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[Accepté][Tisserand] La Moutonnerie - LeBlond49fr


Yaptaz
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Spécialisation : Tisserand

Nom de l'échoppe : La Moutonnerie

Localisation : Cérule

 

Bonsoir.

Dans ma lancée, je deviendrais sûrement commerçant...

Comme promis, je viens aujourd'hui vous présenter ma candidature de commerçant.

 

Présentation IRL :

 

Il n'y a pas grand-chose de différent depuis mes dernières candidatures... À part le fait que j'ai un peu vieillit : j'ai désormais 13 ans et suis en quatrième.

 

Je m'appelle donc toujours Yann, et j'habite en France, dans le Maine-et-Loire. J'aime les nouvelles technologies, la voile... Je suis assez bavard, curieux, créatif, et voyageur.

 

La technologie me passionne depuis tout petit : je voulais absolument savoir comment fonctionnait tel objet, tel machine...

Avec l'arrivée d'un bon ordinateur chez moi, je me suis aussi intéressé aux jeux vidéos.

Je jouais le plus souvent à divers jeux de gestion (comme quoi, je me préparais déjà à gérer mon échoppe ! :P), du genre Cities XL, City Life... Jusqu'à ce que je connaisse Minecraft, qui est devenu mon jeu favoris, et Minefield...

 

Présentation IG :

 

Je me suis inscrit sur le serveur le 17 janvier dernier, mais mon véritable "aventure" ne commença que le mois suivant, avec l'acceptation de ma candidature paysan.

Au tout début, on m'avait recueilli à Héliopolis, la ville romaine, où j'ai participé à divers chantiers : entre autres, son aqueduc, et sa salle de concert, ayant accueillie le dernier Atebits.

Hélas, après ce grand évènement, il n'y avait que peu de personnes s'y connectant : les grandes vacances arrivant à grands pas. Je décidais donc de me trouver une nouvelle ville.

Après moult recherches, je tombais sous le charme de Cérule, une ville médiévale, très "roleplay".

Pendant ce temps, je suis aussi devenu citoyen tisserand.

 

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Ma maison à Cérule

 

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Ma maison à Stendel

 

Anciennes candidatures :

 

Candidature paysan

 

Candidature citoyen

 

Candidature de citoyen céruléen

 

Ancienneté :

 

Je suis paysan sur le serveur depuis plus de sept mois.

 

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(Cliquez sur l'image pour voir mon profil !)

 

Roleplay

 

Ancienne rédaction (Candidature paysan)

 

A lire après le roleplay de ma candidature citoyen.

 

 

"Regardes ce que j'ai trouvé ce matin ! m'écriais-je en direction de mon voisin.

- Qu'est-ce ? me répondit-il.

- Une ancienne rédaction, que j'ai écrite avant mon arrivée sur Stendel. J'étais encore jeune quand je l'ai faite.

Après une lecture attentive, il me dit :

- Mais comment pouvais-tu connaître Stendel ?

- Je ne la connaissais pas."

 

Un matin, je me suis réveillé en plein milieu d'une ville que je n'avais jamais vu.

Elle s'appelait Stendel, me dit un passant.

Stendel, l'Hirondelle, pensais-je, la célèbre troubadour ? Non, ce n'était pas ça...

Je visitais la ville pendant toute la journée, et qu'elle était belle ! Tous ces magasins ! Cubathlon, la Luciole, le Cochon Grillé... On pouvait y rester des heures entières !

Il y avait aussi une gare, que je mis du temps à trouver, où circulaient de nombreux trains. Je voulus donc m'acheter un billet, mais la billetterie étant déjà fermée, je dus rester sur le quai, regarder les trains partir sans moi...

 

Une jolie dame me dit alors : "Tu es nouveau, ça se voit ! Vas donc à l'Ambassade des Nouveaux Arrivants. Ils pourront t'aider. Mais s'ils te proposent une chambre, tu refuses ! Ils n'ont que des chambres 13 !

- Pourquoi ? dis-je.

- Car, me répondit-elle.

- Donc ?

- Bonne chance !"

Et elle partit.

J'y suis donc allé, et ils m'ont expliqué différentes choses sur la contrée où je me trouvais. Ils m'ont conseillé d'aller à la banque, me chercher une bourse : ce que je fis immédiatement.

Malencontreusement, en en sortant, je tombai par terre. Mais par chance, je ne fus pas blessé...

 

Je continuais donc ma visite : la pyramide de Khérinops, le Casino, où je perdis quelque part mes 2 jetons, le Château... Et par hasard, je tombais sur un portail magique : le Rephasage. J'y suis donc entré, et me suis retrouvé dans encore un autre monde ! Je décidais donc d'aller sur un point culminant, pour m'en faire une vue d'ensemble, mais dans ce monde, il y avait des morts-vivants !...

 

A ce moment-là, je voulus me faire un abri, mais ne trouvant pas de terrain approprié, je dus dormir à la belle étoile...

 

Yanz

 

 

Arrivée sur Stendel (Candidature citoyen)

 

 

"Réveilles-toi, fiston ! La Grande Armée arrive ! Enfuis-toi !". Ce sont les derniers mots dont je me souviens encore. Ils ont été prononcés par mon père, quand j'habitais encore à Terrachan, un petit village de fermiers situé sur le continent Royal... Ce matin-là, la Grande Armée approchait des terres tranquilles de la Vallée Verte, gouvernée par Bonhom, unique seigneur assez courageux pour ne pas signer la "Convention Royale", qui obligeait ses signataires de commencer à constituer une armée... L'Empereur, dans sa colère, allait nous envoyer la sentence de cet acte...

 

La bataille fut terrible en ce jour du mois de juillet 147, calendrier Stellaire. Le petit nombre de soldats présents du côté des fermiers, se battirent courageusement jusqu'à la mort. Ceux de la Grande Armée, qui étaient pourtant beaucoup plus nombreux, eurent beaucoup de pertes, mais la gagnèrent quand-même.

Moi, je m'étais réfugié au sommet d'une colline couverte de champs, bien à l’abri... J'aurais voulu aller les aider, mais je ne devais pas trahir la parole de mon père.

 

 

La bataille finie, je voulus retourner voir mon village une dernière fois. Je commençais à descendre à vive allure la colline, lorsqu'une main m’attrapa par l'épaule. C'était le sage du village, qui n'y avait pas participé :

"N'y vas pas, fils de Gérard, le forgeron, la ville est désormais infestée de vils monstres. Viens avec moi, j'ai d'importantes choses à te raconter, en lien avec ton avenir, dit-il.

- Mon père vit-il toujours ? demandais-je.

- Non, il est mort en se battant contre le Colosse d'Armure, voulant profaner la tombe de ta mère. Il est mort dans la dignité.

Je me mis à pleurer.

- Pourquoi moi ? Pourquoi moi ?..."

Il ne me répondit pas.

 

Le sage du village m'accompagna alors dans son ancienne demeure, bien cachée entre les montagnes Rocheuses. Là, il me donna une bonne soupe pour essayer de me remonter le moral. Son ancienne maison se trouvait dans une mine abandonnée, dans la vallée dite "Interdite", qu'on nommait comme cela en raison du bon nombre de personnes n'en étant jamais revenues... Une légende racontait qu'un nain maléfique y vivait, plongeant tous ceux qui s'y aventuraient dans un profond sommeil. Le sage, lui, en connaissait le secret, mais il n'en parlait jamais à personne...

Il commença :

"Maudit sois-tu ! Pauvre empereur ! Tu ne mérites pas ta place en ce monde ! Je te maudis jusqu'à la fin de ta vie !...

- Que dois-je faire, sage ? Vous ne m'avez pas quand-même ramené ici pour me parler de lui !

- Mmmh, bien vu.

- Qu'avez-vous à me dire ?

Un instant de silence s'installa.

- ... Ton futur ne se fera pas en ce monde. Tu n'es pas fait pour rester ici, dans ce pays maudit !...

Je sentis un léger courant d'air me caresser la joue...

- Tu dois partir d'ici ! Revenir dans ton pays originel ! Tu n'es pas né ici, ni ton père d’ailleurs ! Tu viens d'un monde parallèle, où la paix règne !

- Qui suis-je ?

- Tu es quelqu'un d'unique ! Tu viens du monde de... Stendel !".

 

Le vent était devenu affreusement fort, il était d'une couleur orangée, on se sentait libre, sans aucune crainte, on était en paix.

 

"Je t'en ai trop dit.

Après un léger moment d'hésitation :

- Comment vais-je faire pour y aller ?

- Cela, seul le Sage de la Forêt le sais, mais je le sens, son portail... Je pense qu'il doit être de l'autre côté de la Fortifiée...

- De la Fortifiée ? La rivière Fortifiée ? Celle qui nous protège de toutes invasions ? Mais c'est de la folie ! Elle est impossible à franchir !

- Tout est possible mon cher. Et maintenant, va te coucher, la nuit te portera peut-être conseil.".

Sur ce, nous terminâmes cette discussion. Qu'allais-je devenir ? J’espérais vraiment qu'il avait raison, j'avais peur.

 

Le lendemain matin...

 

J'avais très bien dormi cette nuit-là.

Le petit déjeuner m'attendait sur la table. Le sage était sur un balcon dominant la vallée.

"As-tu bien dormi ?

- Euh, oui, oui, j'ai très bien dormi même.

- Tant mieux, une longue journée nous attend. Mange.

Je me mis donc à manger...

- Aujourd'hui, nous allons partir en direction de la Fortifiée. Tu devras la passer par au-dessus, en utilisant un Voldrag. Cela ne devrait pas te causer de soucis, au vu de tes connaissances en la matière.

- Non, je devrais pouvoir y arriver.

- Après, tu te dirigeras vers le Lac Sacré.

- A côté de Termalbar ?

- Oui, c'est bien ça, un village ayant des liens commerçant avec nous comme avec l'Autre Royaume.

Là-bas, tu iras voir le sage de la Forêt.

Voici donc quelques provisions dont tu auras sûrement besoin. Entre autres, ces potions : une d'agrandissement, de rétrécissement, et une autre comblant ta faim.

- Elles me seront sûrement très utiles. Merci beaucoup !

- Tes affaires sont-elles prêtes ?

- Elles le sont.

- Très bien. Partons donc sur-le-champ."

 

Nous sortîmes de la mine, et nous dirigeâmes vers les Monts Brumeux. Arrivés à leur pied, nous fîmes une petite halte, tout en mangeant un morceau de pain, encore frais.

"Ouaah ! J'avais drôlement faim !

Le sage semblait préoccupé...

- Dépêchons-nous un peu, voyons !"

Nous continuâmes donc. Sans connaître vraiment le lieu où on allait, je le suivais de près. Nous traversâmes prairies, villages, fermes, forêts, et enfin, nous vîmes cette Fortifiée... De notre côté, il y avait une énorme muraille, avec des tours espacée d'environ d'un demi-kilomètre, et de l'autre, on entendait cette rivière, dont le bruit indiquait un courant puissant... Des soldats la surveillaient, ils étaient attentifs à chaque bruit, à chaque mouvement...

Ils semblaient redouter quelque chose...

 

"On va se quitter ici.

- Déjà ? Mais, je ne vais pas y arriver tout seul !

- *Siffle étrangement* Voici ton Voldrag.

A ce moment précis, un Voldrag apparu. Il était grand, fort, et était déjà préparé pour un départ.

- Magnifique !

- Montes et pars le plus vite possible. Nous ne sommes pas dans de lieux tranquilles, ici. Adieu.

Je montais dessus.

- Adieu, sage."

Le Voldrag décolla.

En me retournant une dernière fois le voir, il n'était plus là.

 

Je passais la muraille sans gros problèmes. Quelques gardes m'avaient remarqués, mais le temps d'avertir leurs coéquipiers, j'étais déjà bien loin.

Le village de Termalbar m'apparaissait au loin, une longue nuit sans sommeil m'attendait.

 

A l’aube...

 

Je n’avais pas dormi de la nuit, j’avais veillé.

Termalbar était déjà toute proche.

La maison du sage était reconnaissable de très loin : elle était perchée sur le plus grand des arbres de la forêt. Le village, lui, était sûrement un village de bûcheron, en raison de l’immense bois l’entourant à perte de vue.

 

Je me posais au pied du grand arbre. Quelqu’un semblait déjà m’attendre.

"Bienvenue à toi, fils de Gérard. Je t’attendais. Ne montes pas, je vais t’accompagner directement au Lac Sacré.

- Bonjour, sage ! Je vous suis.

- Très bien."

Le lac était tout proche, à peine à deux cents mètres de ce lieu. Il était d’une beauté incroyable, il semblait être sorti tout droit d’un rêve.

"Pour arriver à Stendel, il faut y plonger.

- Mais, c’est interdit !

- Plonges, je te dis ! Tu es recherché ! Si tu tiens à ta vie, plonges ! Pour qu’enfin toutes mes années de recherches aboutissent ! Je t’en supplie ! s'écria-t-il à demi pleurant.

- ..." Je ne sus lui répondre. J'y plongeais.

Il se mit à réciter alors des prières en un langage incompréhensible.

 

L’eau s’était mise à faire des petites vaguelettes, un vent orangé s’était mis à souffler, des nuages commençaient à s’amasser, le temps se déchaînait !

 

Et d’un coup, des coups de voix se firent entendre, on nous avait repéré ! Il fallait se dépêcher, sinon nous allions tous nous faire prendre !

 

 

Je m’évanouis sous le choc.

 

 

"Mmmmh, aïe ! Où suis-je ?

- Il est vivant ! s’écrièrent des voix derrière moi.

Je me relevais.

- Que s’est-il passé ?

- Tu viens d’apparaitre de nulle part, comme par magie. Vas-tu bien ? me demanda une personne en toge.

- Oui, ça va. Suis-je encore au Royaume ?

- Qu’est-ce que tu racontes ! Tu es à Stendel !

- Stendel ! m’écriai-je ! J’y suis arrivé ?

La petite troupe me regarda les yeux ronds.

- Euh, bah oui, je pense.

J’étais déjà debout.

- Quel beau paysage ! Où suis-je ?

- Bienvenue à Héliopolis ! La ville romaine !

- C’est magnifique par ici !

On me sourit.

- Viens donc. Tu as sûrement besoin d’une bonne nuit de sommeil. Nous allons t’accompagner à notre taverne.

Il se tourna vers quelqu’un d’autre :

- Peux-tu l’héberger, tavernier ?

- Bien sûr, lui répondit celui-ci. »

 

Nous partîmes aussitôt en direction de la ville.

L’endroit où j’avais atterris se situait en fait au sommet d’un volcan éteint avec à son sommet un lac. Étrange ressemblance avec le Lac Sacré...

 

Arrivés devant la taverne, on me laissa seul avec lui. Quel sympathique personne était-il ! Hélas, il ne répondit à aucune de mes questions. Il fallait que j’aille me coucher...

 

Quand le coq chanta...

 

Le soleil était déjà bien haut dans le ciel quand je me réveillais. Le tavernier m’attendait déjà au pied de mon lit.

"As-tu bien dormi ?

- C’était, comment dire, reposant, lui répondis-je avec un sourire au coin de la lèvre. Nous explosâmes de rire ensemble.

- Haha... Prêt pour cette journée ?

- Bien sûr !

- Viens, je t’ai déjà préparé un petit déjeuner."...

 

Et c'est ainsi que je commençais une nouvelle vie à Stendel !

 

--

 

"J'y ai passé toute mon enfance. Je m'y sentais heureux.

- Mais pourquoi donc es-tu venu t'installer ici ?

- C'est une longue histoire... Mais cela est surtout dû au fait que je devais apporter un message à un certain Albert Markus..."

 

 

La capitale

 

An 158, mois de juin, jour du départ.

 

Les plus fidèles de mes amis s'étaient réunis à la sortie d'Héliopolis, pour me dire au revoir. En les voyants, je ne pus m'empêcher de verser une larme...

"Ah, nous t'attendions ! Nous sommes venus te souhaiter bonne chance, pour que tu nous reviennes rapidement ! dirent-ils en cœur.

- Merci, merci les amis ! leur répondis-je, avec une touche d'émotion.

- Si nous le pouvions, nous t'accompagnerions volontiers, mais le devoir nous appelle ici.

- Avancez-vous le plus possible dans la construction du port !

- Ne t'inquiètes pas, nous le terminerons pour toi !"

Je partis donc, la tête basse, en espérant les revoir un jour.

 

2 semaines plus tard...

 

Je voyais une des portes de Stendel au loin. Elle était d'une hauteur d'environ 25 mètres sur 12 de large. Elle montrait à elle seule, la richesse, avec son architecture extrêmement soignée, et la puissance, avec ses nombreux gardes, de Stendel.

 

Quand j'arrivais à son pied, un garde m'interpella :

"Oh, vous ! Qui êtes-vous et d'où venez-vous ? s'exclama-t-il.

- Je suis Yanz, fils de Gérard le forgeron. Je viens d'Héliopolis.

- Qui c'est, lui ?

Me rendant compte de la situation dans laquelle je m'étais mise, je lui répondis en inventant :

- C'est, euh, c'est le chef de la forge héliopolitaine.

- Mouais, je ne le connais pas... Mais bon, vous pouvez y aller, vous ne me semblez pas bien méchant ! s'exclama-t-il en explosant de rire.

- Très bien. Au revoir, répondis-je poliment."

Je fus très étonné par cet accueil, mais dès que je franchis cette énorme muraille, tout cela fut vite oublié...

 

Sur ma droite, se dressait le quartier des souffleurs de verre, où nombre d'artisans verriers s'affairaient sur leurs étals, et sur ma gauche, celui des joailliers : il brillait de mille feux, avec toutes ses pierres précieuses, partant comme des petits pains.

Dans ces deux quartiers, une foule impressionnante s'était amassée, de riches acheteurs, comme de pauvres voyageurs, venus de tous les coins du pays, comme moi.

 

Je marchais donc droit devant moi, en espérant trouver une bonne petite auberge pour la nuit, arrivant à grands pas.

Demandant conseil à plusieurs passants, ils me conseillèrent le plus souvent celle qui se nommait "Au Tisserand Fatigué". Elle se trouvait au détour d’une ruelle, dans un coin assez tranquille et sympathique. En y entrant, je vis pourquoi tant de personnes me la conseillaient : elle était peu chère, mais très chaleureuse.

 

L'aubergiste m'aborda alors :

"Bienvenue au Tisserand Fatigué ! me sourit-il.

- Bonsoir ! Puis-je coucher dans votre auberge, ce soir ?

- Evidemment ! Tout le monde est le bienvenu ici !

Se retournant vers quelqu'un d'autre, il appela : Marc ! Accompagne donc ce voyageur venu d'Héliopolis dans sa chambre !

- Mais, comment l'avez-vous sut ? dis-je en me dirigeant vers son assistant.

- J'ai simplement reconnu son emblème, sur votre tenue ! conclue-t-il en commençant à servir un autre client."

 

Nous montâmes quelques marches, et ce Marc me montra ma chambre.

"Voici votre lit, monsieur !

- Merci !

- Bonne soirée ! dit-il en sortant de la pièce.

Au dernier instant, je le rattrapais, et lui demandais :

- Nous sommes donc ici au quartier des tisserands, est-ce bien cela ?

- Oui, acquiesça-t-il.

- Puis-je aller le visiter ?

- Mais bien sûr ! Mais je dois y aller maintenant, on m'appelle !"

 

En sortant de l'auberge une dizaine de minutes plus tard, la foule s'était un peu dissipée, la nuit étant déjà presque tombée.

J'étais en train de marcher dans une petite ruelle, légèrement éclairée par de la lumière traversant les fenêtres des habitations alentours. Les derniers tisserands étaient en train de ranger leurs affaires.

En les regardant, je repensais à mes longues soirées d'été, où je me divertissais avec ma grande passion, le tissage... Que de bons souvenirs cela me rappelait-il !

 

Et c'est à ce moment-ci, que je réalisais, que je pouvais aussi vivre de ma passion, en me montant une petite échoppe ! Hélas, je n'avais pas les moyens nécessaires pour le faire : il fallait d'abord que j'apprenne les bases du commerce, dont j’ignorais presque tout, et me perfectionne dans le tissage.

Il fallait que je remette cette idée à plus tard, dans un coin de ma tête.

 

Le lendemain...

 

Je me levais aux environs de sept heures du matin, bien décidé d'accomplir ma tâche au plus vite.

En sortant de l'auberge, je questionnais quelques passants, en leur demandant s'ils connaissaient le destinataire de ma lettre, mais personne ne me répondit par l'affirmatif... Jusqu'à un vieil homme me dit : "Albert Markus ? Mmmh... Mais oui ! C'est le gérant de la boutique du Mouton tondu !".

Ce ne fut pas une tâche facile de la trouver, elle était bien cachée, dans un grand dédale de chemins.

 

En arrivant devant-elle, je vis un vieux tisserand, en train de sortir sa laine, à la vente. Je l'abordais :

"Bonjour, monsieur ! Etes-vous bien Albert Markus ?

- Oui, je réponds bien à ce nom. Que puis-je faire pour vous ?

- J'ai une lettre pour vous, venant d’Héliopolis."

Je la lui tendis.

Après la lecture attentive de celle-ci, il finit par me répondre :

- Merci beaucoup ! Je suis heureux de recevoir des nouvelles de ma femme et de ma fille !... Allez, venez, je vais vous servir un thé.

- Avec plaisir, répondis-je."

 

J'entrais avec lui dans son atelier, où il se mit à préparer sa boisson

 

"Cela n'a-t-il été pas trop dur pour vous, de venir m'apporter cette lettre en main propre ?

- On m'a dit que c'en était une de la plus haute importance, et qu'il fallait que je vous la remette en main propre. Je n'ai fait que mon devoir !

- Et vous avez bien raison ! Savez-vous de quoi parle-t-elle ?

- Non.

- Elle parle du mariage de ma fille, Marguerite ! Ah, que je l'aime celle-ci !

- Content de le savoir ! lui dis-je en souriant."

 

Après un instant de silence, il me demanda :

"Allez-vous rester un peu de temps, ici, à Stendel ?

- Je ne le sais pas.

- En attendant, pourrais-je vous demander de me rendre un petit service ?

- De quel genre ?

- Je voudrais embaucher un assistant, pour m'aider dans ma pauvre boutique. Etant seul, et vivant seulement en vendant ma laine, je ne puis me permettre de sortir afficher cette annonce sur le panneau d'affichage du quartier. Accepteriez-vous de le faire pour moi ?

- C'est que...

Je repensais à l'envie de vendre ma laine, comme lui... Mais en même temps, je repensais aussi à mes compagnons, que j'avais laissés à Héliopolis...

- Je pense, que je pourrais vous satisfaire en devenant votre assistant.

- En es-tu sûr ? Y as-tu bien réfléchis ?

- Oui, j'en suis sûr.

- Mmmh..., dans ce cas, je n'y vois aucun inconvénient ! me sourit-il.

- M..., merci !

J'étais ravi, à l'idée que mon rêve allait peut-être se réaliser un jour...

 

Ce jour-là, Albert n'ouvrit pas sa boutique, pour consacrer son temps, à m'expliquer le fonctionnement de son commerce, ses techniques de ventes... Nous y avons donc passé toute l'après-midi, après lequel, la soirée passa par une petite leçon pratique, sur les différentes utilités de la laine. Il prenait du plaisir à m'enseigner tout son savoir.

 

Quand la cloche sonna huit fois...

 

Nous ouvrions l'échoppe à huit heures, heure à laquelle, de nombreuses personnes se rendaient sur leur lieu de travail.

Quelques personnes s'arrêtèrent, étonnées par une nouvelle tête, qu'elles n'avaient pas l'habitude de voir, mais une grande partie, pressée par le temps, passait seulement jeter un coup d'oeil.

C'est à ce moment-ci que je servis mon premier client : cela fut une expérience très enrichissante pour moi...

 

"Bonjour, que puis-je faire pour vous ?

- Mmmh, je trouve ces rideaux bleus très jolis. A partir de quoi sont-ils fait ?

- Ils ont été fabriqué avec de la laine de mouton en provenance de la banlieue de Stendel, colorée avec une pierre bleue : le Lapis Lazulli.

- Très intéressant ! Je vais les prendre ! Combien m'en coûteront deux paires ?

- Huit pièces d'argent, s'il vous plaît.

- Tenez, je vous en donne dix ! Gardez les deux en trop, pour vous, jeune homme ! Au revoir !

- Au revoir !"

 

Au fil du temps, des clients avaient pris l'habitude de discuter avec moi, sur divers sujets, tous différents les uns des autres. On me parlait souvent d'une ville nommée Cérule, qu'ils me conseillaient d'aller voir, en raison de son caractère particulier. Curieux, j'avais déjà préparé différentes provisions, pour un petit voyage, qui ne durerait seulement deux heures à pied.

 

4 mois plus tard...

 

C'était dimanche, le jour où le magasin n'ouvrait pas ses portes.

J'avais demandé la permission de me libérer ce jour-là, pour enfin mener à bien mon excursion à Cérule. Albert me donna même une semaine de repos, pour ce que je lui avais rendu comme service : ce qui n'était pas pour me déplaire.

Il me conseilla d'y rester tout ce temps, et d'y profiter du printemps, à l'auberge d'un de ses amis : "La Casserole"...

 

Cérule

 

Je m'étais engagé dans un chemin assez étroit, mais bien aménagé. J'avais une vue imprenable sur les grandes montagnes de Stendel, où quelques bouquetins passaient de temps à autres, accompagnés par le chant des marmottes, et d'aigles planant au-dessus des plus hautes cimes.

 

Après avoir franchi un pont surplombant un grand torrent, je vis deux blasons accrochés à deux gigantesques mâts : celui de Stendel, et par déduction, celui de Cérule. J'entrais enfin sur leur territoire.

Le paysage se changea alors radicalement, passant de hautes montagnes, à de plates plaines, où de nombreux champs étaient cultivés.

 

Quelques instants plus tard...

 

J'étais arrivé sur la place principale de Cérule. Là-bas, je m'asseyais quelques instants pour reprendre mon souffle.

J'abordais alors une femme passant près de moi :

"Bonjour ! Pouvez-vous m'indiquer l'emplacement de l'auberge de la Casserole ?

- Oui, bien sûr ! C'est droit devant vous. Bonne chance !

- Merci ! Au revoir"

 

Je me suis donc levé, et me suis dirigé dans la direction indiqué. Effectivement, je la trouvais sans problèmes. Mais avant d'y entrer, venant d'apercevoir une grande église à quelques pas, je décidais d'y revenir plus tard.

Cette cathédrale était l'une des plus belles que je n'avais jamais vue. Elle était d'une telle richesse !

Une messe était justement en train d'y être célébrée, je décidai donc de rester à l'extérieur, et de juste jeter un petit coup d'œil, par sa grande porte légèrement entrouverte...

 

Quelques temps après, après avoir fait une visite plus approfondie des lieux, je me suis enfin décidé d'aller coucher dans leur auberge.

 

 

Après y avoir passé une grande semaine, je fus charmé par l'ambiance de cette ville : la population était très sympathique, le climat tempéré, l'architecture bien soignée... Un grand nombre de coups de cœur me firent prendre la décision de m'y installer à tout jamais.

Ce choix fut très dur, mais je voulais y habiter. Mes compagnons d'Héliopolis m'avaient sûrement oublié, après tout ce temps, et Albert, il fut d'accord dès que je lui annonçais la nouvelle. Il me dit, au moment où je franchissais le pas de sa porte, que c'était une bonne chose pour moi. Qu'avec tout ce qu'il m'avait enseigné, je pourrais m'y épanouir, et y ouvrir ma première boutique.

 

Le commerce

 

A la mairie de Cérule...

 

"Monsieur, que puis-je faire pour vous ?

- Je voudrais prendre contact avec le responsable de l'économie.

- Votre nom ?

- Yanz.

- Très bien ! Veuillez-vous asseoir ici. Vous avez rendez-vous dans quinze minutes !

- Parfait. Merci !"

 

Quelques instants plus tard, l'affaire était réglée : j'étais désormais l'heureux propriétaire d'un emplacement commerçant.

 

Dès le lendemain, je commençais son aménagement...

 

 

"Alors, comment trouves-tu la décoration ?

- Mmh, c'est très chaleureux et sympathique ! Mais quel est donc cet étrange objet, machine ?

- C'est un métier à tisser. Je m'en suis fait un ici, pour pouvoir servir, comme tisser en même temps.

- Ah, d'accord ! A part cela, quand ouvres-tu boutique ?

- J'avais prévu de le faire en fin de semaine.

- Je pourrais être là !"

 

 

Inauguration de la Moutonnerie, magasin tisserand, ce samedi dans la galerie commerçante ! Venez nombreux !

 

Yanz, gérant.

 

 

Et enfin, le grand jour arriva...

 

J'avais ouvert aux environs de neuf heures, plusieurs personnes étant déjà présentes. Elles sont entrées pendant que je me mettais derrière mon comptoir. Elles observaient, touchaient... Et enfin, plusieurs d'entre elles vinrent me voir :

 

"Bonjour, quel est donc le prix de ce petit lampion ?

- 2 pièces d'argent.

- Très bien, je prends !"

 

"J'aimerais prendre cette belle toile.

- Très bien ! Cela vous fera 7 pièces !

- Tenez, au revoir !".

 

La plupart de mes clients étaient céruléens, mais il y avait aussi quelques voyageurs, intrigués, qui vinrent en éclaireurs.

On me posait souvent des questions sur mes différentes astuces, techniques... J'étais fier de pouvoir partager ma connaissance, surtout à des personnes plus vielles que moi.

Et quel fut mon étonnement en voyant Albert entrer dans mon magasin ! Il me salua, et fit un petit tour dans ma boutique. Il m'acheta même un petit lampion, rouge, me demandant comment je l'avais fait... Cette première journée était pour moi une belle réussite : j'étais heureux d'avoir servi tant de personnes en si peu de temps...

 

Un jour, un client me demanda même l'origine du nom de ma boutique, la Moutonnerie. Je lui expliquais cela pendant quelques instants, qu'il venait d'Héliopolis, où, ne se rappelant plus du nom exact, je m'étais écrit "Moutonnerie" sur l'entrée dans mon enclos à moutons...

 

 

Parfois, étant seul devant mon comptoir, je rédigeais aussi divers petits textes... J'en avais justement rédigé un concernant une journée habituelle dans mon atelier.

 

 

Une journée à la Moutonnerie...

 

J'ouvre mon échoppe vers neuf heures du matin, voir plus tôt. Les clients ne sont pas très nombreux à cette heure-ci. J'en profite donc pour tisser, où rédiger... La matinée passe souvent assez rapidement au vu du travail que j'y ai à faire.

A midi, je ferme quelques instants, pour aller faire un petit tour à la Casserole, où je déjeune avec plaisir. J'y rencontre souvent un ami fermier, me fournissant la laine de ses moutons contre quelques courses.

J'ouvre donc à nouveau boutique plus tard, et enfin, les clients commencent à pointer le bout de leur nez. Le plus souvent, ils m’achètent quelques couvertures, coussins... Après quoi, viennent les objets décoratifs. Ils les trouvent, tout simplement beaux.

Ils aiment m'observer tisser. Ils me posent souvent des questions, auxquelles je réponds avec plaisir.

L'ambiance est détendue et calme : il n'y a absolument pas de quoi se plaindre.

 

Le soir venu, vers dix-neuf heures, je ferme boutique, profitant de la demi-heure restante avant le deuxième tour du repas de la taverne, pour ranger, et faire mes comptes.

La somme gagnée par jour, est d'environ quatre-vingt-dix voir cent pièces, que je garde précieusement chez moi.

Voici donc une journée habituelle d'un tisserand.

 

Yanz

 

 

2 mois plus tard...

 

Ma renommée avait augmentée encore un peu plus. Parfois, allant faire un petit tour en capitale pour me réapprovisionner de ressources inaccessibles à Cérule, j'entendais souvent parler de moi, et de la qualité de mes services. On me disait : "Pourquoi ne t'installes-tu pas en capitale ?", et je leur répondais : "Ce n'est pas mon but, Cérule me suffit largement pour l'instant."...

 

 

 

"Bonsoir Yanz.

- Sage ?..."

 

 

Les échoppes :

 

Je n'ai qu'une échoppe de prévue pour l'instant. Elle se situera sur Stendel, à Cérule.

 

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Mon échoppe à Cérule

 

Il n'y a là-bas que des emplacements, en quelques sortes "préfabriqués", qu'il ne reste plus qu'à aménager à l'intérieur.

 

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La galerie commerçante de Cérule

 

Motivations

 

Je voudrais devenir commerçant pour plusieurs raisons. La principale, c'est qu'être commerçant rajoute un peu d'"action" au quotidien : devoir gérer ses prix, se faire sa réputation/clientèle, pouvoir participer à divers évènements commerçants... Car il est vrai que Minecraft, qui est un jeu aux possibilités infinies, devient assez lassant à certains moments... Il y a aussi le fait d'avoir le sentiment d'aider les autres via notre échoppe, en leur épargnant de longues heures de "farming", avec ses stocks... La possibilité de manipuler les PAs, est aussi un avantage non négligeable, pour payer un paysan, par exemple... De rencontrer de nouvelles personnes en installant ses boutiques au quatre coins du serveur...

Mais derrière tout cela, se cache aussi l'envie d'avoir un peu plus d'argent, pour se permettre plus de choses...

 

En devenant commerçant, je m'engage à essayer de faire ce qu'il y a de mieux pour l'économie tisserande.

 

Les prix

 

J'ai calculé ces prix à partir de ce qu'il a été dit dans la Corporation des Tisserands Minefieldiens. Evidemment, ils ne sont pas définitifs.

 

990029Laine.png Laines colorées : 0,25 PAs/unité soit 1 PA les 4 soit 16 PAs le stack.

 

497722Escaliers.png Escaliers en laines colorées : 1 PA/unité soit 64 PAs le stack.

 

758443Rideaux.png Rideaux en laines colorées : 1PA/unité soit 64 PAs le stack.

 

921984Tableau.png Tableaux cerclés de fer : 7 PAs/unité soit 448 PAs le stack.

 

571737Cape.png Capes en laines colorées : 8 PAs/unité soit 512 PAs le stack.

 

316838Lampion.png Lampions colorés : rouge, jaune, blanc, noir, orange, gris, rose, magenta, vert foncé, vert clair, gris clair et gris foncé : 3 PAs/unité soit 192 PAs le stack ; bleu foncé, bleu clair, cyan, et violet : 4 PAs/unité soit 256 PAs le stack ; marron : 9 PAs/unité soit 576 PAs le stack.

 

Pour le cas de commandes importantes, je verrais au cas par cas.

 

 

Voilà.

 

Edits :

 

04/09 : Corrections diverses

21/09 : Roleplay terminé

22/09 : Relecture et corrections globales

Changement des screens

03/10 : Changement de l'image d'accueil et des screens

Ajout des prix des lampions

 

 

 

Pour finir, j'aimerais remercier tout particulièrement clem_du29, m'ayant accompagné durant tout ce temps sur Minefield.

"Vous savez, entre le vingt-neuf et le quarante-neuf, il n'y a que le vin qui nous sépare !" ;)

 

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J'apporte mon soutient à un petit blond qui en a dedans. Il a donné de son temps à Cérule depuis son arrivé y travaille avec entrain afin d'en améliorer la vie en général. Je ne serais pas étonné de le voir se développer au delà de la frontière céruléenne.

 

Bonnne chance l'ami dans ta quête d'aventure... et de tonte de mouton.

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C'est sans aucune hésitation que je viens apporter à LeBlond mon total soutien. Il représente l'une de mes premières véritables rencontres sur Minefield, que je ne regrette pas. Malgré son jeune âge, LeBlond est une personne très mature qui, j'en suis sûr, saura à merveille faire tourner son affaire. Sympathique, motivé, impliqué et très extraverti, il réunit toutes les capacités propres à un bon commerçant.

Pour toutes ces raisons citées, j'ai la certitude que LeBlond fera un excellent commerçant tisserand !

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Leblond c'est mon compagnon à Cérule, je ne m’ennuie jamais avec lui. Très présent sur le mumble et in game il sera, je le pense tout aussi actif en tant que commerçant.

 

Je soutiens Leblond car son activité lui permettra d'avoir des commerces toujours bien remplis.

Il a déjà de gros stocks de laines.

Je pense que ce sera un bon commerçant car il est fauché et a besoin de PA.

 

Beaucoup de bonne raison qui me font soutenir sa candidature.

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LeBlond est quelqu'un que j'apprécie vraiment même si je ne suis encore qu'un jeune citoyen de Cérule (depuis 3 semaines). Selon moi il serait surement l'un des meilleurs commerçants de Minefield car c'est quelqu'un de très actif, de motivé et vraiment sympa. Sa forte présence sur Mumble est un vrai plus.

 

C'est pour toute ces raisons que pour moi il mérite largement son +1 !

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LeBlond49fr .... mais c'est qui celui la ? :)

 

Non plus sincèrement, je viens ici pour apporter mon soutien à ce petit gars avec qui je m’entend très bien et que je connais depuis maintenant très longtemps sur le serveur. Alors que nous n'étions que de simples paysans nous nous sommes rencontrés à Héliopolis. Cette personne avec qui je suis encore depuis tout ce temps qui c'est écoulé est très sympathique et toujours présent pour aider les autres, je pense que c'est un des joueurs les plus actifs que je connaisse. Il connait pas mal de choses sur le serveur et y a déjà fait énormément.

 

Je pense qu'il mérite largement ce grade et qu'il continuera dans ce chemin là.

 

Et superbe candidature !

 

 

Et voila le +1 tant attendu ! :P

 

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Bon alors que dire sur LeBlond49fr...

 

Tout d'abord, je dirais que c'est un citoyen céruléen très présent ingame et mumble (il m'arrive rarement de me connecter et qu'il soit absent, à part aux heures très tardives ou seuls quelques rares minefieldiens et moi sommes présents :) ).

 

Ensuite, c'est déjà un futur commerçant très investi, qui a déjà fait en sorte d'acquérir des quantités pharaoniques de laine pour son commerce, et qui a déjà investi beaucoup de temps dans l'aménagement de sa future parcelle commerçante... Et il n'y a qu'à voir le soin apporté à sa candidature pour comprendre sa volonté d'acquérir cette licence !

 

Enfin, c'est une personne disponible, sympathique, généreuse, qui n'hésite pas à aider une personne ou un projet que ce soit en offrant des matériaux, en réalisant des crafts, ou en mettant la main à la pate ;) ...

 

Tout ça pour dire.............. +1

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Mais... Qu'ouï-je ?!?! Cette créature à la cheveulure blonde souhaite obtenir l'autorisation de vendre ses créations ??

 

Que dire de cet énergumène ? Eh bien... Plein de choses. Tout d'abord, on ne le voie jamais, sauf lorsque l'on festoie (c'est à dire tout le temps).

Il montre un certain nombre de particularités que je ne pourrai m'empêcher de citer : sympathique, investi dans sa communauté, et... J'en passe.

A la lecture de sa demande, on se rend tout de suite compte de sa volonté, de ses motivations.

Je suis certain qu'il profitera des avantages du rang de Commerçant (qu'il s'en mette plein les poches, quoi !).

Courage LeBlond ! Un jour, tu seras Commerçant !

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Bonsoir collègue Tisserand,

 

C'est avec plaisir que j'accepte ta candidature, félicitations à toi !

Il ne te reste plus qu'à régler les 500PA pour obtenir la licence, fais /pay 500 ingame et envoie moi un mp forum pour me dire quand et à quelle heure tu l'as fait afin que je puisse le vérifier, merci.

 

A bientôt en jeu.

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