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[Accepté]Galianör, la cité naine.


Galaoud
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Je vous remercie pour tous les petits messages à mon attention en bas de vos posts ^^ J'essaie juste d' être utile et de faire de mon mieux pour notre chère cité ! Et je ne suis pas le seul qui doit être remercié et encensé ! Bravo à tous !

 

Pour ceux qui souhaitent devenir ministre : MP vos motivations et projets pour Galianör à Galaoud. Moi c'est déjà fait ^^

 

J' essaierai de faire une nouvelle vidéo ce soir, en attendant j'apprends comment compresser les vidéos faites avec Fraps parce que l' upload est trop long si je le fait pas !

 

Bien à vous,

Dacrokmistakilla

 

Edit : Bravo pour vos RP les mecs ^^

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Je suis désolé Bohem mais les nains n'ont pas le droit de devenir fils du Nether, il y aura sûrement un culte nain et on a eu trop de problèmes avec ces fous sanguinaires. Super RP Delobito, par contre les montagnes de Galianor c'est au Sud,pareil pour Zipnet et Drizer, par contre Drizer tu devrais faire attention aux fautes d'orthographe, ce n'est pas très grave mais ça fait toujours meilleure impression, et j'invite tous les nains qui souhaitent habiter dans la ville à s'engager à agir en nain et pour les nains ainsi que porter leur skin de nain partout tant qu'ils habiteront à Galianor. Et pourquoi modifier la hauteur du quartier riche?

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Cela fait quelques jours que je m'investit au sein du projet de la ville naine de Galianor, et pour ce faire j'ai décidé d'écrire mon RP :

 

Bonsoir, amis nains !

 

Je m'asseois près du feu, sous le regard des plusieurs personnes assises au coin du feu, et je prends connaissance de leur nom. C'est un dénommé DacrokMistakilla qui semble présider l'assemblée, à moins que ce ne soit Gallaoud, demeuré un peu en arrière et écoutant attentivement.

 

Dès que je m'assis près du feu, le cercle de nains sembla se resserer quelque peu, comme si ayant pressenti que cela faisait des lunes que j'étais transi de froid et privé de rapports sociaux, ils voulaient m'intégrer à leur bande.

 

Je commençais, doucement, une chope de bière gracieusement offerte par Drizer à la main:

 

"Ma vie commença il y a désormais 76 ans, dans une contrée située bien au Sud du chantier de Galianör. Alors que je n'avais que 25 ans, mon père, Brundîr, officier de la maison du Poing d'Acier de la ville d'Argalthor-sous-la-montagne, et ma mère, Aÿss la brune, décidèrent de fuir la cité, les manigances de la caste des fils de Schwarz prenant une ampleur inquiétante."

 

Je bus une lampée de bière et poursuivis, plus à mon aise :

 

"Tombés dans une embuscade tendue par le cartel Main-noire de la cité elfique avoisinnante, je me battis vaillamment, accompagné de mon père et de ma mère. Pourtant, cette altercation prit la vie de ma mère. Encore assez jeune, je ne compris pas immédiatement ce qui était arrivé. Mon père, fou de rage, poursuivit les elfes fuyards dans la forêt. Je réalisai qu'il ne s'arrêterait pas sans avoir traqué ses proies jusqu'en enfer s'il le fallait.

Il faut dire, pour continuer mon histoire, qu'il était réellement, et définitivement fou amoureux de sa femme Aÿss la brune, et c'est lui qui avait choisi de me donner mon nom le jour de mes cinq ans : Eyce Poing-puissant."

 

Tout en sentant les bienfaits de ma bière sur mon organisme, je poursuivis mon histoire, plongé dans des souvenirs que je n'avais jusqu'alors pas rappelé à la surface...

 

"Seul, je décidais d'enterrer ma défunte mère et de repartir dans la direction approximative ou était parti mon père. Je doutai de le revoir un jour. Quelle ne fut pas ma surprise des années plus tard... Mais revenons-en à mon aventure. Je décidais de chercher une autre cité naine non contrôlée par le culte de Schwarz. j'avais entre-temps appris que ce culte sanguinaire, mené par un certain Aelfyr, avait uni différents cartels et castes dans de nombreuses cités, dont ma cité natale et le groupe qui avait assassiné ma mère et après qui mon père s'était lancé."

A la recherche de cette cité, je fus capturé par une bande de gobelins en vadrouille. Ceux-cis souhaitaient me réduire en esclavage. Au contact d'autres prisonniers nains (réputés et prisés par les esclavagistes gobelins pour leur force), j'appris les moeurs de nombreuses contrées elfiques, humaines, ondines et gobelines."

 

Maintenant mon auditoire semblait captivé. Je poursuivis :

 

"Après une année entière d'esclavage, la plupart des esclaves désespéraient. certains se suicidaient, d'autres qui viellissaient se faisaient dévorer par les contremaîtres. Les gobelins étaient non seulement esclavagistes mais également cannibales.

Ce ne fut pas mon cas. J'étais Eyce Poing-puissant, fils de Brundir, et seul héritier de la dynastie des Poings d'Acier !

Je me relevais, et décidais de m'enfuir. Au cours d'un guet-apens que nous tendîmes à nos ravisseurs gobelins, malgré la mort de beaucoup de mes compagnons, nous réussîmes à prouver que nous étions non seulement plus forts mais aussi plus intelligents que les gobelins et que bien des races pensantes. Je ne mentionnerais pas les elfes...."

 

Clin d'oeil de ma part, rires dans l'assistance. Je me sentais beaucoup mieux à présent.

 

"Bref, en repartant avec les deux compagnons qui avaient survécu - eh oui, si peu... -, je décidai de poursuivre l'aventure. Nous fûmes rejoints dans la journée par une légion de soldats des armoiries Forgefeu, nous étions donc monté bien au Nord... La légion avait écrasé un campement gobelin à l'Est de notre bivouac. Je fus accablé par le remords, si seulement j'avais su... mes compagnons auraient peut-être encore été de ce monde...

Je décidai de suivre la légion, laissant mes deux compagnons survivants retrouver leur vie, leur caste, leur métier et leur famille. Engagé, je servis pendant près de trente ans sous la bannière Forgefeu, comme simple soldat d'abord, puis comme officier supérieur, comme mon rang et mon héritage familial l'imposaient."

 

Je repensais à la suite de mon histoire, ma foi je n'étais à cette époque pas au bout de mes peines....

 

"A l'âge de cinquante ans, je pris place à bord d'une mission dangereuse visant à coloniser les terres éloignées de l'extrême Nord, avec un grand 'N', celui dont parlaient les légendes... Des histoires de monstres gigantesques, de peuplades magiques et de montagnes rivalisant d'audace avec les titans, pères de nos pères, accompagnaient chacun de nos pas.

En embarquant sur le navire chargé de nous mener à cette terre promise, je pensais que le destin m'avait finalement souri. Je gardais espoir de revoir mon père et de lui conter mes exploits. En effet, un noble de la maison Forgefeu avait remarqué mes faits d'armes et souhaitait m'adopter, n'ayant aucun enfant, à mon retour de mon grand voyage."

 

"Au bout de trois semaines de voyages, contre toute attente, nous errions sur une mer sans fin, sans aucun vent. Un véritable désespoir pour tout marin, et qui plus est pour un nain, désespéré de ne pas voir ses chères montagnes dont parlaient les légendes.

Après trois jours d'une morne attente, un bruit immense se fit entendre. Immédiatement le navire fût happé dans les profondeurs comme une vulgaire coquille de noix. La seule chose à laquelle je pensais en ce moment n'était guère ma survie, mais plutôt la nature de ce qui avait pu provoquer ce désastre.

Un kräken, le légendaire monstre nordique avait avalé notre vaisseau explorateur, et tous ses occupants. Un destin funeste semblait guider mes pas, car je fus le seul survivant, une fois de plus.

En errant sur un radeau de fortune, dans une mer sans fin, je pensais que j'aurais mieux fait de mourir. Jamais je ne reviendrais de mon aventure."

 

Mon auditoire paraissait pour le moins surpris de mon passé mouvementé, et en me servant une cinquième chope de bière ma foi excellente, le nain dénommé Drizer paraissait perturbé.

 

"Au onzième matin de mon errance sur mon radeau, j'échouais sur une île gigantesque. Là, je découvris des montagnes absolument immenses, telles les légendes le relataient. Je pris la route, cette dois bien décidé à survivre, mais aussi à m'installer. Quelle ne fut pas ma stupeur, lorsque au détour d'une colline, je découvris le volcan Ragnarok, de toute splendeur, bafoué par l'immondice du signe du culte de Schwarz! je décidais malgré tout d'entrer à l'intérieur du volcan, ayant enfin trouvé une trace même infime de civilisation..."

 

Je vis du coin de l'oeil un certain Thorvald, qui écoutait d'une oreille distante, et que j'avais rencotré peu de temps auparavant au cours de mes pérégrinations à Ragnarok. Il s'était montré un allié de choix pendant la suite de mes aventures.

 

"En entrant dans le volcan, j'avais la sensation désagréable d'être épié. Plus loin, je me souvenais comme dans un rêve d'avoir franchi une porte étrange.

J'avais pénétré dans un monde dévasté, dont l'ensemble des bâtiments étaient dédiés au culte de Schwarz, un véritable cauchemar. J'étais prisonnier de mes rêves les plus noirs. Décidément mon destin me jouait des tours..."

 

Je ne savais encore pas à quel point...

 

"Je passais près de vingt ans dans cette terre, ou mon unique souci était de survivre, dans un monde ou les pillards et les cauchemars n'avaient que peu de différences notables. Je me souviens d'un épisode pourtant, qui fit basculer ma vie.

Un jour, en sortant d'un abri de fortune, je rencontrais un homme de petite taille, trapu, qui me ressemblait quelque peu. Il me sauta immédiatement à la gorge en hurlant. assez rapidement toutefois, habitué aux rigueurs de l'endroit, je le maîtrisais. Le menaçant de ma hache, je lui posais quelques questions, auxquelles il ne répondit pas. Encore un possédé de Schwarz.

Lorsque ma hache trancha son cou, je découvris une chose. Un tatouage à la base de l'épaule de cette homme me dévoila sa véritable identité, qui m'horrifia."

 

Bouche bée, mon auditoire vit une larme couler le long de mon visage, et disparaître dans ma barbe.

 

"J'avais tué Brundir, mon père et mon seul ancêtre. Il avait donc survécu. Bien qu'il fut possédé par le démon de Schwarz, j'avais commis un parricide, renonçant par là même non seulement à mon héritage, mais aussi à ma qualité de nain. J'étais un paria. La honte me submergea et j'errai dans le nether à la recherche de la mort. Mais la mort ne vint pas. Après un temps qui ma paraîtrait non mesurable, un portail m'apparût, comme la première fois tel un mirage, un rêve. Près de celui-ci se tenait Thorvald, qui allait devenir mon ami."

 

Le concerné hocha la tête avec un sourire triste.

 

"J'étais perdu, moins que rien, un véritable déchet de la race naine, abandonné sur un récif enflammé. C'est Thorvald qui me fit sortir du volcan, me vengea auprès des membres du culte damné de Schwarz, qui avait détruit ma vie, et qui me fit reprendre confiance en moi et mes capacités. Il avait entendu parler du fameux chantier de Galianör, et c'est lui qui m'amena ici, afin que je sois dans mon élément. Lui aussi, à la recherche de travail, trouva son compte dans ce chantier pharaonique."

 

L'assemblée hocha la tête. Thorvald et moi-même avions été une aide non négligeable, sinon précieuse, à la construction de la cité.

 

"Mes amis nains, bien qu'un Poing d'Acier déchu, je demeure et demeurerais à jamais Eyce Poing-puissant, et je construirais cette cité de mes mains s'il le faut, pour acquérir votre confiance !

Sachez que si vous avez besoin d'un chef militaire, je ne pourrais que répondre présent. En tant que ministre, je saurais répondre aux exigences de la cité. Mes exploits contre les gobelins, les orcs durant mes campagnes avec les Forgefeu et les fils du nether me montrent digne de ce poste, ou je saurais être un diplomate épaulant efficacement DacrokMistakilla au sein de Galianör, tout en menant le peuple nain de New Stendel à la guerre s'il le faut !

Je préfère la paillasse des baraquements à la chaleur des nobles demeures, mais mon expérience du combat et ma lignée, bien que je ne puisse y prétendre de façon officielle, me donnent le cachet nécessaire à l'accomplissement d'une telle tâche."

 

Je pris alors congé de mes nouveaux amis nains, rassénéré et serein, prêt à fuir de nouveaux cauchemars dans un sommeil réparateur, les laissant débattre de mes aventures comme des leurs, en attendant le lendemain matin.

 

 

Voiloupe =)

Gné fini ^^

 

j'espère que cette lecture vous a plu et pas trop ennuyé, en tout cas je me suis bien amusé à l'écrire :P

 

Amis nains, je prendrais les fils du nether et le culte de Schwarz à l'assaut !

 

J'espère être promu ministre, bien que je ne sois pas là depuis le début, prétendant seulement à une place dans la caserne de la ville, et non dans le quartier "riche".

 

A bientôt en jeu ! =)

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Bonne chance pour votre citée les nains ;)

ne prenez pas nos attaques dans le Nether comme affront personnel, que ca soit vous ou n'importe qui d'autre nous aurions attaquer, nous ne laisserons personne piller nos terres sans avoir subir notre courroux!

 

Quand à l'incompatibilité Nain/Fils du Nether je ne vois pas le problême, j'ai eu des très bon amis nain mort vivant et autre :D

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Salut les gars,

je n'est pas été très présent sur le chantier ces derniers jours et je m'en excuse.

Je me connecterai certainement demain soir pour vous aidez !

 

A demain amis nain ! (et en plus sa rime ^^ )

 

Ps : va falloir que j'attaque à rédigé mon RP, j'ai vu que pas mal de joueur avait rédigé le leurs et ils sont plutot réussi. Félicitation ! :)

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Salut a vous !

 

Je viens de faire un tour, et vous avez miner comme .. comme des vrais nains pardis ! :P

 

C'est superbe ! Surtout quand je me dir que quand je suis arrivé avec Bohem, y'avait rien :P

 

Bref, je viendrais de temps en temps voir comment ca avance :)

 

Aussi, bravo à tous poir vos rp, je les trouves super.

 

J'ai le droit de faire un peeeu de pub :P ?Juste pour dire que mon projet sur Navis à été accepté, et que si des nains veulent m'aider, c'est avec plaisir :).

 

DonSet

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@ Eyce : Superbe RP ! On va faire du bon boulot ensemble je le sens ! Juste petite remarque : Quand on tue son père c'est un parricide et non un infanticide... C'est juste mon côté pointilleux qui fait surface sinon franchement je pense parler au nom de tous pour dire que tu as une très jolie plume !

 

A plus !

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@ Bohem : dans un post précédent ne disait-tu pas que tu allais envoyer ta candidature pour devenir ministre ? car si tel est le cas tu devras être un nain à temps plein... Mais si tu veux garder ton indépendance je pense que ça ne posera pas de problème pour que tu puisses nous rendre visite vu que tu es un ami ^^

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Voilà mon role play pour pouvoir habiter, si possible dans le quartier riche :D ( je paierai le nécessaire) :

 

Assis à la taverne, bière à la main, avec tous mes frères de petites tailles pour fêter l'inauguration de notre cité, chacun raconté son passé, qu'il soit malheureux ou prestigieux, je me préparai donc à raconter le mien et comment j'avais atterri ici …

 

 

A moi de vous contez mon passé chers camarades, vous savez donc comment je me prénommes mais je ne vous ai pas dit d'où je venais. Je viens donc du clan des Barbes-Tranchantes, on nous prénommes ainsi pour avoir grandement participé à la légendaire Guerre De l'Est qui nous a été victorieuse, comme vous le savez, contres ces maudits gobelins. On nous donnait beaucoup d'honneur pour cette participation.

 

Notre famille était donc née pour combattre, de générations en générations, les gobelins. Je n'étais pas de cet avis, c'est vrai qu'au début, ça me donnait forces et courages, mais je commençais à me lasser de cet endroit, une cinquantaine d'habitants, et cette tradition guerrière que l'on ne pouvais pas échapper.

 

De mon côté, j'étais passionné par les minerais, après chaque entrainement guerrier durant ma longue enfance, je passais devant la grande mine du village, et je demandais ce qu'ils avaient récolté aujourd'hui, on me disait fers, charbon, et parfois même diamant, ça arrivais environ tous les dix ans.

Mais je ne pouvais pas miner, cela aurait des répercutions honteuses et négatives pour mon clan.

 

Alors à ma 60ème année, l'âge de la majorité chez un nain, je me décida à partir sans avertir qui que se soit, vers Prhoklar, c'est à dire au Nord-Ouest. Je n'emportai avec moi que 3 épées en fer, 5 pains et une armure en fer que l'on m'avait donné pour mes 60 ans.

 

Je partis donc sur une route en pierre, et je fus une rencontre avec nos pires ennemis, oui des gobelins ! Je m'y attendais d'un côté, ils essayaient de nous encercler depuis quelques temps. Je sortis une de mes épées pour combattre ces 4 créatures et l'enfonça dans la gorge du premier. Les ayant attaquer par surprise, je pus contrer l'attaque du deuxième pour lui enfoncer ma lame dans son torse. Je blessai le troisième et il tomba à terre, le quatrième s'enfuit, j'allai donc tuer définitivement le troisième en lui disant, énervé:

 

« Retournez donc dans le Nether, créature maudite ! » et le décapita.

 

Je l'avoue, mon entrainement ne m'avais pas servi à rien...

 

J'arrivai enfin à Prhoklar et allai directement … à la taverne, oui pour nous les nains, la bière c'est vitale ! Il n'y avait que des humains, aucun de ma race. Je m'essayai discrètement sans gêner personne sur un tabouret et j'entendis un humain d'à côté de moi parler à son compagnon, il disait :

 

« Regardes, un nain, crois-tu qu'il travaille pour cette énorme mine près de Stendel ?

Quelle mine , répondit son compagnon ?!

Mais tu sais, cette légendaire mine,au nord, pas loin du volcan Ragnarok, on dit qu'il n'y aurai que des nains qui y travailleraient et qu'elle serait gigantesque, on la qualifie de mythique !

Je ne savais pas, tu sais je pars rarement au nord, mais je ne penses pas qu'il y travaille, regardes, il n'a que des épées, aucune pioche... »

Je me décidai enfin à m'intégrer dans la discussion, avec l'énorme curiosité qui se remplissait en moi au sujet de cette mine :

 

«  Excusez-moi, humains, je vous ai entendu parler d'une mine où il n'y aurait que des nains, c'est bien ça ?

Oui... Oui

Pourriez-vous me dire où elle se trouve , lui demandais-je ?

Près de New Stendel, plus au nord. »

 

Je me sentais tout excité, peut être que je pourrai enfin réaliser ma passion avec, en plus, des frères de races !

Je partis directement vers New Stendel.

 

Arrivé là-bas, je montai à la capitale pour me renseigner sur cette mine. Je n'aimais pas l'architecture des résidences de cette ville, que du bois ! Je croisai un commerçant dans son magasin et lui demandai où était cette construction minière, il me répondit :

 

« Tu parles surement de Galianör ? Ahlala, si cette histoire est vraie, vous les nains, vous êtes fous ! C'est impossible de construire cela ! Enfin bon je te dis quand même, pars vers le nord, ensuite suis la direction de Ragnarok, tu verras la mine en cours de route si c'est bien vrai »

 

Je le remerciai et, après avoir bu deux bière à la taverne du coin, je partis vers Ragnarok, le volcan.

 

Et oui, cette mine était bien réelle, j'entrai dans cette porte de 16 mètres et fut accueilli par des nains, oui toi d'abord Debolito et toi Drizer47 ! Je rencontrai ensuite le chef des lieux, qui était en fait Galaoud, vous ne le savez peut être pas mais pendant son apprentissage militaire, nous combattîmes ensemble pendant la Guerre De l'Est, je fus agréablement surpris ! Et je rencontrais ensuite tous mes autres frères avec qui j'aboutissais cette mine, cette cité, aussi légendaire qu'elle soit.

 

Aller les gars, tournée général, pour vous tous car bientôt notre race montrera son pouvoir !

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà, merci d'avoir lu :)

 

On se retrouve en jeu.

 

Cordialament

babazoum

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Je vous présente mon RP de Nain, qui suit le début de mon histoire posé dans ma candidature de paysan. Je vous souhaite une bonne lecture.

 

Commencez par lire le roleplay de ma candidature paysan.

 

 

 

Que les gens étaient grands dans cette contrée… Les terres du clan d’Alduso étaient certes peu fertiles, mais il n’imaginait pas qu’une bonne alimentation puisse faire tant grandir les gens. Il s’était reposé depuis quelque jours dans la cité de Fingelberg, où les gens s’étaient révélé plutôt accueillant envers un étranger, qui plus est nain comme ils disent dans leur langue. La ville était impressionnante, entourée de neige, comme prise dans les glaces. Il n’avait jamais rien vu de tel, après avoir travaillé la terre comme un forcené des années durant. A 83 ans, il en avait vu, des hivers secs et des étés assommants. Après avoir marché quelques jours, il atteint finalement la ville de New Stendel. Il fut abasourdi par l’extraordinaire cité flottante, une vile magie devait être derrière tout ça. Pourtant, il se décida à y pénétrer, au mépris des règles de prudence à l’encontre de la magie qu’on lui avait rabâchée dès sa plus tendre enfance. De là où il venait, la magie était prohibée, les rares tentant de la maîtriser étant pendus haut et court. Il s’agissait plus d’une peur de l’inconnu que d’une règle établie pragmatiquement, d’autant qu’avec la magie, la sécheresse des dernières années aurait pu être atténuée. Il n’empêche que l’on n’est jamais assez méfiant vis-à-vis d’un tel pouvoir, capable du bien comme du mal.

 

A New Stendhel, Alduso découvrit une ville puissante, fortement peuplée et influente. Depuis New Stendel, on pouvait aller partout, aux confins d’un empire qui ne semblait pas avoir de limite. Il s’étonna d’ailleurs de n’avoir jamais entendu parler d’un tel foyer politique dans sa lointaine contrée. Sans doute la pauvreté de son clan et l’apprêté de ses terres n’avait jamais attiré un quelconque étranger, susceptible de l’informer sur le monde. Mais sa plus grande surprise fut de croiser des gens qui lui ressemblaient. Au milieu des grandes gens, des nains, comme il semblerait qu’on appelle les gens de son espèce, déambulaient, vêtus de lourdes armes et d’armures de cuir. Il tenta bien d’entamer la conversation, mais Alduso n’avait guère l’habitude de converser avec des inconnus, issu d’un village d’à peine 50 âmes. De plus, lorsqu’on lui demanda de quelle montagne il venait et qu’il ne sût que répondre, les autres nains crûrent à une plaisanterie et partirent en riant. Pourquoi parlaient-ils de montagnes ? Les siens avaient toujours vécu dans les plaines, en cultivateur. Ce monde était décidemment étrange. Il finit par entendre que le savoir était entreposé dans une bibliothèque, et qu’il y trouverait la réponse à ses questions.

 

Ce qu’ils appelaient savoir ressemblait étrangement à ses yeux aux histoires du patriarche du clan. Le soir, près du feu de camp, alors qu’un vent froid et sec battait sur les maisonnettes, le patriarche contait des histoires, mélange subtile de vérité et d’imagination, cherchant à inculquer une morale aux jeunes du clan. Ces histoires contaient la vie de cultivateurs confrontés au problème du partage avec des voisins dont les cultures furent ruinées, ou encore de l’union du clan face à la menace barbare. Tout ceci était si loin maintenant, et surtout… perdu. Ces livres étaient comme le patriarche contant une histoire nouvelle et inconnue. Alduso apprit l’histoire de son monde, ses us et ses coutumes, et s’en passionna au point de ne pas quitter le bâtiment public en 6 jours. Sa soif de savoir semblait intarissable. Sa vie se rythmait alors autour de la mendicité dans la capitale pour manger, et autour de la lecture et l’apprentissage du savoir.

 

Un jour, il pénétra dans une taverne de New Stendel, à la recherche d’une aumône pour subvenir à ses besoins. Un autre nain était debout sur une table et annonçait visiblement une nouvelle importante. D’après lui, un nain nommé Galaoud fondait au Sud de l’Empire une cité Naine ouverte à tous ses semblables. Il cherchait les nains perdus décidés à commencer une nouvelle vie au prix de la sueur et du sang. Alduso baissa les yeux. Alors que lui se complaisait dans la mendicité et la médiocrité, d’autres nains courageux se lançaient dans le projet d’une vie meilleure. Mais l’aventure n’était clairement pas pour lui. Il quitta la taverne, la nuit était déjà tombée, et il se dirigea vers la rivière de New Stendel. Il commença alors à la longer en rêvassant. Que faire de sa vie ? Il était encore si jeune. Il pourrait peut-être retourner sur ses terres, reconstruire ce qui avait été perdu. Il pourrait peut-être trouver des survivants… Des survivants. Le nain se mit alors à trembler et à gémir. Sa famille, son clan, ses frères, ses sœurs, massacrés par une main barbare et ignorante. Sa rage ne pût plus se contenir et il se mit à hurler de douleur dans la ville silencieuse.

 

Il s’agenouilla près de l’eau et pleura.

 

- Je n’avais encore jamais vu de nain pleurer. Que vous arrive-t-il donc, mon ami ?

 

Alduso se retourna. Une silhouette haute et cachée dans l’ombre l’observait.

 

- Qui êtes-vous ? Je n’ai pas le temps de subir les quolibets des habitants de cette cité. Je suis un nain brisé, respectez mon deuil.

 

L’ombre resta silencieuse. Le nain essuya de ses haillons son visage humide.

 

- Pourquoi restez-vous planté là ?

 

- Votre vie est-elle si dénuée de sens pour que vous vous morfondiez en mendiant sans n’avoir aucun projet d’avenir ?

 

La rage montait. Comment cet inconnu pouvait-il l’insulter ainsi ?

 

- Qui êtes-vous pour oser m’insulter ? Vous ne savez rien de moi ! Vous avez sans doute vécu paisiblement, en sécurité dans cette cité, tandis que des gens comme moi devaient chaque jour combattre pour gagner le droit de vivre ! Votre peuple n’est qu’insolence et vous me dégoutez.

 

- Tout ce que je vois, c’est que vous êtes abattu et incapable de vous relever. J’ai peut-être vécu confortablement et je n’ai pas subi de drame mais au moins…

 

La silhouette marqua une pause. Sa voix était douce mais on ressentait la sévérité dans le ton.

 

- … je vis ma vie, et la vie est ce qu’elle est, un don, vous l’avez dit. Ne le gâchez pas.

Aussi vite qu’elle était apparu, la silhouette disparut. Alduso replongea ses yeux dans les eaux sombres, brisé.

 

Le chemin jusqu’à Galianor était parsemé de petits villages mais aussi de dangers. S’approcher trop près du Ragnarok peut s’avérer dangereux pour un aventurier amateur mais finalement, Alduso était arrivé. Il se présenta aux portes, où s’affairaient des dizaines de nains. L’un d’eux le remarqua et s’approcha de lui.

 

- Bienvenue l’ami, je me nomme Galaoud ! Je suppose que tu viens participer à notre grande aventure ! Comment t’appelles-tu et d’où viens-tu ?

 

- Je me nomme Alduso, et là d’où je viens, il n’y a plus rien pour moi.

 

Galaoud le regarda d’un œil d’abord surpris puis sourit.

 

- Ne t’inquiète pas, si tu es prêt à travailler, tu as ta place pour débuter ici ta nouvelle vie. Je suis venu ici pour vivre la vie que je souhaitais vivre, sans que l’on m’interdise de le faire. Tous les nains qui veulent vivre libre sont bienvenus ici.

 

Alduso jeta un regard plein de gratitude à son nouveau camarade. Puis il ouvrit la bouche, comme pour dire quelque chose…

 

- Je suis un nain des plaines, je suis le dernier représentant du clan Sombre-Sable.

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Petit rappel, ça serait gentil de penser à boucher au fur et à mesure le plafond et les mur, ainsi que de faire cuire de la stone régulièrement. Je ne souhaite pas vous embêter ou jouer au petit chef, mais croyez moi que si on doit reboucher les mur et le plafonds à grand coup d'échelles de bouse ou arrêter le chantier un brave moment et/ou toutes les cinq minutes faute de stone pour finir la construction et rebouchage ont va en baver. Donc comme pour la grande salle faisant ça bien pour pas nous rajouter du travail en plus par la suite s'il vous plaît ;)

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Mon roleplay pour faire partie de la comunautée naine de Galianör. Enjoy reading :D

 

 

Ma vie commença, par un bête commencement :

J’étais un jeune garçon de 15 ans ayant soif d’aventure quand je fus enfant. Au jour de mes 15 ans je partie à l’aventure avec mon ami Domac, qui lui ne vivait que pour manger et dormir. J’ai vécu toute mon enfance avec lui : j’ai appris à marcher avec lui, j’ai vu tomber ma première dent de lait avec lui, j’ai tué mon premier zombie avec lui etc… bref j’ai grandi avec lui, mais pas de la même façon ! Je voyais bien que j’étais différent mais je le gardais pour moi…par exemple dés mon plus jeune âge on pouvait voir pousser de la barbe au menton. Quand je suis arrivé à maturité du haut de met 1m20 pour 60 kilo et que je passais mes journée à la mine du village je suis passé d’une hypothèse à une certitude : je n’etais pas Humain !!!!

 

RP paysan : http://www.minefield.fr/forum/viewtopic.php?f=29&t=10040&p=46103#p46103

 

Suite de mon RP paysan :

Après que mon ami, mon très cher ami, mon meilleur ami depuis mon plus jeune âge Domac, m’est abandonner devant Stendel, mon cauchemar commença. N’ayant aucun sens de l’orientation je ne savais pas du tout où aller je n’espérais qu’une chose c’était de trouver une auberge, de prendre un bain et de me reposer moi et mes petit pied. Donc j’errais dans Stendel pendant plusieurs nuit la plupart du temps orageuse mais tranquilles je veux dire, sans monstre pour m’attaquer cela m’avais d’ailleurs bien intrigué.

Après une trentaine de jours j’ai vu des pancartes affichant New Stendel avec une flèche. New Stendel étant la capital de Stendel je m’empressais d’y être avec la force qu’il me restait. Quand je suis arrivé j’ai sauté dans l’auberge la plus proche et j’exhaussai mes pensées de tout à l’heure.

Suite à une bonne nuit de sommeil je marchai dans les rue de New Stendel pour voir un peu les annonces que la ville proposait.

Plus-tard après avoir visité cette magnifique ville je posais des affiches sur tous les coins de la rue en disant que e cherchais un logement sympa avec des voisins agréables. Il ne ma fallu pas plus d’une semaine pour qu’un homme assez petit vienne me voir en me proposant d’aller à sa cité en construction. Mais cet homme me troublais, il était petit, très barbu et son enseigne sur son bras disait qu’il faisait partie du clan des Beaux-Barbus. Quand je vu l’enseigne j’eu un déclic : mes pensées se troublaient et j’eu des images d’un village en feu dans ma tête… Sa y est !! Je me souviens !! Mon vrai non est Thorg, je faisais partie du clan des petite-taille et je suis un NAIN ! Mais alors, qui sont mes vrais parents…pourquoi m’ont-ils abandonné ? Ce village en feu, ce devait être mon village… Et c’est homme qui est venu pour m’accueillir dans sa cité, c’était un nain lui aussi ! Moi qui pensais que j’étais le dernier de ma race… Peut-être que ce « Galaoud » (le nain qui est venu me voir) pourra m’éclairer sur mes origines. Je verrais tout ça plus-tard, en attendant : En route pour la cité naine GALIANÖR !!!!

 

Voilà j’espère que sa vous a plu ^^ dites s'il est trop court ou quoi que ce soit d'autres.

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