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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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Messages recommandés

-Je n'ai nullement l'intention de commander une armée de partisans de l'Inquisition, Zéphyr et moi avons toujours été ennemis des Mages Noirs et de personne d'autre, de même : nous ne sommes du côté de personne si ce n'est de ceux combattant les mêmes gens que nous. Nous refusons d'aider en quoi que ce soit l'Inquisition pour des problèmes ne nous concernant pas.

 

Je repoussai mon bol et m'affalai un peu plus sur ma chaise, mon regard dans les yeux cet Inquisiteur et l'Air vibrant autour de moi, ma Créature apparut elle aussi, couchée sur ma table et fixant tour à tour chacun des hommes du Mage.

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Si tu ne les commandes pas ils tueront 200k personnes par jour. ah oui je suis sur le point de signer une trêve avec le dieu et laisse moi te dire une chose. On a plus populaires sur nos terre que personne le peuple a tué l'inquisition car oui je suis chef que depuis récemment une armée de paysans ma suivie et ma demandée de prendre le pouvoir. Donc on est avec le peuple tandis que vous êtes avec ces chiens de nobles qui vous donnes de la propagande.

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Je me levai et pris mon épée en criant :

- Rohh ça suffi les gamineries on peut même plus être tranquille pour manger une glace ! Je ne vais pas tarder à en balancer un par la fenêtre si ça continue ! C'est bien clair !?

Je me calmai et me dirigeai vers le comptoir où je demandai au narrateur 1L de glace au chocolat. Puis en rigolant je lançai au Narrateur : 

- Tu devrais mettre des tables dehors on serait plus au calme.

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j'écoutais de loin la conversation de l'inquisiteur. Ce n'était pas le premier arriviste trop sûr de lui que je croisais, et il semblait abuser un peu trop de la bouteille. Ma glace était terminée, je décidais d'en commander une nouvelle coupe, à la menthe cette fois.

Je sortis de la poche intérieure de mon habit-veste une note, que je commençais à lire.

Le ton montait dans la glacerie mais après tout, c'est le cas dans toutes les tavernes.

Les trois soldats qui étaient avec moi commandèrent également une glace, et nous commençâmes à parler de la future prison de Terre-morne; un pénitencier pour mages-noirs dont Zayhr allait proposer construction au conseil de l'ordre des sages.

Il était temps que nous nous débarrassions de ces démons, qui menaçaient la sécurité et la tranquillité des civils. 

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Narrateur : «des tables dehors ?, mais c'est une superbe alternative au coup de plateau mon cher Lugnasad !» A ce moment le narrateur sorti de derrière le comptoir, pris la table de Pencroff, celle de l'inquisiteur, les placas devant la glacerie puis revint chercher l'inquisiteur et Pencroff en eux même pour les remmettre à leurs table dehors avant qu'ils aient le temps de comprendre ce qu'il se passait. Revenu derrière le comptoir :«mon cher Lugna on devrait mieux s'entendre désormais ! mais vos propos de defenestrer quelqu'un me gêne un peu ... comment dire qu'il n'y a que moi qui ai l'insigne honneur et devoir de veiller au conford de mes clients ?» Deux seconde plus tard le plateau passa à la table de Pencroff, maintenant dehors, pour lui déposer sa glace à la menthe. «Zut j'ai oublier de déplacer quelqu'un !» revenant à la table du dragonnier, le narrateur eu comme un doute sur l'interet de déplacer quelqu'un presque en train de dromir ...

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Bon heureusement, il fait bon non ?

Il voit la glace à la menthe du commandant.

Tiens tu as bon goût. Lis ce papier il définit nos zone d'influence. Tu as stendel et (New stendel à débattre ) et moi le reste du monde. Sinon on va se battre à coup sûr. Sinon deuxième option on se bat et tu gagneras le combat ici, une guerre froide se déclencherait et il ne resteras rien de nous.

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Franchement rendre au peuple ce qui lui appartient. La justice tu sais on ne fais pas d'omelette sans casser des oeufs. Je crains que tu sois diriger par des nobles.

Après stendel n'est qu'un point sur la carte si tu la laisse crever c'est ton droit j'y est renoncer.

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Narrateur : Il regardait du coté d'un accident de plateaux ... l'un revenait et l'autre partait avec un pot de glace à la menthe ... «oh ...» Il n'avait plus qu'a envoyé un serveur regler le probleme, ils avaient le mérite d'être plus fiable que ses plateaux. Le serveur servi donc le pot de glace au lieu de livraison.

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Il était maintenant trop tard pour lui répondre...
200 000 personnes par jour? Cela faisait énormément pour une simple armée de paysans, sûrement du bluff...
Je terminai ma glace, payai ma note puis sortis, j'avais envie de m'entraîner un brin tant qu'aucun combat ne semblait imminent. Zéphyr se posa immédiatement et je sautai en selle, il décolla aussitôt.

-Alors mon bon Zeph', que dirais-tu de t'entrainer un brin?

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Voyant que le dragonnier allait partir il dit a des hommes  de marquer en lettre de sang "tu aurais du accepter". 

 

 

 

 

 

-Bon il part donc il n'a pas peur bon. Ce dieu ennemis sur mes terres occupe la moitié de mes hommes. Ici sur stendel j'ai le quart. Commandant j'ai vu des bandits sur le chemin de mon retour pour mes terres tu veux voir comment une vrai armée s'en occupe ?.

 

( J'ai le droits de mettre une image pour mieux décrire mes soldats? )

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Les pouvoirs mentaux avaient du bon pensai-je en souriant, ses hommes pouvaient bien chercher, mais il est fort difficile de trouver une entrée n'existant pas... Je les vis s'éloigner sur la route et me dis qu'un exercice sur cibles mouvantes pouvait être instructif.

 

-Zeph', tu penses à ce que je pense?

-Évidemment!

 

Il poussa un rugissement sonore tandis que je me redressais sur ma selle et courais jusqu'au bout de sa queue, lorsque j'en atteins la naissance, le Dragon piqua de la tête ce qui imprima un même mouvement au reste de son corps, ce fut le tour de sa queue lorsque j'arrivai à son extrémité.

 

*Synchronisation parfaite, pensai-je.*

 

Je fus projeté en arrière et déployai mes ailes avant de fondre sur ces pauvres guerriers qui venaient seulement de comprendre ce qui allait leur arriver. Lame dégainée, j'amorçai un tonneau sur moi-même à une cinquantaine de mètres du sol, Zéphyr était déjà en-dessous de moi. Il brûla deux inquisiteurs, puis en saisit un troisième dont il sépara le buste des jambes avec ses serres. J'arrivai juste après, m'abbatant sur l'un des deux survivants et tailladant le dernier en me retournant brusquement...

 

-Bien joué Zéphyr, dis-je en rengainant mon épée, reprenons l'entraînement.

-Avec plaisir, allez monte!

 

Je sautai de nouveau en selle et nous nous envolâmes.

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Chiens mais je vais te montrer mon nouveau pouvoir.

 

Des tentacule sortirent du sol le prirent par la taille et le jetèrent au sol.

 

Tiens tu ne peux plus partir et ah oui les civils les civils.

 

Regardez cet homme il veux votre mort et l'anarchie mais je vous protégerait je vous demande juste une simple prière. Car ainsi on lui résistera et on le battera mes frères.

 

Bizzarement les civils se mirent à prier l'inquisiteur qui semblait étrangement les motivés.

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-Tu te transformes en poulpe maintenant?! Avec tout le respect que j'ai pour les poulpes c'est pitoyable!

 

Zéphyr cracha ses Flammes sur moi et je les inclus dans mon aura avant d'en augmenter l'intensité, les tentacules crépitèrent un instant avant de se rétracter et de se tenir à distance, craintives... Je matérialisai mon armure et me mis en position:

 

-Tes manipulations dans les simples Esprits de ces gens ne seront pas suffisantes! Nous pouvons être deux à jouer à ce jeu!

 

Je fermai les yeux et étendis ma sphère d'influence mentale à ces pauvres civils, alors commença une bataille mentale: lui pour leur contrôle, moi pour leur liberté, Zéphyr joignit ses efforts aux miens et nous parvînmes à repousser peu à peu l'Inquisiteur:

 

​*Levez-vous citoyens! Ne laissez pas cet homme vous contrôler, vous valez mieux que ça!!

 

Je rouvris les yeux après m'être assuré qu'ils étaient bien libres:

 

-D'autres questions?

 

Je dégainai mes Lames mais n'attaquai pas, je souhaitais éviter le combat mais il ne me laissait pas vraiment le choix... Zéphyr se posa à côté de moi.

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Oui pourquoi ? car tu vois comment dire la je voulais savoir ou tu habitait par simple curiosité et faire passer un message et je voulais partir mais la j'ai une raison de rester donc tu viens juste d'empêcher la paix donc j'ai une idée. Prend ton épée et battons-nous à la loyal si tu me bat je rentre chez-moi si je te bats tu fais de même.

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Narrateur : «cher client, veuillez m'excuser un instant» à ces mots le narrateur sorti de la taverne, toujours son plateau à la main. «Par toutes les histoires que j'ai raconté ! que je raconte ! et que je raconterais ! J'en appelle à la puissance des histoires Horrifiques !» A ses mots un arbre sorti du sol, un arbre décrépi ... noir, comme brulé. De son coeur sorti un homme immense mais sans tête, tenant dans sa main gauche une hache et dans la droite un citrouille illuminé. La citrouille ouvrit ses yeux étincelant pour ricaner de plus en plus fort en regardant l'inquisiteur. Un cheval à son tour sorti des racines de l'arbre, un cheval noir aux yeux rougeatres. Le cavalier sans tête monta sur sa monture. Drappé de sa cape, il lanca sa monture au galop. Plus il avancait et plus la zone se nimbé d'un brouillard lugubre, si bien que l'apparition disparu après quelque pas. «VOUS N'AURIEZ PAS DU ME PROVOQUER !»

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-Wow wow wow qu'est-ce que c'est que ça?!? Zéphyr on décolle!!

 

Je sautai en selle et nous fûmes en l'air en moins de temps qu'il fallut à l'invocation pour nous arriver dessus.

 

-Narrateur dis-moi que tu peux contrôler cette chose!! Criai-je.

 

Mon équipement se mit à luire, comme à chaque fois qu'un ennemi tenait du démon plus que du tangible, nous restâmes en hauteur le temps de voir comment la situation évoluerait...

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Narrateur : «aux mots de dragonnier une citrouille apparut sur le dos du dragon, continuant eternellement à rire !»,se retournant vers le dragonnier : «oui mon cher dragonnier je controle cette "chose", un peu de respect, c'est une de mes histoire favorite» Il avait pas l'air de comprendre que le narrateur modifie l'histoire à sa guise, et fait intervenir tout les protagonistes qu'il veut. Faudrait quand même que j'arrete de raconter mes histoires en me parlant à moi même, quoi que ... il y a bien vous cher lecteurs ! je ne suis pas seul ! Bon je retourne raconter l'histoire de mon histoire du moment ou je modifié l'histoire ... Le Narrateur pouvait modifier l'histoire ... la mettre à sa guise.

 

 

(HRP : en italique c'est quand le Narrateur modifie l'histoire, et toujours quand il parle au lecteur à la première personne c'est que c'est en dehors de l'histoire ^^, oui je suis en train de vous retourner le cerveau grace à une Story'ception ^^)

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Narrateur : Il ne comprenait pas que le Narrateur ne pouvait être tuer, si le Narrateur disparait qui raconte l'histoire ? Le Narrateur disparait, l'histoire disparait. Le Narrateur semblait s'amuser de la situation, un mortelle ou ce qui s'en rapproché le plus voulait lui tenir tête. «A ce moment l'arbre redisparu dans la terre, laissant place à une bête de l'enfer, fait de flamme noir, avec des veines de feu et de magma en fusion» Franchement je me demandé comment des individus pouvaient encore essayer de le tuer ... c'était et ca restera du suicide dans tout les cas. Le Narrateur avait une folle envie de rendre fou le patron de la glacerie, en mettant en son absence un personnage qu'il se refusait à lui montrait, de peur de lui reveler son histoire avant le moment venue.

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