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[Accepté] L'enclume Griffonite - Maiitoni(²)


Maiitoni
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Spécialisation : Forgeron

Nom de l'échoppe : L'enclume Griffonite

Localisation : Stonecross

 

Bonjour à tous !

 

Il s'agit là de ma 5ème candidature sur Minefield. Eh oui !

 

Petit rappel des candidatures précédentes :

-Paysan : candidatures-serveur-minecraft/demande-candidature-maitoni-t16356.html

-Voyageur : candidatures-serveur-minecraft/postuler-rang-voyageur-maitoni-t20767.html

-Commerçant (1) : citoyens/demande-une-licence-marchande-maiitoni-t23753.html

-Citoyen : citoyens/demande-citoyennete-maiitoni-t31035.html

 

Pour revenir sur mon premier grade commerçant, je l'ai quitté pour diverses raisons que certains considèreront comme inutiles... Bref, inutile de revenir là dessus, je souhaite me présenter à nouveau après 6 mois d'absence à ce grade.

 

 

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Eh bien je crois que je vais me lancer à nouveau dans des explications IRL :lol:

Donc je m'appelle Pierre et je vais sur mes 15 ans. J'habite dans le Sud-Ouest de la France, sur Pau plus précisément. J'ai le brevet en fin d'année, mais je n'en suis pas moins actif sur le jeu.

Mon caractère est plutôt posé, il est difficile de m'énerver (sauf si vous êtes un FPS). Je joue à Minecraft, à Battlefield 3, j'ai joué à Skyrim, et également à un jeu de stratégie par navigateur, où j'ai appris à écrire du RP.

 

 

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Je joue à Minecraft depuis bientôt un an.

J'ai des bases raisonnables en redstone, je peux créer tout ce qui est circuit pas trop compliqué (quoique des fois je peux faire du lourd...). Je n'aime pas trop récolter des ressources, je préfère les acheter... Non, je suis pas un grand travailleur xD

Niveau architecture j'ai également de bonnes bases, rien d'extraordinaire malheureusement, mais je m'en sors pas trop mal.

 

 

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Eh bien je vais faire un petit résumé de mes actions sur minefield, puisque ce n'est pas le but du RP qui va suivre.

 

Après avoir été accepté paysan, je m'installai dans la campagne, au Sud d'Ondelia, ex-Harmonia. Me sentant vite seul, je me rendis au Hameau Doré avec mon ami Niouk. Je sympathisai avec le maire, Amnesia1, et un autre habitant, TGN92. Je passai ensuite Voyageur, puis m'installai sur Nimps, où j'aidai à la confection des circuits Redstone du donjon PvM "Thornogh", avant de m'installer sur la ville se trouvant au dessus, Génoa. Le maire du Hameau Doré n'étant plus présent, Niouk et moi ne pouvions plus y faire quoi que ce soit, de peur de prendre des initiatives s'éloignant trop des idées du maire. Je rejoignis donc Inmora, royaume du bout du monde de Nubes, sous les ordres de Raidentiger. Mon séjour là-bas fut ponctué de constructions telles que celle de la cathédrale, que j'aidai un peu à construire. C'est alors que, sur la Grand'Place de New Stendel, un délire en compagnie de Tasterix me mena à me marier avec celui-ci sur les terres de Winteria. Le mariage passé, un calme monotone s'installa dans ma vie Minefieldienne. Il n'y avait plus beaucoup de constructions possibles, pas trop d'avancement du côté de Génoa, ni du Hameau Doré, où nous en étions au même stade. Niouk et moi décidâmes alors de rénover tout le Hameau. L'idée ne fut pas bien accueillie de tous les habitants, et le projet fut quasiment mort-né lorsqu'Amnesia1 revint, de nombreuses maisons ayant été rasées. Il n'était pas enchanté du changement et conserva les dernières maisons pour partir dans des réformes loin de celles que Niouk et moi-même avions décidées. Je quittai donc le Hameau Doré, ainsi que Génoa, où je n'avais plus de réelle utilité. Inmora étant alors remplacée par Kélaïre, sur Stendel, je me retrouvai sans ville et rejoignis officiellement ma ville par alliance, Winteria. Celle-ci mourut à la sortie de Stendel, où nous fondâmes Stonecross.

Je suis désormais chef de Frostgard, domaine de Stonecross, et j'ai récemment divorcé de Tasterix, que j'ai aidé à organiser les célèbres batailles rangées (la suite vient bien sûr ;) ).

 

 

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Chapitre Premier : La défaite

 

Après la disparition de l'un des capitaines, le chef Tasterix me nomma à ce grade, dans les rangs du Nivem, tandis que nous perdions cette bataille. Ils étaient en surnombre, leur stratégie était plus fine. Une courte trêve nous permit de reprendre nos esprits, et d'organiser une stratégie finale. Nous savions qu'elle ne nous permettrait pas de gagner. Il s'agissait d'une charge, personne ne défendant le camp, si nous avions l'occasion de nous replier, nous serions envahis. Tasterix donna son ordre. Aucun de nous n'eut peur de courir sur l'ennemi. Nous fondions sur eux, et rien ne semblait pouvoir nous arrêter. Nous écrasâmes les quelques ennemis sur notre chemin, nous rapprochant dangereusement du camp ennemi. Mais c'était sans compter sur la volée de flèche que nous reçûmes, qui dévasta nos rangs. Nous étions tant affaiblis que la contre charge finit de nous décimer. Il y eut des survivants. Certains furent emprisonnés et furent envoyés Stendel. C'est ainsi que je pus voir Nagarias, traîné, les fers aux mains, par des gardes Stendeliens. Je ne sus pas où étaient les autres, la sueur mêlée au sang de ma blessure au front commençait à envahir mon visage. J'étais allongé dans le sable, notre charge avait été brisée comme l'aurait été une vague contre un rocher. Je cherchai désespérément mon Einheirjar des yeux. Je ne pus le trouver parmi les corps jonchant l'entrée du camp adverse, ni parmi les prisonnier. Peut-être s'était-il enfui... C'est sur ces dernières pensées que je perdis connaissance, passant sans doute pour mort auprès des gardes.

 

Lorsque je me réveillai, des frissons me parcouraient. Un froid brûlant m'avait envahit : ma fièvre se mêlait au froid de ce désert en pleine nuit. Je réussis à me relever tant bien que mal, et bien que de nombreuses courbatures me faisaient souffrir, j'étais capable de marcher. Notre fortin résonnait des cris de joie des Stendeliens, qui fêtaient leur victoire. Je ne pouvais aller dans cette direction. Il restait quelques gardes dans le camp de Stendel. C'était ma dernière opportunité pour ne pas mourir ici. Je m'approchai de la première torche que je vis, tenue par un garde qui faisait des rondes parmi les cadavres :

 

"Halte ! Qui va là ?

-Je... je suis blessé. J'étais en espion parmi le camp de Nivem, et j'ai... j'ai été subitement mêlé à la charge. J'ai subi le même sort que nos ennemis."

 

La ruse sembla plus alerter le garde que le convaincre. Je me vis obligé de sortir mon poignard de ma ceinture, le gardant derrière mon dos. Nous nous fixions, et je craignais qu'il eut compris. Mais le coup de couteau fut trop rapide. Donné à la gorge, quelques gazouillements sortirent de sa bouche, mais rien de plus. Il était mort. Je me défis de mon armure pour prendre la sienne, et, torche à la main, je revins vers le camp.

 

"-Aucun survivant, dis-je au capitaine Stendelien.

-Bien, répondit-il, satisfait. Nous rentrons."

 

Je montai au côté de mes pseudo collègues à bord d'une roulotte militaire, qui nous emmena à Stendel dans un silence total. Une fois arrivé au poste de garde de Stendel, je me défis de mon armure comme tout soldat qui rentre chez lui après son service. Je ne me fis remarquer de personne. Inconnu dans cette ville, je passais totalement inaperçu. Je me décidai à visiter cette ville inconnue, dont j'avais tant entendu parler. Elle était encore en reconstruction, mais déjà de belles bâtisses s'élevaient, et bien qu'ils fussent nos ennemis, il ne s'agissait d'un investissement ni militaire ni économique que d'y faire une maison. Mais là, je n'avais même pas de quoi m'acheter à manger, alors pour m'acheter une parcelle...

 

Je décidai rapidement de me rendre au port, où je me fis sans mal engager comme matelot. Je réussis à me rendre à bord du navire qui se rapprochait le plus de Stonecross, bien qu'il restait à une distance respectable. Le voyage dura deux jours, et malgré un certain mal de mer, je pus travailler aux travaux que font les matelots : je nettoyais, hissais les voiles quand il fallait les hisser, et les affalais quand il fallait les affaler. Le navire n'était pas très imposant, il ne portait que dix canons, mais il n'était pas non plus fait pour la guerre. Il s'agissait d'un simple navire de reconnaissance. Nous jetâmes l'encre proche d'une île au large de la baie entourée de Stonecross et du royaume de Heimdall. Seulement cela ne se passa pas comme nous l'avions prévu. En effet, l'île était déjà envahie des Heimdalliens. Des soldats étaient avec nous, mais ils étaient moins nombreux. Il n'y eut pas de morts, mais nous fûmes tous faits prisonniers. Je n'essayai même pas de me faire reconnaître : j'attendis que l'on me présente devant les chefs qui, eux, me reconnaîtraient.

 

 

 

Chapitre Second : Retour au pays

 

Nous fûmes mené, comme je le désirais, devant Modroncube. Il me reconnut sans mal, et je fus libéré. J'étais enfin rentré chez moi, au Nivem. Je n'attendis pas pour prendre la route vers Stonecross, où je pourrais enfin reprendre ma vie. Je me sentis chez moi dès que la neige m'apparut. Le froid ne me gêna pas, j'étais enfin de retour au pays. Je me dirigeai vers ma maison, dans les plaines de Waffol, où je pus manger le pain stonecrian, qui me nourrissait mieux que la viande sèche stendelienne. Je me couchai, exténué de toutes ces aventures, décidé à reprendre une vie normale aussi vite que possible. Cependant, la ville de Stendel restait dans ma mémoire, et j'étais décidé à y retourner pour y acheter une maison, qui me servirait en quelques sortes d'avant poste.

 

Lorsqu'au matin je me réveillai, je revêtis mes vêtements chauds, et je sortis, afin de rencontrer mes amis. Je me rendis à la capitale de Vapaa, Sharecity, où j'espérais trouver Tasterix. Il y était, il avait pu rentrer. A ses côtés se trouvaient DrackHunter, le Hersir Kapten, et un architecte, qui était chargé de construire la milice. Celle-ci avait beaucoup avancé en mon absence.

 

Je parlai avec mon Enheijar de notre défaite. Il n’était pas abattu, et se préparait déjà à riposter. Seulement nous avions perdu une grande partie de notre armement et des troupes durant la bataille. Il faudrait reformer l’armée, ainsi qu’un équipement. Et les épées manquaient, tout comme les armures. Je compris où je devais intervenir, en tant que forgeron de Stonecross. Beaucoup de travail allait être nécessaire, mais je me sentais prêt, ce genre de routine quotidienne remonterait mon moral. Ainsi, chaque matin je travaillais le fer et la pierre que je recevais, et j’envoyais mes lames et mes pièces d’armures aux armuriers afin qu’ils les assemblent. Ce n’était pas grand-chose, mais je m’occupais.

 

Bientôt, les stocks de Stonecross furent refaits, et si je continuais à forger, nous ne pourrions bientôt même plus stocker nos armes. Il me fallait donc trouver des demandes. Cependant, il m’était impossible de faire payer mes ventes, n’ayant pas de licence de commerçant. Je pris vite la décision de revenir vers ce grade, que j’avais précédemment abandonné pour diverses raisons. Cependant, après une longue absence du monde du commerce, je sentais pouvoir me permettre de revenir.

 

 

 

Chapitre Troisième : La Bibliothèque de Griffonia

 

Alors qu’une ère de renouveau plane sur le monde de Stendel, qui est lui-même la source dudit renouveau, de nombreuses croyances refont surface dans le monde entier. Les bibliothèques n’ont pas toutes disparu, et de nombreux ouvrages témoignent de la variété du monde peu connu qu’était Stendel avant le Cataclysme. Nombreuses de ces croyances étaient à l’origine de guerres dévastatrices qui avaient fait de nombreux morts, voire parfois décimé toute une population. Mais celles que je découvre ne sont pas de celles-ci. Il s’agit de croyances engendrées par des rumeurs provenant de territoires extérieurs. Les archives de l’unique cité restante de Stonecross, Griffonia, me permettent de la découvrir en me plongeant chaque jour dans la lecture de l’un des nombreux traités, que l’on compte à plus de deux cents.

 

Lorsque je vois cette cité souterraine, aussi majestueuse que ce que laissent penser les descriptions, j’imagine le peuple puissant, ingénieux et intelligent qui m’a précédé ici. Je doute que la conservation de cette cité soit un hasard. Les ouvrages que j’ai lus parlent d’une légende, d’un griffon… Le même que l’on aperçoit et qui semble gelé en haut de la montagne. Peut-être n’est-ce pas une statue, finalement… Je ne sais trop qu’en penser. J’y monterai bientôt, mais je me charge d’abord de rédiger un traité sur la culture Griffonite. Ces croyances sont suffisamment cohérentes pour attirer mon attention, et je pense essayer d’en déchiffrer les secrets, pour faire la part des choses.

 

Mais pour en revenir à mon métier de forgeron, il faut tout d’abord expliquer ma découverte de la bibliothèque. Alors que j’errai dans l’immense hall, accessible depuis la faille qui perce les falaises de mon domaine qu’est Frostgard, je découvris un amas de roches, qui semblait obstruer une entrée. Ce n’était pas le premier que je voyais, mais il attira étrangement mon attention. Il n’y avait rien de visible qui aurait attiré l’œil de qui que ce soit d’autre, mais c’était plutôt… une sensation. Comme lorsque l’on prédit un danger, par exemple. Il s’agissait là plutôt de quelque chose d’intriguant, non de dangereux. Il me fallait le découvrir. Je passai plusieurs heures à déblayer le tunnel, jusqu’à ce qu’enfin, après avoir enlevé une pierre, une partie du tas s’effondra. Ce fut une révélation que j’eus sous les yeux. Il s’agissait de la plus grande bibliothèque que j’aie vue. Je n’en voyais que le dernier étage : en m’approchant de la barrière qui me faisait face, et en me penchant au dessus, je pus voir un gouffre de plusieurs dizaines de mètres de profondeur, tandis que tout en haut, un puits de lumière illuminait la totalité de la pièce. Tout autour s’étendaient des étagères, et des livres. Il n’y avait que de ça, par milliers.

 

Je m’empressai de déchiffrer les écritures en haut des rayons du dernier étage. La langue était proche de celle de Winteria, mais j’eus du mal à déchiffrer les lettres, qui avaient de plus nombreuses courbes. Bientôt habitué à cette écriture, je descendis, étage par étage, lisant toujours chacune des catégories. Je comptai douze étages au total. Les livres semblaient parler de tout : chaque royaume de l’époque y était cité, chaque culture était représentée, chaque guerre résumée, et de nombreux rayons parlaient de Stonecross. Il s’agissait là d’un trésor d’une valeur inestimable. Mais il me restait encore à voir la catégorie la plus importante : au dernier étage, le plus vaste, celle-ci m’interpella… « Le Griffonisme. » Je n’avais aucune idée de ce que cela pouvait être, mais ce nom était étrange. Je pris un livre au hasard, son titre était intitulé « Le Pic de Griffès. » J’en lus quelques extraits ; il semblait parler du pic qui nous surplombait. Il s’agissait surtout de son histoire, mais je lus sur la fin quelques allusions au fameux Griffon qui s’y dresse. C’est de lui qu’elle tire son nom, visiblement.

 

 

 

Chapitre Quatrième : L’enclume Griffonite

 

Je choisis alors un autre livre, il était intitulé « Dragon ou Griffon ? » II évoquait toujours cette même bête gelée en haut du pic, en expliquant pourquoi il devait s’appeler Griffon, et non Dragon. Malgré quelques anecdotes en rapport, je ne comprenais toujours pas ses origines, qui n’y étaient pas expliquées. Je choisis un autre livre au hasard. Ce n’était pas ce à quoi je m’attendais… « L’enclume Griffonite. » J’étais cependant intéressé par ce titre, qui se rapportait au métier que j’exerçais. Je décidai de le lire en entier, et m’installais à une table. Une bougie reposait dessus, intacte. C’était étonnant… Mais j’étais trop intéressé par le livre pour essayer de comprendre ce mystère et je l’allumai avec deux morceaux de silex, pour me lancer dans ma lecture.

 

Il s’agissait là d’une vraie méthode de forge. Pas d’ingrédients secret n’y était cité, juste l’eau d’un puits qui semblait particulière, et une forge faite d’une roche inhabituelle. Je trouvai bientôt comment me rendre audit puits. L’entrée était indiquée dans un tunnel, au dernier étage de la bibliothèque. Le livre et la bougie à la main, je me dirigeai vers cet endroit. Une bouche donnait bien sur un tunnel sombre et étroit. Je m’y engageai, captivé par les découvertes que je faisais et allais faire. Je me retrouvai assez rapidement dans un petit hall au plafond en voûte. Quatre tunnels y débouchaient, j’en déduisis qu’il s’agissait d’un réseau permettant de se déplacer sous la ville. J’approchai la lumière du livre afin de savoir quel tunnel emprunter. Le plan dessiné l’indiquait clairement, et j’y avançai.

 

Le tunnel devint bientôt un escalier en colimaçon, qui descendait encore plus bas. Et lorsque ma descente fut enfin finie, je me retrouvai dans une pièce, déjà illuminée à mon arrivée. Une forte chaleur y régnait : en effet, un petit lac de lave bouillant se trouvait dans un coin. Il y avait également le fameux puits, avec un seau sur le bord. Il y avait également l’enclume, dont la pierre noire avait des reflets violets. Un marteau reposait dessus, prêt à forger n’importe quel métal… Seule l’utilisation de cette enclume pouvait me permettre d’évaluer ses avantages, ainsi que le retour des clients que j’aurai en cas d’acquisition de ma licence de commerce.

 

 

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Mon commerce se situera à Stonecross, soit dans les plaines de Waffol soit dans le village Innéria.

 

Voici quelques screens de l'architecture, qui s'accorde avec la charte de la zone bien évidemment :

 

L'avant :

 

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L'intérieur :

 

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L'arrière :

 

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Je cite : "bof, commerçant de toute façon ça ne me plaît plus! Plus jamais vous ne me verrez avec ce grade" lors d une discussion alors que mOssieur m avais fait des barrières en fer alors qu il ne le fallait que des barres :lol:

 

 

Hahahaha! Bon plus sérieusement, il a déjà prouver par le passé qu il était capable d assumer ce grade, il est de plus present et implique, en prouve son grade dans la contrée de stonecross. Il va donc de soit qu il obtienne mon plussoiment

 

PLUZAIN !!!

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Hello c'est en ce beau jour de mars que je viens plussoyer ce super joueur qu'est maiitoni qui avec le temps est même devenu un ami :D un super joueur / un des meilleurs :D

vive maiitoni et merci a toi pour tout ce que tu m'as apporter sur ce serveur ;)

 

+1 Maiitoni

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Ah Maiitoni... Dire que je t'ai rencontré y'a maintenant presque 10 mois, grâce à ta vieille annonce sur le chat pour chercher un repreneur à ta maison. Et jamais je n'aurais alors cru que cette annonce ferait de toi ma meilleure compagnie sur ce serveur.

 

Maii est un joueur talenteux doublé d’une extrême gentillesse, un ingénieur redstone hors pair, excellent RPiste et qui s’investit pleinement dans ce qu’il entreprend et je ne cite pas tout, la liste n'en serait que trop longue. :P

 

Je pense qu’il n'est plus nécessaire de prouver que tu mérites, plus qu’amplement ce grade de commerçant. ;)

 

+250

 

Pourquoi 250 ? C'était le prix que je t'avais proposé pour racheter ta maison :mrgreen:

 

 

 

Au plaisir !

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