Aller au contenu

Nuttys

Minefieldien
  • Compteur de contenus

    24
  • Inscription

  • Dernière visite

1 abonné

À propos de Nuttys

  • Rang

Information du Profil

  • Pseudo minecraft
    Nuttys

Visiteurs récents du profil

Le bloc de visiteurs récents est désactivé et il n’est pas visible pour les autres utilisateurs.

  1. Nuttys

    [Lock]Aldora

    Merci tout le monde pour vos encouragements !
  2. Nuttys

    [Lock]Aldora

    Modification faite.
  3. Nuttys

    [Lock]Aldora

    Bonjour à tous, J'ai editer le post afin de corriger notre emplacement pour éviter tout conflit. Ainsi, nous serions bien plus au Sud : J'en profites aussi pour vous remercie pour vos commentaires positifs Cordialement,
  4. Nuttys

    [Lock]Aldora

    Résumé du Projet : Aldora est un projet lancé par un groupe de 5 joueurs, son but est de faire naître une ville à la fois belle et laide. Le principe est simple, cette ville adopte une apparence extérieur des plus séductrices afin d'y attirer plus facilement le client. Cependant, en son sein un cartel vois le jour et devient au fil de l'avancée du commerce au sein de la ville, de plus en plus puissant. A ceci, on ajoute les natifs de la région et tout est réuni pour de la construction et de l'échange culturel en tout genre. On peut aussi ajouter à cela des classes sociales pas forcément méritées, et parfois injustes mais le peuple dispose ainsi de tout les outils nécessaires, pour créer un conflit ! Roleplay : Les Origines d'Aldora Chapitre I : L’Exode. Une pièce, deux faces. Pile… et face. Deux possibilités, pile je gagne, face, tu perds. Ça paraissait aussi simple. D’ailleurs, ça l’était… Durant un temps… Quatre ans, c’est ce qu’il nous aura fallu pour nous installer sur cette île. Quatre années d’expansion et de découvertes, quatre années où la fortune était de notre côté. L’île n’avait plus aucun secret pour nous, le continent quant à lui, ne cessait de nous surprendre. Nous allions d’île en île, de régions en régions, à la recherche de ceux qui peuplaient ces terres. Nous entretenions avec tout ce peuple, des relations … disons correcte et purement commerciale. Il n’était pas dans notre idée de rester plus de dix ans sur cette île que nous avions conquise. Le but n’était que d’installer un comptoir. Le commerce était la raison de notre venue. L’or la raison de notre existence. De ce fait, nous fîmes construire maintes routes commerciales à travers le continent, terrestres comme maritime. Les quelques milliers de pièces de cuivre utilisées dans cette construction devaient être l’assurance d’un commerce florissant. Et qui dit commerce florissant, dit échange de monnaie; fabrication de monnaie ! Et oui, face à tant d’achat, la monnaie se faisait trop rare et le continent dû vite s’équiper de machines de frappe ! Evidemment, tout ceci était prévu et nous leur vendîmes volontiers les machines nécessaire. Hélas, ils n’étaient pas si naïfs que le Roi Marchand le cru. Discrètement, le piège se refermait. Jour après jour, nous nous rendions compte du mensonge qui nous entourait. Jusqu’à ce jour… Le soleil se levait à l’horizon. Les oiseaux chantaient, les vaches meuglaient. Le vieux Richard était encore en train de courir après ses poules, aidé de son fils, le jeune David, sept an mais déjà un sacré gaillard. Le vieille Sandrine gueulait encore à sa fenêtre, pour ne pas changer. La patrouille de nuit revenait, les enfants se précipitaient sur eux, afin de caresser les chevaux. La jeune Jilluane dansait, vêtue de sa robe bleue marine, brodée d’or. J’aime cette fille, je l’aimais. Ils sont arrivés d’on ne sait où, vêtues de longue capes rouges et noires. Armés d’hallebardes, de torches et de haches, ils étaient des centaines à venir de toute part. Sortant des bois qui entouraient le village, ils n’ont laissé aucunes chances aux fermiers et au villageois qui travaillaient dans leurs champs. Le village fût aussi tôt évacué vers le Château. Celui-ci, dont l’architecture était bien plus travaillée que sa capacité à supporter les assauts, n’aurait jamais fait long feu face aux machines de guerre, pointant le bout de leur nez à l’horizon. Tout le monde était conscient de la chose, et très vite la panique prit le dessus et beaucoup perdirent la raison préférant ainsi se tuer plutôt qu’endurer les souffrances dont avaient été victimes les autres villageois, tombés lors de l’assaut du village. C’est à cet instant que je me rendis compte de l’absence d’un des hommes les plus importants de l’île. Notre Roi Marchand, Sir Léor IV. Je l’ai cherchais pendant près de deux heures, je fusse arrêté dans mes recherches par un bruit insupportable. C’était la porte qui venait de céder, je m’empressai alors de rejoindre les derniers survivants et les conduisis dans les égouts. Nous ne serions pas en sécurité très longtemps dans les égouts, mais l’entrée était dissimulée et la sortie menait dans une grotte cachée par la forêt. De là, je prévoyais d’embarquer sur des embarcations de fortunes afin de rejoindre une petite île un peu plus loin. De cette île nous aurions pu bâtir une chaloupe et partir loin de là. Hélas, la chance en décida autrement. Arrivé sur les côtes, ce n’est pas moins de cinquante soldats menés par deux capitaines qui nous attendaient, arme en main. A couvert derrière leurs boucliers, les soldats formaient un rempart infranchissable, nous n’étions qu’une dizaine et n’avions aucune arme. Je m’agenouillais alors sur le sable, désemparé. Je m’attendais déjà à voir se rempart s’avancer, venir faucher les quelques innocents qui m’accompagnaient. Mes poings se serrant, une larme coula sur le long de ma joue… Et c’est là ! Au moment où les capitaines donnèrent l’ordre à leurs soldats d’attaquer, qu’apparu au loin, dans une épaisse brume, un grand navire aux voiles vertes et noires. Celui-ci à peine apparu ouvra le feu sur la plage, déchainant la mer et enflammant la plage. Je couru mettre tout le monde à l’abri dans la grotte, et restait alors sur mes gardes. Les soldats au village avaient forcément entendu ce qu’il c’était passé et ils n’allaient certainement pas tarder à venir sur place. L’attente fût longue dans la grotte, et c’est au coucher du soleil que je vis le navire disparaitre dans les lointaines brumes. Les soldats quant à eux ne donnaient aucun signe de vie, peut être étaient-ils parti. En tout cas, c’est ce que j’osais espérer… La nuit tomba, et les villageois survivants finirent par s’endormir. Ils avaient vécu l’horreur en ce jour et jamais, oh non jamais, ils n’auraient dû vivre un tel évènement. Quant à moi, je décidai de me rendre sur la plage. Sur le chemin j’aperçu une lueur, il s’agissait d’une femme, vêtue d’habits qui m’étaient étrangers. Je ne fusse capable de distinguer la couleur de ses vêtements, ceci dit leur coupe ressemblaient à celles des vêtements de simples villageois, ceci dit, les tissus semblaient quant à eux être d’un certain coût. Après quelques instant d’hésitation je me rendis à ces côté afin de lui parler. La femme se présenta à moi sous le nom de Julie. Il s’agissait d’une émissaire, elle était envoyé par le Capitaine Sénéchal de la Chasse Impériale. Elle m’invita à partir de cette île au plus vite. Et c’est après lui avoir raconté ce qui c’était passé sur l’île plus tôt dans la journée qu’elle nous invita, moi et les miens à monter à bord de La Voile Brumeuse, leur navire… Chapitre II : Un voyage peu ordinaire. Partie I : Un début difficile. Nos débuts à bord de la Voile Brumeuse furent difficiles. Peu d’entre nous savaient comment fonctionne un navire. Pour des raisons que j’ignorais, la Capitaine ne nous faisait aucunement confiance. Je voyais de la méprise et de la crainte dans chaque regard. L’équipage qui nous avait sauvés nous craignait et nous haïssait. Tout comme les autres survivants, je ne comprenais pas pourquoi nos sauveurs nous considéraient ainsi. D’autant que nous obéissions à chacun de leurs ordres, afin de les remercier de leur aide des plus… généreuses… C’est seulement après quatre jours de navigation, que la Capitaine nous offrit la possibilité d’aller dormir un peu, nous reposer et nous revigorer. Celle-ci m’invita d’ailleurs à sa table, en privé, dans sa loge. Nous discutâmes alors des évènements récents : « Bon alors camarade, vous ne semblez pas être mauvais alors j’me pose une question. Qu’est-ce que vous avez bien pu faire à ces hommes pour qu’ils vous en veuillent à ce point ? » Me demanda-t-elle. « Et bien ma foi… Disons que nous avons sous-estimé notre mission et probablement été victime de cette négligence, madame. » Lui répondais-je. « Dites m’en plus je vous prie. Expliquez-moi donc ce que vous leur avez fait, quelle était cette « mission » que vous nommez. » Rétorqua-t-elle. « Mon père le Roi Marchand Léor IV c’est vu confier une mission qu’il disait « divine ». Au début, tout le monde le prit pour un fou, mais c’était notre Roi et il était hors de question de lui désobéir. Ainsi, notre peuple suivit mon père à travers monts et marais. Durant des années nous accomplîmes sa mission, nous faisions vivre le commerce là où il n’existait pas. Nous faisions naitre l’échange des cultures et de l’or, des richesses. Nous entretenions alors d’excellentes relations avec beaucoup de peuples, qui se sentaient surement redevables envers nous… En réalité nous vivions un rêve éveillé… Mais… » « Mais … ? » Dit-elle d’une voix posée. « A la mort de ma mère, mon père perdit la raison et ne vit en sa mission plus qu’une seule chose. La richesse, l’or, les diamants. Rubis et saphirs étaient désormais sa famille. Il ne souhaitait plus qu’une chose. Que tout le monde reconnaisse sa grandeur, et ce par sa richesse et par l’architecture qu’il imposait à ses villes et villages. Si nous étions sur cette île, c’était dans le but d’y bâtir un énième comptoir de commerce. Malheureusement, mon père était devenu bien trop fourbe et il s’en cachait de moins en moins. Ca a dérapé, les peuples de ces terres se sont rendu compte de la magouille et ont voulu se venger… Je ferais n’importe quoi pour retourner en arrière, malheureusement… Cela m’est impossible… » « Je vois…. Triste histoire qu’est la vôtre camarade. ‘Fin si j’puis m’permettre, en fait, j’me permets d’vous dire qu’ça, ça va vous servir de leçon. Vous êtes dev’nu un homme camarade, vous mènerez vôtre peuple vers un petit coin de Paradis. Avec vous, ce souvenir douloureux, qui vous empêchera de commettre cette même erreur. Faites-moi confiance. On se dirige vers l’Ouest, vers Stendel, si vous voyez des côtes intéressante, venez me voir on accostera. De toute manière, on devra mettre pied à terre, nos canne à pêche et nos filets sont usés on pourra bientôt plus se nourrir. » Ainsi se conclu notre discussion. C’est alors à bout de nerf, après m’être remémoré cette triste journée que je partis me reposer, il nous restait encore quelques jours de navigation avant d’arriver à bon port. Partie II : Des découvertes inattendues. « Baleine à bâbord ! » « Ne paniquez pas camarades, ça n’est qu’un gros poisson ! » « Sortez les harpons ! Y a du poisson les gars ! » Ce sont ces cris qui ont eu raison de mon sommeil. Les matelots venez de voir une baleine, certains n’en avait jamais vu une. Certains des miens se trouvaient sur le pont quand je suis arrivé. Les quelques enfants présents étaient émerveillés par cette découverte. Il est en effet très rare de trouver des baleines dans ces mers. Peut-être s’était-elle perdue. En tout cas, nous ne le saurons jamais, nous ne retiendrons qu’une chose d’elle… qu’est-ce qu’elle était bonne ! Il n’y avait dès lors plus aucun doute possible sur cet équipage, ils étaient d’excellent pêcheur ! Il nous fût difficile de découper la baleine en mer, mais nous parvinrent à le faire avant la tombée de la nuit. Le repas fût copieux, les soucis posés la veille par la Capitaine semblaient déjà bien loin. Avec une telle quantité de nourriture, il est possible de nourrir le navire entier pendant au moins deux semaines. Après une longue nuit de festivité afin de fêter la Sainte Mère Mitaine, Sainte sans qui d’après l’équipage nous ne serions jamais retombés sur une telle offrande, il fût temps pour chacun de reprendre son poste. La route était encore longue jusqu’aux terres de Stendel et le temps menaçant n’engageait rien de bon pour les prochains jours… Deux jours plus tard, durant la nuit une violente tempête éclate non loin des côtes Est de Stendel. « On a perdu la voile ! Bordel ! » « Gardez votre calme ! » « On va tous mourir Capitaine ! J’suis trop jeune ! » « Du calme Roger, personne va mourir, puis t’as atteint la soixantaine toi ! » « SILENCE Camarades ! Allez réveiller les autres, tout le monde sur le pont, on va s’en sortir ! » « Mon Prince, mon Prince, la Capitaine nous demande à tous de la rejoindre sur le pont ! » « Mmmh… » « Allez mon Prince, s’il vous plait réveillez-vous ! » *SCRAAATCH* « Mmmmh ?! Hum… Bon sang mais qu’est ce… Oh putain ! » « Ah ! Mon Prince, enfin ! Vite, venez sur le pont ! » Après quelques instant à me demander ce qu’il se passait, je pris ma cape et me rendit sur le pont. La voile principale était tombée, et il était urgent de la relever. La tâche ne fût pas simple, les vagues étaient immenses, la tempête battait de son plein et le bateau bougeait bien trop pour espérer faire quelque chose de précis. Il nous fallut ainsi attendre la fin de la tempête afin de pouvoir retravailler la voile. La principale action que nous tentâmes de réaliser était d’entourer la voile avec des cordes, afin de l’empêcher de tomber à l’eau. La nuit fût longue, probablement la nuit la plus longue que je n’ai jamais connue. Le lendemain matin, nous nous réveillâmes à quelques mètres des côtes de Stendel. Nous décidâmes alors de rejoindre la côte à l’aide de barques d’évacuation, afin d’aller y installer un campement et ainsi de tenter de réparer la voile plus aisément. Chapitre III : Un nouveau départ. Le campement fût vite monté et les éclaireurs vite partis. Il était urgent de trouver de quoi nous nourrir, mais il nous fallait aussi trouver une forêt à exploiter pour pouvoir réparer le navire et notamment la voile qui semblait dors est déjà irréparable… La nuit ne tarda pas à tomber, et nos éclaireurs de retour nous apprenait alors au coin du feu, qu’une forêt longeait les plaines non loin. De plus l’un d’entre eux nous fit part de sa découverte. Un chantier était en cours à près de cinq kilocubes de notre campement. Un peu plus tard dans la soirée, alors que nous dormions paisiblement sous nos tentes, nous fîmes surprit par une attaque d’horribles monstres assoiffés de sang. Ils furent vite repoussés par les Corsaires, aux aguets. Cependant, bien que les Corsaires nous protégeaient, il fût difficile de fermer l’œil un instant durant le reste de la nuit… Le lendemain matin je parti avec quelques corsaires en direction du chantier découvert la veille, tandis que quelques villageois partaient en direction des bois. Durant ce temps je chargeai les éclaireurs de repartir à la recherche d’animaux à élever. Il nous fallut une heure pour atteindre le chantier, nous y rencontrâmes deux natifs. Il nous était difficile de comprendre leur accent dans un premier temps, mais à force nous nous y sommes fait. Nous discutâmes pendant près de trois heures. Ils nous apprîmes ainsi le nom de la Région, tout du moins, d’après eux cette région se nommait « Buh Zivota ». Je ne compris pas la signification de ce nom, mais après tout s’ils étaient les premiers présents ici, c’est le nom qu’ils ont choisi pour ces terres qui reste le plus apte à représenter la région. Après une bonne nuit passée sur le Chantier, et après encore une attaque de ces drôles de monstres nous finîmes par rentrer au camp. De retour au campement, afin d’éviter toute nouvelle attaque des monstres, nous décidâmes de bâtir une ferme entourée par un muret. Ainsi nous allions pouvoir enfin nous installer durablement et peut être un jour, bâtir ici la plus grande des cités dont nous rêvions tous depuis notre départ de Port Royal, notre prestigieuse cité mère. Les Informations Techniques Responsable du projet : Abstention303, Nuttys, Dark_Lycos Membres du projet : Abstention303, Dark_lycos, Phénix38430, Vixou, Lord_Munster, DJXY, Gyew1367, xVinycole, Keil67, Nuttys. Nom : Aldora Dimension : On vise un 100x100 pour l'instant, comprenant Bourg et bidonville souterrain mais l'objectif final étant biensur de bâtir sur toute la surface. Hauteur : 50 Zone de construction : Sol avec une légère partie en sous-sol. (Bidonville, quartier défavorisé lieux lugubres, mais aussi les egoûts !). Objectif du projet : Créer une cité portuaire à la fois riche et quelque peu corrompue, où règne un certain climat de doute mais où l'architecture est des plus magnifiques. Biôme colonisé : (A l'ouest de la map Stendel, entre "Terres d'Hallbard" et "Bastion de Nivem".) Statuts Aldoréens Les Colons , Natifs et Corsaire d'Havrebrume : Se sont les membres fondateurs de la ville. Les riches marchands : Il faut pour avoir ce statut, être marchand et de surcroît avoir une certaine masse monaitaire. Les riches : Il suffit d'avoir une bonne masse monnaitaire. Les Bourgeois : Il suffit d'avoir quelques pièces d'argent et d'être apte à subvenir à ces besoins. Le Corsaire : Qu'il soit riche ou pauvre il a décidé de servir le Cartel d'Aldora. Et a de surcroit été accepté par celui-ci. Les mendiants : Vous passez votre temps à réclamer de l'argent et ne souhaitez pas travailler. Les esclaves : Vous êtes pauvre et avez accepté votre sort, vous êtes l'esclave d'un habitant d'Aldora. Les sous-fifre : Pas de chance, vous êtes tombé au mauvais endroit, au mauvais moment, le Cartel aime faire mal, et vous le savez. Hiérarchie Aldoréenne Le Régent et les membres du Conseil : Ils prennent toutes les décisions importantes concernant la ville, quelque soit le point de vue ou la situation traitée. Ils sont représentés par les : Colons et les Corsaires d'Havrebrume. Il est possible qu'un Natif face partie du Conseil. Les Membres du Cartel : "Police" d'Aldora et anciens Corsaires, ils sont mafieux et aime l'argent cependant s'ils peuvent oublier facilement certaines choses contre quelques pièces d'or, ils n'en sont pas moins des plus fidèles vis-à-vis du Régent. Ils sont représentés par les Corsaires, le Régent et certains membres du Conseil. Les Citoyens : Ils sont suffisamment utile pour mériter leur place à Aldora, ils possèdent une maison en ville et ont un droit de parole. Le Conseil écoute leurs attente, sans toute fois forcément y répondre. Ils sont représentés par : Les Riches Marchands, les Riches et les Bourgeois. Les Pauvres : Ils vivent dans le Bidonville, sous terre. Ils sont chargés des tâches ingrates, comme transporter des ressources, ou miner dans des zones dangereuses. Ils sont représentés par : Les sous-fifre, les mendiants et les esclaves. Règles Aldoréennes La première va de soit, respecter le réglement du serveur. (Ca peut paraitre con, dit comme ça... Mais...). Ensuite : -Le Régent et son Conseil ont tout pouvoir sur la ville. -Le Cartel ne peut pas trahir le Régent. (Mais peut trahir le Conseil.). -Le Régent doit être informé en cas de problème RP ou HRP au sein de la ville, il tentera de trouver ainsi, un terrain d'entente. -En cas de suggestion à propos de la ville, envoyer un MP en jeu ou sur Forum au Conseil et au Régent. -Dans les canaux, les embarcations ont la priorité sur les nageurs. -Les conflits RP doivent rester RP, aucun dérapage ne sera tolérer au deuxième averto c'est oust ! Si d'autres règles doivent être ajoutées, elle le seront. Architecture d'Aldora La Cathédrale : Les Bidonvilles : Quelques exemples de l'architecture des différentes maisons/commerçe, etc. : Une vidéo et plusieurs autres images de bâtisses faites avec la même architecture, le lien renvoyant sur le forum d'un autre serveur MC, je préfère mettre un spoil. Voili, voilou, en espérant que ce projet vous plaise ! Si vous avez des questions/suggestions je vous invite à MP Abstention303 sur le Forum.
  5. Je suis pour ce projet ;D L' équipe de nuit ;D mouahahah j'aime xD
  6. Nuttys

    absence

    Je serais encore absent un petit moment je vous laisse un petit message pour vous prévenir ^^
  7. Tu demande pas une démocratie, mais pourtant tu demande le même fonctionnement. PS:Je suis jeune arrivée et de mon point vu il y a pas trop soucis et pour sa j'essaye être le plus neutre possible.
  8. Je soutiens Eskaped car j'aime boire mouahahah De plus Eskaped est une personne de confiance =)
  9. Nuttys

    Depart Nuttys

    Je mets ce message pour annoncé mon départ de Navis, Je redonne ma maison aux personnes compétentes. Je vous souhaite une bonne continuation =)
  10. Je soutient aussi totalement ce projets. =D
  11. Je fais une petite parenthésé xD Piedplat j'adore ta maison, je la trouve vraiment bien faites ^^
  12. Nuttys

    Fairy Law

    Projets a développé
  13. Que dire de plus de ceux qui a été dit ? Pour résumé Lazzky est un honnête citoyen, une personne qui a de l'expérience et aussi un cœur énorme. Concernant le commerce, il est compétant, même qualifié. En gros je le plussoie!
  14. Âpres sa reste seulement mon avis, mais installé joliefield est un choix que vous faites vous, alors que mettre joliefield de base est quelque chose qu'on impose au joueur. Âpres comme je le dit sa reste mon avis
×
×
  • Créer...