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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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HRP : j'ai rien abandonner du tout, je peux pas faire vivre cette endroit si je suis que ma pomme et moi même. Et le dragon tu peux continuer à pelleter la terre ca aide un peu.

 

 

Narrateur : Il envoya rapidement le plateau apporté son verre d'eau au pauvre homme pendant que le dernier morceau de verre allait se remettre à sa place, passant très près du crane d'un dragonnier et d'un petit dragon endormi sur son canapé. L'instant d'après il lui déposait son pot de 1litre de sa glace favorite en équilibre sur un aiguille juste devant sa petite tête de draconide tel que son souffle faisait tanguer le mince équilibre d'inspiration en expiration. Le Narrateur vit du coin de l’œil un vieille antagoniste prenant traits et formes d'un rôdeur brun jouant du temps et de l'espace des ses boites à musiques. Le Narrateur tournât la tête, l'inclina allègrement sur le coté en avançant vers le joueur de mécanique chansons ... "Faisons là de Glace et de Sang, faisons là, faisons là, Faisons toi de Glace et de Sang, My Fair Lady" Quel partitions se jouerait-il ? Le patron était absent depuis longtemps maintenant ... peut être ne rentrerait-il jamais ...

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Je saisis alors le verre d'eau que l'on m'avais apporté et l'avalai sans hésiter.

Je sentais ma gorge un peu moins sèche à présent. Je pris une chaise avec peine et je m'assis dessus.

Sous l'attention de l'élémentaliste, je pris la parole pour raconter mon vécu.

 

"Mon nom...euum...mon nom est Zayhr je crois. Je suis, enfin j'étais, lieutenant, me semble-t-il. Il y a de cela plusieurs mois, j'étais sur l'île de Nabes lorsque celle-ci se mit à pencher. Voulant la réparer, je m'engouffrai dans les systèmes d'engrenages jusqu'au moment où une palle de l'hélice me frappa de plein fouet. Je tombai alors dans le lac profond, inconscient. Lorsque je vins par miracle à me réveiller, j'étais échoué sur le rivage et je compris que l'on m'avait laissé pour mort. Je ne pouvais pas marcher, je ne pouvais que ramper. Après des semaines, je rejoignis une forêt non loin d'ici. Je chassais un lapin pour survivre lorsque je fus attaqué par ce qui me semblait être un ours. Affaibli et affamé, je frollais les limites de la mort lorsque je suis entré ici. L'élémentaliste que voici m'a ensuite guéri."

 

Le regarde stupéfait des clients qui me regardait comme un miraculé me faisais penser que je venais d'un autre monde.

"Un chocolat chaud je vous pris, dis-je alors au narrateur." 

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Rapide comme remise à niveau pensai-je...

 

-Bien! Ainsi nous n'aurons personne à combattre pour nous dérouiller, j'en viendrais presque à le regretter... Mais une question s'impose à mon esprit: comment avez-vous fait pour passer le portail dans votre état?

 

Je finis par me rasseoir sur une chaise non loin pour laisser le soldat respirer...

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Tout en dormant, je rêvais de beaucoup de choses mais tout devenaient flous quand j'essayais de me focaliser sur une pensée en particulier. L’atmosphère autour de moi était calme.

 

C’est alors que je ressenti une douleur des plus atroce : un petit pot de glace s’était retourné et avait déversé tout son contenu sur moi. Ni une ni deux, je sautai de mon canapé et me ruai tout en criant dans les cuisines dans l’espoir de trouver quelque chose de chaud. Arrivé dans la pièce, je jetai un bref coup d’œil et aperçu un briquet près de la réserve et quelques brindilles inutiles par terre. Je mis feu aux brindilles et m’étalai de tout mon corps sur les braise chaude. Quel soulagement…

 

J’attendis dans cette position pendant 10 bonnes minutes afin de me réchauffer. Après ça, je me levai, versai un peu d’eau sur les brindilles et vis que le feu n’avait laissé aucunes traces sur le parquet. Je sortis de la cuisine et commençai à manger le reste de glace qui était encore mangeable.

 

Toujours aussi excellent !

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En voyant ce rugueux pantin articulé s'avancer vers moi en poussant la chansonnette, ma curiosité en fut d'autant plus piqué. Je tendis l'oreille pour analyser sa mélodie, je tapais frénétiquement le rythme de mon pied droit pendant que je sortais une pipe en bois de ma sacoche puis un petit sac de tabac. Avec de nombreux gestes lents je tassais le tabac dans ma pipe, je la coinçais entre mes lèvres tout en continuant à chantonner et en enfilant mon manteau. Je déboutonna ma sacoche et l'accrocha aux crochets où plusieurs manteaux reposaient en toute tranquillité. "Je sors quelques instants, j'écouterais la suite cette histoire de dehors, un peu de calme me fera le plus grand bien. " J'allumais ma pipe et sorti du bâtiment tout en fermant mon long manteau brun. Le grand froid ambiant et le vent étaient bien froid, bien trop froid pour moi, cependant le tabac restais toujours autant appréciable.

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Je m'étais assoupi et me réveillai en sursaut.

 

"J'ai rampé un long moment, mon crâne était fracturé en plusieurs endroits. Ensuite..eum...ensuite il me semble que je me suis saisis d'une branche d'arbre pour enfin réussir à me tenir debout. J'ai passé le portail grâce à un effort surhumain avant de m'évanouir de l'autre côté. Au fil des semaines de marche, mes blessures se sont cicatrisées...jusqu'à ce que je rencontre cet ours qui a bien failli me tuer. Je suis revenu pour retrouver ceux qui m'avaient laissé pour mort, et me venger"

 

Je sentis une sensation de froid me traversant, qui me plongea dans un profond sommeil

"J..je..je dois dormir un peu..je crois, ai-je tout juste eu le temps de dire avant de m'endormir"

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Narrateur : Ainsi il ignorait le Narrateur, partant nonchalamment devant ses provocations en combat ... Ainsi va le récit ... Le Narrateur suivi le fumeur en extérieur ... s'assit en tailleurs sur une des tables trônant devant l'édifice. "En entrant tu souhaité en découdre ... maintenant tu réfléchis ... souhaite tu peut être te mesurer à l'une de mes cartes de tarot ?" Ainsi le Narrateur sorti un jeu de sa poche intérieur, le déroula à la manière d'un croupier devant lui ... et le fis rouler tel une vague à l'aide d'une carte qu'il retira du reste avant de la montrer au rôdeur : "ceci est la mort, je pense que je peux l'enlever, te battre contre un immortel facteur ne te réjouirais pas, il te reste un choix de 77 cartes ... à moins que dans les lignes des bâtons, coupes, deniers, épées, cœurs, carreaux, piques, trèfles, nombres, figures ou triomphes se cache autre chose ? qui sait ..." vu de dos toutes les cartes étaient identique ... de temps en temps une cartes sortait du lot, volé un peu pour allez se ranger ailleurs, aucune magie, aucun subterfuge, juste une histoire. "Chacun son jeu le matou" disait par instant le narrateurs ... "chacun son jeu ... et j'ai la main mise sur les cartes ..."

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Je dormais depuis maintenant trois jours, j'en avais grand besoin.

J'étais plongé dans mon subconscient, en train de retracer les évènements passés. Les engrenages, l'hélice, les cris des soldats qui me recherchaient, j'entendais le moindre détail. Puis soudain, plus rien. Des grésillements dans mes oreilles, puis un message :

 

"Lieutenant, *krrrr* si vous recevez ce *krshhh* ce message, contacter moi par l*krssh* par tout moyen qui soit possible.*krssssh* Capitaine Ghideon...*krsssh* Terminé."

 

Je me réveillai alors en sursaut, transpirant et essoufflé. Je ne savais ni pourquoi, ni comment ce message m'était parvenu, mais je devais en tenir compte.

Par chance j'avais gardé avec moi mon grand sac de cuir dans lequel se trouvait tout un tas de babioles utiles. Je fouillai donc quelques minutes avant de sortir ce que je cherchais, mon bracelet temporel, enroulé dans un vulgaire chiffon. Ce bracelet était très spécial, puisqu'il était muni d'une pierre magique rare en son coeur qui permettait de se déplacer dans l'espace temps à une vitesse incalculable sans se faire remarquer, et donc de communiquer avec quiconque dans ce monde.

 

Et puis, les malheureux se trouvant dans cette taverne n'auraient guère eu mieux à me proposer.

 

 

Pwet, j'ai edit parce que la machine de communication à vapeur c'était trop compliqué. Le bracelet ressemble à ça : https://s-media-cache-ak0.pinimg.com/564x/29/d9/e5/29d9e51f7ec7914a71355c5f7caf1290.jpg. Bizou :D

 

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[hrP] Pour le besoin de ton RP, ma vieille sacoche magique devrait en contenir une :3 [/hrP]

 

  Je regardais le narrateur du coin de l’œil, tout en appréciant ma pipe. Après quelques bouffées d'épaisse fumée, je rangeais ma pipe dans ma poche droite et tourna la tête vers le joueur de carte, ma sacoche se trouvait malheureusement à l'intérieur. "J'aime jouer, les jeu de cartes sont une incroyable activité. Cependant me battre contre une entité invincible et la mettre à genou ne serait pas marrant. Donc je ne tirerais pas les cartes." D'une main j’attrapais les cartes de tarot de sa main, un claquement de doigt plus tard elles étaient triées et rangées. Je les glissa d'un geste lent dans sa poche et m'assis par terre dans la neige en grelotant légèrement.

"Le froid environnant n'est pas clément ces temps si. Quelque chose devrait arriver sous peu, n'est ce pas Narrateur ? Vous qui connaissez l'histoire, vous devriez savoir ce qui se prépare dans l'ombre, dis-je en regardant au loin." Puis je tournais ma tête vers lui : "Que prépare le glacier ?"

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Narrateur : La mort est immortel, mais les autres cartes ne le sont pas, il aurait pus tomber sur un imbécile de chat à ce que je savais, une carte de peuple maudit ... un fantome du passé ... mais il ne souhaitait pas jouez, soit. Le Narrateur le regardait se mouvoir d'un point à l'autre ... "Je connais l'histoire tant que je la narre, et mon savoir ainsi que ma connaissance ne sont pas infinie. Une petite part gravite dans la sphère, passant d'un point à l'autre, jouant avec moi et les autres cardinaux, mais au final échappant à notre contrôle. Le Glacier, a quitté la sphère. Comprend par là qu'une équation sans solutions, ou qu'une divisions sans reste, en a désormais autant qu'aucun." Tout pouvais s'effondrer, comme se retourner ...

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Je me décidai alors, malgré ma faiblesse, à entrer en communication avec le capitaine Ghideon. Je pris mon grand manteau, mon chapeau, ma ceinture, et les enfilai. J'attachai donc autour de mon poignet ce bracelet à la pierre qui, sans énergie, ne pouvait briller et servir. Je me saisis ensuite de mon fameux gant, le branchai sur ma ceinture et mon bracelet, et le mis en marche. Quelques bruits de rouages et de magie, quelques lumières, et j'étais prêt à partir. Je me tournai alors vers les occupants de la taverne :

 

"Je dois communiquer un message à quelqu'un...je...je reviens au plus vite. Je vous laisse mon sac sur la table, n'y touchez sous aucun prétexte. A très bientôt messieurs."

 

Je posai la main sur mon bracelet déjà brillant, et tournai d'un coup l'engrenage qui activait la pierre. Dans un éclat de lumière, je disparus.

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  "Très bien, qu'il en soit ainsi." Je me relevais doucement, le corps lent. "Le froid de l'hiver n'a t'il donc jamais de fin ?" Je me retourna et me dirigea vers la porte. En l'ouvrant en silence j’adressais une dernière parole au narrateur : "Les choses risquent de changer par ici sous peu de temps. Je vous conseillerais de bien préparer votre Taverne avant que cela n'arrive. Je n'ai jamais eu beaucoup de jugeote pour décider moi-même à qui j'allais enlever la vie ou la sauver. Maintenant je peut essayer d'en prévenir quelques unes, dis je à voix basse." Je rentrais alors à l'intérieur en laissant le narrateur dehors.

  Je récupérais ma sacoche sur le crochet et fit un dernier signe de tête au Dragonnier avec de me volatiliser dans un éclair bleuté. Le néant me manquait, et les informations aussi, je m'assis sur à mon bureau et attendis que le démoniste revienne pour me donner des nouvelles.

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Narrateur : Et bien, si on se serait trouvé dans une pièce de théâtre les scènes s’enchaînerait si vite que le public ne suivrait pas ... le mort un peu trop vivant était reparti, le voyageur brun avait aussitôt fais de même et ainsi de suite, il ne restais alors plus que quelques personnes dans la Traverne ... Tout étais d'un calme absolu ... pour une fois tout semblait se passer comme cela devrait se passer de tout temps ... et ainsi va le monde. Le Narrateur rentra, s'assit sur le comptoir en équilibre sur une pile de chopes empilé de manière désordonné et lava la pile lentement, une chope après l'autre, une coupe après la précédente, un bol avant le suivant ... la pile diminuerait peut être assez lentement pour occuper le Narrateur avant la prochaine catastrophe ... mais à en voir sa mine ... il aurait fini bien avant ... à moins que ...

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L’intérieur de la Taverne était bien vide… les clapotis de l’eau s’écoulant des chopes qui séchaient tombaient et s’écrasaient sur le sol avec une cadence assez régulière… bref… rien.

 

La marque de brûlure laissée par la glace sur mon ventre avait viré à un joli bleu violacé mais jurai un peu trop avec mon corps sombre. Lorsque je revins m’allonger sur mon canapé en paille, je remarquai que l’endroit où j’avais dormi avant l’accident avait noirci… sûrement à cause de la chaleur dégagé par mon corps.

 

Je m’allongeai sur mon canapé encore chaud et me rendormi malgré le bruit incessant… 

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Je voyageais dans l'espace temps, à une vitesse folle. Je pouvais lire dans les pensées des gens, entendre tous leurs dires.

Après quelques secondes, je parvins enfin à la hauteur du capitaine Ghideon. Il ne pouvait me voir, ni m'entendre. La seule manière d'entrer en communication avec quelqu'un était de prendre possession de ses pensées, afin qu'il entende le message voulu dans sa tête. Il resta de marbre lorsqu'il entendit "Je ne suis pas mort. Je ne meurs jamais. Je vais revenir."

 

J'avais fait mon devoir, il était maintenant temps de retourner là où j'avais laissé mon sac. Je tournai de nouveau l'engrenage de la montre...soudain, celui-ci céda. J'avançais dans l'espace temps sans pouvoir revenir sur terre. Je fis passer autant de messages que possible aux personnes présentes dans la taverne :

"Dans mon sac, trouvez une montre à gousset. Appuyez sur le bouton de droite. Dans mon sac, trouvez une montre à gousset. Appuyez sur le bouton de droite."

 

Peut être quelqu'un trouverait-il cette maudite montre à temps, pour me sortir de là.

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Narrateur : Il était en train de s'occuper de la dernière chope à nettoyer quand quelqu'un se mit à paniquer de ses bêtises à ne pas savoir voyager dans l'espace temps ... Le Narrateur se leva et envoya la chope se caser entre les deux protubérances osseuses du crane du dragon endormi, sorti enfin une clé de sa poche, et alla remonter l'horloge de la traverne qui semblait avancer et reculer à sa guise. Aussitôt un inconscient tomba sur une table, le regard hébété avec une sorte de cristal clignotant au poignet. Le Narrateur alla fouiller le sac de ce dernier, et se pencha au dessus de sa tête en agitant d'un léger balancier par la chaine l'objet du délit : "C'est dingue, je pensais pas çà possible mais vous avez l'air encore plus bête que d'habitude." puis il lui lâcha la montre sur le crane avant d'aller donner une pichenette sur le cristal qui s’arrêta instantanément de clignoter. Il rempli en passant la chope coincé sur le crane du dragon, avant d'aller lui même se coucher sur un petit canapé dans un coin.

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La vache xD... On se permet de cogner mon petit crâne de dragon innocent !

 

 

J’étais dans un cauchemar des plus horribles… Tous plein d’image d’effilaient devant mes yeux à une vitesse incalculable… J’étais en train de visionner un moment… bouleversant. Devant moi, une personne qui m’était inconnu livrait bataille à… une horde de dragons. Je les voyais mourir un par un sous les coups de ce monstre.

 

Le travail achevé… il se retourna et me fixa. Je tremblais de tout mon corps. Ce regard me disait quelque chose et je cherchai pourquoi… mais en vain. Il s’approcha de moi et me tendit sa main comme pour me saluer et, sans le vouloir, je serrai sa main avec ma petite patte. Soudain, sa peau s’assombrit… Il me frappa au niveau du creux qui séparait mes deux cornes. la douleur me paralysa… Il prit alors l’épée avec laquelle il avait tué les autres dragons… et me le planta dans le cou. Je senti comme un liquide qui se desservait sur le point où il avait planté son épée et… je me réveillai avec un gros mal de crâne et vis qu’une chope de bière, posé sur mon front, avait laissé quelques gouttes couler sur moi… 

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Je tournai mon regard vers la Dragonneau, malgré les croyances populaires j'étais bien placé pour savoir que les Dragons sont tous sauf de simples animaux, par bien des aspects ils sont d'ailleurs supérieurs aux Hommes. Ainsi il m'était possible de savoir ce qui agitait ses pensées, son cauchemar était terrible, aucun Homme n'étant à ma connaissance suffisamment puissant que pour venir à bout de Dragons aussi facilement...

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Bon bah te reste plus qu'à continuer avec ça maintenant et faire comme si de rien n'était alors. Bonne chance ;3 J'vous laisse écrire tranquillement j'attendrais un autre événement du narrateur pour venir foutre le boxon avec quelque notes de musique

 

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J'attendis longuement avant que quelqu'un vienne me sortir de là. Le narrateur avait eu le bon reflex, il avait remis une des multiples horloges à l'heure, me faisant instantanément revenir dans la taverne. Je tombai alors sur une table de la salle principale, sonné. L'homme donna un léger coup dans mon bracelet, ce qui -par un moyen qui m'est obscur- m'a permis de me réveiller.

 

La guerre faisait rage au Fort Herobrine et les attaques ennemies se multipliaient. Je ne pouvais pas entrer en zone de combat sans équipement, sans quoi je me ferais transpercer par des balles ou pulvériser par un tir de mortier.

A Aegis allait se dérouler sous peu une cérémonie d'hommage qui m'était dédiée. C'était le seul moyen de retrouver les troupes à l'extérieur d'un champ de combat. D'après ma carte, il me faudrait plusieurs jours pour me rendre là-bas. J'avais au minimum besoin d'une arme, allant du simple revolver au mousquet militaire.

 

"Il me faut partir dans deux nuits au maximum. Je vais avoir besoin d'une arme à feu si je ne veux pas terminer une balle entre les deux yeux. Quelqu'un dans la salle aurait-il quelque chose de semblable pour moi ? Je le paierais en pièces d'or."

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Narrateur : Le Narrateur écouta le militaire parlé ... encore ... et encore ... tout ceci en restant allongé ... de temps à autre il regardait du coté du petit dragon, le voyant essayer de déloger la chope de bière coincé sur son crane ... finalement il sorti de derrière l'un des coussins du canapé un livre de taille imposante : "Encyclopédie des armes de tout temps et de toutes histoires". Il l'ouvrit doucement, passa les pages après pages, rigolant parfois en regardant des armes absurdes, pour enfin s’arrêter au chapitres des "armes hypothétiques, prototypes, récits annulés". Il feuilleta encore un instant l'étrange ouvrage, comme on aurait feuilleté un catalogue, pour enfin s’arrêter sur une image qui lui fit prendre un air amusé, surement pour la suite. Il posa le livre au sol et, après que tout le monde se soit retourné pour l'observer, il sorti de ce dernier un fusil que surement peu de gens aurait put qualifier, avant de l’envoyer dans les bras du soldat. Il ramassa le grimoire pour lire un passage de la description de l'invention " Tri-Mousquet à vapeur, modèle standard Mark IV, maniement au levier, cadence de tir ralenti pour un gain de précision par rapport au modèle Mark III, Lunette de visé 4x16, munition de plomb, corps de bois, machinerie de cuivre et d'étain, renfort d'acier pour sa robustesse. Le réservoir de vapeur d'une autonomie avant remplissage de 500 coups se trouve dans la crosse, ne mettre que des billes de plomb dans les différents chargeur collé au trois canons, gâchettes sensibles, une par canon, recharger en actionnant le levier après avoir tiré les trois coups. Note technique : L'action du levier fais en un premier temps mettre de la vapeur dans chaque canons, puis en le ramenant fais descendre une bille de plombs dans chaque canons, en actionnant la gâchette un changement de pressions s'effectue dans le canon concerné, libérant la valve de sortie, faisant partir le projectile sous l'action de la vapeur. Note de sécurité : L'arme fut jugé trop puissante pour une utilisations de combat (un projectile pouvait transpercer une épaisseur de 30 centimètre d'acier), les dégâts causés par les projectiles jugé trop mortelles. Se préparer mentalement avant un tir, surtout pour ceux ayant des épaules fragiles." Après avoir lu se bref passage il reprit en disant " sa vous coutera la moitié de votre solde du mois, et vous me le remmènerai, j'aime pas laisser trainé ce genre de truc, et je ne suis pas responsables des dégâts" Puis il reparti s'allonger avec un petit sourire mesquin.

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Je saisis l'arme que le narrateur m'avait lancé. Un bon calibre, qui me servirait sans hésitation à me défendre. Je lançai une bourse pleine de pièce sur le comptoir, et mis mon grand manteau gris sale et déchiré. Je me sentais nostalgique quant au départ de cette taverne dont les occupants m'avaient évité plusieurs catastrophes.

Je couvris ma tête de mon chapeau, enfilai mon gant et l'allumai, pris mon grand sac de cuir et le mis sur mon dos et saisis l'arme qui allait longtemps m'accompagner. Je fus obligé de descendre mes lunettes sur mes yeux pour cacher une larme qui s'échappait de mon oeil.

"Au revoir. J'espère vous revoir un jour, et encore merci pour votre aide. Je ne sais quoi dire d'autre. Dieu vous garde."

 

Je me tournai une dernière fois pour regarder les occupants de la taverne, avant de pousser la porte et de me diriger vers un monde rempli de danger où j'allais commencer mon périple pour Aegis.

J'étais de toute évidence un miraculé, j'étais revenu parmi les miens. Ce voyage m'aura appris bien des choses, mais il est temps pour moi d'aller défendre ma patrie.

Et je marchai, espérant tout bas que j'arriverais à retrouver au plus vite les gens qui me sont chers.

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Narrateur : Il le regarda partir, se leva pour prendre la bourse qu'il lança derrière le comptoir et se mit à réfléchir. Après quelques seconde le plateau vint à lui portant un petit dé. "3 face rouge ... 3 face bleu ... bleu il vit et accompli sa vie ... rouge il meurt et il brise les cœurs" Il prit le dé qu'il lança, celui virevolta ... tourna ... pivota ... sautilla ... puis s’arrêta ... Le Narrateur mis prestement son pied sur le dé, puis réfléchi encore quelques minutes avant d'enlever son pied de l'emplacement du dé. Là ou il avait chu ne restait plus qu'une petite empreinte dans la neige, petite ... impassible ... ne laissant rien paraître de l’issue du hasard ... "Ainsi va le récit, de même va la chance, et à contresens va la vie" dit le Narrateur avant de partir, rangeant par la même l'"Encyclopédie des armes de tout temps et de toutes histoires" dans sa manche en ce dirigeant vers son fauteuil moelleux plein de coussins tendres, ou il se rallongea, l'air de rien, l'air de tout. 

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