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LucasStitch

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Tout ce qui a été posté par LucasStitch

  1. +1 à rafalle ! Il a rejoint Honéor il y a peu, j'ai appris à le découvrir, et cela fut une agréable surprise, rafalle c'est avéré sympa et toujours présent pour aider ! En plus il veut être indigène, un métier rare qui nous sera très très utile !
  2. LucasStitch

    Le Marché

    D'accord avec poupek ça manque un peu de charme, un marché est représentatif de la ville !
  3. GG Lesyos !!!!!! *toujours en attente du verdict pour moi*
  4. Regarder le forum suivant pour les cubos (sera mise à jour prochainement): post432281.html#p432281 (explique également le nouveau système de trésorerie) LucasStitch
  5. Etant conseiller aux finances, à la trésorerie et à l'imposition, et ayant vu avec mes collègues conseillers/bourgmestre, il nous semblait essentiel de créer un topic avec toute les entrées/sorties du budget du bourg. A présent toute transaction financière réalisée pour l'administration honéorite (vente de parcelles etc) me devra être envoyé et m'être indiquée par un mp qui m'en indique la somme, que je noterai ci-dessous. Ce nouveau système nous permettra de savoir avec un simple coup d'oeil sur le topic le budget d'Honéor. Trésorerie : Entrées: Remise à plat de la trésorerie Récupération de la trésorerie 6170PAs Dons des fondateurs 2487PAs Sorties: Achat de matériaux de construction 120 PAs Achat de matériaux de construction 121.50 PAs Achat de matériaux de construction 232 PAs Achat de verres 480 PAs Craft d'item forgerons et achats de barrières et lanternes d'acier 190 PAs Achats de matériaux divers de construction 700 PAs Rétributions 400 PAs Total: 6413.5 PAs (+ crédit: 1864 PAs) Personne en charge de la Trésorerie: Lesyos Ce topic sera régulièrement actualisé LucasStitch, Conseiller aux Finances, à la Trésorerie et à l'Imposition. Ce topic est un topic exclusivement dédié à la finance d'Honéor, donc le flood est totalement interdit (double post, et autres "HS"). Sous peine de sanction
  6. je peux pas encore le dire mais ça va gueuler xD ! C'est pas bon pour ton rang ça (nan nan) ! Tu rentres quand?
  7. LucasStitch

    Un blason pour Honéor

    Poupek les couleurs d'Honéor sont le rouge et le cyan ! Donc voilà pourquoi le bleu fait trop "turquoise"
  8. Tabasco arrête de te faire passer pour un dictateur tu fais pas de mal à une mouche ! Ou sinon ta candid est convenable, je t'ai déjà entendu sur Mumble, et ton frère ma déjà parler de toi ! +1 LucasStitch, conseiller aux finances
  9. D'accord, petite question tu es français? (enfin francophone) Ou le français est ta seconde langue?
  10. Bonne candidature, en plus tu connais déjà des personnes à Honéor c'est super et la cerise sur le cadeau: Tu veux devenir Indigène ! (enfin un indigène youpi !!) Seul petit bémol : Le prénom :joke: LucasStitch, conseiller aux finances
  11. je vais te mettre dans le cubo poupek ça sera mieux pour que tu entreposes toi mêmes les ressources, à la place de toujours devoir demander à quelqu'un
  12. 1. De qui parles tu par "ton projet" ou de "grâce à toi" Lesyos? Car si c'est le cas ce n'est pas son projet mais celui de Tabasco25 2. Ta candid n'est pas complète, on apprend rien sur toi; je ne te demande pas non plus ton adresse, mais ton prénoms, tes gouts, depuis quand joues-tu à MF etc? LucasStitch Conseiller aux finances
  13. Je préfère ta base , plus élégante fine, mais il manque un peu de couleur mais le sommet je préfère le mien, ça serait bien de mixer les deux
  14. "Je m'appelle toujours Florian" --> Sans blague ! Bref, Japaleino, est une personne énormément investi à Honéor, architecte hors paire, "payeur" de cubo (la moitié des cubos de la ville, il est owner ou user dedans). Il est fort présent tant IG que Mumble, je joue aussi avec lui sur d'autres jeux (Simcity), Japaleino est une de mes meilleurs rencontre sur ce serveur, il mérite amplement ce grade! +1 Japa !
  15. Tu as fais une faute ! C'est LucasStitch !
  16. Avec la petite signature à la Picasso ahah !
  17. Quand tout a basculé : En cet après-midi d’été, un après-midi très chaud avec un vent du sud, j’étais dans mon champ, chantonnant gloire à l’Empereur. Quand tout à coup coup je sentis cette odeur, une odeur lourde et grasse, celle du bois brûlé ! Je regardai par dessus ma haie de mûres des bois quand je vis une énorme masse noire flotter dans l’air ! Elle se trouvait juste au-dessus des quartiers sud de Stendel, c’était… de la fumée. Un énorme feu était en train de frapper la ville. Cette odeur me rappela un sinistre jour pour moi, celui où mes parents ont perdu la vie dans l’incendie de mon ancienne ville. J’entendis des hurlements, sans doute des gens brûlés vifs. Les hurlements s’approchaient de plus en plus du champ où je me trouvais. Je vis des gens le traverser en courant et parmi eux se trouvait un jeune homme, d’une vingtaine d’années, qui avait la peau de ses bras brûlée, ou encore cette vieille dame, les larmes aux yeux. Sans doute avait-elle tout perdu dans cet incendie, avec les cheveux carbonisés. Des gens me crièrent: « Va-t-en, pauvre idiot, le feu arrive ! ». Prenant cette recommandation au sérieux, je me mis à courir. Ma maison se trouvait à une centaine de mètres de là. Dans ma course folle, je regardai en arrière et je fus surpris par l’avancé rapide de l’incendie. La maison semblait s’éloigner à chaque pas fait vers elle, mon pied rafla une pierre et je trébuchai dans des ronces. Mais pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Je me levai et repris ma course de plus belle. Le sang coulait de mon arcade quand j’arrivai, enfin, chez moi. Je pris quelques affaires qui, à mes yeux, étaient très chères, tels que la seule photo de famille qu'il me restait, de l’or et toutes autres pierres plus ou moins précieuses. Quand j’ouvris la porte pour m’enfuir vers des lieux inconnus, pour être en sécurité, une chaleur énorme me frappa la figure. Cette chaleur n’annonçait pas de bonnes choses, cela signifiait que le feu n’était plus très loin. Et effectivement, il ne l’était pas, juste à une trentaine de mètres de la maison, le champ où je me trouvais quelques minutes plus tôt n’était déjà plus que poussière. Je repris ma course vers la forêt, quand sur le bas-côté je revis cette vieille femme, vue auparavant quand je travaillais aux champs. Elle gisait là, inconsciente, comme endormie, mais cette fois-ci, elle s’était endormie pour de bon. Elle était morte. Après environ quatre heures de course effrénée, j’arrivai dans un petit camp de réfugiés au beau milieu de la forêt. Je passai la nuit avec eux, certains pleuraient sur ce qui venait de se passer, d’autres se racontaient comment ils ont dû évacuer leur maison et d’autres encore, au nez rouge, rigolaient comme si rien ne s’était passé. J’ai vite compris leur joie inappropriée en voyant plusieurs verres de bière vides à leurs pieds. Je suis resté quatre ou cinq jours dans ce camp. Le temps s’écoulait vraiment lentement, les secondes sont devenues des minutes, les minutes des heures et les heures des jours ! Après ces jours interminables, une lueur d’espoir vint enfin éclaircir ce sombre moment. C’était un colporteur qui venait nous annoncer que le feu venait d’être maîtrisé et on venait seulement de l’éteindre. Nous avons eu le droit de retourner sur les lieux de l’incendie. Aussitôt dit, aussitôt fait ! Je me mis sur la route du retour cette fois-ci à pied, quand d’un coup je pensai à Houston mon vieux cheval. Je l’avais laissé dans son box, chez moi. Non ! Houston, mon cheval ! Je couru à toute vitesse vers mon ancienne maison pour le retrouver. Je l'espérais vivant… Quand j’aperçus cette énorme étendue de terre noircie par le feu, je dus me mettre en tête que je ne verrai sans doute plus mon cheval, plus rien ne restait à part les troncs sans vie et des rares arbres carbonisés encore debout. Plus aucune maison ne se trouvait dans cette zone, je ne pourrai vous dire où se trouvait ma maison, tout a été réduit en cendre. Je pris donc la route, enfin ce qu’il en restait, vers Stendel. Sur le chemin j’aperçus un vieil homme qui pleurait, assis sur une pierre. Je le reconnu aussitôt: c’était Henry Paudrome, celui qui m’avait vendu mon cheval, Houston. Il me reconnut aussi et me dit : « Lucas ! Si tu savais, j’ai tout perdu dans cet incendie, mon auberge, mon écurie et mon atelier». Je lui dis à mon tour que j’avais perdu mes champs, ma maison mais surtout mon cheval. «Quoi ?! dit-il, Houston est mort ? Oh, non ! Moi aussi j’ai perdu mes chevaux sauf deux : un charmant destrier blanc et un petit pur race alezan, si tu veux je peux te le vendre». Mais moi, toujours sous le choc de la perte de Houston, n’étais pas encore prêt pour acquérir un nouveau cheval. Mais, pour une raison de praticité, j’en achetai un nouveau. Cent pièces d'argent données de main à main, et me voilà propriétaire d’un nouveau cheval, j’ai nommé Boston. Une nouvelle vie : Me voilà, à présent, scellé sur mon nouveau cheval. Je franchi ce qui était la porte Sud de Stendel pour rentrer dans la Capitale, tout semblait avoir été comme soufflé par une énorme explosion, une scène apocalyptique s’ouvrit à mes yeux : des maisons carbonisées, des fleurs et des arbres réduits en poussière et le pire, des corps, là, gisant sur le sol, des personnes qui n’ont pas eu la chance de fuir le feu à temps. Mais avec ces images, il y avait aussi l’odeur ! Cette horrible odeur de brûlé et de corps qui se décomposaient sous la chaleur de l’été. Le son aussi était impressionnant, un silence de mort régnait sur tout le sud de la ville, on aurait dit qu’une guerre venait d’y avoir lieu. Je traversai donc le sud de la ville, sans aucune idée de ce que j’allais faire, ni d’où j’allais. Par les foulées de mon cheval, j’arrivai au beau milieu de Stendel, à la place principale. Là les immeubles étaient intacts, toujours aussi grandioses et luxueux qu’à l’origine. En allant à la taverne pour, sans doute, boire... boire pour oublier, oublier tout ce qui venait de se passer. Je vis une sorte d’étrange homme qui au premier abord me sembla fou. Son nom ? Tabasco ! Il criait : «Venez nous rejoindre, venez nous rejoindre, le bourg d’Honéor, un tout nouveau bourg qui ne demande qu’à vous accueillir, un petit bout de paradis dans les champs à trois pas de Namnis ! Il comporte plusieurs habitants ! Moi et euhh… roh ! Peu importe ! Rejoignez-nous !». Est-ce un appel de dieu ? Oui, je crois, moi LucasStitch, venant de tout perdre, se voit ouvrir l’occasion de reprendre une nouvelle vie. J’allai voir cet homme et je lui demandai plus ample information sur ce nouveau bourg. Il me répondit, tout fier d’accueillir un premier habitant dans son bourg. J’acceptai de suite de rejoindre l’aventure. Il me donna rendez-vous quelque jours plus tard à Honéor. Je passai trois nuits dans les rues de Stendel. Une affreuse nuit orageuse et deux autres nuits, lourdes comme celles d'été. Après ces trois nuits, je pris route vers Honéor, une route qui s’annoncera forte en aventure. Dès le départ je me trompais de chemin, Honéor étant un bourg naissant, il n’était indiqué sur aucun panneau de la route de l’Ouest, en demandant à un homme, il me dit de suivre la direction de Namnis. Je me mis donc en route. Je marchai, je ne saurai vous dire combien de temps, jusqu’à ce désert, chaud et sec, où ma tête se mit à tourner et où des hallucinations vinrent me hanter. Là-bas, au loin, je voyais la mer, avec sur ses flots des navires avec le pavillon namnète. Puis enfin, j’arrivai à Honéor, enfin si je puis dire, l’étendue d’herbe où se trouvera le bourg. Comme prévu, Tabasco était là, regardant sa montre, car j’avais une vingtaine de minutes de retard. Quand il me vit, je vis se dessiner sur son visage un sourire. Il m’expliqua un peu la répartition des quartiers et l’administration du bourg. Il me laissa l’occasion et le privilège de choisir ma parcelle gratuitement ! Je choisis une maison sur une colline, sans doute un peu nostalgique de mon ancienne maison. Cette colline deviendra le quartier haut. Je commençai à construire ma maison, mais comme c’était la première à être construite, je n’avais pas vraiment de repères architecturaux. Entre plusieurs allés vers la Capitale Stendel, pour acheter les matériaux nécessaire à la construction de la maison, et des heures et des heures de test pour l’architecture de ma maison, je découvris ce que les gens appelaient le S.P.L.A.S.H, cette sorte d’oiseau volant, qui nous permet de parcourir l’empire en peu de temps. Une nouveauté appréciée, même si à vrai dire, j’avais peur de tomber. Seulement deux semaines plus tard ma maison était terminée, elle trônait là, bien seule dans ce nouveau bourg. J’inscris, fièrement sur une petite plaque de bois sauvée de l’incendie, ces quelques mots : « Plus vieille maison d’Honéor ». Après être installé, il fallait contribuer ! Me voilà Honéorit ! : Tout fraîchement installé à Honéor, je commençais à mettre la main à la patte pour faire de cette étendue de terre, un bourg. Qui sait ? Peut-être qu'il deviendra grand. Mon premier chantier fut la plantation de champs et la construction d’une grange. Chaque soir, j’allais avec Tabasco à la taverne de Namnis, quand un soir je croisai un garçon nommé Japaleino. Il me sembla plutôt timide à première vue. J’engageai la conversation : « - Bien le bonjour visiteur, tu es nouveau dans le coin ? - Oui, à vrai dire je cherche à m’installer quelque part, me répond dit-il. - J'ai peut-être une solution pour remédier à ton problème, dis-je. - A oui ! Ça serait superbe, surenchérit-il. - C'est un tout nouveau bourg sous le nom d’Honéor. » Sur ce, je l’emmenai à Honéor pour lui faire «visiter» les lieux, enfin les rares choses déjà construites. Il tomba sur le charme du bourg et s’y installa. C'est un nouvel habitant qui se révélera indispensable. Japaleino, une personne extraordinaire : Après avoir fait plus ample connaissance avec lui, on se mit à construire ensemble une mairie, un théâtre, et maintenant un quartier bancaire. Honéor a bien grandi en si peu de temps. Japaleino est à vrai dire une de mes meilleurs rencontres dans cet empire. Beaucoup de rigolades, certes sous l’emprise de l’alcool, dans la taverne flambant neuve d’Honéor. Notre travail a tout de même été récompensé, nous avons été gradés : Conseiller de la culture et du cloître pour lui et de la finance pour moi. Nous serons suivi par la venue d’un nouveau conseiller, Lesyos, qui lui aussi a beaucoup fait pour le bourg. Maintenant conseiller, je servais à quelque chose dans ce monde, j’avais enfin une tache à accomplir et j’étais entouré de très bonnes personnes. J’avais enfin trouvé ma place dans la communauté de l’empire. Un métier ? Joaillier : Jamais la question de quel métier j’allai choisir ne s’était concrètement posée. Elle se posa quand, un jour d’automne sous un vent infernal et une pluie battante, j’étais allé voir mon ami Japaleino chez lui. Ce jour-là il me semblait assez préoccupé. Je lui posai la question de la raison de cette préoccupation. Il me répondit qu’il tracassait sur son avenir, sur quel métier il allait choisir. Après avoir parlé des heures et des heures, après avoir fait le tour des métiers possibles et inimaginables, il choisit le métier de mineur. Mais cette question, ces deux mots m'ont glaçé le sang. Ces mots ? «Et toi ?», ils résonnaient comme un challenge, mon cœur s’était comme arrêté de battre. Et moi, qu’allais-je devenir ? Allais-je rester paysan toute ma vie ? Ou bien allais-je grimper encore un peu plus dans la société ? Tant de questions me montèrent à la tête, je ne m’étais jamais vraiment posé la question. Mais la réponse me semblait, d’un coup, évidente : depuis tout petit j’étais attiré par les métaux et minerais en toute sorte, sans doute dû au métier que pratiquait mon père, forgeron, mais je n’étais pas attiré par n’importe quel minerai, non, au contraire. J’aimais particulièrement ce qui brillait, ce qui était rare et prestigieux, ce qui n’était porté que par la haute bourgeoisie : les pierres précieuses ! Je les aimais toutes, de l’émeraude à la citrine en passant par le saphir au rubis et bien évidemment le diamant ! Voilà, j’avais trouvé ce que je voulais faire, je voulais devenir Joaillier ! J’avais déjà un partenariat pré-signé avec Japaleino, et là, on s’imaginait déjà dans notre boutique, pour, qui sait, peut-être faire fortune ! Dernière ligne droite : Voilà, je commençais à dessiner mon avenir, mon futur métier et j’espère une vie meilleur, et pourquoi pas devenir Stendelien, mon rêve depuis ma venue dans l’empire. Etant fils de Capitale je ne pouvais me sortir l’idée de ma tête que je deviendrai, un jour, habitant de Stendel. Cette ville immense, toujours pleine de vie et de charme, voilà pourquoi aujourd’hui je me trouve là Madame, au bureau du peuple, section candidature Citoyenne. La femme qui était assise devant moi me demanda de lui donner mon dossier. Le nom de cette femme ? Je pus lire sur son badge: «Louvinette». «Merci bien, je l’étudierai dès que j’ai le temps et je vous préviendrai quand j’aurai pris une décision», dit-elle. Merci à Skreldniir et Japaleino pour avoir corriger mon RP
  18. Theor, citoyen émérite Honéorit, d'où son grade de citoyen d'honneur, met toujours la main à la pâte pour aider, très présent sur Mumble, joueur fort sympathique, il mérite amplement ce grade, c'est pourquoi je le plussoye aujourd'hui! Un gros +1 pour notre Strasbourgeois préféré !
  19. On attendra que tu finis de purger ta peine pour parler ensemble sur Mumble alors
  20. Salut ta cadid me semble recevable, un bon aperçu aux premières vues (mise à part la boulette que tu as commise), par contre j'aimerai bien en savoir plus sur toi (surtout l'âge) tu pourrais passer sur Mumble pour faire plus ample connaissance. Cordialement, LucasStitch, Conseiller aux finances. La decision de te passer ou non en période d'essai, sera prise dans les plus brefs délais, en présence de mes collègues conseillers et du bourgmestre (si il est rentré de vacances)
  21. Les mobs font repartir ! Moi je dirai plus de ne pas en mettre pour car après bonne chance pour tout enlever !
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