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DomFulmen

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Tout ce qui a été posté par DomFulmen

  1. Juste deux petites rectifications tout de même, seuls trucs que j'ai à redire sur ce que tu dis ^^
  2. HRP : On attend la suite du coup Pour Alexas : On va dire que je t'ai posé la question là, on va la refaire en mieux Je pris place à ma table et considérai mon ami le nain quelques secondes, tentant de reprendre mes esprits. J'étais encore vibrant de pouvoir, et je doutai que me toucher maintenant fusse une bonne idée. « Cent, mill, dix-mille, davantage ? Peu importe, c'était beaucoup trop, et bien trop de fourbi à mon goût. Mais, où en étions-nous, mon ami ? Comment étaient les terres du sud ? » ————— « Mademoiselle ? Vous me permettez ? J'ai cru entendre par plusieurs fois le nom "Fulmen". Vous connaissez, je suppose ? » Un elfe. Le regard inexpressif, l'air vidé ; je n'ai jamais aimé cette attitude qu'ont la plupart des elfes à regarder le monde avec un tel détachement de part leur grande longévité. Je soutins son regard insistant, et ne manquai pas d'y voir une trace d'intérêt. Et, loin, très loin, une maigre étincelle d'espoir enfouie. Apportée par mon nom ? « Bien sûr, oui. Je m'appelle Seïra Fulmen, et mon père Dom est le grand blond qui fait de la destruction de masse, à la table juste là. »
  3. J'opinai du chef. « Avec plaisir, et un peu de lait si possible. » Je fermai les yeux et appréciai ce moment de calme, ma tasse à la main. Mon père eut un grognement de dédain. « Si vous en voulez, vous pouvez toujours aller leur en chercher. Moi je passe. Je m'en suis mêlé et c'est déjà bien assez. »
  4. Cent ? Cinq-cent ? Mille ? Davantage ? Sept directement sur moi, une horde noire, mouvante et hurlante derrière eux. Je soulevai ma tasse au-dessus de ma tête et la relâchai. Les mains furent coupées d'un moulinet. Deux derrière moi. Un cercle, et ils furent tous tranchés. Sauf un, sur moi. J'avais toujours de l'élan, l'éjectai d'un coup de talon, tendis ma main. Une lame invisible le transperça, puis s'écarta, le déchirant de tous côtés. Je me rassis et rattrapai la tasse. Les corps se décomposèrent en une fumée nauséabonde. Faibles. Bien trop faibles ; mais bien trop nombreux. Et presque intelligents : une horde ignorait désormais toutes les autres cibles et se précipitait sur moi, tandis que le reste accumulait de l'énergie dans gueules et paumes. Une myriade d'étoiles violacées prêtes à me transpercer. Je soupirai et vidai ma tasse d'un trait. Je me levai et fit quelques tours de poignets, inspirai et jetai un regard assassin à la horde, parfaitement calme. J'aperçus quelques unes des créatures les plus proches tressaillir, et comme hésiter l'espace d'un instant. ————— Je considérai le nain avec un sourire et soupirai. « Ma foi, comme tu vois, ce repère de fous n'a pas chapardé sa réputations. » Je jetai un rapide coup d'œil derrière-moi. « Ce genre de choses arrive un peu trop souvent à mon goût. » Je me concentrai quelques instants, tendis la paume face à la table. Une chope pleine apparut, et je souris. « Je t'invite à savourer cette bière de mon pays, elle devrait te plaire, je pense. En attendant, si tu veux bien m'excuser... » Je me levai et repoussai paisiblement la chaise. « ... ça ne devrait pas prendre bien plus que le temps que tu la finisse. »* ————— « Depuis quand es-tu devenue une démone toi-même, ma fille ? » Je sursautai presque, et considérai le sourire crispé de mon visage, les dents découvertes, aussi serrées que mes mâchoires, les yeux écarquillés et lançant presque des flammes. Je me retournai vers lui. « Tu peux parler, mon père. » Il me rendit mon sourire, dégaina, et fusilla la marrée à son tour. Un vent spectral, froid comme la mort, se dégagea de nos corps inondés par la magie, puis une seconde, puissante comme un ouragan, qui souffla toute la première vague. Mon père était mis en jambe. Toutes les créatures s'arrêtèrent l'espace d'un instant. Dom écarta les bras d'un air de provocation et éclata de rire. « Alors ? Venez ! Non, personne ? » Rien. Rien, à part mon père, cent mètres plus loin, l'épée dans la tête d'une créature, au milieu de la horde. Un tour sur lui-même. Une explosion de fumée de tous les cadavres, vite soufflée par l'aura de magie qui l'enveloppait. Il regarda lentement toutes les créatures autour de lui, sur les bords de l'énorme cercle à présent créé dans l'armée de monstres, l'air plus furieux que jamais. « Des anomalies pour avoir contrarié "l'histoire" ? Faites-moi rire. Les Fulmen n'ont que faire de l'histoire. Vous continuez d'apparaître ? Parfait ! Venez encore, parce que je vais briser l'histoire en vous tuant tous. » Aucune réaction. « VENEZ ! » Il resserra le poing, et ainsi comprima avec une multitude de cris d'horreur et de terreur toutes les créatures présentes vers l’inexistence, aussitôt remplacées par des centaines, des milliers d'autres, prêts à éliminer ce nuisible. Je vins près de lui. Les créatures apprenaient, et j'en trouvais ça adorable. Nous fûmes dos à dos, entourés de la plus grande armée que, je crois, aucun monde n'ait connu, tandis qu'une multitude de projectiles fusèrent sur nous, sans le moindre scrupule pour les alliés sur lesquels ils étaient aussi tirés. Plus loin, j'aperçus le dragon et le dragonnier se battre. Sa lame s'approcha d'une tête pour la trancher. Je projetai mon esprit, et englobai toute la zone de mes pensées. Ces créatures ne vivaient pas. Elles étaient intelligentes, certes, mais n'avaient ni espoirs, ni sentiments. Ni rêves. Je souris davantage. Je saisis toutes les sources magiques, chaque projectiles. L'espace d'un instant, je sus leur nombre, lors de cet éclair fugace. Je levai la rapière au ciel et, telle la chef d'un gigantesque orchestre destructeur, l'abaissai d'un lent et souple mouvement, signe du départ de la symphonie destructrice de l'apocalypse. Chaque projectile sortit de sa trajectoire et retomba telle une pluie de mort sur l'armée, visant un cœur ou une tête. Tout explosa. Mon père leva la main, et protégea le bâtiment et tous les occupants, ainsi que le dragon et le dragonnier. Ce dernier trancha la tête disparue d'une créature partie en fumée. Une énorme volée de projectiles volèrent vers moi. Rapides. Plus que les précédents. Presque aussi rapides que moi. Presque. J'écarquillai des yeux grands ouverts, appelant à tout le savoir de mon sang ryalkan, et brandis ma lame devant mon père accroupi. Le premier arriva, aussitôt dévié, suivi du deuxième. Trois, quatre, sept. Il m'apparut bien vite que poursuivre mon élan était plus rapide que faire un mouvement inverse. Je parai un tir à l'épaule gauche, sautai de côté en esquivant un tir qui vint se briser sur le bouclier de l'auberge, puis parai un autre qui visait ma jambe droite à l'issue de ma rotation. Je tournai dans un sens, dans l'autre, voletai de haut et de bas, d'avant en arrière. Le manche d'Hexalon, envoyée par mon père, passa près de moi, et je m'en saisis, tournoyant de plus belle en une tornade impénétrable, en un ballet de lames volubiles sur lesquels la magie glissait, se brisait, ou repartait vers la masse grouillante qui semblait ne jamais se tarir. Dans une dernière action, je fis un arc de cercle d'Hexalon devant moi, de celle qui tranche même le vent ; chargée de magie, vive et spectaculaire comme elle l'était, elle faucha la horde, nous laissant quelques centaines de mètres et quelques secondes de répit. Je reculai d'un pas en faisant sauter Hexalon de ma paume, qui fut rattrapée dans un nouveau fauchage par mon père, et je me rassis pour me servir une nouvelle tasse de thé, dont je pris une prudente gorgée. Il était bouillonnant de magie, les yeux entièrement blancs et semblant émaner une lumière céleste. Ses longs cheveux attachés en queue voletaient, soulevés par le dégagement surréel de pouvoir qui s'épanchait de lui. La Magie des Rêves est la plus puissante, la difficile, mais aussi la plus dangereuse qui existe. Dans un rêve, tout peut arriver, et certains utilisateurs instinctifs de cette magie peuvent contrôler leurs rêves, et ce principe est reporté à notre monde. le monde des rêves dont on tire la puissance de modification nécessaire est un monde fugace, ce qui explique la difficulté et le long temps d'apprentissage pour y accéder. Mais, une fois atteint, il permet tout, et sans aucune dépense d'énergie, sans nécessiter de signe, de geste, de rune, de support ou d'incantation. Néanmoins, cette magie nécessite une gigantesque concentration, car si elle pourrait mener à la disparition du monde lui-même, l'utilisateur devrait pour cela imaginer toutes les conséquences de la disparition du monde, imaginer tout ce qui disparaîtrait, comment, et quels impacts cela aurait. Ainsi, il est jugé presque impossible d'en arriver à de telles extrémités. Néanmoins... C'est chargé de toute cette puissance et après avoir passé les instants que je lui avait offert à imaginer ceci que mon père s'avança, l'épée tendue vers la masse hésitante. il se concentra quelques instants encore, et relâcha toute la puissance destructrice de sa magie à travers sa lame, en un faisceau de lumière qui traversa toute la horde et pénétra le brouillard duquel ils sortaient. D'ombres mouvantes, les monstres touchés s'illuminèrent d'un blanc plus pur que la neige qu'ils foulaient à leurs pieds, et s'évaporèrent en transmettant leur virus mortel et flamboyant à leurs voisins. Alors que l'apocalypse se désintégrait, le brouillard s'illumina à son tour, et le ciel fut bientôt plus blanc qu'un ciel nuageux lors d'un jour de neige, et presque éblouissant. Puis, plus rien. Le brouillard et le monde des créatures derrière lui, quel qu'il soit, avait brûlé dans les flammes de la magie de mon père. Je soupirai en appréciant le calme, et retournai à l'intérieur, la table et le fauteuil flottant derrière moi. Je m'installai et pris une nouvelle gorgée de thé. Non loin, Alexas finit la choppe, et mon père le rejoint à sa table.
  5. Je sais pour les balises Lpu, c'est juste que ça cassait la fluidité de mon texte donc je l'ai pas fait, c'tout ^^ Mais de fait, vrai spoiler ce coup-ci parce que je compte clarifier 2-3 trucs :
  6. En fait surtout, pour moi c'est exactement comme House of Cards. Si on veut, au début la série nous donne un but, une problématique pour le personnage principal à résoudre ou surmonter pour atteindre la résolution de sa quête. Pour House of Cards, c'est les saisons 1 et 2 : à la fin de la saison 2, tout est cloturé, le personnage principal a atteint son but (avec un plan qui défonce, qui plus est). [/!\ATTENTION SPOILER/!]Pour Death Note, c'est à la mort de L. Ergo, une fois qu'il l'a eu, tout est "finit" en quelque sorte. C'est bon, c'est réglé. L'histoire nous parle d'un gars qui essaie de battre la seule personne capable de l'arrêter, il le fait, il devient une entité au-dessus de tout, il a gagné, point. Ce qui me fait rager, dans le cas de ces deux séries, c'est que dans les deux cas on te sort une suite qui est annoncée nulle part. Nulle part on te met des petits indices sur cette suite. Et attention, je dis pas que c'est pas légitime. Les saisons 3, 4 et 5 de HoC ont de bonnes raisons d'exister en suivant la logique de l'univers de la série. Pareillement, la fin de Death Note a aussi, logiquement, le droit d'exister. Tout comme le fait que le personnage, au final, perde. Et il aurait très bien pu perdre contre L aussi, je m'en fous, c'est pas le point. Ce qui me dérange VRAIMENT c'est que dans les deux cas la série te regarde, tout au début, et te fait : voilà, tu peux entrevoir ça, l'objectif c'est ça, le personnage principal va viser ça, et tout va mener vers ça. Et dans les deux cas, ça s'y tient. Sans aucune faute. Et là, subitement, en fait non, c'était pas fini et le personnage il a pas atteint son but vraiment en fait, navré. Et c'est ça que je trouve nul en fait, parce que si c'était amené, y'aurait "pas de soucis", même si je trouve ça nul. Mais du moment que ça tombe de nulle part, bah c'est non seulement nul, mais en plus pas légitime compte tenu des règles fixées par l'histoire dès le début. Alors, certes, y'en a qui aiment pas Kira et qui auraient voulu le voir perdre, du coup bah à la fin il perd donc ils sont contents. Yay. Mais, j'ai envie de dire, ça va plus loin que ça : des fois, l'intention scénaristique et artistique d'une histoire et d'une réalisation (parce que ouais, c'est quand même des artistes les mecs qui font ça, faut pas l'oublier, et un artiste c'est capricieux), c'est pas forcément de finir sur une happy end ou sur quelque chose qui contente les gens. Parfois, ça peut être de faire des plans et une histoire qui dérange, que les gens aiment pas, mais où c'est fait pour. Et parfois, c'est aussi savoir s'arrêter quand il le faut, et pas pour faire plaisir aux gens.[FIN DU SPOILER] De fait, les deux séries ont l'avantage de pouvoir s'interrompre là où j'estime se trouver la "vraie" fin. Donc c'est pas dérangeant outre mesure. Juste que je trouve que c'est dommage qu'il y ait une suite, et que ultimement les gens peuvent la regarder s'ils le veulent, mais que ça m'empêchera pas de leur dire "Pour moi la fin est là, si tu regardes la suite j'estime qu'elle existe pas vraiment et je t'invite à faire de même". Fin bref, tout ça pour dire que pour moi ce genre de démarche a scénaristiquement et artistiquement aucun sens. x)
  7. Je... Je... *se casse de cette planète* :'(
  8. *passe par là* C'est parce qu'ils ont tous vu le com de Pim et se sont reconnus, du coup ils osent pas Sinon, blague mise à part, bienvenue à toi ! Si jamais tu as des questions ou besoin d'un coup de main, n'hésite pas à te diriger vers l'Ambassade des Nouveaux Arrivants et les parrainages ! *est content de sa blague et s'enfuit*
  9. « Mais oui, mais oui, ne t'en fais pas. Que deviens-tu ? Voilà bien trop longtemps que je ne t'ai plus vu. Depuis le couronnement de la petite, je crois, non ? »
  10. Je haussai à nouveau les épaules et me saisis d'un fauteuil de la glacerie, que j'installai à l'entrée de la palissade. Le combat serait plus confortable ainsi, si je devais réellement m'en mêler. D'un coin de l'œil, j'observai curieusement mon père, que je n'avais plus vu aussi enthousiaste depuis des semaines. Il éclata d'un rire bruyant. « Je n'étais pas là avant que tu arrives, je me suis simplement précipité ici quand je t'y ai vu, vu que je garde un œil sur cet endroit. Quand à ce qu'il se passe... l'homme dont tu parles est le "Narrateur" comme il se fait lui-même appeler et pour ce que ça veut dire. Et visiblement, tu viens de débarquer pile au mauvais moment, une invasion de bestioles ou je ne sais quoi se prépare. Mais ne t'en fais pas trop, et asseyons-nous prendre un verre, veux-tu ? Je pourrais toujours me battre d'ici s'ils ont vraiment besoin d'aide, ce dont je doute. Point n'est besoin de deux Fulmen pour régler ça. » Je le fusillai du regard et ne manquai pas de ressentir son amusement devant sa fille vexée. Je m'assis et dégainai ma rapière que je posai sur mes jambes croisées. Je me permis de me faire voleter une table avec théière chaude et tasse depuis l'intérieur jusqu'à mon côté, et savourai ma boisson paisiblement.
  11. Je haussai les épaules tandis que Dom persistait à ignorer tout et tout le monde sauf ce qui l'intéressait. « Alors, quoi ? On doit les retenir un temps donné, tous les tuer jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus ? » Je grommelai pour moi-même, l'ai mi-figue, mi-raisin. « Je n'étais même pas venue pour me battre, d'ailleurs... »
  12. Je haussai les épaules. Le dragonnier ferait mieux de se reposer, surtout vu l'air inquiet du narrateur, mais il faisait bien ce qu'il voulait. Je reportai mon attention sur l'assemblée, et en un instant mon père confirma ma première impression. Il apparut dieu seul sait d'où, ignora royalement tout le reste de l'assistance et se dirigea vers le nain. « Alexas, mon ami ! » s'exclama-t-il, et avant que le concerné puisse réagir, il l'enlaça amicalement et l'écarta par les épaules pour mieux l'observer. Je m'approchai des deux énergumènes, curieuse. Je déposai le rôdeur allongé sur un banc près de moi et le laissai se reposer quelques instants.
  13. J'étouffai un soupir de soulagement malgré tout, mais opinai du chef aux instructions du Narrateur en souriant. Le dragon venait de commencer un interrogatoire, mais je coupai son dragonnier dans son élan avant qu'il pu prendre part à la conversation, et il échappa un petit cri de surprise. Lui comme le rôdeur s'élevèrent de deux ou trois pieds, allongés, et flottèrent vers moi. Je jetai un instant un œil sur le dragon lui-même, mais lui souris, en espérant qu'il comprenne que je ne souhaitais que prendre soin de son ami. Néanmoins, j'entendis du côté de la taverne quelqu'un s'exclamer : « Qu'avez-vous fait ?! ». Quelques instants, et un homme – ou plutôt un squelette – apparut en tempêtant. Bien qu'ignorant contre qui il dirigeait ses protestations, je crus comprendre que c'était à l'un des deux combattants. Je me plantai devant lui et levai la main pour l'arrêter. « Peu importe ce que vous avez à dire, ces deux-là sont mal en point. Laissez-le se reposer et se faire soigner pour le peu qu'ils en ont besoin, vous pourrez les disputer tout votre soûl ensuite. » Je souris à nouveau alors que les deux concernés passaient en flottant paisiblement près de moi et entraient dans le bâtiment, non sans provoquer des exclamations de surprise de clients qui, définitivement, n'avaient pas l'habitude du lieu et de ses curieux clients réguliers. « Je vous remercie. » Je m'inclinai et pénétrai à mon tour dans la salle. Du coin de l'œil, je crus apercevoir une silhouette familière, à la barbe fournie. J'écarquillai les yeux en me retournant.
  14. Il est parfois des événements où, l'espace d'un instant, je ressens une désagréable impression de fatalisme infâme, et où je me sens forcée d'arriver aux moments les plus propices, d'être mêlée à l'Histoire si intrinsèquement que je ne suis pas libre de choisir où et quand j'interviendrais dans un quelconque tournant majeur du temps. J'aime à croire que chacun en ce bas monde rejoint ce sentiment, et qu'ainsi cet aveuglement enfantin pousse tout un chacun à poursuivre ses rêves les plus fous et braver les folies les plus improbables. Ce n'était pas le cas ce jour-là. Je sais que c'est en toute conscience que j'observais le duel entre le dragonnier et le rôdeur, et en toute maîtrise de mon propre destin que je décidai de m'en mêler. Et c'est l'ombre d'un sourire aux lèvres, et prise dans les pirouettes de mes réflexions que j'apparus – littéralement – à cet instant. Je flottai quelques instants dans les airs alors qu'un tourbillon invisible de magie tournoya autour de moi, soulevant ma lourde masse de cheveux et ma cape, qui s'agitèrent paisiblement, comme en suspension. Mes doigts se effleurèrent l'épaule du narrateur alors que la pointe de mon pied touchait le sol et que le doux baiser du vent se rendormit ; les pans de mon manteau m'enveloppèrent à nouveau. Je le contournai légèrement pour lui faire face. « Paix, mon ami. » J'inclinai la tête et souris, les joues rosies par le froid. « Il est déjà en bien assez mauvais état, point n'est la peine d'en rajouter. Relâche ta prise, je t'en prie. » Je laissai glisser mes doigts jusque sur son poignet crispé, l'incitant à libérer le pauvre homme. Je plantai mes yeux dans les siens. « Je réparerai moi-même les dégâts, si c'est ton inquiétude. »
  15. Bon anniversaire monsieur PoukiXVI !
  16. Je viens de remarquer que Tengen toppa : Gurren Lagann n'est que succinctement cité par Ibuki, ce que, du coup, je trouve très triste. Une grosse claque que je regrette de pas avoir découvert plus tôt, et qui pour moi est une véritable leçon de vie et un immense boost de motivation et d'espoir si on est capable de voir deux secondes derrière le côté WTF apparent, et qui est bien plus que ça et que juste une parodie, pour moi. Prenez le pari d'accepter tout ce que vous voyez au début, et mattez ça jusqu'au bout. C'est une vraie bouffée d'air et ça vous donnera de l'énergie pour des semaines et des mois. :3
  17. C bo — Jean-michel Critique
  18. Étant un vrai homme, et dessinant mes cartes avec l'eau plus foncée que les terres, je suis partisant de la première version, que je plussoie grave. ... C'est tout pour moi.
  19. (Si ça continue comme ça faudra peut-être bien faire un deuxième tour pour choisir, vu le nombre d'égalités )
  20. DomFulmen

    [Suggestion] Guerre

    Surtout, le truc qui plante le plus en vrai, c'est qu'il n'y a déjà même pas assez de gens qui font du PVP en arêne pour que les récompenses et les podiums soient complets à chaque saison. ^^ Le fait est qu'en effet, y'a très peu de gens qui font/aiment/s'intéressent au PVP sur le serveur (du moins à ce point-là), je pense. De fait, je pense qu'organiser des batailles rangées (quitte à prendre de grandes zones de map passées en PVP temporairement, avec l'accord des projets qui sont sur la zone concernée, peut-être ?) rassemble le meilleur des deux mondes : des évents réguliers et massifs, auxquels ceux qui veulent participer le font, et avec un caractère assez exceptionnel et local pour que tout le monde soit content et soit intéressé, éventuellement.
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