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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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Narrateur : Cette cuvé était interressante, elle vous gelé littéralement sur place ... Comme si le patron lui même vous deversez son pouvoir de l'échine jusqu'au pied ... Un pure délice selon lui, une délivrance ...

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Wow! Il est froid ce vin froid comme..... Ohh non..... J'ai survécu à la battaile c'est pas le sorcier qui m'a jeté ici je...et. ...... Je suis dans un village le roi nous a demandé de brûler un village car il y aurait des adorateurs du chaos mais c'est tout ce que je me rappel c'est d'une pensée : Ce code ne sert qu'à cache notre brutalité car je croyais respecter ce code en servant mon roi mais servir un roi qui demandes à tuer des innocents n'est pas valeureux. Je pense que ma mort et celle de mes frères d'armes et meilleur pour le monde que notre vie. J'en ai tue bien trop.

 

Je me rappele que du froid glacial après sa voudrait dire quoi ? Dit-il à tout le monde dans la taverne.

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Argh je vais te tuer ! Hmpf ouais non il est plus la mais les autres le sont.
Tiens tiens l'élémentariste tu veux que je te montre comment j'ai synthétisé tes pouvoirs ?
 
Il leva un bras et le sol se souleva  juste sous lug. 
 
J'adore battre les gens avec leurs pouvoirs.

Il est temps de terminer ce combat, ça en devient ridicule.



Ainsi il était devenu hors de contrôle...
Mais moi, que faisais-je? Rien. J'étais paralysé, tout comme Zéphyr, par une force qui me dépassait. Ce n'est pas nos mouvements qui étaient entravés, mais bien notre volonté, nous étions là, présent physiquement, nous voyions tout et ressentions tout, mais nous étions en même temps ailleurs, notre conscience, notre esprit, ils n'étaient plus là...

Et puis d'un coup, tous purent entendre une voix vibrante de Pouvoir émaner du Dragon, et cela bien qu'aucun mouvement n'agita sa mâchoire, et à cet instant, chaque protagoniste fut réellement frappé de paralysie:

 

-Ainsi tu penses pouvoir t'approprier les Pouvoirs de n'importe qui? Tu te crois l'égal des Dieux? Mais en as-tu déjà seulement rencontré un? Non. Je suis seul Maître de ce Monde, j'ai le Pouvoir de Vie ou de Mort sur chacun des organismes couvrant cette terre que j'ai moi-même façonnée... Tu as volé ces Pouvoirs, tu vas maintenant les perdre, tous. Tu as violé les lois de l'Instinct qui régissent ce plan, tu as tourné le dos à ce Coeur dont je t'avais personnellement fait don, c'est une offense grave au Seigneur de toute chose que tu vas payer au prix juste. A partir de cet instant, tout tes Pouvoirs te sont retirés, ta Vitalité n'est plus qu'infime, TU n'est plus qu'infirme parmi les Humains, parmi les Elfes, parmi les Nains, parmi chaque race peuplant ce Monde.

Mais cela ne durera pas, je t'offre l'occasion de regagner tout ce que tu as perdu par toi-même, tu devras réapprendre à te nourrir, à respirer, à vivre...

Ne te souviens pas de ce discours, retourne écouter ton Instinct et ton Coeur et gagne ta rédemption par toi-même, sans même savoir que tu es maudit. Maintenant, VA!

 

Entre temps, un être fait d'une complète Lumière était sorti du corps de Zéphyr, il avait l'apparence d'un Phoenix humanisé: son corps était couvert de plumes, sa tête était un croisement entre celle d'un Dragon et celle d'un Aigle, de grandes ailes repliées dépassaient de son dos et ses mains étaient en fait des serres. Il s'approcha doucement de l'Inquisiteur et l'on comprit que c'était de lui qu'émanait la voix, au fur et à mesure qu'il se rapprochait, des gerbes de Flammes s'intensifiaient et l'entouraient d'une aura lumineuse et rougeoyante impressionnante, infiniment plus puissante que la mienne. Lorsqu'il arriva près du Démoniste et à la fin de son discours, les yeux de ce dernier s'écarquillèrent et un arc ténébreux contenant une sorte de flux s'établit entre eux, le courant allant vers le Dieu, et je compris alors que c'était la vie de l'Inquisiteur qu'il absorbait.

Lorsqu'il en eut fini, il disparut dans une explosion de Lumière et nous pûmes tous à nouveau récupérer notre Liberté de mouvement. Lug retomba, tandis que l'Inquisiteur chutait, vidé. Il nous fallut à Lug, Zéphyr et moi quelques minutes pour récupérer de cette vision, le Démoniste par contre restait affalé, nous nous dirigeâmes donc vers la Glacerie, poussâmes la porte, et nous effondrâmes à une table, j'allais commander un remontant lorsque je vis que tout un stock de vin du patron était sorti, j'en pris une bouteille, la vidai en quelques gorgées et me sentis geler de l'intérieur. Fichu glace! Pensai-je avant de m'assoupir un instant...

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Narrateur : Il avait beau avoir raconter un tas de choses, il n'en restait pas moin étonné des evenements par moment. Acoudé à une fenetre il avait  regardé le dieu de flamme et de plumes voler la vie du Démon, puis les protagonistes revenir vers la taverne. Tout était sorti ils n'avaient plus qu'a se servir, donc il resta paisiblement acoudé à sa fenetre regardant les flocons de neiges de l'arbre gelé de la cour tomber lentement.

 

 

HRP : Clap Clap Clap, fin qui n'est qu'apréciable ^^ et d'une qualité d'écriture plus que qualitatif.

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Je me réveilla, c'est dingue comme c'est glace à la seiche est somnifère ! Je regarda alors le reste de la taverne,il commencèrent à faire la fête, c'était rigolo. J'attrapa mon manteau, fit un signe aux buveurs et sortit de la taverne en sifflotant un air festif et doux à la fois.Quand j’arrivai à l'entré le dragonnier passa à coté de moi et se précipita pour s'affaler sur une table après un combat furieux, je toucha à son insu son ventre pour le marquer et poussa la porte. Une champ de bataille s'offre donc à moi, le démoniste au milieu ne bougeait plus... Je sifflota et pris le démoniste sur mon dos,"Tu as bien des choses à m'apprendre, toi" dis-je et dans un éclat de lumière bleuté, je disparu du terrain glacé.

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Narrateur : Voyant l'homme en brun se réveiller, sortir puis prendre le démoniste, le narrateur sorti juste à temps :«quand il se réveillera tu lui fera penjser à payer sa note, il n'a toujours pas payé ses consomations !»

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Impressionnant ! J'ose espérer que le bruit de la fête ne le réveille pas. Bon continuons à boire et à *schrumpf manger d'ailleurs écuyer vis ta vie tu es libre. Moi je vais festoyer boire manger dormir et oublier ma vie d'avant. Ahhhhh c'est bon cette glace qui en veux ? Boarf je n'aurais plus . Le chevalier mangeais buvait puis il buvait il était pompette.

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Narrateur : «réveille qui ? mon cher je pense que vous disvaguez autant que la mer touche les rivages de stendel, c'est inquietant.» Peu de temps après, on vit que cette homme d'un autre monde était totalement saoul. La politique de la maison étant clair à ce sujet, il fut mis à la porte sans sommation ni aucun remord. «désolé mon cher mais nous ne souhaitons encourager aucune rix de taverne ouvragé par des alcooliques.»

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Voir' Musez vous bien. Oulah ! Y'a tout qui bouge ! Attendez je dort oú hips* Ah oui faire du camping ! Griller de la viande dormir dans une tante hips. Cheval où es-tu ah oui la . Il monta difficilement à cheval et le cheval partit au galop. Droit vers la capitale.

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Le combat était terminé, et les gardes rentraient vers la caserne. Un homme étrange avais pris le démoniste sur son épaule et s'en était allé avec lui...

tant pis, de toutes manières il ne fera plus grand mal maintenant qu'il était démuni de ses pouvoirs.

 

Autour de la glacerie, tout avait été saccagé, brulé et anéantis. Au milieu de cette désolation, le bâtiment se tenait toujours sur ses fondations sans avoir été ébranlé le moins du monde. Malheureusement je n'avais pas le temps pour une glace, et je repris la route de la caserne sur les pas de ma compagnie.

 

"espérons que s'en est fini de ces batailles sans fin tous les deux jours", me dis-je en marchant.

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Narrateur : allant vers un tableaux recemment installé près du comptoir le narrateur le mis à jour : "Nombre de jour depuis le dernier combat : 3, nouveaux record établie" puis en retournant derrière le comptoir il monta sur son perchoir; laissant le soin au chef de salle de gerer. Pour se reposer il se prit une petite bière aux frais de la maison.

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Je venais d'effectuer mon retour chez moi déçu mais réaliste, je n'avais aucune chance à la base. «Considerez moi comme absent» furent les derniers mot que j'eu dis avant de m'enfermer dans mon bureaux.

 

Narrateur : «pile à l'heure Ciel ! tu es pile à ...» Le Narrateur n'eut pas le temps de finir sa phrase il s'était enfermer dans son bureaux. Se retournant vers l'assemblé : «Vous savez pas ce que c'est que devoir faire en sorte qu'on pense que l'on ne sait pas ce qu'il va se passer, surtout quand on le sait pertinement.»

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Hey vous Savez vous ou...

 

Bon il doit être occupé. Sinon tavernier une spécialité du chef et une bière naine. D'ailleurs je chercherai. Des ruines car oui c'est mon deuxième passe-temps après la boissons. Sinon dites-moi

c'était qui cet homme ? Et je suis pas ivre juste une sale geule de bois. Dit il au narrateur.

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Narrateur : après lui avoir servi sa commande, il prit la parole : «Vous devez parlé du chef de cette honorable, passe établissement. Après la question est : Dans quel Scénario somme nous ? Dans celui ou il recoit une mauvaise nouvelles dans quelques secondes ou celui ou vous allez le déranger, ce qui ne peut plus être le cas vu que je viens de vous expliquer cette éventualité, ce qui ne reste plus que ... celle ou vous manger et buver ou alors ...» A ce moment il se mit à neiger dans la salle :«cette éventualité ... si seulement vous saviez ... tout ce que je peux vous dire c'est qu'il est triste» Drole de journée pour la taverne.

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Et, à cet instant, un violon de glace apparaissait devant Ciel, sur son bureau, accompagné d'un petit mot soigneusement calligraphié. « Pour que tu puisses me jouer ton morceau en entier la prochaine fois que je viens dans ta taverne. »

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A quoi bon ... la vie n'est perdue que par destin, l'histoire elle ne se souvient que de celles qui plaisent. Je n'eu pour seul reflexe que de renvoyer le violon accompagné d'une lettre : «Je prefere qu'il reste dans ce jardin ou je l'ai reçu, j'aurai une raison de venir, si tu viens je l'appelerai. La fleur que je t'ai faite te plait ? Elle ne fanera qu'à une seul condition. S'il te plait garde là, si tu as besoin de moi elle te sera d'une grande aide» J'avais enrichi la lettre de mes enluminures charatéristiques ... ponctué de glace réel.

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La tristesse je ne la connais que trop bien. Il buvait la chope dun coup sec. Foutu roi que nous demande de tuer les habitants des villages occupé par notre armée. Je suis désormais sur que le code d'honneur des chevalier brittoniens n'est que un masque pour cacher notre soif de sang et notre brutalité. Ces pauvres enfants mort de main. Il mangea un peu sa glace et dit : je suis mort dans mon monde et brisé psychologiquement ici.

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Enfin je me réveillai...

De la tristesse, de la tristesse partout, et je m'aperçus que Ciel était rentré...

Aller le trouver? Tenter de le consoler? Ou ne pas y aller? M'en aller?

Je ne pouvais point le laisser dans cet état, ma nature même m'en empêchait, je disparus donc et me faufilai dans son bureau:

 

-Eh bien l'ami! Dis-je en redevenant visible, on ne salue plus ses clients? Même les plus fidèles?

Se pourrait-il qu'elle soit à nouveau la cause de cette eau trouble qu'est ton Esprit à présent?

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Un regard dans sa direction suffit à lui faire lentement gelé les bottes, mon bureaux était un endroit privé interdit à la clientèle et même si je l'aimais bien je ne voulais pas qu'il fasse un pas de plus. «Retourne en bas dragonnier» Je n'avais même pas sourcillé n'y même ouvert mes yeux, elle était venue d'elle même comme à son habitude : une main de glace venait de se poser sur l'épaule du dragonnier, une main l'invitant à faire marche arrière. La statue à ses obligations et ses intentions, et envers le dragonnier elle n'a que des objections à sa tentative d'intrusion.

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-Soit, c'est toi qui vois, sans doute le narrateur sera-t-il plus bavard, dis je en descendant les marches et permettant peu à peu à la Lumière de me traverser à nouveau.

 

Une fois revenu à ma table, je réapparus et interrogeai du regard le fameux narrateur: que s'était-il donc passé chez Dom qui l'ai mis dans un tel état?

 

-Et une glace à la poussière d'étoiles s'il-te-plaît, demandai-je cette fois à haute voix, et avec le sourire...

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Le problème quand on laisse son casque pour manger c'est que les bruits résonne. En plus mon mal de crâne me faisait souffrir le martyr. Je m avançais vers le dragonnier et dit : N'hurle pas s'il te plait c'est tout ce que je vais te demander.Je retournai manger ma glace

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