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[Refonte post / JOAILLER] Joaill-GO / Demo_crite


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Spécialisation :Joailler

Nom de l'échoppe :Joaill-Go

Localisation : Colonie du kubnigera (stendel), banlieue ouest Stendel, Bel-O-Kube (NS)

 

 

 

NB : J'ai remarqué que je ne pouvais éditer ma candidature commerçant, je mets donc le lien ici

 

____________________________________________________________________________________________

 

IRL :

 

J'ai 15, bientôt 16 ans, je passe en première. Passioné d'informatique en général, j'aime mettre "les mains dans le cambouis", c'est à dire comprendre comment fonctionnent les éléments autour de moi. Réfléchi et inventif, j'aime innover dans ce qui me plait.

 

J'étais jusqu'à présent joailler, et je dois poster une nouvelle candidature. Mes précédents rp sont dans le lien que j'ai fourni dans le NB.

 

RP :

 

 

Il était 8h du matin. Seul le bourdonnement de la ventilation se faisait entendre dans le couloir aseptisé. Une lumière blanche et froide en eclairait le sol. Un bruit de pas vigoureux s'approchait, de plus en plus fort, martelant la moquette blanche d'un rythme puissant. L'homme s'arrêta en un froissement de soie devant la porte entrebaillée. Elle jetait sur une pièce richement décorée, riche de meubles en bois sculpté, seulement éclairée par une lampe de bureau, projetant un jet de lumière tamisée sur l'homme. Une personne se trouvait là, cachée dans un grand fauteuil napé de cuir. Un plan et de multiples livres étaient étalés sur le bureau. Une musique veillait en arrière plan.

 

- Mr, une lettre de l'Empire est arrivé ce matin, commença le premier homme.

 

- Je suis fatigué Pierre, fatigué.. Laisse moi, coupai-je dans un soupir.

 

- Il y a aussi une lettre du kubnigera monsieur, continua Pierre.

 

- Laisse les sur le bureau, je vais y jetter un oeil, prends ta journée.

 

- Merci monsieur, à demain, acheva-t-il en sortant.

 

Après son départ, je me retournait, et regardait par la seule fenêtre de la pièce : un hublot qui donnait sur la fabrique. Chaque artisan avait appris son métier en me regardant travailler, et les concours d'entrée étaient durs. C'est ce qui faisait la force de mon entreprise : tout était fait main, avec une très bonne qualité de fabrication.

Le travail était dur, mais le salaire haut, et plusieurs services internes leurs été proposés gratuitement, comme la santé via un hôpital dans le laboratoire, l'instruction via un ensemble scolaire, la restauration par des bars et des tavernes.

 

La première lettre, celle de l'empire, était une demande de renvoi de candidature commerçante. Ils l'avait

apparement perdu. L'administration publique à toujours été empotée pensai-je. Je repensai á ma première candidature.. Comment l'avais-je fait ? Je me mettai à chercher la candidature fébrilement dans mes étagères et tiroirs, pestant contre les fonctionnaires qui me l'avaient perdu. C'est seulement 2h plus tard que je me rendis compte que je l'avais déjà sortie pour la relire hier. La fatigue s'accrochai à moi, me mordant la memoire à petit feu.

C'est sur un maigre papier de mauvaise qualité que j'avais envoyé ma candidature, à l'époque je n'avais pas beaucoup de moyens. Je m'y plongea, manipulant la feuille avec attention et délicatesse.

 

Après être rentré à Bel-O-Kube, je me suis calfeutré dans le laboratoire. Les seules fois où je quittais l’air renfermé et poussiéreux de ma salle d'expérience était pour transmettre mes recherches au reste de la fourmilière. Des fourmis m’amenaient de temps en temps des joyaux de toutes couleurs, ramenés de leurs longs voyage. Moi, dans mon antre, je les façonnais, leur donnais une âme, un éclat inégalé. De temps en temps, des mages de toutes contrées venaient observer mes créations. Je leur offrais mes pierres en échange de contrats entre leurs cités et la fourmilière. Ils voulaient me ramener dans leur ville respectives pour que je leur taille les pierres précieuses si convoitées. Ils ne comprenaient pas l’attachement qui régnait entre moi et la fourmilière.

 

Ce jour là était un de ces jours où l'on aimerait bien suivre sa routine, mais où des obligations vous en empêchent. C'était le jour de la conférence, comme tous les mois. Je devais expliquer et montrer mon savoir devant des humains qui, chose incongrue, devait apprendre: leur savoir n'étant pas inné.

Je refis un tour de la salle adjacente au laboratoire, où allait se tenir la séance.

Des établis en bois y étaient disposés, recouverts de rubis et diamants. Un messager fourmi vint à ma rencontre, m'informant que les mages étaient là, et attendaient dans le laboratoire. Furibond, je demandai qui les avaient laissé entrer. Le messager avoua qu'il avait pensé bien faire. Je ne répondis pas, mon attitude constituant à elle seule une réponse, et alla me préparer. Pour pouvoir parler avec les humains, je devais porter un casque qu'avaient enchanté les fourmis mages de la fourmilière. Il transformait mes phéromones en paroles, pour que les sans-antennes puissent me comprendre.

Quand je revins dans la salle, je vis que le messager, voulant se repentir, avait déjà fait entrer les mages dans la salle des établis, à mon grand dam. Ils commençaient déjà à poser des questions et à parler, envoyant leurs microbes par milliers dans la salle. J'envoyais un phéromone de silence, et aussitôt une grande voix sortant du casque les fit taire. Après avoir marqué un instant de pause, je commençai à leur expliquer comment et pourquoi j'utilisai les diamants pour faire des rubis, passant entre les établis, retouchant une pierre ou deux, approuvant le travail de certains, méprisant le travail des autres. A la fin de la séance, ils sortirent tous avec un rubis façonné de leurs mains.

 

Une fête avait été organisée dans un boyau adjacent, et les mages s'amusaient et rivalisaient de sorts d'illusions. Moi, j'étais resté dans la salle des établis, rangeant les pierres et soupirant : Je ne comprenait vraiment pas ces humains; quelle perte de temps. C'est à ce moment qu'une ombre se profila dans le couloir : c'était un mage, au vu de sa robe de soie et de velours. Quelques taches de vin parsemaient ses vêtements. Je remit mon casque; mes antennes, douloureuses, se souvenaient encore des heures passés à expliquer, pendant la conférence.

 

- Holà, maître fourmi ! J'ai une proposition à vous faire ! Commença t-il, d'une voix caverneuse. Une odeur de raisin émanait de sa bouche.

 

- Que veux tu ? répliqua mon casque d'une voix furieuse.

 

"Décidément, ce casque reproduit mes émotions avec une fidélité parfaite" pensais-je. L'homme, interloqué par ma voix furibonde, sembla retrouver un semblant de dignité et essaya de chasser ses taches violettes de la main. N'y arrivant apparemment pas, il esquissa un sourire et continua :

 

- J'ai une proposition à vous faire : La plupart des personnes ici présentes vous proposent de s'installer dans leurs villes. Mais moi, je vous propose une chose tout à fait différente. Dans la ville nouvellement fondée à laquelle j'appartiens, il se trouve que plusieurs espaces marchands sont libres.

 

Je vous propose donc de vous y installer, noble sire, pour pouvoir nous vendre vos pierres. acheva-t-il d'une voix faiblarde.

 

L'alcool semblait reprendre ses droits sur le pauvre mage, qui, chancelant, attendait la réponse. Cependant, sa proposition était intéressante, car non seulement cela pouvait apporter de l'argent à la fourmilière, mais cela pouvait aussi m'épargner des ces conférences épuisantes. J'acquiesçai de la tête, et allai écrire un discours. Cette idée devait être réfléchie et approfondie en groupe, et je comptais la présentais au conseil, le soir même. En sortant, je vis le jeune mage vomir sur un des établis et s'endormir par terre. Je lâchai un phéromone de dégoût et de mépris avant de franchir le seuil de la porte.

 

Ce soir là, je proposai donc au conseil mon projet. Il fut très bien accueilli, et accepté à mandibules levées. Cependant, la fourmilière ne peut accueillir ma production, et ma méthode de fabrication doit rester secrète. j'ai décidé de partir en exploration. Après être passé par le portail allant vers Stendel, je suis parti sur les routes, m’arrêtant dans les auberges pour m'informer et manger un morceau.

 

C'est ainsi qu'un jour, entre deux bouchées de pain, j’appris l'existence d'un ancien laboratoire, apparu lors du grand changement, quand les ronds sont devenus cubes. Divers bâtiments comme celui ci étaient apparus, venant de nulle part. Les habitants de ces contrées le disent hanté, et personne n'ose y rentrer. On dit que les zombies d'aujourd'hui seraient une évolution de zombies venant de ce laboratoire. J'en notai la localisation et me mettais en chemin. Ce grand et isolé laboratoire pourrait être intéressant pour démarrer ma production.

 

Après plusieurs heures de marche, j'arrivais enfin devant une grande porte en métal, coincée entre deux blocs de roche. J’entrouvrais la porte, une salle se dessinait dans la pénombre. j'entrais, suspicieux. Une intense lumière apparut dès mon premier pas dans la salle. Une poussière centenaire flottait dans l'air. La lumière venait, non pas de torches, mais de tubes remplis de gaz, alimentés par de la redstone. L'objet sur le bureau semblait être un ordinateur. Je m'en approchais, appuyant sur le clavier. L'écran s’éclairât , laissant percer dans la poussière une lumière bleu tamisée. Après une demi heure d'utilisation, j'avais compris comment l'utiliser. Cet ordinateur contrôlait apparemment les portes d'entrées. je les fermais et les verrouillais. Je déverrouillais ensuite toutes les portes du laboratoire. Entendant un déclic, je me tournais aussitôt. Une porte que je n'avais pas encore vu s'était ouverte. Elle débouchait sur une passerelle rouillé, qui tenait tête à l'abîme 10 mètres plus bas. Un wagon était suspendu dans le vide, accroché à un câble en acier. Sur la passerelle, un objet retint mon attention. Un panneau de commande était disposé au centre de la plate-forme. Un bouton rouge y clignotait. La notice indiquait que ce bouton réinitialisait le tram.

 

J'appuyais. Il fallait que je continue mon exploration. Un bruit de moteur et une odeur de cochon grillé se rependirent dans le tunnel. Les lumières s'allumèrent, leur puissance augmenta, puis elles éclatèrent. Des lampes de secours prirent le relais. Pendant que je me disais qu'il faudrait rénover toute l'installation, le tram revenait vers la plate-forme, ouvrant ses portes dans un crissement de fer rouillé. La lumière semblait mettre en valeur une inscription sur le wagon: "Black Mesa Research Facility ". Étrange comme nom. Je montais dans le tram et actionnais le levier.

 

Une voix résonna: "choisissez votre destination"

 

Un placard s’ouvrit, duquel sortit un écran. Plusieurs destinations étaient mises en valeur, mais seule une était activable et non grisée. J'en déduisis que ces parties du laboratoire étaient détruites ou inaccessibles. Je choisis donc le labo n°1. Le tram se mit en branle, puis, agité de soubresauts, se lança dans le tunnel. Un haut parleur fatigué se réveilla et commença à cracher des paroles:

 

"Bonjour, et bienvenue à bord de ce tram automatique. Notre réseau de transport est exclusivement réservé au personnel du centre de recherches de Black Mesa. Vous pouvez vous promenez dans la rame ou vous asseoir et profiter du voyage. Il est 8h47, la température extérieure est de 35 °C ; Elle atteindra 40°C cet après-midi.

A l’intérieur du centre de recherches, la température est de 21°C.

 

Je mouillai et levais ma mandibule, intrigué. Le système devait être bloqué depuis longtemps, car au contraire, il faisait plutôt froid dans ce tunnel.

 

Ce tram mène au laboratoire 1 du secteur C. Si vous voulez aller au-delà du secteur C, veuillez emprunter une rame de haute-sécurité au terminal de la zone 9. L'entrée en zone de sécurité est soumise à l'identification rétinienne. Si ce n'est déjà fait, présentez vous au service du personnel afin de vous immatriculer. Il est interdit de fumer, de boire, ou de manger à bord des rames de transport.

 

Je jetai inconsciemment un coup d’œil au sol de la cabine, jonché de détritus et d'os.

 

Veuillez ne pas vous pencher, n'essayer pas d'ouvrir les portes.

 

Je levai la tête vers l'ouverture béante de la rame. La porte avait apparemment décidé de fuir cet endroit depuis longtemps.

 

En cas de défaillance, les passagers sont priés de rester assis et d'attendre de nouvelles instructions. N'approchez pas des rails éléctrifiés. Message à l'attention de tout le personnel : le contrôle des taux de contamination nucléaire et biologique est obligatoire. Toute absence injustifiée aux séances de contrôle fera l'objet d'un renvoi immédiat.

 

Fier de mon espèce, je savais qu'elle n'était pas sensible aux radiations, donc aucun problème pour moi.

 

Si vous pensez avoir été exposé à des matériaux radioactifs ou toxiques au cours de votre travail, contactez immédiatement votre officier de sécurité. Soyez prudents et intelligents, votre avenir en dépend.

 

Laboratoire n°1 et installations de contrôle du secteur.

 

Attendez que l'officier de sécurité ait vérifié votre identité. Avant de descendre du train, vérifiez que vous n'avez oublié aucun effet personnels. Merci d'avoir voyagé à bord de notre rame, nous vous souhaitons une journée agréable et productive."

 

Le tram s'arrêta devant une autre plate-forme. Sur le mur, un grand symbole avait été peint à la peinture rouge: L 1. De l'autre côté, une porte en fer défoncée, un éclairage flaiblart. Derrière, une grande salle et des couloirs.

 

J'en ai assez vu, je vais rentrer à Bel-O-Kube et demander des fourmis au conseil. Mon usine sera cet ancien laboratoire. Dans les mois suivants, on a restauré l'ensemble des laboratoires, et installé des chaînes de production. Un énorme cylindre rempli de poudre et de matière fluorescente a été trouvé au milieu des gravas. J'ai fait appel à des mages pour le mettre en stase et nous l'avons enterré dans une chape de pierre et d'obsidienne.

Il ne me reste plus qu’a envoyer une demande à l’administration de l’empire, sans qui je ne peux pas commercer. J'attends désormais leur réponse.

 

.. Que de souvenirs, pensai-je. Mon attention se posa sur l'autre lettre. Celle ci provenait du Kubnigera. Mes amis me demandaient des nouvelles, de ce que je devenait, de mon commerce. Je prenais de moins en moins le temps d'aller les voir, m'enfermant dans cete petite pièce, avec pour seule compagnie ma lampe de bureau et les différents courriers urgents qui s'affalaient nonchelement sur mon bureau, attendant que je m'occupe d'eux.

 

Je pris une feuille dans le tas poussiereux d'éléments qui constituaient mon bureau, et me mettait à rechercher de mes yeux fatigués l'éclair d'argent, scintillant à la lumière, qui m'indiquerait la position de mon stylo. Une fois trouvé l'objet mi-gris mi-doré, je me mis à gratter la feuille de toutes mes forces, essayant d'expliquer sur papier le système complexe qui regit ces lieux...

 

Chers amis, commencai-je, le plus simple et de partir du haut de la hiérarchie. Je suis l'équivalent d'un directeur, tous les ordres viennent de moi. 1'autre directeur m'assiste, et reste dans la partie laboratoire du complexe. Contrairement aux autres entreprises, aucun intermédiaire n'existe entre les artisans et les dirigeants, ce qui permet une meilleure compréhension du travail et des demandes de l'autre au sein de l'entreprise. Pour éviter l'espionnage commercial, l'ensemble du personnel est tenu de rester discret, c'est pourquoi aucune personne ne vous dira qu'elle travaille chez joaill-go. Les livraisons sont faîtes par des personnes du serveur, qui sont payées pour leur travail. Joaill-go fait partie de l'organisation Joaill-corp : Elle en est la partie production et vente; j'en suis le dirigeant. La partie recherche et communication est dirigée par le directeur cité ci-dessus. Il est mon subalterne. Un conseil est à la tete de joaill-corp, composé de représentants du personnel de l'organisation. J'en fait parti, et j'ai un droit de veto. Je peux aussi dissoudre le conseil, auquel cas de nouvelles élections seraient mises en place pour permettre l'élection de d'autres représentants par le personnel de joaill-corp.

 

Je m'aretai un instant, relisant mon texte et corrigeant les diverses fautes.

 

Aujourd'hui, mon ambition est de m'étaler sur d'autres contrées, comme New-Stendel ou Stendel, visiter de nouvelles villes, m'y installer. J'ai pour l'instant fait l'acquisition d'un terrain en banlieue de Stendel, au Kubnigera en Stendel, et à Bel-O-Kube, ma cité d'origine, en New-Stendel. Voici les maquettes desquelques batiments qui seront installés sur mes terrains :

 

(Voici un lien pour les voir en slideshow, c'est

ici)

 

Echoppe au Kubnigera :

 

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Echoppe à Bel-O-Kube :

 

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Echoppe en banlieue de Stendel :

 

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Je finis ma lettre en banalités sur la situation économique du Royaume et de l'Empire. D'un coup vif, je cachetai la lettre de mon sceau, et y collait des pheromones de bienveillance. D'un coup de mandibule, je lançait les deux lettres dans un petit trou qui débouchait sur la salle des coursiers, et me remettais devant le hublot, oscillent au rythme de la fatigue, profitant de mes dernières heures de tranquillité et de liberté avant que le travail ne me retrouve.

 

HRP:

 

Comme vous l'aurez peut-être vu, mon rp n'a pas très évolué, car je pense qu'il n'a pas besoin d'être modifié. Je vois qu'il est nécessaire que j'explique pourquoi je veux devenir commerçant : Il y a deux raisons, les deux sont honnêtes et franches :

 

- Tout comme j'ai voulu le faire en postant ma candidature paysan, en postulant comme commerçant, je veux renouveler mon expérience de jeu sur minecraft, découvrir quelque chose de nouveau. À première vue, on pourrai croire que le profit et l'argent m'interessent. Mais lorsque l'on voit le no man's land (bien que des mesures aient été prises et aient eu des effets benefiques) qu'est le commerce sur minefield, on comprend vite que ces deux entités seront absentes de mon parcours commercial sur minefield.

 

- L'envie de réaliser quelque chose de nouveau sur minefield. J'en ai deux preuves que je montrerai seulement au modérateur qui se chargera de ma candidature. Cher modérateur, sachez que ces deux éléments sont très importants,et sont peut-être même plus "precieux" que cette candidature, n'hésitez donc pas à me les demander via mp ou sur ce post, je vous enjoint à le faire, merci. Ces deux éléments sont précurseurs sur minefield et montrent entièrement ma volonté de faire évoluer les mentalités sur ce serveur.

 

C'est avec tous ces éléments que je vous demande de m'integrer au rang des joaillers. Merci de m'avoir lu jusqu'au bout, et bon courage pour les autres candidatures que vous avez à lire.

 

 

Sujet à effacer, c'était une erreur.

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Étonnant que tu ne puisses éditer ta première candidature, cela aurait permis un recyclage plus propre pour tout le monde, mais passons. Je réitère mon soutien précédemment développé dans la première candidature (et en avant première, s'il-vous-plait !).

 

T'as vu, j'ai tellement la flemme ce soir que j'ai même pas la force de faire un simple copier/coller de mon message d'antan. Je sais, je suis un ingrat qui ne mérite pas [barrer]le calvaire[/barrer] l'amitié que tu m'apportes.

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Demo c'est un joueur bien, il faut accèder à sa requête immédiatement, parce qu'il a déjà de très bonnes idées (bien cachées) pour étoffer le commerce de manière nouvelle.

 

Et parce que c'est un ami fidèle, drôle ('tain ta video pour ma chevialiérisation m'a fait mourir de rire) et qui ne se prend jamais la tête, je me permets d'apposer, mes griffes, ma patte, ou tout autre extrémité que puisse avoir une espèce de vieux creeper ronchon sur sa candidature.

 

 

:D

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Yop !

 

 

 

Bon, je ne dirais pas que je suis aussi fainéant qu'Opera, mais presque. Néanmoins, ce que je pense de Demo est d'autant plus vrai depuis la dernière fois, et c'est pourquoi je lui apporte mon soutiens.

 

Je connais très bien Demo, et je le considère expressément comme l'un de mes amis au sein de ce serveur, c'est donc un honneur et un plaisir pour moi que de plussoyer cette prestation, et qui plus est de le soutenir dans sa lutte pour établir ses échoppes. C'est un jeune homme mature, au sens de l'humour inégalable, et c'est avant tout quelqu'un d'honnête. Pour l'avoir côtoyé, je peux dire que c'est un point fort de Bel-o-Kube, et un pilier du Kubnigera. De plus, je suis une des rares personnes au courant des deux arguments supplémentaires qu'il avance pour cette candidature, dont il parle à la fin de cette dernière. Et la moindre des choses que je puisse dire, c'est que je suis toujours plus bluffé de ce qu'il a réalisé. Je n'en dit pas plus, mais je recommande néanmoins au modérateur qui traitera sa postulation d'y jeter un œil, car je pense que Demo arrivera loin, et apportera un vent de renouveau au commerce Minefieldien. ;)

 

Quant au RP, celui-ci m'a arraché une petite larme. Comment en aurait-il été autrement après tant de candidatures paysans scrutée avec espoir dans la vaine attente du parfait RP ? Or celui-ci égale toutes mes attentes, et les surpasse même. Le tout est très bien écrit, avec la pointe d'humour typique du postulant que voici. Les tournures sont soignées, les références et clins d’œils nombreux à foison. Mais par dessus tout, il a su avec brio montrer la différence entre fourmis et humains, s'intégrer dans son rôle d'un tel insecte, mais aussi parler de sa spécialité et de son poste de marchand tant convoité.

 

Je ne saurais en dire plus tant le tout est bon.

 

Vous l'aurez compris, je soutiens Demo à 7 853.5423% environ, et je lui offre un immense +654 (ou +1 pour ceux qui préfèrent), car il mérite amplement ce grade et d'ouvrir son commerce. :)

 

 

Amicalement et littérairement, pour vous servir,

 

DomFulmen.

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Blop !

 

J'sais pas si j'ai déjà parlé de ce petit être... C'est juste un des joueurs que je connais depuis mon arrivée sur minefield, et il mérite amplement ce grade ! Pourquoi ? C'est un excellent gestionnaire, en témoigne les stocks de Bel-O-Kube et du Kubnigera qui ont toujours été très bien remplis, en témoigne sa capacité à gérer tout plein de choses sur les deux communautés, en témoigne son talent et son humour présents depuis mes débuts (avant je sais pas trop..)

 

En un mot comme en cent (j'ai fait court aujourd'hui), je ne peux que plussoyer avec mes six pattes la demande de ce compagnon de voyage !

 

Longue vie à Demo !

 

EDIT: j'ai fait mon fossoyeur, mais si nos plussains ne suffisent pas, voici les anciens plussains de la candid précédente : D

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