prendre. Il n'y en a pas pas des masses, mais c'est du costaud. Ont à même trouver des boulets chaînés. idéal pour brisé les mâts des navires qui n'aurons pas couler.
    - Parfait. L'autre partie de mon équipage à déjà tout mis à bort du sloop de William .On prépare tout et ont se casse avant qu'ils ne voient que les caronades ont étés sabotées.
    - Vous les avez sabotées comment ?
    - J'ai cassé les petites accroches des culasses. Il ne pourrons pas tirer sans.
    - Très bien. Le jour va se lever. Même pas eu le temps de dormir ! Enfin bon. Activons nous.
    Tout était paré. James monta à bort du sloop et parti devant. Le Cloopiat commandé par Marie-Anna suivait. William était également à bort. Ils approchèrent de l'objectif. Trois frégates. Il y avait tout juste assez de place pour y passer un navire de la taille d'une corvette entre chacune. Mais pas le temps d'être sûr de rien que l'une des frégate fît signe aux deux navires de ramener les voiles pour être contrôler. James ajusta sa vitesse, ne laissant que le foc au vent. Il jeta un dernier coup regard sur sa cargaison : Les caisses de boulets formaient un mur qui abritait les tonneaux de poudre au centre. Le tout bien fixé à l'aide de cordage et mis sous une voile afin de tout camoufler. Seul un tonneau muni d'une mèche était à découvert. Sans plus attendre, Il mis le feu à la mèche avec la lampe à huile du sloop et sauta à la mer du coté de la poupe pour ne pas être vu. Le soleil était à peine levé, ce qui rendait difficile pour les équipages des frégates de voir à qui ils pouvaient bien avoir à faire. Mais alors que James nagea vers le Cloppiat, Marie-Anna avait déjà demandé à son équipage de ralentir l'allure. Il ne fallait surtout pas être trop proche du sloop. Il était d’ailleurs à peine à une vingtaine de mètres des navires du blocus. James était arrivé à proximité du Cloopiat, et montait à bort, paniqué.
    - ça n'est pas normal ! S'exclama James en regardant le sloop avancer vers l'ennemi. Il aurai déjà dû explosé !
    - C'est pas vrais ! la mèche à dû s'éteindre ! On passe au plan B les gars ! Tous aux canons bâbord ! 
    Tout les hommes s'activèrent et gagna le poste de combat. Marie-Anna donna un coup de barre à tribord alors que l'équipage préparaient leurs tirs. Des cloches sonnaient chez les frégates du blocus. Les sabords s’ouvrirent uns à uns, laissant passer les bouches des canons alors prêt à tirer. Ils venaient de comprendre. Aucune chance pour le schonner face à ces adversaires. 
    - Nous avons cinq canons sur cette bordée les gars, Donc seulement cinq chances de toucher le tas de caisse du sloop ! Alors prenez bien le temps avant de tirer. Attendez qu'il se soit cogner contre une des frégate
    A peine dit que le sloop heurta la coque d'une des frégates. Ce qui l'arrêta net en plus de se cassé la proue. Marie-Anna hurla : Feu !
    Et aussitôt, deux premiers coups furent tirés. l'un toucha la poupe du sloop, l'autre la coque d'une des frégates. Qui n'hésitaient alors plus à riposter. Plusieurs tir vers le petit navire de Marie-Anna. Baissez vous ! repris t'elle. Deux nouveaux coups de feu furent tirer par l'équipage du Cloopiat. Sans plus de succès. James sauta sur le dernier canon. Le tir ultime. S'il ratait, ils étaient tout perdu. A l'aide de quatre hommes, il fît ajuster le canon vers les caisses et la poudre. Les frégates tiraient de nouveau. Le Cloopiat subissait des dégâts critiques. Mais plus rien ne pouvait le déconcentrer. Et après une inspiration, ordonna le coup de feu. Le boulet heurta alors le tonneau de poudre, ce qui produisit l'explosion voulu. Elle fût si forte que le Cloopiat lui même fût souffler en arrière. Les trois frégates étaient anéanties. 
    - Aye ! Larguez tout ! Cria Marie-Anna.
    Et alors que le Cloopiat reprenait de la vitesse, James regarda les gardes sur les fortifications, ils s'étonnaient de l'état des caronades. la voie était libre. Ils avaient le temps d'être loin avant que d'autre navire ne les prennent en chasse. L'équipage, alors plus apaisé, purent entreprendre les premières réparations de la coque alors que le navire avançait à mi-vitesse. James demanda alors.
    - Où on va maintenant ? Tu as un plan ? 
    - Ouais, on mets le cap vers la planque de mon frère. On sera tranquille là bas. On devrait arriver dans la l'après-midi.
    - Un repaire de pirate ?
    - Pas vraiment. Disons que se sont des corsaire et d'ancien gars de la marine Royale qui y crèche et vivent du pillage des navires de transport d'Arghoud. 
    - Attends, tu veux dire que ces gens attaquaient déjà les navires d'Arghoud ? ça explique pourquoi il voulait instaurer une loi Martiale sur Sathym.
    - Aye, je pense aussi, mais je ne savais pas qu'il avait pris le contrôle de l'île de Sathym. 
    Plusieurs heures de navigation ont suivie. James avait pris la barre le temps à Marie-Anna de vérifier l'état de la coque. C'est alors qu'une grande colline se fît voir au loin à l'horizon. Marie-Anna indiqua alors à James le cap à suivre pour tomber sur le repaire. 
     - Regarde droit devant, nous arrivons.
    Tout en regardant, James ne vit rien d'autre qu'une falaise sans port ni quai. 
    - Je ne vois rien, ou ma vision me fait défaut ?
    - Je vais reprendre la barre, l’endroit n'est pas évident quand on ne connait pas. 
    Et au fur et à mesure qu'ils s'approchaient de la parois rocheuse de ce bout de terre, une brèche dans la falaise se fît voir. Cachée entre une arche et une petite île juste devant l'entrée qui la camouflait parfaitement. L’endroit idéal. Marie-Anna ordonna de jeter l'ancre et de mettre la chaloupe à la mer pour le pied à terre. James, Williams, Marie-Anna et quatre matelots parmis l'équipage se dirigeaient alors vers l'entrée. Sombre sur le début, des lampe à huile éclairaient ensuite le couloir rocheux. Puis arriva le bout du tunnel. Une sorte de lagon dans la grotte. Avec un grand trou naturel dans la roche laissait passé la lumière du soleil. Des quais improvisés fait de planche, de poutre et de cordage, étaient installés là. Plus loin, dans une sorte de grande cabane dans le même style de construction, se trouvais plusieurs silhouettes. Que James semblait reconnaître. 
    - Mais ça alors ! Regardez ça les gars ! C'est le vieux lieutenant Wariow ! 
    - Ce bon James, Il a enfin compris que la marine royale était qu'une vaste blague ! Incroyable de te voir ici !
    James, heureux de revoir des visage amicaux, leur fît signe de la main. Marie-Anna demanda à James. Tu connais ces hommes ? Je ne les ai jamais vu ici. 
    - Ouais, des amis à moi. On a été corsaire ensemble jusqu’à ce que je soit attribuer à un autre navire. Je vais te les présenter. Amarrons nous. 
    Ils grimpèrent les escalier pour aller à la rencontre des hommes alors installer dans un pub improvisé.
    - Marie-Anna, William, je vous présente Benjamin Burgess. Tout en serrant chaleureusement la main de ce dernier. Mais, tu peux l'appeler Ben.
    - Les deux hommes au bar ne sont nul autre que Robert Corkman et Henry Bartholomew. Fît t'il en leur serrant également la pince. 
    - Et voici Felicity Tatiana. Également une des rares femmes à avoir sû devenir capitaine de navire. Repris James en montrant de la main la jeune femme assie à table.
    Ben demanda alors.
    - Tu as quitté la marine finalement. C'est pas trop tôt.
    - C'est pas vraiment ça. Le navire au quel j'étais rattaché été attaqué avant hier soir par des pirates. Nous avons pu couler leur navire mais le notre à exploser juste après. Personne n'a survécu.
    - Des pirates ? ahah ! Fît alors un homme vêtu d'un grand manteau noir, sur le quel était accrocher grenade et pistolet à silex. Il repris.
    - Sûrement la troupes qui s'en prends aux plantation pas loin de Sathym. Et maintenant, ils voulaient s'en prendre à un navire militaire. Quel bande d'amateur !
    - Toujours aussi moqueur Billy. Fît Marie Anna. James, William, voici le maître des lieux et mon frère Billy.
    - Tout les plaisir est pour moi repris Billy s'emparant d'une bouteille de rhum sur le bar. 
    Tout le petit monde se vit servir de quoi manger et boire alors que tous s’échangeaient leurs nouvelles. Au soir, alors que les marins chantaient et chahutaient autour du grand feu de joie sur la petite plage éclairé par la lune sous le cercles de pierre qui constituais un solide toit contre tout les intempéries, James, William, Marie-Anna , Billy, Ben, Robert, Henry et Felicity discutèrent au bar.
    - Super les gars. Bon, et maintenant, on fait quoi ? demanda alors James
    - Je ne sais pas. Tu as une idée ? Répondis William
    - Je suis troublé par ce qui se passe sur Sathym. Quelque chose me dit qu'Arghoud à des affaires pas claire a dissimuler. Pourquoi boucler là ville sinon ? ça n'est pas ça qui emperchera les attaques de pirate sur ses plantation et ses navires. Non, je pense que c'est plus profond que ça. Je vais essayer de retourner sur Terral, annoncer à la marine que je ne suis pas mort. Car ils doivent s'être déjà inquiété de la disparition du Prime aux côtes de Sathym. 
    - Nous irons dès demain alors. Lui répondis Marie-Anna. Je vais retourner voir là bas si je peux pas m'y trouver un nouveau contrat de transport. Williams, tu restera ici le temps que tu voudra. 
    - Merci ! répondis t'il.
    Après une nuit passée sur place, dans un hamac fait d'une vielle voile, James pu contempler le lever magnifique du soleil sur l'horizon lointain. La mer était calme et dégagée. A bort du Cloopiat avec Marie-Anna accompagnée de son équipage, ils se mirent en route vers Terral. Et c'est en milieu d'après-midi qu'ils s’amarrèrent sur le quai de la capitale. 
    - Du coup, tu compte faire quoi ? Tu retourne dans la marine ?
    - Je pense avoir fait mon chemin avec la marine. Nous étions loger, nourris. Et payer. J'ai demander à ce que tout me sois mis de coté et remis le jour où je les quitterai. Je n'ai certainement pas assez pour me payer un brick. Mais je dois pouvoir m’offrir un petit schooner pour pourquoi pas me lancer dans le transport. Mais je dois encore y réfléchir. Quoi qu'il en soit, retrouvons nous ici même en début de soirée. 
    - Entendu, à tout à l'heure. Et Marie-Anna remonta à bort de son navire pour donner l'ordre à ses hommes de profité du pieds à terre en ville pour aller s'amuser et dépenser leur salaire au marché. James, quant à lui, pris la route vers le fort Kyle. 
    Arriver sur place, il se présenta et demanda à voir un officier de sa section. Après une petite attente aux porte du fort, un groupe de six soldats l'appela et l'accompagna vers le bureau de l'officier en question. En entrant dans la grande pièce, James vis un nouveau visage assis derrière un imposant bureau.
    - Lieutenant James Wariow. Je me présente : Commandant Alvarrez. Antony Alvarrez.
    Il s’agissait d'un homme assez grand, d'allure robuste, avec une imposante barbe. Il se leva.
    - Je crois savoir que vous étiez à bort du Prime, et que vous avez sombré suite à une attaque ?
    - C'est cela même, oui. Je crain n'être le seul survivant.
    - C'est bien dommage, je pense que vous auriez préférer être mort. ça vous aurait éviter de causer tout ces tords sur Sathym.
    - Que !?... 
    James n'avais pas compris ce qui venait d'être dis, et reçu immédiatement un coup de cross de mousquet à l'arrière du crâne. Il s’effondra au sol, assommé.
    Quand il revint à lui, il était enfermer dans une cellule, il se leva immédiatement tout en se frottant l'arrière de la tête. Et hurla à la porte de métal à ce qu'on le sorte d'ici. Un garde, non loin, cria à son tour
    Commandant ! Il s'est réveillé !
    Le commandant Alvarrez en personne arriva accompagner d'un autre homme, bien vêtu.
    - C'est donc lui ? Le lieutenant Wariow James ?
    - C'est bien lui. Monsieur le gouverneur. ça été une agréable surprise de le voir débarqué sur Terral. Et à la seconde où l'on m'a annoncer son nom, je l'ai fait entrer et neutralisé.
    - Votre plaisanterie à assez durée commandant ! Fît James.
    - Il ne s'agit pas d'une plaisanterie, mon cher. Fît alors cet homme. Permettez moi de me présenter : Je suis le gouverneur Phillipe Arghoud. Et je n’apprécie pas que l'on se dresse à mon autorité.
    - Me dresser à votre autorité ?
    - Ne faites pas l'idiot. Vous avez saboter l'armement de la ville pour prendre la fuite à bort d'un schoonner et détruit trois de mes frégates. Les hommes à bort, d'ancien soldats de la marine que j'ai enrôler à mon service vous on clairement reconnu. Vous, et l'équipage du navire fugitif êtes tous sous le coup d'un mandat d'arrêt. Vous pourriez sans doute nous aider à les débusquer ?
    James n'eu pas le temps de répondre qu'un garde courrait vars eux pour annoncer une nouvelle.
    - Commandant Alvarrez ! Commandant Alvarrez ! Je.... Oh, pardon monsieur le gouverneur ! Je ne vous avais pas vu. Toutes mes excuses.
    - Que se passe t'il, Soldat ? demanda le commandant Alvarrez.
    - Nous avons trouvé la femme que vous cherchiez, celle qui était avec l'ancien lieutenant de la marine royale à bord du navire qui avait pris la fuite sur Sathym. Une sacrée aiguille. Elle ne s'est pas laisser faire. Nous avons dû la ligoter avant de l'enfermer. Elle à été vue et reconnu par un major d'une des frégate coulée sur Sathym
    - Ah ! C'est une belle journée décidément ! Et même pas besoin de torturer qui que se soit. Et l'équipage du navire en question ?
    - On cherche encore, mais on va trouver, nulles inquiétudes.
    - Très bien. Demain, j'ai une petite flotte qui va apporter sur une de mes plantations du matériel pour faire pousser du sucre, ainsi qu'une bonne cinquantaine esclaves supplémentaire.
    Il se tourna vers James.
    Quant à vous, monsieur Wariow, vous vous joindrez à mes esclaves ! Vous, l'autre immonde garçon manqué qui vous sert de compagnon, et l'équipage de votre misérable barque.
    James ne répondis pas. l'expression de son visage laissait clairement penser à une haine profonde. Il passa la nuit dans cette cellule, et au premières lueurs du soleil, on lui mit les fers et l'accompagna au port où il avait autrefois rejoint un équipage de la marine royale. Cinq navires se trouvaient là. Quatre frégates et un brick. Trois des frégates étaient charger avec de la cargaison. Alors que la dernière était chargée avec les esclaves d'Arghoud. Ont y fit monter James. Une fois à bort, On leur mis des fers aux pieds, accrochés à même les couples du navire. Peu après, Un autre groupe arrivait. Marie-Anna en fessait partie, mais fit mine, sur le coup, de ne pas le reconnaître. Mis cote à cote, ils se firent un regard mutuelle laissant dire qu'il ne fallait mieux garder le silence pour le moment. La mer était forte. La pluie était en train de tomber. Et le groupe de navire prirent néanmoins la mer. Mais vers midi, les navires s’arrêtèrent. La mer était trop agitée et les premiers coups de tonnerres se fient entendre. Certain des esclaves ne tardèrent pas à manifester leur inquiétudes. Mais les gardes appelaient au calme tout en secouant le fouet. Ils furent ensuite appeler au pont supérieur pour diverses manœuvres. Ne restait alors que que quelques soldat. Marie-Anna retira alors de ses cheveux une petit barrette tenta de crocheté la serrure du cadenas et réussi finalement à le retirer. Elle libéra alors ses jambes et celle de James. Immédiatement, James s'occupa du garde assis sur un canon. Le pris au cou pour lui briser la nuque. Marie-Anna fît de même avec un autre plus loin. Le bruit de la pluie était si fort qu'il ne leur à pas été difficile de neutraliser la dizaine de garde présent sur le pont-batterie. Marie-Anna récupera les clés sur l'un des gardes pour libérer tout les esclave à bort. Il se réunissaient tous. 
    - Parfait, fit James. Nous allons sortir par les sabords et nager vers le brick en tête de la flotte. La pluie devrait masquer les bruit qu'on va faire durant notre nage. Mais tâcher de faire vite. Une fois sur place, On monte tout en même temps et on neutralise tout le monde. Il ne devrais pas y avoir beaucoup de monde. L'équipage du brick à dû prêter main forte aux frégates. certains d'entre vous savent t'il navigué ?
    La plupart répondis que oui.
    - Parfait, prenez les armes des gardes au sol, si vous en trouvez d'autre, prenez les aussi. Et allons y !
    Conformément au plans, tout sorties rapidement par les sabords. Et nagea vers le brick. James et Marie-Anna montèrent les premier pour commencer à y faire le ménage en essayant de ne pas tous les alerter. La chance était avec eux, car seulement six gardes se trouvaient à bort. Puis James appela le reste des hommes restés à l'eau. Tous grimpèrent sur le pont et commencèrent à s'approprier les mâts. Et unes à unes, les voiles flottait au vent. Les cloches des frégates sonnaient, comprenant alors que les esclaves s'étaient échapper. 
    -Vite ! Il faut se mettre hors de porter des tirs ! Fît Marie-Anna.
    James qui avait pris la barre, tenta de passer entre les vagues. Alors que l'une des frégates tenta de les prendre en chasse, un éclair frappa son mâts de misaine, ce qui le fît tomber sur les gréements d'une autre frégate sur son bâbord. Mais l'une d'entre elles eu le temps de se mettre sur tribord pour commencer à tirer. Les premiers boulets toucha la poupe du brick. Brisant ainsi les vitres de la cabine du capitaine. Plusieurs coups de canon furent tirés après ça, visant alors les mâts avec des boulet chaînée. Les voiles du brick se retrouvaient alors par endroit percée. 
    L'un des hommes à bort s'écria :
    -Vague Scélérate sur Bâbord !   
    James regarda alors dans cette direction, pour y voir "trois sœurs". Trois vagues d'une dizaine de mettre de haut se suivant.
    - Accrochez vous, on va les passer ! Hurla James, pointant la proue du navire droit sur les redoutables vagues. Toujours sous le feu ennemie, il passa la première sans difficulté. Arriva la deuxième, qui secoua l'équipage sans plus de mal. La dernière, plus vorace, s'écrasa avec tellement de violence à l'avant du navire qu'elle détruisit la figure de proue, la poulaine ainsi que le mât de beaupré. Les focs n'étaient alors plus maintenu que par les morceaux de bout-dehors, se baladant au gré des vents. 
    - Tout le monde va bien ? Demanda James.
    - Je crois oui, regarde derrière ! Fît Marie-Anna.
    James pouvait alors contempler les quatre frégates, qui s'étaient fait anéantir les puissantes vagues. Le brick avançait malgré les dégâts subies. La tempête s'était alors calmée.
    - Vite, cap au repaire, il faut que je retrouve mon équipage et mon navire. Mais on va devoir chercher de l'aide auprès de mon frère. fît alors Marie-Anna
    - ça n'est pas un peu risqué d'y emmener ces hommes ? Il pourraient se faire reprendre et dévoiler la position du repaire. Répondis James.
    - Je vais être franc, je pense qu'on ne va pas y rester. Arghoud ne va pas en rester là et va faire tourner nos tête dans toute la région. De plus, ça fait déjà quelques temps que Billy parle de se tirer plus à L'Ouest. Non, Allons vers vers le repaire. 
    Après quelques heures de voyage, ils arrivèrent au repaire, deux navires y étaient accostés.
    - Mon Cloopiat ! C'est mon Cloopiat là bas !
    En effet, la goélette de Marie-Anna était bien là, à coté d'une grande frégate sur la quelle se trouvait Billy. Il salua d’ailleurs les occupant du brick. Ben et Henri étaient également là. 
    Marie-Anna sauta à bort de son navire.
    - Les gars ! Mais, comment vous avez fait pour vous sauver aussi vite ?
    - Ahah c'est simple, après que tu ne te soit fait capturé, le capitaine de port qui t'avais reconnu à ensuite envoyer son fils nous prévenir, on a alors mis tout voiles vers ici même pour dire à tout le monde ce qu'il s'était passer. Et on était en train, à l'instant, de se préparer à aller sur Terral pour vous sortir de là. Mais c'est plus la peine du coup ! Expliqua alors l'un des matelot.
    - Trêve de bavardage ! Fît Billy. On dois partir. ça chauffe trop par ici. On part vers Stendel.
    - Stendel ? demanda James
    - La capitale de Minefield. J'ai fait quelques transport là bas. Surtout pour un marchant du nom de Jaquot Merssan. Tiens, d’ailleurs. Tu vas pouvoir te lancer dans le transport avec ton propre navire. On viens justement d'en piqué un vachement sympa. Fît alors Marie-Anna tout en caressant le la main le bastingage du brick.
    C'est vrais qu'il n'est pas mal du tout ce deux-mâts, vous l'avez volé à Arghoud ? faudra que tu me dise comment vous avez fait ! repris alors Benjamin. 
    Robert et Henry venaient de monter sur le pont de la frégate de Billy pour saluer James et Marie-Anna.
    William et Felicity arrivère à bord du brick. 
    James contempla alors le pont ce que qui pourrai bien devenir son navire. Un brick, comme il en avait toujours rêvé. Il repris la barre.
    - équipage ! On repart, On va trouver refuge vers Stendel et chacun de vous sera libre !  Mais avant, nous devons faire une escale. ça vous va ?
    - Ouais ! s'écriaient alors les hommes, heureux de pouvoir enfin quitté la région.
    - Une escale ? demanda alors Marie-Anna.
    - Oui, je dois aller rendre visite à mes parents sur leur plantation. Leur donner de mes nouvelles.
    - La mâture de ton brick va avoir besoin de réparation avant de partir vers Stendel de toutes façons. Et on a rien ici pour te rafistoler ça. Alors en route vers ta plantation, on te suit ! S'écria alors Billy.
    Le voyage vers la plantation de la famille Wariow dura un long mois. Durant la quelle les provisions étaient fournis par Billy ayant pris tout ce qui était transportable de son repaire. L'état des mâts du brick les empêchant de déployer toutes les voiles. Mais c'est sans encombres que les trois navires arrivèrent au petit matin sur le large de la plantation. Après avoir mis la chaloupe du brick à l'eau, James, Marie -Anna qui venait de le rejoindre et quartes des esclaves affranchis du brick, se dirigeaient vers la plage, où certain des travailleurs attendaient là leur arrivé. Après avoir vu les navires jeter l'ancre non loin. L'un d'eux reconnus James, qui lui même reconnus comme étant Edward, le Major de la petite plantation. Il s'approcha alors du petit groupe.
    - Monsieur James ! Je... Les mots me manques. Je ne sais que dire...
    - Bonjour Edward, ça fait longtemps. Je suis également très heureux de te revoir !
    - Oui oui Monsieur, mais, c'est que... ça n'est pas votre retour qui me retire les mots, c'est que... comment vous dire... C'est très fâcheux... Je ...
    - Et bien ? que se passe t'il ? Et où sont mes parents ? Ils sont toujours là pour voir qui viens à la plantation.
    - Heu... Vos parents, Monsieur, Vos parents sont ... Mort, Monsieur, ils sont mort...
    Le visage de James se décomposât aussitôt. Les quartes marins accompagnants se contentèrent de baisser la tête sans un mot. Marie-Anna, elle, se contentas de détourner le regards. 
    - C'est arrivé comment ? demanda James.
    - Votre mère attendait un enfant, un nouveau venu qui vous aurait retirer votre titre de fils unique. Mais il à voulut arriver bien trop vite. C'est seulement après six mois qu'il demandait à être mis au monde. Il est mort aussitôt. Votre mère est morte juste après d'une hémorragie. Votre père, quant à lui, s'est donné la mort le jour même. C'était il y a quelques semaines à peine. Une journée horrible, Monsieur.
    Marie-Anna s'approcha de James :
    - James, si tu veut, on peut rester quelques...
    James lui coupa la parole pour demander à Edward.
    - Il faut réparer le brick sur le quel je suis arriver. Les hommes à bort vont l'approcher. On ne restera pas plus longtemps que nécessaire, plus rien ne me retiens ici. Juste, Edward, qu'avez vous fait de leur corps ?
    - Ils sont enterrer dans le cimetière de la plantation, naturellement. Quant à votre navire, je vais faire le nécessaire et tout les ouvriers de la plantation vont s'y mettre
    - Je vais me rendre auprès de mes parents une dernière fois. J'ai besoin d'être seul.
    - Bien-sur Monsieur.
    James resta assis près des deux tombe jusqu'au soir. Billy s’approcha. deux bouteilles à la main.
    - Marie-Anna m'a tout dit. Lui fît t'il lui tendant l'une des bouteilles de rhum. Que James attrapa.
    - Mes deux parents sont mort aussi quand j'était plus jeune. Ma mère est morte dans un incendie. Quant à mon père, lui... Je m'en souviens. Il passait son temps à divaguer.  "Tu verra Billy, Ton vieux papa deviendra un grand capitaine !"... Mais il s'est noyé dans le whisky sans jamais avoir quitté le quai. 
    - Je préfère ne même pas parler des miens. Je me rends compte après coup, que je les ai toujours mis de coté. Je ne pensais qu'a une chose depuis que je tiens debout : Partir en mer. 
    James se leva.
    - Inutile de s'attarder ici. Dès que le Runaway est réparé, son mets le cap sur Stendel. 
    - Le Runaway ? C'est le nom que tu veux donner à ton brick ?
    - Oui. Il s'représentera mon nouveau départ.  
    - Je crois que les ouvriers ont dit qu'il n'en auraient plus pour longtemps. Avec un peu de chance, on pourra partir demain matin.
    - Dès ce soir si c'est possible. 
    James se dirigeât vers la maison principale.
    - Edward ! 
    - Monsieur ?
    - Le navire est t'il prêt ?
    - Je crois savoir qu'il ne reste qu'un foc à installer, Monsieur.
    - Bien, nous partons dès ce soir vers Stendel.
    - Stendel Monsieur ? C'est à plus d'un mois d'ici. Il vous faut certainement des vivres pour un aller-retour.
    - C'est un aller simple, Edward, je ne reviendrai pas.
    - Vous ne ... Mais Monsieur, cette plantation vous reviens de droit ! Qui va s'en occuper si ce n'est vous ?
    - Si c'est plantation m'appartiens, alors je te la lègue. Fait en se que bon te semblera. Je ne veux pas la garder. 
    - Je... C'est trop Monsieur, je ne peux accepter !
    - Je ne peux la donner à nul autre qu'a toi. Tu es de loin le plus fidèle de la plantation. Prends là.
    - Monsieur, Je ne sais que dire. Ah si, prenez au moins la recette de notre dernière vente de sucre, vous aurez de quoi faire avec cette petite fortune !
    - Charges tout ça à bort du Runaway, mon brick. Et à l'instant ou j'aurai quitter le quai, tu sera le maître des lieux.
    - Monsieur, je ne sais comment vous remercier ! Je vous fait ça tout de suite ! 
    Un des travailleurs de la plantation s'approcha.
    - C'est tout bon pour le brick, il est prêt pour prendre la mer.
    - Parfait, Chargez autant de vivre que possible à bord des trois navires. On part dès que tout est prêt. Répondis James.
    A l’aube, les trois navires partirent vers l'Ouest. Stendel était à plus de cinq semaines de voyage. James fît son deuil tant bien que de mal. La traversée était calme. Malgré le fait que ces eaux étaient réputées pour ne pas être bien sûre. Puis, dans une fin de mâtiné, au milieu d'un épais brouillard, Billy ordonna de ramener tout, sauf les grands voiles. 
    - Tu es sûr qu'on y est, je ne vois rien ! Fît James.
    - Grimpe à ton mât de misaine, le port de Stendel est juste là.
    James escalada les haubans pour monter sur le nid de pie, par dessus la brume, Stendel était là. Un vend frais soufflais depuis la ville, comme un sentiment de sang neuf pour James. Il ne pu s’empêcher de fixer les bâtiments au loin pendant quelques secondes avant redescendre. Le phare à l'entrée de port guidait les trois embarcations vers un quai vide de tout navire de plaisance. Ils s’amarrèrent cote à cote et Marie-Anna rejoint James qui descendait tout juste. 
    - Viens, suis moi. On va aller voir le capitaine du port pour payer nos frais de mouillage, et je vais te présenter quelqu'un.
    - Qui ça ?
    - Un type avec qui je bossais, pendant un temps, En tant que fournisseur et livreur par ici. Puis je suis revenue vers Terral après même pas huit mois de taff car je voulais pas être pas trop loin de mon frère, pour l'aider en cas d'embrouille. Et j'avais pas vraiment envie de faire des aller-retour vers Sathym juste pour ça. Enfin bref, sur Terral, tu m'as dit que tu voulais peut être te lancer dans le transport. Et je t'ai alors parlé d'un certain Merrsan. Jaquot Merssan. On va aller te négocier un contrat pour lui.
    - Un contrat ? Et le taff c'est juste de transporter du cargo d'un point à un autre ?
    - Non, Il de donne une commande pour Jaquot, Tu lui trouve les fourniture qu'il demande. Et tu les livre. C'est un boulot de fournisseur-livreur quoi. Mais t'inquiète, il t'expliquera ça lui même.
    Après avoir vu le capitaine du port, Marie-Anna et James se rendirent alors vers un entrepôts pas loin des quais. Pendant que William, Ben, Henri, Felicity et l'équipage de Billy s'occupèrent des navires. Tout juste rentré, un homme s'approcha
    - Marie Anna ! ça fait longtemps !
    - Bonjour Hugues ! Tu vas bien ?
    - La journée s'annonçait pas terrible, mais te savoir ici de rend le sourir ! Tu as un compagnons à ce que je vois !
    - Oui, je te présente James, on lui cherche du taff par ici. Aymard et là ?
    - Par ici, Marie-Anna ! Répondis un homme arrivant de l'arrière-stock. Il reprit.
    - Tu tombe bien, j'ai beaucoup de commande pour monsieur Merssan et personne pour livrer tout ça.
    Parfait alors. James peut s'occuper de tout ça pour toi et les tes collègues sur Stendel. Il est de confiance. Je prends quelques vacances moi.
    - Vous ? Vous êtes nouveau, je me trompe ? Je ne crois pas avoir déjà fait affaire avec vous.
    - En effet, je viens du pays dans l'Est. répondit James.
    - Vous avez un navire ?
    - Un brick. Mais mon équipage va prendre congés. C'était juste des gens que nous avons ... heu... Juste des gens qui profitaient de mon voyage pour s’installer dans le coin ! 
    - Ah ! Pour votre brick, une quarantaine de personne doit suffire... Je crois qu'il y a une équipe qui revient justement d'une expédition. Faut voir ça avec eux. Ils doivent être dans la taverne à quelques pas d'ici. Si vous arrivez à vous trouver un équipage, alors on va pouvoir commencer à ce mettre au travail. Allez y, je vais envoyer un assistant chercher les commandes de mes collègue sur Stendel. Mais il faudra les prendre vous même, pour les prochaines fois.
    James se rendit à la taverne en question, où Billy avait déjà pris place sur les lieux avec Ben, Henry, Félicity, Robert et William. Marie-Anna, elle avait rejoin son navire.
    - Tiens, James, tu tombes bien ! Vu que tu n'as plus d'équipage pour ton brick et que t'as un peu d'argent de coté, on va pouvoir mettre ta nouvelle petite affaire sur pied avec cette nouvelle équipe qu'on viens de te trouvé ! S'écria alors Robert.
    La troupe d'homme s’approcha alors de James. L'un d'eux pris la parole.
    - Bonjour à vous, Capitaine ! Enfin, si je peux déjà vous appelez ainsi. Nous sommes tous ici des marins chevronnés et on se connais tous. Nous sommes l'équipage qu'il vous faut pour tout type de travail en mer !
    - Bonjour à vous tous. Et bien, allons discuter de tout ça à table. fît alors James prenant place sur une chaise. Après quelques minutes de discutions. Ils trouvèrent un accord équitable et James présenta alors son navire à son nouvel équipage. Avant de retourner voir Aymard pour son nouveau travail.
    - Te revoilà. Lui fît alors Aymard. Tu as pu enrôler du monde ?
    - Juste assez pour navigué. ça va aller.
    - Parfait ! Tiens, prends ce carnet. Tu pourra y noté toutes nos commandes à venir. J'y ai déjà noté les commandes pour aujourd'hui. Mais tu devras revenir tout les matins de bonne heure pour reprendre les nouvelles commandes de monsieur Merssan. Quoi d'autre ? Ah oui ! J'y ai noté les coordonnées des villes et villages où ils demande le plus souvent à être livré, et aussi quelques coin sympa pour y faire de bonnes affaires. Pour ce qui est des fournitures. Peu importe d'où ça viens. Vous pouvez acheter ça en ville ou tout produire vous même pour être plus rentable. A vous de voir !
    - Bien, merci. Au fait. Est t'il possible de revendre des biens en trop ici si je viens à en produire plus que nécessaire ?
    - Ah ! méfies toi ! Le commerce ici est très encadré. Je vous conseille de prendre connaissance rapidement des lois de l'Empire à ce sujet. Par ailleurs, si vous n'avez jamais mis les pied ici auparavant, il vous faut vous présentez dans une ambassade. Histoire que l'on ne vous prenne pas pour un vagabond.
    - J'y vais de ce pas, et également acheter les premières marchandises pour vos commandes. Je me mets en route aussitôt prêt.
    Sans perdre plus d'instant, James se rendit dans dans une de ces ambassade pour s'y présenter. On lui fournissa alors gratuitement un texte qui résumait les lois de pays. Le Codex. Après cela, il se rendit dans différentes boutiques et autres lieux de production sur Stendel pour y acheter, en plus des fournitures, un peu de matériel pour équipé son brick. Une petite charrette qui puisse être embarqué dans la chaloupe du navire, et être tractée par un homme. Un carte de la région, des instruments de navigation neuf et du mobilier pour sa cabine. En revenant au port avec les quelques hommes qui étaient venu l'aider à porter toutes ses nouvelles trouvailles, Marie-Anna et William l'attendaient à coté du Runaway. 
    - James, tiens, c'est pour toi ! Lui fît alors Marie-Anna lui tendant un rouleau de tissu noir et violet.
    - Ah ? merci, c'est quoi ?
    - Ton nouveau pavillon ! Si les navires des autorités te vois sans ça, tu risque d'être pris pour un pirate. Normalement, chaque terre revendiquée du pays ont leurs propres couleurs. Mais à défaut de être affiler  à l'un d'entre eux, un drapeau Stendelien ferra l'affaire. Et au fait, Tu vas avoir besoin d'un second-maître à ton bort, William peut prendre cette place. Les autres vont rejoindre la frégate de Billy. Quant à moi, rejoindre mon navire. 
    - Où sont t'il d'allieurs ? demanda James.
    - En ville. Il vont sans doute se chercher un nouvel endroit où se retrouver. En attendant, on va laisser nos navire à quai. 
    - Très bien, je vais faire mes livraisons, et on se retrouve par ici. Prévenez moi si vous devez bouger vos embarcations. 
    - Ont ne bougera pas, je pense. Bonne journée !
    James et William prise place à bort. James ordonna à son équipage de mettre les voiles vers les première coordonnés. Et enchaînait ainsi les livraisons. Il pu rencontré ce fameux Jaquot Marssan sur un village nommé Rainnon. Lieu où de grands oiseaux étaient dresser pour servir de moyen de transport sur courte distance. James repris ensuite la mer vers Stendel, où il retrouva tout ses compagnon.
    Dix mois, Dix mois passèrent ainsi bien calmement sur Stendel. James s'était alors habituer à son nouveau travail, Billy était toujours à la recherche d'un endroit où élire domicile. Laissant Ben, Henry, Robert et Felicity à bort du Runaway de James, en tant que quartier maître. Le travail étant assez ennuyeux, les équipages que James enrôlait tournait de temps en temps avec d'autres. Ce qui lui permis de se faire connaitre dans la région. A tel point que beaucoup de commerçant ne juraient que par lui pour le transport de leurs marchandise. James et ses amis arrivèrent à la taverne du port après une bonne journée de travail. Ils y retrouvèrent Marie-Anna et Billy.
    - Salut les gars ! Fît alors James.
    - Bonjour James, Viens voir ça, j'ai trouver un truc intéressant. Lui répondis Marie-Anna tout en sortant une carte.
    - Ah ?
    - Regarde, Stendel, c'est ici. Plus vers le Sud-Est, c'est la foret de Bal'Haiz. et encore plus dans cette direction, à la frontière, se trouve Middenheim. Une citée en ruine délaissée depuis des années. 
    - Des décennies je dirais même. fît Billy. 
    - La zone est recouverte d'une épaisse foret. Mis à par les anciennes remparts et quelques bout de bâtiments encore debout, c'est un endroit parfait. Repris Marie-Anna.
    - Parfait pour quoi ? où voulez vous en venir ?
    - T'as une excellente réputation par ici. Et il est sans doute temps de voir plus grand. C'est pourquoi, j'ai commencé à chercher un endroit calme, avec une forêt, avec la possibilité de creuser le sol pour y trouver du fer et du charbon. Le tout collé à l'océan et à la frontière pour les exportations. C'est un endroit parfait pour y construire un chantier naval grâce aux ressources déjà sur place. C'est un endroit parfait où se loger, et un endroit parfait pour nous tous !
    - C'est une excellente idée ça ! fît alors Robert. Félicity, Ben, Henry et William étaient du même avis.
    - C'est un projet ambitieux. Un peu trop non ? Demanda alors James.
    - Mais bien sûr que non ! Tu passe ton temps dans ta cabine à confectionné des maquettes de navire, pourquoi ne pas te faire toute une flotte ? Ton brick ne peut tout faire. Et puis, tu as déjà nous comme capitaine tout désigner. On va pouvoir répondre à une demande de plus en plus forte !
    - C'est un bon plan, oui. Mais cette citée là.. Middenheim, ont va faire comment pour la revendiqué ? Elle l'est déjà sûrement. Fît James
    - C'est pas un soucis ça. L'endroit est désert et le maître des lieux n'a plus été vu depuis bien longtemps. On va faire une demande aux gouverneur en charge des projets et y'aura plus qu'a s'instaler ! Répondis Marie-Anna.
    - Je vais m'occuper de ça ce soir même alors. J'irai voir la zone dès demain. Repis James.
    Tôt le lendemain, avant même de prendre les commandes du jour, James pris la mer vers les coordonnée de Marie-Anna pour y voir le terrain de leur futur projet. De grande colline où tombèrent des cascade d'eau. L'endroit était juste magnifique. Et parfaitement adaptée à leur besoin. Nul besoin de rester plus longtemps pour James qui repris la route vers Stendel pour s'attitrer à son travail avec un peu de retard. Après ses livraison, il regagna le port de Stendel ou il invita Marie-Anna et Billy à son bort.
    - J'ai lancé la procédure et soumis notre demande de projet. Il n'y a plus qu'a attendre. Fît alors Marie-Anna.
    - Parfait, buvons un coup, pour fêter ça !
    C'est après un mois d'attente que leur demande fût validée. Et les premier travaux purent commencer. James injecta tout l'argent de son ancienne plantation à l'oeuvre et pu completer avec l'argent qu'il gagnait chaque jour afin de payer des ouvriers et travailleur de tout l'Empire. En quelques semaines seulement, les premières cales sèches furent achever. Des docks de fortune fait de bois fessaient office de quai en attendant que les pierre soient posés pour les remplacer. Et des premiers navires vurent le jour. Des goélettes et des corvettes pour le transport commercial. Après seulement un an, James s'était retrouver avec une petite flotte de navire de commerce et un chantier naval en plein progrès. 

    "Ce message est HRP. Et oui, contrôle surprise mon petit. Je vais voir qui parmi ceux qui vont venir me plussain/moinsain et ceux qui traiterons ma candidature vont vraiment lire mon pavé. Si tel est le cas, incluez dans votre message à la suite un "mdr g pa lu". Fin du message HRP."
    James, depuis peu, confiait grand nombre de ses transport à des amis devenu chacun capitaine d'un des navires de sa flotte. William était toujours aux coté de James à bort du Runaway. Marie-Anna gardait la barre de son navire et repris son activité habituelle et devenue commune à la jeune flotte de James. Ben et Robert avaient pris le commandement de deux corvettes. Felicity et Henry eurent le commandement de deux goélettes. Billy, quant à lui, passait son temps à s'amuser dans différente contré de la région, s'occupant occasionnellement des transports nécessitant beaucoup de cagro à l'aide de sa frégate. 
    Un soir, suite à une journée particulièrement chargée, Sept de ces capitaine de navire partageaient une pinte bien méritée, seul Benjamin manquait à l'appel. Billy, lui, était venu ce soir là.
    - Il fait quoi là Ben ? Il devrait être rentrer ! Fît alors Billy
    - Il va arriver. Il lui restait un transport vers Bou'Dumonde. C'est pas vraiment la porte à coté. répondis James
    - Le voilà qui arrive ! Je vois les mâts de sa corvette !
    En effet, au loin, se trouvait deux mâts portant le pavillon Stendellien en plus du pavillon jaune et gris. Qui représentait alors la flotte, et le chantier naval de Middenheim. Après s'être amarré à quai, Ben descendit de son navire. Apportant avec lui ce qui semblait alors être une lettre.
    - James ! J'ai ça pour toi. Dit-il en arrivant.
    - Une lettre ? qui t'as donné ça ?
    - Aymard. Elle lui a été transmit ce matin même pour qu'il nous la donne. Je ne l'ai pas ouverte. Vu qu'il y a ton nom dessus, je te laisse cet honneur.
    Sur bout de papier plié, l'on pouvait y lire "À Monsieur James Wariow, Stendel." James l'ouvra à l'aide de son couteau et après avoir lu les première lignes sans mot, repris du début à haute voix.

     


    Bonjour.
    Je vous envoie aujourd'hui cette missive, Monsieur Wariow, afin de vous demander audience dans les modalités qui vont conviendront et à la date de votre choix; afin de discuter avec vous de l'acquisition de navires de guerre. Je ne détaille pas outre mesure ma demande dans un souci de discrétion. Vous m'avez été chaudement recommandé par un riche commerçant de Stendel, et on m'a dit grand bien de votre chantier naval. En espérant, monsieur, que l'on ne s'est pas trompé et que nous pourrons collaborer prochainement.
    Vous me trouverez, au besoin, à la caserne du Fort Herobrine; ou j'officie. Au coordonnées suivantes : Latidute -978 Longitude 3574, Stendel.
    Merci d'ailleurs d'y adresser votre réponse, si mon offre vous intéresse.

    Bien à vous, respectueusement.
    Commandant Bonadventure Pencroff; Garde Volontaire

     


    - Sérieusement ? Une demande pour acquérir des navires de guerre ? Fît Marie-Anna.
    - Je connais l'endroit, c'est au Sud de Arcande. Repris Felicity. 
    - Passe cette lettre James, que je lise ça moi même ! demanda Benjamin.
    Donnant la lettre, James reprit.
    - Faut qu'on rencontre cet homme. C'est une superbe opportunité ça. En plus de nos services de transport déjà très rentable, nous pourrions fabriquer et vendre des navires.
    - ça risque pas de ruiner notre affaire justement ? Si on vends des navires aux commerçants et autres, ne vont t'il pas chercher à pilier notre marché ? Fît Billy. 
    - Les navire, ça s'entretien. On peut très bien s'occuper de la maintenance de nos navires, et pourquoi pas proposer plusieurs gamme. Et puis, si des gens veulent se procurer une embarcation, si ça n'est pas nous qui leur fournis, il trouverons bien quelques d'autre pour arriver à leur fins. Alors, autant faire ça nous même. Répondis alors Robert.
    - Garde Volontaire... Oui, j'ai entendu parlé de ça l'autre jour. C'est un régiment qui veulent assurer la sécurité partout dans l'Empire. C'est des types réglos. Pas genre l'armée privée sortie de nulle part. Fît alors Ben qui avait fini de lire la lettre et la rendis à James.
     Bon, les gars. Demain devrait être une journée plutôt calme après nos énorme livraison d'aujourdhui. Je vais aller voir ce commandant dans sa caserne. William va venir avec moi, mais ne serait t'il pas bon d'en prendre un autre d'entre vous ? Pour éventuellement négocier ? Demanda alors James.
    - Je viens avec vous ! S'écria Marie-Anna.
    - Parfait, nous trois allons sur place à la rencontre de ce Bonaventure Pencroff. Vous autre, Prenez les commandes du jour pour nos livraisons. Nous partirons demain à la première heure. On se retrouve sur Middenheim pour vous dire ce qu'il en est. On va tâcher de prendre les bonnes décision, et nous vous informerons des nouvelles dès qu'on est tous là. C'est bon pour tout le monde ?
    - ça marche !s’écrièrent alors la troupe.
    Au lendemain, James se rendit aux coordonnées indiqué sur l'écrit. L'on pouvait y voir de vielles structure faite de grès. Les quais n'étaient pas non plus de la première jeunesse. Le pavillon Stendellien leurs permis alors de s'approcher sous l’œil des premiers hommes disposés sur le quai. vêtu d'uniforme de couleur bleu foncé. A mesure que le Runaway s'approchait, James pu voir une grande battisse au loin, sur la quelle était installé des échafaudages. La zone semblait être en rénovation.  
    Une fois les bittes à porté des amarres, les hommes présent là s'activèrent dans une ambiance militaire pour accoster le navire. Au même moment, un autre homme s’approchât pour nous demander à quoi était due notre présence. James se présenta lui même avant de présenter Marie-Anna et William. Et lui donna alors sa lettre reçu la veille. L'officier les pria de bien vouloir le suivre. Ils se dirigeaient alors vers le commandement, le bâtiment que James avait déjà repéré de loin. On les fît entrer dans un bureau. L'officier qui les accompagnait les présenta à l'homme qui était l'origine de la lettre. Il se présenta : 
    - Bien le bonjour, monsieur Wariow, je vois que vous avez reçu ma missive. avez vous fait bon voyage ?
    - Bonjour, oui, je vous remercie. Je suis venu avec deux de mes collègues pour discuter de votre offre. 
    - Mon offre... Je souhaiterais vous commander plusieurs bâtiments de guerre pour la compte de la garde côtière. 
    - On peut se charger de ça aisément. Qu'avez vous à proposer en retour ?
    - Lors de ma visite sur Stendel, a le recherche de navire à vendre, un marchant m'a appris votre existence, vous recommandant chaudement. J'ai également appris que vous aviez un jeune projet en développement. Mais que vous étiez pour le moment dépourvu de décence. Je n’insinue pas que vous ne sauriez vous défendre, loin de là. Mais la mode étant au attaque de pirate sur les terres loin de la capitale, il vous serait plus prudent d'optez pour une protection rapprochée. Alors voici mon offre : Fournissez à la Garde Volontaire en navires, et je m'occupe de garantir la sécurité dans votre logis. Je fournirai également les hommes qui serons former pour devenir matelots. Si ça viens à manqué, je peux aussi vous trouver matière première et ouvrier. Et bien entendu, vous tiendrez vous même la flotte au nom de la Garde Volontaire. Car je n'ai gère de connaissance dans le domaine. Que dites vous ?
    James se concerta avec Marie-Anna et William. 
    - Son offre tiens la route. Nous allié à la Garde Volontaire ne peut que nous être bénéfique. Fît James.
    - Tout a fait ! Fît Marie-Anna.
    - Et pour la formation de navigation des soldats, pourquoi ne pas prendre Ben, Robert et Felicity ? Ils ont fait la Marine Royale après tous. Et ils ont de l’expérience. Au moins, on sera sûr de l'enseignement. 
    - Parfait ça. Il faut leur en parler.
    James s'approcha du commandant Pencorff.
    - Votre offre est des plus intéressantes, mais je dois avant de me prononcer, en parler avec d'autres de mes collègues. Je reviendrai demain même heure pour vous donner ma réponse.
    - Très bien. Gardes, Raccompagnez ces hommes à leur navire. Vous me trouverez ici même demain.

    James, Marie-Anna et William reprirent la route vers Middenheim. Et au retour de tout les capitaine de navire, leur fît un retour détailler de ce qui avait été dit. Tous acceptèrent sans hésitation. C'est donc le lendemain même heure que James allât à la rencontre du commandant Pencroff pour lui annoncer son accord. Ils fût raccompagner au bureau de ce dernier après avoir à nouveau fait le voyage vers le fort Herobrine. 
    - Commandant Pencroff, nous avons pu réfléchir en interne a votre proposition, et nous acceptons votre offre. Je souhaiterais néanmoins pouvoir choisir par mes soins les personnes qui formerons nos futur matelots. 
    - C'est entendu ! Nous allons officialiser notre accord et vous serez promu au sein de notre hiérarchie. 

     

     


    - Les victoires s’enchaînent, Amiral, je suis fier de vous ! Vos HMS sont vraiment efficace 
    - Merci, Maréchal Pencroff, et encore bravo pour votre promotion. Le gouvernement Minefielddien a grand besoin de vous. Vos nouvelles fonction de gouverneur de l'Empire sera un plus non négligeable.
    - James, je sais ce que tu penses. Je sais que tu es inquiet pour la suite. Mais ne t'en fait pas. ça fait bien... trois ans ? oui, trois longues années que tu rends un précieux service à la Garde Volontaire. Trois ans qu'on se connais. Je vais certes être souvent absent. Mais nous sommes amis. Et puis, mon nouveau grade ne doit pas t'obliger à me vouvoyer !
    - Je le sais. Le problème ne viens pas vraiment de là.
    - Que se passe t'il ? tu n'es plus le même depuis quelques jours.
    - C'est rien.
    - Tu es sûr ?
    - Disons que ... J'ai l'impression que l'Empire, ne me considère pas comme celui que je suis. Je passe mon temps à démarché les gouverneur pour remplacer leurs navires, à proposer mes services, quelque'ils soient, mais sans jamais grand succès. La grande majorité des membre de l'état major ont décrocher des fonctions, mais je semble en être incapable.
    - James, Tu as la reconnaissance ! regarde, Beaucoup de contrées ont chez eux des navires qui sont dû à ton expertise. On connait ton nom grâce au chantier naval de Middenheim. Il y a une file d'attente de plus de six mois pour l’obtention d'une simple maquette tant ton carnet de commande est plein !
    - Tu as raison, je vais sans doute m'y faire. 
    - Tu sais, il y a un truc que je voulais te dire aussi. Tu devrais postuler pour devenir chevalier de l'Empire.
    - Chevalier ? 
    - L'élite de l'Empire ! Et depuis le temps que tu te bat aux cotés de la Garde, tu devrais essayer, au moins.
    - Je verrai. Je dois m'occuper des plans d'un prochain navire de guerre pour le Général Zorn. Je repasse d'ici quelques jours.
    - Amrial Wariow, je vous souhaite bon voyage !
    bon voyage !
    bon voyage !
    bon voyage !

     

     

    Le soleil était debout depuis quelques heures déjà sur Middenheim. Trois ans se sont écoulés depuis que James est devenu l'Amiral de la Garde Volontaire. L'arsenal avait beaucoup évolué. Les cales sèches était digne de se nom, des infrastructures assuraient la transformation du bois directement importé de la foret voisine. La grande forge travaillait les métaux, que se soit pour les pièces des navires ou pour l'armement de la Garde. Métaux qui était également puisés à même le sous-sol de l'arsenal. Hormis quelques escarmouche avec des pirates par endroit de l'Empire, les choses allaient plutôt bien. D'autant plus que l'accord avec la Garde pour instauré un bagne à l'arsenal fessait faire de réels économie. Les prisonniers de Terre-Morne condamné pour de petits délits pouvaient, contre une réduction de peine, travailler au chantier naval. 

    James était allonger sur un bout de muret d'une ancienne muraille sur le territoire de Middenheim, Marie-Anna arriva vers lui, un petite branche à la main. Et tout en tapotant sur son uniforme avec ce dernier, elle lui fît.
    - James, réveilles toi.
    James attrapa sa branche pour la jeter aussitôt. Il rétorqua,
    - J'étais juste en train de me reposer. J'en peut plus de cette routine.
    - Justement, ça va changer. Bill à trouver quelques chose, faut que tu vienne voir.
    Alors qu'ils étaient en route vers le port commercial de Middenheim, Maire-Anna lui fît un premier aperçus.
    - J'ai pas tout compris, j'ai juste su qu'il voulais te voir tout de suite. a déjà fait appeler les autres, sauf Henry qui donne actuellement un cours de stratégie navale sur Fort Herobrine. Et Felicity n'est pas revenue de ses livraisons. Regarde, ils sont là. 
    James et Marie-Anna arrivèrent en pleine conversation. 
    - Mais si je te le dit ! Je l'ai entendu de la bouche d'Achab Igloo, qui reste tout la journée au quartier pêcheur ! Il a vu un type qui s'était présenter comme le bras droit d'un riche investisseur à Hugues Rossist, Et il a dit qu'il s'appelait Alvarrez, et qu'il bossait pour un certain Phillipe Arghoud ! Fît alors Billy.
    - C'est pas possible, il n'a pas pu remonter notre piste jusqu'ici ! Fît Ben
    - Mais non, justement ! Il ne serait pas là pour nous. Il ne dois même pas être au courant qu'on est là. Non, d'après Hugues, il cherchait à recruter des hommes à la guide du port. C'était pour une expédition. Mais il n'en a pas entendu plus...
    James pris la parole.
    - Quoi ? Argoud est ici ?
    - Il a dû mal comprendre, il se fait vieux, le père Achab. répondit Ben.
    - Son lieutenant là, Alvarrez, il est toujours actuellement à la guilde du quartier pêcheur, vas voir, si tu veux !
    - Et c'est ce qu'on va aller faire. Il faut qu'on saches si c'est bien lui et ce qu'il fait ici, je dois m'entretenir avec le Maréchal Pencroff. Je reviens dès que possible. En attendant, ditent aux soldats sur place de doubler les effectifs sur les murailles, que les canons du storage soit dépoussiérés et prêt à l'emploi. Ditent leur juste qu'on soupçonne qu'un convoi pirate risque de vouloir passer en forces vers les eaux libres. Histoire qu'ils ne posent pas trop de question. Que tout ceci reste bien entre nous. Je ne veux surtout pas prendre le risque d'ébruiter quoi que se soit avant d'en savoir plus. Fît alors James.
    Sur ces paroles, James courra vers sont port privé. Le Runaway étant moins rapide et plus vouée au transport. Il sauta à bort lu HMS Wide Awake, son brick de fonction spécialement conçu pour ses déplacements rapides. Sans prendre le temps de prévenir William qui dormais dans sa cabine, il hurla à ses hommes, tout en prenant la barre du navire :
    - Tout le monde sur le pont et grimpez aux mâts ! La grand voile au vend, du nerf, nous sommes presser !
    William, réveiller par les ordres de James, sortait sur le pont.
    - James ? que se passe t'il ?
    - Je t'expliquerai quand on sera arrivé.
    Donnant un coup de barre sur tribord, il repris.
    - Huniers, perroquets et cacatois ! On dois prendre de la vitesse. Je disais. Je peux pas te faire un topo tout de suite, mais on va voir Bonaventure Pencroff. Il dois être à l'état major pour la réunion hebdomadaire. 

    Après ce court voyage vers le fort Herobrine, James ne pris même pas le temps que son navire soit correctement amarré qu'il courra vers l'état major. La réunion du commandant venait de touché son terme. Et tout les officier quittèrent la salle. James, ne voulant pas alerter les officier, salua Pencroff et l'invita à la discutions à son bureau. James ferma les portes derrière eux.
    - J'ai besoin d'aide.
    - Tu as l'air, oui... Que se passe t'il ?
    James raconta alors tout ce qui s'était passer avant son arrivé sur Minefield. Et ce qu'il savait sur les agissement d'Argoud. Pencroff repit donc.
    - Je vois ... que veux tu exactement ?
    - Je dois savoir où se cache ce Argoud, si il s'agit bien du même que je connais.  je veux savoir si il est la pour moi ou pour autre chose. Mais dans tout les cas, si c'est bien lui, je suis sûr que c'est un mauvais coup ! Je ne connais pas bien l'homme, mais je peut t'assurer qu'il n'est pas là juste pour investir dans le royaume. Je sais qu'il recrute à la guilde du quartier pêcheur. Mais j'ai besoin d'homme de confiance pour les y envoyer, voir de plus prêt.
    - Hum... Normalement, On peut envoyer des hussards, des troupes d'élite de la Garde. On a également le HMS Kayne qui vient de rentré de sa patrouille plus au nord.
    - Très bien, qu'ils partent vers Stendel se faire passer pour des travailleur polyvalent, on va déjà voir ce qu'ils peuvent nous trouver comme info. On verra ensuite.
    Sans tarder, le Maréchal Pencroff convoqua une douzaine de hussard pour la mission. leur expliquant qu'ils devaient se faire passer pour des travailleurs et trouver le point de  retranchement du soit-disant investisseur. Ils partaient aussitôt vers Stendel.
    James resta sur place toute la journée, attendant le retour des troupes. Il ne devait surtout pas venir avant eux pour ne pas compromettre la mission. C'est au soir que les hussard fût de retour.
    - Maréchal Pencroff, Amiral Wariow ! Nous avons réussi a enter en contact avec l'homme en question à la guilde, il s'agit bien d'un nommé Alvarrez. Qui serai bien au service d'un cetrain Phillipe Argoud. Un homme qui viens de l'Est du territoire, arrivant d'une cité nommée Sathym. Il recrutait des hommes pour une longue exploration vers des terres inconnues. Mais il n'a pas voulu développer quand nous lui avons demander. Nous n'avons donc pas insister. Cependant, nous savons qu'il ont établit un avant-poste sur Novum. Où il récupèrent des ressources comme du fer et du charbon, notamment. 
    - Du fer et du charbon ? pourquoi faire ?
    - Le type à dit qu'il voulais acheter de l'acier pour un projet qui devait rester secret. Mais bon, c'est temps çi, tout le monde achète du fer mais personne n'en vend. Les mines tournes au ralentis dans l'Empire. Ils ont donc décidé d'aller l'extraire eux même sur Novum. 
    - Et cet avant poste, vous savez où il se trouve ? 
    - Pas vraiment, il a dit que ça devais rester secret jusqu’à la fin de l’extraction. Il doivent nous y emmener mais on ne peut pas prendre notre propre navire. Il ne veulent pas que des gens puissent partir de l'avant poste avant d'avoir fini. Où alors devoir partir à pied. Mais je pense qu'ils se sont mis bien écart. Il reste jusqu’à demain soir. Ensuite, il partirons vers le portail marin direction Novum. Nous leur avons dit qu'on allait alors voir si d'autres personnes recrutait dans le coin et revenir vers eux si l'on avait pas trouvé mieux. 
    Dans ce cas, tenez vous prêt pour les rejoindre, je vais réfléchir à un plan d'approche.
    James se tourna pour réfléchir. Pencroff le rejoint.
    - James, attends. On ne dois pas se précipité. 
    - C'est eux, j'en suis absolument sûr à présent. 
    - Même si c'est lui, même si c'est un criminel ailleurs, il n'est pas encore sous le coup d'un mandat d'arrêt ici. On ne peut pas intervenir chez lui comme ça, sans preuve.
    - Je veux juste voir ce qu'il fait ici. Je ne pense pas qu'il soit là pour moi. Mais il prépare quelques chose.
    - Bon, on va y aller. Mais attention, ne fait rien de stupide une fois sur place. 
    Pencroff retourna voir ses hussards.
    - Voici mes ordres : dite aux matelos de préparez le HMS Inssurection pour lever l'ancre demain après midi. Nous vous emmènerons vers Stendel pour confirmer votre participation. Vu que vous aller certainement partir de nuit, nous vous suiverons à bonne distance tout feu ettein. Faites en sortes qu'il laisse bien leurs lampes allumées. Si le jour se lève avant d'être arriver, largez dircetement par moment quelque chose qui flotte. Comme un tonneau ou autre, que l'on puisse vous pister. Une fois sur place, S'il fait encore nuit, nous accosterons non loin pour vous rejoindre. S'il fait jour, nous devrons attendre la nuit. Jouer votre rôle jusqu’à nouvel ordre. 
    - A vos ordres !
    Pencroff revient vers James.
    Il est plus prudent de ne prendre qu'un navire, je pense. On partira avec mon HMS Inssurection. 
    - D'accord, je reviens demain matin alors. je dois retourner sur Middenheim annoncer les nouvelles aux autres et leur dire ce qui se passe. 

    James rentrai sur Middenheim pour annoncer la procédure à ses amis. Marie-Anna avait pour missions durant l'absence de James, William, Bonaventure et ses hussards, de veiller sur Middenheim pendant que les autres mèneraient les livraison habituelles. Et au lendemain, comme prévu, les hommes du gouverneur Pencroff étaient prêt à aller à la rencontre lieutenant Alvarrez. Paciament, Bonaventure et James attendirent plus loin à bort du HMS Inssurection. L'équipage étant prêt à mettre les voiles à tout instants. Et c'est finalement au soir que les hommes, sous le regard de Bonaventure, montèrent à bord de la frégate qui était amarrée à proximité. Après l'avoir laisser prendre un peu de distance, ils se lancèrent en filature, prenant garde à bien coupé les feu à bort. Sans surprise, la frégate se rendait vers l'un des portails marins vers Novum. Portail crées par les puissant mages de Stendel, qui étaient installés pour permettre aux navires de raccourcir grandement leur voyage. Mais c'est portail son rare, et surtout compliqué à mettre en place. Et plus encore de les maintenir stable. Une fois passer, la proue de la frégate disparaissait au fur et à mesure qu'elle avançait. Jusqu’à disparaître complètement derrière la porte magique. Le gouverneur Pencroff ordonna à ses homme d'en faire de même.
    Le navire passa, laissant l'équipage dans d'une atmosphère qui était soudainement devenue fraîche. La nuit était tombée depuis longtemps sur Novum. La lune était haute dans le ciel alors dégagé. Conformément au plan, le HMS Inssurection continuait de suivre la frégate toute la nuit sans encombre. Et c'est alors qu'aux première lueurs du jour, à l'instant où Bonaventure allait donner l'ordre de ralentir pour ne pas être vu, que James aperçu quelques chose venant de la frégate.
    - Regardez, il ont ramener les huniers, il veulent ralentir. Peut être arrivent t'ils ? Passez moi la longue-vue.
    L'un des hommes de l'équipage la -lui apporta. James vit au loin un faible panache de fumée. Un feu de camp, sans aucun doute. De petite palissade avaient été montées sur une fallaise, une tour de guet improvisée en bois s'y trouvait également, mais James ne vis personne dessus. Il aperçu en revanche plusieurs canons sur la plage et sur la base du mur de bois. Du douze-livres selon lui. Cela ressemblait en tout point à ce que l'on pouvais attendre d'une première base coloniale. Le gouverneur Pencroff ordonna de faire demi-tour pour éviter de n'être vu et de mettre au point une stratégie d'approche. Mais alors que James suivait Bonaventure vers sa cabine, le garde au nid-de-pie s'écriait :
    - Des voiles sur tribord !
    - Ses couleurs ? demanda alors James.
    - Pas de pavillon ! 
    - Sans pavillon ? étrange..
    James pointa sa longue vue vers tribord. Et y vit une paire de mâts au loin, qui ne portait effectivement aucun drapeau. Intrigué, il ordonna d'intercepter le-dit navire. Il semblait se rendre vers le campement. Tout en s'approchant, James pouvais voir avec sa longue vue l'équipage à bort qui semblait agité. Et soudain, plusieurs flash lumineux sortaient des sabords du navire.
    - Baissez vous ! Ils font feu !
    Les boulets s'écrasaient sur la coque de l'Inssurection , tout en se relevant, James hurla.
    - Branle-pas de combat ! Barre à bâbord ! Et écrasez moi ces vaut-riens !
    Les canons du HMS Inssurection sortaient un à un des sabords. Et firent l'un après l'autre feu. Le petit schooner anonyme tira avec ses pièces de retraite, toutes voiles vers le camp. 
    - Cessez le feu ! Nos hommes sont sûrement déjà dans le camp, ne risquons pas de les blesser. Foncez sur le schooner ! Il va très certainement s'amarré. 
    Et en effet, le petit navire accostait maladroitement au quai de fortune non loin du camp. James regarda dans sa longue vue. Il ne vit personne sur les canons du camp.
    - C'est bizarre. Pourquoi ne tirent t'ils pas ? Il ne prenne pas la défense de leur schooner ?
    Il regarda à nouveau, et vit cette fois ci des flammes  au sein même du camp. Un combat était engagé entre les hussards de la Garde et des hommes sans uniformes. 
    - Vite ! amarrez nous ! s'écria James. 

    Bonaventure ajouta d'une voix déterminée.

    - Soldaaaats ! Quittez le pont-batterie le sabre au clair ! 
    Une fois l'Inssurection à porté de quai, James sauta immédiatement avec la moitié de l'équipage. Suivie par Bonaventure.
    Mais nul le temps pour eux d'utiliser leur armes que les forbans se rendaient. S'ils étaient plus nombreux contre les hussards, il n'en était plus de même avec l'équipage de l'Inssurection. Un à un, les hommes qui n'étaient pas de la Garde lâchèrent leurs armes. Un des hussards s'approcha de Bonaventure.
    - Maréchal Pencroff ! Nous avons pris l’initiative d'engager le combat lorsqu'ils voulaient vous couler pour défendre leur schooner. Nous avions entendu des tirs au loin dans l'océan et nous avons reconnu l'Inssuretion. Nous avons perdu cinq hommes. Ils étaient trop nombreux sur l'instant.
    - Voila qui expliquait pourquoi ils n'avaient pas tirer. Fît James. Bonaventure repris d'un ton plus grave.
    - Où est le chef de cette bande ?
    C'est alors qu'une voix, pas inconnue de James se fît entendre derrière la toile d'une tente.
    - Alors ? Que se passe t'il ? vous les avez tout massacré ? 
    James, Bonaventure, et trois des hussards entrèrent dans la tente. La voix se fessait entendre depuis un coffre un coin.
    - Alors ? personne ne me répond ? 
    James ouvrit le coffre. Le lieutenant Alvarrez s'y trouvait en boule sur une petite pile de vêtement. James repris
    - Désolé, mon cher Alvarrez, Mais nous sommes toujours bien vivant. 
    Après une petite seconde de réflexion, Alvarrez répondis.
    - Je connais ton visage. Tu es celui qui nous à volé un navire et couler la flotte commerciale d'Arghoud !
    - Ahh, oui, c'est vrai ! Mais ne parlons pas du passé ! Dite moi plutôt ce que vous faites si loin de Sathym. 
    - Je suis le seul que ça regarde ! 
    - A oui ? et si je te fait bouffer tes burnes, ça va regarder qui d'après toi ?
    Alvarrez ne répondis pas. C'est alors que Bonaventure l'attrapa le lieutenant par le col, et le souleva pour le sortir du coffre.
    - écoute moi bien, crapule. Tes hommes ont tués cinq de mes précieux hussards. Alors, la seule raison pour la quelle je ne t'ai pas encore fait fusiller sur le champ est que tu possède des informations que mon Amiral veut connaître. Alors parle, et peut être que tu aura le droit à un procet équitable !
    Alvarrez montra du doigt son bureau, sur le quel se trouvaient des documents. James les inspecta. Il y trouvais des cartes, fessant mention d'une île perdue hors du pays, une île qui n'est pas possible d'approcher en bateau. Mais qui serait, selon les écris qui accompagnent les cardes, possible à explorer avec un appareil volant. 
    - Je comprends un peu mieux, vous aviez besoin de ressource pour fabriquer un zeppelin. Et vous êtes venu ici pour profiter des infrastructure minefieldienne pour y parvenir. Pourquoi ici et pas ailleurs ? demanda alors James.
    - C'était le plus proche de Sathym. Mais surtout que le Novum est très accessible pour les ressources. répondis Alvarrez.
    Et vous espériez y trouver quoi exactement ?
    Après quelques seconde de silence, Alvarrez répondis :
    - La relique d'Azarghal. 
    Tout en ayant entendu le nom de cette soit-disant relique, James vu également des mentions de cette dernière dans les lettres manuscrites. Les lettres parlaient toutes d'une île du même nom. 
    - Et qui est à l'origine de ces documents ?
    - ça appartenait à un herboriste qui prétendait l'avoir lui même obtenu en fouillant les archive d'un de ces confrère mage qui s'est fait exécuté pour usage de magie-noire. D'après lui, Ce mage noir aurait écrit ces lettres décrivant le lieu avant de se faire arrêter. Arghoud a absolument voulu y croire. Et a donc lancé cette opération pour construire un zeppelin et engager des hommes pour l’expédition.
    - Et notre ami Arghoud, où est t'il ?
    - Je l’ignore.
    Bonaventure força sur le col d'Alvarrez.
    - Je vous le jure ! Il est partis ce matin pour démarcher un arsenal pour la fabrication du zeppelin, mais il ne m'a pas dis où ni quand il reviendrai !
    James mis la main sur un livre étrange qui traînait su le bureau. La langue lui était inconnue. Il demanda :
    - Et ça, c'est quoi ?
    - On ne le sais pas vraiment. C'était avec tout le reste des document que nous a donner l'herboriste. Mais personne n'a été en mesure de déchiffré ce langage.
    - Et cette île qui est mentionnée dans ces lettres, où se trouve t'elle ?
    - On l’ignore également. Rien n'est dit nul part à ce sujet.  
    - Vous étiez en train de vous préparer à vous lancer dans une expédition sans même savoir où aller ? Tu veux vraiment prendre ma botte au derrière ?
    - heu ... Attendez ! Arghoud pensait également pouvoir trouver quelqu'un pour traduire le livre. Il est persuader que sa position s'y trouve !
    James pris le petit coffret de bois vide posé sur le bureau qui devait sûrement servir à ranger les documents pour y mettre ces derniers. Et le pris avec lui.
    Bien. Maréchal Pencroff, nous pouvons partir pour emmener tout ce petit monde creuser du gravier à la main. Brûlons cet avant poste, le schooner et la frégate. Et balançons les canons à l'eau pour qu'Arghoud ne les récupère pas. 
    Et rapidement, le feu fût mis sur tout le matériel. Le lieutenant Alvarrez et ses hommes étaient embarqué et enfermer dans la cale de l'Inssurection. James gardait un œil attentif sur son coffret, Et Bonaventure sur les prisonnier. Qui furent à leur arrivé sur Stendel immédiatement emprisonnés au fort Herobrine. Bonaventure regagna l'état major avec ses hussards. Et l'Inssurection pris le cap vers Middenheim pour s'y faire réparer avec à son bord James et ses mystérieux documents. 
    La nuit était tombé sur Middenheim, une fois l'Insurrection bien rentré dans une cale sèche, il pris son coffret sous le bras et se rendis vers la taverne où l'attendait  ses camarades.
    - James ! On à faillit s'inquiéter ! tout va bien ? demanda Marie Anna.
    - Oui, je te remercie. 
    - Et que caches-tu sous ton bras ? Un trésor ? demanda Benjamin. 
    - Un trésor ? non, mais un plan qui est susceptible d'en révéler un ! 
    James sortit alors les lettres et plans et les étalât sur la table autour de la quelle ses amis s'approchaient. à l’exception de Billy et Robert, non loin partageant une bouteille de rhum. James leur expliquât comment il avait obtenu ces documents et ce qu'il avait en tête.
    - Alvarrez m'a parlé d'une relique, un sorte d'objet magique appeler l'Azarghal. Vous connaissez ? Demandât-il.
    - Aye, une vielle légende. Un peu comme Herobrine, les Terres Lointaines, ou la cité de Grabah. Répondis Marie-Anna.

    - Et que sait-on au juste ?

    - Que des rumeurs. Qui disent tout et sont contraire. 
    Tout en regardant dans le tas de documents, Felicity trouva le livre ancien et le feuilleta.
    - Jamais vu des écris pareils. C'est quoi selon vous ?
    Nul ne su y répondre. 
    - Les lettres parle du lieu, comme quoi c'est un endroit inexploré et probablement dangereux. Mais la localisation... elles ne disent rien à ce sujet. ça dois être la raison pour la quelle ça ne figure pas sur nos cartes habituelles. Fît James.
    - Et si tu nous parle de ça, c'est sans doute que tu compte jouer aux explorateurs ? Qui nous dit que tout ça n'est pas juste une vaste blague ? demanda Benjamin.
    - Arghoud lui même était prêt à financer une expédition. Alors, je ne sais pas si cette relique est vraie. Et je ne sais même pas si cette île existe vraiment. Mais si c'est le cas, quoi que l'on puisse y trouver, il vaut mieux les découvrir avant Arghoud. Lui, ou tout autre personne mal attentionnée. 
    James pris alors le livre et repris.
    - Et ça, c'est probablement la clé même qui peut nous y conduire. 
    - Tu n'as pas tord, je dois le reconnaître. Répondis Benjamin.
    - Dans ce cas. Je partirai demain à l'aube pour rejoindre Bonaventure, et voir si il connais quelqu'un qui peut nous traduire ce livre. En tant que Maréchal, il dois bien connaître de vieux mage de l'Empire. 
    Et le lendemain, James parti au plus tôt à bort de son HMS Wide Awake vers le fort Herobrine, avec tout ces documents. Une fois arriver à bon port, Il soumettra le livre au Maréchal Pencroff qui l’examina. 
    - En effet, jamais rien vu de tel. C'était avec tout le reste que l'on a trouver lors de notre descente sur Novum tu dis ? Hm... Je vais essayer de montrer ça aux mages du régiment. Voir ce qu'ils peuvent nous en dire. Fît Bonaventure tout en tournant les pages.
    - D'accord. Fait quand même gaffe à qui tu montres ce truc. J'aimerai que ça ne quitte pas trop notre cercle. 
    - Hm. Peut être vaut t'il mieux voir nos hauts-mages de l'Empire alors. Il s'agit là de personnes gradées et digne de confiance. 
    Bonaventure et James prirent la mer avec le Wide Awake vers Stendel pour y rencontré les hauts-mages et les érudits. Qu'ils purent rencontré au château des empereurs, dans la bibliothèque des archives de l'Empire. Bonaventure demanda aux érudits de trouver quelqu'un en mesure de déchiffrer le livre pendant que James cherchait dans toutes les étagères des cartes et livres qui était susceptible de l'aider à trouver plus d'information sur le sujet.
    Deux jours, et une nuit, les deux hommes cherchaient. Ils étaient en quête de la moindre mention du nom d'Azarghal, le moindre indice qui collerai de près ou même de loin à une île perdue. Mais outre le fait que certain des érudits et hauts-mages connaissaient le nom dû à la légende qui lui était accrocher, rien. Bien des légendes étaient contées dans leur recherche, mais rien qui ne les aidaient vraiment. Alors que la deuxième journée d'intense recherche, on pouvait entendre James jurer dans toute la salle.
    - Rahh ! Rien rien rien et encore rien dans cette énième carte ! ça n'est pas possible ! Je vais finir par croire que c'est une mascarade ! Alvarrez va le regretter s'il s'est payé ma tête ! 
    Bonaventure ferma le livre qui était en train de fouiller. Se recula pour se frotter les yeux, et au moment de relever la tête, son regard se porta sur les lettres manuscrites décrivant les lieux. Bonaventure en pris une dans le tas pour la relire une nouvelle fois. L'ayant déjà fait plusieurs fois avec elle et les autres pour voir si rien ne lui avait échappé. Et se basculant sur sa chaise, il la relisait. Et à cet instant, la lueur des bougies qui éclairaient la table pouvais passer à travers le papier qui tenait entre ses mains. Et plusieurs petites formes géométrique se fessaient voir à travers le papier, sur le bort droit de celui ci.
    - James, Viens voir ça !
    Sans répondre, Il accourra pour regarder la lettre. Bonavenure approcha un peu plus le papier pour lui monter sa trouvaille.
    - Non de nom ! Essayons avec les autres !
    Ils prirent chacun plusieurs des lettres pour reproduire l’expérience. Et il trouvèrent de nouvelles formes sans grand sens. Ils finirent par toutes les superposées. Et là, une sorte de phrase toute attachée se fît voir sur le bort. 
    - C'est quoi ça ? ça ne ressemble pas aux symboles de notre livre. Se demanda alors Bonaventure.
    - ça ressemble à de l'Elfique. Essayons.
    Bonaventure demanda à voir un des hauts-mages bien renseigner sur les écris nains et elfique. Il étudia alors le texte.
    - Oui c'est bien de l'elfique. Mais il ne s'agit pas la d'une phrase. C'est une suite de chiffre. Il y est écrit : 18 21 42 n      66 35 10 w.
    - Une latitude et une longitude ! ça y est ! Nous l'avons trouvé ! s’écriât James.
    - Nous avons les coordonnées. Mais as tu une idée de la façon de procéder ?
    - Nous allons construire notre propre zeppelin ! Je vais m'occuper des plans avec des spécialistes du domaine. J'ai déjà une superbe idée en tête. Je pourrai essayer de combiner technologie navale et aérienne pour crée une machine volante capable d’amerrir. Je vais m'occuper de tout ça aujourd'hui même ! Il faut juste trouver une infrastructure pour une telle construction !
    - Je peux faire ça, oui. Je peux preparer le 5e escadron d'éclaireurs pour l’expédition. Et je peux également te réserver la 2e compagnie d'ingénieurs pour la construction. Mais avant, prends ça. Lui fît Pencroff lui tendant une plume et une feuille vierge.
    - Mais.. Je ne peux faire les plans ici même, sans mes instruments de mesures.
    - ça n'est pas pour tes plans. Mais pour réaliser ta candidature chevalière.
    - Tu es sûr que je peux y postuler ? Demanda James.
    - Le temps de construire ton appareil et de partir à l'aventure, cela va certainement prendre des mois. Alors, de retour chez nous, Tu aura sûrement le droit à tout le mérite qui te reviens. James, tu as dit toi même que tu manquais de reconnaissance. Alors prends ton courage à deux mains, fait moi cette foutue candidature !
    - Tu as raison. Je vais m'en occuper immédiatement.
    Et après une heure de réflexion et d'écriture, James remit son plis au fonctionnaire en charge des candidature chevalière avant de retourner voir Bonaventure. 
    - C'est fait.
    - Parfait ! Alors, tous à bort du HMS Wide Awake ! Nous avons beaucoup de travail qui nous attends !

     

     

    - Merci à vous -

     

              J'ai toujours été nul pour les remerciements. Donc juste merci à vous, pour des longues heures de jeu que j'ai pu partager avec vous. Merci pour ceux qui sont rester même dans les moments difficiles, qui sont rester tolérants envers moi sur certain moment. Merci à ceux qui viendrons balancer leur pavé à la suite pour me soutenir, à tout ceux qui me soutienne de manière générale. Merci même à ceux avec qui j'ai été en froid, ou même avec qui je suis toujours en froid, ça permet néanmoins de se forger aussi mentalement, de pouvoir se remettre en question et d’évoluer en conséquence. Merci à la modération de manière générale pour tout ce que vous faite. Et bien sûr, merci à vous, qui aurons eu le courage de tout lire. Je n'ai pas spécialement cité de pseudo et c'est normal. Les concernés se reconnaîtrons.

     

    EDIT : No Rage de ma mise en page.

     

  10. Hello !

     

    Les promotions précédences se prolongent pour le mois de décembre. Un cadeau de noël pour vos réserves (Et mon porte-feuille). 

     

    Mais vu que c'est noël, comptez en plus de ça le tonneau de bière à 7 Pa's au lieu des 10 pièces que vous devez habituellement déboursés. L'Amiral Wariow est vraiment trop bon avec vous.

     

    Valable jusqu'au 10 Janvier 2019 pour que vous puissiez en profité également lors de la nouvelle année.

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