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[Lawolf] Keizan[Accepté]


Keizan
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Bonjour, bonsoir.

 

Je me présente : Antoine L. a.k.a. Keizan, Belge, 15 ans, passionné de Minecraft et d’Audiotool, je viens aujourd’hui ici demander à rejoindre Le Directoire en tant que Lawolf.

 

Je joue sur le serveur Minefield depuis juin, j’ai jusqu’à maintenant construit un donjon sur Nimps. J’habite à Siriel sur New Stendel.

 

Mes motivations : rejoindre et aider dans un projet qui m’a l’air grandiose, faire des connaissances, et me rendre utile sur Minefield.

 

Roleplay :

 

Il va bientôt faire nuit, mais ça va j’ai encore le temps de pêcher un peu. Je n’ai jamais vu d’eaux aussi poissonneuses, je vais me régaler ce soir.

 

Oui, régaler, car même si la satisfaction que m’apporte cette pêche ‘’miraculeuse’’ de quelques petits poissons est un plaisir en soi-même, j’ai faim après une journée de marche dans ces lointaines contrées que je venais de découvrir.

 

Avec tout ça, j’ai oublié de me présenter. Je suis un jeune paysan qui travaille pour un riche ingénieur, enfin, travaillait puisque je suis parti. Eh oui, il y a quelques jours j’ai décidé de partir à l’aventure. Je me suis éclipsé au beau milieu de la nuit. C’est lâche de ma part mais je n’ai jamais été très courageux. Personne ne me considère à la hauteur de ce que je suis, ni me laisse une chance de le leur prouver. C’est sûrement à cause de mon handicap : mes bras ont été arrachés dans l’explosion d’un creeper. Par chance j’ai été secouru et équipé de prothèses. Mes économies et un travail acharné m’on permit d’en acquérir des solides avec outils incorporés. Il y a même un petit, un tout petit canon à usage unique sur celle de gauche.

 

Mais bon, ça ne m’handicape pas vraiment et je ne m’en plains pas.

 

Je me confectionne rapidement un abri en branchages dissimulé par du feuillage et, tant qu’on y est, rembourré avec un peu de laine pendant que mes poissons cuisent tranquillement.

 

J’entends un bruit et me retourne, le temps d’apercevoir un renard détalant avec mon repas dans sa gueule ! Je le course et le rattrape presque mais le fourbe s’engage dans un bosquet. Je le perds de vue mais continue à courir, je sens le sol qui se dérobe à mes pieds. Je passe à travers les branches pourries et les mousses parasites et tombe. Je me cogne violement contre une paroi rocheuse. Un liquide chaud s’écoule sur mon visage. Je perds la conscience.

 

 

J’entrouvre un œil, ma tête me lancine à cause de la lumière. Je vois flou, j’entends des bruits, qui résonnent et me fendent la crâne.

 

Je me réveille et mon corps endolori me rappelle ce qui s’est passé par morceaux, je n’ai plus mal à la tête. Finalement j’ouvre un œil. Je suis allongé sur un lit en peaux de bêtes dans une petite pièce qui donne sur l’extérieur. Une grosse pierre rose translucide et lumineuse est posée sur une table, à côté de moi. J’essaye de la toucher, mais quelqu’un saisit ma main. C’est un grand homme imposant, avec des cornes sur la tête. Je distingue que sous son armure, sa peau est rouge.

 

- Comment te sens-tu ? me demande-t-il.

- Plus ou moins bien. Où suis-je ?

- Tu as été sauvé par un de mes hommes qui passait par là, et qui a entendu du bruit. Tu te trouves dans le campement du Directoire. J’aimerais savoir qui tu es.

- Je m’appelle Keizan, je viens de New Stendel.

- Qu’est-ce tu as à tes bras ?

- Ce sont des prothèses, que j’ai depuis un tragique accident.

- Que faisais-tu dans le coin.

- J’explorais. Je vous suis infiniment reconnaissant de m’avoir sauvé. Comment puis-je rembourser la dette que j’ai envers vous, même si je sais que jamais cela ne suffira.

- Si tu y tiens tellement, il est vrai que l’on pourrait avoir besoin de toi. Mais pour l’instant repose-toi.

 

Par je ne sais quel miracle, je suis sur pied en un temps record. Je me lève délicatement de mon lit et je sors. Une dizaine d’hommes semblables à celui qui m’a parlé se tiennent devant un feu en discutant. L’homme de tout à l’heure m’aperçut et me fit signe de venir.

 

- Je suis Aelfyr, empereur du Directoire et chef des Helliens. Si tu tiens vraiment à nous aider, nous avons un service à te demander. Non loin au Nord de notre camp se trouve un village où nous pensons qu’un disciple de Von Karow essaye de monter les habitants contre nous. Il faudrait que l’un de nous aille les espionner, mais au vu de notre morphologie, nous ne pouvons le faire nous-même. Tandis que toi, tu es un humain comme eux. Tu vois où je veux en venir ?

- Parfaitement.

- Peut-on te faire confiance ?

- Oui.

- Bon ben dans ce cas, prépare-toi, tu pars à l’aube.

 

Le village n’est pas difficile à trouver, je m’installe directement dans la taverne, où personne ne se préoccupe de mon arrivée. J’entame quelques discussions et, l’alcool aidant, collecte des informations diverses sur le village.

 

Les semaines passent et tout se déroule pour le mieux. Aelfyr est satisfait de mes rapports hebdomadaires. Jusqu’au jour où, alors que je suis en train de tenter de soutirer des rumeurs à un vieillard, entre un petit homme accompagné de 3 gardes, à qui il s’adresse en me désignant.

 

- Emparez-vous de cet homme, je l’ai vu parler avec Aelfyr ! C’est un traître !

 

Je sais que je ne pourrai m’en sortir avec des mensonges cette fois-ci. Alors qu’un garde s’approche de moi, j’ai la bonne idée d’utiliser mon précieux canon. Je recule d’un pas et tire sur la vieille poutre porteuse du bâtiment. L’explosion m’expulse sur un banc et souffle les vitres. Je profite de la confusion pour m’enfuir par la fenêtre. Bientôt ils me rattraperont, je cours sans m’arrêter, ils sont à mes trousses. Plus qu’une colline et je serai au Directoire. Mon pied se coince dans une racine, je n’arrive pas à l’enlever. Ils arrivent, ils vont me tuer.

 

J’entends un hurlement puissant, je lève la tête. Par-dessus la colline sont apparus Aelfyr et son armée. Ils ont tôt fait de mettre en pièce leurs ennemis. Je réussi à me dégager. Aelyr vient à moi.

 

- Je te remercie pour ton aide précieuse. Que vas-tu faire maintenant ?

- Maître, vous m’avez sauvé la vie par deux fois. C’est à mon tour de sacrifier la mienne pour le Directoire.

- Si tu y tiens, deviens un Lawolf, ce sont les protecteurs du Directoire.

- Comment puis-je faire ?

- Te laisser mordre par l’un des leurs.

 

C’est ainsi que j’eu l’honneur d’être mordu par le grand Naharos.

 

Maintenant je suis un Lawolf.

 

Je me battrai jusqu’au dernier souffle, jusqu’à la dernière goutte de sang pour protéger le Directoire.

 

 

 

 

 

 

 

Autres : Je suis Dj sur Audiotool

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