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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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Je me mis à frissonner, à peine avais-je posé les yeux vers... Qui ? Je ressentais comme une présence, une signature magique puissante, comme si quelqu'un avait usé et manipuler le temps. J'avais l'habitude de la magie temporelle depuis bien trop longtemps pour ne pas m'apercevoir que ce que je pensais avoir vu n'était sans doute pas passé. Je lançais un regard au narrateur quelque peu accusateur, qu'avait-il fait au temps. Je me concentrais vers le nouveau venu et oubliais un temps que la jeune fille en face de moi ne m'avais tout simplement pas répondu, manque de temps sans doute. Mon front pliait sous la stupeur qui me prenait actuellement, mais j'essayais d'accueillir du mieux que je pouvais cette personne que je n'avais vu que depuis trop longtemps. Je m'essayais a sourire, mais j'étais profondément tendu, je n'aimais pas cette situation.

"- Je suis tout autant ravis de vous revoir... Enfin, te revoir ? Puis-je ? Non, Seïra est une jeune fille très charmante, je pense que cela doit être de famille, il est rare qu'une jeune femme soit si attentive aux paroles d'un vieil homme inconnu tel que moi."

L'envie d'invoquer une quelconque tasse de thé me prit, mais l'envie n'y était qu'à moitié, comme si j'avais déjà effectué cette tâche sans que je m'en rende bien compte. Je continuais donc à dévisager Dom, scrutant chacun de ses gestes et chacun de ses traits, j'aurais pu me dire qu'il n'avait pas changé, mais je voyais que dans son regard quelque chose était devenu plus rude, plus mature, comme si le temps avait agi sur lui d'une manière quelque peu différente, l'enfant n'était plus, l'adulte était là... Je me remémorais ses moments, que trop rare, des flashs sans doute, aussi fugace qu'un amour d'été, je ne savais que dire à une personne tel que lui. Je m'avançais timidement à lui dire quelques mots supplémentaires comme si tout ce que j'avais dit était l'écho d'un passé pas si lointain.

"- Cela fait longtemps... Bien trop de temps, je me souviens du jeune garçon que vous étiez... Que tu étais... De ces moments... J'ai bien peur qu'il ne reste parfois que les souvenirs quand on a atteint mon âge..."

Je me laissais à ricaner, un peu soulager d'avoir dit ce que j'avais a dire, sans vraiment pourquoi, comme si le temps avait retrouvé sa position initiale.

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Narrateur : Le Narrateur se leva prestement pour allez observer de plus près l'horloge ... Il s'attendait à ce qu'elle remonte encore le temps d'une minute une fois celle-ci écoulé ... mais il ne se passa rien de ce genre ... Le temps se remit à s'écouler de manière classique ... Quelque chose lui échappait ... Il se mit à légerement modifié l'histoire pour faire apparaitre un message sur la table de Dom ... juste sous sa main ... "Es-ce toi qui à fait çà ? Ou alors as-tu la moindre idée de ce qu'il vient de se passer ? j'ai bien une idée ... mais cela ne se peut ... efface cette gravure après lecture" Avec un peu de chance il se rendrait vite compte de l'apparition de ce message ... Et on aurait sans doute vite une réponse à pas mal de questions.

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Imperceptiblement et sans aucun bruit, je sentis la table se gratter sous les doigts de mon poing négligemment fermé sur la table. Mon autre main flattait ma barbe alors que j'écoutais l'elfe à ma table, et rejoignis bientôt la première alors que je me penchai en m'accoudant pour prendre la parole.

« En ça j'ai bien peur que Seïra n'ait raison, en le sens que je suis toujours autant têtu et à la recherche constante d'ennuis. » Mes yeux s'étrécirent légèrement alors que je m'adossai plus confortablement dans mon fauteuil ; là où étaient ma main, le bois était aussi lisse et verni que quelques secondes auparavant. Je plantai mon regard dans celui de l'elfe, un léger sourire étirant mes lèvres. « Mais que fais-tu donc par ici ? »

 

Une pensée souffla paisiblement l'esprit du Narrateur.

« Je puis ralentir ou arrêter le temps, pas le changer – pas plus que quiconque à ma connaissance. Si ce n'est pas toi, alors j'aimerais une explication moi aussi. »

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Narrateur : Si ce n'était pas lui ... Peut être le viel elfe ? non ... le Narrateur ne lui connaissait pas un tel pouvoir ... Qui donc alors ... Seira ? le Nain ? Le dormeur dragonnier ? Le Narrateur ne pouvait laissez une telle énigme sans réponse ... il fallait qu'il s'en occupe sans plus tarder ... Il vérifia en premier l'état des anomalies en boites : Stationnaire ... ce n'était donc pas un relent d'anomalie ... Il s'était lui même fait attraper par se retour dans le temps ... bien que l'effet fut minime sur le Narrateur ... il gardait ce fait à l'esprit. La sphère primaire aurait-elle tourner ? Impossible ... Il n'y aurait pas eu que le temps ... Mais alors quoi ... Le Narrateur commençà doucement à comprendre ... Une perle de sueur courant le long de sa joue ... Il regarda doucement une étagère qui venait d'apparaitre juste à coté de la table du Dragonnier : Il venait de comprendre. "Dom, tu aurais pas vu un gros chat ?" dit-il tout bas ...

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Je me laissais rire en écoutant l'homme qu'était devenu le petit Dom. Une forte personnalité était presque un trait trop constant chez les Fulmen, et je prenais plaisir à découvrir qu'il en était de même pour Dom. Je passais ma main sur mon visage d'un air songeur, m'attardant sur ma barbe naissante, je pourrais presque faire plus jeune que mon cher neveu, le temps n'avait pas l'air d'avoir prises sur ma personne. Quelque chose me chiffonnait tout de même, j'avais senti quelque chose de net, de précis, qui me rappelait non sans la moindre difficulté une magie que j'avais sans doute déjà vu pendant l'un de mes multiples voyages, et le regard perdu, je fixais l'endroit où Dom avait laissé sa main. Je sentais comme un résidu magique, mais, ne souhaitant pas attirer l'attention sur moi, je détournais le regard sur la jeune Seïra.

 

"- Ce que je fais ici ? Je vadrouille ici et là, sans but précis mon petit. Sans doute pour voir un vieil ami, sans doute pour de nouvelles rencontres, sans doute pour casser ma solitude.

 

Je me stoppais un instant, et regardais intensément le narrateur, me demandant ce qu'il pouvait bien manigancer. Dans une pensée lourde de sens, je lui demandais ce qu'il lui arrivait et pourquoi ne m'en parlait-il pas. Il savait pourtant que je n'étais pas le dernier a m'y connaître en magie, et que j'étais sans doute le seul à avoir remarqué que le temps s'était écoulé d'une manière singulière.

 

"- Te souviens-tu de ta tante ?"

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« Très peu, fit Dom en réponse à l'elfe. Comme Seïra te l'a dit, les Fulmen n'ont jamais été très proches envers leur famille autre que directe. Les cousins, oncles et autres neveux me sont sans doute aussi inconnus que quelqu'un que je n'aie croisé qu'une ou deux fois il y a plusieurs mois, comme il est devenu de coutume. »

Après un murmure de celui-ci dont j'eus du mal à saisir le sens, Dom tourna la tête vers le narrateur, les sourcils froncés et les lèvres pincées. Il le considéra l'espace de quelques secondes, l'air de se demander intérieurement si c'était une blague. Il fut sans doute aussi convaincu que moi par son air inquiet vu qu'il secoua lentement la tête. « Aucunement. De quel genre de chat parle-t-on ? Qu'est-ce que cela a quoi que ce soit à faire avec ça ? »

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Narrateur : De quel genre de chat parle-t-on ? C'était bien la première fois qu'on lui posais cette question "Dom ... c'est un peu comme si je te demandais de retrouver l'arkenston dans un immense tas de pierre précieuse : Je te dirais tout simplement que tu la reconnaitrais tout de suite. Et bien là c'est la même chose tu le reconnaitras au premier coup d'oeil ..." Etait-ce un oubli de la part du Narrateur ou un simple besoin de secret que de ne pas répondre à la seconde partie de la question de Dom ... Ou un manque de temps ? Le Narrateur ballayait du regard le moindre détail ... cherchat par ici où par là un détail caché ... occulté ... absent surement.

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Je dévisageais Dom l'air rieur, cela ne m'étonnait que très peu, les elfes de ma race ne sont encore moins enclins aux familiarités. Je ne fréquentais déjà peu ma propre fille, alors la famille de ma femme... Mais j'aimais parfois, avoir la compagnie des mortels, qui me rappelaient que les plus belles choses étaient dans l'éphémère.

 

"- Je comprend, je comprend... C'est un peu pour elle que je suis ici, il y a fort longtemps qu'elle a disparu et que je ne sais guère où elle est exactement."

 

 Je poussais un long soupir et me détournais une nouvelle fois de mon neveu pour toiser le narrateur, il avait l'air aimer m'ignorer en ce moment... Je riais intérieurement, c'était presque drôle.

 

"- Doit-on voir un chat avec un sourire je suppose ?"

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J'étais toujours assis sur ma chaise, absorbé par mes pensées.

Les dernières paroles du groupe m'étaient parvenues, et malgré moi j'écoutais d'une oreille.

A la dernière phrase, je ne pus m'empêcher de penser;

"J'ai déjà vu un chat sans sourire, mais jamais de sourire sans chat".

 

Sur ce, je me levai; et marchais en direction du du narrateur et de ses deux compagnons.

Je tirai de ma bourse quelques pièces que je posai sur le comptoir, pour régler ma note; et remis mon tricorne.

 

"Je m'en vais. Mais avant, j'ai cru entendre que vous cherchiez quelqu'un. peut être puis-je vous être

de quelque utilité ?"

Dis-je en me tenant en retrait, sans vouloir m'imposer dans cette conversation qui ne me regardait pas.

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Je porta mon breuvage jusqu'à mes lèvres. Une fois la première gorgée entamer je repris des couleurs sur mon visage lessivé. Décidément les propriété de ma boisson ne sont pas les même dans le néant et ici. Je fouilla dans ma sacoche et sorti mon petit carnet de note, j'écrivais tout les détails et les propriétés de mon nectare. Une fois cela fais je rangais alors mes affaires soigneusement tout en finissant mon verre.

En me retournant pour voir un peu l'assemblée je remarqua des conversations entre le Barman et le chevalier plus ou moins bizarre… Encore un de ces champignons qui serait tombé par mégarde depuis le bar dans leurs verres ? Sûrement, la drogue procure pas mal d'effet désiré par ceux qui s'ennuient. Mais ce serait assez surprenant si le narrateur aurait été drogué. Surtout pour l'histoire aussi.

Je croisa les bras et continua de regarder le petit monte s'affairer autour de ces histoires pour le moins surprenante

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Mon père haussa les épaules, vraisemblablement à l'attention de tout et tout le monde. Peu concernée ou intéressée par l'histoire de chat du Narrateur, je relançai l'elfe, plus par courtoisie et laisser mon père réfléchir que par réel intérêt. Je réussis à me composer une expression inquiète. « Elle a disparu dites-vous ? Comment ça ? » Je pense que mon intonation et mes traits ne parurent pas feints, car je m'aperçus au même instant que le temps avait filé et que j'avais à faire : être en retard aurait été malséant, et je guettai dès lors une occasion d'abandonner mon grand-oncle aux bons soins de mon père sans paraître offensante.

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Je regardais un moment, ma petite-nièce, mon expression se fit plus froide, comme si je sentais que quelque chose n'allait pas, tournait pas rond. Il était sans doute de trop pour moi de parler d'elle, encore une fois, comme un coup de poignard en plein cœur, je baissais les yeux un moment. Je me levais d'un bon de mon siège, et posant mon regard sur mon neveu, je fis mine de sourire.

 

"-Cela n'est pas que je ne veuille pas vous expliquer. Mais j'ai bien peur de ne pas avoir le temps pour cela. Je suis bien désolé. Veuillez m'excuser."

 

Je ne pris pas la peine de saluer plus ce reste de ma famille, la peur de me dévoiler plus était bien trop présente. Je posais sur la table une petite lettre, un mot d'excuse peut-être ? Et j'incantais un portail d'un violet presque noir et juste avant de m'engouffrer dedans, je posais les yeux une dernière fois sur Seïra.

 

"-Vous allez être en retard..."

 

Je disparus comme j'étais venu, avec le plus grand des silences, ou presque... Étrangement, on pouvait entendre le bruit d'une horloge... Tick tock.

 

[hrP:Plus réellement la motivation de rp en ce moment, désolée, je reviendrais surement plus tard.]

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Narrateur : Le plateau d'argent alla prestement remplir sa mission en apportant sa commande au nouveau venu, mais ce dernier ne reçut aucune réponse à sa question. Le Narrateur de son coté réfléchissais à une vitesse incroyable, ses idées sur ce qu'il se passait allaient si vite qu'on les voyait fusé devant lui dans de petites sphères bleu. Puis Vint un moment ou les traits du Narrateur étaient si tiré et parcouru de veines apparentes que son visage en était métamorphosé. Tout s'étira dans le Bâtiment, tout dans un axe opposé au Narrateur ... et ce qui ne pouvait s'étirait se trouver peu à peu expulser de plus en plus loin, glissant dans une incompréhension des événements, et tout d'un coup, tout stoppa nette. Tout se retrouva figé durant un instant de chaos contrôlé, ou le Narrateur tenté de contrôler une lointaine histoire sur laquelle il n'avait aucun contrôle, mais se fut vint et sans espoir. Les Sphères de possibilité se brisèrent et avec elles tout ce qui s'était retrouvait étiré ou propulser aux opposés fut ré-attirer vers l'épicentre. Les vitres se brisèrent, les tasses firent de mêmes, les tables, chaises et tabourets volèrent, il n'y avait pas de mot pour décrire avec assez de précision ce qu'il se passa durant une seconde. "J'ai échoué, il sera seul" dit le Narrateur avant de tomber sans un bruit sur le sol neigeux ... il ne restait là plus que le plateau qui l'emporta difficilement en cuisine.

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*relève légèrement la tête, tiré de son sommeil par le vent glacial qui s'engouffrait au travers des ouvertures*

 

-J'ai manqué quoi?! Et pourquoi les vitres sont elles en miettes? Ça caille!!

 

Il ne me fallut pas longtemps pour solidifier l'air aux ouvertures et stopper ce vent glacial qui parvenait même à me refroidir sous mon Aura.

 

-Je me sens tout drôle, quelqu'un a modifié l'histoire?

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*Cesse de lire et sort de sa poche un sablier magique*

 

Je rêve ou quelqu'un a ENCORE changer la réalité. Mais ces la cinquième fois en 1 an. La dernière fois c'était un adepte de Cthulhu qui voulait tout détruire. Heureusement que j'étais la à temps.

 

* Continue à pester contre l'univers et les dieux . S'endort tout à coup dans un semi-coma après avoir insulter le dieux du coma et des avalanches. Au meme moment la taverne est ensouvelis sous un montagne de neige*

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Un homme d'ethnie asiatique et sentant l'encens , il entre dans la taverne, il porte une robe rouge avec sur la partie recouvrant les jambes 2 dragons chinois de couleur dorée. Il a une taille moyenne et sur son visage il a une longe moustache très longue lui descendant jusqu'en bas du cou.

 

* Avec un fort accent asiatique * Bonjour,humble tavernier, je cherche un endroit ou je pourrais manger car le criquet sans insectes est fort dépourvu.

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Narrateur : Le Narrateur sortit alors doucement, semble-t-il en trainant les pieds, pour se diriger vers sa table, le plateau d'argent coincé sous le bras. A chacun de ses pas les dégats se replaçaient à leur emplacement d'origine ... jusqu'à ce qu'un fragment de verre se retrouve bloqué sous la chaussure de l'homme fraichement rentré ... qui se trouvait certainement être en kimono, les cheveux attachés en chignon, un sabre courbé à la ceinture ... et peut être une petite odeur de saké ... mais le Narrateur n'en avais que faire.

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[hrP] Prend une pelle et enlève la terre qui recouvre le sujet [/hrP]

Va se pendre...

 

 

Ouvre la porte glacée et entre dans la petite pièce sombre

- Bien le bo... Se rend compte que c'est vide

- Bon... Griffonne les mots "Glace - Souffle de dragon - 1L" sur un petit bout de papier, le pose sur le comptoir, se dirige vers son canapé de fortune et s'endort

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J'entrai soudain dans la taverne, mes habits recouverts de sang et des plaies ouvertes sur le corps.

Je fis usage de mes dernières forces pour courir jusqu'au comptoir, avant de m'effondrer sur le plancher dans une marre rouge.

 

"A L'AIIIIiiide.., puis-je juste dire avant de m'évanouir."

 

Je puis tout juste voir un homme me regarder avant de tomber dans l'inconscience.

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Il n'avait pas déjà failli clamser il y a quelques mois celui-là ? Me dis-je intérieurement avant de regarder de plus près à ses blessures.

 

-Visiblement quelqu'un devait ne pas beaucoup l'aimer, mais je devrais pouvoir réparer tout ça...

 

Je me concentrais alors et m'ouvris aux flus d'Energie parcourant ce monde, je toruvai celui auquel appartenait le soldat et m'appliquai à colmater la fuite énergétique de l'entaille. Une fois ma tâche achevée je rouvris les yeux et me relevai, plus aucune trace d'une quelconque blessure n'était désormais visible, quelques heures de sommeil lui seraient néanmoins nécessaires pour permettre à son esprit de récupérer et d'assimiler la transformation que je venais d'appliquer à son corps.

Un simple geste de la main en direction du sang qui venait tout juste de cesser de se répandre sur le plancher suffit pour le faire s'évaporer, j'en détruisis par le feu les cellules d'hémoglobine et laissai retomber la substance désormais transparente qui ne manquerait pas de geler d'ici peu...

 

-Bien! Y'aurait-il quelqu'un dans cette salle qui pourrait nous renseigner sur cet homme et les raisons de sa venue ici? Ou devrons-nous attendre son réveil?

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[hrP] Bonne chance pour remettre sur pied un topic que le narrateur à abandonner depuis un moment ^^ Mais pourquoi pas :3 [/hrP]

 

Relevant la tête de mon verre, je regardais avec indifférence cette homme étendu à terre et soigner par le dragonnier. Mon oreille entendait encore les battements de son cœur alors pourquoi fallait-t-il s'inquiéter ? La magie élémentaire lui était venu en aide et il devrait être sur pied dans quelques temps. Espérons qu'il ramène ici ses malfaiteurs, mon envie de tuer coulait à flot dans mes veines en ce moment, et cela se voyait surement dans mon attitude face à autrui. "Je pense qu'il faudrait le poser sur une table, avec une couverture de préférence et le laisser se réveiller..."

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J'ouvrai soudain les yeux, voyant à mes côtés un élémentaliste qui venait de me soigner.

Je fus stupéfait de voir que plus une plaie n'était visible sur mon corps amoché, plus une tache de sang au sol malgré ma faiblesse toujours présente.

J'avais la gorge sèche. Je voulu alors m'hydrater :

"Qu'on m'apporte un verre d'eau, dis-je d'une voix faible"

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