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A Traverne'Ciel : La taverne aux multiples glaces qui vous feront monter au 7ème ciel !


CielNoir
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   Tout le monde venait de quitter le patron, pour le laisser tranquille surement. C'était à mon tour de poursuivre l'interrogatoire qu'avaient lancer les amis du glacier. Je me leva et pris ma guitare à la main pour me diriger vers le bureau du directeur. En allant vers le bureau, je sifflota différents airs doux, ils avaient pour but essentiels de reposer et apaiser le patron pour éviter qu'il ne me blesse, au cas où. Je frappa à la porte et entra, je ne voulais pas effectuer un quelconque mauvais geste pour l'énerver, alors je restais tranquillement près de la porte entre-ouverte. Je n'avais pas besoin de savoir ce qu'il s'était passé dans l'autre dimension, mes informateurs me le diront bientôt.

   Mais un problème s'offrait à moi : il dormait, un sommeil assez trouble, et un géant de glace surveillait la pièce, le bloc de glace me regarda avec des yeux vides, je ne bougeais pas pour éviter de me téléporter à ma tour. Je me racla bruyamment la gorge. " Tavernier, ma venue dans ton bureau est juste préventive, je sais beaucoup de choses mais d'autre me reste inconnu. J'ai besoin de savoir, mes recherches aussi. Pourquoi la glace t'a choisi ?"

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Je venais de rentrer du fort avec le chirurgien je montait les escalier mais la il y avait un golem et l'homme en brun. Toujours avec mon armure de combat j'avais la même taille que le golem je décida donc que la situation était critique et je cria ! Ouvre cette porte il y a un médecin qui veut rentrer c'est tout je rentrerais pas mais ouvre !

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Respirant un fin filet d'air, juste assez pour parler : «qui veut quoi, lentement s'il vous plait. Le premier qui fais un mouvement brusque ce prend l'armoire à glace» Les derniers mots étaient un peu étouffé par manque d'air. Même sans respirer j'étais vivant, c'était l'une de mes facultés.

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J'avais rejoins le soldat et le chirurgien; et puisque la porte était fermée nous la  crochetâmes pour l'ouvrir.

Nous fîmes irruption dans le bureau et le médecin se rendit immédiatement au chevet du "malade" pour l'ausculter.

Nous étions à l'étroit dans ce bureau, et je fis sortir tout le monde pour laisser le chirurgien seul avec son patient.

Quand il aura fini, ils seront libre d'y retourner.

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[hrP] Pencroff la porte n'est pas fermé, elle est entre-ouverte et je suis à l'intérieur avec ciel x) [/hrP]

 

   Le commandant entra dans le bureau avec le chirurgien, il y avait trop de monde ici mais j'avais besoin de savoir. Je barra la route au docteur et au commandant, "N'avancez plus, et sortez sans gestes brusques'' Dis-je en montrant du doigt le bloc de glace endormi, de quoi faire prendre les jambes à son cou le plus courageux des mortels. Je me recula aussi, tout en bloquant tout mouvement des 3 protagonistes venus m'embêter dans mon interrogatoire.

   Le patron n'était pas en bonne état, mieux ne fallait pas l'énerver.

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Hé toi la dégage ! dit-je a homme en brun. Tes maléfice sont inutiles  si je ne peux pas faire entrer le chirurgien t'aura pas ton interrogatoire compris ! on s'en occupe puis après tu fais ce que tu veux.  Tu vois cette fiole ? Si je la bois ton petit golem se feras démonter et puis rien ne peux pénétrer mon armure. Ah oui pour te le montrer je vais la boire. Je bus la fiole puis mon armure se mit à dégager de la vapeur. Pour la dame !!! criais-je avant de sauter avec le golem dans la salle.

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   Le colosse en métal me somma de m'écarter pour laisser passer le chirurgien, ils n'avaient pas compris que le moindre faux pas pourrait provoquer d'énormes dégâts ? "Ce n'est pas mon golem, ce n'est ni ma magie, mais si tu veut provoquer la bagarre avec une entité indestructible, je t'en prie."

   En attendant je me recula et laissa la baston commencer.. Je réfléchie à bien des moyens pour discuter tranquillement avec le patron. Pas besoin de chercher bien loin, j'avais trouvé. Pour cela je sortis de la pièce et je pris une posture adéquat pour bondir à travers la pièce. Il ne me manquait juste que le bon moment pour engager mon mouvement.

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L'homme en brun ? c'était la première fois que ma statue ne le prenait pas comme cible par défaut. Là, elle ciblait le colosse de fer. Au moment ou celui-ci empoigna mon ange gardien, il disparu laissant place à une petite bourrasque de neige. Elle réaparu dans une similaire intempérie juste à coté de moi. Une lente inspiration plus tard : «Inutile et si désesperé, vous risquer la mort pour une fatalité»

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  Le choc des deux géants était impressionnant mais aussitôt le golem disparu, c'était le moment. Je pris mon élan et me précipita à travers la pièce, en me dirigeant vers le patron de la glacerie. Je passa furtivement à coté du colosse de métal qui affichait un regard étonné à cause de la disparition du bloc de glace. J'arrivais au niveau du patron, d'un geste dur j’empoignais le bras du jeune homme. Je me releva et le leva avec moi. "Je le ramène dans très peu de temps". D'un son brusque, un aura bleu nous enveloppaient tout deux et dans un éclair nous nous évaporions dans le néant.

  Le voyage du monde mortels jusqu'au néant est simple mais il faut avoir des repères et savoir où la magie peut être utiliser. Le jeune homme traversa la faille deux milliseconde après moi et se vautra sur le sol d'un petit ilot fait de pierre du néant. "La magie ici est inutilisable, n'essaye pas c'est un conseil." Je le saisis et le fit se coucher sur un matelas de roche molle, je m'installa sur un tas de cailloux en face de lui. "Maintenant je veut savoir, ma patience à des limites. Donc je repose ma question : pourquoi la glace t'as choisis ? Et puis pourquoi je n'arrive plus à pénétrer ton âme depuis Ryaklan ? Que s'est t-il passé ?"

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HRP : what ? "pourquoi la glace ta chosie" j'en sais rien et c'est même pas comme ca que ca marche dans mon Rp ^^
J'en sais rien, je lui ai filé un join en lui disant "Wesh poto mets toi bien"

Pourquoi t'arrive plus à penetrer mon Ame ? je l'ai vendu pour payer le trame Aller-Retour : Stendel-Ryalkan ?

Tu me pose des questions ... ^^

 

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J'apparus près des deux hommes avant que Ciel n'ait pu répondre. Je ne pus m'empêcher de lancer un regard inquiet autour de moi. L'endroit paraissait sûr malgré tout. Je retins un soupir, et ramenai les deux bougres avec moi, dans le bureau du glacier. « Navré, messieurs, mais il existe dans le néant des créatures peu commodes qui, même à moi, donnent des difficultés. Je les ai expédié là-bas par le passé pour régler le problème, et si en règle générale elles n'auraient rien eu à faire avec vous, vous avez été en contact avec moi. En fait de cela, elles pourraient vous sentir, et vous voir mettre en danger ou les voir revenir sur notre plan me déplairait assez. » Je me retournai vers le musicien. « Quant à votre problème, je crains que ce ne soit en partie de ma faute. Mes portails sont devenus avec le temps bien plus efficaces et sûrs que le commun de ceux que l'on peut voir sur nos terres. Toutes ses protections ont parfois tendance à se reporter vers l'utilisateur d'un de ces portails, et Ciel en ayant emprunté certains des miens, il a donc reçu, temporairement du moins, de quoi résister à ce genre d'intrusions. Néanmoins je le suspecte d'être de toute façon replié sur lui-même, ce qui ne simplifie pas la tâche. » Je me retournai vers l'intéressé et déclarai simplement : « Elle est en bas. »

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Il n'eut pas le temps de finir sa phrase que je m'étais téléporté en bas. Elle portait mon cadeau accroché à sa robe, la taille c'était adapté et ca lui alait à ravir, quoi qu'elle n'ai eu besoin de ça pour être belle. Pourquoi était elle venue ? Une seconde en bas puis une en haut : «Dom, vous m'avez tirer de ma léthargie, elle n'est peut être plus là, mais au moindre soucis elle reviendra défendre mon royaume.» Et encore une fois je passais à travers un tas de neige en haut pour ressortir en bas à coter de Seïra :«Tu as pu regler ton affaire ?» Je ne lui en voulais pas, mais sa fuite m'avais déçu quoi qu'elle fut justifié.

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Je pinçai les lèvres. « Malheureusement, je crains qu'elle ne se règle pas aussi vite, mais, oui, disons qu'une partie est arrangée. » Je croisai les doigts nonchalamment. « Comment vas-tu, depuis ces quelques jours ? » Question rhétorique : il avait les yeux rouges et de gros cernes, l'œil hagard , les mains incertaines dans leurs mouvements. J'inclinai la tête et souris, espérant le mettre en confiance. Peu après, mon père redescendit et s'en alla vers le comptoir passer commande.

 

—————

 

J'observai un instant le musicien, qui n'avait pas encore dit mot. « J'ignore qui vous êtes ou ce que vous voulez, mais... prenez garde à ce que vous faites. Il est des choses, des lieux et des paroles que même le plus puissant des mages n'ose que très courageusement prononcer. » Je haussai les épaules. « Après, vous faites ce que vous voulez, je vous préviens juste. » Puis je pris les escaliers et redescendis jusqu'au comptoir ; je passai sur le chemin devant un grand gaillard en armure, l'air égaré, et lui fit un rapide salut en passant.

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Je hais la mages. Ils ne sont plus humains c'est sont des impies créatures rongent notre planète. Ils devaient vivre loin des gens normaux ailleurs mais j'avais entendu que au fort une prison allait peut-être être construite. Je ferais tout pour me faire affecter la bas. Pour cela j'allais devoir me montrer patient. Commandant on fais quoi maintenant ?

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Je vis lors d'un coup d'œil opportun le regard dédaigneux et mauvais du soldat. Je lui souris et haussai les épaules alors que mon verre arrivait. « Vous savez, messire... je n'ai jamais été humain. Ça ne m'empêche pas d'aimer toutes les créatures et toutes les races de cet univers, et de les aider avec cette tant redoutée magie. D'ailleurs, vous aurez du mal à trouver beaucoup de monde qui ne soit pas, au minimum, né de la magie, dans le coin. » Je pris une petite gorgée.

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Les distortions temporelles entre Ryalkan et Stendel m'avaient permi de regler une affaire laissait depuis trop longtemps en suspend. «Fatigué surtout» Lui dis-je en lui proposant de s'asseoir, prenant au passage le soin d'arranger mes cheveux en les gelant. «Mais que me vaut l'honneur de ta visite» L'air venait de legerement tasser la neige, me retournant je dis au Barman «Faite attention il revient»

 

Narrateur : Effectivement le Narrateur était de retour. En un instant il sorti de nulle part en tombant sur un coussin de neige derrière le comptoir. «Tu as beau savoir comment ca va se passer c'est toujours aussi dur a l'atterissage» Se souvenant d'un evenement aussi bien passé que présent il ajouta : « Lugnasad ! pourquoi tu ma balancé une bourse à la figure quand j'étais pas là !»

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J'avais rejoint tout le monde près du bar. Le soldat Konrad m'y attendait en parlant de je ne sais quoi avec Dom.

"Commandant on fais quoi maintenant ?" me demanda-t-il en me voyant arriver.

"Je rentre au fort, j'ai de la paperasse à remplir concernant nos prochain chantiers. Vous pouvez rester ici si vous voulez nous n'avons aucune mission de prévue ce soir" lui répondis-je alors que je marchais déjà vers la sortie.

Arrivé à la porte, je me retournais pour saluer tout le monde puis repris ma route vers la caserne.

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Bon il est partit. Je posai une bourse sur le bar. et je m'en allais en disant Au-revoir et me tournant vers les mages Au-revoir et crever vite c'est le plus important ! Je partit aussi. Ils me dégoutaient tout-ces non humains et ces mages maudit soit-ils. Je partit non pas en direction du fort mais vers l'étang j'y enleva pour armure pour ne porter plus que mes vêtements de soldat volontaire et je me reposa près de l'étang à l'ombre d'un arbre.

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  Un homme m'avait interrompu, il avait réussi à me localiser et à nous ramener, fortiche. Je resta quelques instants sur les paroles du guerrier à propos du néant. À quoi bon ? c'était le meilleur endroit pour me cacher et pour effectuer mes recherches dans le plus grand des secrets. Je redescendis en silence et m’assis au bar, "Une glace à la seiche, s'il vous plaît" dis-je en faisant un signe au Narrateur. Les voyages dimensionnelles sont devenus une routine pour moi, mais à deux c'était bien plus éprouvant, il me fallait un remontant....

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Je haussai les épaules. « Je devais rendre visite à certains dignitaires Stendeliens, donc j'ai trouvé que c'était un excellent prétexte pour passer te rendre une petite visite. » Du coin de l'œil, je vis le fameux musicien. Il ne m'inspirait pas confiance, ce qui fut une excellente raison pour moi d'aller m'installer à une table, dos à un mur, armée de ma boisson.

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  Je regarda avec des yeux vides la taverne et les gens qui étaient présents. Il n'y avait pas beaucoup de monde comparé à d'autre jour, ete pourtant ma glace n'était pas encore arrivée... Je me leva et sortis une piécette de ma poche, je la posa juste devant ma place et pris la direction de la sortie. Ce n'est pas très grave au fond, je trouverais bien quelque chose pour me ravitailler chez moi. Je passa la porte et sifflota un petit moment, je pris un petit carnet dans ma sacoche pour y gribouiller quelque chose. Une aura bleu m'envellopa et dans un éclair je disparus pour le néant.

  Le démoniste était parti, il ne m'avait rien dit de ce qu'il voulait faire mais mes recherches en seront enrichis de par ces actions et ses découvertes ... J'attendais encore des nouvelles de mes informateurs sur le monde de Ryalkan, je me rassis à mon établi pour me ploncher dans un ouvrage passionant, et respirant la magie.

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