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DomFulmen

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Tout ce qui a été posté par DomFulmen

  1. J'aime beaucoup ! Je vous avoue qu'avoir un RP unifié du serveur c'est un peu un rêve, et peut-être que ça arrivera un jour, qui sait ! En s'y mettant à plusieurs pour recouper les sources ça pourrait s'envisager.
  2. DomFulmen

    Départ

    Plein de bisous PS : je plussoie le Warff
  3. Ils sont moches C'est tellement bien niveau teamplay, tryhard et tout Y'en a pour tous les goûts et tous les gameplays ! Ils l'ont jamais testé, genre pendant un des week end gratuits ou autre ? C'est ça qu'on veut oui :3
  4. J'espère que t'as des gens avec qui jouer ! Ce jeu est tellement strong en team ! Endless possibilities ! Endless gameplay ! Tellement mieux que tout le reste !
  5. Imperceptiblement et sans aucun bruit, je sentis la table se gratter sous les doigts de mon poing négligemment fermé sur la table. Mon autre main flattait ma barbe alors que j'écoutais l'elfe à ma table, et rejoignis bientôt la première alors que je me penchai en m'accoudant pour prendre la parole. « En ça j'ai bien peur que Seïra n'ait raison, en le sens que je suis toujours autant têtu et à la recherche constante d'ennuis. » Mes yeux s'étrécirent légèrement alors que je m'adossai plus confortablement dans mon fauteuil ; là où étaient ma main, le bois était aussi lisse et verni que quelques secondes auparavant. Je plantai mon regard dans celui de l'elfe, un léger sourire étirant mes lèvres. « Mais que fais-tu donc par ici ? » Une pensée souffla paisiblement l'esprit du Narrateur. « Je puis ralentir ou arrêter le temps, pas le changer – pas plus que quiconque à ma connaissance. Si ce n'est pas toi, alors j'aimerais une explication moi aussi. »
  6. Je tressaillis imperceptiblement. Il est des choses que quelqu'un qui a déjà joué avec le temps peut ressentir, et je me sentais comme secoué de l'intérieur. Sans que je m'explique pourquoi, je ressentis le besoin de me palper la poitrine, par précaution. Je n'en fis pourtant rien et demeurai immobile, certain d'être le seul à avoir ressenti ce que je pensais avoir ressenti. Après un temps d'un silence qui s'étirait, je me retournai vers le Narrateur, inclinai la tête et lui souris, de l'air attendri d'un père. « Je suis navré que tu prennes ainsi la proposition des oreilles muettes d'un ami pour t'écouter. Tu es plus humain que tu ne veux bien le croire, Narrateur. Et même un être aussi solitaire que toi n'est jamais vraiment seul. » Je scrutai un instant son regard, qu'il soutint moins bien qu'il ne le pensait sans doute. « Viens frapper à mon esprit, si tu changes d'avis. » Je me levai. ————— Avant que j'eus le temps de répondre et après la désagréable impression qu'on m'avait martelé les tempes l'espace d'une seconde, mon père s'assit à notre table, l'air avenant, déposa lui-même une théière de Miel-de-Terre sortie d'on ne sait où ; je soupçonnai qu'à l'une des cuisines de la forteresse, une théière chaude avant disparue sans un souffle. Il inclina la tête en guise de salut. « Ravi de vous revoir. Ma fille ne vous a pas trop causé d'ennui ? » Je laissai glisser mais grimaçai tout de même d'un air bougon en réponse à sa taquinerie ; en réalité, l'envie de lâcher un profond soupir de soulagement me démangea. Je me demandai à part moi quel genre d'homme pouvait être persuadé d'être solitaire et ennuyé par la compagnie, mais être aussi inconstant dans ses actes. J'essayai de me remémorer les quelques autres rencontres d'elfes que j'avais fait par le passé, et j'en conclus qu'une trop grande longévité donnait sans doute une trop grande distance – illusoire, je n'en doutais pas – avec le monde. Je me demandai un instant si mon père, ma mère et moi deviendrions un jour comme ça, et répliquai : « En ça, si c'est le cas, j'ai fort bien appris de toi, Père. » Je lui lançai un léger sourire auquel il répondit : il acceptait la riposte et me l'accordait de bon cœur. Je me servis une tasse de Miel-de-Terre soufflai un instant dessus en m'enfonçant dans mon fauteuil.
  7. Et un nouveau héros et d'autres maps sont sorties entre temps, ainsi que de nouveaux modes de jeu, de fait
  8. Unity a priori de ce que j'en vois ^^ Le dépliage UV, en gros, c'est prendre un modèle 3D et le mettre à plat. Ça permet de faire ce qu'on appelle des "maps" de pleins de trucs (dont la fameuse specular, qui fait gestion de réflextion de la lumière, dit grossièrement) qui additionnées vont donner ce que tu vois à la fin dans le jeu ^^ T'as les textures, ce qui gère la lumière, les reflets, le relief, etc, dedans. Un exemple très simple d'un dépliage UV c'est ce que tu as quand tu veux déplier un globe terrestre à plat, grosso modo, ou même quand tu fais le patron d'un cube ou d'une forme géométrique. C'est la même idée ^^ Idem pour les skins Minecraft : le fichier à plat qu'on upload sur le site, c'est un dépliage UV du skin (bon, où la texture est déjà mise dessus, certes) ^^ Et l'albedo/metalic c'est ce qui va donner une certaine réflexion et des certaines propriétés de matériaux à l'objet. En l’occurrence, il s'en est surtout servi pour donner un aspect métalique à ses modèles, du coup, mais ça marche pour un peu tout avec les réglages adéquats, du coup ^^
  9. Je me retournai vers le Narrateur et inclinai la tête, les yeux affinés et la bouche n'était plus qu'une ligne. Je lui répondis, toujours par la pensée : « Tout dépend. Tu as accompli ton récit : une lame s'est enfoncée dans mon dos et est ressortie de ma poitrine. » Je lui souris, de l'air attendri d'un père, et la lame se brisa net, sans un son, aux endroits où elle touchait mon corps ; nulle blessure et nul trou dans mon vêtement n'était visible. « Je suis navré que tu prennes ainsi la proposition des oreilles muettes d'un ami pour t'écouter. Tu es plus humain que tu ne veux bien le croire, Narrateur. Et même un être aussi solitaire que toi n'est jamais vraiment seul. » Je scrutai un instant son regard, qu'il soutint moins bien qu'il ne le pensait sans doute. « Viens frapper à mon esprit, si tu changes d'avis. » Je me levai. ————— Avant que j'eus le temps de réponse, mon père s'assit à notre table, l'air avenant, déposa lui-même une théière de Miel-de-Terre sortie d'on ne sait où ; je soupçonnai qu'à l'une des cuisines de la forteresse, une théière chaude avant disparue sans un souffle. Il inclina la tête en guise de salut. « Ravi de vous revoir. Ma fille ne vous a pas trop causé d'ennui ? » Je laissai glisser mais grimaçai tout de même d'un air bougon en réponse à sa taquinerie ; en réalité, l'envie de lâcher un profond soupir de soulagement me démangea. Je me demandai à part moi quel genre d'homme pouvait être persuadé d'être solitaire et ennuyé par la compagnie, mais être aussi inconstant dans ses actes. J'essayai de me remémorer les quelques autres rencontres d'elfes que j'avais fait par le passé, et j'en conclus qu'une trop grande longévité donnait sans doute une trop grande distance – illusoire, je n'en doutais pas – avec le monde. Je me demandai un instant si mon père, ma mère et moi deviendrions un jour comme ça, et répliquai : « En ça, si c'est le cas, j'ai fort bien appris de toi, Père. » Je lui lançai un léger sourire auquel il répondit : il acceptait la riposte et me l'accordait de bon cœur. Je me servis une tasse de Miel-de-Terre soufflai un instant dessus en m'enfonçant dans mon fauteuil.
  10. Être critique et être acide, ça n'a rien à voir ; c'est même à l'opposé l'un de l'autre
  11. Je fronçai les sourcils d'incompréhension, et haussai finalement les épaules, l'air détendu. « Tout dépend avec quoi, où et comment. Si tu me transperces le bras avec une épée, je ne mourrai pas. Si tu me transperce le cœur mais que je suis assez rapide, ta lame traversera un portail de mon cru et je mourrai donc toujours pas. » J'agitai la main devant moi comme pour chasser le sujet telle une mouche importune, et croisai les bras. « Néanmoins, je ne suis pas là pour ça, mais pour m'asseoir ici et te dire que si tu veux en parler... » Nouveau haussement d'épaules. « ... Ou pas, c'est comme tu le souhaites. Ce n'est pas non plus comme si je connaissais grand chose de ta vie et que je pouvais y influer de quelque manière que ce fut, donc pourquoi pas ? Ou pourquoi est-ce qu'un simple élément de narration comme moi aurait à savoir quoi que ce soit de toute façon, tu as raison aussi. Ce n'est pas à moi de choisir de toute manière ; moi, je suis assis ici, je ne bouge pas, et je me tais à partir de maintenant. »
  12. Je souris intérieurement, amusé, et me lançai sur son terrain. « Toi non plus, vraisemblablement. »
  13. Je hochai gravement la tête, et reposai la feuille. « Fais-moi part de tes découvertes, ça m'intéresse. » Près de moi, le narrateur attira mon attention, perché comme il l'était. Je me retins de soulever un sourcil et l'observai un instant. « Si tu veux bien m'excuser quelques instants. » J'inclinai la tête à l'intention d'Alexas, et transportai ma chaise pour m'asseoir à la table près du narrateur, et m'assis dos à lui. Il me savait là, en corps et en esprit. Ma conscience effleura la sienne, si insondable et atypique, juste assez pour lui signaler mon ouverture. À titre d'appât, je lui lançai mentalement : « Je t'accorde qu'elle est très belle. » ————— Je plissai légèrement les yeux et secouai brêvement la tête. « Je ne peux pas vous répondre. Pour autant que j'en sache, les Fulmen n'ont jamais été une famille très proche, pour ne pas dire quasi inexistante. Je n'ai jamais connu d'autre Fulmen que mon père, à peu de choses près. » Néanmoins, j'étais curieuse. « Pour les goûts en alcool de mon père, je pense que le mieux serait de lui demander vous-même, il saura mieux vous répondre que moi à ce propos. » Et, pour ponctuer mon affirmation, je portai ma tasse à mes lèvres et en pris une longue gorgée que je savourai de longues secondes.
  14. Sinon, les gars, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué : c'est dans la taverne non-RP. Pas dans les petites annonces Tonacs est un troll une très légère teinte, humant fortement des relents de farce et d'humour, enrobent ce ton très léger de blague, aussi appelé second degré, qui tartine ce topic comme le nutella vos tartines le matin il veut vous faire marcher, et vous courrez
  15. J'ai vu que le Populus où c'est indiqué qu'il dire des obus. Tout le reste n'est pas précisé. Ce dernier étant retiré du post, soit c'est un soucis au niveau des munitions (auquel cas il suffit juste d'en changer la dénomination et problème réglé), soit y'a pas de soucis, la taille et les protections des canons n'étant clairement pas un ploblème ici.
  16. Petite note rapide concernant les canons : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_plus_gros_canons_par_calibre Les gros canons, ça existe. Et c'est vieux. Du moment où on a pu en faire, c'est venu très vite comme idée. Et c'pas parce qu'il y a un support (et éventuellement des couverts) que c'est un tank. Par définition, un tank c'est un canon motorisé. Si ce n'est pas motorisé c'est... un canon avec un truc pour se planquer. Cf pas mal de béliers, ou même le "char" de Léonard de Vinci.
  17. Yop ! Je t'ai attribué la chambre 13, au premier étage de l'ANA de Stendel, pour deux semaines comme demandé. Je te laisse me contacter (en jeu si tu me vois passer, ou par MP forum sinon) pour le paiement. Amicalement et littérairement, Dom.
  18. Ou d'empêcher de supprimer les quêtes commencées, ou où on a déjà donné/reçu des objets/PA.
  19. Je plussoie ce Squirkiz. J'ai quand même voté pour ne serait-ce que parce que effectivement c'est une fonctionnalité cool
  20. EDIT : Ajout de mes réponses. ————— Je m'emparai de l'une des feuilles par la tige et l'observai quelques instants sous tous les angles. Puis je reportai mon attention sur Alexas. « Fascinant, je n'ai jamais vu une telle couleur. Qu'est-ce ? Ont-elles des propriétés quelconques ? » ————— Je remerciai le narrateur, et y ajoutai un sourire. Son air triste me déconcerta tout de même, et j'hésitai à lui poser la question ; néanmoins, un autre invité se trouvait à la table. Je reportai mon attention à son encontre et continuai à soutenir son regard. Je considérai son sourire un instant – forcé, mais l'intention était louable. « De même. Cela ferait donc de vous mon grand-oncle ? Si vous ne l'avez pas vu depuis qu'il était enfant, cela doit faire au moins trois siècles. » Je sentis l'attention que nous portait mon père. Il ne nous jetait pas un œil mais ne perdait pas un mot de l'échange. Je me demandai à part moi pourquoi cette réserve.
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