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Zairfly

Minefieldien
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Tout ce qui a été posté par Zairfly

  1. Ce double topic, j'suis désolé. A supprimer.
  2. WAAAAAAABLBLBLBLBLBLBLBLBLBLBL !!! Salut ! Merci pour tous vos messages, vous êtes des amours. Minefield est vraiment une communauté en or. Merci aussi à Ghid pour ce message plein de keurs <3 Encore merci, et à plus tard -Z-
  3. Salut Sushi ! Bienviendu, si t'as besoin d'aide, de blagues de merde ou de cookies, fais moi signe chef ! -Z-
  4. Bien le bonsoir ! Il est maintenant temps, après une dizaine de mois sans écrire ce plussoiement (my bad) de m'y mettre. Shrui, que dire. Quel joueur, quel violoniste, quel breton, quel projet ! En effet, Shrui est un joueur des plus exceptionnels, toujours plein de bonne humeur, et toujours dispo pour une bonne partie de rigolade (quand il n'est pas sur son projet). Tiens justement, faisons une rapide halte sur son projet. Sincèrement et je ne cesse de le dire, c'est l'un des plus beaux ici bas. Le RP, le build, l'ambiance, tout est excellent dans les moindres détails. C'est toujours un plaisir de le visiter. Well, ce qui va suivre est gratuit, mais il sait pas trop jouer du violon, c'est un peu pas trop cool :/ Cependant, je compterais sa principale qualité : la météo. Combien de parties de Heroes&Generals à l'écouter parler de la pluie et du beau temps, au sens propre du terme, avec une aisance telle qu'Albert Simon ne lui arrive pas à la cheville. Pour conclure, c'est un énormissime +1 pour l'ami Shurimi, toujours motivé, doué, et sympatique qui mérite amplement le grade chevalier à mon gout. русскийement, -Zayhr-
  5. Oui je sais, j'afk dans des lieux un peu bizzares quand j'écris ça ^^" Si ça te gène je passe un coup de gomme dessus hein, t'inquiètes
  6. Bonsoir chers lecteurs ! Voici le nouveau numéro du Freiwald Zeitung, le deuxième. J'attend vos retours ! -Zayhr-
  7. MBONSOUAAAAAAAR ! Non d'une pipe en bois, c'est déjà arrivé ! *trouve une idée* Hum. Aujourd'hui c'est l'anniversaire d'un joueur exceptionnel, avec qui j'ai passé les meilleurs moments depuis que je suis arrivé sur Minefield. Ghislain est vraiment quelqu'un de bien qu'on doit rencontrer au moins une fois dans sa vie (du moins si l'on veut mourir en paix.). Je ne sais quoi dire d'autre, si ce n'est que tu es quelqu'un de formidable, un vrai ami. Bien, maintenant, cadeaux. GO. 15 ans, tu vieillis o/ Allez, sur ce, joyeux anniversaire Ghideon ! -Zayhr, votre russe préféré- PS : On termine sur une fin de soirée la bouteille de sky à la main avec ça, bizous :
  8. Vous remarquerez le message émotionnellement puissant de Cauko qui, avec une nuance de philosophie, nous rappelle que l'âge n'est qu'un détail dans la vie d'un homme. Ce message restera peut être, qui sait, dans les livres d'histoire et de philosophie durant des millénaires. Une si belle phrase mérite de se faire connaître, et nous devons la transmettre aux générations futures. Une larme a coulé de mon oeil, merci Cauko pour cette citation magistrale.
  9. YEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!! Joyeux anniversaire mon commandant préféré <3 Vingt ans c'est pas si vieux, mais c'est symbolique :3 Reste comme tu es, t'es au top. Gros poutous, -Z-
  10. Je saisis l'arme que le narrateur m'avait lancé. Un bon calibre, qui me servirait sans hésitation à me défendre. Je lançai une bourse pleine de pièce sur le comptoir, et mis mon grand manteau gris sale et déchiré. Je me sentais nostalgique quant au départ de cette taverne dont les occupants m'avaient évité plusieurs catastrophes. Je couvris ma tête de mon chapeau, enfilai mon gant et l'allumai, pris mon grand sac de cuir et le mis sur mon dos et saisis l'arme qui allait longtemps m'accompagner. Je fus obligé de descendre mes lunettes sur mes yeux pour cacher une larme qui s'échappait de mon oeil. "Au revoir. J'espère vous revoir un jour, et encore merci pour votre aide. Je ne sais quoi dire d'autre. Dieu vous garde." Je me tournai une dernière fois pour regarder les occupants de la taverne, avant de pousser la porte et de me diriger vers un monde rempli de danger où j'allais commencer mon périple pour Aegis. J'étais de toute évidence un miraculé, j'étais revenu parmi les miens. Ce voyage m'aura appris bien des choses, mais il est temps pour moi d'aller défendre ma patrie. Et je marchai, espérant tout bas que j'arriverais à retrouver au plus vite les gens qui me sont chers.
  11. J'attendis longuement avant que quelqu'un vienne me sortir de là. Le narrateur avait eu le bon reflex, il avait remis une des multiples horloges à l'heure, me faisant instantanément revenir dans la taverne. Je tombai alors sur une table de la salle principale, sonné. L'homme donna un léger coup dans mon bracelet, ce qui -par un moyen qui m'est obscur- m'a permis de me réveiller. La guerre faisait rage au Fort Herobrine et les attaques ennemies se multipliaient. Je ne pouvais pas entrer en zone de combat sans équipement, sans quoi je me ferais transpercer par des balles ou pulvériser par un tir de mortier. A Aegis allait se dérouler sous peu une cérémonie d'hommage qui m'était dédiée. C'était le seul moyen de retrouver les troupes à l'extérieur d'un champ de combat. D'après ma carte, il me faudrait plusieurs jours pour me rendre là-bas. J'avais au minimum besoin d'une arme, allant du simple revolver au mousquet militaire. "Il me faut partir dans deux nuits au maximum. Je vais avoir besoin d'une arme à feu si je ne veux pas terminer une balle entre les deux yeux. Quelqu'un dans la salle aurait-il quelque chose de semblable pour moi ? Je le paierais en pièces d'or."
  12. Je voyageais dans l'espace temps, à une vitesse folle. Je pouvais lire dans les pensées des gens, entendre tous leurs dires. Après quelques secondes, je parvins enfin à la hauteur du capitaine Ghideon. Il ne pouvait me voir, ni m'entendre. La seule manière d'entrer en communication avec quelqu'un était de prendre possession de ses pensées, afin qu'il entende le message voulu dans sa tête. Il resta de marbre lorsqu'il entendit "Je ne suis pas mort. Je ne meurs jamais. Je vais revenir." J'avais fait mon devoir, il était maintenant temps de retourner là où j'avais laissé mon sac. Je tournai de nouveau l'engrenage de la montre...soudain, celui-ci céda. J'avançais dans l'espace temps sans pouvoir revenir sur terre. Je fis passer autant de messages que possible aux personnes présentes dans la taverne : "Dans mon sac, trouvez une montre à gousset. Appuyez sur le bouton de droite. Dans mon sac, trouvez une montre à gousset. Appuyez sur le bouton de droite." Peut être quelqu'un trouverait-il cette maudite montre à temps, pour me sortir de là.
  13. Je me décidai alors, malgré ma faiblesse, à entrer en communication avec le capitaine Ghideon. Je pris mon grand manteau, mon chapeau, ma ceinture, et les enfilai. J'attachai donc autour de mon poignet ce bracelet à la pierre qui, sans énergie, ne pouvait briller et servir. Je me saisis ensuite de mon fameux gant, le branchai sur ma ceinture et mon bracelet, et le mis en marche. Quelques bruits de rouages et de magie, quelques lumières, et j'étais prêt à partir. Je me tournai alors vers les occupants de la taverne : "Je dois communiquer un message à quelqu'un...je...je reviens au plus vite. Je vous laisse mon sac sur la table, n'y touchez sous aucun prétexte. A très bientôt messieurs." Je posai la main sur mon bracelet déjà brillant, et tournai d'un coup l'engrenage qui activait la pierre. Dans un éclat de lumière, je disparus.
  14. Je dormais depuis maintenant trois jours, j'en avais grand besoin. J'étais plongé dans mon subconscient, en train de retracer les évènements passés. Les engrenages, l'hélice, les cris des soldats qui me recherchaient, j'entendais le moindre détail. Puis soudain, plus rien. Des grésillements dans mes oreilles, puis un message : "Lieutenant, *krrrr* si vous recevez ce *krshhh* ce message, contacter moi par l*krssh* par tout moyen qui soit possible.*krssssh* Capitaine Ghideon...*krsssh* Terminé." Je me réveillai alors en sursaut, transpirant et essoufflé. Je ne savais ni pourquoi, ni comment ce message m'était parvenu, mais je devais en tenir compte. Par chance j'avais gardé avec moi mon grand sac de cuir dans lequel se trouvait tout un tas de babioles utiles. Je fouillai donc quelques minutes avant de sortir ce que je cherchais, mon bracelet temporel, enroulé dans un vulgaire chiffon. Ce bracelet était très spécial, puisqu'il était muni d'une pierre magique rare en son coeur qui permettait de se déplacer dans l'espace temps à une vitesse incalculable sans se faire remarquer, et donc de communiquer avec quiconque dans ce monde. Et puis, les malheureux se trouvant dans cette taverne n'auraient guère eu mieux à me proposer.
  15. Bonjour. Je me suis souvenu en me levant ce matin de ce topic RP où je me suis arrêté au premier chapitre, et je l'ai relu. Et franchement, mais très franchement, j'ai pleuré. Tu es la première personne qui soit capable de me faire pleurer en si peu de lignes. Chapeau. Quand je relis tout, je me dis, mais écris une suite. Genre franchement. Il faut pas que tu abandonnes un truc aussi beau. En tous cas, je compte sur toi pour continuer là dessus, et encore bravo. -Zayhr-
  16. Je m'étais assoupi et me réveillai en sursaut. "J'ai rampé un long moment, mon crâne était fracturé en plusieurs endroits. Ensuite..eum...ensuite il me semble que je me suis saisis d'une branche d'arbre pour enfin réussir à me tenir debout. J'ai passé le portail grâce à un effort surhumain avant de m'évanouir de l'autre côté. Au fil des semaines de marche, mes blessures se sont cicatrisées...jusqu'à ce que je rencontre cet ours qui a bien failli me tuer. Je suis revenu pour retrouver ceux qui m'avaient laissé pour mort, et me venger" Je sentis une sensation de froid me traversant, qui me plongea dans un profond sommeil "J..je..je dois dormir un peu..je crois, ai-je tout juste eu le temps de dire avant de m'endormir"
  17. Je saisis alors le verre d'eau que l'on m'avais apporté et l'avalai sans hésiter. Je sentais ma gorge un peu moins sèche à présent. Je pris une chaise avec peine et je m'assis dessus. Sous l'attention de l'élémentaliste, je pris la parole pour raconter mon vécu. "Mon nom...euum...mon nom est Zayhr je crois. Je suis, enfin j'étais, lieutenant, me semble-t-il. Il y a de cela plusieurs mois, j'étais sur l'île de Nabes lorsque celle-ci se mit à pencher. Voulant la réparer, je m'engouffrai dans les systèmes d'engrenages jusqu'au moment où une palle de l'hélice me frappa de plein fouet. Je tombai alors dans le lac profond, inconscient. Lorsque je vins par miracle à me réveiller, j'étais échoué sur le rivage et je compris que l'on m'avait laissé pour mort. Je ne pouvais pas marcher, je ne pouvais que ramper. Après des semaines, je rejoignis une forêt non loin d'ici. Je chassais un lapin pour survivre lorsque je fus attaqué par ce qui me semblait être un ours. Affaibli et affamé, je frollais les limites de la mort lorsque je suis entré ici. L'élémentaliste que voici m'a ensuite guéri." Le regarde stupéfait des clients qui me regardait comme un miraculé me faisais penser que je venais d'un autre monde. "Un chocolat chaud je vous pris, dis-je alors au narrateur."
  18. J'ouvrai soudain les yeux, voyant à mes côtés un élémentaliste qui venait de me soigner. Je fus stupéfait de voir que plus une plaie n'était visible sur mon corps amoché, plus une tache de sang au sol malgré ma faiblesse toujours présente. J'avais la gorge sèche. Je voulu alors m'hydrater : "Qu'on m'apporte un verre d'eau, dis-je d'une voix faible"
  19. J'entrai soudain dans la taverne, mes habits recouverts de sang et des plaies ouvertes sur le corps. Je fis usage de mes dernières forces pour courir jusqu'au comptoir, avant de m'effondrer sur le plancher dans une marre rouge. "A L'AIIIIiiide.., puis-je juste dire avant de m'évanouir." Je puis tout juste voir un homme me regarder avant de tomber dans l'inconscience.
  20. Ciel, faut pas faire fumer les chats. L'herbe à chat, ça peut très vite tuer la santé o/ pssst, donne mwa une pelotte aussi o/
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